Quand on ne parle pas la même langue ... [Terminé]

[Avait envie de faire un RP pour le fun]

-C'est même pas vrai ...
-Si, je te jure !
-Non c'est pas possible.
-Qu'est-ce que t'en sait ? T'as déjà tuer quelqu'un toi ?
-Non, mais j'en suis capable !
-C'est ça ouais !
-Si ! Même que je peux le faire maintenant !
-Et qui ?
-Qui tu veux !
-Bha ... Le gosse, puiqu'il parrait que c'est un méchant ...

Discution très simple d'un groupe d'a peu près 5 ou 6 élève de classe B ; vous savez ? Ces gamin de 10 ans qui n'ont aucune notion, qui pense que le monde tourne autour d'eux, que la chance ira toujours vers eux et qu'il n'arrivera jamis quelque chose qui les incomodera ? Vous voyez.

Ils se retournèrent, filèrent tous droit sur un "gamin, mioche, demi-portion, Chibi" de Classe A assit sur le petit muret. Oui, les maternel, c'est petit, c'est nul, c'est idiot. C'est petit ; Chisai daro ne ? [Insignifiant-Petit n'est-ce pas ?] Sans se demander une seconde ce qu'ils étaient il y a à peine quelque années, c'est ainsi qu'un enfant voit le monde ; il y a les grands que nous ne serront jamais, les petits que nous n'avons jamais été, et nous sommes évidemment bien plus malin et superieur que notre prochain.

On a tous été comme ça, un jour ou l'autre. C'est tellment facile ; on se croit capable de tout ; certain grandissent et se rendent compte, d'autre y croivent un peu trop et se rétame contre un grand mur lorsque leur propre action et leur conséquance les baffent et les ramènent à la réalité.

Alors ces jeunes gens qui n'ont rapelez-vous pas plus d'une dizaine d'années, se plante ainsi devant un "petit", et entame la conversation idiote et malsaine qu'ils pensent mener, conversation dont ils sont les maitres, tout autant qu'ils sont les maitres de cette petites chose infiniment bête face à eux.

-Hey toi !
-Mh ? *Tourne la tête*
-C'est vrai que t'a tuer quelqu'un ?
-Pourquoi je l'aurait fait ? *ton neutre et calme.*
-Parce que. C'est ce qu'on dit dans l'école ; tu as tuer des gens.
-Je pense que tu te trompe.
-N'essay pas de mentir, tout le monde le sait !
-Pourquoi je mentirai ?
-Pour ne pas aller en prison !
-Je devrais donc être un meutrier parce que tout le monde le dit et parce que vous le dîtes ?

Silence. Il semble somnoler.

-Alors, t'as tuer personne ?
-Non.
-Alors il y a pas de raison pour qu'on te tu ?
-Vous vouliez me tuer ?

Les enfants reculent d'un pas, esayent de contenir leur gène.

-Bha, si t'avait été un meutrier, quelle differance ça aurait fait ?
-Marya-nee que ce n'est pas à nous de juger si quelqu'un fait quelque chose de bien ou de mal.
-Qui c'est elle ?
-Marya-nee m'a dit de ne pas te répondre.
-Bon on y va alors.

Les gosses se retournent, commancent à repartir.

-Cela dit ...

Ils s'arrêtent, écoutent.

-Si j'avais tuer des gens, ça aurait été grave ? Puisqu'il seraient mort ...
-Bha oui ... Tu serai un ...
-Ce que serai n'a pas vraimetn d'imporance ... Mais ces gens avait forcement ue vie ... Alors si, ça aurait été grave ... Vous les connaissez ? Les gens qui sont mort ?

Un grand silence ...

-Laissez le, il est bête : ce qu'il dit n'a pas de sens.
-Ouais ...
*ils s'éloignent*
-Tu n'est pas cap alors.
-Bien sur que si ! Mais j'ai aucune raisonn de le faire !
-Quand tu tu quelqu'un, tu n'a pas de raison.
-lorsque tu tu une personne, ce n'est pas quelqu'un.

Ils se retournent.

-Si tu dis "quelqu'un", bien sur qu'il pourra, puisque "quelqu'un n'existe pas ; il n'a pas de vie, ça ne sera pas grave ...
-Tu veux dire ?
-Si je te tuait toi par exemple.

Ils se raidirent.

-Ce serait differant que de dire que tu va tuer quelqu'un ...
-Euh ...
-Laissez-le, Haitsu wa ... [il est]
-Baka ? [bête ?]

Silence encore.

-Mais en même temps, ce ne serai pas grave.
-Tu répetes ?
-Ce ne serai pas grave ; pourquoi tu veux que je le redise ? Tu n'as pas entendu ?
-Si ! J'ai très bien entendu ! Tu veux dire que moi, je suis pas important ?
-Mh ... Je ne sais pas ... Mais puisque tu sera mort, on s'en fiche non ?
-Tu raconte n'importe quoi !
-Tout les gens ... que j'ai vu mourir ... Je ne savais pas qui ils étaient ... Vous croyez que si je les connaissaient, ce serai plus grave qu'ils soient mort ?
-Attends attends : t'as vu des gens mourir ?
-Oui.
-Comment ?
-Quand Marya-nee les a tués.
-Ta Marya, c'est elle qui est une meutrière ?
-Sans doute.
-Et tu était avec elle ?
-Non, j'était à côter.
-Et c'était comment ?
-Les gens crient beaucoup ... Pourquoi cette question ?
-C'est n'importe quoi ! Moi je me tire !
-Poule mouillée va !
-Je suis pas une poule mouillée !
-Et comment elle les tue ?
-En leur faisant mal.
-Et il y a du sang ?
- ...
-Quoi ?
- ... Oui ... Il y en a ... vraiment beaucoup ... C'est tout rouge ...

Le petit est en train de sourir. Il est très calme. Comme si il parlait de sucettes. Vous l'aurez deviner, il s'agit de Daiichi. Les B sont penchés sur lui, lorsque que quelqu'un intervient.

Invité

Michiko trainait dans la cours de récréations. Ces premiers jours de cours avaient été concluants. Elle s'était présentée dans les règles. Elle se doutait bien que sa façon de porté l'uniforme couplé à ses cheveux arc-en ciel ne passerait pas inaperçu. Les élèves avait tous fait de drôles de têtes en la voyant arrivée. Son uniforme tirant sur le gris et ses pieds nus aurait pu la faire passée pour une enfant des rues, mais les bracelets dorés qu'elle arborait aux poignets et chevilles ainsi que le large ruban bleu roi à sa taille démontait cette première hypothèse.

A l'inter-court elle n'avait pas spécialement chercher à nouer contact par habitude pour son ancienne école, où elle devait cacher son dons, mais à ce qu'elle avait vu en arrivant tout les élèves en avait un. Bah ça viendrait peut être dans les jours qui suivent ! Ce qu'elle faisait dans la cour de récrée ? Bah elle profitait de la récrée, enfin comme elle pouvait. Pour l'instant elle essayait de marcher d'un air détendu en évitant de péter un plomb sur les élèves qui chuchotait sur son passage. Oui elle marchait avec un petit nerf qui tressautait juste au dessus du sourcils. u_u#

-Hey regarde, t'as vu la fille qui passe là ? Tu crois qu'elle est nouvelle ?
-Hum... Elle a l'air bizarre !!

Non non, Michi, laisse ça va passer, le temps qu'ils s'habituent à toi dans le bahut!
s'habituent...u_u## Pourquoi son pas se faisait plus lent ?
S'habituent..u_u###. Pourquoi elle était en train de se retourner lentement ?
Michiko ne craque pas !! J't'en prie ! Ne craque .....

-Raaaahh !!! Mais c'est pas bientôt fini !!J'entends ce que vous dites en plus!!!

Pas.
Il s'en suivit un grand silence dans une partie le cours, beaucoup avaient sursauté et s'étaient retournés vers elle. Hurler n'avait pas servit à grand chose du coup. Mais au moins ça fait du bien de crier un bon coups de temps en temps, non?

Elle reprit sa marche lente au milieu des gens. Elle profita d'un groupe particulièrement dense pour se volatiliser en passant derrière quelqu'un qui lui tournait le dos. Laissant de nouveaux regards incrédules, mais au moins elle avait un peu la paix ! Elle s'éleva sous forme de brume très légère au dessus de la masse d'élève, ils la prenaient pour une simple brise un peu plus humide. Elle se laissait porter par les courants sans but précis quand elle remarqua un petit groupe de mioches qui se dirigeait vers un autre mioche encore plus petit. Curieuse elle s'approcha tout près d'eux et écouta un peu se qu'il se passait. Ils tenaient une drôle de discussion un peu glauque. -_-" Ils avait un ton accusateur et le plus petit ne se laissait pas faire pour autant! Les plus grands semblaient s'impatienter et ils se penchèrent sur le plus jeune, la brume eut l'impression qu'ils allaient le frapper .

Ce fut à cette seconde précise que Michi eu l'idée de leur jouer un tour. Toujours invisible elle s'accouda sur des deux gamins penchés sur le petit blond et lança d'un voix forte mais dont le ton se voulait enfantin:

-C'est quoi vôtre jeu ? Moi aussi je veux jouer !

[SVP, va faire un tour dans Flood>Coin blabla > Le reflet de ton âme ^^- très utile pour mon Daiichi]

Les yeux toujours aussi "endormis", Daiicjhi regardait les B sursautter, et la plpard fuire à toute jambes, suivit du reste de leur compagons. Daiichi se mit à sourir, puis regarda la jeune fille ; Une magnifique jeune femme, pour vous dire, aux cheuveux ciel après pluie (c'est ainsi que Daiichi désignes les couelurs de l'arc-en-ciel), le visage chaleureux et un sourir fin à faire craquer. Son corps brumeux était amusant, et Daiichi ne retint pas un sourir admirateur (même si son regard de somnambule restait bien implanter dans son visage de gosse attardée deux de tenssion).

-Yamado-damashii-san !
[Daiichi te prend pour un esprit japonnais]

Puis les ailes apparurent, et le sourir se transformant en visage inexpresif, tant la surprise était grande.

-Niji ...
[arc-e-ciel]

Il se releva du muret, et clama d'une voix enfantine et polie :

-Ajimemashite. Poku wa Yumemaru Daiichi desu. Yoroshikun desu. Il relève la tête. Anata wa darre ?

[ultra court >w< J'espère qu'on débouchera sur de quoi faire plus long]

Invité

Lorsque les enfant prirent peur Michiko éclata d'un rire franc et joyeux dans le même temps qu'elle se re-densifiait. Un nouveaux tour à ajouter à sa panoplie de farce! Elle se tourna ensuite vers le petit garçon blond et se pencha vers lui avec son éternel sourire, le tout agrémenté du petit tintement métallique que produisirent ses bracelets d'or à ses poignets. Le gamin avait un drôle d'air composé d'un regard endormi et d'un sourire trop chou au goût de la multicolore.

Elle prit un air un peu étonné quand le gamin l'appela esprit. Mais elle en rit gentiment en lui ébouriffant le cheveux. Après quoi il dit simplement "Niji". Sur le coups elle crut qu'il parlait de ses cheveux alors elle dit en tirant une mèche.

-Oui, j'ai des cheveux de toutes les couleurs c'est comme ça !

Le gamin se leva du muret ou il était perché et se présenta.

- Moi c'est Shiraishi Michiko, Shi-ra-i-shi Mi-chi-ko ! Pas Yamado-damashii ! Insista-t-elle en s'asseyant en tailleur pour être à la hauteur du gamin, cette fois ce fut les anneaux d'or à ces chevilles qui tintèrent au contact du sol. Avant d'ajouter quoi que ce soit , elle s'accouda sur ses genoux et prit le temps de détailler le dénommé Daiichi. Il avait pas l'air méchant, un petit blond aux yeux rêveurs. Il parlait d'une "Marya-nee " aux autres gamins, cela voulait peut être dire qu'il avait une grande sœur qu'il voyait souvent et qui donc devait être élève à Takuetsu. l'adolescente se redressa un peu et pointa le pouce dans la direction où les autres gamins s'étaient enfuis.

-Dis, y'en à souvent des fourmis dans le genre qui viennent te chercher comme ça ?

Ce petit avait l'air d'être de ceux qui étaient trop gentils en même temps très mignon. Quand il s'était présenté la Shiraishi s'était retenue à grand peine de le prendre dans ses bras tant il était trognon.

[avait zapper >w< pas tapper x'o]

Quand elle l'éppela son nom avec précision à la manière d'une maitresse face à une calamitée mémographique qu'étaient la plupart des enfants, Daiichi eu soudainement un grand sourire, et ses yeux vairons jusqu'alors calmes s'allumèrent avec la fois douceur et violence ; Daiichi sortait de sa bulle.

-Dis, y'en à souvent des fourmis dans le genre qui viennent te chercher comme ça ?
-Ippai ! [Plein] répondit-il joyeusement. Tous des blancs ! [jeu de mot pourri entre les ailes sans experiances et l'expression "bleu"]

Elle ne pouvait pas comprendre ... Et alors ? Le cerveau de Daiichi était déjà passé à autre chose. Il se mit à tourner joyeusement autours de la jeune fille et regarder de plus près ces ailes incroyable.

-Golden Prism dayo !
[Prisme d'Or]

En effet, les ailes dénuée de trace d'experiances réellement blessantes et surtout tranparantes, l'ombubilaient tout simplement. Une paire d'ailles de chérubin taillée dans du verre aux tintes jaunes pâles et dorées ou chaque rayon de soleil se faissait décomposer de mille et une couleurs ; Daiichi avait cru voir qu'elles se "brisaient" en poussières lorsque la jeune arc-en-ciel se changeait en brume.

-Hajimete mitai ! [c'est la première fois que je vois ça]

Il se retrouva dans le dos de Mishiko et effleura du doig ce qui lui semblait à vue être du cristal, mais se rendit compte que la texture resemblait plus à celle d'une pierre ; lorsque qu'il retira son doigt, une poussières blache lui resta ;

-Omoshiroï daro, kono Image ! [c'est amusant cette Image [prononciation anglaise]

Puis il continua de passer ses main sur les ailes, un geste à rendre folle de jalousie la grande soeur ; Sans s'en rendre compte, Daiichi provoquait des sensassion bien étrange* à la Lycéenne, puisqu'il n'arrêtait pas de frotter ces ailes directement relier à l'âme et surtout ici au corps de celle-ci ! Après qu'il tique enfin que Mishiko ne devait pas se sentir bien, il recula d'un pas et, comme par une pirouette, se retrouva devant elle en lui demandant si tout allait bien. Puis son regard desormais bien actif décrit alors les traces sombre qui passait devant les sculpture de glaces, empechant la lumière du soleil de l'atteindre pour se séparer en les sept couleurs du spectre. Elle était triste, certe, parfois, mais elle ne laissait pas cette brume s'incruster dans ses ailes. Une Image bien suffisante pour dire :

-Kimi wa tsuyoï ! Sugoku tsuyoï dake !
[Tu es forte ! Vraiment super forte !]

Puis il reprit cette espece de danse de la joie qu'il executait toujours dans ce genre de saute d'énergie, lorsqu'il sortait de sa bulle d'otisme parfois éphémère, parfois persistante.

Lorsqu'il sort de sa bulle, il sort tout le monde de la leur ; c'est son rôle.

*Le don de Daiichi est d'être un passage direct entre notre monde et celui des ailes ; ce monde et ses composant son reliés à notre monde physique et à celui des âmes vivantes (autremement dit, les ailes sont relier à notre corps et à notre âme. Daiichi ne peut pas interagir avec le mode des âmes, puisqu'il n'en a aucune ouverture ; il ne peut qu'interagir et voir avec les éléments du monde des ailes. L'apparance des ailes sont le reflet de nos âmes, via les "Images" qui les arborent. Quand au relation avec le corps, il peut faire réagir des organes en touchant les ailes ; par exemple, empoigné violement le 'lobe' de l'aile provoque des malaises, carresser équivaut à calmer et à détendre, toucher l'interieur, de l'aumoplate jusque le 'coude' de l'aile provoque des sensation de plaisir (il n'a jamais fait le dernier encore ^^')

Invité

[pas grave si tu répond pas le lendemain hein ! :p Moi aussi je peux pas forcément me connecter tout les jours! ^^)

Le gamin avait répondu d'une drôle de façon à la question de la multicolore. "Plein!! Tous des blancs!" Là elle avait pas tout compris! Elle avait eut un air un peu grave quand il avait dit plein, cela voulait-il dire que ses récrée n'en étaient pas ? Que se serait-il passé si elle n'était pas intervenue ? La seconde phrase par contre demeurait obscure... "Tous des blancs" Quel rapport ? Et à quoi, la couleur de peau ? Là elle avait beau cherché elle trouvait pas.

Elle observait Daiichi tourner tout autour d'elle et lancer des bouts de phrases qui ne semblaient avoir de sens que pour lui. Qu'est ce qu'il avait son dos ? Son uniforme et tout ce qu'ils à de plus gris, Michiko (pas Mishiko ;) )était intriguée et curieuse , au point de tirer son épaule gauche avec sa main droite pour pouvoir tourner la tête un peu plus loin. Elle ne vit que le dos de son uniforme tout ce qu'il y a de plus normal. Et puis il était passé où le gosse rêveur ? Là elle avait un petit bout en train limite hyper-actif ! Oo

Au bout d'un moment, elle se sentie apaisée et détendue, elle faisait abstraction du reste, comme si on avait mit un voile sur ce qui l'entourait, une sensation de flotter à la fois étrangement similaire à ce qu'elle peut ressentir lorsqu'elle se laissait voler au grès du vent et en même temps totalement nouvelle. Elle était jute bien. Une sorte rêve les yeux ouverts qui finit comme il avait commencé : mystérieusement aux yeux de la lycéenne. La voix de l'enfant fit immerger complètement l'adolescente.

-Kimi wa tsuyoï ! Sugoku tsuyoï dake !

- Héhé!! Qu'est ce que tu crois que ces des gamins qui vont me faire peur ?! Clama-t-elle Un sourire conquérant au lèvres.

Elle se demandait un peu si cela ne tournait pas au dialogue de sourds, elle avait la drôle d'impression de répondre à côté à chaque fois qu'elle parlait à ce petit blond aux yeux vairons. Elle voulait avoir le fin mot de cette histoire et elle userait de toutes ruses. Là sa curiosité était piquée au vif !

-Dis c'était toi tout à l'heure ? Tu te servais de ton don sur moi ou quoi ?!

Elle avait pris un air suspicieux et en même temps complice, elle indiquait ainsi à l'enfant qu'elle plaisantait à moitié.

-Et si tu ne me le dit je serais dans l'obligation de te faire parler...

Elle avait dit cela en levant ses mains, comme un criminel lèverait un couteau avant d'attaquer, voulant donner un avant goût de ses méthodes d'interrogatoire, elle se jeta sur le primaire et se mit à le chatouiller sur le ventre et au niveau des côtes. Elle aussi elle savait être une pile et l'un de ses tour préféré en mode pile c'était les chatouilles !

La mini-pile hyperactive se mit à rire d'un rire bruyant et clair, un rire d'enfant inocent comme un tintement de cloche : Les chatouilles, une arme redoutable v.v Ne jamais sous-estimer la puissance des petits doigt délicat qui se glissent sur vous et vous provoque des crises de rires indéterminées ! Plié en deux, en hurlant presque, daiichi lança son accord pour répondre à cet interogatoire ; la douleur dur rire fait du bien une fois, mais ça fait mla au abdos à la fin v.v

-Mon don, c'est ça !

Daiichi se remit à tourner énergiquemtn autour de Michiko [x)] et revint en face d'elle avec ... Une plume ? comment t'a réussit à prendre un plume à cette sculpture de glace ???

Retour en arrière : pause, ralentit, et marche ► ; Daiichi passe derrière Michiko-chan, met sa main sur la sculpture, pince sur un relief qui ressemble à une plume qui se délie immédiatement du cristal en laissant des trainées de poussière blanches et crayeuses flotter dans le vent, ne laissant dans ses petites main qu'une petite suclpture de verre tinté or qui décomposait à la perfection avec une beautée surnaturelle les couleurs des rayons diurnes. Puis on revien devant Michi-san et pouf !

-Mina no tsubasa mieru !
[Je peux voir les ailes de tout le monde]

Difficile à comprendre hein ? pas grave, il est gentil, il va juste trop vite pour vous ...

-Eto ... Kimi ? Niji desuka ?
[Heu ... Toi ?(et toi ?) c'est l'arc-en-ciel?]

Invité

Michiko était contente que sa ruse ait fonctionné. Après tout elle avait l'expérience derrière elle, Sa soeur était presque aussi chipie qu'elle et Les chatouilles venait à bout de la petite peste quand la multicolore voulait savoir ce qui turlupinait sa petite Yumi. Le petit garçon succomba aux chatouilles et alla chercher quelque chose dans son dos, pour ensuite revenir les mains jointes en bol comme si il y avait quelque chose au creux de ses petites paumes. Seul bémol, la lycéene ne voyait que du vide là où Daiichi y voyait quelques chose d'important.

-Mina no tsubasa mieru !

Elle eut comme Un temps d'arrêt, les gens? Des ailes ? Sur le coup elle se demanda si le gamin ne divagait pas. Mais en y repensant il avait fait quelque chose dans son dos qui avait eu une répercutions sur elle et ce sans qu'il ne touche le dit dos. Elle ne savait si elle pouvait y croire mais en même temps si il était ici c'est qu'il avait un don particulier...Et visiblement qui influait sur les gens à leur insu, cela était à la fois fascinant et effrayant.

-Eto ... Kimi ? Niji desuka ?

Michiko imita le gingle d'une bonne réponse dans les émissions de questions-réponses.

-Ding!Ding!Ding! Est le gagnant est Daiichi-kun !! Omedeto ! En fait je transforme mon corps en nuage et des fois ça fait des arc-en-ciel avec la lumière.

Joignant le geste à la parole l'adolescente, qui était toujours assise en tailleur, se mit à devenir transparente. L'espace d'un instant la brume de son corps permis d'apercevoir le fameux arc coloré avant que couleur et corps ne soit plus. Pour faire simple la Shiraishi réduisait à l'était de gaz tout ce qui était en contact direct avec son corps.
Il y eu un légér courant d'air qui frôla la douce peau de l'enfant puis une main lui tapota l'épaule accompagné d'un tintement métallique. Michiko venait de reprendre une densité normale et ce trouvait à présent derrière le primaire.

-Bouh! Fit elle en souriant lorsque celui-ci se retourna.

[Quand Daiichi y met suffisement d'énergie, tu peux voir les éléments de l'autre monde, puisqu'il le fait passer dans le monde physique. Tes ailes sont difficile à faire passer ? Je pense que oui, puique vu leur apparance, elles sont très spéciale]

Gling gling

-Bouh !

Daiichi avait les yeux grand ouvert sur la lycéenne derrière lui : C'était simplement sublime. An acr en ciel miniature doublé d'un ange d'un autre monde.

-Sugoï ! murmura-t-il les yeux équarquillés. Soka ! Anata wa Kiniji ! Kiniji-nee !
[Je vois, tu es Kiniji, grande soeur kiniji]
[金 = Kin ; Or, métal /虹 = Niji ; arc en ciel / -nee ; suffie de la fraterie]

Daiichi avait collé l'image. Ces tintements raisonnants et ces ailes en cristal jauni présantait l'or, et l'arc-en-ciel vient de lui même. Michiko, tu es desormais la soeur au bracelet d'or et aux cheveux Niji.iro [couleur arc-en-ciel], de même pour tes ailes. Pas besoin de les regarder pour connêtre le tréfond de ton âme, car ton apparence physique est à l'image de ton âme. Tu es l'enfant pur et surnaturel que personne ne pourra ternir, à moins de briser la sculpture de cristal, bien trop belle pour que quiquonque ait envie de la détruire.

Mais si quelqu'un ne se rendait pas compte de ta beautée interieur ?

Si quelqu'un venait à détruire cette merveilleuse architecture qu'est ton coeur épuré de sentiment de haine, si fragile en fin de compte ? Car ta seul soliditée reside dans ta beautée, et il est parfaitement possible que quelqu'un te brise.

Ne te brise pas, tu es si belle ...

La plume, après la surprise, s'est envolée dans l'invisible du monde des ailes ... elle n'existe plus nul par, ni dans le monde physique, ni dans celui où elle était née et destiné à rester. Daiichi pouvait cueuillir une fleur pour la montrer à tous, mais dès qu'il la lacherai, elle disparêtrai pour tous.

-Michiko Kiniji-nee, Anata wa kirei. Ontoni ! Demo, kiotsukete, anata no kokoro wa Yasashi.
[Tu es belle, vraiment, mais fait attention, ton coeur est [yasashi > gentil, mais comme en français, signifie faible].]

Sur ce, il semit dans ses bras [FREE HUGS !] et ferma les yeux, rien que pour ressentir cette énergie ultra positive prèsque trop irréaliste tant elle était puissante. Un nouveau sourire naquit, Daiichi se sentait bien, si bien ...

-Misete, anatano umô ! [Regarde ton plumage/ta plume]

[chose que tu ne peut pas faire parce qu'il na pas donner assez d'énergie pour te la montrer ^^-]

[Je squatte! ça te dérange pas Daichi? tu sais que Kanou peut partir sans problème alors si je dérange...]

Kanou dans la cour de récré! Et bien oui, tout arrive! Non, s'il est là c'est parce que... Qu'est ce qu'il fait là au fait? Laissez moi réfléchir... Comme après chaque cour il est sortit à la sonnerie et c'est dirigé vers la forêt pour y passer sa récré tranquille sans personne, mais même si la dernière fois il avait rencontré quelqu'un dans l'escalier du courage, il se dit que maintenant il pouvait de nouveau y aller sans être dérangé. Et cette escalier était plus près des salles de classe il était donc plus simple pour les rejoindre rapidement après la sonnerie. Le blondinet s'y était donc installé, mais...il eut finalement envie d'aller dans la forêt malgrès les avantages de l'escalier. Qu'est ce qui le poussait a y aller? Une intuision? le souvenir de sa rencontre avec Mii? La tranquilité qui y reigner? Son lien entre son pouvoir et la forêt? Il ne savait pas mais il en avait envie, donc il y alla.

C'est en chemin que les chose se compliquèrent, en tous cas pour Kanou. D'abord il appréhenda de passer à travers la foule des élèves qui commençait à tous sortir à cause du printemps. Il finit par trouver un passage plutôt vide dans cette grande cour. Ensuite, il faillit se faire bousculer par des gamins d'à peu près son âge mais plus grand. Le fait qu'il se mettent en colère contre eux ne leurs plut pas, mais le regard noir et peut être la chose qui leur avait fait peur il y a peu, les disuadèrent de chercher plus de noises que ça à Kanou et il partèrent en disant qu'il ne l'oublierais pas, mais le garçon n'y fit pas plus attention que ça.

Enfin, le dernier élément qui fut mauvais pour Kanou et bon pour moi, enfin surtout pour nos humeur. Alors qu'il maudissait son idée d'aller dans la forêt, il entendit une voix qui lui était familière. Et dans cette académie il n'y avait pour le moment que deux voix qui pouvait lui donnait l'impression d'être familière : celle de Mii et celle de Daichi. Dans ce cas, c'était celle de Daichi, et pour le vérifier, et en espérant que ce n'était pas le cas, Kanou se tourna donc vers les deux personne qui discuter. Il y avait une jeune fille aux cheveux arc-en-ciel, mais il était indéniable que le petit garçon avec qui elle parlait était bien Daichi. Kanou les regarda se demandant s'il avait le temps de filer sans être remarqué, et il commença à se retourner, mais...

... Il se fit sauter dessus par un chiot extremmemnt affectueux ^w^- ♪

-KANOU-NIIIIIII !!!

Retours rapide en arrières, reppassage au ralenti : Daiichi fait un gros calin à Michiko, oui. Daiichi voit une paire d'ailes bien connue avec des chaine qu'il entends cliquetté de manière très différante des bracelets de sa nouvelle amie ; Kanou, oui, vous l'aurrez capter. Daiichi s'écarte avec rapidité en profitant de sa petite taille puis court à toute vitesse : Hein ? Daiichi prend son élan et son inspiration de manière instincitive, bondit tel un petit fauve et rugit avec sa voix aigue d'enfant le nom de son collocatiaire v.v'

Résultat final : Daiichi accroché au dos de Kanou et ce dernier pratiquement ... écrasé sous le poid plume ^^'

-Kanou-nii ! Kanou-nii ! Koï koï Koï, misete Kiniji-nee !
[viens viens viens voir grande soeur Michiko (il va l'appeler comme ça souvant x)]

Puis il le lâche sans s'être rendu compte qu'il n'avait même pas toucher son ami (oui comme d'hab, Kanou utilise son don pour éviter le contacte je suppose --') , le prend par le T-shirt et l'emmène voir la lycéenne ... Pfiou ! Pile élécrtique, c'est trop faible pour ce gamin je vous jure !

[Qui à dit que ça dérrangeait ? C'est tout le contraire, Daiich' est ravi ^^- ♫]

Invité

Elle put s'empêcher se rire devant le surnom que venait de lui donner le gamin aux yeux verrons, cela était à la fois juste et logique. Pas besoin d'aller chercher loin pour comprendre comment il l'avait trouvé. Daiichi était en somme en bout chou aussi attachant que surprenant. Après l'émerveillement Michi put voit une sorte de voile passer dans ces yeux vairons comme une tristesse passagère, la mise en garde qu'émit le primaire donna l'impression à la lycéenne que son cœur avait manqué un battement.

-Michiko Kiniji-nee, Anata wa kirei. Ontoni ! Demo, kiotsukete, anata no kokoro wa Yasashi.

Yasashi, Faible ? Elle ne savait comment le prendre, surtout venant d'un enfant de cet âge.Elle venait de le rencontrer...Était-ce si flagrant pour qu'un enfant tel que lui le vit ? Où était- ce une première impression ? Le petit garçon ne lui laissa pas le temps de penser plus qu'il se blotti dans ses bras pour un câlin. Elle machinalement elle le serra tendrement contre elle.[Free Hugs powwaa !!! *w*] Après un instant, il aperçut quelque chose ou quelqu'un qui le fit s'extirper du câlin et courir en direction... d'un autre primaire. La multicolore le vit bondir dans les airs pour se jeter en hurlant sur l'autre garçon. Curieusement, elle avait l'impression de revoir une scène d'un manga très connu sur l'alchimie où Edward-le héros alchimiste-hyper-connu-et-riquiqui - se faisait ratatiner par un énorme chien blanc en guise de bienvenue chez son maitre, un autre alchimiste. Elle ne put s'empêcher de sourire devant la joie de Daiichi, son camarade avait tout juste le temps de comprendre qu'il le tirait déjà en direction de"Kiniji-ne". Sauf que, contrairement à celui qui voyait les ailes, le colocataire ne semblait pas ravi de venir.

Michiko préféra attendre que les deux garçons soient arrivés. Elle fit ensuite son plus beau sourire et se présenta. Sourire, c'était un cadeau qu'elle faisait à tous. Un signe amical qu'elle tendais plus facilement aux enfants qu'au plus grands allez savoir pourquoi.

-Watashi wa Michiko Shiraishi dessu. Yoroshiku! [ça doit être la seule phrase que je connais en japonais xD]
[Je suis Michiko Shiraishi, enchantée! ]

Noonn!! (Ouuuiii! dans ma tête) Kanou avait était repérer! Le cri du petiot aux cheveux argenté qui s'adressait à lui fit sursauter Kanou il savait presque à quoi s'attendre, et tout en activant son pouvoir il voulut se retourner, mais... trop tard mon cher, car Daichi est d'une incroyable rapidité dès qu'il s'agit de sauter sur les gens. Son T-shirt gonflé comme un ballon de baudruche amortit le choc des deux côté, et tu l'as deviné (comment t'as fait oO XD) empêcher tout contact corporel. Mais Kanou est loin d'être au bout de ses peine(kihihi^^). Car bien entendu il voulu se relever, un gamin sur le dos ou non. Mais là aussi, le temps qu'il rassemble sa force pour, Daichi le dépasse, et se lève en premier pour attraper le T-shirt du blondinet qui vient à peine de se lever, et le traîner jusqu'à l'autre fille.

Vous vous douter bien que kanou ne veut pas se laisser faire. Malheureusement, Daichi devait être dans son bon jour, ou alors Kanou avait t il moins de force qu'un garçon une classe de dessous de lui? Peut être un peu des deux? Bref, il enfonça comme il put ses pied dans le sol en essayant en même temps d'aller à contre sens, mais d'où le petiot tirait il cette force?! Mon petit Kanou tu oublie peu être que tu n'es pas très fort, au sens premier : force brute, en général, et surtout que tu es telement petit que tu fais presque aussi petit que Daichi...Il ne put rien faire d'autre que s'essouffler pour rien. Mais surpris comme il l'avit était il n'avait pas eut le temps de réfléchir, et ce n'est que quand il cria à l'adresse de Daichi :

-Lâche moi Pot-de-colle!!

qu'il se rendit compte qu'il lui suffisait de rendre son T-shirt trop glissant pour être attraper. Il le fit donc, et Daichi ne put que lâcher prise, mais trop tard pour le primaire de la classe B qui se retrouva devant une inconnu aux cheveux arc en ciel, mais trop âgé pour que Kanou ne fasse qu'une once d'efforts pour lui parler. Celle ci lui adressa un sourire amical et se présenta, sans rien d'autre en retour qu'un regard noir. Ce regard il le jeta aussi à Daichi. Un regard qui pourrait faire peur si quelqu'un le prenait au sérieux un jour en considérant le reste de son corps, rempli de colère. Mais bizarrement, il ne ressentait pas cette antipathie qu'il avait contre les gens de plus de 14 ans, approximativement, aussi fort qu'avec les autres. C'était peut être le regard de la jeune femme qui était rempli de gentillesse, et ne lui voulait aucun mal bien au contraire, sans une once de tromperie ou mensonge? Mais Kanou resta sur ses gardes, elle pouvait très bien être comme ça aujourd'hui et que ses intentions change plus tard. T'es vraiment trop méfiant mon petit Kanou...

Donc, après ses regards noirs il détourna la tête les bras croisé, en poussant un "Pff" avec une mine ; boudeuse méfiante, et presque arrogante. (Je ne sais pas si vous voyez la posture, mais moi en l'imaginant, je le trouve trop chou.) Bref, le message était clair : "Rien à battre, je t'aime pas!" Est ce que je dois rajoutez un "comme tout le monde!"?

[michiko > (fma : comment t'a deviner ôô !x)]

Pas la peine, pas la peine on a très bien compris ^^- ♪

Daiichi était pratiquement à sauter sur place avec ce grand sourir idiot qu'on tout les enfants de moins de 6 ans lorsqu'ils ne font pas leur crise de nerf 'je suis le centre du monde et c'est moi qui commande' ce qui d'ailleur n'arrivera jamais à Daiichi (ne me lme demander pas, vous savez très bien pourquoi ; vous l'avez bien regarder ? cet espèce d'otiste en surtenssion n'est pas capable de la moindre once de nombrilisme Y-Y) ...

Brefouille, à grand éclat de rires, Daiichi se trouvait à profiter de moments agréable SANS Marya ... Sans Marya !

Ey ey, c'est qu'il y a de l'amélioration dis moi ! Malgré le hurlament monumentale de Kanou à son adresse, M. Joie et bonheure sur Terre est completement ivre de Bonheure [la repétition ôô Pas cool >w<-]

Puis de nouveau (après avoir fait des tour et des tout autours d'eux avec sans doute deux trois pirouettes dont il à le secrtet qui lui manque de se rammasser la geuele au sol) il s'asit sur le muret et continua de sourire bêtement, poitant parfois du doigt Kanou avec sa petite bouille 'genre je m'en foutisme' mais qui était simplement trop craquante.

-Kiniji-nee ! Kanou-nii, ichioni asobu ni masho !
[jouons ensemble]

Il ne pouvai pas s'arrêter de les sortir de leur bulle ; c'était comme si il devait toujours en faire plus, jusqu'au moment où enfin il réintergrerai brutalement la sienne. C'était ainsi. Etrien ne pouvait en changer.

Invité

Michiko avait rigolé franchement devant le regard assassin du camarade de Daiichi, Ce petit blond semblait être le caractère opposé du petit au cheveux de lune. Pourtant le plus jeune ne semblait pas remarquer le moins du monde l’air renfrogné de Kanou. Ce qui fit que la multicolore ne put s’empêcher d’ébouriffer les cheveux du blond. Daiichi lui dansait de joie autour d’eux. Elle se surprit à espérer que son don consiste en une danse de la pluie. Mais elle savait déjà que le gamin au yeux vairons avait le pouvoir de voir des sortes d’ailes dans le dos donc pas de pluie…Malheureusement.

-Kiniji-nee ! Kanou-nii, ichioni asobu ni masho !

-A quoi tu veux jouer ?

Jouer ? Oui pourquoi pas. Elle adorait jouer avec les enfants. Son seul soucis pour le moment était l’heure. En effet elle était en train de sortir son Keitai pour connaître l’heure, les récrées des lycéen étant plus courtes que celles des primaires et il ne fallait pas qu’elle soit en retard à la reprise.

- Hum …Il me reste encore cinq minutes après je dois retourner en classe ! Dit-elle finalement en rangeant le téléphone. Elle se demandait si le petit grincheux accepterais aussi de jouer, si la réponse était non elle comptait sur l’aide de Daiichi pour tenter une offensive de chatouilles, les deux grandes questions étaient :
Daiichi la suivrait-il dans son plan ?
Kanou craignait-il les chatouilles ?

Des questions assez épineuses...u_u

Daichi énerva de plus en plus Kanou, il lui tournauit autour, et Kanou était sur le point de craquer, et de taper Daichi quand...La jeune fille devant lui lui ébouriffa les cheveux! Ce geste lui rappela un mauvais souvenir, celui de quelqu'un qui lui attrapait les cheveux, mais non comme signe d'affection mais bien au contraire. Quand on le faisait, c'était généralement pour les lui tirait, l'engueler, et parfois le frapper. Je sais c'est pas très gai tout ça. D'ailleurs, Kanou réagit très mal. Sa phobie resortit et une lame de tissu faillit aller frapper Michiko au ventre, mais s'arrêta au dernier moment. Ce geste, cette main sur ses cheveux, se n'était pas une menace, ni une promesse de violence qu'elle quel soit. Non, c'était autre chose, quelque chose de plus doux, quelque chose que Kanou ne connaissait pas. Sa lame se baissa et retomba comme l'aurait fait n'importe quel tissu, sans que les autres n'ai eut l'air de remarqué qu'il n'avait jamais bougé.

Kanou était maintenant sombre, sous sa frange on ne pouvait voir son expression. Mais il était confus, ne sachant plus très bien où il en était. La notion de gentillesse finirait elle par rentrer dans sa petite tête?

-Kiniji-nee ! Kanou-nii, ichioni asobu ni masho !

La voix de Daichi sembla le réveillé, il avait comme était ailleurs pendant quelques seconde, et il fut surpris par la voix du petiot. Il se tourna vers lui, semblant sortir peu à peu de la topeur, et eut la surprise de le voir sur un muret.

-Jouer?

Ce mot sortit de sa bouche sans vraiment qu'il s'en rende comte... Un murmure... Les yeux toujours un peu dans le vague, pas tout à fait réveillé, mais pas tout à fait ailleurs non plus.

-A quoi tu veux jouer ?

Encore ce mot, Kanou réfléchit un peu, sa notion de jouer était ttrès désagréable pour Kanou. Quand on disait jouer là où il était, c'était plutôt des jeux pervers. Jouer avec des humains comme pièce vivante, jouer à des trucs..humhum... je sais c'est pas très...enfin oui, des jeux...sexuels..., ou encore des jeux de sadiques... bref tous sauf des jeux innocent de gamin. Mais Kanou même s'il ne connaissait pas Daichi depuis extrêmement longtemps, avait quand même compris qu'il n'avait rien à voir avec les membres de sa famille, même si dans sa tête il ne l'avait jamais pensé comme ça, c'était ça. Et donc, il avait beaucoup de mal à imaginé le garçon joué à ce genre de jeux. Donc après ça, il ne faut pas s'étonner de voir s'afficher sur son visage avec ses sourcil de nouveau froncé, une expression septique, mais vraiment très sceptique.

- Hum …Il me reste encore cinq minutes après je dois retourner en classe !

Le blondinet secoua la tête et se ressaisit.Mais qu'est ce qui lui arrivait ses temps ci? Peut importe ce que c'était, il n'avait pas envie d'essayer, se méfiant de se qu'y pourrait l'attendre. Mais une pointe de curiosité agaçante pour lui restait, il se demander se que jouer pouvait vouloir dire pour eux...Mais maintenant ayant entièrement repris ses esprits, sa méfiance, et son mauvais caractère reprirent le dessus. D'une voix dure et un visage à nouveau antipathique il répliqua :

-T'as qu'à partir maintenant.

J'ai faillit rajouter "ça nous fera des vacances", mais dire ça aurait eut pour conséquence d'impliquer Daichi dans le "nous" et donc de dire qu'il avait un lien, et ça Kanou n'était pas encore près à l'accepter, et ensuite parce que pour lui les vacances ne sont pas un moment agréable et donc cette phrase qui parrait comune ne lui serait même pas venu à l'esprit.Bref, mauvaise humeur au rendez vous, il se rendait quand même comte que la jeune femme n'avait pas l'intention d'en restait là. Il prit donc ses précaution, et se prépara à agir, ses habit devinrent solide et rigide pour le protéger, et sa concentration et son attention active, il était près à réagir à la moindre tentative d'approche. Un regard menaçant et défiant quiconque de le faire sur le visage.

Même si je ressant ta crainte, je veux que tu vienne avec moi ...

Will you come with me to Neverland ... ?

Daiichi se sontenta de sauter de son perchoir, se mettre entre les deux autre, puis les tira pas les vêtements, puis, comme ayant eu un trait de génie, il se retourne et fait face a ses deux "amis" :

-Kanou-nii, Kiniji-nee ? le dernier qui dit "j'abandonne !" ^w^-

Et à la place de répondre au message de Michiko, Daiichi se jette sur elle, ionvitant son colocatère à en faire de même pour une torture d'un autre genre ; les chatouilles ! La vangeance à commancer ! Une gurre sans merci dont l'arme secrette n'est autre que le rire ! Et qui abandonnera en premier ? Kanou allait-il prendre gout au jeu ? Si la grande taille de la lycéenne étaitn un grand avantage, elle était tout de même cernée par deux petits gars bien vigoureux !

Invité

-T'as qu'à partir maintenant.

Michiko haussa un sourcil, l'avait-elle vexé ? Avec ce regard plein de défi et cette attitude raide, Kanou s'était visiblement mit sur la défensive. Elle préféra ne pas le brusquer et le braquer aussi elle répondit avec douceur.

-C'est gentil de ta part de ta part mais je préfère profiter de ma récréation jusqu'au bout. Les cours sont assez barbants comme ça...

-Kanou-nii, Kiniji-nee ? le dernier qui dit "j'abandonne !" ^w^-

Daiichi venait de choisir son jeu. Mais pourquoi "le dernier qui dit j'abandonne" ? Elle eut la réponse aussitôt. La petite pile venait de se jeter sur la lycéenne en riant avec pour but de lui rendre la torture chatouillesque que le petit avait essuyé un peu plu tôt. C'était une mutinerie ! C'était pas elle qui devait se faire chatouiller mais Kanou ! Seul hic dans le plan de Daiichi : Michiko ne craint pas les chatouilles.

-Ha! C'est comme ça ! Lança elle en faisant semblant de s'énerver, Tu vas voir !!

Les doigts fins de la multicolore allèrent se glisser dans le cou mince du gamin, pour lui infliger la riposte. Voyant qu'il se démenait comme un beau diable en hurlant de rire, elle interpella Kanou.

-Viens m'aider ou il va m'avoir !

-C'est gentil de ta part de ta part mais je préfère profiter de ma récréation jusqu'au bout. Les cours sont assez barbants comme ça...

Comment ça gentil? Il n'avait rien dit de gentil, bien au contraire! Kanou faillit baisser sa garde surpris par cette réponse amical... Pourquoi avait elle répondu ça, Kanou avait du mal à comprendre, et son air perplexe et méfiant à la fois se fit apparaître sur sa bouille de gamin aux airs adulte.

-Kanou-nii, Kiniji-nee ? le dernier qui dit "j'abandonne !" ^w^-

Le premier qui dit "j'abandonne". Mais pourquoi? En tous les cas, se ne serra pas lui ça s'est sûr. C'est le genre de paroles qu'il n'avait jamais dit et qu'il ne dirait jamais. Se déclarer vaincu l'aurait achevé avant, il n'aurait pas put vivre aussi longtemps s'il l'avait fait. Qui lui avait permis de persister, de ne pas se laisser abattre, ne pas se laisser faire, ne pas finir en légume ou encore mort, parce qu'il aurait finit par se suicider. C'était la seule fierté qu'il pouvait avoir. "Ce n'est quand ayant subit l'humiliation que l'on peut connaître la vrai fierté", je sais plus ou j'ai entendu ça, mais pour Kanou s'est un peu ça. Une fierté et une volonté de fer qui l'avait sauvé. Il ne dirait jamais "j'abandonne", il préférais mourir plutôt que de le dire...Mais on est dans un jeu là, et le problème c'est que comme je l'ai dit plus tôt, les notions de jeu de Kanou sont assez spécial. Bref, il compris tout de travers et s'attendait au pire quand...Daichi se jeta sur Michiko pour la chatouiller.

Kanou ne compris pas se qu'il faisait et le regarda de nouveau avec perplexité...La jeune femme elle sembla comprendre et avec un sourire répondit :

-Ha! C'est comme ça ! Tu vas voir !!

Et par une réplique qui fit s'effondrait Daichi de rire. Le mot chatouille n'existant pas dans le vocabulaire du blondinet, il ne put califié se qui se passer devant lui et ne compris pas pourquoi le petiot rigoler, ni comment Michiko le faisait rire. Quand on le touché lui ça le faisait frisonner, provoquer du dégoût et aussi...il faut l'avouer, peur. Des mauvais souvenirs lui revenaient, des souvenirs qu'il aurait préféré oublier mais qui hanter son esprit. Il faut dire que quand on se fait violer, il ne faut pas espérer oublier, et s'en remettre facilement. Parlons de chose plus légère!

-Viens m'aider ou il va m'avoir !

Kanou sortie de sa réflexion, presque reconnaissant à "Kiniji-nee", et se reprit. Il lui répliqua d'un ton inflexible, remplis de détermination avec une once de crainte imperceptible. Mais contrairement à sa voix, ses yeux eux ne pouvait rien caché, il suffisait de les regarder pour y voir ses sentiments. C'est d'ailleurs en partie pour éviter qu'on puisse les voir, qu'il croisa les bras et détourna la tête, les yeux fermés; en plus de pour montrer sa détermination à ne pas intervenir.

-Pas question.

Oui, il n'était pas question qu'il touche qui que se soit, pas encore...D'ailleurs, n'étais ce pas maintenant le moment idéale pour partir? Les deux occupés plus personne ne pourrait le retenir, non? Heureusement, pour le moment cette idée e vint pas à l'esprit de Kanou qui trop préoccupé entre sa peur de montrer sa peur, et donc sa faiblesse; et ses cauchemars qui se dissipèrent peu à peu, pour ne plus être que ce qu'il était quand il n'y penser plus, une pensée au fond de son esprit.

Invité

Kanou venait de refuser. C'était bien la première fois que la lycéenne voyais un enfant refuser de jouer! Peut être que en fait il voulait bien jouer mais était juste un peu timide ? Si c'était le cas il suffisait d'aller vers lui. Restait à savoir si une nouvele tentative marcherait ou non. Si cela échouait Michiko n'insisterait pas. Ce n'était pas en le dégoutant de jouer avec les autres que les choses avanceraient.

Plan "Faire jouer Kanou" Go!!!

-Dans ce cas c'est moi qui t'aurais ! S'exclama-t-elle en esquivant la petite pile qui avait lancé le jeux.

Tout comme elle l'avait fait pour Daiichi, elle se faufila jusqu'au blond et se mit à le chatouiller sur les côtes. A sa grande surprise les vêtements tenait plus du morceaux bois que de l'étoffe de coton. Décontenancée, elle se demanda comment l'enfant faisait pour porter de tel vêtement Peut être sont don y était-il pour quelque chose ? Elle chercha un autre moyen de le chatouiller et attira doucement l'enfant contre elle enfin elle entreprisde lui tirer au moins un éclat de rire en le frôlant du bout des doigts au creux du cou.

-Dans ce cas c'est moi qui t'aurais !

Michiko se lança en vain vers les côtes de Kanou qui s'était préalablement protéger. Kanou un peu surpris mais sûr de sa protection ne fit d'abord rien. Mais quand la jeune femme s'approcha de lui, il voulut se dégageait, mais se sentit paralyser. Une peur sourde monta en lui, peu à peu, des souvenirs, des... Le contact humain dans son coup réveilla son corps, et fit éclater toue cette peur, il rejeta violemment Michiko, avec ses mains et ses vêtements en criant :

-Ne me touche pas!! Ne t'approche pas!!

Dans ses yeux, peur et colère, rien d'autre. Il était sur le point de perdre le contrôle, c'était de peu qu'il n'avait pas transformé ses bretelles de salopette en lame. Des cauchemar passait en lui, mais les cauchemars d'une réalité. Il était à la frontière entre la réalité et les souvenirs, et personne ne pouvait l'approché dans cette état là... Il fallait attendre.

En voyant les yeux des deux autres, il se calma lentement mais sûrement. Les souvenir redevinrent réalité, et la situation commença à lui revenir en mémoire. La colère et la peur était toujours là, mais il y avait autre chose maintenant. Le regret de ne pas avoir réagit avant, d'avoir montrer sa faiblesse, ses peurs...mais aussi la honte d'être si fragile, et sans qu'il ne s'en rende compte,l'envie de pouvoir accepter un toucher si agréable que celui que provoque des chatouilles bien faîtes, comme l'avait fait la jeune femme.

[désolé de passer devant Daichi, mais c'est le genre de chose ou Kanou réagit instantanément, tu m'en veux pas?]

[c'est bon, c'est normal ^^]

De grands yeux et une tête tournée ... Et un Daiichi qui s'assoit tranquillement au sol après avoir vu un gamin hurler ... C'est tout à fait normal !

Oui, Daiichi deux de tenssion, Daiichi à côté de la plaque, Daiichi derière les gambettes de Marya, oui, il était comme ça, en plus d'être quelqu'un qui n'a pas peur des bain de sang sans pour autant ne pas se rendre compte de leur valeur, alors qu'il à cinq ans,parfois un prophète, un ange decandu du ciel pour divulger la parole, et certaine fois un gamin qui peut se montrer monstrueux en réaction.

Oui, Daiichi était tout ça ; et sa réaction differait effectivement de celle d'un gamin commun qui se cacherait surment derrière la Lycéenne ...

-Kanou-nii, tu n'aimes pas les chatouilles ? Tu veux jouer à autre chose ?

De l'exterieur ? Un enfant, assit par terre, demandant simplement à un autre, effrayé et sur la défansive, si tout allait bien. A l'interieur de la discution, à l'interieur d'eux même, les yeux vairons rouge intense et bleu profond de Daiichi brillait de peine, de compassion ... Mais surtout pas de pitié.

Daiichi, n'aviat pas besoin de parler pour lui demander, pour essayer de le comprendre ; il voyait juste en lui qu'il avait besoin de quelque chose, et qu'une autre l'empêchait d'y acceder. Pas qu'il puisse lire en lui, mais simplement constater qu'il y avait bien une douleur, une soufrance ...

Et un nuage noir qui planait se retrouvait aglutiner aux chaines de ses ailes, les chaines qui devinre plus grosses, s'enfoncèrent encore un epu dans la chair, entre les plumes ...

-Itai ?
[Ça fait mal ?]

Au coeur, à l'ame, au plus profond de toi ; tu la sens cette douleur ? Que puis-je faire pour t'appaiser ?

Invité

Michiko avait été rejetée par l'enfant et avait tant été surprise qu'elle avait obéit au cris de terreur de Kanou.. Car oui au oreilles de la lycéenne, la voix, le ton, les aigus déchirants, tout tenait d u comportements de l'animal blessé et abois. Et lorsqu'elle vit la peur mêlée de colères dans le regard que lui jetait le primaire, le cœur de l'adolescente manqua un battement, le pourquoi un petit de cet âge puisse réagir ainsi est aisément imaginable sans pour autant en connaître les détails. Les premiers mots parlaient d'eux mêmes: « Ne me touche pas » , Pour donner la peur du contact de la peau il fallait l'en dégouter, le touché là où Kanou ne l'aurait permis et contrant de supporter pareil contact. Tout cela était dit par l'enfant lui même, dans son attitude et le sous entendu des mots prononcés. La Shiraishi sentit les larmes lui montées aux yeux, bien qu'elle ne sache pas, elle s'en voulait d'avoir mis le petit dans un tel état, d'avoir réveillé de pareil souffrances.

*Le pire est qu'il ait honte. Honte d'avoir réagis, craquer. Il n'as plus son masque de petit grognon comme tout à l'heure. A-t-il seulement connu l'étreinte d'une mère ?*

Elle était à présent à quelque pas du blond et se tenais juste à côté de Daiichi qui s'était assis par terre. Ce ne fut que lorsqu'il parla qu'elle remarqua que la pile était retournée en mode OFF.

« Kanou-nii, tu n'aimes pas les chatouilles ? Tu veux jouer à autre chose ? »

« Daiichi, il se peut Kanou-chan n'ait pas envie de jouer... »

Elle avait dit cela d'une voix douce et un peu triste. Sa voix avait eut une pointe de tendresse au suffixe « chan » pour signifier à l'enfant qu'elle ne lui voulait pas de mal.

« Itai ? »

La multicolore s'agenouilla à un pas de Kanou pour se mettre à la taille des garçons. Elle espérait aussi qu'il remarque le fait qu'elle se soit agenouillée et non accroupie, elle montrait ainsi du respect en vers le gamin.

« Kanou-chan, écoute moi s'il te plait., je te demande pardon. Je ne voulais pas te faire de mal . Jamais je n'ai voulu te blesser. »

Prudemment, lentement, mais surtout avec tendresse elle tendit la main en direction des cheveux du petit pour lui caresser la tête. Sans lui toucher le visage ou la peau. Elle venait de remarquer que c'était le seul contact que le colocataire de Daiichi lui avait permis. Si ils n'acceptais pas ce dernier contact elle lui dirait tout de même ce qu'elle souhaitait lui dire, ce sera à Kanou de choisir si il veut bien l'écouter ou non.

« Ça va aller. Toutes ces choses que l'on a pu te faire son derrière toi. Elles appartiennent au passé, aux choses mortes. Ils te faudra du temps pour l'accepter et réussir à dépasser les sentiments qui étreignent ton coeur. Mais tu est un enfant plein de vie tu sera capable de surmonter ça avec le temps. »

La lycéenne lui fit un sourire chaleureux qui avait quelque chose de maternel. Et qu'elle voulait apaisant.

« Il est normal pour les enfants de pleurer ainsi ils laissent ce qui les fait souffrir derrière eux pour pouvoir continuer à avancer. Moi j'aimerais tu ne laisses pas ton cœur mourir.»

Elle se releva et se pencha au dessus du blond et déposa un baiser sur le sommet de son crâne. Parfaitement inconsciente qu'il pouvait la blesser gravement, ou peut être en était elle consciente mais elle préférait l'ignorer, ou encore elle souhaitais faire confiance au pitchou. Si vous voulez mon avis il doit y avoir un peu des trois...

[désolée du temps ><]

Daiichi se mit à sourir, puis se plaça à côté d'eux, juste assis, avec un Kanou tétanisé et une Michiko attentive (ou pas) à lui. Un peu de trop ? Peut-être : mais Il était heureux ; une bulle, et une sacrée bulle, venait d''en prendre un coup : bientôt, Kanou sortirai de sa bulle, et il sera heureux de partager avec d'autre un bonheur qui ne s'obitien que lorsque que l'on sort de son soi.

Kanou ... Deviens quelqu'un de fort pour les autres come pour toi-même ; ton seul vrai rêve doit être d'être heureux.

Mirai dana ... Marai wa ... Kirei dana !
[C'est l'avenir, l'aver est beau]

Sekai da, sekai dana, sakai wa anatano !
[C'est le monde, c'est le monde, le monde est tiens]

Genjitsu da, genjitsu ka, Genjitsu wa pokutashi no da !
[C'est la réalité, la réalitée n'est-ce pas, la rélalitée est notre]

Jitsu wa, pokutashino negai wa subarashi mirai decho ka ?
[en réalité, notre rêve est "un avenir sublime" n'est-ce pas ?]

-Kanou-nii ! Raishuu, ichioni asubimasho !
[la semaine prochaine, jouons ensemble]

Des larmes. C'est ce qu'il y avait dans els yeux de Michiko. Pourquoi pleurait elle? Cela dépassait Kanou. Calmé, il l'était, mais il n'était pas comme d'habitude, loin de là. Il avait l'impression de suivre des événements de loin. Son corps ne répondait plus, et son esprit ne s'en préoccupé pas. Il observer et se posé des questions. La première fut celle ci. Pourquoi quelqu'un pleurer. On ne pleurer pas sans raison, ça au moins il le savait (même si c'est pas toujours vrai...) mais il ne voyait pas la raison de cette eau dans les yeux de la jeune fille. Il ne savait pas que l'on pouvait pleurer pour quelqu'un d'autre.

-Kanou-nii, tu n'aimes pas les chatouilles ? Tu veux jouer à autre chose ?

-Daiichi, il se peut Kanou-chan n'ait pas envie de jouer...

Sa deuxième question fut de quoi ils parlent? Jouer? Il avait complètement oublié que c'était le but initiale, et se reposa la même question que la première fois, que voulaient ils dire par jouer. Mais cette fois se fut les images des deux en train de rire qui lui revint, et il compris qu'au moins ce n'était pas quelque chose comme il en avait connu jusque là, mais quelque chose qui devait rendre joyeux. Revenant dans sa tête aux phrase de juste avant, il ne compris toujours pas et dut passer de toute manière, pour comprendre la suite :

-Itai ?

Est ce que ça faisait mal? On s'adresser bien à lui, mais à ce moment là, il ne savait plus ce qu'il ressentait, c'était confus et sans sens. Le blondinet après Daichi, vit la fille aux cheveux arc-en-ciel s'approchait à genoux, mais n'eut pas de réaction, toujours un peu déconnecter. Il écouta :
-Kanou-chan, écoute moi s'il te plait., je te demande pardon. Je ne voulais pas te faire de mal . Jamais je n'ai voulu te blesser.

La voix était douce et chaleureuse, agréable et désolé. Une main se dirigea vers lui, sa main à lui eut un petit mouvement, comme si il reprenais un peu le contrôle de son corps. Elle commença à se lever avec une lenteur olympique, mais s'arrêta sans même avoir fait un angle droit avec son coude. Il sentait à nouveau sa tête maintenant. Dessus un pois, léger et amical, le pois d'une main qui vous veux du bien, et qui caresse gentiment.

-Ça va aller. Toutes ces choses que l'on a pu te faire son derrière toi. Elles appartiennent au passé, aux choses mortes. Ils te faudra du temps pour l'accepter et réussir à dépasser les sentiments qui étreignent ton cœur. Mais tu est un enfant plein de vie tu sera capable de surmonter ça avec le temps.

Son esprit reprenais peu à peu ses capacités sans être en retard et à se poser des questions, et avec des émotions. Une émotion l'envahissait en se moment même, plusieurs même. D'abord un sentiment inconnu jusque là du petit. Une évidence pour certains, venait d'être découverte par Kanou : ce qui c'était passé ne se reproduirait plus. Il ne l'avait pas réaliser, ne le réaliser toujours pas, mais commencer à l'entrevoir. Cette phrase sonnait une vérité, il n'y avait jamais songé, car ses songe en était hanté, mais la personne qui l'avait traumatisé n'était pas là, et ne pouvait plus l'atteindre quoi qu'elle fasse. Mais si quelqu'un d'autre arrivé, quelqu'un de semblable, cette pensée assombrit de nouveau son cœur, mais en même temps, devant le sourire, et la bouille compatissante qui apparaissaient devant ses yeux, il était sur que même s'il y avait effectivement quelqu'un de cette sorte, ce n'était pas celles qui se trouver devant lui.

-Il est normal pour les enfants de pleurer ainsi ils laissent ce qui les fait souffrir derrière eux pour pouvoir continuer à avancer. Moi j'aimerais tu ne laisses pas ton cœur mourir.

[i]Le primaire baissa la tête, on ne voyait plus ses yeux derrière sa frange. L'idée que la jeune fille est pleuré, et que son colocataire soit si triste étaient à cause lui commencer à germer dans son esprit. C'était la seule hypothèse probable, mais le garçon ne comprenait pas comment. Son corps était à nouveau entièrement à lui, et les mots pouvait de nouveau sortir :

-Je n'ai pas besoin de pleurer, les larmes ce n'est que le reflets de la faiblesse, c'est tout!

Le blondinet avait toujours était convaincu de ça, et quelqu'un lui disait que non, le contredisait et lui expliquait que les larmes servait à quelque chose. Sa voix tremblait, elle était dans le doute et tentait de retenir les larmes qui commençaient à lui monter aux yeux par les mots, par ce qui l'avait permis de ne pas pleurer durant des années et des années. Ce n'était pas la première fois (pour une fois XD) qu'elle venait. Il avait bien entendu pleurer bébé, puis avait grandit sans plus le faire se protégeant d'une armure de colère et d'attente. Mais par la suite, lors de son viole, il avait pleurer, et après aussi, sans le montrer à personne, pendant la nuit quand il se réveiller après un cauchemar. Après il avait arrêter, et ne pleurer plus vraiment même quand les cauchemars revenait, il tremblait dans ses cas là, mais refoulé sans cesse ses pleurs. La seule fois à l'académie, il avait réussit à ne pas les faire couler. Elles était arrivés jusqu'à ses yeux et y était retourné. Cette fois là, c'était aussi des larmes de rage qui était monté.

Mais aujourd'hui il n'y en avait pas, il y avait autre chose. Toujours la souffrance, la tristesse, mais aussi le réconfort, le doute, une réalité sur le point de se briser, et d'autre encore. Un mélange de tous, une confusion qui l'empêcher de savoir que croire entre les personnes présentes ou l'expérience d'un passé douloureux. Il en mélangeait presque le passé et le présent sans se rendre compte que la situation; le lieu, les personnes, lui même; n'était pas la même et ne pouvait l'être que rien n'était identique, et qu'il fallait se fier au passé, sans y rester enfermé. Confusion.

Puis, Daichi s'approcha, lui aussi et entonna comme une espèce de chant (je sais pas si s'en est un, et je sais pas si Daichi le dit ou si ça fait parti du Rp, mais je vais quand même l'utiliser) Sur l'avenir, le monde, la réalité, puis de rêve. Avenir, Kanou y avait songé, la liberté, c'était l'avenir qu'il avait voulut obtenir. Une liberté total, où plus rien ni personne pour l'arrêter pour lui vouloir quoi que se soit, où il pourrait vivre comme il l'entendait sans entrave, mais aussi une liberté où il était seul. Il ne savait plus ce qu'il voulait vraiment comme liberté maintenant, mais parler d'avenir, c'était le sortir de son passé. Le monde, qu'est ce que c'était? Le blondinet ne s'était jamais posé la question, il ne connaissait pas le monde, et ignorait donc ce que c'était, mais n'étais ce pas une des chose qu'il avait voulut en pensant à la liberté. N'était ce pas le présent? Et la réalité...aussi, c'était ça, c'était le rêve que l'on rendait réalité, c'était le présent qui devenait rêve, c'était l'avenir que l'on faisait dans le présent, tous était lié, et même si ça commence à devenir incompréhensible, cela était le rien qui fit penchait la balance.

Une larme coula de l'obscurité dessous sa frange. Et l'enfant fit tomber sa tête dans le creux de l'épaule de Michiko, tendit que sa main s'accrocha au T-shirt de Daichi, tous ça sans qu'il ne se contrôle (ils sont trop chou! Je craque! XD Mais j'aimerais bien les rejoindre quand même...). Il pleurait en silence, mais sans se retenir. Derrière ses pleurs, venait peu à peu une sensation positive, un allégement et aussi un lien avec d'autres personnes, un lien nouveau et tellement agréable...

[Merci!! T^T (finit de se mouchait dans un mouchoir trempé) Vous êtes trop géniaux! Je vous adore!(au début je me demander comment j'allais le faire réagir, et là j'écris tout ça...je m'étonne moi même, c'est le plus long Rp de toute ma vie) XD, bon...désolé de plomber les Rp partout où Kanou passe(une tornade?), mais ça fait parti du personnage...]