Il y a quelqu'un ? [PV Marya][NA]

Invité

Madoka n'avait pas vraiment envie de regagner son appartement, mais elle était fatiguée et pas d'humeur à aller rendre visite à quelqu'un aujourd'hui; en plus, elle tenait une grosse pile de livre et de journaux, ce qui ne l'avantageait pas; Madoka avait froid, elle n'avait qu'un t-shirt et un jean délavé, ses chaussures, des tennis blanche et or, lui faisait mal au pied à force de marcher. Elle avançait dans les couloirs sombres des dortoirs, mais combien y avait-il d'étage bon sang ? Elle montait les escaliers, mais c'est au bout de trois étages qu'elle remarqua qu'elle s'était trompée de bâtiment; elle était dans le couloirs des lycéens. Elle continua d'avancer et chercha un interrupteur, quand elle glissa sur quelque chose.

{Biiing}

Elle tomba sur le sol, en position assisse, la pile toujours dans les mains mais les journaux s'étaient éparpillés sur le sol.

"Ouf, je n'ai rien; mais sur quoi j'ai glissé ?"

Elle posa la pile de livre par terre, se releva et frotta son dos. Elle se retourna et vit une veste, une veste noir poussiéreuse. Elle l'attrapa et regarda sur l'étiquette, deux lettres y étaient inscrites: " A. M.", l'écriture s'effaçait et on avait du mal à distinguer les inscriptions. Elle pris la veste, la mis autour de son bras, ramassa les journaux et la pile de livre, et repartit à la recherche d'un interrupteur. Elle se dirigea vers les escaliers, tout était étrangement calme dans le dortoirs, pas un bruit de pas, pas une parole, pas un chat... C'était à la fois inquiétant et reposant, Madoka avait mal à la tête, ce calme, cette tranquillité, elle s'assit sur les marches un instant pour savourer cette instant rare à l'académie. Elle ferma les yeux et ne pensait plus à rien. Après quelques minutes de repos, elle se leva et repartit sur sa route, atteignant maintenant, le quatrième étage, l'étage des SA. Madoka n'avait pas descendue les marches de l'escalier, elle visitait, curieuse comme elle est. Elle traversa le couloir, personne ici aussi, était ils tous en cours ? Sûrement, vu le calme planant dans le bâtiment. Elle regardait tout autour d'elle, les murs étaient tapissés d'un rouge sombre presque effrayant. Madoka pressa et arriva devant un petit escalier en bois, qui ne semblait pas mener vers un autre dortoir.

"Tiens ? Il y a un grenier ici ?"

Un grenier ? L'endroit idéal pour être tranquille sans être dérangée. Elle posa la pile de livres par terre, à côté de l'escalier. Elle mit un pied sur la première marche, l'escalier grinçait, il était poussiéreux et frêle. Elle monta dessus prudemment, elle grimpa les marches une à une doucement, de façon à ne pas faire grincer l'escalier pour ne pas que l'on l'entende. Elle arriva dans une petite pièce sombre et poussiéreus, chargée de vieux carton, de meubles abîmés, des vieux bouts de papiers traînaient par terre, et le mur était tapissé de jolies toiles d'araignées. Il n'y avait qu'une minuscule lucarne, qui filtrait à peine la lumière, laissant aperçevoir un tas de poussière dans l'air.

"Un peu glauque ici..."

Elle vit un bureau et une chaise qui semblait en bon état. Elle souffla sur la poussière qui était sur la chaise et s'assit, fixant le bureau. Quelque chose capta immédiatement son regard, quelqu'un était venu ici avant, il y avait un petit coeur dessiné sur la poussière et une trace de main, un peu inquiétant. Madoka tourna la chaise vers la lumière et ferma les yeux, essayant de s'endormir. Mais quelque chose la réveille d'un coup, quelqu'un montait les escaliers, les marches grinçaient.

"Qui, qui est la ?"

Dit-elle d'une voix tremblante, elle alla se cacher derrière un gros carton, la personne était arrivée dans la pièce, mais Madoka ne distinguait qu'une forme noire, la personne s'approchait d'elle vite, Madoka se recula jusqu'à toucher le mur, son coeur battait très fort, mais qui était ce ?

Quelques heures plus tôt, Marya avec un tas de chose dans la tête et une heure de vide pour ses cours à consomer. C'est vrai qu'en ce moment, la vie était belle pour la jeune Akatsuki : l'amitiée et l'Amour restait toujours avec elle, son travail à Seshuu la distrayait et l'aidait personelment, et Daiichi était en bonne sentée, plus heureux que jamais malgré la mort de Mii, toujours à tenter de rendre plus heureux que jamais son prochain ; pas pour oublier, mais pour se souvenir. Daiichi était bien ici, il était en vie, et Marya consttait que malgré tout ce qu'il avait pu endurer à cause d'elle, il était heureux et droit.

Lorsqu'elle voulait faire le point, il y avait toujours un cion tranquile, un fenêtre, le toit, les bois ... Et un caré de chocolat. Chocolat blanc, toujours, elle s'était rendue compte qu'elle n'en mangerait plus simplement pour passer le temps, mais qu'elle en paréciait maintenant le goût, les saveurs, la texture ... Et son prix minim dans la petite boutique de la grande place. Marya commançais à aprécier la vie, pour de vrai. Malgré qu'elle ne soit pas extravertie, elle savait maintenant sourire sans faire samblanc, être calme et non froide. Et aujourd'hui, pour laisser daiichi s'auser sans elle et s'endormir un peu, Marya avait pris cette heure pour aller s'endormir dans les dortoires.

Sauf que les dortoires, en plein milieu de l'après midi, étaient fermés. Domage qu'elle n'ai pas de clée pour elle ... Alors où aller lorsque la chambre est fermée ? Un pue plus haut, dans le greniers. Et à cette heure-ci, il n'y aurait pas grand monde non plus. Vous savez maintenant pourquoi marya est aller ici la première fois. Piquer un somme dans cet endroit poussiereux.

L'odeur était étranges, les bruits à la fois repoussant et delectable ce qui les rendaient fortement interessant. La lumière de plein jour sur les grain de poussière immobile avant son arrivée donnait une luminositée bien particulière à cet endroit. Ce calme, cette vieillesse ... Oui, elle aimait cet endroit. Sauf qu'elle ne comtait pas y revenir.

Marya s'était allongée sur le canapée poussiereux pour regarder le plafond poutré, elle s'était assise sur le siege du vieux bureau, se souvenait des bon moments passé récement : Haru, Aniiki ... Sosuke aussi. Sosuke a qui elle avait décider de se donner corps et âme, qu'elle avait peur de perdre, peur de ne pas pouvoir rendre heureux. Son soleil aveuglant, son premier amoir qu'elle espérait voir durer pour toujours, qu'elle ne pouvait simplement pas voir se finir. Dans ses songe, elle se demanda comment on devait faire, lorsqu'on aimait. On devait juste profiter et laisser faire le reste non ? C'était tellmeent nouveau pour elle, d'aimer dans ce sens ... Alors qu'elle n'avait pas encore réussit à redevenir quelqu'un qui ressent, quelqu'un de vivant ...

Accoudée sur le bureau, elle posa le doigt sur la table, puis récita dans sa tête :

Haru to Aniiki, Sorete Daiichi ...

Elle traça une ligne courbe dans les cendres grise qui n'avaient jamais brûlées, tournant la tête sans comprendre ce qu'elle faisait réellement.

Sempai to mina yapali ...

Une autre courbe, symétrique, formant une forme conu de tous. Puis elle tapota du bout de l'ongle au centre du petit symbole qui ne lui ressemblait pas vraiment :

Sosuke wa kokoni ...

♥

Observant avec attention le symbole étrange bien moin élégant qu'un kanji, elle se releva et s'appercu qu'elle mourrait de chaud. Elle enleva sa veste et la posa sur le canapé, puis attendit en regardant par la fenêtre, simplement. Sa vie était devenue une vrai vie, une vie qu'elle avait rêver pour Daiichi, celle qu'elle avait espèrée, qui ne la quittait pas du jour, qui commançais à prendre le pas sur ses nuits.

Puis la sonerie retentie, indiquand que ce n'était plus l'heure : Elle pris machinalement sa verste et courut vers les escaliers, sans prêter attention à ce qui l'entourait. Elle était trop en retard, elle avait trop laisser paser le temps. Une chose qu'elle n'aurait jamais faite il y a quelques mois encore.

La veste tomba quand elle était en bas de l'escaliers : innutile d'aller le chercher, elle risquait d'être en retard : elle avait jsute à aller la rechercher après les cours. C'est ainsi qu'elle courrut vers la sortie en dévalant les étages, prévoyant de revenir dans deux ou trois heures pour récupérer son vêtement. C'était tout. Ce qui aurait du sa passer : mais ça se passa bien autrement.

Quelque heures plus tard, Marya se tenait à l'étage SA, debout, à l'emplacement vide se sa veste il y a quelques heures. A la place, quelques centimêtre plus loins, il y avait une pile de feuilles et de cahiers. Inutile de les lires, tout ce qu'elle avait à faure, c'était de monter. Demander sa veste et repartir. Elle l'entendait bien ; c'était une fille, vu le poid de ses bas sur le sol à l'étage, et elle était pratiquement adulte. Marya monta, l'entendis prendre peur, s'arrêta sur les lates de bois usagées. Elle bougeait comme un pigons à l'aile coupée, tentant de se cacher. Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas resentie cela : le fait d'effrayer quelqu'un.

Quelque seconde plus tard, elle était devant elle, acroupie, calme. Le visage impassiblme, encore, peut-être tout aussi dur que la normal.

-C'est bon, il n'y a que des êtres humain dans cette pièce, Ojio-san. Je peux récupérer ma veste ?

[Marya à le sens de l'analyse extremement développé, elle comprend vite ce qu'il se passe autour d'elle. Ne t'ijnquiète pas si elle comprend un truc très vite. Traduction du texte :
"Haru(na) et Aniiki(Toshiro Tokosei) Et puis Daiichi, Sempai et tout le monde, finalement c'est bien ça, Sosuke est là."

Tu es sûre de vouloir mettre [NA] ? C'est compme tu veux moi je m'en fiche ^^
Bon RP ^^]