Takuetsu no gakuen
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Takuetsu no gakuen


 
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Celui qui reste [OS, nouvelle, OC]

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Nakao Kuroshima
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Nakao Kuroshima

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Celui qui reste [OS, nouvelle, OC] Vide
MessageSujet: Celui qui reste [OS, nouvelle, OC] Celui qui reste [OS, nouvelle, OC] EmptyDim 19 Avr - 3:53

La petite chose qui me trottait dans la tete... j'ai eu l'idée en éctouant "come back to me" de Utada hikaru

Celui qui reste :


La nuit envahie la chambre, encore une fois… je remercie toutes celles qui m’aident à t’apercevoir malgré l’obscurité, merci les étoiles… seules alliés dans ce monde éblouissant ou tu survie. Quel immonde vérité… bientôt tu ne seras plus la !

Les voila, traitresses qui prouve ma tristesse ! Elles qui se cachent le jour ou tu essaie de me sourire, me rassurant, les larmes coulent…

En ce moment, tes yeux clos semblent aspirés à un peu de tranquillité, tu t’es endormie ? Cela remonte à quand ? Je ne peux m’empêcher, pourtant je sais, je peux te réveiller… mais est ce que demain sera aussi tranquille que maintenant ? Mes doigts effleurent doucement ta peau…

Je suis assise, te regardant dormir comme toi tu le fais lorsque la douleur t’empêche de te reposer… crois tu vraiment que je sache dormir ? Mon ange, comment le saurais je ? Tu es la, mais pour combien de temps ?

Cette incertitude qui me ronge, je le sais, je ne peux te la montrer ! Si moi aussi je m’effondrerais ou t’accrocherais tu ? Je me dois de rester ton soleil ! Si la nuit prendrais possession de moi, aurais tu tout perdu ? C’est ce que tu me dis ! Mais il faut que tu sache, même si tu souris, même si tu semble invincible, je suis loin d’être aussi forte que toi !

Tu ne les verras jamais, jamais ne les entendras, les mots de mon cœur… Lui qui te crie de ne pas me laisser seule… je ne suis pas courageuse, moi j’ai abandonnée… j’ai mal, plus que tu ne l’imagine !

Cette peur sourde qui me mange, celle qui m’a déjà séduite par ses sombres cotés ! Oui je ne suis pas l’être imbattable que je tente de rester devant toi… depuis longtemps je suis morte…

Comment ! Pourquoi ? Tu me demande de partir mais te laisser ? Telle proposition n’a pas droit d’exister ! Je te rendrais le plus heureux possible ! Tout ce que je pourrais pour que tes instants si comptés soit merveilleux, jalonnés de rire et de promesses…

Je le veux tellement fort ! Mes prières ne pourront être exaucées mais je crois tout de même ! Non je ne te laisserais pas ! Même lorsque tout seras finie, je resterais ton soleil, ton soutien… Ne me demande pas de ne pas t’aimer…

J’aimerais tellement être celle qui partirait ! J’aimerais tellement que tu me laisse partir avec toi ! Restons toujours ensemble comme avant nous nous le croyons !

Je me morfonds, je pleure en silence à cotés de toi, t’évitant ma souffrance, mais l’égoïsme est moi ! Je meurs de te savoir loin de moi, de me retrouvée seule, mais toi…

Toi qui perdure malgré les épreuves, garde la tête froide, c’est toi qui partiras, quels sont tes méandres ? L’impression d’abandonner, de partir sur quelque chose d’inachevé ! Ne t’inquiète pas… je te l’ai promis, je resterais en arrière !

Je ne le ferais pas, te rejoindre dans l’ombre qui te voleras à moi… j’attendrais patiemment que mon moment vienne, priant pour qu’il nous réunisse à nouveau…

Ne part pas avec un poids, reste toi !

Je me couche, approchant mon visage du tien. Tu semble si paisible, comme si aucun mal ne te rongerais ! Tout cela n’est qu’illusion, mythe !

Ton souffle chaud effleure mes joues.

- dors… soupire tu

Alors toi aussi tu m’observais ? Je suis désolé de me montrer si faible face à toi, le comprends-tu ? Ce n’est pas moi qui ai besoin d’être rassurée ! Pardonne-moi…

Je n’ai pas ouvert la bouche, pourtant j’aurais jurée que tu comprennes ! Tu comprenais toujours tout !

Mon regard croise le tien, me plongeant avec délice dans les noisettes, magnifique couleurs ! Comment arrives-tu à me sourire ? Ta main se pose sur mon visage, toujours inerte, immobile, je sens que tu essuie mes larmes.

- Pardon… soufflai-je

Il comprend, encore une fois, son visage s’approche et tes lèvres goutte les miennes, sensiblement pour un de tes dons, baisers. Tu approfondis notre échange, que puis je te refuser ?

Le long de ma colonne vertébrale, ta main à finit par s’aventurer, caressant calmement et intensément ma peau qui frissonne a ce contact. Tu t’approche encore, me faisant sentir ton besoin impérieux de prendre possession de mon corps. Tu me lance un regard si doux, comme pour chercher mon approbation… mais le même feu me brule, il me tarde de t’appartenir encore une fois !

Mes doigts s’infiltrent dans tes cheveux pendant que tu t’insinue dans mon intimité, chatouillant mon bouton de chair, arrivant à me faire gémir. C’est une chose que je ne pourrais oublier, le sexe avec toi fut toujours un moment de pure plaisir ! Attentionnée et prévenant, mais tu sais toujours ce que tu veux ! Tu m’offre toujours ce dont j’ai besoin…

Tu introduis un doigt en moi, je me mords la lèvre. Tes yeux expriment toujours tout ! L’amour que tu nourris, le désir que tu éprouve ! Je prends possession de ta bouche, étouffant ainsi un gémissement de plaisir ! Les murs sont si fins…

Un sourire triomphant et impatient envahis tes lèvres et tu pousse légèrement ma cuisse, te faisant une place. Tes baisers envahissent mon cou, ne donnant plus d’exutoire à mes halètements qui emplisse la pièce, sitôt ton sexe en moi.

J’éprouve un plaisir immense lorsque tes gémissements s’unissent au mien !

Même si encore une fois tu m’as rassurée, si je n’ai pas étais à la hauteur… Pardonne-moi de ne pas savoir quoi faire, quoi dire ! Pardonne-moi de ne pas pouvoir t’aider ! Pardonne-moi mes faiblesses intolérables ! Je ne suis que celui qui reste…
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