Une nouvelle personne dans la chambre n°24 du deuxième (pv coloc)

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Alix détestait ranger, cela la barbait, l'ennuyait (pour les incultes), et la fatiguait, surtout qu'elle n'avait pas beaucoup de choses: quelques t-shirt, deux ou trois chemises, et quelques jupes et un pantalon, deux dagues, deux dagues d'entrainement, un arc, deux cibles de rechanges, ses affaires de classes, et quelques pièces, un jeu de carte et une centaine de livres. En bref, rien qui nécessite un incroyable rangement, mais Alix adorait que tout soit bien en ordre. En rangeant elle tomba sur une pièce de papier rectangulaire, une enveloppe. Alix ne savait que trop bien ce qu'elle contenait, l'annonce de la mort de son frère, le seul qu'elle aimait vraiment et le seul qui l'aimait vraiment. A son départ son frère avait fuit la maison familiale et était partit habiter à trois cent mètres de l'école et tout les après-midis, ils se retrouvaient chacun de son côté du mur à se parler. Mais il y a un mois son frère a eu un accident, il s'est fait renverser par une voiture et est mort cinq heures après. Alix froissât la lettre et l'envoyât dans la poubelle. Elle continuât de ranger et au moment où elle fermait l'étui de son arc la porte s'ouvrit, tournant lentement sur ses gongs laissant apparaitre une jeune fille. Alix se retourna, les dagues, qu'elle avait attrapées pour les rangées dans les mains.

Invité

Tsukiyo est devant la porte de sa nouvelle chambre, elle hésite à tourner la poignée. Sa journée lui revint en mémoire.

Réveil
8 heure du matin, Tsukiyo se reveille. Elle se lève, passe un pull, prend des habits et part prendre une douche. Elle sort de la douche, s'habille et fait sa toilette en grimacant un peu quand le peigne rencontre quelque noeud dans ses cheveux. Elle s'attache les cheveux et repart dans sa chambre. Arrivé dedans, elle se demande pourquoi elle est revenue là et n'est pas partie directement prendre son petit déjeuner. Tsukiyo vit un sac par terre, et se souvint qu'aujourd'hui elle devait changer de chambre. Elle poussa un gros soupir... Pourquoi devait-elle quitté Plume et Riku? C'était injuste! Enfin bref, elle ouvrit l'armoire et sortit ses affaires : pour seuls habits, elle avait deux uniforme de rechange, une tenue d'été, un pyjama, un maillot de bain et plusieurs habits qu'elle portait pour les grandes occasions. Pour les affaires personnels, elle avait une grosse boite de crayon non utilisé, une énorme tour de cahier utilisé et une autre tour de carnet à peine entamé. Elle fourra tout sa dans son sac. Elle se dirigea vers son lit et secoua la couette et le coussin, puis fit son lit le plus proprement possible pour la prochaine colocataire.
Tsukiyo mit son sac sur le dos et se dirigea vers la salle du petit déjeuner.

Après manger, sur le chemin de la nouvelle chambre
Tsukiyo sort de la salle du petite déjeuner. Elle ne sait que faire, aller tout de suite dans sa chambre ou aller faire un tour pour éviter la rencontre de sa nouvelle colocataire? Ne savant que faire, elle prit un chemin au hasard. Ses pas la ramenèrent sur le trajet qu'elle avait fait avant de découvrir son ancienne chambre et les colocataires qui allait avec. Le chemin qui était alors enneigé était maintenant vert et fleuri. L'herbe était mainteant partout et les bourgeons avaient éclos, laissant de jeunes feuilles vertes claires en sortir. Tsukiyo marche encore et encore, elle ne sait pas où elle va, mais, après tout, peu l'importe. Quelque heures après, après avoir traversé la forêt et s'être promener dans le parc, Tsukiyo, toujours en marchant au hasard, arrive devant le batiment du dortoir. Elle hésite, va-t-elle monter ou partir sa balader encore? Finalement, elle ouvre la grande porte du batiment. Elle regarde les marches: maintenant, elle allait devoir monter deux étages.

L'escalier et le couloir
Tsukiyo gravit les marches qu'elle connait si bien, le temps défile avec une telle lenteur! Finalement, elle arrive devant le couloir du collège, son ancien couloir. Enfin, Tsukiyo soupire et continue son chemin. L'escalier du lycée n'est guer différent du précédent. Elle arrive en haut et traverse le couloir en cherchant sur les murs la plaque avec marqué dessus Tsukiyo Nishibi.

Tsukiyo était devant la porte de sa nouvelle chambre, elle hésitait à en tourner la poignée. Mais elle prit son courage à deux main, et sa main se posa sur la poignée de la porte. la porte s'ouvra doucement. Tsukiyo entra dans sa nouvelle chambre. Elle balya sa chambre du regard, même format que son ancienne, en faite, elle est identique. Mais si l'on regarde les meubles, on voit qu'il y a deux lits, juste deux lits. Tsukiyo s'étonna. Juste une colocataire? Cela lui faisait bizare. Enfin, elle voit un lit à coté d'elle, Tsukiyo balance son sac dessus et s'assois sur le lit. Elle apercut alors une jeune fille qu'elle n'avait pas remarqué alors, elle était à l'autre bout de la pièce, et la regardait depuis le début.

- Tu t'appelles comment?

Tsukiyo aurait pus dire bonjours avant, mais elle n'avait pas trouvé utile de le dire.

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Alix n'avait pas lâché des yeux la jeune fille qui était rentrée, ses dagues toujours devant elle en position défensive, mais la jeune fille ne l'avait pas remarquée je suis si transparente que ça se dit t'elle. Elle essaya plusieurs fois d'attirer son attention, raclement de gorge..., sans résultat La tête dans les nuages, mais pourquoi n'y met elle pas le corps entier?, puis elle perdit espoir de la faire revenir et la détailla, une chose qu'elle n'aurait pas fait si la jeune fille était sur terre. C'était une jeune fille assez petite mais Alix savait qu'elle n'était pas une primaire, pas du tout la même façon de marcher, les cheveux noir et le teint blanc, des yeux marrons, un nez fin et la peau fragile, c'était le premier plan, sinon en profondeur on voyait que les yeux attirait énormément l'attention pour toutes personnes normales (tout le contraire d'Alix), ses cheveux était couverts de paillette, ce devait être une de ces lèves tôt pour se pouponner, mais Alix retira immédiatement cette pensée quand elle vit les habits de la jeune fille. L'uniforme était usé mais mal porté et Alix en conclut qu'elle n'avait que çà, heureusement ce n'était pas une adoratrice de la "haute autorité" de cet établissement. Soudain la jeune fille redescendit sur terre et la remarqua. Alix lui décrocha un sourire et la jeune fille lui adressa la parole:

- Tu t'appelles comment?

C'était une question courte et simple, sans bonjours, n'y excuse, bref un début de dialogue que Alix adorait car il ne comportait pas de formule de politesse idiote. Alix rangea ses armes dans le tiroir, le ferma et se tourna vers elle. Elle lui décrocha un autre grand sourire et lui dit:

-Tient on revient sur terre, je m'appelle Alix Wester et toi?

Elle avait commencé sa phrase sur le ton de l'ironie et l'avait terminée d'une voix joyeuse. En attendant que la jeune fille réponde elle prit son carquois et ses flèches et s'assit sur son lit...

Invité

-Tu t'appelles comment?

Question simple sans formule de politesse que la jeune fille avait l'air d'apprécier. Cette dernière était justement en train de sourire. Qui s'agrandit bien trop vite à son gout. Le visage de Tsukiyo lui, ne changea pas, il resta impassible, on aurait pus croire que Tsukiyo était encore dans la lune si ses yeux ne regardait pas aussi fortement la jeune fille.

-Tiens on revient sur terre, je m'appelle Alix Wester et toi?

Alix Wester… Tiens donc… Cela ne fit pas rebaisser la garde de Tsukiyo. Elle en profita pour décrire la jeune fille :
Elle doit être elle aussi lycéenne, sa peau est un peu nacré, des cheveux marrons et des yeux noisette. Une personne ordinaire… Encore… Alix a de grande jambes assez musclés qui surprennent Tsukiyo en son for intérieur, mais elle ne montre rien sur son visage. Elle a sur elle une robe bleu clair.
Puis la jeune fille pend des armes...

- Tsukiyo Nishibi, ton don?

Phrase on ne peut plus simple, sans aucun verbe.
Puis Tsukiyo regarde Alix et les armes qu'elle tien dans ses mains.

-Rassure-moi, tu ne comptes pas m'assassiner avec sa?

Tsukiyo fit simplement un sourire mystérieux. Qui n'exprimait pas grand chose.