Coup d'oeil sur un jeu de tarrot ? [ PV K ] [NA]

Zuka s’était levée de son bureau, cette fois-ci se n’était pas pour reprendre un autre dossier dans le tiroir réservé au universitaire, puisque le document était déjà sur le côté droit du meuble de la secrétaire. Non, la brune s’était dirigée vers la grande fenêtre, qui se trouvait dans la partie privée du lieu de travail de la femme, et elle observait le nouveau phénomène qui venait de s’abattre sur Takuetsu, la pluie. Tandis qu’elle venait de finir un entretien, subitement la drache avait commencée à perlée, elle aurait pu croire que c’était un des spécialiste du temps et de la météo qui occupait l’école tellement la pluie diluvienne s’était abattue rapidement. Elle avait même cru apercevoir un éclair mais sans pour autant en être sûr, même si elle n’en serait pas étonnée puisque cette journée de Mai avait été particulièrement chaude, même si elle ne le ressentait pas vraiment dans son bureau, elle l’avait remarquée lors de sa petite expédition dans la forêt lors de sa pause de midi.

La secrétaire avait envoyé un message Keitai au prochain ‘’invité’’ pour qu’il soit là à 15h45 mais elle ne savait pas dans quel état il pourrait bien être ni même s’il osait venir, qui sait avec les jeunes de maintenant plus intéressé par leur coiffure que leur étude, alors leur avenir ?! Pensant que le jeune homme pouvait peut-être arrivé comme un rat mouillé, surtout s’il avait été pris dans la saucée, elle se redirigeait vers son bureau et s’abaissait à la hauteur de son dernier tiroir, elle soulevait la grosse couverture pour ensuite en ressortir un essuie de couleur bleue foncé. Une fois qu’elle avait eu le tissu entre les mains, elle s’était automatiquement dirigée vers ses gros fauteuils en cuir pour y déposée la serviette afin que le prochain élève puisse la saisir.

Voyant que l’heure de l’entretien était presque là, elle retournait s’asseoir sur son trône, avant de se levée pour finalement préparer un set de thé, si le visiteur lui demandait l’autorisation, elle lui accorderait une tasse dans le cas contraire, elle aurait au moins sa boisson favorite à portée de main, ainsi cela l’aidait un peu à se détendre, la journée était presque fini. Du moins c’était une phrase qui passait en boucle dans sa tête depuis presque une demi-heure afin qu’elle puisse tenir le coup…

[Voilà je sais que cela est court mais bon c'est un rp de démarage ! J'aimerai que ce rp ne dure pas 50 ans ainsi s'il pouvait être cloturer dans un mois maximum, je t'en serai réellement reconnaissante]

Et une journée de pluie, pourquoi devais-je me trouver à l'extérieur? Aucune idée, le temps m'avait parût splendide. Du moins, c'est ce que j'avais cru. Donc, je me retrouvais à l'extérieur, sous un abri quelque part dans le parc. Puis, parce que le hasard fait bien les choses, je sentis mon Keitai vibrer, parce qu'il était sur le mode vibration. Je le sortis tout en me question de la provenance du message. Qui avait bien envie de m'envoyer un texto? Ne m'en attardant pas trop sur la réponse, je l'ouvris sans me presser et constatai avec étonnement qu'il provenait de la secrétaire. 15h45? Hm, là maintenant, il était 15h05, donc j'avais une demie heure pour me rendre au secrétariat. Bref, je clos le Keitai et le remis dans son endroit initial et commençai à courir vers l'aca.

N'ayant pas réfléchie au temps, j'avais oublié qu'il pleuvait et donc mes vêtements commencèrent à devenir humide et puis j'approchais de l'aca, plus ils devenaient trempé et lourd. Lorsque j'eu atteint les portes de l'aca', je me secouais un peu pour retirer le plus d'eau possible de mes vêtements. Je pris une pause pour regarder l'heure.

15h35.

Je repris ma course, oubliant les règles de l'aca… Quoique je ne me rappelais plus si l'on pouvait courir dans les couloirs. Bref, dans mon sprinte, j'avais bousculer quelques élèves, mais les choques n'était pas assez dangereux pour tuer les écoliers ou même me tuer. On pouvait même dire que j'avais de la chance, si on ne prenait pas en compte le fait que je pouvais me retrouver en retard pour ce rendez-vous, parce qu'il n'y avait pas de surveillants dans ce secteur. Lorsque l'indication du "bureau de la secrétaire" fut dans mon champ de vision, je ralentis un peu ma course. Et puis, j'aperçu la fameuse porte ou il y était écrit " Secrétaire", sans trop réfléchir, je tournai la poigné de la porte et manquai de tomber quand j'y entrai.

"Woo hoo! Ha… J'ai fais en temps… Han… Enfin je crois," je tentais de contrôler ma respiration, de sorte que je puisse arrêter le plus possible d'haleter. Heureusement que dans mon élan, je n'avais pas projeté mes bras dans les airs… J'aurais eu l'air plus… Bref, je refermai la porte.

Me rappelant que je n'étais pas seul, mon regard scruta l'endroit et il s'arrêta lorsqu'il eu croisé madame Suzaharu. Elle m'avait l'air patiente, mais austère…

"Hm… Je suis en heure?" Dis-je en m'approchant du siège en cuivre d'où la dame était assise. Je vis une serviette sur l'autre siège et la pris. "Puis-je l'utiliser?"

Me rappelant aussi que je devais avoir certaine manière je m'excusai et dis:

"Eh, bonjour?"

[Hm, désolé, mon orange resort mal...]

Zuka attendait patiemment que le prochain n’élève arrive, elle n’avait pas fixé l’horloge au-dessus de sa porte, parce qu’elle savait que cela lui entamerait sérieusement les nerfs. Ses oreilles étaient fixées sur le bruit de la pluie contre la fenêtre, elle trouvait cela presque relaxant, tandis que ses yeux eux regardaient vers la porte d’entrée de son bureau, dans l’attende que son ‘’invité’’ franchisse celle-ci. Elle n’avait pas à attendre bien longtemps puisque celle-ci s’ouvrait brusquement, pas sur son surveillant personnel, mais par un jeune homme trempé jusqu’aux os. Celui-ci semblait avoir couru pour ne pas raté le rendez-vous qu’a sa respiration était encore haletante, elle pouvait même le percevoir de là où elle était. Grâce à la flaque d’eau qui se trouvait à présent dans son bureau, elle pouvait confirmer que l’élève avait bel et bien prit la saucée ainsi elle avait été bien inspirée de préparer une serviette. Si au début le garçon ne l’avait pas remarquée, trop occupé à reprendre son souffle ainsi que du fais qu’il avait arrêté sa course très brusquement, elle s’était presque attendue à le voir tombé, il relevait au bout de quelques seconde son regard bleu vers la secrétaire.

"Hm… Je suis en heure?" Demandait-il directement alors qu’il revenait à une respiration des plus calme tandis qu’il s’avançait vers les gros fauteuils en cuir et ainsi vers la serviette qu’elle avait préparé quelques minutes plus tôt. Zuka était très satisfaite, même si elle n’en montrait rien, que le jeune homme se soit hâté juste pour être à l’heure, d’ailleurs sa première question reflétait bien son inquiétude face à la ponctualité, à un tel point qu’il en avait oublié la politesse basique mais la secrétaire laissait passé pour une fois. Une fois que le blond s’était trouvé près des divans en cuir, il demandait s’il pouvait saisir l’essuie.

- Faîtes ! Répondait-elle simplement, elle n’était pas douée pour les longs discours de plus le damoiseau n’en avait pas besoin dans l’immédiat, juste de se sécher afin d’éviter un éventuel rhume. Elle trouvait quand même toujours amusant les personnes qui demandait la permission alors qu’il avait déjà l’objet en main, enfin ce n’était qu’un essuie qui lui était destiné depuis le début donc elle n’épiloguait pas sur ce sujet, même mentalement.

Le tissu dans la main du garçon, il l’a rabaissait soudainement comme s’il avait oublié quelque chose d’important et la bureaucrate fut surprise que c’était la politesse qui lui avait causé une tel réaction. Gardant son visage de glace, elle se contentait de répondre.

- Bonjour. Veillez prendre place pour qu’on puisse commencer. Disait-elle alors qu’elle désignait de ses mains blanches le fauteuil auprès du quel était déjà l’universitaire. Il avait au moins attendu d’être invité pour s’y installer, chose qui faisait plaisir à la brune, elle trouvait que la politesse se perdait de plus en plus par mis les jeunes…

[ Je sais que c'est un peu court mais bon pour une mise en place de situation, c'est jamais long :p ]

Aussitôt que j'eu l'accord que je posai la serviette sur ma tête et commençai à me sécher -pour mes vêtements, c'était peine perdu-. J'oubliais parfois mes manières, mais je ne peux aidé, j'ai été élevé comme ça… Au moins, ce n'était pas comme si je m'étais secoué sans l'usage d'une serviette. Là, c'aurait été mal poli… Bref, je m'étais excusé de mon entré en trombe, lorsqu'elle m'avait proposé de m'asseoir, ma petite course improvisée m'ayant un peu fatigué, je ne m'étais donc pas fait prier. J'avais déposé la serviette humide sur le bras du siège en cuire, ne sachant pas trop quoi en faire.

Le rendez-vous n'était pas ce que l'on pouvait qualifier de "galant", parce que causer de son avenir… enfin, vous voyez. Heureusement que Suzaharu avait prit le temps d'écrire, dans son message Keitai, la raison du "pourquoi était-je convoqué?", enfin je ne dis pas qu'elle a écrit un paragraphe énorme du style; "Kenneth (parce que je doute fort qu'elle appelle les élèves par leurs surnoms- tu es prié de venir me voir parce que blablabla sur ton avenir et qu'ainsi, on puisse faire le tour de ce que tu blablabla, vers disons 15h45 et yada, yada, yada". Donc le message était bref et si elle n'avait pas prise le temps de le faire, sûrement aurais-je flippé et j'aurais, peut-être, pris la convocation moins au sérieux…

Bref, aussi comme la majorité des gens qui avaient cette convocation, parce que hello, je ne pense pas être le seul, j'avais plus ou moins une idée de ce que je voulais faire de ma vie. Floue, mais au moins je savais sur quel voie aller, du moins, en ce moment, c'est ce qui m'intéressait. Avant que la membre du personnel devant moi ne puisse avoir la chance de poser ses premières questions -relative sur le sujet-, manœuvre impolie, mais je cru bon, pour nous deux, de gagner du temps (elle avait sûrement mieux à faire que de discuter avec un univ' quelque peu délinquant, et moi je n'avais rien de prévu, mais rester dans un bureau en présence d'autorité me rendais anxieux). Alors pour faire démarrer l'engrenage de la conversation, ô combien de fois ces sept mots avaient-ils été prononcés? Je lançai un:

"Je n'ai aucune idée de mon avenir." Si ce n'était pas sept, c'était qu'alors, les personnes avant moi, ou après, avait formulé la phrase avec d'autres mots. Imaginant, que ces mots devaient à coup sûre décourager la pauvre femme devant moi, je m'étais empressé d'ajouter un "mais," suivit d'un petit rire nerveux.

"Par contre, je sais que j'aimerais bien faire quelque chose dans le domaine de la psychologie… Bah, celle humaine, parce que causer avec des chiens, ou d'autres animaux… C'n'est pas mon genre…"

Au moins, on a déjà un quart de parcours de fait… Enfin, je crois, parce que je suis loin de penser que je suis un cas désespéré. Pour une raison pour une autre, parler de mon avenir me rendait aussi nerveux… Allez savoir pourquoi, mais la sensation était assez forte pour que je puisse jouer discrètement avec mes mains… Signe de nervosité, quoi?

[Me suis permis de faire avancer le rp un chouilla plus rapide... D'solé du retard aussi u_u"]

Le faîte que le jeune homme savait déjà quoi faire de sa vie, surprenait un peu la secrétaire, mais il était vrai aussi que celui-ci était à l’université, donc c’était presque un ‘’enfin’’ qui se serait échappé de sa bouche. Si bien entendu, elle n’avait pas la réputation d’être aussi bavarde qu’une tombe. La bureaucrate hésitait quand même d’applaudir des deux mains, le faite que le garçon ait trouvé sa voie, parce qu’elle n’était pas sûr que psychologue soit des plus judicieux. Il était vrai que la Japonaise n’était pas réellement impartiale et ce n’était un secret pour personne, du moins dans les membres du personnel, que la psychologue de l’école était en haut (juste en dessous de Matsuri) des cibles à ‘’exécuter’’.

La femme réfléchissait donc à ce qu’elle pourrait répondre alors qu’un silence un peu lourd avait empli la pièce, finalement les deux mains de la bureaucrate bougèrent, sans un mot, elle tirait à elle diverses feuilles de papier et commençait une valse avec la plume de son stylo. Seul le bruit de la trotteuse, de la fontaine à eux et de glissement sur le papier venait rompre le silence qui s’était installée dans la pièce. La secrétaire n’avait pas une seule fois relevée les yeux vers son ‘’invité’’ tandis qu’elle était perdue dans sa tâche. Elle se concentrait bien sur son travail pendant les dix prochaines minutes de l’entretien avant de glisser les feuilles de papier dans une par chemise et ensuite les tendre au jeune homme en face d’elle. Elle avait remarqué qu’ici, elle pouvait donner sans aucun problème les divers documents, sans craindre le moindre frôlement.

- Le premier document désigne la chambre de notre psychologue. Commençait-elle à expliquer alors que les outils de travail étaient maintenant dans les mains de l’universitaire
- Le deuxième indique où se trouve son bureau, à l’aide d’un plan. Préférait-elle préciser au cas où, pour que l’élève ne soit pas surpris quand il ouvrirait la ‘’pochette miracle’’.
- Vous avez également une lettre d’autorisation, à montrer à celle-ci, si elle refuse de vous prendre comme stagiaire pendant la durée d’un mois. Ainsi vous verrez si vous voulez réellement faire ce métier. Les derniers documents sont à remettre à la psychologue pour qu’elle puisse les remplir, afin d’être ordre d’un point de vue administratif.

La secrétaire aurait presque esquissé un rictus mais elle retenait ses lèvres bien en place. S’il s’haverait que le jeune Kenneth soit bien plus compétent que sa collègue, ce qu’elle n’avait aucun doute, il y aurait bientôt, du moins l’année prochaine, un nouveau psychologue dans leur mur. Bien entendu, elle ferait en sorte que celui-ci ne puisse refuser l’opportunité qu’elle lui ferait, maintenant qu’elle avait trouvé un successeur qui semblait potable, elle n’allait pas le laisser lui glisser entre les doigts.

Ce silence ne fait rien de bon pour ma nervosité… Cale me donnait envie de bouger ou de faire du bruit, n'importe quoi pour rompre ce silence. Je lançai quelque regard dans la pièce, tout d'un coup, le bureau semblait bien plus intéressant. À la limite, j'avais presque envie de me ronger les ongles, vielle habitude qui refaisait surface seulement dans les moments ou mon anxiété atteint son paroxysme… En ce moment, même si ce n'était pas si visible que cela, je devais être aussi nerveux qu'un Tweek sans café. Et en venir à cette comparaison, c'est que c'est critique.

Les facteurs de cette anxiété était que de un, peut-être n'étais-je pas qualifier pour ce genre de tâche aux yeux de Suzaharu, ou peut-être mes mauvaise grades… Ou n'importe quel autre détail qui pourrait compromettre ma –peut-être- future voie. Au moins, je suis sûr à presque cent pour cent que c'est ce que je veux faire, après tout, j'ai une certaine bonne expérience de la vie, j'ai vécu des accidents, j'ai frôlé la mort à plusieurs reprise –que dis-je, j'expérimente de nouvelle façon de mourir à presque chaque semaine-, ma situation familiale n'a rien en envier, je suis deuxième de famille, j'ai été dans des situations économiques peut enviable. De plus, j'ai côtoyer plusieurs types de personnes durant mon enfance. Et j'ai eu une vie amoureuse bien remplie.

Avec mon vécu, j'ai des meilleures chances de comprendre les problèmes des autres. Je suis de ceux qui pensent qu'une personne avec plus d'expérience qu'une personne avec des étude et tout, à de meilleurs chances pour correspondre à sa vocation.

Je mis fin à mes pensées lorsque le bruit de papiers vint se superposer au silence. Je relevai les yeux pour voir d'où venait le bruit et pourquoi il y avait justement un tel bruit. Je n'eu pas à chercher bien longtemps que le secrétaire me remit une pochette. J'allais prendre un air confus, mais sa voix s'éleva avant.

Lorsqu'elle finit sa phrase, je me contentais d'un hochement de tête suivit d'un "hu hum". Et ce fut ainsi jusqu'à ce qu'elle eu finit ses explications.

"Merci," la remerciai-je, puis je me levai, pensant que peut-être c'était fini et qu'il n'y avait rien d'autre à ajouter. Le fessant bien lentement pour que s'il y ai quelque chose de plus, elle pourrait me retenir. Rendu devant la porte, je l'ouvris et jetai un œil à la secrétaire, lui sourit, la remerciai une fois de lui et lui agitait la main en signe d'au revoir et pris congé.

[The end for me]