Impossible, non, improbable... [Ouvert à tous]

C'était une belle journée. L'Eté se faisait de plus en plus sentir. Aujourd'hui, elle portait un magnifique furisode noir aux décors floraux ainsi qu'un obi jaune.

Spoiler:

La journée avait bien commencé. Un long bain chaud l'avait détendue à merveille puis elle s'était longuement massée à l'aide d'huiles essentielles. Après un copieux petit-déjeuner, elle avait décidé d'aller faire un tour. Tout d'abord, elle se demanda où elle pourrait bien aller. Au fur et à mesure que ses les pas l'entraînaient toujours plus loin, Kami se dit qu'il était inutile de s'en préoccuper.

Takuetsu était immense, presqu'une ville à elle toute seule. Les bâtiments se dispersaient à travers toute l'île. Elle savait déjà que le collège possédait un jardin magnifique et elle connaissait plus ou moins bien les lieux. Certains la jugerait bête de ne pas avoir de plan (pas faute d'en avoir demandé, hein), mais la découverte était toute de même un plaisir qu'elle se réservait.

Kami tomba alors par hasard sur une petite place. Enfin pas exactement. C'était pavé de pierres blanches, et se trouvait derrière un bâtiment scolaire. Elle en ignorait le niveau mais cela l'importait peu pour le moment. Le cadre était enchanteur. Et bien que les plantes ne faisaient pas long feu avec elle, Kami était toujours autant en admiration devant les merveilles de Dame Nature. Elle embrassa la scène, la fontaine, majestueuse, le délicat clapotis de l'eau, le vent frais qui soufflait dans les arbres.

"Impossible est le début de l'espoir" disait l'inscription qui ornait la fontaine. Précautionneusement, elle s'assit sur le bord de la fontaine et y trempa sa main. L'eau était fraîche.

Elle se mit alors à fredonner un air, ancien, comme issu d'un autre temps, presque une comptine d'enfant.

Spoiler:

Vagabondant dans l'établissement, Kenshiro marchait sans trop réfléchir dans ce lieu devenu maintenant très familier. Habillé de sa tenue scolaire, la musique passant dans ses oreilles par un casque audio qui lui couvre ses orifices auditifs, il se change les idées en écoutant un peu de musique calme. Il en avait bien besoin, au vu des pressions qu'il subissait de la part des membres du personnel de l'établissement, et il ne parle pas seulement que des profs. Même si ces derniers lui hurle dessus pour qu'il se décide enfin à se mettre au travail sérieusement, et également pour qu'il ramène immédiatement son arrière-train dans les salles de classe, Kenshiro prenait simplement leurs gueulante pour un problème qui ne le concerne en rien. Mais à présent, voilà que la secrétaire du directeur, Zuka Suzaharu, décide de mettre son grain de sel et de garder un oeil sur lui et ses resultats scolaires. Déjà que le jeune lycéen n'avait pas l'établissement dans son coeur depuis quelques temps, voilà que les hautes sphères ont décidés de lui mener une vie encore plus chiante qu'auparavant.

Son casque audio posé sur ses oreilles, le jeune homme marche donc de manière las, presque fatigué et se retrouve sans vraiment savoir comment devant la "Fontaine au voeux" qui se trouve dans la zone de l'école primaire. Il met alors son lecteur multimédia sur pause pour faire taire ma musique qui le coupait largement du monde réel et retire le casque de son crâne pour le faire maintenir au niveau de son cou. Dans un sens, il prend cette fontaine comme son meilleur endroit dans l'établissement, mais également son meilleur souvenir depuis qu'il se trouve ici. Ses pensées se tournent vers Ayumi, qui est liée à lui par ce souvenir au même endroit.

Soudain, ses oreilles semblent entendre un chant à peine prononcé, comme s'il était murmuré. Il vérifie alors que son lecteur multimédia est bien en pause, ce dernier est même carrement à l'arrêt. Il fait alors le tour de la fontaine et voit alors la "chanteuse" improvisé qui chante une sorte de comptine assez triste. L'écoutant alors jusqu'au bout, il admira également la tenue de la femme adulte en face de lui. Un fois le chant finit, il la voit tourner son visage vers lui, et décide enfin à décliner son identité.

-"Euh....Bonjour. Je m'excuse de vous avoir écouté en cachette...

À croire que j'ai un don pour cela.

...mais je n'avais pas envie de vous couper dans votre chant. Vous devez être une nouvelle dans l'établissement, étant donné que je ne vous ai pas encore croisé ici. Je me présente : Kenshiro Tokisei, lycéen feignant un peu trop connu des enseignants. Si vous n'avez pas encore entendu parler de moi, alors ça ne saurait tarder.

Cette chanson, cet air si triste lui rappelait une époque lointaine. Kami savait depuis longtemps qu'il était inutile de se complaire dans la nostalgie masochiste que celle du passé, mais.... les souvenirs font partie de nous. Ce sont soit des trésors que l'on chérit, soit des fardeaux qui nous pèsent.

Mais, avec le temps, les souvenirs ne finissent-ils pas tous par devenir bons ?

Elle fut interrompue dans ses réflexions par un jeune homme. Certainement un élève, se dit-elle. Ce qu'il confirma en se présentant comme lycéen et un tantinet fainéant. Elle ne put s'empêcher de sourire. Mais elle ressentit cette sensation familière qui l'exaltait et l'inquiétait tout autant. Instinctivement, elle se mit à triturer le bracelet qu'elle portait au poignet droit dissimulé par sa manche. Bien qu'inutile, cela la rassurait.

-Bonjour, Tokisei-san, tu ne me déranges nullement, dit-elle en le saluant.

Et pour cela, elle se leva et inclina légèrement la tête.

-Je suis effectivement nouvelle dans l'établissement. Mon nom est Kami Maeda. Le directeur a fait appel à moi pour venir vous enseigner les arts. Enfin, à ceux qui le désirent, précisa-t-elle avec un petit sourire qu'on aurait difficilement pu définir. J'espère que si tu t'inscris à mon cours, tu t'y investiras un peu plus que la normale. Je ne demanderai que peu de devoirs écrits. Le reste du temps, les notes attribuées resteront à mon appréciation. Rien de bien menaçant.

Kami, ou comment se faire de la pub l'air de rien.

Tout observateur extérieur aura pu remarquer la distance qu'elle entretenait à mettre entre eux deux. Et ceux qui auraient pu en douter ne sont que des naïfs.

Kenshiro voit alors la feme se présenter à son tour poliment. Il s’agit bien d’une nouvelle enseignante, et le lycéen se dit qu’avec sa présentation, elle est au moins prévenu de son comportement avant que ses charmants collègues ne le fassent à sa place. Ces derniers ne se gènent jamais à bien souligner les détails avec un stabylo jaune fluo pour qu’ils soient bien visible afin qu’un œil peu vigilant ne les passent pas à la trappe. Kenshiro entend alors de la jeune femme qu’elle enseignerait les arts, ce qui n’arrange pas mieux notre jeune homme qui possède la maladie de Mai tout le long de l’année.

-"Malheureusement, je tiens à vous prévenir de suite que je ne risque pas de venir souvent à votre cour. Non pas que j’en ai pas envie, mais…comment dire ça… Moi et l’art, on est fâché pour une raison qui m’échappe. Pour un exemple simple, même dessiner une tête de lapin humoristique est un défi trop intense. Ça ressemble plus à une patate difforme avec des oreilles de chèvre accompagné de deux sucre en guise de dent.

C’est pourtant dommage dans un sens, car votre centre d’étude est l’un des rares où on place la pratique plus facilement que la théorie. C’est un peu pour cela que j’ai une sainte horreur des autres cours. Je ne dis pas qu’ils n’ont aucune utilité, loin de là, mais la plupart des enseignants que j’ai sont un peu trop basé sur ce qu’il y a marqué sur les livres de cours. Dans ce cas, là, je préfère rester dans mon coin et lire seul."

Tout en parlant, Kenshiro ne pouvait s’empêcher de regarder la tenue de l’enseignante en question. Habillée en tenue traditionnel, il se demande si elle donne ses cours avec, ce qu’il en doute dans un sens. Seul Matsuri possède le droit de porter les fringues qu’elle désire, les autres enseignants devaient porter des tenues standards. Par contre, en voyant son faciès, il se demande bien de quelles origines elle provient. Son visage possède bien des traits asiatiques, mais pas assez pour déterminer son origine ethnique. Ne désirant pas rester trop longtemps axé sur le visage par simple politesse, il décide de continuer la discution

-"En tout cas, vous ne risquez pas de vous ennuyer ici. Oh, et je vous rassure de suite, je ne suis pas le pire des élèves présent dans l’établissement. Même si j’ai les trois grands pontifes sur le dos, je suis assez calme."

Les trois grands pontifs sont, pour ceux qui l’ignore, le dirlo, sa secrétaire, et son bras droit.

Elle l'écouta en souriant. Quelque chose lui disait que, même s'il affirmait être une quiche en ce qui concernait l'art, elle se devait d'essayer de le convaincre. Il semblait très aimable, peut-être ennuyé par le système en lui-même plutôt que par le contenu. Le genre d'élève qui a un potentiel insoupçonnable en latence et qui n'attend que le bon moment pour se révéler dans toute sa splendeur. Ou déchéance.

"-Tokisei-san, tu devrais savoir que l'art ne se résume pas qu'au dessin", lui dit-elle avec douceur. "Il y a les arts graphiques mais aussi la poésie, le chant, la danse, la musique, le théâtre et bien d'autres encore. L'art n'est qu'une manière parmi tant d'autres d'exprimer ce que nous avons au plus profond de nous-même, et parfois de ressentir ce que les artistes ont tenté d'exprimer à travers leurs œuvres."

Kami ménagea une petite pause, histoire de ne pas lui mettre la pression. Parler posément d'un ton calme porte bien plus ses fruits qu'un ton hargneux et agressif. Une belle image serait de mettre côte-à-côte un bouledogue affamé et un élégant golden retriever. Joli tableau, hein ?

"-Tu m'as l'air d'être un brave jeune homme, faisons donc un marché. Viens au moins assister à mon premiers cours après la fête de l'académie. Si cela te déplaît, je ne te retiendrais pas. Ce n'est qu'une option après tout. Mais ce n'est qu'après que je pourrais considérer tes capacités artistiques comme véritablement catastrophiques."

Il y avait une petite nuance de défi dans le ton badin qu'elle avait employé pour s'adresser à lui. Kami le laissait libre de son choix bien sûr, mais il n'y a rien de répréhensible à donner un petit coup de pouce parfois.

Elle lui souriait toujours avec la même chaleur, attendant patiemment sa réponse.

Kenshiro écoute avec un certain recul les paroles de la nouvelle enseignante, se demandant bien ce qu'elle allait bien pouvoir lui dire de beau. Mais la jeune femme, au lieu de lui faire une certaine morale concernant l'importance de chaque matière, ou essayant d'enjoliver la sienne plus que celle des autres, vient lui parler des différentes formes d'art existant dans cette matière. Certe, elle venait plus de lui donner une certaine définition de la matière qu'elle avait l'honneur d'enseigner. Mais elle au moins ne semble pas mettre l'accent sur sa matière. Elle marque alors une courte pause avant de continuer la conversation et de lui faire une certaine proposition : Celui de venir a son premier court et de laisser l'enseignante décidé si le jeune lycéen est vraiment un sous-doué finit.

Kenshiro réfléchit (Oui, cela lui arrive de temps à autres, de façon à bien choisir la direction à prendre. //SBAFF// Ouais, ouais, je me tais. Quel soupe-au-lait quand il s'y met, celui là.) a la proposition de la jeune femme en tenue médievale. Sur un sourire, il la regarde avant de lui répondre sur un ton assez calme et poli

-"Votre proposition est interessante, je dois bien le dire. Vous êtes l'une des rares enseignantes qui ne font pas venir leurs élèves en les menaçant d'un nombre incalculable d'heure de retenu. J'accepte votre invitation avec joie, j'espère juste ne pas vous faire perdre votre temps. Je dessine comme un pied, je chante comme un chat en rute, et je suis aussi poète qu'un ivrone qui cuve son vin sous un pont entre deux vomis. Concernant la danse et le théatre, je dois également avoué n'en avoir jamais fait."

*Au fond, savoir danser ne serait pas une si mauvaise idée que cela, dans un sens.*

"Par contre, vous risquez de vous retrouver avec beaucoup de jaloux. La plupart des enseignants s'arrachent jusqu'au cuir chevelu afin de tenter de me faire venir en cour, afin que leurs quota d'élève soit complet. Mais aucun ont tentés ce que vous venez de faire : me faire essayer votre cour pour savoir si ce dernier me plait. User de l'inteligence au lieu de la force est également bien plus noble et plus sage qu'une menace aussi effrayante qu'une poupée en chiffon."

Kami sourit. C'était bien aimable de lui de la prévenir de la jalousie potentielle que déclencherait ce soi-disant miracle que de l'intéresser à un cours, le sien en fait. Mais voilà, la jeune femme se préoccupait peu de ce genre de détails, à son échelle, cela ne durait jamais très longtemps. Elle appréciait déjà ce jeune homme, il pourrait peut-être s'épanouir et/ou se réconcilier avec les arts. Qui sait ? Elle avait vu trop d'élèves quitter le système scolaire, cassés, brisés par ce système. On ne devrait jamais obliger quelqu'un à apprendre, c'est le meilleur moyen pour le dégoûter. On devrait toujours avoir le choix. Et c'est ce qu'elle venait de faire. Lui donner le choix, il était libre quoi qu'il arrive. Mais il faut essayer avant même de juger.

"Kenshiro, c'est bien parce que je veux faire découvrir ce qui régie ma vie que je n'ai pas voulu en faire une matière obligatoire. Tu as fait le choix de venir à un de mes cours, de ton propre libre-arbitre... Je pense que l'on devrait toujours pouvoir choisir."

On en a si peu l'occasion... pensa-t-elle tristement.

Mais bien vite, elle se ressaisit et se releva face à lui.

"Sache, mon jeune ami, qu'il n'est pas toujours facile de se comprendre, et c'est de là que viennent la plupart de nos problèmes. D'incompréhensions. En cela, maîtriser les relations humaines est tout un art !"

Et elle appuya sa réplique d'un clin d'œil taquin.

[Désolée pour l'attente TT]

Ce matin là, elle avait opté pour une jupe et un haut noir et argenté. Non pas que porter l'uniforme déplaisait à Khimétia...mais pas loin quand même. Elle se déplaçait fluidement et rapidement, faisant voltiger derrière elle ses longs cheveux rouges. La mine fermée et les sourcils froncés, elle semblait être passablement énervée. Elle se dirigea vers l'aile des primaires, sans but précis. La raison de son humeur massacrante ? Un peu tout et rien : les cours, les professeurs, l'académie qui ne lui lâchait jamais la bride...

Pire que dans mon ancien collège... Ils se sont tous passés le mot ou quoi?! Je serai moins indisciplinée si on me demandait moins de discipline! Et puis c'est quoi ce règlement? Ma parole ils avaient rien d'autre à faire de leurs journées et se sont donnés pour objectifs de remplir une bibliothèque entière avec des interdictions et des obligations plus stupides les unes que les autre?!
Fallait leur proposer une partie de monopoly à la place!

Perdue dans ses pensées et récriminations, elle ne s'aperçut pas qu'elle était arrivée dans une petite cour pavée de pierres blanches, avec une fontaine au centre. Deux personne se trouvaient là. Une jeune femme, probablement une prof (décidément je suis maudite) en furisode noir accompagné d'un obi jaune, et un lycéen qu'elle se souvenait vaguement avoir croisé sans pour autant en connaître le nom. Ils étaient tous deux en grande discussion. Soupirant, Khim fit mine de repartir, puis se ravisa au dernier moment. L'atmosphère qui régnait dans cette petite cour avait quelque chose d'apaisant, elle décida donc de se mettre dans un coin, pour ne déranger personne, et fermant les yeux elle tenta de se détendre et de ne penser à rien.

Kenshiro écoute les paroles de l'enseignante. Ses dernières semblent avoir aussi fait un peu de psychologie pour comprendre aussi facilement le lycéen qui converse avec elle. L'élève ne peut s'empêcher de rendre le sourire à l'enseignante concernant le fait que les relations humaines sont un art en soit. Il ne peut qu'être d'accord avec elle, c'est pour cela que Kenshiro préfère se faire une opinion personnelle concernant les gens au lieu d'écouter les ragots et les "on dit"

-"Je pense exactement pareille. Je pense même que j'aurai raté plus d'une occasion de faire des rencontres si je n'étais pas du genre à converser facilement avec les gens. Sans nommer personne, j'ai réussi à avoir une discution construite et basé sur la bonne entente avec une élève qui n'est pas bien populaire à cause d'une raison qui lui est propre. Bon...j'admets qu'elle y met du siens aussi pour maintenir ces rumeurs sur elle, mais j'ai ma propre idée de ce qu'elle est, et je m'y tiens."

Et pour cause, la fille du directeur avait son caractère bien trempé et une forte personnalité. Seulement, le jour où il l'a rencontré, il l'a sauva d'une noyade dans la piscine en pleine nuit.

Soudain, son regard est axé sur une autre personne présente non loin d'eux. Il la regarde, semble la connaitre, mais ne réussit pas à remettre son visage dans sa mémoire. Apparement, elle semble être une collégienne, mais elle ne porte pas la tenue de l'établissement. Kenshiro sourit, se souvenant qu'il avait eu droit à une petite expliquation avec le bras droit du directeur, Matsuri sempaï.

-*Genre, il existe d'autre personne qui adore envoyer bouler le réglement vestimentaire quand sa lui chante. Elle m'est déjà bien sympathique.*

(coucou ^^ je m'incruste^^)

Arthémÿs déambulait dans l’établissement, perchée sur des talons de 7 cm , un sac remplie de ses affaires de dessins dans une main. De l’uniforme obligatoire, elle n’avait gardé que la veste qui allait à ravir avec sa nouvelle robe. Elle n’avait pas encore eu l’occasion de visiter tout Takuetsu et profitait donc de cette pose dans son emploie du temps pour découvrir de nouveaux lieus. C’est ainsi qu’elle arriva dans une petite cours pavée au milieu de laquelle une fontaine déversait une eau pure dans un bassin. Le lieu dégageait une atmosphère de sérénité et de calme absolue … malgré les trois êtres. La jeune fille vit d’abord un jeune homme qui devait être au lycée. Il discutait avec une femme plus âgée. Trop âgée pour être une élève, elle n’avait cependant pas le profile d’un professeur.

Elle doit certainement être nouvelle à Taku. .. Pas encore pervertie par le milieu … Elle est belle en plus … Je me demande bien quelle matière elle enseigne.

C’est à ce moment là que Arthémÿs aperçu Khim qui se tenait en retrait. La jeune fille semblait absente. Elle avait fermé ses yeux et ne bougeait plus.

Etonnant !

La jeune fille s’approcha donc du lieu de discussion.

« Bonjour. Excusez moi de vous déranger. Je m’appelle Arthémÿs et je suis nouvelle dans cette école. Pourriez vous m’indiquer où nous sommes exactement ? Cette endroit est vraiment … spécial. »

Elle se tourna donc vers ses interlocuteurs en attente d’une réponse…