Je te suis, te suis ... Mais jamais ne te dépasserai. [Clos]

Un grand soleil, un ciel dévoilé, un temps radieux.

Des arbes verts, des clairères, des fleurs, des couleurs.

Des rires, des chants, du soleil encore.

Une larme poignard, dans un coeur qui se demande :

Pourquoi je le laisser partir ?

Marya n'avait pas le temps de rêvasser pour Daiichi qui ne lui parlait plus. C'était normal, elle n'allait pas lui en vouloir de s'énerver de temps en temps ; c'était un enfant.

Marya n'avait poas non plus le temps de regarder l'herbes verdoyante et les arbres en fleurs ; pas le temps de s'attarder à ecouter le chant de l'oiseau qui prenait son majestieux envole pour le ciel embeli tachée de nuages, coton blanc dans lequel beaucoup aurait pu se plonger avec plaisir s'ils avaient été dans anges. Marya n'avait pas le temps d'entendre et de voir, Marya écoutait et regardait quelque chose de bien moins joyeux.

Elle s'éforcait à se concentrer sur le bruit des pas, pas sur le coeur qui bat. Elle s'éforcait de ne regarder qu'un élève marchant droit devant lui, et pas un ami ou une quelquonque connescance. Marya suivait, Marya se forçait ; c'était son rôle maintenant.

Marya avance, dans son esprit, rien ne traverse sa bulle. Elle continue de marcher, de détourner son chemin en cas de regard imprevu vers l'arière de la part du jeune homme. Puis elle recommance. Elle avait envie de reflechir à beaucoup de choses, certaine qui au par avant lui aurait paru "inutile". Mais elle le voulait maintenant ; et c'est maintenant qu'elle voulait du temps pour y penser qu'elle en manquait.

Daiichi. Chi. Haruna.

Ayumi.

Kenshiro Tokisei.

Kenshiro était celui qu'elle devait suivre, celui dont elle avait besoin d'éloigner une SA, elle avait besoin de les séparer.

Pas elle. Ogawa.

Marya dévia la route pour se retrouver en parallèle. elle marhait un peu en retrait, un peui plus vite. La plupard du temps, elle était cacher par l'ombre d'un arbre ou d'un bosquet. Elle n'approchait jamais à moins de 9m. Elle pouvait l'entendre distinctement à cette distance, mais elle ne pouvait le voir avec autant de précision.

Distance 10.5 m ... Pulsation par seconde 8, rhytme du pas 6km/h. Normal, aucune oinquiétude detectée.

Les donnés n'arrêtait plus de se modifier. Elles ne cessait de refaire les calculs dans sa tête. Pour l'instant, il ne semblait pas avoir remarquer sa presance, quoi qu'il marchait étrangment vite. Bientôt, ils furent loins des centres d'occupations de la plupard de sélèves. Marya pouvait au loin entendre cette cascade qu'elle aimait tant. Mais ce n'était pas le ment de penser à ça. Son attention repris le jeune homme qui allait plus vite, avec un trajectoire étrange. Ses battements de coeur commancait à accelerer, il commancait à tourner autours du point où se trouvait Marya.

Yabe.

Marya s'arrête soudainement et monte dans un arbre, le plus haut possiblle, et s'allonge contre une grande branche bien toufue pour se cacher.

Imbécile, pourquoi je fait ça ?

Ele s'imobilisa totalement quelque seconde, n'entendait plus rien. Les yeux fermé, elle sonde la forête à la recherche de quelque chose. Puis brusquement, les bruits simultanés retentissent :

Une branche qui crisse, une mai qui s'accroche à une autre, un battement de coeur juste au dessus d'elle.

-Ça tu vois, c'est le meilleur moyen de me faire faire une criose cardiaque.

Elle avait sursauté, une main sur le coeur. Elle ouvrit les yeux.

-Ton don à de quoi faire flipper, fait gaffe.

Kenshiro avait décidé de resté seul, depuis quelque temps. Pas seulement à cause des examens qui arrive bientôt, mais aussi du fait qu'il ne se sentait pas en grande forme. Le gai-luron de service ne semblait pas d'humeur à partager sa "joie de vivre" avec les autres. Il restait dans sa chambre presque tout le temps quand il n'allait pas en cours ou au refectoire. Aujourd'hui, il décide de prendre un peu l'air pour changer et éviter de se transformeren ermite.

Le parc était le lieu le plus approprié pour se changer les idées. Tout en marchant, il essaye de comprendre certain problème personnelle qui le tourmente, tous lié à son don de maîtrise du temps. Il avait remarqué depuis quelques temps qu'il pouvait augmenter, de quelques secondes, la durée d'utilisation du temps. Ca ne lui est jamais arrivé, depuis le jour où il a découvert son pouvoir jusqu'a aujourd'hui. Sa durée d'uilisation à toujour été de 30 secondes, ni plus, ni moins. Cette extension ne lui annonce rien de bon dans un sens.

Soudain, alors qu'il marchait, il avait la désagréable sensation d'être suivit et observé par quelqu'un. Il se retourne soudain mais ne voyait personne. Il avance alors vers une cascade, celle où il avait rencontré Marya. Il fesait plusieur mouvement étrange, accélerai, tournait autour d'un arbre jusqu'à ce qu'il ai la certitude d'avoir coincé la personne.

IL l'entend malgré tout grimpé dans l'arbre, pesait elle sans doute se trouvé hors de vu du jeune homme. Grave erreur, surtout qu'il avait entendu les pas de l'observateur grimpé. Il relentit le temps et grimpe à son tour pour voir à quoi elle ressemble. Il fut énormément surpris de voir que c'est Marya qui le suivait. Il se place alors au dessus d'elle, elle fut également surpriseét gêné de voir qu'elle fut découvert.

Marya# Ça tu vois, c'est le meilleur moyen de me faire faire une crise cardiaque. Ton don à de quoi faire flipper, fait gaffe.

-Et pourtant, ma chère, ce n'est pas mon attention de te faire peur. Même si j'avoue que j'ai également eu une peur lorsque je me suis apperçut que l'on me suivait. Tu as de la chance, car si ça avait été une autre personne, je ne lui aurait pas donné chère de ses dents. Sinon, comment va tu depuis la dernière fois.

Kenshiro avait parlé d'un ton assez distant, qui ne lui va absolument pas. Mais il devait avouer que la dernière fois, Marya l'avait mis dans une situation fort désagrable.

Si Marya le pouvait, elle aurait rougit. C'est vrai que depuis les 2 mois qui avaient passer, elle avait tenter de s'excuser auprès d'Ayumi, mais ce n'était en rein le cas pour Kenshiro. C'est bien de lui dont elle redoutait la confrontation. Tout simplment parce que c'était un ami ; elle ne pouvait plus le nier.

Elle détourna les yeux. Que dire vraiemnt ? Désolée, faison comme si rien ne s'était passer ? C'est pas comme si elle l'avait fait exprès, mais elle était tout de même responsable non ? Un malade donne sa maladie à quelqu'un d'autre, on ne va pas dire que ce n'est pas de sa faute ! Marya ne savait pas trop que faire : avait-elle vraiment quelque chose à se reprocher ? Et puis dès le départ, elle n'était pas sensée s'attacher au gens alors où était vraiment le problèpme quand elle évoquait la solution "on s'en fiche, c'est un être huimain, il a une vie laisse tomber " ? Perde un ami était donc si grave ? ça lui faisait donc si mal ?

Elle avait vraiment encie de le dire. Juste "désolée" et puis voilà, finit, on s'expliquait et ça passa ou ça casse ! Mais ça sortait pas. Tout simplement. L'envie terrible qui la preniat refusait de se magnifester, bloquer par un autre sentiment : pas l'orgeuille, non, car cela faisait longtemps qu'elle avait perdue sa fièrtée qui ne resurgisait qu'a des moments qui lui rapelait le temps où elle était Akatsuky. Non, pas de l'orgeuille ; de la Peur. La peur d'être simplement refuser. Refuser de quoi ? Marya sentait pour la première fois que quelque chose allait vraiment mal par sa faute. Elle n'avait pas eu d'amis, elle commancait ici, à Takuetsu, une experiance effrayante, celle des relations humaines. Pendant longtemps, on l'a traiter comme une princesse ; elle était capricieuse, petite. Elle voyait qu'elle était differante, apris au bout d'un moiment à controler ce pouvoir qu'elle avait sur les adultes, mais rien n'empeche qu'elle s'était confrontées pour la première fois à plus fort qu'elle alors qu'elle avait 9 ans, age où l'on ne comprend pas forcement les autres. Ce jour là, elle s'était prit une leçon. Pour la première fois dans sa vie, elle n'avait pas ce qu'elle voulait.

Maintenant, c'était un peu pareil ; elle n'avait aucune experiance en amitiée normale digne de ce nom, alors perdre quelqu'un qui ne nous était pas lier par le sang ou le desastre ne lui faisait pas peur autrefois. Pourquoi maintenant que ça lui tombait desus, que le risque de perdre cet ami était imminant, elle ne savait pas commant faire ? Son stupide ordinateur qui lui servait de cerveau n'avait pas d'anti virus, ni de logiciel qui pouvait contrer le nouveau qui s'installait à grande vitesse en elle. Elle était incapable de reflechir, elle n'avait aucun élément concret pour résoudre le preblème, ni même pour se rassurer elle même.

-Atashi ...

Un soufle vain. Elle ne pouvait pas le dire. Elle avait peur : une Peur sans borne, sans limite, l'envahissait comme un orage rapide par temps de ciel bleu. Et cette peur fut renforcée par autre chose encore.

Ça ne sert à rien de s'excuser ... Puisque je vais recommancer ... A lui faire du mal ... Je vais lui retirer Ayumi, et je n'ai pas le choix cette fois. Et merde quelle idiote comment j'ai fait pour en arriver là ?

-Atashi ... !

Je veut vraiment m'excuser ... Je veux vraiment qu'il me pardonne ! Je veux vraiment lui demander pardon ! Ce que j'ai fait est ignoble, commant j'ai pu le laisser autant d etemps comme ça ?

Elle pris une grand einspiration, sentant les larmes monter. Elle ne voulait pas pleurer. Pas maintenant.

-Puisque je n'ai plus besoin de me cacher, on descant ?

Echapatoire.

Elle se redresse, saute. Raterrit sur le sol sans grand mal, mais aucune souplesse. Elle ne se redresse mêpme aps, s'adosse contre l'arbre. Le visage dans les bras, elle murmure sans vraiment vouloir qu'il entende.

-Gomen.

Désolée de te suivre, désolée de te detruire ; pardonne moi je t'en pris pardonne moi :
Ta lumière brillante se ternit déjà en mon ciel, ne t'en va pas ...

Kenshiro et Marya se sont regardé longuement dans l'arbre. Elle mit quelques minutes tout de même avant de lui adresser la parole, cherchant apparament les mots à lui dire. Kenshiro attendait bien un mot, simple à dire, mais pas à exprimer. Kenshiro comprenait un peu que la jeune fille a un peu de mal à exprimer les sentiments, mais il estimait qu'elle devait lui présenter un "désolé" assez franc. Mais ce mot semble se bloquer dans sa gorge, essayant de le faire sortir de toute ses forces.

Marya# Puisque je n'ai plus besoin de me cacher, on descent ?

Sans attendre de réponse, elle saute de l'arbre pour atterir sans problème sur le sol. Malgré le fait qu'elle echappe à ses obligations, Kenshiro approuve néanmoins de terminer la discution sur la terre ferme plutôt que dans un arbre au branche un peu maigre. Dommage, il avait une belle vue du parc de là où ils se trouvaient.

Il décide, contrairement à la jeune fille, de descendre avec plus de prudence de l'arbre. Une fois ses pieds bien posé au sol, il se rend compte que la jeune fille se trouve assise contre l'arbre, la tête dans ses bras. Il entend un mot, un murmure. A peine distinctif, mais toutefois audible pour le lycéens.

Marya# Gomen.

Kenshiro l'avait enfin entendu, ce mot qu'il désirai tant entendre de sa part. Rien de plus, rien de moins. Une simle demande de pardon pour son comportement. Kenshiro s'accroupit devant elle et pose sa main les cheveux blancs de la princesse opale. La tête de cette dernière se redresse pour que son regard croise celui du lycéen.

-"Je ne suis pas de nature rencunière, ma chère. Bien évidement, je te pardonne pour ce qui s'est passé. Je ne peux pas changer ton caractère borné, et pour ce qui s'est passé, disons que je n'ai pas pensé à "éviter" ce évenement."

Kenshiro décide alors de s'assoir en face de Marya. Maintenant que la messe est dîtes, ils allaient enfin pouvoir parler un peu plus librement de ce qui s'est passé ce jour là.

-"Par contre, j'attend toujours ta réponse : comment vas tu depuis? La dernière fois que je t'ai vu, tu étais sur un lit de l'infirmerie."

Sa main qui passait dans ses cheuveux lui fit un bien fou ! Ce fut à la limite des larmes qu'elle osa le regarder dans les yeux.

-"Je ne suis pas de nature rencunière, ma chère. Bien évidement, je te pardonne pour ce qui s'est passé. Je ne peux pas changer ton caractère borné, et pour ce qui s'est passé, disons que je n'ai pas pensé à "éviter" ce évenement."

De vrai larmes était sur le point de jaillir, son coeur qui était désormait sans ouverture phisique se serrait de lui même ; le remort.

Ontoni ... Gomenasai ! Je ne veux pas ! Mais si je ne le fait pas ... !

Elle voulait tant lui dire ce qu'elle avait sur le coeur, tant lui dire qu'elle était cent fois plus désolée qu'elle ne pouvait le dire, car ce n'était pas cet incidant qu'elle rerettait le plus; c'était ce qu'elle allaitfaire, ce qu'elle était en train de faire. Ce petit désoolé n'y changerai rien, il n'avait même pas le pouvoir de le prévenir du danger à venir, du danger qu'elle représantait pour lui et Ayumi ; une porte direct vers Ogawa.

Gomenaisai !

Marya reprit le marsque et le regarda sans ciller. les trace d'humiditée sur ses yeux s'envolère comme sur un odre. Elle se mord les levres ; ils étaient pareils.

"Je ne suis pas de nature rencunière, ma chère. Bien évidement, je te pardonne pour ce qui s'est passé. Je ne peux pas changer ton caractère borné, et pour ce qui s'est passé, disons que je n'ai pas pensé à "éviter" ce évenement."

Si tu savais, si tu savais !

Il s'assit en face d'elle, comme si tout le mal était lacher. Marya aurai voulu faire pareil, se detendre et passer à autre chose, mais c'était impossible ; car c'était faux, c'était justement maintenant que le pire venait. Elle était en train de lui mentir, de l'embobiner, de le prendre pour un idiot fini. Le fantome se prend pour un ange, essay d'en imiter la paleur, est-ce que cet home se rendra-t-il compte qu'il manque de chaleur ?

-"Par contre, j'attend toujours ta réponse : comment vas tu depuis? La dernière fois que je t'ai vu, tu étais sur un lit de l'infirmerie."

Ce qu'elle avait eu mal ! Et maintenant ce souvenir était si floue qu'elle se demandait parfois si cela avait jamais eu lieu. Elle avait soufère pendant des jours, et finalemernt, un mois plus tard, elle s'était étendue sur la court des primaire pour finir dans un hopital. Daiichi avait recommancer à faire passer des élément par lui même au lieux de juste regarder des deux côté de la porte, ses propres ailes étaient aparuent. Pour Marya. Pour garder Marya. Juste avant une opperation qui échoua, car on du faire apel à un élève au don de guerrison pour la sauver. le resultat fut parfait. Marya se demandait maintenant ce qu'il advenait de ce garçon ou de cette fille. Allait-il bien avec une telle responsabilitée ? avait-il déjà envoyer cette décharge mortelle à quelqu'un ? A lui-même ? A moins qu'il fut assez fort pour garder cette douleur endormie au fond de lui. Peut-être était-ce Kuroshima-sempai.

-Genki. [bien]

Elle se mit en tailleur et ferma les yeux.

-On m'a oppérer le 14 mars. Il n'y a plus de traces d'ouverture.

C'était plutôt ...

-Impressionnant n'est-ce pas ? Ces Dons ... Ça fait froid dans le dos.

C'est vrai quand on y pense ; tout ces "Dons Divins", n'était-ils pas dangereux en sommes ? Le contrôle du temps, la vision dans l'avenir, la télékinésie, voir l'âmes des gens ... Sasn compter son propre don qui avait quand même une nature plus que destructrice. Tiens, d'ailleur ? Maintenant, elle pouvait faire autre chose que détruire n'est-ce pas ? Puisqu'elle avait le pendentif ?

-Pendento ... [pendentif]

Elle mit la main sur le dit pendentif et le carresssa du bout du doight ; était-elle capable de "Chanter" à nouveau maintenant ? Comme Les siens ? Les Akatsuky ? Mais elle avait déjà du mal à se batre après tout ce temps, alors se servir ainsi de son don était plutôt impossible, voir irréelle. Inespéré.Kenshiro la regardait apperement.

-C'est ... Mon Clan. On a tous le même don. Et toi, au fait ? Comment tu sais pour le tien ? il n'y avait personne pour te le dire dès la naiscance si ?

Marya s'interessait vraiment à ça, amis au fond, elle savait qu'elle ne faisait qu'emmagasiner des info.

Gomene.

Il fallait s'y faire. C'était lui ou Daiichi. Lui ou elle. Mais n'était-il pas devenu un peu une partie d'elle-même ? Ne l'avait elle pas alisser entrée en son coeur, ne tenait elle pas la porte ouverte en ce moment même ? Etait-elle un montre à ce point ? Aimer et briser ? Voilà la politique ? Marya était décidée maintenent. Il y allait avoir beaucoup de moments doulouruex pour elle même et pour Daiichi, pour tous ceux qui allaient les entourer, même Haruna peut-être ...

Je vous en prie, pas Haruna ... Laissez-là en dehors de tout ça !

Marya allait le briser s'il le fallait, mais Daiichi devait vivre.

"Je veux que tu arrive à la bonne arrivée"

Même s'il elle faisait tout pour s'arrêter de calculer, elle ne pouvait s'enpêcher de peser le pour et le contre. Et mathématiquement, en faisant abstraction de tout ces sentiment, jusqu'a sa propre fièrtée, elle était prête à être roulée à terre, à en entrainer d'autres avec elle s'il le faillait, mais Daiichi devait vivre. Vivre heureux. Et cela n'avait plus de prix. Alors avoir mal elle, qu'est-ce que ça faisait ? Ce n'était même pas pour lui qu'elle avait mal, c'était pour sa propre étique, son égo, sa fiertée, pour elle-même. Elle était incapable de ressentir de la compation ou de la culpabilitée ! C'était jsute que Kanahko lui avait toujours dit de respecter les autres, leur coeur, leur âme, même définte.

J'ai dit Adieu à ce comportement au moment où j'ai repris ce pendentif ; je ne m'éffacerai plus pour respecter les autres ; le temps qu'il faudra, je serai un Akatsuky, pour Daiichi. Tout pour lui.

-Daiichi ne s'en rendait pas vraiment compte, il voyait tout le monde comme des anges alors ...

L'humanite éait loins de la perfection avec les anges ... Marya se dit à ce moment-là qu'elle en était un exemple trop flagrant.

Gomenasai ...

[Ne prends pas pour veritée biblique le raisonnement mit ici, Marya est totalement dans l'erreur même pour ses propres sentiments : Elle ne ressdent pas la pitiée, mais elle ne pense pas réellement qu'a elle, c'est juste ce qu'elle pense.]

Kenshiro était content d'apprendre qu'elle allait bien mieux depuis la dernière fois. C'est alors qu'elle porte sa main sur un bijou que Kenshiro n'avait pas vu auparavant. Un jolie pendentif qu'elle semble aprécier. Elle remarque, par la suite, que Ken était en train de la regarder, le regard fixé sur le médaillon.

Marya# "C'est ... Mon Clan. On a tous le même don. Et toi, au fait ? Comment tu sais pour le tien ? il n'y avait personne pour te le dire dès la naissance, si?"

Sur le coup, Kenshiro réfléchi sur le sujet. Il doit avouer que la découverte de son don s'est passé il y a fort longtemps, quand il était gosse. Il avait 8 ans à ce moment là. Il pose de nouveau son regard vers Marya.

-"Ben, en fait, je suis le seul à avoir un don dans ma famille. Il est apparut d'un coup, sans prévenir. Je me souvient de la tête qu'avait fait mes parents sur le coup. Enfin, ça n'avait rien de drole, puisqu'on a faillit se faire percuter par un camion si je n'avais pas remonté le temps. J'admet également avoir été effrayé au début. Mais qui ne le serait pas, dans ces conditions.

En parlant de don, j'ai été fortement surpris de voir le petit Daiichi ici. Avoir un pouvoir aussi jeune, c'est très rare."

Marya# Daiichi ne s'en rendait pas vraiment compte, il voyait tout le monde comme des anges alors ...

Sur le coup, Marya semblait le dire sans réel sentiment, mais Kenshiro sentait malgré tout une certaine amertume dans sa voix. A peine décelable, mais bien présente.

-"Tu peux m'expliquer son pouvoir, car j'ai pas très bien saisie le sens de tes mots."

[Dsl, petit poste, pas d'idée ^^"""]

[Pas grave, on avance petit à pete >w<]

Oublier, oublier ... Juste avancer.

-Il est capable de voir ... Le reflet de l'âme des gens. Ce reflet est symbolysée par des ailes. Selon l'apparence de ses ailes, il peut juger l'ême d'une personne, sans pour autant l'avoir. Ce n'est pas comme si il voyait les âmes elles-même, ou les mort, il est juste connectée aux monde des reflets.

Marya sentait qu'elle allait en dire plus que prévu, mais elle ne pouvait plus s'empêcher d'expliquer ce qu'elle savait.

-D'après ce que nous savons, on peux mettre en place la théorie de la porte ; Daiichi est la porte entre deux monde sur trois : Le monde physique et le monde des reflêts, le troisième étant le monde des âmes. Tout trois sont conectée, et Daiichi est juste sur un connexions. Jusqu'a maintenant, il était capable de "voir" des deux côtés. Mais quand il utilise sont énergie, il est capable de faire "voyager" des élément d'un monde à l'autre. Il peux par exemple prendre une plume et la rendre visible par tous. Mais s'il veut la faire demeurer dans le monde physique, il doit y implanté une partie de son énergie. Il y arrive, mais cela lui demmande ddes effort et un assez lourd tribut à payer ; il donne l'énergie de ses yeux. Il deviens aveugle pendant un certain temps, et lorsqu'il retrouve la vue, il ne peux plus voir les ailes.

Pour le même prix, il lui est possible d'emener quelqu'un sur la "porte" momentanement, afin qu'il voit la même chose que lui. Mais il ne le fait pas souvant, faute d'énergie et d'envie, puisqu'il ne veut pas montrer ce qu'il voit parfois.

Et puis, recement, il est de plus en plus stresser et fait apel à une partie superieur de son Don ... Au lieu de faire passr un petit élément, il peux ramener ...Des paires d'ailes entières ... La sienne en l'occurance. Mais iol n'en a jamais ramener plus de deux, il n'a fait cela que 2 fois. La première à cause d'un pauvre homme il y a 1 ou 2 ans. La deuxième ...

Marya ferma les yeux et fit basculer sa tête vers l'arrière.

-Le 14 mars derner, juste avant mon opperation. Il a voulu me protèger.

Et cette fois là, ce n'était pas seulement ses yeux qui furent touchés. Même si l'énergie de ses ailes l'avait fait tenir quelques heures, il s'évanouie de fatique quelque temps plus tard pour ne retrouver la vue que de manière très lente. Il lui arrivait de teomber sans prévenir. Cela allait durer quelques mois surment, même s'il serai capable de voir, ses autres organes n'était pas accoutumés à un tel drain d'énergie. Et encore, cette fois, il n'avait ramener que ces ailes à lui. L'autre fois, il en avait ramener deux. La sienne, et celle du vieille homme. Pauvre âme déchirée.

-Quoiqu'il en soit, la plupard de ces supposition sont des théories avancées par des sciantifiques qui ont travailler sur lui quand il était gamin. J'ai juste tirée mes propre conclusion qui ont des chances d'être fausse. Mais je ne pense pas m'être trompée.

Probabilitée d'erreur de Diagnostique : 14.7%. C'était beaucoup, mais les recherches tenait la route, même quand Marya observait le don de son petit frère.

Dépeches-toi de grandir ...

-Mais revenons à toi. Tu viens de dire un camion, avec tes parent ? Tu l'a découvert dans un accidant ? Mais tu as vu l'accident, et tu est revenu ? Tu a dans ta mémoire les deux version ?

C'était vrai que se souvenir de deux dimentions temporelles differantes devait prêter à la confusion ... Ça devait être assez difficile à gérer ...

-Tu remontes souvant le temps ? C'est pas trop fatigant ?

Le don de Marya ne s'étalait pas sur des mondes ou sur l'espace temps, elle pouvait juste commander des cellule de son corps à peu près individuellement. C'était totalement differant. Alors était-ce aussi épuisant de contrôler quelque chose qui engendre autant de personnes ?

-Depuis que j'ai récupéré ce petit bijoux, mon don est redevenu très fluide. Aucune chance de me dechirer un muscle maintenant.

Elle designait le petit pendentif des Akatsuky. Percée de fentes microscopiques, il canalisait les ondes sonores et les renvoyait afin de limité les dégat sur le corps. Moins d'éfforts et telement plus de sécurité ! Marya ne pensait pas avoir à se servir autant de son Don, c'est pour cela qu'elle ne l'avait plus utiliser. Mais il semblerai que ce ne soit pas le cas. Maintenant elle était plutôt rasurée de l'avoir sur elle. Manquait plus que ses armes ... Le même système, mais qui devait couter bien plus que ce petit emblème ; Ogawa allait les garder un bout de temps.

Marya rearda Kenshiro et eu envie de rire. Ce n'était pas visible, mais elle était plutôt amuser de la tournure que prenaient les choses. Elle n'avait pas besoin de jouer la comedie pour parler. Elle était parfaitement capable de faire comme si tout allait bien. C'était trop facile. Tellemnt facile qu'elle s'en voualit un peu. Mais elle n'avait pas le choix : Autant continuer le rêve sans qu'il ne s'en doute. Sans qu'il voit son amie partir. Marya le retiendrai, Ogawa recupairerai sa chère élève, et Marya resterai avec lui. Un point c'est tout. Mal ? Pas le choix. Pas le choix c'est tout. Alors autant en profiter.

Marya s'arrêta quelque secondes pour écouter les bruit du calmes. L'eau coulante, les arbre dansant en frottant leur feuillages, les vent qui siflait, et le silence qui traduisait l'absance totale de présance humaine.

Et puis moins lointain son propre coeur et celui de Kenshiro qui battaient en désacort complet. Marya sourit. Elle entendait prèsque le choc des lames, le cris des enfants, les braillemnt de son professeur de Kanji, le frottement du pinceau plein d'encre qui glissait avec force et délicatesse sur le papier lorsque Kanahko écrivait. Et puisSoudain, elle y était. Soudain elle avait 10 ans, elle était assise en face de ... sur le viel arbre mort, à se raconter tout et n'importe quoi. Marya lui disait comme elle détestait les enfant de l'exterieur qui la montrait du doigt à chaque fois qu'elle sortait à cause de ses habit traditionnelle et de sa couleur peu comune. Lui lui disait à quel point elle était belle, mignonne ... Elle lui demandait de lui aprendre à sabrer, il lui répondait qu'il le ferai demain, après avoir peint un toile avec sa mère. Elle lui disait à quel point elle l'aimait, il lui disait ;

Tu deviendra belle et forte, un magnifique femme que je demandrai en marriage.
Demo anata wa atashino Oniisan !
[Mais tu est mon frère]
Si tu veux si tu veux !
C'est pas si je veux ! Tu es Oniisan, un point c'éest tout !
De toute manière, Je ne pourait pas, puisque tu va surment te mrier à un homme d'un autre clan ... Il vont surment bidouiller un truc pour faire ami-ami avec les autres épésitses ...
Mais moi je veux pas !
Tu devras bien, Hime-sama-chan !
[Princesse chérie]
Hime teyunda !
[Ne m'appel pas Princesse]
Laisse donc, laisse, donc, tu as encore le temps tu sais, princesse caprice !
Je ne suis pas capricieuse !
Oh si que tu l'es !
Non !
Si !
Ore wa !
[Je suis→langage masculin]
Tu viens de dire ?
Bin Ore, je viens de dire Ore !
Ne dit pas Ore devant les autres, on penserai que la princesse traine dans des endroit pas fameux !
Mais j'en ai mare d'être tout le temps gentille et polie ! Ça sert à rien en plus, tout le monde à peur de moi !
Et moi tu va me dire que j'ai peur ?

Yamete Oniisan ... Tu es ridicule ...

Un batement simultané la reveille, elle se rends compte qu'elle n'est pas là-bas. Que ce coeur qui battait n'était pas celui de son frère ... C'était bien Kenshiro.

J'aimerai tant que tu sois mon frère ...

[gros mocreau de délir, j'espère que tu va t'en sortir ^^- ♪]

L'explication du pouvoir de Daiichi par Marya est vraiment impressionnant, même si parfois on s'y perd un peu dans l'écoute. Un garçon aussi jeune (je rappelle tout de même que le nain de jardin n'a que 5 ans) qui est capable de faire autant avec ses pouvoirs, ça à de quoi en impressionner plus d'un. De plus, les théories des mondes interesse particulièrement Kenshiro, qui décide donc de ne pas l'intérompre jusqu'à la fin des explications.

Il comprend également que l'enfant ne peut pas faire apparaître dans le monde phusique ses ailes quand il le souhaite. Malgré sa maîtrise de son don, il est encore bien jeune pour le déployer sans problème. Cette situation rappelle à Kenshiro que ses dons semble également s'améliorer de plus en plus dans la durée d'utilisation.

Marya# Quoiqu'il en soit, la plupard de ces suppositions sont des théories avancées par des scientifiques qui ont travaillés sur lui quand il était gamin. J'ai juste tirée mes propres conclusions qui ont des chances d'être fausse. Mais je ne pense pas m'être trompée.

-"Tu sais, parfois, il suffit pas d'avoir Bac+12 pour comprendre certaine chose."

Marya# Mais revenons à toi. Tu viens de dire un camion, avec tes parents? Tu l'as découvert dans un accident? Mais tu as vu l'accident, et tu est revenu? Tu as dans ta mémoire les deux versions? Tu remontes souvent le temps? C'est pas trop fatigant ?

-Et bien, une question à la fois, d'accord? Bon, pour commencer, oui, j'ai découvert mon don dans un accident, j'ai vu le camion nous foncer dessus et nous rentrer dedant. Mais j'ignore comme j'ai fait, mais j'ai réussi à revenir un peu avant l'accident, environ dix secondes avant. C'était....assez effrayant, car je revoyais tout ce qui s'est passé, mais à l'envers, comme si on rembobinait un cassette vidéo tout en regardant les images.

Je garde toujours à l'esprit mes utilisations de mon pouvoir sur le temps. Je suis le seul à m'en souvenir, les autres n'ont simplement qu'une simple impression de "déjà-vu", sans pour autant sans souvenir. Sauf si j'utilise mon don avec une personne contre qui j'ai un contact direct. Bien sûr, quand je me blesse accidentellement et que je peux revenir dans le temps, j'ai mal et je souffre, mais une fois le retour dans le temps effectué, la douleur n'est plus, car elle n'a pas de raison d'exister.

Quand à mon utilisation, je ne l'utilise qu'en cas de nécésité. Mais j'avoue que ces dernier temps, je suis obliger de l'utiliser assez souvent. Concernant la fatigue, je n'ai pas utiliser mon don trop intensément pour vraiment posséder une limite d'utilisation. Tant que je ne tente pas de forcer la durée du pouvoir, qui est de 30 secondes, je ne risque rien. Enfin, avant, c'était 30 secondes, mais depuis peu, il semble que je peux faire durer plus longtemps. Enfin, chaque pouvoir à une limite, même le mien.

Marya écoute attentivement les paroles de Kenshiro, et lui explique que le pendentif qu'elle porte lui permet alors de mieux maitriser son pouvoir sans risquer de se blesser. Kenshiro comprend un peu mieux la raison de son problème au coeur. Un temps passe, Marya semblai reflechir en écoutant le calme extérieur du parc. Elle semblait se rappeller du passé, un passé que Kenshiro ignore (et qu'il ne désire pas vraiment connaitre.

-Tu sais, pour tes théorie de porte et de monde, sache qu'elles sont très loin d'être Stupide. Je maîtrise le temps, et je sais forcement que toute les théorie sur le temps et la manière de l'utiliser son assez vraie, et carrement fausse dans un sens. On pense que le temps n'est qu'une simple ligne droite, mais la vérité est tout autre. Et je sais aussi pourquoi Daiichi n'aime pas montrer ce qu'il voit, car moi, j'ai vu la véritable forme du temsps, et elle est trop effrayante pour que d'autre puisse la comprendre sans s'y perdre.

Conversation fortement interessante, Marya laisse sa curiosité magnétaphone prendre le dessus ; elle enregistre et analyse chacun de ses props, lui permettant un pue d'oublier sa mission première et la ressemblance à présant flagrante avec ... avec quelques brides inutiles de son passé. Elle écoutait, décortiquait, avec une attention robotique. Un grand puzzle se formait dans son esprit, un puzzle qu'elle adorait manier et remanier, contruire et détruire pour faire face à de nouvelles idées. La maitrise tu Temps, ce n'était pas rien.

-...Et je sais aussi pourquoi Daiichi n'aime pas montrer ce qu'il voit, car moi, j'ai vu la véritable forme du temsps, et elle est trop effrayante pour que d'autre puisse la comprendre sans s'y perdre.
-Je crois qu'il m'a sorti un truc dans le genre un jour ; "Parfois c'est très joli, mias trop souvant, ça fait peur ; je ne veux pas que tu vois ça." J'ai vu une fois ce qui pouvait en découller, et je n'ai aucune envie d'en voir plus, alors que ce gamin en voit tout les jour. Parfois, je me demande comment il fait pour ne pas fermer les yeux. En principe je le vois quand c'est trop insoutenable, il commance à pleurer.

Marya se souvint de Daiichi face au directeur, face à Chi ... S'ailleur, qu'avait chi dans le coeur pour que ce soit si insoutenable ?

-C'est quand même étrange non ? Ici, il y a beaucoup de Dons qui se contredisent ... la vision dans l'avenir avec ton contrôle du temps, ça ne risquerai pas de faire des choses étrange ? En même temps, je ne connais pas trop les condition d'utilisation de la vision dans l'avenir ...

D'ailleur, Koro-semapi ... Elle pouvais voir le passé, lavenir et la mort. Elle disait que l'avenir changait, mais pas la mort ... Ça aussi, ce serai plutôt particulier ... Il y avait tant de chose incompréenssible ici ... Et tant de chose pour que Marya puisse satisfaire sa curiositée grandissante !

-Ce don s'entraine n'est-ce pas ? Le mien est parrainé depuis ma naiscance, il n'y a que très peu de chose que je ne sache pas faire ... Mais il y en a ; c'est juste que ce serait vraiment dangeureux. D'ailleurs ...

Ça faisait combiens de temps qu'elle n'avait pas essayer ? Marya se lève, essuit sa jupe en faisant clinquer ses chaines et plaques métaliques ; Gling gling ! Elle fit quelque pas pour être dos à Kenshiro (oui, si elle se manque, autant pas lui péter les oreilles) et met une main sur le coeur. Elle inspire un grand coup et ...

Un La raisonnne, sur un timbre qui occille entre le violon et l'harmonica. D'abord de faible puissance, puis un peu plus fort ... Elle diminue de quelque Hz jusqu'avoir un do3. Passe quelque seconde, puis elle augmente, augmente, ... son coprs commanc eà se pleindre, elle continue.

Elle essaye un morceau qu'elle a vagement entendue, assez doucement. Elle fait plusieur fausses notes, puis lâche au bout de 20 secondes plus ou moins. C'est nettement moins bien qu'avant, mais au moins, elle chantait.

Elle se retourne, quelles goutes perle sur son front, et sa peau est un peu plus colorée ; le sang s'était agité comme dans un vers de soda secoué à toute vitesse. Son visage ne sourait pas, on pouvait jsute voir qu'elle était satisfaite de son travaille. Mais elle travaillerai.

La tête un epu tournante, elle lance sans faire attention :

-Oniisan, est-ce que j'ai progresser ?

En face, elle voyait son frère et qui souriait, qui la félicitait ... Un homme qui était indulgant avec cette petite fille de 10 ans, malgrée les grandes erreurs qu'elle commaitait. Quand elle repris conciance de sa place, c'était trop tard. Elle avait déjà demander, mais pas à la bonne personne.

-A tien, je te confond vraiment avec tout le monde. Il va falloir que je dorme.

Ces propos tenait de l'ironie, mais Marya se sentait un peu déboussolée. Kenshiro lui rapelait-il tant que ça la présance d'un grand frère ? De quelqu'un de fort qui tiendrai pour elle le rôle qu'elle essayait de tenir pour Daiichi ? Avait-elle tant besoin de revoir son Oniisan ?

Elle détourne les yeux, commance à regarder droit, dans le vide des arbres.

-Excuse-moi. Ça ne se fait pas de prendre les gens pour des substitu des êtres perdu ...

La discution entre les deux jeunes gens est assez pationnante, mais il faudrait pas qu'on se perde dans des théorie loufoque non plus. Seulement, elle dit vrai dans le fait que certain pouvoir se contredisent les uns aux autres. Et le fait que l'enfant est parfois obligé de voir ces fameuses "ailes qui reflètent l'âme", Kenshiro doit se dire qu'il à dû être fortement effrayé en voyant ceux du directeur. Il avait d'ailleur raison sur ce point, certaine chose ne devrai pas être vu par n'importe qui.

-Je me demande d'ailleur comment sont les miennes. A voir le sourire qu'il m'a sortit la seul fois où on s'est croisé, je pense qu'il a dû apprecier de les voir.

Soudain, Marya se lève et se place dos devant lui, et semble vouloir faire quelque chose. Soudain, un son se fait entendre dans le parc, une fréquence, comme une corde de violon qu'on frotte pour obtenir une longue et unique note. Le son continue, ce changeant en musique. Bon, ça n'a duré que quelques secondes à peine, mais le fait est qu'elle a utiliser son pouvoir.

Marya chancelle quelque peu, Kenshiro se relève également, pour la ratrapper au cas où elle perdrait complétement l'équilibre. Elle se tourne face à lui, le visage contenant quelques gouttes de sueur. Elle semblait contente d'elle, sans doute parcequ'elle avait déjà essayé cet exercices et qu'elle n'avait pas si bien réussi.

Marya# Oniisan, est-ce que j'ai progresser ?

Kenshiro fut surprit d'entendre la manière dont Marya l'avait appelé. Il s'avait que les japonais utilisai le terme de "grand frère" avec des gens qui n'ont aucun lien de parenté, mais là c'était l'autre contexte. Marya se ratrappe peu après.

Marya# Excuse-moi. Ça ne se fait pas de prendre les gens pour des substituts des êtres perdus...

*SBAM*

Le poing de Marya se pose, sans grande force mais assez pour lui faire mal, sur le sommet du crâne de Marya. La princesse Opale se tounre de nouveau vers lui, les yeux un peu humide, frottant le lieu de l'impact. Kenshiro lui parle, sans colère dans la voix, calmement comme pour lui expliquer

-Tu n'écoute jamais ce que je dis ou quoi? Pour commencer, je ne te frappe pas pour m'avoir appelé Oniisan, mais parceque tu pense que je t'en voudrais pour ça. Ensuite, rappelle toi ce que je t'ai dis quand tu as fais un commentaire à Daiichi sur le fait qu'il nommait presque tout le monde de "grand-frère" et "grande-soeur". Ici, on est quasiment une famille, on est tous dans le même bateau face au directeur Ogawa, mais aussi à d'autre gens qui ne semble pas nous apprecier en dehors de ces murs.

J'avous, j'ai été surpris que tu m'appelle comme ça. Mais si tu l'as fait, c'est que tu avais une raison, non? Pour commencer, si tu me parlais un peu de cet personne. Mais je pense qu'il doit un peu me ressembler, n'est-ce pas?

Ite ....
[Aie]

Kenshiro était en train de l'engeuler. Et pas pour l'avoir appeler grand fère, pour s'être excusée. le monde tourne à l'envers ?

Ici, on est quasiment une famille, on est tous dans le même bateau face au directeur Ogawa, mais aussi à d'autre gens qui ne semble pas nous apprecier en dehors de ces murs.

Marya ne savait pas trop comment prendre ces parôles. Elle pensait bien que Daichi, n'ayant jamais eu de personne à appeler frère ou soeur de la même manière qu'elle ne devait pas en soufrir ; elle n'était qu'une substution d'une mère qu'il n'avait pas assez conue, d'une famille qu'il n'avait pas vraiment eu le temps de comprendre. Ce n'était pas comme elle ...

J'avous, j'ai été surpris que tu m'appelle comme ça. Mais si tu l'as fait, c'est que tu avais une raison, non? Pour commencer, si tu me parlais un peu de cet personne. Mais je pense qu'il doit un peu me ressembler, n'est-ce pas?

Vous connaissez cette envie de hurler sur quelqu'un alors qu'il ne vous a roien fait ? Juste par ce que vous vous rapeller de quelque chose de douloureux ? Vous avez envoie de crier sur quelqu'un, peu importe qui, et de preferance la plus proche ? Marya avait cete envie. Mais elle ne hurlerai pas, non. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était prendre un air hautain et rabesser les gens. Marya ne voulait pas vraiment, surtout pas pour un ami, mais elle ne pouvait pas s'empecher de ressentir une envie de détruire par le verbe la personne qui l'entourai.

-Tu vas me dire que si je te traite comme si tu avait été mon frère, c'est pas grave ? Tu vas me dire que si je te fait tenir un rôle, tu ne bronchera pas ? Il y a des fois où je vous comprends pas.

C'était pas partit, mais c'est tout ce qu'elle pouvait dire. La boule qui lui serrait la gorge était toujours là, mais comment s'en débarasser ?

-Biensûre qu'il te ressemble, jusqu'au bout des trip, vous êtes exactement les même. De votre visage à vos batement de coeur, en passant par votre comportement.Vous êtes les même jusqu'au bout.

Marya avait juste à le regarder pour voir en lui le visage de son bien aimé Oniisan.

-Toujours en train de sourir, toujours à me dire ce que je veux entendre, toujours à être là où les autres n'étaient plus pour moi.

C'est ici que la differance était. Kenshiro avait une vie en dehors d'elle, li ne lui prétait pas autant d'attention que lui, car Lui n'avait que ça a faire ; s'occuper d'elle.

-Ça sourit, ça vous faire croire que tout vas bien, qu'il serra toujours là, et un beau jour parce qu'il à envie d'avoir une vie à lui il fout le camps et la famille le raye de la carte !

Marya ressentit cette boule dans le coeur et dans la gorge, ce tiraillement qui lui réchaufait les yeux qui était maintenant humide. Elle s'en souvenait parfaitement.

Oniisan ! Ike nai !
[Ne t'en va pas]
Ne t'inquiète pas, je ne m'en vais pas pour toujours.
Ikenai Oniisan ! Ikenai yo !

Cet enfant qui pleurait tout ce qu'elle avait omme larme pour retenir son port d'attache. Le port s'éloigne et nous laisse seul, avec comme un gout de desespérance, une impression terrible que quoi quon en dise, le bateau ne reviendra jamais au port.

IKENAI !

Marya, les yeux rivés vers le sol, la rage la faisant trembler, se mordait les levre jusqu'au sang. Ses lèvres naturelment rouges se colorère vite encore quand une de ses canine s'enfonca et laissa partir une goute sur son visage blanc. Il y a longtemps qu'elle n'avait fait que rêver ce souvenir, il y a longtemps qu'elle avait juste rêvé et apprès avoir attendu des semaine. Elle avait demander à sa mère : "Oniisan wa ?" Elle lui avait jsute fait un sourir tellement faux qu'elle avait eu envie de pleurer. Elle avait attendues pendants des heures sur l'allée principale en guettant l'arriver. Mais comme elle le craignait,malgré toutes le spromesses, jamais le bateau ne revint vers le port.

Et un bateau sans port dérive dans l'océan, acoste là où il peut.

Au bout de quelques seonde, les tremblement cessèrent. Son visage repis une allure neutre, elle releva la tête les yeux vides.

-Que tu sois mon frère ne me gène pas tu sais, mais ce n'est pas comme si lui était revenu.

Elle avança vers lui et lui pinca le vêtement par le bout des doigts.

-J'ai besoin d'un grand frère, je le sais. Mais il est hors de question que je remplace mon vrai frère.

Elle avait besoin d'un port pour arrêter de dériver, mais elle ne voulait pas qu'un autre se prène pour celui qu'elle avait perdu.

Sa voix était plutôt faible, mais parfaitement audilbe. Elle se contenta de dire.

-Si tu avait été mon frère ... tu penses que j'aurait le droit de pleurer dans tes bras sans qu'Ayumi-sempai se mette en colère ?

Marya commence à parler, fesant ressentir clairement à Kenshiro qu'il venait de frapper un endroit où ça semblait lui faire tès mal. Elle tentait de le cacher, mais il le sentait parfaitement, elle voulait lui crier dessus, lui hurler sa peine en plein visage, mais elle se retenait, elle ne voulait pas lui crier dessus. Pourquoi, mystère, mais il attend, attend et écoute, sans exprimer la moindre émotion. Kenshiro pense que c'est un peu ce qu'elle attendait, pouvoir exprimer ses sentiments envers son frère, par le biais de quelqu'un d'autre.

Elle avait vider son sac pour elle même, Kenshiro ne dit toujours rien. Elle s'approche de lui, pinçant les vêtements du lycéen.

Marya# Si tu avais été mon frère ... tu penses que j'aurais le droit de pleurer dans tes bras sans qu'Ayumi-sempai se mette en colère?

Sur le moment, Kenshiro ne dit rien et agit presque sans réflechir. (Comm d'habitude, vous me direz, mais là c'était un poil différent que d'habitude. Il prend Marya dans ses bras et la sert contre lui. Il ignore quel tête elle est en train de faire, et il s'en moque un maximum.

-[En français]Idiote, avec des "si", on ne va jamais bien loin.

[En japonais]Je n'ai pas l'intention, ni la prétention, de remplacer ton vrai frère. Je ne suis pas un membre de ton clan, je sus Kenshiro Tokisei, un simple abruti qui à l'impression de se meler de ce qui ne le regarde pas. Tu n'as pas vraiment besoin d'un grand frère, mais juste d'une personne qui sait écouter tes problèmes quand tu en as.

Je ne sais pas ce que ça fait d'avoir un frère ou une soeur, je suis fils unique. Donc j'ignore la complicité qui en résulte. Mais je sais que, malgré tout, je peux combler un peu le vide laissé par ton frère. Et si ton frère est vraiment comme moi, alors il a dû avoir une raison valable pour ne pas revenir auprès de toi, et je doute qu'il t'ai oublié, toi et l'amour qu'il te porte.

Et pour finir, je sais qu'Ayumi est loin d'être stupide au point d'être jaloux de te voir pleurer dans mes bras. Au contraire, je pense qu'elle le comprendrai mieux que quiconque

Enfin, je crois....

[Encore un petit post, mais je prefère ça qu'un roman de 100000 lignes qui t'oblige à relire tout le post depuis le début parceque tu as perdu le fil au beau milieu.]

[vrai ^^-]

Avant même qu'elle ne le comprène, elle se retrouvait entouré des bras de Kenshiro. Il dit quelque chose d'incompreansible pour un japonnais normal, quoique Marya était sure d'avoir déjà entendue cette langue, puis il repirs en langage compreansible de tous.

Je n'ai pas l'intention, ni la prétention, de remplacer ton vrai frère. Je ne suis pas un membre de ton clan, je sus Kenshiro Tokisei, un simple abruti qui à l'impression de se meler de ce qui ne le regarde pas.

Et comment imbecile.

Elle enfouie son visage contre lui et mit ses bras dessus de manière à encadrer son visage.

Tu n'as pas vraiment besoin d'un grand frère, mais juste d'une personne qui sait écouter tes problèmes quand tu en as.

Marya s'en voulu encore plus, elle eu vraiment honte. Faible. Mais pouvait elle se montrer faible ? Rien qu'une fois ?

Je ne sais pas ce que ça fait d'avoir un frère ou une soeur, je suis fils unique. Donc j'ignore la complicité qui en résulte. Mais je sais que, malgré tout, je peux combler un peu le vide laissé par ton frère. Et si ton frère est vraiment comme moi, alors il a dû avoir une raison valable pour ne pas revenir auprès de toi, et je doute qu'il t'ai oublié, toi et l'amour qu'il te porte.

Cela était une chose que Marya ne pouvais pas savoir. Il avait juste disparu, préférant une vie independante au clan et à elle. C'était normal en même temps. On peut aimer une personne, mais ce n'est pas cela qui ferra bouger la balance en ce qui concerne votre liberté et votre choix de vie. Marya ne pouvais pas savoir ... S'il avait oublier qu'elle aimait ...

Et pour finir, je sais qu'Ayumi est loin d'être stupide au point d'être jaloux de te voir pleurer dans mes bras. Au contraire, je pense qu'elle le comprendrai mieux que quiconque.

Marya se tint immoblie pendant peut être cinq seconde, puis mis ses bras autour d elui, cachant du mieux qu'elle pouvait son visage. Ses yeux ouvert se brouillait, elle les ferma violement et des lamres se mirent à couler abondement. Combien de temps elle n'avait pas pris quelqu'un de plus grand qu'elle dans ses bras ? Quelqu'un d'autre que ce petit bout d'homme qu'était Daiichi ? Combien de temps elle n'avait pas ressenti un coprs chaud l'entourer sans qu'il y ai de douleur pour déranger son sentiment de sécurité ? Combiens de temps ?

Plus le temps passait, moins ses pleur était silencieux. Plus le temps passait, plus elle s'agripait fort, déséspéremment. Pourquoi pleurait-elle ? Pour tout.

Pour toutes ses nuits sans someil et ses nuits de cauchemar.
Pour tout ses jours de solitude, pour ses jours de faiblesses.
Pour tout ses désirs inavoué, pour ses désirs trop débordants.
Pour cette vie où elle ne souhtait que mourir, Pour cette vie où finalement, elle voulait vivre.

Pour tout, absolument tout. Pour toute cette douleur, pour cette soufrance, pour ce rêve d'extase et cette peur incommensurable de la mort, de quitter ce qui lui était devenie si chere. Tout ces gens avec qui elle était, ses liens qui désormais la maintenaient en vie.

Marya ne se déttendit qu'apres plusieur minutes, et le silence resta encore un peu. Finalement, Marua releva la tête, les yeux rouges. Elle essaya de sourir, sans vraiment y pravenir.

-Si tu n'est pas Oniisan, tu sera Aniiki.
[Aniiki= grand frère, conotation mafieuse]

Trouver les mots justes sans le vouloir. Pour ça, Kenshiro semble être très doué.

Kenshiro le sent sans le voir, Marya vient de commencer à pleurer sur son épaule gauche (Oui, le gauhe, vu que l'épaule droite est la place d'Ayumi /SBAAFF/ Oki, j'ai rien dis, on reprend là où on en était), silencieusement pour commencer, serrant le lycéen pour sentir la présence contre elle. Il ne dit pas un mot, il ne fait pas le moindre geste, immobile et silencieux, il n'avait que ça à faire pour le moment, il ne pouvait faire que ça pour aider son amie à se sentir mieux avec elle même.

Les pleurs et les larmes de la jeune fille se font de plus en plus fort, sa tête blanche plaquée contre l'épaule de Kenshiro. Voici un des rares moment où Marya montre des sentiments face à lui. Privilégié vous dîtes? Qui désire prendre la place avec les responsabilités que ça incombe? Il aimerai faire plus, autant que pour Ayumi ou pour d'autre personne qui lui sont proche. Mais pour l'instant, il se tait et il attend qu'elle expulse toutes sa tristesse.

Le temps s'écoule au même rythme des sanglots de Marya. Depuis son arrivé ici, il n'a vu que trois filles pleurer, et Marya est la seconde à pleurer contre lui. Depuis le début, elle n'avait jamais pleuré devant lui, et sûrement devant personne d'autre. Combien d'année avait elle cachée ses larmes? Gardée au plus profond d'elle même, cherchant la première occasion pour sortir de son corps. Tout le temps pour pleurer qu'elle avait mise de côté surgit alors aujourd'hui et maintenant.

De très longue minutes passe avant que les pleurs de Marya ne commence à baissé en intensité. Malgré l'étreinte qu'elle portai sur Kenshiro, ce dernier n'avait aucun problème pour respirer (encore une chance /SBAF/ Oki, je me tais). Un silence s'instale alors peu après, durant que quelques secondes. Marya bouge alors la tête pour la ramener à l'air libre pour s'exprimer, sa voix encore cassé par ses larmes.

Marya# Si tu n'es pas Oniisan, tu sera Aniiki

-Comme tu veux, Imoutosan (Petite soeur)

Les mains de Marya defont leurs étreintes du corps de Kenshiro, ce dernier s'éloigne un peu pour voir de nouveau le visage de Marya. Ses yeux rougit était encore humide, et la trace de ses larmes était tracés visiblement sur ses joues (Et sur la chemise de Kenshiro également. //SBAAAAAF// Maieuh. Non, j'ai pas mangé de Chiantos) Marya essuie ses larmes d'un revers de manche, mais fait toujours face à Kenshiro.

-A propos, Marya. Pourquoi étais-tu en train de me suivre de loin? Je ne pense pas que tu m'as suivi seulement pour me présenter des excuses.

[chiantos x'')]

-Comme tu veux, Imoutosan.

Marya ne sourait pas vraiment, mais en son coeur, c'était du pareil au même. Elle avait son grand frère ; pas Lui, mais quelqu'un. Elle avait quelqu'un. Enfin.

Elle s'éloigne et respire, lâchant prèsque naturelement son ami. Quand on a plus mal, on a plus besoin de chalaur. Pas besoin de forcer son corp à lacher prise. Cette chaleur lui avait fait du bien, mias pour l'instant, elle avait sa dose de bonheur. Et dire que le soir où elle l'avait rencontrer pour la première fois, elle désirai temps faire ce qu'elle venait de faire ! Tout ce temps, avant de pouvoir enfin pleurer ce qu'elle n'avait jamais oser pleurer !

Certe elle avait déjà pleurer en venant ici. Mais pour des douleur directs, des douleur qu'elle ne gardait pas en elle. Elle venait d'expirer dans ces lames et cette chaleur ce qu'elle n'avait jamis vraiment accepter. Son frère, sa faiblesse, son manque, son envie. Elle venait simplement de pleurer tout ce qu'être vivant lui avait afliger en douleur. Maintenant, tout allait bien pour le moment. Maintenant, eole allait enfin pouvoir avancer.

Enfin.

-A propos, Marya. Pourquoi étais-tu en train de me suivre de loin? Je ne pense pas que tu m'as suivi seulement pour me présenter des excuses.

La remarque la pris de court ; après ce qu'il venait d'acomplir pour elle, devait-elle encore s ementir ? Elle allait le trahir, elle allait lui faire du mal ! Lui expliquer serait tellemnt simple, tellement plus simple ! Mais qui sait ce qui arriverai si Ogawa apprenait ? Qu'est ce qu'il l'emportait ? Sa fièrtée et son afection désormais évidente pour Kenshiro ou sa Peur sans mesure d'Ogawa et de ce qu'il était capable d'infliger à Daiichi, à elle même ? Elle eu un frison rien que de penser à la dernière fois. Elle calcula rapisment, puis laissa tomber les statistique. Mais c'est finalement la peur qui pris le dessus.

-J'aimerai te répondre oui, mais j'avais ... c'est ridicule je sais mais ... Je voulait savoir où t'allait=s, et avec un peu de chance j'aurai su si tout allait bien avec Ayumi-sempai ... Je sais c'est complètement idiot, mais je voulait pas qu'a cause de moi tout foire, alors je t'ai suivi au cas où t'irai avec elle ... Mais ce n'est pas le cas n'est-ce pas ?

J'aimerai te le dire, et je sais qu'a partir de maintenant, tout ne sera qu'un gros mensonge ; mais j'espère que si nous passons du temps ensemble, tu ne verra pas en moi un enmi, mais qui tien à toi.

Marya savais qu'a présant, elle jouait doiuble jeu. préservé son amitiée tout en l'éloigant d'Ayumi, voilà les condition du pari.

Ogawa le veut, et si je ne le fait pas, Dieu sait ce qu'il ferra.

Marya dettendit son visage, puis pu afficher un sourir. Pas aussi beau que pour haruna, mais un sourir quand même.

J'espère que tu n'aura pas mal et que tu me pardonera ; car au fond, je voudrai que ce temps que je te volerai pour Ayumi, tu ne le regrttera pas.

Ne rien regretter. Elle aura sans doute des remort, mais c'est ainsi. Marya voulait que tout aille bien le plus longtemps possoble, mais sa mission de priorité était la vie de Daiichi. Son avenir. Et ça, elle pourait aimer autant de personne que possoble, cela ne changerai pas.

Daiichi était sa Lune, et pour garder cette lune, elle ferra disparêtre les autres étoiles.

Marya lui donne une réponse clair et simple. Et pourtant, malgré tout, il ne peut s'empêcher de penser que ce n'est pas la raison pour laquelle elle était en train de le suivre comme une espionne à l'affut de la moindre information ennemi. Non, Kenshiro sait très bien que Marya n'était pas de ce genre là. Mais le silence qui s'est posé, même de quelques secondes, le travaille énormement au point de lui faire poser de bien étrange question. Pour qui et, surtout, pourquoi?

Le directeur Ogawa? Il dirige l'école après tout, mais elle aimait autant le directeur que la majorité des élèves, c'est à dire absolument pas. Mais il serait bien capable de lui ordonner de faire ce genre de chose. Mais pourquoi, pour quelle motif aurait il besoin de renseignement sur un simple lycéen alors qu'il sait déjà tout sur lui.

Matsuri-sensei? Non, impossible qu'elle utiliser Marya pour ce genre de chose. De plus, comme Kenshiro travaille en partie pour elle, elle se serait occupé elle même de lui soutirer des informations sur ses questions. Surtout que ça n'arrangerai pas l'accord passé entre eux, même si c'était un ordre du directeur.

Essayant de sortir des supositions qui n'ont peut être pas lieu d'être, Kenshiro regarde alors Marya pour répondre à sa question posé peu avant.

-Et bien, tu as raison. Je ne vais pas voir Ayumi ajourd'hui. Non pas que nous nous sommes fâchés pour ce qui s'est passé le jour de la Saint Valentin au point de s'être séparé, bien au contraire. Bon, je te l'admet, elle m'a boudée un bon moment avant d'accepter de me réadresser la parole. Apparement, ce serait en partie parceque tu t'es excusée auprès d'elle et que tu as expliqué le pourquoi du comment.

Il lance un petit sourir sur ces mots, mais les questions qui le hante reviennent encore dans son esprit et a du mal à s'en défaire. La thèse de l'odre du directeur est pour le moment la plus plausible, mais Marya n'est pas du genre à accepter de trahir une personne pour la gloire. Mais une chose lui revient en mémoire, le frappant presque derrière la tête : Daiichi. Le dirlo aurait bien été assez sadique pour menacer Marya avec le petit. Pas facile de dire non quand on risque de perdre quelque chose d'important.

Seulement, c'est que des suppositions, et rien n'est vraiment sûr dans ces théories. Si il le demandai à Marya, et qu'en fait ce n'est pas ça, il aura l'air d'un con (ça changera pas de d'habitude, vous me direz). Mais sic'est bien ça, comment faire pour qu'elle le lui dise sans problème. C'est sans aucun doute qu'il à fait surveiller Marya de prêt pour éviter les fuites.

Bordel, c'est chiant de refléchir avec rien pour commencer.

[j'avoue x) Mais par contre, tu as mis Mistuko-sensei x") je veux bien mais c'est pas très cohérant tout ça]

-Et bien, tu as raison. Je ne vais pas voir Ayumi ajourd'hui. Non pas que nous nous sommes fâchés pour ce qui s'est passé le jour de la Saint Valentin au point de s'être séparé, bien au contraire. Bon, je te l'admet, elle m'a boudée un bon moment avant d'accepter de me réadresser la parole. Apparement, ce serait en partie parceque tu t'es excusée auprès d'elle et que tu as expliqué le pourquoi du comment.

Il sait.

C'est tout ce qu'elle pouvait se dire en entendant sa voix et son rhytme mal coordoné. Savait-il pourquoi elle lui mentait ? Marya pense que non, sinon il l'aurait déjà tuer sur place. Venir s'excuser sifnifiait qu'on regrettait, et donc qu'on ne souhaitait pas recommancer. Marya ne le souhaitait pas, mais elle allait le faire. Elle allait lui mentir pour le séparer d'Ayumi, elle allait être le simple outil qui n'aurait plus qu'a profiter de celui qu'elle allait peut-être détruire. C'était ignoble, mais c'était ainsi. Marya allait tenir le mensonge, le temps qu'il faudra. Le temps qu'il faudra.

S'il le faut, je jourai le rôle d'anestésiant.

Marya avala sa salive et reussit enfin un sourir. Ce sourir était snas doute unn des meilleur ; pourquoi il fallait qu'il soit faux ? Pourquoi ? Pourquoi elle n'avait pas une machine à remonter le temps pour ne pas avoir à s'excuser, ne pas avoir fait ça ? Pourquoi elle n'avait pas une machine de ce genre pour refaire le destin de Daiichi et la laisser mourir en paix ? Pourquoi elle ne pouvais pas revenir à ce temps si incouciant où elle était princesse ? Où est était une enfant ? Marya ne pleurai plus. Marya souriait pour dire que tout allait bien.

Je vais mentir, soufrir, mais je vous rendrai heureux le temps que je pourai, le temps qu'il faudra.

Chi, Haruna, Kenshiro, Mii, Kaoru peut-être, Megumi même ! Elle voulait vraiment rester pour eux, et même si ce n'était qu'une illusion, elle voulait vraiment leur sourir.

Mais s'il faut les tuer pour que Daiichi vive, alors je le ferait.

Ce sourir durait trop longtemps pour être vrai, ce silence était trop long pour cacher ce qui se passait. Marya le savait. Mais elle voulait vraiment, vraiment ...

-Fait moi confiance.

Le jour où tu comprendras, tu me haïras n'est-ce pas ?

-Kaeruso. [rentrons]

Elle le prends par la main et se dirrgie vers la "zone habité" de Taku dans le parc, passant à côter de cette psedo forêt et s'éloignant du bruit de cascade.

Ne regarde pas mon visage.

Quand elle pu clairement entendre des voix humaine, elle s'arrêta et le poussa vers l'avant.

-Et mainteant je te dis à la prochaine.

Il ne manquerai plus que quelqu'un les vois ensemble aussi ! Marya ne souriat plus, son visage impassible était revenu. Elle inspira en fermant les yeux, santant le vent faire balancer ses cheuveux vers l'arrière. Elle savait qu'il avait la puce à l'oreille, tout ce qu'elle voulait, c'est qu'il ne pense jamais qu'elle le sépart d'Ayumi. Qu'il ne sache jamais. S'il devait se mefier d'elle, bien. Mais que jamais il ne comprène pourquoi. Jamais.

Ses yeux blancs s'ouvrirent, elle laissa s'échapper de ses lèvres :

-Jahna.

[A une autre fois]

Puis elle s'éloigna à l'ombre des arbres et disparut.

Are you the bigger Star in my Sky ?