Ou comment se rétamer quand tu fait face au Diable. [Vraiment terminé je pense --']

[le temps que je comprène que c'est ce message là que tu attendais ... --']

Punition.

Daiichi.

Soufir.

Pleurer.

Desir.

Mourir.

Mourir de désir à en pleurer à en soufrir car Daiichi va recevoir sa punition.

Marya attends devant la porte. Daiichi à comis une erreur de parcourt ; elle a perdue.

C'était si simple ; juste ne rien faire ; ne rien faire, juste se comporter en adulte et liasser faire legamin, le laisser être l'enfant poli et reservé ; mais tout est perdu. Tout est perdu.

Elle entends la voix, la voix du diable ; "entre donc, condamné, entre donc recevoir la punition universel, rejoindre Satan dans la soufrance étrnelle dans els entraille de la Terre" samblait apeler la voix, la terrifiante voix, la seule qui lui est jamais inspirer de la epur, la seule qui lui ait autant donnner envie de pointer dans son oreille son indexe et de se faire soter en un fau dartifice sa propre tête, la transformant en fontaien de vin.

Il était là, assit, elle restait debout en le regardant, en regardant non pas son regard, mais le fond de cet oeil dont elle n'arrivait pas à receler la moindre trace d'humanité, la moindre trace de compassion, seulement de la folie, de la folie ... Et encore de la folie ...

Avec son autorisation, elle pris une chaise ; la séance de torture commance, priomettant des larmes et surement du sang, et toujours plus de folies ...

Est-ce le but de la Vie, de rencontrer la Folie ?

Invité

Ogawa se trouvait assis à son bureau, l'oeil fortement interesé par le rapport qui lui est présenté. Il avait eu vent de l'accident entre le jeune Daiichi Yumemaru et les infirmiers qui étaient en train de soigner Marya. Sur le moment, il avait eu un sourire narquois à l'encontre de la jeune fille, il venait de gagner le paris qu'il avait fait avec elle. Mais il n'eut pas vraiment le temps de penser à quel genre de puition le petit gaçon allait subir qu'il entendit peu après quelque chose de peu commun : Le garçon avait déployé des ailes pour "protèger" la fille.

En lisant le raport, une chose parait à présent clairement dans l'esprit d'O-yama : Il voit la dedant une évolution du pouvoir du jeune homme. Il trouvait ça fort étrange qu'un très jeune garçon avait déjà déployé son don, alors que la moyenne d'âge est de 8 ans, mais en plus si le jeune homme en question voit ses pouvoirs évoluer, ça risque d'être incontrôlale.

Soudain, pour la première fois depuis quelques minutes, O-yama retire son regard du dossier pour le diriger vers la porte. Anxiété, peur, colère, tristesse, beaucoup de sentiments négatifs sont regroupés devant la porte du bureau du directeur. Un sourire sadique se dessine sur le visage de ce démon humain. Il prend le fameux dossier et le met dans un de ses tirroir. Il donna l'ordre à la jeune fille d'entrer. La jeune Marya entre donc, d'un pas assez lent. La peur, elle était bien déssiné sur le visage de la princesse opale.

-Asseyez vous donc, ma chère. Vous êtes encore convalescente, ça serait facheux si votre état venait à s'aggraver par ma faute.

Sans faire la moindre réflexion sur son petit trait d'humour, Marya s'assied. Elle ressemblait plus à une condamnée à mort qui n'avit pas encore acceptée sont sort. Et O-yama allait jouer avec ça. Oui, il allait jouer, et en prendre un certain plaisir. Il pose ses coudes sur son bureau, croise ses doigts et pose sa tête dessus.

-Je n'aurai jamais pensé que vous réussiriez à empêcher votre "petit frère" de se faire punir durant si longtemps. Mais hélas, comme tout les enfants, il ne pouvait s'empêcher d'en faire qu'à sa tête. Vous avez dû déteindre sur lui, avec vos manières grossières et non réfléchies. Fort dommage pour vous, ma chère, mais il va devoir payer le prix de "votre" erreur : celui d'avoir oser me tenir tête.

Son pouvoir est active, il commence à lui envoyer des illusions, celle de la jeune fille.

Les ongles accrochés à la chaise, les dents enfoncé dans les levres : c'était pire qu'un viol.

Onii-san ! Onii-san ! Ikenai !
Marya-nee ? Doshite ? Ningen wa kanashi dayo ?
Shinitaku nai ... Shinitaku Nai daro !
Marya, tu est ... Totalement libre ...
Ningen daikirai.
Shinitakunai !
Ren.ai ... Ren bo ... Aijoo ... Koi.
Kanahko ! Oka-san ! Oka-san !
Des bras, un corps ... Quelqu'un ... Pour m'aimer.
Marya-nee ? Marya-nee ?
Et si il était adulte ? et si il était un peu plus vieux ?
Marya-nee Daiisuki ! Marya-nee wa, pokuno onto aa.
C'est fatigant de courir ... Trop fatigant ... Quand tu sera assez fort, que d'autre veilleront sur toi, je m'en irai.
Marya-nee Shinitaku ?
Hai.
Watashiwa ikiteru ... Ikiteru daro ne ?
Cette douleur c'est la peuve que j'existe ? là c'est un peu comme si j'était morte ? C'est plutôt cool alors, la mort ...
Anta wa daikirai ! Daikirai !
Gomen, Sempai ...
Ren.ai ... Otoko ...
Daiichi ... si tu avait été assez vieux, assez grand, assez fort ... je pesne que je me serai abandoner à toi ...

Daiichi ... Dans 10 ans, que seraq-tu ? sera-tu en vie ? Est-ce que j'aurait fait de toi quelqu'un de bien ? Est-ce que j'aurai donner un sens à ma vie ?

Pire qu'un viol. Entrer dans ses pensée les plus profondes, le splus tourmenter, vous les repasser en boucle, encore et encore ... C'est pire qu'avec le corps, mais c'est la même chose ; entrer en soi, passer, détruire au passage ... et parce que cela vous procuure du plaisir, repasser, recommencer ... tout retourner, tout déchirer ... Puis regarder le triste résultat.

Marya avait-elle crier ? Elle ne savait pas. Elle n'en savait rien. Elle ne savait plus grand chose. C'était tellement le foutoire dans sa tête ... Presque pire que la première fois. Ses bras blancs portaient des griffures rouges, comme le siege où elle était assise. Sa tête pendait lourndement vers l'arrière, suportée par le dossier de la chaise. Cette tête coifée d'une cheveulure blanche qui était à présant imbibé d'humidité, transipiration expirer dans ce moment d'adrenaline pure o son coeur n'avait faire que battre pour se dégager de son corps. Son visage presuqe aussi blanc était mainteant immobile, le seule ouvmeent étant celui des larmes qui coualit inutilement sur ses joues, débordant déjà trop dans ces yeux perles sans pupilles.

A coeur ouvert, quelle différance avec un viol ? Entrer et mettre à nu tout ses sentiments, les arracher à sa mémoire, lui mettre en plein visage ; des coups n'aurait pas pu faire plus mal. Après quelques minute de silence, Marya comenca à respirer un epu, puis beaucoup, puis elle se remis un peu plus droite, sans secher ses larmes, fit face à son agresseur, celui qui était desormais maitre d'elle même. Elle n'avait même plus envie de laisser place à sa personalitée malsaine qui prenait le contrôle dans ce genre de cas : elle restait la docile et silencieuse Marya, celle qui n'avait plus rien à aperdre, même plus la vie.

Rien à perdre sinon sa Vie, sinon ma Mort ... Me condanerez-vous à Vivre ?

But, you said : Shinitakunai ?

Invité

La scène est plus que plaisante pour le directeur, il se complait presque à ouvrir le coeur de sa victime sans état d'âme. Dpuis combien de temps ne s'est il pas amusé avec une élève comme ça? Des mois, des années, des décénies même. Il se delecte de voir le visage de la jeune fille se déformer sous la douleur de ses visions. Peu aprés, O-yama décide d'arrêter son pouvoir contre elle. Il s'adosse contre son siege, sous le regard étonné de Marya. Il prend un objet envoloppé dans un chiffon et le pose sur son bureau. Il place ensuite son regard sur la jeune fille.

-"Sans même avoir besoin de lire dans votre petite tête de linote, je devine facilement la question que vous vous posez, ma chère : Pourquoi ai-je arrêter? La réponse est très simple, j'ai décidé d'accomplir ce qu nous avions reporté lors de notre dernière rencontre. Certes, j'ai gagné mon paris avec vous, mais j'ai estimé que punir votre petit frère ne m'apporterai rien comparé à ce qui va suivre. J'ai décidé, parceque je suis le vainqueur de ce duel, d'annuler les gages. Votre petite scéance de torture nest rien de plus que votre punition pour vos actions passés.

Le petit Daiichi vient de me montrer un certain potentiel que je désire voir se dévelloper. Par conséquence, je tiens à vous faire une proposition tout ce qu'il y a de plus honnête, ma chère. Je vous laisse la guarde, ainsi que la protection de votre chèr Daiichi, comme avant, mais je ne tollèrerai aucun écart de conduite de sa part et de la votre. Et pour vous montrer ma bonne foi dans mes parôles, je vous redonne ceci."

Il déplit le tissu qui contient l'objet poser quelques instant plus tôt, découvrant ainsi l'objet en question. Il s'agissait rien de plus que le pendentif contenant les armoiries de la famille Akatsuki. La surprise se lisant pleinement sur le visage de la princesse opale. Combien de fois l'avait elle supliée pour qu'il lui rende ses affaires.

-"Vous pouvez le reprendre. Sachez que j'ai fait expertisez chacune de vos reliques et que j'en connais la valeur financière exact. Je sais que, pour vous, cette valeur n'a aucune espèce d'importance, mais pas pour moi. Je pense que je n'ai pas besoin de me faire comprendre, n'est ce pas?

Une honte sans mesure, une honte qui vous atteint quand on a pitier de vous alors qu'autrefois, c'est vous qui aviez du mal a ne pas avoir pitié des autre.

Comment avait-il ouvert le tiroir du revolver ? Surment quand il l'avait fait examiner ; oui, ça valait son pesant d'or. Materielement même, il était difficile de compter sans perdre ses notions.

Elle regarda l'objet, le prix dans ses main, ses lamres ne s'arrêtait pas. Elle ne faisait plus de bruit en respirant. Plus rien. Elle se sontentait de decrire cette petite chose, même si elle le connaisait par coeur.

Minuscule, vraiment minuscule. Poutrant ...

Elle dirigea ses yeux d'aveugle sur le directeur, ferma intensement les yeux ; non, elle n'avait même plus envie de s'hazarder à le provoquer. Il venait d'avoir pitié d'elle. La pitié. La honte. C'était ce qui se passait, lorsqu'on perdait, mais que tout était levé.

Il s'interressait au don de Daiichi. C'était sa seule raison. Elle contempla encore longtemps le petit pendentif rose, puis se crispa.

Il en est concient, il est concient que je pourrais le tuer !
Mais tu ne le ferra pas.
Parce que je doit me soumettere à lui si je veux que Daichi ait une vie meilleur.
Et ça il le sait.
Mais ... Il me fait tellement peur ...
Tellement mal ...
Je ne le turai pas. Jamais.
Pas temps que Daiichi en dépendra.

Elle regarda encore l'objet. C'était son nom. Son Nom. Akatsuki ? Non. Akatsuky.

M'inquiéterde ce que pense les autres, respecter leur pensées, leurs croyances, quitte à m'effacer moi-même ... Ce que je porte au cou en ce moment même.

Kami-sama, bouda-sama, Ameratsu-sama ...
Inai.

Être moi.

Elle arrache violement le pendentif des religion, deux fois plus gros que l'autre, et place ce dernier sur son ras-de-cou. Elle attache, fixe, bloque. Elle met l'autre dans sa main gauche, tends le bras.

Pensez au autres, ok ... Mais je ne veux pas que ça m'empeche d'être moi.

Un bruit court, sourd, aigu, pratiquement inaudible. en moins d'un demi-seconde, il n'y avait plus qu'un pendentif dans la salle.

Être moi, exister, vivre peut-être ... Le temps que je suis ici, je dois être, et être forte.

Sa main se détend, laisse passer de la pousière qui s'évapore. Elle baisse les yeux, met ses main sur ses genoux.

Même si je dois obeir, je le ferai en étant moi. Car au fond ...

La douelur de ses souvennir commence à peine à s'appaiser, elle restera pendant longtemps.

Shinitakunai.
[Je ne veux pas mourir]

-Arigato ... Ogawa-sama.

Je serai. Je serai. Et tu sera avec moi. Et pour que tu sois, je deviendrait forte, je ne m'effacerai plus, même pour respecter une vie.

-Je ferrait ce qu'il vous plaira. Avez-vous autre chose à me dire ?

Invité

Un remerciement, soufflé tel un murmure, presque inaudible sous certaine condition, mais parfaitement clair et préscis dans le bureau du directeur Ogawa, surtout quand il se trouve qu'il n'y a que deux personnes dans cette dîte pièce. La jeune fille avait enfin reconnu la puissance du directeur, après quelques épreuves fortement pénible pour elle (Et oui, je marque bien pour elle, car le dirlo, sadique en puissance oblige, en prend énormément de plaisir.) "Une connaissance acquise sans souffrance est sans valeur", voici la philosophie qu'aime appliquer O-yama, et il l'applique avec beaucoup de conviction. (Règle n°3, si le directeur vous frappe avec le fouet, ce n'est pas pour faire mal, mais pour détendre le cuir).

La princesse opale regarde sans aucune crainte le bourreau qui se trouve en face d'elle, un visage dépourvu de sentiments, comme elle a l'habitude de montrer au gens qu'elle fréquente.

Marya# Je ferrait ce qu'il vous plaira. Avez-vous autre chose à me dire ?

-Bien entendu, en ce qui concerne votre ancienne punition, celle que vous auriez dû avoir lors de notre dernière rencontre, nous allons décider de votre sanction sur le sujet. J'applique une règle fort simple utilisé par les américains : Je ne juge jamais deux fois une personne pour le même crime. Vous n'avez plus à vous inquiéter sur ce sujet, vu que vous avez subit une "scéance" assez éprouvante, votre punition sera on ne peut plus simple.

Pour commencer, je crois, selon mes sources, que vous connaissez la personne qui se trouve dans le dossier ici présent

O-yama déplace un dossier en face de lui et le place exactement en face de Marya. La beauté blanche ouvre fébrilement le dossier et montre sans retenu sa surprise en voyant le visage de la personne sur la photo du dossier. Le directeur comprend que ses information son bien fondé et qu'il peut donc faire la demande qu'il désire confier à Marya.

-Kenshiro Tokisei, lycéen en dernière année dans l'établissement. Sa maîtrise est celle du temps, et semble être capable de le contrôler sans réel difficulté. Je ne l'ai rencontré qu'une seul fois et je le trouve fortement désagréable. Il influence grandement une collégienne qui se trouve faire partie des S.A. et ça ne me plait guère. Mais, comme le reste des élèves, il n'est pas un danger pour ma personne.

Mais le développement des pouvoirs de votre petit frère me boulverse assez, pour être honnête. Et le rapport entre ces deux jeunes gens vient juste du fait que je ne désire pas voir les pouvoirs du jeune Tokisei évoluer en quelque chose de plus puissant, déjà que la maîtrise du temps est un pouvoir assez élevée et très rare.

La seul chose que je vous demande, c'est de me tenir informé de sa santé et de ses capacités. N'oubliez pas que je ne vous donne pas le choix. Et vous ne devez en parler à absolument personne, encore moi à Tokisei Kenshiro. J'ai des yeux et des oreilles partout, et le fait de me trahir vous couterai très chère.

Une discution semble s'instorer ; semble, car en réalitée, cet homme lui donnait juste des ordres ; donner un information et vous demandez d'apliquer un comportement, ce n'était rien de plus qu'uin ordre ; vous adresser la parole comme si on vous demandait une faveur poliment alors que vous n'avez aucun droit ded refuser, c'est aussi un ordre.

"... Pour commencer, je crois, selon mes sources, que vous connaissez la personne qui se trouve dans le dossier ici présent."

Il pose la main sur un tas de papier sur le bureau et le met en valeur devant elle, lui intiment l'ordre de regarder. Marya tend faiblement la main et obei resignement, sans changer d'expression toutefois. Mais dès que la page fut ouverte, Marya ferma les yeux et les réouvrit, puis, n'ayant pas assez de force pour cacher ses pensé, les ses sourcil se froncé naturellement. Elle referme les yeux et respire.

Onii-san !

-Kenshiro Tokisei, lycéen en dernière année dans l'établissement. Sa maîtrise est celle du temps, et semble être capable de le contrôler sans réel difficulté.

Il est vrai que Kenshiro semblait être tout a fait maitre de ses capacitée, même s'il n'avait pas aprit ici comment s'en servir. De ce fait, il était évident qu'il se soit forger sa propre opognion sur la chose.

-Je ne l'ai rencontré qu'une seul fois et je le trouve fortement désagréable. Il influence grandement une collégienne qui se trouve faire partie des S.A. et ça ne me plait guère. Mais, comme le reste des élèves, il n'est pas un danger pour ma personne.

Les doigts de Marya se refermère sur le dossiers, son visage reprenait le masque.

Usagenda ...
[Arrête de plaisanter]

-Mais le développement des pouvoirs de votre petit frère me boulverse assez, pour être honnête. Et le rapport entre ces deux jeunes gens vient juste du fait que je ne désire pas voir les pouvoirs du jeune Tokisei évoluer en quelque chose de plus puissant, déjà que la maîtrise du temps est un pouvoir assez élevée et très rare.

Il veut ... Le limiter ? Et pour Daiichi ... ?

-La seul chose que je vous demande, c'est de me tenir informé de sa santé et de ses capacités. N'oubliez pas que je ne vous donne pas le choix. Et vous ne devez en parler à absolument personne, encore moi à Tokisei Kenshiro. J'ai des yeux et des oreilles partout, et le fait de me trahir vous couterai très chère.

Sans blague.

Le resumer de la situation était simple ; Marya avait profondement envie de lui en mettre une. Une seule. Un bon coup de poing en plein dans la figure. Rien de plus. Mais ce n'était pas ça qui allait régler son cerveau détraqué de tueur sadique, aussi, calmons nous.

Alors le cerveau de Marya cette fois se transphorma en magnetophone. Enregistrer l'ordre, l'apliquer dans la mesure du possible. Elle allait devoir jouer double jeu ; Seshuu ... Et le directeur. Rien ne l'empechait de faire les deux.

Le puzzul se mit dans la tête de la princesse sans royaume, puis s'arrêta brusquement sur un détaille.

-Lovely ... Sempai ...

Si seulement ç'avait pu être inaudible ... Mais il avait surment entendu.

Lovely-sempai ... Gomen.

Encore une fois, je vais te retirer celui que tu aimes ... Pardon. Pardon.

Marya ferma les yeux, respira.

-Wakalimashita. [bien compris]

Elle regarda le dossiers de son ainé, puis demanda ;

-Puis-je obtenir une copie de ceci pour le lire ? Ou bien est-ce innutile ?

Marya, résignée, avala sa salive et ferma les yeux, la tête baisée, soumise.

Il y a des fois ... Où être Akatsuky me plait mieux ...

Invité

La jeune fille avait reprit son visage impassible face au directeur et semblait reflechir rapidement. O-yama semble penser qu'elle mesure le pour et le contre de cette histoire, ce qui est bienplus que normal dans un sens. Si elle accepte la mission, elle trahit un ami qui lui fait confiance, mais le directeur ne lui à juste donné comme directive de surveiller l'élève en question, rien de plus. De toute manière, il la lui a dit : elle ne peut pas refuser cette mission.

Kenshiro Tokisei, l'un des rares élèves sur qui il n'a aucune influence direct, ni aucune emprise. Le directeur peut utiliser les blessures psycologiques des élèves afin de les brisser, mais Kenshiro n'en possède quasimnt aucune. Sa phobie du feu et des eaux profondes ne compte pas dans ce genre de contexte. Ce jeune homme n'a subit aucun traumatisme dans sa vie, ce qui rend le pouvoir du directeur complétement inutile, et O-yama n'aime pas ce genre de situation.

Soudain, Marya souffle un nom, sans vraiment y faire attention, celui d'Ayumi Lovely. C'est justement d'elle qu'O-yama tente d'éloigner de Kenshiro. Il avait entendu dire d'étrange rumeur, comme quoi ils seraient très proches l'un de l'autre. Il ne désire pas voir cette jeune fille retrouver une certaine sérénité, du moins tant qu'elle se trouve dans les S.A.

Il repense à ses propres paroles et refléchit à la pire des situations. Le pouvoir de Kenshiro est puissant et rare, mais il ne possède qu'une courte durée d'utilisation de ses pouvoirs. Si les pouvoirs du jeune homme venaient à évoluer au delà, il se put que Kenshiro deviennent totalement incontrôlable. Même si Matsuri garde un oeil sur lui, rien n'est jamais sur, et il supprimera le problème à la racine si il le faut. Ce qui signifie simplement la mort du jeune homme.

De quelle manière, il l'ignore encore. Pas facile de tuer quelqu'un qui peut revenir dans le temps. Il y reflchira plus tard. Aprés tout, le risque que ses pouvoir évoluent sont minime

Marya# Puis-je obtenir une copie de ceci pour le lire ? Ou bien est-ce innutile ?

-Je refuse de t'en faire une copie. Tu es juste passé pour recevoir ta punition et rien d'autre, c'est clair?. Je ne t'ai jamais demandé quoique ce soit d'autre. Tu n'as pas besoin d'avoir un dossier scolaire, surtout que je te demande juste de surveiller les agissements de Kenshiro, et savoir si ses pouvoir évoluent ou non. Je te convoquerai d'ici deux semaines pour me tenir informé de la situation. Rien de plus, rien de moins.

-Très bien.

Baffe mentale. Une autre. Il fallait vraiment qu'elle reprène l'habitude de ne rien dire de trop. Il était temps pour elle de faire jouer en sa faveur ses capacité.

Récapitulatif rapide ;

Daiichi était sauf. Daiichi avait jsute à bien se conduire, ce qui n'était guerre difficile puisque le petit était un vrai ange. Un pue décaler certe, mais temps que Marya ne ferrait rien, lui non plus. Elle n'avait pas le choix, elle devait juste faire comme ce qu'elle faisait jusqu'a présant s'assurer que tout allait bien. Même si le matin même, ils s'étaient disputter, elle savait qu'il ne lui faudrait pas beaucoupde temps pour lui faire comprendre tout ça.

Daiichi n'est pas puni àcause de son don. Marya choisi de ne pas faire part au directeur de la théorie de la porte entre le mode des reflets, car il était peu judicieux de lui donner autant d'undormation sur l'enfant. Profitons du fait qu'il ai d'autre chats à fouetter.

Petit deux, Kenshiro. Elle était mal sur ce coup. Le suveiller ne serait pas difficile, il suffirai de se comporter comme une amie en espérant qu'il ne lui en veuille pas pour le coup de la St Valentin, lui parler souvant, le suveillé quoi. Ce serait aussi utile pour Seshuu alors ? Marya n'avait qu'une peur ; en faire une des étoiles auxquelles elle tenait tant ; chacune des petites étoile dans son ciel. Kenshiro ressemblait beaucoup trop à ... Pour qu'elle ne s'attahce pas à lui. Bref, c'était pas gagner côté culpabilité, mais sur ce coup, il vallait meiux se dire "On s'en remettra, c'est pas pour tout de suite, je ne vais pas le trahir non plus". Même si ce n'était qu'un grosier mensonge. Il vallait mieux penser aux présant. Rien d'autre.

Tout ça ... Pour Daiichi ?

Marya s'inclina et se leva, puisqu'il semblait que le sujet était clos. Elle se dirigeait vers la porte lorsdque des mots sortirent de sa bouche sans qu'elle ne le veuille vraiment, tiré de sa reflexion rêveuse.

-Je me demande combien de temps cela fait ... Que vous suporter ça ...

Il ne pouvait pas comprendre de quoi elle parlait. Pas entièrement en tout cas.

-Je n'ai pas encore vraiment commancer que je suis déjà épuisée ...

Les yeux dans le vide, un air de nostalgie sur le visage.

"Par contre, le grand monsieur il fait vraiment peur ... C'est tout noir, comme si il était née avec, et la taille est effrayante, comme si il avait vécu plusieurs vies ..."
"Mii-nee ... Tu connais l'âge du Papa ?"
"Ogawa-sama desu. Odo-san janai."
[Ce n'est pas Papa/père]
"Hai ..."

Vivre plusieur vie ... Comment d'autres y arrivent alors qu'elle est déjà érinter avant d'avoir commancé la sienne ?

Marya ouvre la porte, avaisse légèrement la tête et sort. Referme derrière elle. Dans le couloir, elle s'éffondre et respire de manière sacadée.

C'était fini. Enfin fini.

Invité

La jeune fille prend alors la direction de la sortie, accpetant la mission que le directeur viens de lui confier. La peine qu'elle ressent à trahir un ami est perceptible, même si elle n'est pas aussi intense qu'espérée par le directeur. Elle parle pour elle même, demandant comment le directeur pouvait supporter tout ça. La question est à deux sens, parlait elle de sa fonction de directeur, ou bien du sens même de la vie. Mais quelque soit la cible de la jeune fille, aucune réponse du directeur ne pourra lui apporter la vérité et la paix dans son âme.

Mais durant un court instant, vraiment court, il entraperçut un visage dans le passé de Marya. Le nom de Kenshiro lui vint alors à l'esprit, mais ce n'était pas lui. Et même, les pensées de la jeune fille sont différentes que de l'amitié simple. Mais qui était ce personnage qui est apparut telle un fantôme dans l'esprit de la princesse blanche? Voilà une question que le directeur aimerai avoir des réponses. Sans se hâter, il prend de nouveau le dossier de Maria et relit un certain passage. Il soulève un soucile de surprise, mais reste néanmoins calme. Refermant le dossier, il s'affèse dans son fauteuil, l'air pensif.

-Kenshiro Tokisei, ça fait bien longtemps qu'un individu ne m'avait pas demandé autant d'effort pour le soumettre à ma volonté. Il vaut mieux pour toi que tu reste tel que tu es, car dans le cas contraire, je me verrais obliger de te soumettre, et ça ne se ferra pas sans douleur.

Oui, la souffrance que subira Kenshiro si il venait à évoluer. Meurtrir son corps ne le sastisferai aucunement, son âme aussi doit voler en éclat avant de souffler son dernier soupir. Il avait déjà trouvé le bourreau de sa sentance, et il s'agit de la pire personne dans ce monde. Il ne restait plus qu'à convaincre cet personne de faire cette besogne.

-Les humains sont si facilement manipulable. Une fois qu'on sait comment les manipuler et les utiliser à son avantage, absolument rien ne vous arrive en retour.

[Une semaine plus tard ... →X←]

et Vive les dégat croyez moi ^^'

En tout cas, non ça ne sert à rien de lire plsu bas, même ce commantaire est totalemnt inutile, débile et dépouvue de sens à part vous dire par cici la suite et me rajoutter un message pour rien ^w^- [flood POWA !]

Invité

[Désolé d'avoir mis trois plombes avant de répondre, mais bon, j'ai eu un week end et début de semaine chargé.]

Une semaine avait passé depuis que le directeur Ogawa avait chargé Marya de surveiller l'élève Kenshiro Tokisei. Après avoir réfléchi à toutes les posibilités, et imaginés tout les scénarios possibles et inimaginables, il n'attend rien d'autre que le retour de la princesse blanche pour savoir qu'elle solution choisir. Il espère simplement que la jeune fille va lui annoncer que ses peurs envers le jeune homme sont sans fondement, et que le cas de Daiichi est vraiment à part.

Seulement, pour une raison qu'il ignore, il ne peut s'empêcher de rêflechir à ce problème sous toutes ses coutures. Il est obnubilé par le cas de cet élève. Bon, il est vrai que plusieurs autres élèves sont comme le cas de Kenshiro, mais aucun ne possède un pouvoir aussi puissant que celui de la maîtrise du temps. Mais pourquoi, parmis les centaines d'élèves, seul celui ci réussi à capter son attention à ce point.

De plus, maintenant que son attention n'est dirigé qu'envers cet élève, il est moins prudent que d'habitude. Plus d'une fois, il a constaté que son bureau à reçu la visite inopiné d'élève, mais sans jamais avoir trouver le moindre indice sur ces indésirable visiteur nocturne. Il doit retrouver sa stabilité d'avant, car il risque d'en subir des conséquence assez pénible, et il a horreur de ça.

Soudain, on frappe à sa porte, retirant le directeur de ses profondes et intenses pensées. Il ordonne d'une voix peu amical.

-"ENTREZ"

La porte s'ouvre, montrant alors l'invitée qu'il attendait avec une certaine impatience. Marya arrive devant lui, assez lentement, et se place en face de son bureau. Elle possède un dossier dans les mains. Le directeur se redresse et parle d'une voix un peu plus calme, essayant de le garder par tout les moyens.

-"Ah, ma chère Marya. Vous avez pris votre temps pour venir jusqu'à moi. Enfin, mieux vaut tard que jamais. A présent, qu'avez vous à me dire au sujet de votre "ami"."

Marya lui tend le dossier et commence à parler de sa fillature envers Kenshiro. Il écoute avec une grande intention les paroles de sa jeune espionne. Malheureusement, ses craintes, bien que plus minimes qu'apparavant, sont belle et bien fondées. Seulement, les pouvoir de Kenshiro semble se dévellopper assez lentement comparé aux prévisions du directeur, ce qui lui offre une chance de sauver la mise. Il tourne son visage envers la jeune fille face à lui.

-"Êtes vous certaines que ce que vous venez de dire et d'écrire dans ce rapport est réel? Je ne met pas votre parole en doute, mais comprenez que la situation est assez grave pour que j'intervienne moi même. Et je ne tiens pas à y laisser des plumes, car si c'est le cas, les votres tomberont aussi."

Quand Marya débita son texte (Imprimente le retours /sbaf) Elle parla d'un ton mort ; Elle évoqua l'évolution lente, de quelques seconde, du pouvoir de son ami, se contenta d'expliqué d'un air totalement détachée ce qu'elle avait vu. Elle était tendue, certe, mais cela se passait mieux dans sa tête qu'il y a quelques seconde avant d'entrer dans cette maudite salle.

-"Êtes vous certaines que ce que vous venez de dire et d'écrire dans ce rapport est réel? Je ne met pas votre parole en doute, mais comprenez que la situation est assez grave pour que j'intervienne moi même. Et je ne tiens pas à y laisser des plumes, car si c'est le cas, les votres tomberont aussi."

Marya retint un frison ; que Lui intervienne ? C'était mort, totalement mort. Ken allait découvrir le pot-aux-roses, et elle risquait de se faire plumer par cet homme. Marya se contenta de dire d'une voix aussi monochrome que la carroserie d'une voiture neuve gris métalisé :

-J'en suis certaine ; je verrifie toujours, et il est impossible que j'omète un détaille, même si je le désirai, je recracherai immediatement l'information avec les autres concernée.

Elle n'avait pas vraiment besoin de le dire, il savait pour ses capacitée qui la changeait en ordinateur dès q'elle rendait une information ; un vrai magnéto.

-Tout y est. je pourrait aussi vous donner les feuille sur lesquelles j'ai incrits le contenue complet de son déjeuner d'hier, mais je ne pensepas que ça vous interesse.

Marya n'arrivait pas vraiment à se sentir à l'aise. Cet homme était la seule personne par laquelle elle pouvait se sentir effrayée, et pourtant elle savait très bien qu'il suffirai de lever la main ...

Marya détourna imperciptiblement la tête, ses yeux se fermèrent. Ce n'était pas le moment de penser à ça. Elle ne turai plus personne, et surtout pas celui dont dépendait la vie de Daiichi. Sans lui, ce serai l'avarchie ici, et Daiichi ne pourrait plus vivre en paix. Ce n'était pas question d'aprécier ou de hair ; elle avait jste peur, elle sentait qu'il pouvait arriver n'importequoi. Elle essayait de se contenir, mais il était impossible qu'il ne ressente pas cet sensation de pouvoir qu'il avait sur elle, alors qu'elle pouvait palper l'air ambiant tant il était écrasant, n'était moi concencer que vers le cou du directeur.

En 8 sencondes, il est décapité.

Marya réouvir les yeux sans pour autant regarder son interlocuteur, les yeux fixé sur le bois de la table. Elle n'avait qu'une envie ; sortir pour que cette angoisse s'envole rapidement.

-Voulez-vous autres chose ou ai-je une autre directive à suivre en ce qui le concerne ?

Marya voulait juste savoir si elle était obliger de changer de tactique ; pour l'instant, elle pensait juste empcher Kenshiro de trop s'aprocher d'Ayumi, bien qu'elle ne l'ai jamais empecher de la voir pendant la semaine précédante. Elle le ferai plus tard, quand il ne pourra pas faire le lien entre leur discution et le fait qu'elle le separt d'Ayumi. Passer du temps avec lui, voir son pouvoir évoluer, tout déballer à Ogawa, c'était tout ce qu'il fallait pour l'instant non ? C'était bien tout ce qu'il voulait ?

Oniisan ... Aniiki ... Aniiki ... Koaï ...
[J'ai peur]

Invité

Ogawa n'avait pas besoin d'en demander plus. Il sait très bien que la petite fille en face de lui n'osera pas lui mentir sur ce qu'il lui demande et le dossier semble être vraiment complet et ce malgré l'absence du papier concernant le repas du lycéen nommé peu avant et qu'Ogawa n'avait vraiment rien à faire. Ainsi, ses craintes semblent belles et bien fondées concernant le jeune lycéen, mais un détail semble avoir attiré son attention et rend alors les craintes moins effrayantes. Le don de Kenshiro semble évoluer, mais également une forme de contrepartie affaiblissante. De plus, l'examen fait par sa femme, l'infirmière, concernant le jeune homme confirme aussi les dire. Mais pour Ogawa, cela ne ressemble ni à une bonne nouvelle, ni à une mauvaise.

Marya# -Voulez-vous autres chose ou ai-je une autre directive à suivre en ce qui le concerne?

-Inutile, ma chère. Autant vous dire que je n'ai plus besoin de vos services et que vous avez payé votre dû concernant notre ancienne affaire. Ne vous inquiétez pas concernant l'affaire de Kenshiro. Les derniers evenements m'ont indiqué que je n'avais plus besoin d'agir à l'encontre du jeune homme. Seulement, je ne vous autorise toujours pas à réveler à quiconque ce que je vous ai ordonné de faire.

Ogawa avait insisté sur la dernière phrase prononcée. A présent, même si la surveillance du jeune Tokisei reste toujours active pour le directeur, ce dernier peut s'occuper sans craintes d'autres affaires urgentes. Il prend le dossier et le rapport reçut par Marya et le range dans un tirroir de son bureau, qu'il ferme par la suite à clef. Il se tourne à présent vers la jeune princesse opale pour enfin en finir avec elle.

-A présent, ma chère Akatsuki, comme je l'ai dis avant, vous n'avez plus à surveiller le jeune Kenshiro Tokisei et vous pouvez retourner vaquer à vos occupations, si vous en avez bien entendu. Mais n'oubliez pas une autre chose, ma petite. Ce n'est pas parceque je vous ai pardonné une fois que je le ferait systématiquement. Je ne tiens pas à entendre parler de vous avant un bon moment, sauf si c'est en bien , ce que je doute énormement vu votre comportement et votre caractère. Avant que vous ne sortiez, avez vous encore une chose à dire? Si ce n'est pas le cas, veuillez sortir.

[Hrp]Petit post, plus de 2 semaines d'attente, une seul chose à dire : Je suis désolé

Stress permanant à lui parler ...

Enfin un peu libérer de la pression ...

-Je comprends ... Mais en ce qui concerne ...

Elle n'osait pas vraiment le dire, c'était trop brutal ... Beaucoup trop.

-Lovely-sempai ...

Etait-elle obliger de le séparer d'elle ? Evidemment aparemment, Marya était maintenant libre d'ignorer son grand frère. Mais Ogawa serait-il entièrement d'accord pour le laisser prendre sa précieuse SA ? Pas si sur. Mais il venait de lui dire de faire ce qu'il lui plaisait maintenant. Alors que devait-elle comprendre ? Arrêter de le surveiller entièrement ? Où bien arrêter de venir lui raporter ce qu'elle entendait ? Bien sur qu'il n'avait plus besoin d'en entendre sur son don et lui-même, mais devait-elle essayer de le séparer d'elle ?

En fait, elle n'avait pas vraiment envie que Kenshiro et Ayumi restent ensembles ; elle savait que ça allait vite leur retomber dessus. Elle n'avait pas besoin qu'Ogawa lui demande, c'était évidant. Ils allait soufrir tout deux, mais qui sait combiens plus ils soufrirons lorsque le directeur lui-même s'en occuperait ? Se permetterait-il de torturer Ayumi comme il l'avait fait avec elle ?

Si Ayumi-semapi soufre ... Kenshiro aussi ... C'est plus logique et moins dangereux ... De les séparer ...

Marya pensait tout seule, elle avait juste ... Comme une aprhéhention pour le futur. Elle allait surment ...

Puis de sa mémoir revint cette dispute ; une mise en scène que Marya croyait prèsque ; elle n'éprouvait aucun soulagement à savoir qu'il jouait la comédie dans ce moment ; Ogowa, même en la lisant, ne pourrait pas comprendre.

Car elle n'était pas heureuse.

Tu as raison, imoutosan, je suis un imbécile pour ne pas l'avoir compris plus tôt.

Des mots, comme des coups de poiganrd ... Il n'y a que les hommes pour soufir tant des mots.

Et tu as raison aussi en disant que je ne te suis pas indispensable et inversement. Mais si tu tiens tant à le prendre comme ça, alors ce que tu viens de nous dire ici et maintenant sont les dernières choses que l'on_ a à se dire. Je ne suis pas quelqu'un de rancunier, mais j'ai horreur que l'on me prenne pour une nouille. Parce que malgré tes belles paroles et tes excuses, je sais qu'il y a autre chose, et je saurai_ quoi. Maintenant, si tu n'es plus capable de me faire confiance, alors tu peux retourner d'où tu viens. Daiichi doit sans doute être en train de t'attendre.

Uruse, Aniiki ... Uruse ...

Elle releva la tête, histoire d'entendre ce que le patron avait-a dire, s'attendant à ce qu'il lui demande de sortir.

Si j'arrête pas tout de suite d'être ici, je vais péter un cable.

Invité

Ogawa s'attendait plus à voir la jeune collègienne partir au plus vite lorsque le directeur lui à donné l'autorisation de sortir du bureau. Mais contrairement à ses espèrance, elle est restée face à lui, comme si elle n'avait pas terminée aver le directeur. Un nom vient sort alors de la bouche de la poupée de marbre, hésitante à le dire mais l'exprimant tout de même en balbutiant un peu. Un nom qui relie également le problème concernant Kenshiro Tokisei, pour ne pas dire que c'est un tant soit peu le facteur déclenchant : Ayumi Lovely.

Il ne voit pas vraiment pourquoi la jeune fille s'interesse un tant soit peu à la jeune animorphe. Enfin, il s'en doute néanmoins un peu, mais cet interet soudain pour la jeune Lovely reveille une certaine curiosité qui aurait peut être mieux fait de ne pas exister. Il s'adosse contre son siège et toise avec un regard amusé la jeune Akatsuki, qui semble soudain perturbé par des profondes pensées.

-Ayumi Lovely? Ah oui, je me rappel maintenant vous avoir parlé qu'elle et Kenshiro avait une certaine affinité ensemble et que je trouvais cela génant. Mais, après quelques journées de reflexions, ainsi que plusieurs conseilles avisés d'une personne de confiance, j'ai décidé de les laisser faire. J'y ai vu mon interet à ne pas intervenir dans cette "relation". Si vous avez commencée à "intervenir", je vous laisse libre arbitre pour continuer ou arrêter. Peut être avez vous eu des projets concernant ce détail. Néanmoins, je ne désire pas être impliqué dedans, mais j'aime bien que l'on prenne des initiatives sur mes préocupations.

La jeune fille ne montre aucun sentiment, comme à son habitude, il véritable statuette de marbre impassible, mais pourtant très belle. Néanmoins, il semblai percevoir, durant un cour instant, quelque chose dans le regard de Marya. Il ignore si c'est de la joie, ou de la deception, et il se dit que cela ne lui servira à rien de le demander directement.

A propos, maintenant que nous en parlons. Je ne vois noté sur votre rapport que Kenshiro Tokisei et miss Lovely ont que peu de moment ensemble. Est-ce une omission de votre part, ou y a-t-il quelque chose qui s'est passé entre eux et dont j'ignore l'existence?

-Non, il sont tout deux très occupés par leurs activitées respectives.

Et Ayumi l'avait un epu éviter pendant un certain temps ...

Effectivements, ils ne passait pas beaucoup de temps ensemble. Ayumi sortait parfois, mais elle était tout de même assez surbooker. Quand à l'autre idiot de frère, et bien il s'entrainait tellement avec son Don qu'il aurait pu oublier l'existance du monde. Quoique, en ce moments, il allait devoir arrêter cette utilisation intensive, vu les petit problèmes engendrés ...

Marya eu comme une espèce de stresse s'ajoutant à la tenssion déjà présante en la salle ; allait elle juste continuer, histoire de s'assurer que si Ayumi se faisait prendre, elle soufrirait seule ? Ou bien se dire que cela ne la concernait plus au risque qu'Ogawa ait un prétexte pour faire du mal à son grand frère ... Etrangement, elle ne savait plus trop quoi faire ; son instinc lui disait une chose incompréhansible, sa logique calculatrice elle était très clair :

Empèche les de se faire prendre.

De plus, le directeur avait été on ne peut plus clair ; ça l'arrengerai, mais il ne veut pas se salir les mains. C'était bien simple à comprendre. Et puis c'était plus facile de aire des sous entendu comme le fond tout les participant aux hautes sphère. Elle savait y faire, elle aussi, résultat d'une vie où elle était destinée à être le centre administratif, pour ne pas dire le pouvoir lui-même, dans un environement où létiquette primait déjà bien fortement.

C'était dit. Elle avait jsute à se la fermer et agir en ce qu'elle croyait le mieux pour tous. Tous, moins Ayumi. Ayumi était génante. Ayumi ...

Raisonnement sordide qui fleurisait dans son esprit, bien vite effacer. Ayumi aussi était quelqu'un. Elle n'était pas mauvaise, même pas argneuse ~~[Juste un puu possessive]~~. Alors pourquoi la laisser soufrir ? De toute manière, Si elle pouvais ne pas se faire prendre aussi ...

Les raisonnements s'embrouillait dans la tête de Marya, entravé par la pression exterieur ~~(Ogawa+bureau+plein pouvoir+je vais le tuer)~~ elle finit par baisser la tête.

-Itsure ishimasu.

Elle se leva de son siege, déroula sa colone pour finir droite, face à lui. Elle se pencha encore, puis se dirigea vers la porte. Elle caressa tout en marchant le pendentif en croissant de lune et en fleur de cerisier. Être elle même ? Être forte ? A la hauteur ?

Je protegerai Daiichi ... Et tous les autres ... tant que je le pourais ...

Un jours de plus ... Et jusqu'a la fin.