Envie de meurtre ou simplement de lecture?[Libre]

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La journée était bien avancé quand Rozen se réveilla. Elle s'assit sur son lit, cligna des yeux et regarda autour d'elle en se demandant où elle se trouvé. Puis elle se souvint qu'elle était arrivé la veille dans l'établissement Takuetsu no gakuen. Un établissement créer pour des personnes "anormalement humaine". La valise de Rozen gisais encore à terre. Elle était arrivé dans la nuit comme une voleuse. Elle venait tout droit de Paris, capital de la France, où elle y vivait une vie sois disant tranquille jusqu'au jour ou elle tua sa mère de sang froid et sans aucun remord. Enfin presque, sous cette façade de pierre vie un coeur sensible et triste. Quelques rayons du soleil filtrer par les volet de sa chambre de fortune. Elle allait devoir trouver une chambre et au plus vite. Elle se leva et s'habilla, comme tous les jours, d'un simple T-shirt blanc à manche courte, un jean blanc et un énorme pull d'un rouge sanguin. Celui-ci avait une capuche qu'elle mit sur sa tête par pur réflexe.

Une fois habillé, Rozen sortie et se dirigea vers... Vers où d'ailleurs? Moi même narratrice je ne sais pas. Enfin bref, Rozen marcha dans les couloir en priant pour ne croiser personne. A un croisement elle vit une pancarte indiquant la bibliothèque. Rozen n'aimait pas particulièrement lire mais elle savait qu'une bibliothèque était toujours calme et il y avait peut de gens à côtoyer. Son sac sur une épaule elle prit donc la direction de la bibliothèque.

Quand elle arriva à la bibliothèque, Rozen fut soulagé de voir qu'il n'y avait presque personne. Elle fut aussi soufflé par le nombre de livre entassé dans les bibliothèques. Elle alla vite s'assoir sous les ordres donné par les yeux inquisiteur de la bibliothécaire. Au passage elle prit un livre mais pas n'importe quel livre. Un livre traitant sur la mythologie de la Méduse.

Elle s'installa confortablement dans l'un des fauteuils de la salle. Elle posa son sac à terre et en sortie une... UNE PELUCHE?! Oui c'est bien cela. Elle serra contre elle une peluche à l'effigie d'un lapin, sa préféré au passage. Puis elle ouvrit le livre et se mit à le bouquiner tranquillement.

Mais Rozen avait omis un détail. Elle était nouvelle et donc par conséquence source de curiosité chez les anciens élèves. qui plus ai, elle n'était point seul dans la bibliothèque.

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Les goutes coulaient le long de son dos, douce et rafraichissante. Les unes après les autres semblaient être accueillies comme une bénédiction salvatrice qui le laverait de ces péchés. Mais ce sentiment n'était que temporaire, et Light ne le savait que trop. Il s'était levé ce matin dans cette sorte d'école dont il n'avait eu que quelques échos lorsqu'il était dans son ancienne école... Une sorte de prison dorée où étaient envoyés les monstres de notre société actuelle. Jamais il n'aurait pensé s'y réveiller un matin. Mais voilà, la vérité se trouvait dans les quatre murs que formait sa chambre. Trois lits, une petite commode près de chaque et une douche. Aucune fenêtre ne donnait vers l'extérieur de la chambre dans lequel il vivait à présent. Il se plaça devant son miroir, observant le reflet de son visage neutre de tout sentiment, et disparaissant sous la buée des vapeurs d'eau chaude se dégageant encore dans la chambre. Ces yeux, habituellement d'un bleu couleur du ciel, se teintaient en un jaune-orangé, tel les oiseaux de proie. Il venait d'activer son don comme tous les matins depuis presque cinq ou six ans maintenant. Chaque jour, le délai de l'activation de ces pupilles rétrécissait, et il gagnait ainsi en rapidité d'exécution… Il le nommait lui-même "Geis", le pouvoir des Rois. Mais qu'est ce que le geis me direz-vous ? Dans les régions celtiques, le geis était le nom du pouvoir magique que les druides offraient aux rois pour affirmer leurs règnes. Light avait jugé bon de nommer son pouvoir comme tel. Ces ambitions allaient tous dans ce sens d'ailleurs… Les Windsor étaient des descendant des Celtes, il paraissait tout naturel à Light de nommer son pouvoir de cette manière. Descendant de la royauté et déchus, il voyait son avenir tout tracés. Sa confrontation avec son père, son jugement ainsi que sa venue ici lui avait ouvert les yeux sur le devoir qu'il avait envers le monde. La première étape de son plan avait bien débuté la veille, lors de son entretient avec le secrétariat pour les détails de son inscription. Tout était encore empli de case vide et de paramètre incertain mais au moins il pouvait voir dans quelle direction il se dirigeait.

* Moi, Light D. Windsor, enfermé dans une école et catalogué de monstre… J'avoue avoir fait une erreur de calcul avec ma sœur mais… cette erreur m'a ouvert les yeux. Si dans ce monde, moi et ma sœur sommes les monstres, si dans ce monde les gens comme nous sont les rebuts… il me suffi alors de le détruire ! Nous sommes l'avenir de la terre, l'évolution de la race humaine et non sa décadence ! Ce monde pourrit, entaché par l'égocentrisme de l'être humain, je vais le mettre à feu et à sang. Un jour, je me dresserai contre ce monde, renversant les prostituées et les politiciens véreux, et ce jour là… Oui ce jour là nous verrons qui seront les monstres… " Puis, passant sa main sur la lace pour retirer la buée, et laisser entrevoir un regard des plus sadique : * Ma justice ne fera pas de pitié, les meurtrier et les criminels de ce monde subiront le châtiment divin, plus personne dans ce monde ne craindra de dévoiler ses pouvoirs aux grands jours. Humain et mutant seront enfin égaux. ..Jennifer, Je créerais un monde pour que tu puisses vivre sans avoir peur de te cacher des autres, je t'en fais la promesse ! *

Soudainement, une voie résonna à l'extérieur de sa chambre. Une fille venait de passer en courant… Certainement encore en train de s'amuser avec ces voisins de chambrée. Ils étaient d'ailleurs assez bruyants. Après quelques minutes, Light avait terminé de se vêtir, et était finalement sorti de sa chambre. Les couloirs étaient assez grand et luxueu, comme tout le reste de l'école finalement. Il n'avait guère l'habitude d'une telle école, son ancienne étant poussée dans la sobriété. Il ne se dirigeait pas vraiment sans but… disons plutôt qu'il était à la recherche d'un coin calme, chaud et où il pourrait oublier ses tourment en faisant autre chose tout simplement. Un endroit comme... une bibliothèque ! Il se trouvait bien en fasse d'une bibliothèque après avoir marché dans les couloirs de la moitié de l'école presque.

L'intérieur était immense, lui rappelant presque celle qu'il avait dans le château de son père, mais celle-ci semblait être quand même plus spacieuse. Il s'arrêta finalement sur un choix assez banal, "Moby Dick", célèbre roman d'Herman Melville. Depuis tout petit il aimait passer son temps à le lire car il pouvait être lu sur plusieurs niveaux. L'aventure en premier lieu; les relations entre hommes travaillant durement comme les pêcheurs; et puis on peut aussi facilement y trouver la bêtise de l'homme dans toute sa splendeur, incapable de renoncer à ses vengeances et à ses désirs de profits, incapable de s'accorder le répit d'observer calmement le monde qui l'entour comme les étoiles etc. Il aperçu alors le coin d'un fauteuil au bout de l'allée, mais lorsqu'il arriva devant, il remarqua qu'une jeune fille y était déjà installée. Il regarda bien autour de lui s'il n'y en avait pas d'autre de libre afin de la laisser tranquille mais tous les autres étaient soit trop près du centre, soit remplis. Il fini alors les quelques pas qui le séparait d'elle, la regarda de son air calme et serein, Pour finalement lui adresser la parole accompagné d'un petit sourire… Et oui, il sait sourire ! A croire que ce lieu arrivait à faire ressortir la joie et l'espoir sommeillant au fond de lui

"Bonjour jeune fille, excuse moi de te déranger mais il ne semble plus y avoir d'endroit calme ailleurs. Pourrais-je m'asseoir à tes côtés pour ma lecture ?"

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[Merci d'avoir répondue^^]

Rozen ne vit pas tout de suite le jeune homme qui lui faisait face et ne remarqua sa présence que lorsque celui-ci lui adressa la parole:

"Bonjour jeune fille, excuse moi de te déranger mais il ne semble plus y avoir d'endroit calme ailleurs. Pourrais-je m'asseoir à tes côtés pour ma lecture ?"

Rozen releva brusquement la tête et posa ces yeux sur le jeune homme. Il était grand, normale Rozen trouve tout le monde grand enfaite c'est elle qui est petite, il avait des cheveux mi-long et brun. Des yeux d'un bleu ciel magnifique. Une chose énerva légèrement Rozen: le jeune homme avait bien dit "jeune fille" ? Il est vrai qu'on donne parfois à Rozen 15 voir 14 ans avec son visage asse juvénile. Mais il y avait bien une chose qui faisait de Rozen une femme c'est sa poitrine. Et oui, malgré ces larges pull on peux voir que cette jeune femme à une forte, pour ne pas dire énorme, poitrine. Elle doit mettre de E même voir plus. Mais en même temps les pulls cache ces rondeurs.

Bon revenons à ce que l'histoire nous dit. Le jeune homme voulait que Rozen lui laisse une place sur le fauteuil. il était vrai que Rozen était assise en tailleur sur un canapé deux places. Elle se bougea alors pour laisser place au jeune homme. Dans cette action il se passa une chose. La capuche, qui recouvrais son visage, tomba sur ces épaules découvrant alors le visage de la jeune femme. C'est alors qu'on put voir les yeux de la jeune femme qui sont d'un doré envoutant. Sa peau d'une pâleur si rare. Et son visage si meurtrit par la solitude. Tout cela ne put se voir qu'en une fraction de seconde car Rozen remit sa capuche sur sa tête recouvrant ainsi sa peau.

Elle fit signe au jeune homme de s'assoir. C'était même bien la première qu'elle laissait faire une tel chose. Elle vit le livre du jeune homme et fit un léger sourire. Elle n'aimait pas vraiment ce genre de livre mais elle n'avait jamais essayer de le lire.

"Il est bien ce livre? J'en ai entendue parlé plusieurs fois mais je ne l'ai jamais lue."