Quand minuit sonne, les enfants vont se coucher... Quels enfants? [POV]

Un vent léger de vendredi soir agitait délicatement quelques fleurs de cerisier à peine éclosent. Les insectes et autres mammifères nocturnes se faisaient encore discrets, tapis dans l’ombre de la forêt. Parmi eux, bien que n’étant pas diurne, mais se rattrapant en réalisant un zig-zag légèrement désordonnée par la brise afin de retourner au plus vite dans ce qui lui servait de tanière et assurait sa sécurité, une petite abeille dans sa belle robe à rayure. Perdue dans ses bois qu’elle ne reconnaissait plus, elle tentait vainement de se poser. Ses antennes en alertes lui indiquèrent dans un vif élan d’espoir une odeur sucrée qui la ravit et qu’elle suivit sans se poser de question jusqu’à heurter avec violence une surface à la fois douce et terriblement solide qui la désorienta un instant. Instant qui aurait pu lui être fatale puisque quelques secondes plus tard un second rock non identifié manqua s’abattre contre son petit corps dont la seule défense se résumait en un dard empoisonné.

Vengeance ? Frayeur ? Quitte à y laisser sa vie, elle s’appliqua à l’appliquer sur cette surface traîtresse dans laquelle il se planta pourtant comme un couteau dans une motte de beurre déclanchant un « Aïe » en écho.

Ce qui avait provoqué ce son étrange se trouvait mesurée bien plus de vingt à trente fois la taille de la petite abeille. Au lieu de se parer d’une couleur noir intense accordé au jaune du miel, elle prenait des teintes rosées et avait revêtue une sorte de seconde peau que les humains nommaient « vêtements ». Mais, elle, pauvre petite abeille qu’elle était, comment pouvait-elle savoir que celle qu’elle venait de piquer se trouvait être une élève bien plus crainte et respectée dans son « groupe » à elle, que ce qu’elle pouvait s’imaginer. Peut-être pas autant que sa reine. Mais, elle se révélait tout aussi dangereuse au final. Car, Yuka Kunimoto, lycéenne à Takuetsu No Gakuen, avait, de part son statut de SA et par son quelque peu…inconfortablement électrique, acquis une certaine réputation. Comme quoi, pas besoin de tuer quelqu’un ni même de faire couler le sang pour se faire respecter…

D’une main énergique, assise sur un rondin de bois un paquet de chamallow sur ses genoux dénudés par sa jupe, elle frottait l’endroit qui l’avait brusquement picoté. Faisant ainsi tombé sans s’en apercevoir une aiguille si fine qu’elle en devenait presque invisible à la plus grande horreur de cette mouche colorée qui l’agaçait à flâner autour d’elle. L’adolescente rassura les deux personnes en face d’elle d’un sourire alors que de fines gouttelettes, bientôt remplacées par de bien plus grosses capables de traverser la toison de feuillage que formait les arbres au-dessus de leur tête.

Tan pis pour le feu de camps…tan pis pour la sortie…Restait les amis…

En effet, à la base, Aya Usami et Hikari Saname avait été convié, retrouvé par hasard dans le parc alors qu’elle allait sortir, à une petite soirée à manger des bonbons dans la forêt. Drôle d’idée me direz-vous ? Peut-être était –ce sans doute aussi l’avis des deux jeunes filles lorsqu’elles s’aperçurent que leurs habits se trempaient lentement mais sûrement, imbibant jusqu’à leurs chaussettes tout leur corps. La Kunimoto retroussa la manche du corsage blanc de l’uniforme des collégiennes qu’il lui arrivait encore de mettre afin d’observer le cadran de sa montre. Cadran qu’elle du regarder par deux fois afin de vérifier qu’il ne lui jouait pas des tours !

Elles venaient de dépasser de bientôt une heure le couvre feu règlementaire en semaine. Ce qui signifiait, pour que vous compreniez un peu mieux pourquoi ses yeux s’étaient soudainement agrandis, que les portes des dortoirs étaient définitivement clauses jusqu’au lendemain. Hors, ce n’était peut-être pas le soir à dormir à la belle étoile. Flûte !
Attendant un peu, espérant que, dans un soudain élan de grâce du ciel la pluie s’estompe pour laisser place à un Soleil radieux (qui arriverait certainement, mais d’ici plusieurs heures), elles se recroquevillèrent sous l’arbre qui leur paraissait avoir le tronc le plus gros, et donc le plus de place pour les accueillir.

Quelques minutes plus tard, qui aurait pu être des heures si l’on se plaçait dans l’esprit de l’hyperactive blonde qui avait déjà saisit son Keitai, une voix enjouée raisonna dans le silence de la forêt :

« Une virée chez les universitaires, cela vous tente ? »

S’étant vite résignée, Yuka qui était à Takuetsu depuis quelques années et qui avait donc vite compris que le seul endroit où elles pourraient trouver un toit et auquel elles auraient accès se trouvait être dans le seul dans l’académie où les élèves commençaient à acquérir un minimum de liberté, cherchait déjà dans ses contacts des universitaires.

Son répertoire Keitai avait été rapidement parcouru, la seule fille de cet âge là étant Anny, Yuka s’était reportée aux adresses des garçons…Jusqu’à tomber sur un nom qui fit briller un éclat d’amusement une fraction de seconde dans ses prunelles noisettes. A moins que ce ne soit les reflets de la Lune sur cette eau qui lui dégoulinait des cheveux qui provoque cet effet d’optique ?

Quelques minutes plus tard, la Kunimoto avait invité ses deux compères à la suivre et elle sonnait à la porte de l’appartement en espérant que cela soit le bon. Après tout, elle n’avait pas prévenu. Alors, si il avait décidé de sortir ce soir…Ce serait fichtrement balo.
Bingo ! La porte s’ouvrit…

« On te dérange Eri-kun ?»

Une simple phrase qui équivalait à tous les bonjours-bonsoirs-comment-va-la-famille futils de la Terre et qui permettait de se faire inviter discrètement à entrer. Pas vraiment besoin de préciser leur état lamentable n’est ce pas ? Oh, et puis après tout, de toutes façons, une fille en T-shirt mouillée, cela peut être agréable à regarder si elle est bien proportionnée, avouez le…Alors trois ?

Que peuvent faire deux étudiants dans leur chambre au alentours de minuit un vendredi soir? Sacrée bonne question et je pense qu’il y a autant de réponse que de groupe semblable d’étudiant. Je ne savais pas trop ce que Sora faisait, mais moi en tout cas je prenais une douche(à cette heure la oui oui, vous avez bien lut.). A vrai dire mon intention première était de faire un tour en ville et de trouver de quoi m’amuser pour un temps, après tout je trouvais plutôt agréable le fait de marcher au hasard sous la pluie. Et la une grand question se posait : à quoi bon se doucher pour aller se placer sous la pluie après ? Et bien parce que lorsque je m’étais posé la question et que j’avais jeté ma pièce, même a 5% contre 95% la douche l’avait emporté, donc direction la douche.

J’avais finit de me laver depuis un moment mais je restais cependant encore de longue minute immobile sous le jet d’eau continu en profitant au maximum de la chaleur de l’eau ruisselant sur mon corps nu. Je finis cependant par m’extirper de la douche pour me sécher. Ce faisant je me demandait ce que j’allais bien pouvoir faire du reste de la soirée, marcher c’est bien mais autant fallait-il savoir où aller… Se fier au hasard une fois de plus ? Je souris. Pourquoi pas après tout. A moins qu’un autre élément n’en décide autrement et étrangement mon instinct me disait qu’il en serait ainsi. Mais bon comment se fier a l’instinct d’un type qui base son existence même sur le concept de hasard ? Je rit intérieurement en réfléchissant au nombre de fois que mon instinct m’avait trompé, en fait c’était quelques chose de peu existant chez moi, il s’agissait plus d’un ensemble de possibilité dont mon esprit m’informait(enfin c’était ce que j’avais conclu au bout d’un long moment, mais cela ne vous intéresse pas trop je me trompe ?).

Alors que j’entamais a peine le séchage j’entendis distinctement le bruit de la sonnette de l’appartement. Je ne savais pas ce que faisait Sora et étant donné que vu son caractère il n’était pas du genre a recevoir des visite improvisée de nuit j’en conclu que cela devait être pour moi. J’enfilais rapidement un boxer et un jean et sortis encore ruisselant de la salle de bain pour aller ouvrir à notre/nos invité(e)/invités(es). Et ma surprise dut grande lorsque j’entendis la chef de l’étrange groupe qui se tenait devant moi prendre la parole.

Bah je doute qu’on puisse dire qu’elle me dérangeait présentement puisque je m’apprêtais à chercher de quoi m’occuper pour la soirée. Mais bon il faut bien avoué que la situation était assez cocasse. Moi sortant de la douche, trempé et torse nu, mais pourtant quasiment brûlant, et elles, probablement proche de frigorifié, et trempé par la pluie extérieure, leur vêtements mouillé par la pluie et donc rendu collant et par endroit transparent offraient d’ailleurs une magnifique vu bien que je ne m’y attardais pas, après tout elles me demandaient de « l’aide » pour le coup et il me semblait déplacer d’en profiter pour me rincer l’œil. Je m’efforçais donc de plonger mes yeux dans ceux de Yuka.

« Je ne fais rien de spécial et mon colocataire non plus pour ce que j’en sais donc votre présence ne devrait déranger personne. Enfin bon entré et installé vous je vais chercher de quoi vous sécher et vous changer, j’ai l’impression que vous en avez bien besoin. »

Je tournais les talons en rentrant dans l’appartement leur laissant la porte ouverte avant de retourner dans la salle de bain. Je me saisis de quatre serviette et revint dans ce qui nous servait de salon en leur en lançant une a chacune et gardant la dernière pour finir de me sécher. En fait ce que nous appelions salon était la pièce centrale de l’appartement dans laquelle nous avions réussit tant bien que mal a faire rentrer un canapé, une table et six chaises.

Tout en retirant les dernières goutte d’eau de mon corps humide je me dirigeais vers ma chambre, je pris un t-shirt noir de taille normale que j’enfilais avant d’en attraper trois autre un peu trop grand pour moi et qui donc devraient être assez grand pour suffire au fille comme simple vêtements. Puis finalement je retournait voir les filles et posait les vêtements sur la table, avait de m’asseoir sur la canapé et de déclarer :

« Séchez vous, et changez vous, la salle de bain et libre pour ça. Par contre ça m’arrangerais si vous pouviez ensuite m’expliquer ce que vous faites la dans cet état. »

Je prenais alors le temps d’observer les deux filles qui accompagnaient Yuka, l’une semblait avoir a peu près son age et l’autre par contre paraissait plus jeune, presque une collégienne. Sora ne devrait pas tarder a remarquer qu’il se passe quelque chose et donc a sortir de sa chambre, et j’avoue que pour le moment je me sentais bien incapable de lui expliquer ce qu’il se passait ici. Et je doute que celui-ci n’ait rien a faire de l’avis des surveillant si ils trouvaient ces filles ici, contrairement a moi .

# attention aux fautes quand même =p notamment aux accords sujet-verbe et aux fautes de temps.

Invité

Sora était allongé sur son lit, un livre dans les mains, depuis 3 bonnes heures de la soirée, après avoir fini ses devoirs. Il n'entendit rien durant ce temps, plongé dans son histoire passionante. Pendant sa lecture, il pensa soudainement à sa meilleure amie, ce qui lui permit de refaire surface dans le monde rationnel. Ses yeux étaient enflés par le manque de sommeil accumulé que l'étudiant ne remarqua même pas.

Il regarda sa montre, et vit affichée sur son cadran l'heure tardive. Pas décidé à se coucher, il se leva et réfléchi à ce qu'il pourrait ensuite faire. Il entendit alors des voix dans la pièce d'à côté, celle de Erian, et des voix féminines qui lui répondirent... des voix féminines? Qu'est-ce que des filles pouvaient bien faire dans l'appartment à cette heure-ci?

Sora sortit de la chambre discrètement, et choisit pour prétexte d'aller se chercher un verre d'eau si son collocataire lui demandait. Il se dirigea vers la cuisine, tournant doucement les yeux vers le salon, où il vit une fille debout, conversant avec Erian, et deux autres assises sur le canapé, les regardant discuter. Le jeune étudiant ferma la porte. Sora était maintenant dans la cuisine, silencieux afin d'écouter les morceaux de conversations qu'il arrivait à entendre malgré la porte fermée sur son passage. Puis il posa son verre dans l'évier, et vit avec stupeur la pile de vaisselle qu'Erian avait encore laissé derrière lui, et qu'il devrait encore nettoyer le lendemain matin à la première heure, Sora étant moins fêtard mais plus matinal que celui avec qui il partageait l'appartement.

Il quitta la cuisine et entra dans le salon, Erian tournant le dos à la cuisine donc ne se rendit pas compte tout de suite qu'il y avait un nouveau venu dans la pièce. Il essaya de ne pas se faire trop remarquer par son arrivée. Mais il n'y arriva pas. Les jeunes filles avaient tourné la tête, dont celle qui discutait avec Erian regardant par dessus l'épaule de ce dernier. Sora tenta de prendre un air naturel devant les invitées surprises, puis adressa quelques mots lorsque Erian tourna la tête vers lui.

"-Quoi? Tu as encore invité des filles, et des plus jeunes que toi en plus? ...Oh, Erian...!"

Il soupira de désespoir après ces paroles. Sora pensait qu'il devrait songer à moins lire, et à davantage surveiller les occupations nocturnes de son collocataire, pour ne pas leur attirer des ennuis à tous les deux. Il réfléchit ensuite à comment convaincre les jeunes lycéennes, sans doute une collégienne parmi elles, de rentrer dans leur dortoir, sans se faire remarquer par les surveillants. Car ceux-ci guettaient aussi les appartements des étudiants, alors qu'il étaient en âge d'agir à leur guise.

Il se rapprocha du centre de la pièce, donc de tout le monde, et, alors qu'il s'apprêtait à les raccompagner jusqu'à l'entrée pour qu'elles puissent partir avant de se faire repérer, il remarqua qu'elles portaient toutes les trois des sacs pleins, ce qui signifiait qu'elles avaient apporté quelque chose. Sora tourna les yeux vers Erian, persuadé que celui-ci avait remarqué car il était du genre à voir ce genre de détails, et restait maintenant convaincu que son collocataire ne voudrait pas les laisser quitter l'appartement.

Invité

• Ouinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn, chocolat.. Aya était ce qu'on pouvait appeler triste, pourquoi? Simple, Yuka, Hikari et Aya était parties se promener jusqu'à la rien de méchant.. mais ensuite les filles étaient parties dans la forêt.. et là c'était la crotte pour être polie car les trois filles avaient finit trempées. La rosette s'en fichait, oui c'était que des habits après tout mais son chocolat à elle.. mouillée donc immangeable, Aya n'était pas folle au point de manger un chocolat mouillé.. si, bien entendue qu'elle a essayée mais le chocolat ne pouvait pas être manger pour la simple raison que si elle le touchait les bouts se cassait.. Aya tira sa jupe pour la décollée, jupe mouillée = colle aux jambes et c'était assez gênant pour marcher mais faisons abstraction, non? De toute façon, elle n'allait pas enlever sa jupe.. si? Nan, certainement pas, elle suivait Yuka la tête baissée.. Son chocolat, son magnifique chocolat au lait, tout neuf en plus mais grr.. de toute façon il ne fallait plus y pensée.. maintenant, il fallait juste trouver une solution pour ne pas passer la nuit dehors car les filles avaient dépassées le couvre feu donc tout était fermé et plus aucun moyen de rentrer.
Marchée.. forêt, arbre, feuille.. pourquoi est qu'il y avait que ça dans une forêt? Pourquoi pas un joli arbre à chocolat. Elle se perdit dans ses pensées mais sortie directement en entendent la voix de Yuka. La rosette avait les yeux brillant, trop cool!! Elle avait toujours eut envie de voir des universitaires.. pourquoi? Ne posez pas la question personne ne pourrait répondre même pas Aya enfin si peut-être..

-Oui! Pour sûre que ça me tente!

• Hikari et Aya suivaient Yuka qui semblait assez.. heureuse enfin plus mais pourquoi, mystère et boule de gum. Elles arrivèrent devant l'appartement quand un blond vint ouvrir.. Eri-kun.. pas bien, le mieux ça aurait été Eri-chan mais elle ne dirait rien.. ça lui apportait des ennuits les surnoms, suffit de penser à l'histoire avec l'autre universitaire.. Ishiro enfin Ido-chan comme l'appelait Aya. Elle écouta le blond parler et secoua la tête. Elle rentra avec Yuka et Hikari, elle chercha du regard quelque chose.. mais quoi? Bonne question et pourtant si facile à répondre enfin pour ceux qui connaissait Aya.

-Avant.. dites, vous avez du chocolat? Hein? Vous en avez..? S'il vous plaît!?

• Aya était une fille polie.. quand elle n'était pas en manque de chocolat [<<"] Il lui fallait du chocolat.. maintenant, ils avaient l'air gentils.. enfin avait l'air parce que Aya ne les connaissaient pas. Son regard était supplient, la douche? Elle s'en fichait, c'était comme d'être mouillée, elle voulait juste son chocolat et... si possible pas mouillé.

L'affaire avait commencé très simplement : Yuka Kunimoto, je suis quasiment sûr que vous la connaissez, vous savez la SA manipulatrice de l'électricité. Vous vous en fichez? Ah, bah tant pis, je continue donc mon récit. Alors, je disais donc, la foudroyante S.A. avait demandé à Hikari si ça lui disais d'aller faire un feu de camp dans la forêt. Au début, la petite lycéenne n'était pas super chaude à cette idée, principalement à cause du fait que la S.A. avait demander à une collégienne, Aya Usami, de participer aussi. Ce nom disait quelque chose à la lycéenne mais elle ne se souvenait plus du tout de l'endroit où elle avait bien pu l'entendre auparavant. Cependant, tout changea au moment où les mots "bonbons", "chamallow", "sucreries" et autres noms confiseries en tout genre avait fait leur apparition dans la conversation. Et sur ce petit changement d'avis, la jeune demoiselle s'était empressée d'accepter.

Ainsi, le soir, elle, Yuka et une autre fille dont les cheveux avaient d'ailleurs une étrange couleur et qui devait très certainement être la fameuse Aya, se retrouvèrent ensemble pour partir dans la forêt et faire un magnifique feu de camp. Malheureusement, un élément perturbateur vint interrompre leur marche et mettre à mal leur plan : la pluie. Des gouttes, au début petite et peu nombreuses, commencèrent à tomber du ciel comme un cadeau des dieux. Mais, petit à petit, les petits bouts de cristal célestes qui s'éclatait sur elle et sur les branches des arbres en de milliers de minuscules paillettes devinrent de plus en plus grosses et leur nombre ne cessait de croître. Résultat de cette malencontreuse aventure : les trois jeunes filles étaient trempées et n'avait d'autres choix que d'aller s'abriter en attendant que l'averse daigne s'arrêter.

Un crac retentit alors. La blonde du groupe avait ouvert le paquet de marshmallow et bientôt une autre main vint rejoindre celle de la lycéenne qui s'était aventurée dans le sac en plastique. Après tout, pourquoi ne pas profiter quelque peu de cet instant? Bien qu'aucun feu ne pouvait résister à cette pluie battante à moins d'être assez grand pour dévaster la forêt, il fallait tout de même s'amuser, ou tout du moins savourer les petites douceurs moelleuses que contenait le paquet. Cependant, l'eau ne tarda pas à se trouver un chemin jusqu'au petit groupe et leur abri ne les protégea plus. Le liquide incolore eut tôt fait d'achever l'ouvrage qu'il avait déjà bien entamé quelques minutes auparavant, et la lycéenne aux cheveux azur se retrouva rapidement trempée jusqu'aux os. Tout à coup, sa peau blanche fut parcouru d'un frisson et son corps trembla quelques instants. Elle avait froid, non, en fait, elle était même frigorifiée de la tête au pied. Ses habits lui collaient à la peau et malgré ses longues chaussettes, ses jambes grelottait. Il fallait qu'elles se trouvent rapidement un lieu où passer la nuit car le couvre feu devait être dépassé depuis des lustres.

Un "aie" fut poussé par la personne qui était à sa droite. Qu'avait-il bien pu arriver à Yuka pour qu'elle se frotte ainsi la jambe? L'œil bleu clair de la poupée à la peau couleur craie fixa le visage de la S.A. avec insistance, son cache-œil, lui était toujours en place. L'état de sa camarade n'avait pas l'air inquiétant et c'est pour cela que Hikari retourna à sa position initiale : la tête légèrement inclinée. C'est alors que la voix cristalline de Yuka rompit le silence qui s'était installer dans le groupe. Elle leur demandait si une petite visite chez les universitaires ne les dérangeaient pas? Mais avaient-elles seulement le choix? Tous les dortoirs étaient fermés à leur qu'il était et il était donc impossible pour elles de se retourner dans leur chambre. D'un léger signe de la tête, la petite demoiselle acquiesça bien qu'elle n'était pas vraiment sociale ou quoi que ce soit d'autre pour aimer avoir un tas de relations inutiles et encombrantes.

Les jeunes filles marchaient en file indienne à l'image des petits de quatre ou cinq ans. Yuka menait la file, comme le chef, et les deux autres suivaient docilement. La collégienne aux cheveux roses avait l'air de sangloter pour on ne sait quelle raison. Désormais, Hikari se souvenait d'où elle avait bien pu entendre le nom de cette fille. C'était celle qui avait reçu son adresse Keitai par Megumi Matsukaze et qui avait sois disant retrouver un livre de la classe F, autrement dit sa classe. Elle avait parler de... chocolat dans ses messages si elle se rappelait bien. Enfin, ce n'était pas ça le plus important à l'instant présent.

Yuka s'arrêta devant la porte d'un des appartements des universitaires. Fille ou garçon? La jeune fille n'en savait rien et ce fut donc une surprise de découvrir, dans l'ouverture de la porte, un beau blond torse nu qui venait de leur ouvrir. Eri-Kun... Quel pouvait bien être le véritable prénom de ce jeune homme? Hikari n'en avait aucune idée et ce détail ne l'intéressait pas beaucoup.

Une goutte glissa alors de sa frange à son nez et la petite lycéenne passa rapidement sa main sur son visage pour l'enlever. Une fois l'autorisation d'entrer dans la petite habitation donnée, le groupe de trois ne se fit pas prier et troqua leur endroit inconfortable et trempé pour un refuge sec et sans doute un peu plus confortable que l'extérieur. "Eri-Kun" s'en alla chercher quelque chose et revint avec troid, non quatre serviettes. Il les lança aux trois demoiselles qui poireautait dans le salon pour qu'elle se sèche. Dès qu'elle reçut la sienne, Hikari commença par se sécher les cheveux. Bien évidemment, ce ne devait pas être le bon lieu et elle stoppa donc son action, la serviette toujours en main derrière sa tête. Une cinquième personne fit son entrée, ce devait être le fameux colocataire de l'universitaire. Ce dernier avait l'air un peu plus gêné de leur présence que son camarade d'habitation. Il lança une phrase au premier jeune homme, celui-ci qui entre temps leur avait demandé d'aller se sécher et se changer dans la salle de bain. Dilemme : que devait faire Hikari en cet instant? Aller dans la salle de bain sans se préoccuper du nouvel arrivant ou attendre et observer le dénouement de la situation en tant que simple observatrice? La deuxième proposition était plus alléchante et intéressante que la première et puis, ainsi, elle ne passerait pas directement pour une je-m'en-foutiste totale, bien qu'elle-même s'en fichait comme de l'an 40.

Elle prit donc place en tant que spectatrice et non actrice de la scène, se régalant à l'avance de la pièce qui allait se jouer sous son œil d'un bleu de glace qui ne laissait filtrer aucune information sur ses sentiments pour l'extérieur. Toute fois, un léger sourire pris place sur ses lèvres mais qui ne dura malheureusement pas assez longtemps pour que quelqu'un le remarque.

Comme on le leur avait proposé, le groupe de filles toutes plus grelottantes les une que les autres, entrèrent dans l’appartement chauffé avec empressement. Le jeune homme, bon gentleman, leur apporta des serviettes et même de quoi se changer le temps que leurs habits sèchent. La Kunimoto allait le remercier lorsque des bruits de pas l’interpellèrent. Regardant derrière le dos d’Uriel, elle put distinguer un second adolescent, probablement du même age que celui en face d’elle, mais aux traits plus efféminés sous ses cheveux bleu marines atypiques. Elle lui offrit un sourire en guise de salut, sourire qui s’effaça bien vite en entendant ses paroles :

« "-Quoi? Tu as encore invité des filles, et des plus jeunes que toi en plus? ...Oh, Erian...! »

Encore ? Intéressant… Attendez, « comment ça des plus jeunes » ? Je ne vous permets pas ! Dit comme ça c’était limite insultant. Le soupir de désespoir lui donna une idée juste pour renfoncer un peu le couteau dans la plaie afin de faire croire que ce jeune homme qui devait probablement faire de l’humour, enfin c’était à espérer où ses amies n’allaient plus jamais lui faire confiance, ne se trompe pas tout-à-fait. Prenant une voix qui ne lui ressemblait pas pour sa niaiserie et une expression entre l’outrage et l’étonnement, la Kunimoto décida de devancer son ami, ne lui portant pas vraiment secours sur le moment.

« Eri-kun ? Comment ça encore ? Tu me trompes mon chou…Oh, et c’est pour lui que tu m’as demandé d’amener des amies ? Pour qu’on soit un peu seul tous les deux…je comprends mieux. »

Le clin d’œil était peut-être de trop, mais elle s’amusait beaucoup de l’expression qu’elle pouvait lire sur les visages. La SA les fit attendre quelques secondes, avant de changer complètement d’expression comme une comédienne professionnelle enlevant son masque après la représentation. Sa voix reprit ses tonalités habituelles, avenantes et confiante, pour lui tendre la main afin qu’il la serre :

« Plus sérieusement, je m’appelle Yuka et voici Hikari et Aya. On voulait faire une petite sortie en forêt, mais la pluie nous a un peu surprise et il est bien trop tard pour rentrer sans se faire prendre. »

Son sourire se fit soudainement plus contrit, et sa voix plus hésitante :
« Cela dérange vraiment de nous héberger ? Au moins le temps que la pluie se calme…s’il te plait ? »

Oui, elle le tutoyait comme une amie le ferait, oui, c’était une comédienne née et ses yeux ne le laissaient même pas paraître, et alors ? Quand on veut quelque chose, on ne va pas abandonner au premier obstacle.

Pendant ce temps, Aya semblait plus préoccupée par son manque de chocolat que par autre chose puisque ce furent ses seules paroles immédiates. On ne la changerait pas pensa-t-elle en riant le plus silencieusement possible. La Kunimoto profita de ce laps de temps pour se pencher imperceptiblement vers l’oreille de celui qui leur avait ouvert la porte afin de lui murmurer si bas que seul lui pouvait l’entendre :

« Par contre, est-ce que tu peux me montrer où se trouve la salle de bain s’il te plait ? »

En réponse à sa question presque silencieuse, il hocha la tête et l’entraînement un tout petit peu plus loin dans l’appartement d’étudiant. Elle savait qu’elle aurait pu trouver toute seule en cherchant un peu. Mais, premièrement ce n’était pas vraiment poli, deuxièmement, si elle atterrissait dans la chambre d’un des garçons, il faudrait inventer une excuse prouvant qu’elle ne fouillait pas dans leurs affaires mais cherchait juste à se changer. Mauvaise idée. Très mauvaise excuse.

Il poussa l’une des portes du couloir et elle eut la possibilité de pénétrer dans une petite salle d’eau, non sans avoir déposer quelques gouttelettes d’eau sur son passage comme le Petit Pousset semant ses cailloux sur la route. Il ne comptait pas la perdre n’est ce pas ?
La porte se referma sur lui après que Yuka l’ai remercié et elle observa un instant où elle avait été déposée. Bien moins spacieuse que celle qu’on lui avait installé dans sa chambre, sans baignoire immense pouvant parait-il faire jacuzzi, la salle de bain possédait néanmoins le nécessaire à une bonne toilette. Si elle avait été tenté un instant par la déesse de la fainéantise de se restreindre à ôter ses vêtements pour se changer, la jeune fille se ravisa bien vite en enlevant son haut et se décida à profiter de la douche chaude afin de ne pas attraper froid. Le reste de ses vêtements rejoignirent son corsage alors qu’elle ouvrait avec délice le jet d’eau chaude fumante. Plusieurs minutes passèrent où la jeune fille à la peau de lait se contenta de profiter de la douceur du liquide chaud sur son corps nu, répondant par la même occasion une chaleur lourde de vapeur d’eau dans la pièce. Elle n’entendit même pas dans un premier temps la porte s’ouvrir lorsqu’un gentil garçon pensa qu’il serait bon de lui apporter les affaires qu’elle avait bêtement laissées dans le salon.

Grave erreur de sa part puisque bien entendu, sinon ce ne serait pas drôle n’est ce pas ?, elle entreprit de sortir de la douche alors que le jeune homme n’avait pas encore eu le temps de partir. Cependant, comme un malheur n’arrivait jamais seul, à moins que dans son cas cela soit au contraire un cou de chance, le rideau de douche qui couvrait plus ou moins ses formes semblait s’être coincé en haut et elle n’arrivait pas à le tirer correctement. Agrippant fermement celui-ci, elle donna alors un coup sec qui la déséquilibra, annonçant une descente un peu trop rapide vers le carrelage pour être naturelle.

« Kia ! »

Idiote ! Ça te prend souvent de t’accrocher à un rideau lorsque tu tombes ?
Au moins elle ne s’était pas blessée. Quelque chose, quelqu’un ?, semblait avoir amortit sa chute. Reprenant un peu ses esprits, ses mains se portèrent par reflex à un endroit bien précis de l’anatomie humaine : les yeux du jeune homme. Non mais c’est quoi cette position ?

[Yuka…tu deviens bavarde ma parole ôè]

[Hors-sujet]Au vu de ce que vous faites intervenir dans vos rps je classe plus ou moins vos réactions et attitudes dans cet ordre pour mon rp(c’est comme ça que je le vois nul besoin a vous de respecter cet ordre c’est juste pour m’organiser moi)
1- Aya(car aucune notation a propos de sora donc je suppose que tu parle avant son arrivé)
2- Sora(Puisque des vois t’interpelle c’est que tu a entendu quelqu’un parler, donc Aya pour le coup puisqu’elle est la seule a intervenir avant ton arrivé)
3- Yuka ton post démarrant a l’arrivé de Sora je peux pas placer ton action avant la siennes^^[/Hors-sujet]

J’en étais encore et toujours a attendre des explications qui ne semblait pas motivé a venir( aller les petites explications on se dépêche s’il vous plait j’ai pas toutes la nuit(bon ok si mais c’est quand même pas une raison .)). Je fus par ailleurs surpris que la première personne à prendre la parole soit la collégienne…Pas que je l’avait trouvé timide au premier regard(d’ailleurs je l’avait a peine regardée) mais plutôt que je m’attendais a voir Yuka qui me semblait être la chef de groupe, prendre l’initiative d’expliquer ce qui se passait. Enfin il semblerais que la petite ne soit pas vraiment préoccupé par la situation, comme les deux autres d’ailleurs, dites moi les filles, vous réalisé que vous êtes devant un homme, en pleine nuit avec des vêtements Mouillé et à moitié transparent ?, enfin je pense que j’allais gardé cette question pour moi parce que bon, pas que je sois pervers(quoique), mais c’est pas moi qui était sensé être gêné dans cette situation.

La question de la jeune collégienne fut si surprenante que je la fixais sans réagir quelques seconde. Une droguée du chocolat maintenant ?! Bon dieu on commence à accumuler les cas grave dans cette chambre(déjà que moi c’étais pas mal). Je profitais de mes quelques instant de blocage pour observer la jeune fille plus en détail, elle était plutôt petite(normal pour une collégienne) avec des cheveux de couleur….plutôt étrange il faut avoué, le rose pale n’étant pas vraiment banal, au niveau de ce que laissait apparaître les vêtements(Qui a dit Pervers/pédophile/lollicon ?(rayer les mentions inutile)) des formes commençait à apparaître mais rien de particulièrement notable visiblement. (et pour ceux qui seraient capable de lire mes pensés pour me traiter de voyeur je vous signalerais que se sont elles qui font dans l’exhibitionnisme là). Je repris enfin mes esprits pour prendre le temps de répondre mon observation n’ayant pas duré plus d’une dizaine de seconde on pouvait pensé que je réfléchissait à ma réponse).

« Je t’avouerais que je ne sais pas si il en reste ici je vais aller voir attend… »

Je m’apprêtais à me lever pour vérifier lorsque je vis le regard de Yuka se poser derrière moi, et en tendant l’oreille je perso une légère respiration dans mon dos… Je retombais sur le canapé en soupirant tandis que mes pensé passait de « Où est le chocolat, si il yen a ? » à « Et m********** », m’avachissant complètement blasé et désespéré par la situation qui ne s’arrangeait guère pour ma brillante(ou pas) réputation. Sora se planta dans la pièce probablement aussi dépassé que moi par la situation(sauf que dans son esprit ça devait être de ma faute). Finalement il parla, voulant lui aussi plus ou moins comprendre la situation, et sans le vouloir il me planta une bonne dizaine de lance dans le dos(enfin je dis ça pour vous situer l’impression que j’avais hein, il n’avait pas essayé de me tuer je vous rassure) lorsqu’il employa le mot « encore », nan mais je vais passer pour quoi moi ? D’autant que je ne ramenais jamais de fille quand j’étais sobre pour pas déranger….Bon ok c’était une règle que je m’étais fixé ya un ou deux mois donc on avait effectivement vu passer diverse fille ici(mais il ne c’était rien passé je vous rassure j’ai encore un minimum de respect pour le calme demandé par mon coloc’)

Je m’apprêtais a clamer mon innocence lorsque Yuka me devança en se lançant dans une interprétation de la petite amie un peu perverse qui entend la phrase de Sora. Bon pile je joue le jeu, face je conteste, la tranche je vais me pendre…Je lançais la pièce sans vraiment prendre la peine d’expliquer pourquoi, après tout c’était mon choix non ?, et la laissait retomber sur le sol sans rien dire, et elle afficha un Pile retentissant… faisant signe a Yuka de patienter quelques secondes avant de faire chuter la blague(discrètement cela va de soit), je me levais et me plaçait derrière Sora , croisant les bras et posant mes coudes sur les épaules de celui que je considérais comme un frère, malgré le fait que nous ne nous connaissions que depuis un an, et je lui chuchotais à l’oreille :

« Comme je ne t’ai jamais vu avec une fille de notre age j’ai supposé que tu préférais les plus jeunes, donc je te laisse faire ton choix. »

Je n’avais certes pas le meilleur champ de vision mais j’étais persuadé que le visage déconfit que devait afficher Sora avait quelques chose de Mythique sur l’instant. Quelques secondes plus tard Yuka brisait le mensonge en fournissant l’explication que j’attendais moi même depuis un moment. Je reculais d’un pas pour me dégager de Sora alors que j’étais à moitié mort de rire. Je mis un temps a reprendre mon calme, temps durant lequel Yuka s’approcha de moi pour me demander quelques chose.

A oui évidemment j’avais parlé de salle de bain, mais si je leur indique pas c’est pas franchement utile n’est ce pas ? J’amenais Donc Yuka a la salle de bain et repartie dans la salle central pour m’occuper des préoccupations de nos deux autres invitées. Enfin plus précisément de celles de la collégiennes puisque l’autre ne semblait pas demander l’attention(et que techniquement j’avais déjà fort a faire pour ne pas me rajouter volontairement du travail.).

Je commençais donc a ouvrir divers placard a la recherche d’un éventuel chocolat tout en me justifiant auprès de sora(après tout je fouillait un peu sans raison pour lui présentement.)

« Sora, je cherche si nous n’avons pas du chocolat pour la petite miss au cheveux rose, qui semble visiblement en avoir besoin pour se remettre des ses émotions. »

J’aurais certes pu l’appeler par son prénom puisque Yuka me l’avait donné, mais j’avoue que trop occupé a observer la réaction de Sora je n’avais pas trop fait attention à qui était qui…D’ailleurs il faudrait peut être que je pense à me présenter aussi. Alors que j’étais en trains de vider un placard de son contenu pour en voir la fond(contenu qui se résumait a de nombreuses bouteilles d’alcool que je posais négligemment sur la table). Je me tournais vers les deux filles.

« Ah au fait je me nomme Uriel et voici mon colocataire…Je jetais un instant un œil sur la table ou je voyais encore les trois T-shirt, et après plus amples observations je remarquais aussi que Yuka avait laissé sa serviette ici. Poussant un soupir désespéré j’achevais : Mon colocataire à qui je vais laisser le soin de se présenter, puisqu’il semblerait que Yuka ait oublié ce dont elle avait besoin pour la salle de bain. »

Je me saisis du T-shirt et de la serviette encore inutilisé(comme les autres d’ailleurs(sauf la mienne que ‘j’avais laissé sur le canapé)). Et me dirigeais, en mettant auparavant excusé de devoir m’absenter, et me dirigeais rapidement vers la salle de bain a l’intérieur de laquelle j’entendais l’eau couler…Elle prenait carrément une douche…bon a la limite ça expliquait qu’elle n’ait pas encore remarqué qu’elle avait tout oublié c’est sur… Et puis bon en y réfléchissant c’était normal vu la situation dont elle venait de sortir.

J’entrais donc dans la salle de bain, discrètement, après tout je n’étais pas vraiment motivé pour faire savoir ma présence et l’expliquer, avec un peu de chance elle ne remarquait rien…manque de chance(ou a mon grand plaisir ça dépend des points de vue) Elle sortit de la douche a l’instant ou après avoir posé sa serviette et son T-shirt sur le lavabo, je m’apprêtais a repartir, et comme un malheur(bonheur ?) n’arrive jamais seul il avait fallut qu’elle se prenne dans le rideau et me tombe dessus, m’offrant un instant une vue plutôt splendide il faut avouer, avant de m’obstruer les yeux de ses mains. A vu de la situation(et même si je n‘y voyait rien mon sens du touché était assez aiguisé pour me faire comprendre la scène qui s’offrait vu de l’extérieur(a savoir Yuka nue allongé sur moi)) je ne put m’empêcher de déclarer avec une voix pleine de sous-entendu :

« Les mots de Sora ont provoqué en toi un élan de jalousie tel que tu te sens obligé de me tomber dessus dans cette tenu, alors que je t’apporte de quoi te changer et te sécher ? »

En riant légèrement je tendis le bras pour attraper la serviette que je destinais a Yuka d’une main. Et de l’autre je remontais lentement le long d’un de ses bras pour localiser le niveau de ses épaules. Une fois que je le situais je posait la serviette sur le dos de Yuka, lui passait sous l’un des aisselles, la faisant glissé sur son buste(m’efforçant de ne pas la toucher), rejoignant l’autre dessous de bras et faisant un nœud dans le dos pour que la serviette tienne bien en place et cache le principal, je l’invitais ensuite a se relever pour pouvoir me dégager.

J’avais enfin les yeux libres et même si le principal était caché je ne pouvais que remarquer que décidément Yuka était bien proportionné, je m’apprêtais a sortir quand une goutte d’eau froide glissant dans ma nuque me rappela que mes cheveux n’avaient pas été correctement séché. Hum rester, ne pas rester ?…bah au final je l’avais déjà vu dans des situations pire que ça lors de notre première rencontre.

« Par contre j’aurais besoin de me sécher les cheveux si cela ne t’ennui pas…de toutes manière on a eu plus improbable comme situation non ? »

Aussi surprenant que cela puisse paraître elle accepta de me laisser rester(personnellement j’avais fini par comprendre qu’elle n’était définitivement pas aussi prude que les autres fille en générale). Je me séchais et me brossais rapidement les cheveux pendant que Yuka s’occupait de retirer les gouttelettes d’eau de son corps(enfin je supposais puisque j’évitais de regarder). Lorsque Yuka eu fini elle remis ses sous vêtements et le t-shirt que je lui fournissais et qui lui arrivait juste au dessus des genoux. Puis alors que je m’apprêtais a lui passer le sèche-cheveux je me ravisais et pris une brosse n’ayant jamais servie(qui était la au cas ou nous en aurions besoin un jour).

« Bon puisqu’on fait Hôtel pour la soirée j’offre les soins capillaires, mais bon c’est pas du cinq étoiles je préviens. »

Je m’occupais donc des cheveux de la jeune fille comme je m’occuperais des miens, c’est a dire avec une délicatesse infinie(oui je suis soigneux sur certain truc). M’occupant de démêler le tout a le perfection et de les sécher au mieux sans pour autant les abîmer. Une fois que ce fut fait nous retournâmes dans la salle centrale ou les autres étaient encore(quoique l’un deux avait put venir voir dans la salle de bain ce que nous faisions, et en y repensant quelques soit le moment la situation prêtait pas ma a confusion.) après ce qui devait plus ou moins être cinq a dix bonnes minutes ce qui pouvait prêter a confusions….

Le temps passait, passait et re-passait. De plus, il ne se pressait pas, il défilait à une lenteur accablante : une seconde, une autre, encore une, allez, je suis sûre que tu peux faire un petit effort petite aiguille, allez plus vite. Bref, c'était une situation désespérément ennuyeuse, tellement que même la petite poupée qui se tenait debout d'une façon plutôt molle. Une question résonnait dans sa tête : devait-elle ou non s'asseoir dans le canapé alors qu'elle était trempée et risquait de le mouiller ? La demoiselle se résigna, elle était une "invitée", plutôt une "incrustée" mais bon, et se devait donc de bien se tenir chez ses hôtes bien qu'elle se fichait pas mal du lieu où elle se trouvait lorsqu'elle avait décidé de mettre la pagaille. Mais bon, le fait intéressant était qu'ici, elle avait décidé de se retenir, un minimum tout du moins. La statue immobile il y a quelques instants se décida enfin à bouger et d'un léger mouvement elle marcha en direction de la partie "cuisine" là où le blond donc, s'était éclipsé en présence de l'autre garçon, le brun. La lycéenne stoppa finalement son mouvement en direction des deux garçons lorsque l'"ami" de la blondinette du groupe, d'ailleurs, celle-ci était partie on ne sait trop où, du point de vue de Hikari en tout cas.

Revenons quelques minutes auparavant (bruits de rembobinage) là, voilà c'est bon, stop. Nous en sommes au moment où Yuka s'était dirigée vers les universitaires. Qu'allait-elle demandé au juste? Cette question d'un intérêt minime pour la lycéenne aux cheveux océan, trempés pour le moment, cette dernière n'écouta pas la requête de sa camarade ni même la réponse de l'universitaire. Non, elle avait trouvé un autre compagnon de jeu sans doute bien plus intéressant que la discussion des deux autres et l'endroit où ils allaient. Et quelques secondes plus tard la S.A. et le jeune homme étaient partis on ne sait trop où on ne sait trop faire quoi d'ailleurs. Pendant ce temps, l'unique œil bleu de la petite poupée s'était fixé sur le brun. Le voici son compagnon de jeu, allait-il accepter facilement le fait de n'être qu'un jouet pour une certaine personne de cette pièce ? Sans doute pas, après tout, qui voudrait être traité ainsi ? Pas grand monde en tout cas. Bref, l'intérêt de cette perfide petite démone lui était dévoué et désormais il allait être observé et suivi d'un œil pendant toute le reste de la soirée... ou pas. Cela dépendrait de la tournure que prendrait les évènements de cette nuit et si cette personne se trouvait être assez intéressante.

Une chevelure blonde survint alors du couloir, qui était-ce ? Yuka ? Et bah nan, loupé, retentez votre chance car ce n'était pas la fameuse demoiselle qui se trouvait à l'embouchure du couloir mais bien cet universitaire qui n'avait rien de spécial, enfin pas tellement. D'où revenait-il donc ainsi ? Mystère et boule de gomme j'aimerai bien dire car dans l'esprit de la petite demoiselle cette question avait autant de réponses que la question "Pourquoi le bing-bang a-t-il eu lieu ?", autrement dit, aucune. Ce jeune homme avait-il mit fin à la vie de la blondinette ? Non, sinon un combat aurait eu lieu, il avait simplement dû l'amener quelque part. Il s'avança d'un pas assuré vers le coin cuisine, suivi de l'œil inquisiteur de la petite poupée de porcelaine. Bref, il était de retour de la pièce et nous, nous voilà de retour au début de ce RP.

Cette voix n'avait rien d'extraordinaire, elle était même l'inverse : tout à fait ordinaire. Elle était cependant belle et Erian, le prénom de celui qui avait pris la parole et qu'il venait à peine d'énoncer, n'y marquait aucune hésitation. Cependant, il s'arrêta au milieu de sa phrase et fixa quelque chose des yeux avant de soupirer et de continuer d'une étrange manière. La curiosité enfin en éveil, Hikari tourna vivement la tête en direction de la chose que regardait le blond, à ce mouvement rapide, la chevelure de la jeune fille éparpilla quelque gouttes sur le sol, celle-ci s'écrasaient en faisant un "ploc" quasi inaudible dès qu'elles touchaient la surface dure. En suivant le regard du jeune homme, que vit-elle ? Les affaires pour se changer et se sécher d'elle et des deux autres personnes du groupe. Un problème ? En effet, car la lycéenne, toujours debout au milieu de la salle principale, venait d'apprendre que Yuka avait laissé ses affaires ici alors qu'elle était partie dans la salle de bain... Oui, problème donc mais, d'après ses dires, il semblerait que le beau chevalier servant allait de suite voler au secours de la princesse. Il n'y avait donc aucune raison de s'inquiéter, du moins pour le moment.

C'est alors que la petite fille remarqua quelque chose qu'elle n'avait pas vu au départ : des bouteilles... Des bouteilles de quoi? Le mystère demeurait, de son point de vue, Hikari n'arrivait pas à bien distinguer les étiquettes donc, alcool ou jus de fruit ? C'était là que résidait la principale question. La jeune demoiselle avait cependant prévu qu'elle ne boirait pas de ce liquide cette soirée, mais allait-elle vraiment résister ? Un mauvais pressentiment, sans doute, lui parvenait de ces bouteilles. Mais bon, qui pouvait donc fier ses avis et ses actions sur un simple pressentiment ? Certainement pas Hikari et c'est pour cela qu'elle n'y fit pas plus attention que cela, après tout, des bouteilles, même celles-là, n'arriveraient jamais à attiser sa curiosité.

Le blond parti à la rescousse de la reine mettait un temps fou à revenir. La poupée au cœur de glace tourna la tête en direction du couloir puis vers Sora. Après un court moment de réflexion, elle s'approcha de celui-ci et du haut de son petit mètre 57 elle se faisait comme "surplomber" par l'universitaire, il n'y avait pourtant pas tant d'années de différence entre eux, non ? Il faut dire que pour son âge, le physique de cette poupée restait désespérément celui d'une petite fille. En y repensant, elle devait faire à peu près autant que la collégienne, bref ce n'était pas glorieux glorieux tout ça. Donc, après s'être approchée du brun, elle le fixa un moment et d'une de ses petites mains attrapa le bas de sa chemise comme pour lui demander quelque chose. Et, pour la première fois de cette soirée, comment dire, mouvementée on entendit la voix cristalline de cette petite demoiselle aux allures de princesses mais à la taille d'un nain de jardin.

"Je pourrais avoir à boire ?"

La voix était ferme, froide presque frigorifiante tellement elle était glacée de plus, si vous avez remarqué, pas un "s'il vous plaît". L'œil de glace de la lycéenne semblait traverser Sora. Pourtant, cet œil le fixait bel et bien cependant l'impression donnait un étrange sentiment et rendait mal à l'aise celui qui en était le receveur. Comment cet universitaire allait-il réagir face à cela ? Ce n'était pas le but principal de Hikari en faisait cette action car c'était son regard habituel, si beau mais si dangereux...

C'est ainsi que, quelques minutes plus tard, elle se trouvait en train de siroter un verre d'eau. Lorsque ce dernier fut entièrement fini, elle posa son verre le plus délicatement possible, l'effet qui résultat de cette tentative fut qu'aucun son, ou presque, ne se fit entendre. Après cela, pensant que Yuka et Erian avaient fini depuis longtemps avec la salle de bain, la petite demoiselle s'empara de ses affaires restées sur le canapé et s'enfuit d'une démarche quasi sautante vers la dite salle. A son passage, des gouttes s'éparpillaient sur le sol. Ses cheveux et ses habits mouillés en étaient la cause car tous deux gouttaient. Au tournant, elle entra dans la salle de bain, ne fit gare à personne et déposa ses affaires sur une chaise qui se trouvait là. La lycéenne ne prit même pas le temps d'observer les lieux, mais après tout, une salle de bain reste et restera toujours une salle de bain, pourquoi s'en soucier ?

Délicatement, elle commença par enlever sa robe trempée. Cette dernière était d'un blanc très pur et fait d'un tissu fin et presque transparent à certains endroits une fois mouillé. Ce vêtement n'était cependant pas si simple car de nombreuses dentelles noires principalement en sortaient, il avait cependant perdu de son volume sur le bas et les boutons noirs sur le haut avaient légèrement déteint. L'habit restait cependant d'une qualité exquise et d'une beauté sublime. Il allait comme deux gouttes d'eau au corps maigre de sa propriétaire, sans la serrer trop, il dévoilait tout de même ses formes quoique non vu qu'elle n'en avait aucune pas même en formation, nous allons donc utiliser le mot "silhouette" de préférence. Une fois ce vêtement enlevé, son torse nu dévoilait des côtes saillantes ainsi que quelques abdominaux, mais parfaitement bien dessinés. N'ayant donc aucune forme due à la puberté, elle se passait très bien de soutien-gorge qui était, en son cas, un objet inutile. Mais, quelqu'un aurait été affolé par la finesse des bras de la lycéenne, une impression de faiblesse se dégageait de son corps comme si au moindre coup elle allait se casser et ne plus jamais se relever. Mais, les apparences sont trompeuses dans certains cas et c'est le cas pour celui-ci. Sa robe par terre, elle retira lentement ses bas rayés blancs et noirs complètement trempés. Avec un léger "pof" ses bas tombèrent par terre. Il ne lui restait donc plus que sa culotte à enlever. Lorsqu'elle commença son labeur, elle tourna la tête et vit quelque chose des plus surprenants. Son œil d'un bleu très clair ne changea cependant pas d'expression à l'effet de cette surprise et ce fut seulement sa bouche qui bougea légèrement. Celle-ci passa de la position "fermée" à la position "légèrement ouverte en un petit o". En gros, pas de changements choquants au vu de la scène qui se déroulait juste devant elle.

Une scène des plus compromettantes car, deux êtres de la race humaine se trouvaient l'un au dessus de l'autre. La "femelle" était au dessus du "mâle" et faisaient des choses étranges car bien que le "mâle" était habillé, sa compagne, elle, ne l'était pas. La fille se trouvait être une blonde aux formes assez développées, le garçon étaient lui aussi blond mais semblait plus âgé que sa partenaire. La blonde se trouvait donc être Yuka Kunimoto et son partenaire Erian Uriel, étonnant, non ? La main de la S.A. se trouvait sur les yeux du "voyeur" essayant de protéger en même temps ses parties intimes. L'universitaire lui, bien que les yeux caché avait une main qui tripotait le sublime corps mouillé de la lycéenne l'autre essayant de retrouver la serviette qui était étalée un peu plus loin, un peu trop loin. D'un œil inquisiteur, Hikari, l'incruste en quelques sortes, inspectait la scène. D'un rapide mouvement de jambes, elle s'approcha du duo, s'accroupi près du bout de la serviette, puis la rapprocha la serviette du bras du pauvre pervers d'universitaire. Ce dernier s'en saisit sans remarquer l'autre jeune fille et essaya de protéger le corps de Yuka. La petite pouée de glace se recula à l'autre extrémité de la pièce et, d'une petite voix presque inaudible, elle prononça quelques mots :

"Désolée, je crois que je dérange."

Les deux autres jeunes gens présents dans la pièce étaient trop occupés sans doute pour remarquer la présence de la tierce personne. C’est pour cela que la petite poupée au cœur de glace se précipita vers l’autre extrémité de la pièce et, plus rapidement que quand elle se déshabillait, remit ses vêtements à la hâte. Toujours aussi silencieuse et discrète, elle repartit vers la salle commune.

Lorsqu’elle y arriva, elle ne remarqua aucun changement notoire. La collégienne aux cheveux roses avait l’air toujours aussi excitée qu’auparavant et le brun ne faisait pas office de différents. La lycéenne retourna vers le sofa, s’y installa confortablement et n’ouvrit plus la bouche.

Quelques minutes plus tard, les deux éclipsés revinrent en faisant comme si de rien était. Se doutaient-ils au moins du fait que la petite fille les avait surpris ? Elle ou quelqu’un d’autre d’ailleurs, cela revenait au même. Un regard appuyé les suivit tout de même. A qui appartenait-il ? Quelle question ! La réponse est sous vos yeux : c’était celui du seul témoin de la scène qui venait d’avoir lieu dans la salle de bain.

Hikari se releva du canapé ayant désormais l’intention ferme d’aller se doucher, mais tout à coup elle se rendit compte de quelque chose : elle avait oublié dans l’autre salle le tee-shirt pour se changer et la serviette pour se sécher. La jeune fille se décida tout de même d’y aller bredouille, elle passa à côté de Yuka, s’arrêta pour la regarder, se leva sur la pointe des pieds et lui murmura quelque chose à l’oreille que seule la S.A. pouvait entendre.

"Vous avez un très joli corps, mademoiselle électrisante..."

Puis sur ces mots emplis de soupçons, la petite poupée à l’air si frêle reprit sa marche en direction de la salle d’eau, un demi sourire ironique et plein de satisfaction peint sur ses lèvres.

Invité

• Eri-kun.. alors il s'appelais comme ça, ok tant mieux pour lui.. c'était cool, ahah, humour pourrie.. Bref, elle pouvait se présenter toute seule mais puisque Yuka le faisait, mon chou.. Enquête.. oui il faudrais qu'elle enquête, Aya the détective.. Who, il a du se passer quelque chose entre les deux parce que Aya n'avait jamais vue Yuka appeler quelqu'un mon chou, bon en même temps elle n'était pas non plus tout le temps avec elle, la rose ne pouvait pas donc savoir les surnoms que Yuka donnait.. mais mon chou, c'était pas pour les très, très proches ou bourges. Bourge parce que quand on regarde les films il y a toujours la femme super riche qui dis mon chou à tout le monde.. ou a son chien. Aya pouffa de rire en imaginent l'universitaire avec Yuka, et une laisse.. La honte ou pas, imaginons il refuse, c'était.. pas cool pour elles. La jeune fille priait intérieurement.
Bon alors.. et ce chocolat, il en avait où pas.. pis qu'est qu'il avait à la regarder, il avait jamais vue une chocolat addict ou quoi? Agressive.. c'était Aya en mode, sans chocolat, donc mieux vaux pas trop lui parler quand elle est en manque de cacao. Kyaaaaah il était pas sûre, naaaa elle ne pouvait pas vivre sans chocolat.. Bououh, elle ne pouvait pas et ne voulait pas, c'était pas pareil mais c'était les deux. Ensuite, elle entendis l'autre garçon parler.. pervers, le blond était un pervers enfin c'est ce qu'elle pensait avec la phrase et le ton du garçon.. Aya croisa ses bras contre elle, elle en avait marre d'attendre. Oui, elle était saoulente en manque de chocolat encore plus que d'habitude d'ailleurs.

• Aya regardait un peu partout.. la classe, cette appartement quand même c'était mieux que les chambres du dortoir. Oh.. bah, elle était où Yuka? Grande question que se posait Aya qui était bien plus absorbée par la recherche du chocolat. Un crie assez aiguë, résonna dans l'appartement..
Tant pis, elle verrait ça après, il n'y avait même pas de chocolat. Soudain les yeux de Aya se mirent à briller étrangement, elles étaient jolie les bouteilles. Aya fit attention à ce que le colocataire de Uriel, Sora soit bien plongé dans sa lecture. Pas bien d'utiliser son don pour ça mais tant pis, c'était un cas de force majeur. La jeune fille fit apparaître un double d'elle puis elle se dirigea vers la cuisine où elle prit la première chose qu'elle vit soit une bouteille.. c'était bon ça, au moins?
La collégienne haussa les épaules ouvrit la bouteille et commença à boire, boire.. boire PAF!! Aya laissa tomber la bouteille, le liquide d'une couleur assez.. original se répandit parterre, Aya, elle avait ses joues toute rouge.. Elle avait envie de, de danser. Elle eut un grand sourire et commença à danser joyeuse avec la chaise puis elle la reposa pour entreprendre une conversation avec elle.

• Sûrement que les autres avaient entendue car ils arrivèrent, Aya se jeta dans les bras de la première personne et cette première personne était.. Erian, oui parce que c'était un blond, si elle distinguait bien encore les couleurs mais ça pouvait pas être Yuka.. parce qu'elle était plus petite.

-Câlin! Dansons.

• Elle serra fortement Erian puis l'entraîna ensuite dans une danse folle.. et ben, les filles bourrés ça avait de la force quand même.