La nuit, tous les chats sont gris où presque... [Pv: Russel & Alessia]

Le soir étant arrivé, il fallait bien essayer de trouver où se trouvaient les dortoirs. Après tout, il le fallait bien, même si c’était long et pénible de marcher. De plus, Jeza ne savait pas où ce trouvait les dits dortoirs. C’est bien un des malheurs d’être nouveau dans un établissement. En plus le jeune homme, bien que relativement débrouillard, n’y arriverait pas s’il ne demandait pas de l’aide à quelqu’un. D’un côté, s’il demandait, il aurait plus de chance de se retrouver. Perdu comme il était, le jeune noir n’avait rien à perdre. Oh si, peut-être seulement des indications clairs et précises. Mais d’un autre côté, il pouvait aussi bien recevoir de mauvaise info qui pourrait le perdre encore plus. Et paranoïaque comme il était, Jez s’abstenait. Marchant dans les couloirs de l’établissement, il avait le regard un peu dans le vague, en regardant les indications. Peut-être qu’ainsi, la direction des fameux dortoir allait apparaître comme par enchantement et allait lui éviter de demander à une tierce personne.

Un peu trop dans la lune, c’est qu’il ne remarqua pas qu’il avait dépassé les couloirs menant aux dortoirs. Les mains dans les poches, il continuait sa marche. Après quelques minutes, il manqua de trébucher sur des escaliers. Depuis quand étaient-ils là? Oh sûrement depuis un bon bout de temps, le garçon trop lunatique pour ne pas les remarquer avant. Hm, des escaliers, normalement, des chambres, ça se trouve en haut? Donc pourquoi ne pas les empreinter? C’est ce que fit le jeune homme. Il les monta d’un pas lent et pas très pressé, après tout, il avait du temps libre, beaucoup de temps libre. Tout en haut, cela l’avait amené sur le toit. Quel joli endroit. Bien qu’il fessait à présent presque sombre, la vue était sublime. Bien sûre, l’on pouvait apercevoir très bien divers endroits. Par la suite, le temps, bien que froid, et peut-être même plus froid pour quelqu’un qui ne portait pas de veste, ne dérangeait en rien l’ambiance calme qui régnait en maître sur l’endroit.

En somme, le toit allait être un endroit agréable lorsque le jeune noir voudrait du calme. Jeza s’adossa proche du rebord du toit, regardant les nuages défiler. Comme ça serait bien d’être un nuage. Solitaire et indépendant. Soudain, il entendit la porte menant à la place s’ouvrir. Se retournant pour voir qui était arrivé, il eu une légère expression de surprise.

- Ru…Russel Dawnson?

La distance n’était pas très grande, mais la silhouette lui avait semblé si familière… Si proche et mêmes si trois années s’étaient écoulées, il lui semblait qu’il était capable de reconnaître celui qui avait partagé tout ses moments sous un abribus.

Russel s'ennuyait... Il n'y avait, à vrai dire, rien d'intéressant à faire... Autant visité les lieux... Il en avait maintenant fini avec la guide et commencait à être saouler par celle-ci... Bon c'est méchant mais au moin Russel ne lui disait pas en pleine face! Elle lui avait montrer sa chambre et pour le reste, il fallait donc qu'il essait de se retrouver, même si s'aurait été un perdu dans la vie et un non-drébouillard, elle l'aurait laisser là. Non, je blague, c'est lui même qui lui as dis que c'était “ correct ” pour qu'elle parte, assez direct, ouaip... Mais bon, on s'entend que Russel n'est pas le genre de gars qui garde tout ça en dedans, il dit clairement au gens ce qu'il pense. Il n'a pas dis à la neko “ Dégages, tu me saoule ” puisque elle l'avait aider à se retrouver. Maintenant il était dans sa chambre, sur son lit, regardant le plafond et bras croisés derrière la tête. Il s'emmerdait au plus haut point. Le jeune brun se décida à aller visiter le lycée, ouais, à 9h00 du soir! De plus, il arrive de plus en plus qu'il s'endort tard, alors pourquoi poireauter dans son lit pendant quatres heures peut-être plus? Il se leva d'un pas assez lent et se dirigea vers la sortie sans même prendre de veste ou de menteau pour se protégé du froid.

Rendu dans les couloirs, il regarda à gauche, puis à droite il n'y avait personnes, même pas un chat... Il marcha pendant quelques minutes dans le lycée sans trop savoir où aller, il vit plusieurs portes. Des classes, des chambres, et autres. Puis, après quelques autres minutes de marche, il croisa un escalier... Dawnson vit alors une porte au bout de ces escaliers et donc, décida de les monter. Arrivé devant la porte, le nouveaux venu ouvrit le porte. Il y avait quelqu'un, cette personne était grande et semblait être un homme. Celui-ci se retourna pour regarder qui venait d'entrer, c'est à ce moment que Russ put voir le visage de la personne X. Étant donner que sa mémoire faisait parfois défaut, au premier coup d'oeil, il croyait ne pas connaître la personne mais après un petit moment de réflexion, il vit que c'était Jezabel Tysdale, ouais, le type rencontré il y a trois ans, et le seul à savoir le passé de notre Russel!

- Ru…Russel Dawnson?

Jezabel eut un air légèrement surpris, ainsi que Russel. Ça faisait tout de même trois ans qu'ils ne s'étaient pas vues, c'est pas une semaines ou un mois, non, trois ans. Trois longues années qu'il ne l'avait pas vue. Il ne s'avait pas trop quoi dire devant lui...

- Heee ouais?

Voilà sa réponse... Une réponse assez zarb et innocente, digne de Russel Dawnson. Normalement, quand on revoit un de ces meilleurs amis pas vues depuis trois ans, il fait quelques choses comme soit aller lui faire un calin ou soit autres chose du genre. Mais ce n'était pas trop le truc de Russ', les calins ne l'attirait vraiment pas... Alors, il se contenta de lui faire un sourire leger. Et sans aucun scrupule, il sortit son paquet de cigarettes, s'en sortie une, la mit dans sa bouche et l'alluma avec son briquet qu'il venait de sortir de ses poches. Le brun en tendit une à sa retrouvaille.

- T'en veut une ou tu es toujours non-fumeur?

Il se rappela que quand ils s'étaient rencontrer, il avait toujours l'usage de son oeil gauche, donc, il devait surement trouver ça “ weird ” que Russ ait un bandage sur l'oeil... Puisqu'il allait surement poser la question, mieux vaut lui expliquer maintenant...

- Te pose pas de question sur mon oeil... Vue que t'es ici, tu as surement un pouvoir étrange, toi aussi non? Donc, bah moi, mon pouvoir il a décider de me faire chi** et donc, bah j'suis aveugle d'un oeil... Étrange à première vue mais quand ça fait longtemps t'a ça, tu t'habitue! Toi, c'est quoi la raison pourquoi t'es venu ici? T'a l'air d'avoir tout tes membres toi.

Invité

Maudit japonais! Je suis pris ici avec des gens que je ne connais pas et que je ne pourrai encore moins leur adresser la parole. Je ne sais juste parler l'anglais et l'italien. En plus, je ne peux pas aller chez le directeur, car en regardant les lettres de ce pays, je ne comprendrai rien. Pour moi, c'est du chinois. Si je demande de l'aide, je risque de me faire berner vu que par des connards ou des connasses. Ce qui n'arrange pas les choses, c'est que je ne sais même pas quel jour on est et encore moins l'heure parce que je n'ai vu aucune horloge. Si j'en ai croisé une, j'ai dut la manquer. Aussi, pourquoi suis-je ici? Le mec qui m'a enlevé me l'a surement dit mais je ne l'ai pas écouté. Je marchai un peu partout dans l'école en essayant de trouver un membre du personnel. Je n'ai rencontré personne mis à part des élèvres qui parlait. Soit il disait des choses croches dans mon dos ou bien qu'il parlait de leurs vies plates. En tout cas, j'en ai rien foutre d'eux. Plus, je cherchai, plus je pensais à ma famille, mes amis et mon chum. Ils doivent s'inquiéter si ça fait une semaine. De plus, ce qui ne les avait pas assurer, c'était que je m'étais agressée et propulser de chez moi en passant par une fenêtre. Par la suite, j'étais insconsiente pendant deux jours pour ensuite me réveiller dans un lit d'hôpital. J'ai cru que j'étais paralysée des jambes mais ce ne fut pas le cas. J'étais guéris. Ce jour là, j'étais toute euphorique. À bien regarder, je regrette d'être soignée. Si j'aurais resté handicapé, je ne serais pas ici. Si je me rappelle bien, j'ai été transporté ici rien à cause que j'étais guéris. Je ne sais pas si c'est grâce à ça par contre, je ne suis pas du tout à me réjouir.

Puis je regardai autour de moi pour me rendre compte, que je n'étais plus au premier étage mais au dernier. Devant moi, il y avait des escaliers menant au toit. Je m'approchai d'une fenêtre pour regarder dehors. Je vis que l'étage auquel que j'étais, était très haut. Alors, cet établissement était grand au niveau de la hauteur. Si je montai les escaliers, je pourrai voir où les avions atterris et comme ça, j'aurai des chances de rentrer chez moi. Une chance que je savais parler l'anglais. Cet langue était la langue seconde de ce pays. Alors, je montai en vitesse les escaliers en repensant aux raisons de mon enlèvement. Si on m'a emmené ici, c'était parce que je pouvais me soigner sans l'aide de médecin ou de trousse de secours. C'est surement ça. Cependant, je ne savais pas pourquoi m'avoir transporté dans un pays auquel la langue était incompréhensible et que les lettres était illisible. En ouvrant la porte, je remarquai deux silouhettes. À les voirs, je crois que c'était des hommes. Puis j'attendis leur conversation.Ils parlaient de quelques choses mais j'y comprenais que dale. Je me dirigeai vers eux.

-Mais de quoi vous parlez? questionnai-je en anglais.

Ensuite, je sentais la fumée de la cigarette. Ça puait sauf que je montrai pas mon dégoût par pur respect.

Donc, ce type, grand et brun était bel et bien Russel? Jez, bien qu’extérieurement, avait l’air inexpressif, ressentais une certaine gêne à l’égare de son vieux ami. Après tout, trois ans… Trois ans. Il s’en passe des choses! D’apparence, il lui ressemblait. Un peu impatient, le noir attendait une réponse, histoire d’être confirmé. Comme l’on dit, « il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. ».

- Heee ouais?

Entendre cette voix « mollassonne » lui avait fait comme un choque. Plus de doute, Russel Dawnson était bien devant lui. Mais quelle coïncidence! Et puis, surtout que cette réponse courte, brève, lui avait ôté tout soupçon. Même si le brun s’était contenter de cette réponse, au fond de lui-même, ç’avait fait plaisir à Jeza. C’est sûr qu’après trois ans sans nouvelle d’une personne, on commence à perdre espoir de la revoir. Entre temps, Rus s’était approché et avait sorti un paquet de cigarette. Quoi? Il fumait lui aussi? Mais depuis quand? Aussi loin qu’il se souvenait, Jeza n’avait pas eu le souvenir de Rus avec une cigarette au bec. Comme quoi, en trois malheureuse années, pleins de chose change… Lui aussi était rendue fumeur. Il avait commencé juste après avoir découvert son don. Le stresse était à un niveau même que le jeune homme ne pouvait le supporter, donc il s’était mis à fumer. Et selon lui… Le stresse disparaissait avec la boucane de la cigarette. Bien qu’il ne fume pas comme un pompier, non plus.

- T'en veux une où tu es toujours non-fumeur?

Il fixa de son regard glacé sur la cigarette tendu. Par la suite, son regard vint croisé les yeux cuivre de son ami. Oh, une cigarette, mais pourquoi pas ? De plus, le jeune homme commençait à devenir nerveux… Et par la suite, le stresse ne tarderait pas à faire son apparition. Donc, pourquoi refuser ? Tysdale prit la clope si gentiment tendu, la mit entre ses dents et sorti son propre briquet. Un briquet noir aux reflets bleu, et alluma sa cigarette. Par la suite, il rangea son allume feu. Il en prit une bonne bouffée, la retira entre ses deux doigts, puis la souffla dans un nuage puant de nicotine.

- Et oui, je suis rendu fumeur… Merci pour ta clope.

Par la suite, il détailla son ami. Hm, Russel ressemblait à celui d’il y a trois ans. C’était un peu évidant, sinon Jezy ne l’aurait jamais reconnue. Son visage était le même, inexpressif, mais par rapport à il y avait trois ans, celui comportait un bandage ? Qu’avait bien pu vivre le brun ? D’un ton un peu plus expressif qu’à l’accoutumer, Jezy dit :

- Oh my… Qu’est-il arrivé à ton œil ?

Russel allait sûrement lui expliquer. Tysdale remit sa cigarette dans la bouche pour en tirer une autre bouffer. Même si cela ne paraissait pas, il était intrigué.

- Te pose pas de question sur mon oeil... Vue que t'es ici, tu as sûrement un pouvoir étrange, toi aussi non? Donc, bah moi, mon pouvoir il a décider de me faire chi** et donc, bah j'suis aveugle d'un oeil... Étrange à première vue mais quand ça fait longtemps t'a ça, tu t'habitue! Toi, c'est quoi la raison pourquoi t'es venu ici? T’as l'air d'avoir tous tes membres toi.

Pouvoir… Pouvoir ? Ah mais, oui. Maintenant, ça lui revenait. La première raison du pourquoi Jezy était à cet établissement, c’était cette histoire de don… D’ailleurs, il paraissait que tout les « habitant » de ce lycée en possédait un… Donc logiquement, Rus en possédait un. Et son don avait l’air quelque peu « malin ». Bien sûr qu’il avait tous ses membres, par contre, il avait passé à deux doigts de mourir s’il n’avait pas eu son don.

- Eh bien… Si je suis ici, c’est justement du à ce don… Et puis, mon don contrairement à toi, c’est avéré… D’un certaine manière, utile… S’il aurait fallut que-

Le jeune homme fut coupé par la venue d’un étranger, où plutôt d’une étrangère. Celle-ci s’était approchée des deux jeunes gens.

-Mais de quoi vous parlez?

À première vue, elle était anglaise. Et aussi, si elle utilisait l’anglais, c’était probablement parce qu’elle ne savait pas le japonais… Jezy détacha son regard de Russel pour fixer d’un regard « normal » la jeune arrivante, il prit une autre bouffer de sa cigarette. D’un parfait anglais, ne se souciant pas de Russel, car il savait que lui aussi s’avait parler cette langue, il lui répondit de son ton habituel.

- Nous parlions… Du passé. Et d’aussi, de points communs qui font que toi et nous, nous nous retrouvions ici… Tu ne parles pas japonais, pas vrai ?

Voyant que son ami n'avait pas refuser la cigarette, cela voulait donc dire qu'il était devenu lui aussi fumeur... C'était intéressant, le voilà donc qui avait un autre point en commun avec le brun. Au moin, il était rassuré qu'il n'allait pas l'emmerder avec ces clopes, sa bouquane et tout le reste. Jeza aussi avait un don mais il ne précisait pas lequel. Il avait été couper par une jeune brune, elle semblait vraiment perdue et de plus, elle ne semblait pas parler le japonais. Mais qu'est-ce qu'elle fichait là? Il se savait pas... Au moin elle se débrouillait en anglais, un avantage, comme ça, ils pourraient faire connaissance avec elle. Puisqu'ils parlaient en japonais, elle avait demander de quoi les jeunes hommes parlaient ensemble, au moin elle avait l'intelligence de le demander en anglais au lieu d'essayer un japonais pourris ou tout simplement mêlant.

- Nous parlions… Du passé. Et d’aussi, de points communs qui font que toi et nous, nous nous retrouvions ici… Tu ne parles pas japonais, pas vrai ?

Au moin, ça évitait à Russel de parler, elle semblait ne pas aimer la cigarette, donc, il n'allait certainement pas lui en proposer par question de politesse, l'est quand même assez poli le Russ même si il se fout de la grande majorité du monde mis-à-part son ami...! Puisque c'était le silence totale, pourquoi pas faire un peu de conversation pour mieux se connaître?

- Pourquoi t'es ici alors que tu ne sais même pas parler le japonais...?

Il se posait des questions sur ce sujets, elle n'avait qu'à aller dans une autres école qui parle au moin sa langue natale ou sois l'anglais... Mais le brune devait surement avoir un raison du pourquoi elle est ici et non pas ailleurs... Russ se demandais aussi où elle pouvait vivre, son pays d'origine quoi, pour qu'elle vienne jusqu'au Japon... Il regarda Jez', lui non plus n'avait pas trop l'air d'avoir changer, ouaip, il était devenu fumeur et? Au moin, il a encore tout ces membres, comme il y avait trois ans!

Il détailla par la suite la jeune femme qui venait d'arrivée, l'étrangère non-japonaise. Peut-être qu'elle était anglaise... Ou aussi peut-être d'une autres planète... Mais ce cas serait plus rare, je crois... Elle aurait un language pls déficient... Décidement, cette fille était rempli de mystères. Russel espèrait juste qu'elle n'allait pas lui poser des questions à propos de son oeil, il n'aime pas répéter... Alors mieux autant regler les choses maintenant par une phrase courte et direct.

- Te pose pas de questions à propos de mon oeil, petite... Je n'aime pas répéter.

Il devait maintenant parler en anglais, au moin, il se débrouillait plus en anglais qu'en japonais : avantage n°2! Ou un moment donné il veut parler de quelques chose de personnel à Jez, il n'aurait qu'à parler en japonais, simple, non? Elle a l'air d'un vraie perdue quand il parle le japonais alors!

Invité

Je comprend rien de ce qu'il dise. Pas à cause qu'il parle japonais mais c'est que je n'arrive pas à savoir ce qu'il veut dire sur les points en communs. En plus, ce qui n'arrange pas les choses, je ne connais même pas les raisons de ma venue dans cet endroit bizarre auquel. Je regardai autour de moi. Il n'avait personne d'autre mise à part moi et les deux gars. De plus, avant je crois que les deux parlèrent en japonais sur leurs passés. Si je suis condamnée à vivre ici, il faudrait que je l'apprenne moi aussi. Je pourrais leur demander sauf que je crois que je leur ferais perdre un temps précieux.

-Je ne sais pas parler en japonais parce que je viens de l'Italie. Là-bas, j'ai juste appris à parler l'italien et l'anglais. Je sais que la question que je vais vous poser, va vous parraître idiote mais c'est quoi les points en communs. Pourquoi suis-je ici ainsi que vous?

Puis l'autre gars me demanda ce que je faisais ici alors que je ne connaissais rien au japonais. Soit je lui disais que je me suis kidnappée par un fou qui m'a emmené dans cet endroit miteux ou bien je leur dis que je suis ici en simple tourriste. Si je leur dis la seconde, je me suis une véritable idiote. Par contre, si je leur parle de la première, ça va parraître étrange. Au pire de la merde, je leur raconte ma mésaventure.

-Si je suis ici, c'est que j'étais enlévée par un japonais. Les raisons pourquoi il m'a conduit ici, je ne le sais pas. Par contre, si je ne suis pas folle, je crois qu'il m'a kidnappé, c'est sûrement à cause de mes jambes. Lorsque je suis rentrée chez moi, un inconnu m'a fait sortir par la fenêtre. Par la suite, je me suis rendue à l'hôpital. Croyant que j'allais rester handicappée pour la vie, je voulais me sonner pour de bon. Donc, j'essayais de sortir de mon lit. Une fois hors du lit, mes jambes étaient encore vivante. Je n'arrivais pas à la croire mais c'était la pure réalité. Par la suite, je sortis de l'hôpital. Je me suis faite encore agresser pour m'emmener ici.

Maintenant qu'il savait pourquoi j'étais ici, je voulais aussi savoir pourquoi eux, aussi étaient dans cet endroit. Si leurs histoires étaient aussi bizarre que la mienne ou bien tragique comme je l'ai toujours entendu de la bouche de certaines personnes. Puis, le gars avec un bandeau sur l'oeil me dit qu'il n'aimait pas répéter au sujet de son oeil. Moi, j'en ai rien à faire de l'état de son oeil.

-À mon tour, dis-je. Pourquoi êtes vous dans cet école?

L’attention des deux jeunes gens était maintenant portée à cette jeune brune. Si elle ne savait pas parler le japonais, quelle chance avait-elle eue, que de tomber sur deux personnes qui parlaient l’anglais! En y pensant bien, comment se serait-elle débrouillée? La situation aurait été on ne peut plus cocasse. Elle répondit à la question du noir.

-Je ne sais pas parler en japonais parce que je viens de l’Italie […] Pourquoi suis-je ici ainsi que vous?

Italienne? C’était, effectivement, loin du Japon. Étrange. Par la suite, elle questionna les deux jeunes gens sur le « pourquoi étaient-ils là ». Elle revint aussi sur les « points communs ». Donc, elle n’en savait rien. Son histoire paraissait, aux yeux du jeune fumeur, bien étrange. Tout d’abord, cette étrangère loin de son pays, qui n’y connaît rien aux japonais et par dessus le marché qui se retrouve à Takuetsu sans savoir ce que sont les dons? Vraiment bizarre. Il allait lui répondre, mais Ru l’avait devancé.

- Pourquoi t'es ici alors que tu ne sais même pas parler le japonais...?

Russel lui avait posé « la question qui tue ». Bon, elle ne tuait pas tant que cela, mais c’est vrai. Que venait faire une étrangère ici? Qui de plus est sur le toit de l’académie? Jez n’avait rien à dire pour le moment, il prit une autre bouffer de sa cigarette qui bientôt allait être fini. Il lança un regard à la dérober à son ami retrouvé. Le jeune home aurait bien aimé poursuivre sa conversation calme avec l’autre, mais cette fille était là. Bien sûre, elle avait le droit d’être là, et il n’allait pas lui dire de s’en aller. Sans dire un mot, il reporta son attention sur la jeune étrangère.

-Si je suis ici, c'est que j'étais enlevée par un japonais […] Par la suite, je sortis de l'hôpital. Je me suis faite encore agresser pour m'emmener ici.

Donc, s’il avait bien suivit, si cette fille était la, c’était du à un kidnapping. Et si l’on se fiait à se quel avait dit, elle avait eu un accident et s’était retrouvée blessé aux jambes, par la suite, après quelque temps, elle en aurait retrouvé l’usage? Si ça se trouvait, la personne qui l’a enlevé avait du s’apercevoir que c’était sans doute en raison de ce « don » qu’elle avait guérit. Et pour une raison « X » l’avait conduise ici. Pour le garçon, tout ceci semblait logique, mais il pouvait se tromper. La voix de Russel s’éleva encore. Il parlait de son œil. La jeune fille avait peut-être du faire une expression face au jeune homme pour que celui-ci lui sorte cela. Ignorant Ru, elle continua :

-À mon tour. Pourquoi êtes vous dans cette école?

Pourquoi était-il là ? Oh, il n’y avait pas de raisons particulières. S’il y était c’était parce que :

- On m’en a parlé, et… J’ai comme qui dirait, décidé d’y aller.

Il porta une fois de plus sa cigarette à sa bouche pour la fumer, par la suite, il l’a retira pour fixé Dawnson de son regard de glace, tout t’en relâchant la fumée accumulée, il dit ;

- Et toi, Ru… Pourquoi es-tu ici ?

La fille avait finalement répondue au jeune brun. Donc, elle s'était fait kidnappée? Étrange... Ça expliquait donc le pourquoi qu'elle ne sache pas parler le japonais. Elle venait de l'Italie... Mais pourquoi son kidnappeur Japonais aurait sacrifié dix jours, peut-être plus, à aller la chercher aussi loin? Son histoire était louche, mais Russ ne voulait pas trop s'obstiner avec elle, alors, il se retenu. De plus, elle n'était pas très belle, bon, l'avis de Russ, quoi. Y'a surement des gens comme son kidnappeur qui doivent la trouver jolie...! Il écouta la jeune fille tout en prenant quelques bouffées de sa cigarette. Maintenant, pourquoi eux, les “ meilleurs ” amis de longtemps, était dans ce lycée. Mais elle ne semblait pas être au courrant des dons, alors, le meilleurs moyens, mentir jusqu'à temps qu'elle soit au courrant!

- Heee... Rien de plus simple, mes parents m'ont envoyés ici... Une école comme les autres quoi... Autres questions ou tu peux facilement t'en passer?

Bon, dès qu'elle apprendra la vérité, que ce n'est pas un lycée ordinaire du tout, elle va surement aller lui faire rappeler qu'il lui a mentie, mais il s'en fichait, qu'elle le fasse ou pas, il était capable de vivre sans... Il regarda son ami qui avait répondu avant lui. Il lui demanda en japonais, pour être sur qu'elle ne le comprenne pas...

- C'est ta vraie raison ou??

Il devait surement y avoir mensonge derrière tout ça, parce que, ce serait assez bizarre que Jeza soit ici pour une raison aussi simple... Au moin, il pouvait dire n'importe quoi en japonais et elle ne comprendrait rien. Même n'importe quel vacheries du genre “ elle est vraiment laide cette fille ” ou “ Elle est saoulante, on la lance par la fenêtre? ” (assez bizarre ouaip, il oserait pas faire ça! C'est un exemple) ou encore “ Qu'elle idiote, elle va croire tout ce qu'on lui dit? ” etc... Effectivement, ce serait chiant, mais! Elle ne comprendrait que dalle, alors, aucun problème, non?

- Pour vrai, quel est ton don? Demanda-t-il à Jezabel en japonais vue que la brune ne savait rien de son don.

Puis, quand il eut finit sa cigarette, il fit comme il fait d'habitude quand il est dans une pièce et qu'il ne peut jeter sa clope sois dans un cendrier ou par terre, il la lança vers l'extérieure. Un peu d'hygiène tout de même! Puis, il rouvrit son paquet de cigarette, en prit une, l'alluma et en prit une bouffée attendant la réponse de Jeza, il avait assez d'intelligence pour le suivre et parler en japonais lui aussi...!

Invité

C'est sûre! Le gars au bandelette se paye ma tête. S'il désire jouer ce jeu avec moi, alors soit. On va être deux à y jouer. Et si l'autre fait de même, ça serait un réel plaisir de l'accueil. Je fermai les yeux et je me suis mis à penser à la vraie raison pourquoi, j'ai été kidnappée pour être emmener dans un endroit de fou. Si je suis ici, c'était à cause que mes jambes ont guéris. Ce pourrait-il que je suis ici rien à cause de ça? Si ce n'était pas un miracle mais un don? Le seul moyen de le savoir, il faut que j'essaie. Peu importe les conséquences, je suis prête à faire ce genre de test pour les fous. Sur ma jupe, il y avait une épingle très pointue. Je me l'enfonçai dans le bas de mon dos au milieu. Je tombai à genou. Je ne sentais plus mes jambes. Ensuite, j'ôtai l'épingle. J'attendis pendant quelques minutes. Puis je me relevai. Je tenais parfaitement sur mes deux jambes. Ce qui s'était passé à l'hôpital, ce n'était pas un miracle mais une sorte pouvoir qui me permettait de soigner n'importe laquelle de mes cellules. Alors, il serait possible que ses deux là avaient un don. C'était donc pour ça que j'étais envoyée ici. Ce que j'ignore par contre, ce fut la raison pourquoi mon agresseur est venu jusqu'en Italie et la seconde, pourquoi ici et non ailleurs. Ça me sert à rien de parler au deux autres vu qu'ils parlaient en japonais. Si je dois être ici pendant un certain temps, il faut que j'apprenne le japonais. Et je suis sûre que les deux gars ne voudront rien m'apprendre alors, je ne leur demanderai rien. Cependant, je suis curieuse et je veux savoir leur pouvoir. Mais avant tout, je vais leur annoncer que j'ai trouvé la raison de ma présence dans cet endroit qui sent comme l'urine de mouffette.

-J'ai trouvé la raison de notre présence dans cet établissement, annonçai-je en italien vu que ceux-ci parlent en japonais.

Par la suite, je sortis deux épingles et les lançai sur les deux gars. Je voulais savoir c'était quoi leur pouvoir et j'étais près à tout. Cependant, il faudrait que je fasse attention pour ne attirer le regard des gens sur moi. Je sais ce que je fais, est fou sauf que je tiens à le savoir vraiment.

Ru avait décidé de mentir? À quoi ça lui servait? Peut-être d’un côté, il voulait se payer la tête de la demoiselle et ainsi crée de l’action? Ce n’était pas vraiment une école comme les autres, et Ru le savait. Comme ça, ses parents avaient décidés cela? Était-ce la vraie raison? Jez prit une bouffer de sa chère cigarette. Celle-ci allait, d’ailleurs, bientôt finir. Il sentit que son ami le regardait, il détacha son regard bleuté de la fille pour se concentrer sur Ru. Il lui parlait en japonais, ce qui le surprit.

- C'est ta vraie raison ou??

La question en elle-même était surprenante. Si c’était sa vraie raison… Jeza n’aimait pas trop en parler, mais puisque c’était Russel, il se contenta de répondre partiellement, en japonais, bien évidemment.

- C’est la moitié de la vraie raison. Je te la raconterais une autre fois… Peut-être.

Sur ses mots, il fit un léger sourire. Il lâcha Russel deux secondes pour regarder la demoiselle. Mais que faisait-elle ? Au même moment, Ru avait poursuivit.

- Pour vrai, quel est ton don ?

Le noir allait lui répondre qu’il allait le savoir bien assez tôt, mais son attention prise par la fille, aucun mot ne sorti. La demoiselle en question s’était enfoncée, volontairement, une aiguille dans le dos. Celle-ci tomba. Était-elle masochiste ? Où était-ce une coutume propre aux Italiens ? Au lieu de dire son don à Russel, il le questionna plutôt sur la fillette. Toujours en japonais, cela va de soi.

- Tu ne penses pas que tu devrais l’aider ? Peut-être a-t-elle des problèmes… Psychologique ?

Bah quoi ? C’était la première fois de sa vie qu’il voyait une personne agir ainsi. Il prit deux secondes pour faire comme son ami ; jeter sa clope. Elle ôta finalement l’aiguille, mais ne bougeait plus. Quelqu’un de normal se serait jetée sur elle pour vérifier son état, mais pas Jez. Trop fatiguant se rendre à côté et voir ce qu’il n’allait pas. Quelques minutes de silence passées, l’étrangère se releva. Quel soulagement, elle n’avait rien. Donc, un des deux ne serait obligé d’aller chercher du secoure où de lui faire la réanimation cardiaque. C’aurait été probablement Ru qui l’aurait fait, le noir n’ayant pas de compétence en soin. Dans la langue du pays, il dit :

- On dirait qu’elle va mieux, tu n’auras donc pas à l’aider…

La fille s’écria dans un langage inconnu. Sûrement de l’italien.

-J'ai trouvé la raison de notre présence dans cet établissement.

D’un regard perplexe, Jez se tourna ver Russel.

- Tu crois qu’elle peste contre nous ? Après tout… Ce serait bien normal, nous n’avons rien fait pendant qu’elle agonisait...

Ensuite, il tourna légèrement son regard vers la fille. Celle-ci leur lançait des aiguilles ?! S’agissait-il d’une vendetta pour n’avoir eu aucune réaction ? On aurait bien dit cela. Erf, le jeune noir allait être obligé d’utiliser son don s’il ne voulait pas que Russel et lui-même se retrouve avec une aiguille plantée quelque part. Rapidement, il se mit devant Russel. Les aiguilles étant à proximités, elles arrivaient rapidement. In extremis un mince écran, aussi luisant qu’un miroir fit son apparition dans une petite lueur bleuté. Les aiguilles ricochèrent vers leur propriétaire. Oh non… Il avait oublié se détail. L’étrangère allait recevoir à son tour les aiguilles si elle ne bougeait pas assez rapidement. Bah, elle n’avait qu’a pas forcé le noir à utiliser son don. Bien que celui-ci aurait pu laisser Ru s’en occuper et ainsi voir son don. Un peu fatigué, parce que bien que cela soit que de simples aiguilles, ce don prenait un peu d’énergie son utilisateur. Il lança un regard inexpressif sur son ami. Et puis, en japonais, toujours, il dit :

- Et toi, quel est ton don ?

Puis, sans regarder la fillette, il lui dit d’un ton assez sec ;

- Ne refait plus ça…

Étrangement, Jezabel ne voulait pas dire son histoire et son don à Russ.... Il devait surement avoir une raison. Peut-être que la fille le gênait mais le noir n'est pas du genre à se gêner pour dire ce qu'il pense des gens ou autres, enfin, je crois. Après que Jeza lui ait dit qu'il ne voulait pas lui dire son don, il tourna son regard en direction de la jeune brune. Russ regarda tout ses gestes, sans en manquer un, et il constata assez rapidement que cette fille était masochiste. Elle était en train de se planter un épingle dans le bas du dos... Qu'est-ce qu'elle voulait faire? Un suicide?! Décidemment, cette fille était mystérieuse et... bizarre! Il entendit son ami dire “ Tu ne penses pas que tu devrais l’aider ? Peut-être a-t-elle des problèmes… Psychologique ? ”... L'aider? Il était sérieux là? Russ avait bien trop la flemme pour secourir cette fille! Des problèmes psychologiques? Surement... Il regarda la fille, toujours sans broncher, elle commencait légèrement à agoniser. Au moment où il partait pour enfin aller essayer de l'aider, elle se leva en disant une phrase que Russ et sa retrouvaille ne pouvait comprendre, de l'italien. Puis, il retourna son regard vers Jeza... “ On dirait qu’elle va mieux, tu n’auras donc pas à l’aider… Tu crois qu’elle peste contre nous ? Après tout… Ce serait bien normal, nous n’avons rien fait pendant qu’elle agonisait... ”... On voyait vraiment là la flemmardise des deux jeunes hommes... Il haussa les épaules en disant, tout en japonais évidemment...

- Qu'elle nous peste ou non, je m'en fiche de ce qu'elle peut penser de nous.

Il prit une bouffée de sa cigarette et regarda Jez'... Sa crise de masochiste était finie, bien qu'en vraie ce n'était qu'un test pour savoir qu'elle était son don, au yeux de Russ, elle était une folle quasiment sortie d'azile... Pendant que le brun était un peu dans les vappes, il ne s'aperçut pas qu'elle essayait de les “ tuers ” en lançant d'autres épingles assez pointus... Au moment où il fixa son regard sur les épingles, il vit Jeza se poser devant lui et utilisant une sorte de mirroir, ainsi, les “ armes ” lancer par l'italienne se retourna contre elle. Dawnson s'aperçu aussi que Jez avait perdu de la force dut à ce qu'il venait de faire, au moin, maintenant, il savait son don! Il regarda le noir et lui dit.

- Heee... ça va aller?

Il lui avait parler en japonais mais sans l'avoir voulu, cette phrase avait... comment dire... Sortie toute seule. Celui qui lui avait “ sauver la vie ” se retourna et lui demanda ce que son don pouvait être. Comment il allait lui présenter? Parce qu'il reste tout de même que Russ ne peut pas paralyser des objets... Puis, avant qu'il puisse répondre, Jez se remit à parler mais cette fois-ci à la “ folle ”. Ne plus refaire ça? Qui lui dit qu'après cette avertissement, pour son simple plaisir, elle n'allait pas recommencer? Pour être sûr, Russ s'avança vers elle, lui toucha le bras pour que celui-ci soit paralyser. Son mouvement avait été d'un rapidité quasi' incroyable. Lui aussi commencait à devenir épuiser étant donner que son don nécésite un peu d'énergie, comme Jezabel. Ainsi, grâce à ça, il n'avait pas besoin d'expliquer à jez ce qu'était son don...! Il séloigna de la fille, maintenant paralyser d'un bras, avant qu'elle ne pense à utiliser autres autres parties de son corps, comme - assez sauvage ouaip - ces dents ou ces pieds, ou encore ces épaules... On ne sait pas ce qu'elle pourrait faire... Il alla retrouver Jeza.

- Voilà mon don. Comme ça, elle pourra pas recommencer. Mais... La paralysie, elle dure pas pendant toute une éternité...

Invité

Je me penchai pour ne pas les recevoir mais je les reçus dans mes paumes. Maudit que c’était douloureux. Alors, je les ôtai en essayant de ne pas faire une grimace. Le pouvoir du gars aux cheveux noir était le miroir. Cependant, je ne le réprimandais pas puisque j’avais reçu ma réponse et que c’est moi qui avais posé le premier geste d’agression alors que je ne les connaissais pas du tout. Une fois partie, je m’assurai qu’aucune goûte de sang ne tombe. Ce fut à mon bonheur, car rien n’avait coulé. Pourtant, mes mains me faisaient horriblement souffrir. Je regrette d’avoir pris des épingles piquantes. Je cachai ma douleur pour ne pas qu’ils ne la voient pas.

Il veut que je ne refasse plus ça ? C’était juste par pure curiosité mais vu qu’il utilise juste le miroir, il ne sait même pas lire mes pensées, ce qui me plait bien. Comme ça, je pourrai dire tout ce que je pense sur cette école de merde. En plus, les couleurs me font vomir. Encore heureux que je ne tombe pas malade. Alors j’ouvris :

-*Molto bene il mio signore poco chiacchierone. De toute façon, même si je devrais t’écouter, je risque de devoir le re-faire dans cette école de fou. Mais si vous verriez quelqu’un agoniser pour de vrai, est-ce que vous auriez réagis ou bien vous auriez resté planté comme une statue sans rien faire ?

Pour des gars, il n’avait pas l’air vraiment très vivant. Les autres que j’ai connus, étaient plus vivants. Cependant, il en avait qui étaient peu bavard. Mon chum, lui, parlaient rarement. Il n’était pas une pie. Ce que j’aurais aimé, c’est qu’il soit à côté de moi. **Il mio caro, mi manchi. Maudite merde ! Pourquoi j’ai eu un destin de même ? J’ai été abandonnée à mon triste de sort. En tout cas, la personne qui a créé cet endroit, avait du temps et de l’argent. Cette place empeste l’odeur étrange du désespoir. J’ai comme l’impression qu’on a envoyé des personnes parce que leurs parents ou leurs proches ne savaient pas trop comment réagir. Mais est-ce que l’état c’est ce qu’il y a ici ? Sans que je m’en rende compte, je sentis mon bras gauche paralysé. C’était le type aux bandelettes vu qu’il était tout près de moi. Par la suite, il alla retrouver son ami. Ce qu'il dit, c'était du chinois pour moi.

-Merci de m’avoir montrer c’était quoi ton don. Il est donc utile pendant très peu de temps ce qui satisfait certaines personnes comme ils en déplaisent. ***Povero piccola cosa

Je pris mon bras figé avec l’autre qui me restait de vivant. Je fermai les yeux. Puis, je pris une grande respiration.

-Sinon, est-ce que vous connaissez le directeur des lieux ? questionnai-je.

[*Très bien mon seigneur peu bavard,**Mon chéri, tu me manques,***Pauvre petite chose]

C’est vrai que pendant qu’elle causait l’Italien, elle pouvait bien dire ce qu’elle voulait, les deux jeunes hommes ne comprendraient pas un traître mot. La question restait que, pourquoi parler italien, quand on est en compagnie de japonais anglais? Et puis, à quoi cela pouvait-il lui servir à rien! Donc autant s’exprimer dans nu langage que tout le monde comprendrait. Quoiqu’elle voulait peut-être imiter les garçons. Pour ce faire, elle aurait du être avec un autre italien. Mais de là à forcer quelqu’un à utiliser son don… Et si le noir n’avait pas eu un pouvoir défensif? Seul Kami-sama aurait su ce qu’il aurait pu arriver. Bien sûr, restait Russel! Mais lui, si son pouvoir était qu’un pouvoir d’attaque? Oh, les deux amis se seraient retrouvés avec une aiguille coincée quelque part et ça n’aurait pas été très plaisant. Pour le moment, ils étaient sauf, mais qui sait si l’étrangère avait envie de le refaire? Bien sûr, Jez serait capable de le lui renvoyer, mais Tysdale ne contrôlait pas tout à fait la puissance de son don, alors il s’épuisait rapidement.

- Heee... ça va aller?

L’interpellé s’était contenté d’un léger mouvement affirmatif. Curieux de savoir que pouvait être le don de son comparse. L’étrangère avait répondu au fait qu’il avait dit de ne pas recommencer.

- Molto bene il mio signore poco chiacchierone.[…]est-ce que vous auriez réagis ou bien vous auriez resté planté comme une statue sans rien faire ?

Quelle question délicate ! Comment lui dire, sans la vexée, que si elle avait vraiment été normal et qu’elle agonissait, Jez n’aurait rien fait de plus ? Trop la flemme de faire quoique ce soit et qu’il n’ait pas de compétence dans le domaine des soins. Ce qu’il aurait fait n’aurait pas amélioré l’état de la demoiselle, mais l’aurait aggravé. Dans sa langue maternelle, il répondit à la fillette de son ton morne :

- J’ai seulement dit cela dans le sens, ne le refait pas avec nous. Sinon… Si tu aurais été dans une situation grave, j’ai bien peur que… Hm, je n’aurais rien fait et aurait laisser Ru s’en charger, quoique s’il est fatigué, je crois que… À ce moment, tu serais sans vie. Oh, mais rassure toi, si l’un de nous avait un portable, nous aurions appelé du secours.

Par la suite, le brun s’était avancé rapidement au côté de la brunette et lui avait touché le bras. Qu’est-ce que ça fessait ? Physiquement, c’avait l’air de n’avoir rien fait. Tysdale se souvint de l’œil de son ami. C’est vrai que sous ce bandage, on n’y voyait rien… Décidant qu’il serait préférable de laisser Russel lui expliquer, il le regardait s’en venir.

- Voilà mon don. Comme ça, elle ne pourra pas recommencer. Mais... La paralysie, elle dure pas pendant toute une éternité...

Donc, son pouvoir était de paralyser ? Pratique et… Efficace. Le noir fit le lien avec l’œil… Celui-ci était paralysé ? Logiquement, le brun ne voyait que d’un œil… Ce n’avait pas du être facile à s’habituer.

-Merci de m’avoir montrer c’était quoi ton don. Il est donc utile pendant très peu de temps ce qui satisfait certaines personnes comme ils en déplaisent. Povero piccola cosa

… Elle croyait vraiment que Ru avait volontairement montré son don pour son simple plaisir ? Oh non, si le brun l’avait fait c’était pour empêcher l’autre de refaire une stupidité. Ah mais c’est vrai, ça il l’avait dit en japonais et elle, elle ne le comprenait pas. L’italien redit quelque chose dans sa langue… Jez lança un regard perplexe à son ami.

- Tu crois qu’elle veut aller aux toilettes ?

Il l’avait dit littéralement en anglais, oubliant qu’elle pouvait comprendre… Par la suite, elle demanda aux jeunes lycéens s’ils savaient où se trouvait le directeur…

- Désolé, je suis nouveaux… donc je ne sais pas.

La jeune fille s'avait donc protégée avec ces avant-bras? À quoi avait-elle pensé? Elle aurait pu juste se tasser pour laisser les aiguilles passés... Ouais, elle avançait vite et alors? Puis, elle nous dit son blablas accompagné d'une phrase dite en langue étrangère, l'italien. Sans même s'occuper si ça allait lui déranger, il bailla en pleins devant elle. L'italienne leurs posa en même temps une question... Jezabel lui répondit que il aurait eu trop la flemme pour se bouger ou aller chercher de l'aide et que Russel l'aurait fait à sa place. Mais le problème, c'est que Dawnson est aussi flemmard que Jeza peut l'être... Il regarda la jeune fille et répondit à son tour...

- Personellement, vue que moi je suis aussi flemmard que Jeza, je n'aurais pas broncher non plus... Et puis traîner toujours des téléphone cellulaire sur moi, ça m'saoule, j'aime pas. Donc, ouais, en ce moment, sans ta tenacité et ton don, tu serais en train d'agoniser... [anglais]

Trop de blablas pour Russ là, mais il avait pas le choix, il devait lui répondre pour qu'elle évite de lui demander la question à répétition. Quoique, peut-être qu'elle l'aurait fait, peut-être qu'elle l'aurait pas fait. Après avoir paralyser la brune, elle le remercia quand même de lui avoir montrer... Elle pensait vraiment que c'était pour “ lui rendre service ” mais en fait, c'était pour leur rendre service pour ne pas qu'elle décide de se revenger ou autres truc du genre... Elle redit un truc en italien que Russ pu un peu comprendre après un moment de réflexion... Povero ressemblait au mots “ pauvre ”, picolla, au mots picollo qui signifie “ petit ” et le dernier cosa mais le dernier, il n'arrivait pas vraiment à déchiffrer... Sois “ pauvre petite merde ” ou auters trucs du genre pas très agréable.

Elle voulait imiter les jeunes garçon... Puis, après, elle leurs demanda une autres question, elle ne savait pas qui était le directeur de ces lieux, comme Jez et Russ, elle semblait nouvelle. Une fois de plus, le noir répondit avant le brun. Puis, il lui répondit quelques secondes après Jez'.

- Bah j'en sais rien, un moment donné, quand je cherchait de l'aide, j'ai vue une porte où il y avait une plaque d'orée gravée “ Bureau du directeur ” dessus... Me demande pas c'est où, m'en souviens plus, cherches comme j'ai chercher. [anglais]

Et puis voilà, une autres clope de finie... Il les finits vite, vous trouvez pas? Puis, il refit comme tout à l'heure, il la lança vers l'extérieure de l'établissement... Mais à la place d'en reprendre une autres, il prit une petite pause... Rare chez Russel qu'il se tanne de ce petit machin, en forme de cylindre remplis d'affaire néfaste pour la santé... Il se rappela que juste avant que Jez avait répondut à la question de l'italienne, il lui avait demander si il pensait qu'elle voulait aller au toilettes...

- Hee, non, je pense juste qu'elle me traite d'idiot ou autres machin puéril du genre... [anglais]

Invité

Super! S'il y a du monde en danger, ils resteront là sans rien faire. Ils se fouttent du monde comme l'an 40. J'ignore comment ils réagiraient si ça serait eux qui seraient en danger. Mais ça sert à rien de poser des questions à des statues humaines. En parlant d'humain, il faudra que je trouve celui qui a créé cette merde d'école. De plus, s'il faut que je passe mes jours dans cet endroit, je ferai mieux de trouver quelqu'un qui sait parler l'anglais et le japonais pour qu'il me l'enseigne. Si je leur demande, ça ne servirait à rien puisque ça serait demandé de l'aide à son ombre. Puis, je sentis mon bras se déparalyser. Je le fis bouger pour mieux le mouvoir. Par la suite, je pus le bouger correctement. Après je fermai les yeux en essayant d'imaginer comment mes parents auraient réagi. Ils doivent sûrement malheureux et ils sont lancé des avis de recherche. Pourquoi toutes ses choses n'arrivent juste à moi. Au moins, en me rendant ici, je ne verrai plus les putes de mon école. Elles, j'aurai aimé les voir crever. Elles n'étaient que des chiennes sales qui écoeuraient les autres. Je me demande comment elles auraient réagit si elles devaient chanter des bêtises à mes deux bout bois en avant. Bon, voilà que bout bois brun dit de quoi. S'il croit que je ne sais pas lire, il se met les deux doigts dans le nez jusqu'au coude. J'ouvris pour répondre:

-Je sais lire sauf que je ne lis pas les lettres en chinois.

Si j'en crois ce que je vois sur les plaques de cet établissement, je dois apprendre à lire les lettres de chinois. J'ai des chances que ça prenne 100 ans. Maudit que c'est chiant. Je vais finir par me suicider si ça continue. Sauf que je sais qu'un jour, je reverrai mon agresseur. Et là, je le tuerai avec un fusil puisque ce n'est pas dure d'en trouver un dans des marchers noirs. Toutes les grandes villes en ont. Après, en entendre ce que les statues disent, ils ne comprennent rien à l'italien. Alors c'est mieux leur traduire.

-Molto bene il mio signore poco chiacchierone, ça veut dire très bien mon seigneur peu bavard, traduisis-je sur ton de fatigue puisque je l'étais vraiment, et povero piccola cosa, ça signifie pauvre petite choses. Dans ce que j'ai dit, il y a rien de croche ou quoique se soit. Donc, je n'avais aucunement envie d'aller au toilette ou encore moins que je vous traite d'idiot. Tout ce que vous êtes, c'est des statues humaines.

Après je pris mes valises et je me dirigeai par la porte. Là, il y avait plusieurs choses que je devais faire. Premièrement, c'était de trouver le directeur. Deuxièment, c'était de rencontrer quelqu'un qui sait parler en anglais et japonais auquel il pourrait me l'apprendre honnêtement. Troisièment, si je suis condamnée à passer le reste de mes jours ici, il faudrait que je me trouves du travail et une chambre pour y entreposer mes affaires. Mais avant tout.

-*Arrivederci signori le statue, saluai-je. Spero di ogni cuore di non piacqui rivedervi. Traduction, j'espère de ne plus jamais vous revoir.

Après, je rentrai dans le pensionnat par la porte puis je ne vis pas ce que les bouts de bois se disèrent.

[*Au revoir messieurs les statues. J'espère de ne plus vous revoir.]

Elle n’avait pas mit longtemps avant se s’en aller. La présence des deux jeunes hommes l’énervait-elle au point même de s’en aller? À vrai dire, les sentiments de la « lady » était compréhensible… Surtout lorsqu’on apprend directement de la bouche des dits jeunes gens que ceux si ne lèveraient pas le petit doigt pour aider la demoiselle en détresse… Mais il ne fallait pas qu’elle se méprenne. Ç’aurait été un autre, Jezy n’aurait rien fait non plus, pas même si c’avait été une dame âgé. Pas qu’il s’amusait à voir les autres souffrir, mais la « flemme » mêlé avec de l’égocentrisme, ça ne donne pas quelque chose de franchement beau. Russel était pareil.

Sans même un regard pour la demoiselle qui partait, il se retourna vivement vers Dawnson, le fixant de ses iris glacés.

- Comme cela… Si tu es ici, c’est dût à tes parents? Ceci est ta vraie raison, où? M’enfin, je comprendrais que tu n’ais pas envi d’en parler…

Le voilà qui se retrouvait seul avec le brun. Il était bien content que la fillette se fût rapidement lassée d’eux. Jeza n’était pas assez méchant pour lui dire de s’en aller. Il n’y avait qu’avec le brun où ça lui arrivait d’être « bavard ». Il fixait toujours le brun, Jez allait lui quémander une clope, mais le noir fût interrompu dans son action par la porte qui, encore une fois, s’ouvrit. Lâchant son regard du brun il le tourna vers le nouveau venu, où plutôt les nouveaux venus… Une bande de petits collégiens était arrivé sur le toit. Sans se soucier des deux majeurs, la petite bande commença à parler bruyamment. C’était pas l’heur d’aller ce coucher pour ces gamins? D’un coup, l’attention du noir se porta sur une petite gamine blonde qui s’avançait timidement vers le brun… Celle-ci avait les mains derrière le dos et semblait être nerveuse… De plus, ses pommettes étaient devenues rouges. La petite se tortillait les doigts. Les autres gamins en arrière riaient. La situation les amuser.

- Euh… Hm… Eu-uh… Sa…Salut… Avait-elle dit à l’intention du brun. Le timbre de sa voix était gênée, voir intimidée. Sagisait-il d'un paris?

Jez regardait la scène sans un mot. Durant un centième de secondes, il eu la petite esquisse d’un sourire. Le noir lança sur un ton plus détendu :

- On dirait que tu as une… Fan.

Dès que l'italienne fut partie, Russ regarda Jeza d'un regard à dire “ On l'a si saouler que ça? ” Mais d'un côté, ça ne lui dérangeait pas plus que ça, elle quitta en disant une phrase en italien. Russel se fichait de ce qu'elle avait pu dire parce qu'il ne comprenait rien à l'Italien. Il n'était seulement qu'anglais et japonais... Peu de temps après qu'elle soit partie, Jeza ne tarda pas à parler au brun. “ Comme cela… Si tu es ici, c’est dût à tes parents? Ceci est ta vraie raison, où? M’enfin, je comprendrais que tu n’ais pas envi d’en parler… ” Évidemment que non, ce n'était point ces parents ,ce lycée est supposé être un lycée “ secret ” à moin que Jezabel n'avait rien su et qu'il avait été envoyer ici sans explications...

- Non, en fait, c'était une menterie... En vrai, j'ai reçu une lettre de quelqu'un d'ici qui me disait qu'il était au courrant de mon don et tout, donc, il m'a proposer ce lycée, j'sais même pas pourquoi... Ouais mon don mais, je pouvais juste me contenter de le garder secret et rester dans mon lycée pourrie d'avant... 'Fin bref, toi, pourquoi t'es là?

Maintenant, il n'était plus obliger de parler en japonais, Russ avait donc parler en anglais, vue qu'il savait que Jezabel était de nationalité anglaise. Il n'eut même pas le temps d'avoir une réponse de son ami, alors une bandes de gamins, sûrement des lycéens qui venait d'entrer dans le toit. Le brun les regarda un par un, du coin de l'oeil, ils les trouvaient bruyants et énervant, au moment où il fixait son regard sur un type -il était dans les vappes-, il entendit la voix d'une jeune fille, elle se tenait devant lui et le regardait difficilement, par la gêne. Elle était aller le saluer, direct, comme ça, elle avait du cran... “ Euh… Hm… Eu-uh… Sa…Salut… ” Sa voix était basse et tremblait, Dawson lui, se contentait de se prendre une clope, l'allumant par la suite avec son briquet et en prenant une premire bouffée.

- He... Yo...

Après qu'il l'aie saluer à son tour, elle se dirigea vers ces copains et elle semblait heureuse que Russel lui ait parler... “ On dirait que tu as une… Fan. ” Cela semblait amuser Jezabel. Au moment où il avait tourner son regard vers celui-ci, il entendit un jeune lycéen marmonner quelques choses mais que Russ put facilement comprendre, il disait que Jezabel avait une tête de droguer... Le brun était loin d'apprecié cette remarque... Il espèrait seulement que le noir n'ai pas entendu cette réplique aussi débile. Il regarda le jeune garçon droit dans les yeux et sortit une phrase courte et assez bref.

- Tu es bien mal placé toi, pour parler dans le dos des autres...

Ce message voulait à peu près dire que le gamin qui avait dit ça sur Jeza, était laid... Celui-ci ne répliqua pas et le regarda d'un air d'assassin, cela ne touchait point Russ qui le regardait toujours d'un petit air quasi-meurtrier. Sans se soucier de ces camarades, il se retourna vers l'anglais au yeux bleus.

- Tu préfères me dire la raison plus tard ou?

Pourquoi était-il là? Tu parles d’une question… Parce qu’il en avait envi? Quoi d’autre!?... N’ayant pas de projets d’avenir, il n’avait rien eu à perdre en acceptant d’aller dans ce lycée. Bref, tout en réfléchissant à une réponse approprié sur sa question. Devait-il lui dire? Tout lui raconter? Ou bien sortir une menterie? Ce qui reviendrait à mentir à Russel… Son « meilleur » ami… Celui qui avait remplacé les autres… Celui avait qui, il avait passé de bons moments sous cet abribus… Bah! Il avait confiance en Russel.

Jeza n’avait pas eu l’occasion de lui répondre, une bande de gamin bruyant avait pris place, et une gamine un peu trop audacieuse avait prit la parole… Devait-il se sentir soulager de cette soudaine apparition? Bien qu’il n’aimait pas les gamins, la spontanéité de la petite lui avait fait arracher un mince rictus moqueur. C’est vrai, Russel était beau. Il attirait même les gamines. Venant de dire à son ami que celui-ci avait une fan, un gamin sorti une réplique stupide le concernant. Oh ces gamins. Si insouciant. Si imprudent! Tysdale était loin d’être un amateur de la bagarre et de la violence gratuite… Pacifique… Il avait de la chance ce sale « gosse ». Si Jeza avait été d’une nature un peu violente, ce gamin aurait fini de l’autre côté de la rampe et aurait une sacrée chute. La noir lâcha un soupir las, non, ça ne valait pas la peine de répondre.

- Tu es bien mal placé toi, pour parler dans le dos des autres...

La remarque de Russel manquait de le faire sourire. Il n’y avait que Russel… Et Celui-ci… Avait prit sa défense ? Il avait bien eu beau de le défendre contre un vulgaire gamin, mais seulement l’intension de son vieil lui avait fait plaisir.

- Tu préfères me dire la raison plus tard ou?

Russel remit le sujet. Bah, tiens, l’anglais pouvait bien lui dire. Il avait confiance… Jeza lâcha les gamins pour se concentrer sur l’autre anglais. Il allait sûrement s’ennuyer durant ce récit. Il se plaça plus à coter de son ami, de sorte que, le noir s’appuya sur la rampe qui empêchait quiconque de tomber du toit. Regardant le ciel, il soupira, et tendit la main vers Russel.

- Tu me donnes une clope ?

Il n’aimait pas parler de ça. Ça l’horripilait. Mais bon, il allait le dire à Russel. Les gamins l’importaient peu. Ils allaient faire leur échange en anglais. Et les chances que ces gamins sachent parler cette langue l’étonneraient.

- En gros, dès que tu n’es plus venu sous cet abris bus, rien n’était plus pareil, du moins pour moi. Sinon, j’avais les mêmes agissements. Tu te souviens, j’avais un ami, enfin ex-ami, Soichi j’ai appris de la bouche de mon ex-ami, Katsuki, qu’il avait eu quelque chose à l’hôpital… Par la suite, croyant que c’était ma faute que Soichi soit à l’hôpital, il m’a attendu dans une ruelle, j’l’ai suivis sans me douter qu’i avait un revolver… Et puis on a discuté. Ça l’a mal tourné, il a voulu me tuer…

Son ton devint plus grave. Et son regard plus dur. Il lâcha son observation du ciel pour se consacrer entièrement à Rus. Les enfants avaient du sentir l’atmosphère froid qui avait prit place, car ceux-ci étaient moins bruyant. Poursuivant :

- C’est la que j’ai découvert que j’avais un don… Lorsqu’il a appuyer sur la détente, la balle à comme… Ricochée sur une surface vitreuse et s’est retournée contre lui…

Il se tut encore une fois. Qu’allait penser Russel ? Ça l’intriguait… Qu’allait être ça réaction ? Lui-même n’avait-il pas essayé de tuer quelqu’un ? Jez ne lui en avait pas voulut, mais lui… Peut-être… Qui sait?

- Je vais t’épargner les détails… Sinon, quelqu’un qui a vue la scène m’a parlée de Taku et parce que je voulais… Recommencé à zéro, j’ai décidé d’y aller. Et toi, comment as-tu découvert ton don ?

Il commençait à se sentir nerveux… Pourquoi, il n’y avait pas de raisons, non ? En tout cas, il avait besoin de l’enivrante nicotine… Ce n’était pas dans ses habitudes que de jouer à la « pie »…

Jezabel n'avait pas l'air d'avoir comprit la phrase du gamin. Ou sois tout simplemement, il l'avait ignorer vue que Jeza est de nature vraiment pacifique... Les collégiens avait décider de se calmer, et ce n'était même pas dût à ce que le brun avait dit. Tous les regardait d'un air suspect. L'anglait s'était “ enfin ” décider à lui dire comment il avait découvert son don... Une erreur et une tentative de meurtre s'était passé ce soir là, dans cette fameuse ruelle... Russel était sur que son ami n'avait pas pu faire une chose pareille, mais étant donné qu'autres fois, lui aussi a tué une personne volontairement, il avait dut se passer quelques chose que l'ex-ami de Jez réagisse comme ça ou peut-être par pur jalousie. Sa raisom laissa Russ interrogateur. Pleins de questions diverses comme “ Qu' fait Jeza pour qu'il soit aussi détester? ” ou “ A-t-il regretter son geste par la suite ou il en fichait carrément? ”. Pleins d'autres questions consernant le passé de Jeza, édivemment. C'était donc à Russel de lui expliquer... Au moin, il n'avait pas à lui raconter l'histoire de Cédric une seconde fois. Peut-être allait-il le comprendre ou prendre sa raison pour du “ bluff ”?

- Eh bien, peu après la mort de Cédric, Kami sama a dut surement voulu venger Cédric parce que plus les jours avançait et plus la vue de mon oeil gauche se déterriorisait. Donc, avec un peu plus de temps, j'appris que mon oeil était paralyser...

Conaissant Jezabel, le brun était sûr qu'il allait comprendre. Les jeune qui était aussi présents avait l'air interesser même si les deux jeunes hommes parlaient tout deux anglais. Ils marmonnaient entre eux des chose du genre “ De quoi parlent-ils? ” d'autres répondait “ J'en sais rien mais ça l'air sérieux... ”. Cette phrase intrigua de plus en plus ces camarades, ils voulaient donc rester jusqu'à la fin. Il énervaient Russ mais comme à son habitude, il ne le montrait pas. Celui-i sortit son paquet de cigarettes et en tendit une à Jeza vue qu'il en avait demander une juste avant qu'il lui raconte “ son histoire ”.

- J'avais oublier... Tiens.

Décidemment, il n'était pas gêner devant les jeune gens qui se trouvaient dans la même pièce et même pas à deux mètres d'eux. De tout manière, ils doivent déjà savoir ce que c'est une cloppe, bande d'inculte s'il ne le savent pas...

[Gomen pour le petit post, Jeza-kun ><]

Kami sama avait donc décidé de punir Ru ? Possible. Mais pourquoi s’en prendre à un type qui « avait » voulu tuer quelqu’un et qui avait renoncé ? Alors que chaque jour, il se passe des affreuseté dans le monde ? Cela confirmait-il qu’il n’y avait aucune justice en ce mode ? Jeza laissa son ami finir son histoire. Lâchant un soupir compatissant au fait que son ami avait perdu l’usage de son œil. Se tournant un peu, l’universitaire portait un regard à la dérober à la bande de gamins. Était-il existentiel qu’ils soient là ? Bien entendue, aucun ne pouvait aller répéter quoique ce soit. Jezabel re-soupira. Finalement, Ru lui donna un cigarette. Il porta celle-ci dans sa bouche et chercha son précieux briquet dans ses poches. Par la suite, il l’alluma, cachant avec l’aide de sa main la cigarette pour avoir plus de facilité à l’allumer ; il y avait des courants d’air.

Le noir remit son briquet là où il l’avait pris, puis retira la cigarette de sa bouche pour en souffler la boucane. Les enfants allaient sûrement déguerpir du à la puanteur du tabac brûlé. À présent, il était intrigué par ce qui se cachait sous le bandage… Cela ressemblait-il à un œil ? Un machin en décomposition ? Un trou ? Bah même avec un œil pourrit, il resterait ami avec Ru ! De tout façon, Jeza ne se fiait pas au physique des gens.

- Hm… Je peux voir sous ton bandage ? Si cela ne te dérange pas… Bien sure.

Par la suite, il prêta attention aux nombreux marmonnements des gamins. Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien « encore » vouloir ? Jezabel remit la cigarette dans sa bouche et tourna la tête vers les gamins. S’adressant à Ru :

- Tu penses qu’on devrait les laisser faire ?

Il soupira encore une fois. Soufflant la fumée avec sa clope dans la bouche. Il s’ennuyait. Dommage que le ciel ne déversait pas sa pluie. C’aurait pu être marrant. Où un super ciel monochrome… Lâchant son regard dédaigneux des gamins, il fixait à présent Ru. Sur un ton un peu plus « vivant » qu’à l’habitude, il décréta ;

- Tu t’ennui aussi ? Ça te dirait… De s’amuser avec les gamins ?

Et non, il n’a pas pété une durite… Il s’ennuyait ferme. Et le fait que les gamins soient là l’empêchait pour une quelconque raison de parler « normalement ». Avant que Ru ne se mette à penser des « choses », le noir reprit.

- « S’amuser », dans le sens de… Faire peur…

Un mince sourire fit son apparition sur ses fines lèvres. Il prit un bouffer attendant la réponse de son ami.

Après avoir accepter la clope du brun, il s'alluma puis, rengea son briquet. Il espèrait que les “ gosses ” allaient bientôt s'en aller dût à la puanteur et la fumée des cigarettes des deux jeunes hommes. Puis, à un moment où Russ s'en attendait le moin, Jezabel lui demanda ce qui se cachait derrière les bandages de Russel. Dawnson ne savait pas trop quoi faire, lui montrer pour ensuite “ répugner ” les collégiens ou attendre d'être seul pour lui montrer? Ha et puis, de toute manière, il voulait qu'ils s'en aillent alors, il n'hésita pas beaucoup pour se décider à ôter son bandage. Son oeil maintenant rendu rouges sang allait peut-être intriguer les jeunes. Les marmonements commençaient à se faire entendre. Là, c'était le moment où il devait vraiment se sentir regarder, même si c'était vraiment la sensation qu'il avait, ça ne le dérangeait pas... Il ne fit même pas un seul regard au collégiens et se contenta de regarder son ami.

- Contrairement à ce que tu as pu penser, non, il n'est pas en décomposition ou en train de pourrire... Il est juste paralyser...

Non, il ne savait pas lire les pensés, mais il s'avait que n'importe quel personnes s'auraient attendus à ce qu'il venait de dire. Puis, peu après, l'anglais tourna son regard vers la bandes de jeunes étudiants suspect. “ Tu t’ennui aussi ? Ça te dirait… De s’amuser avec les gamins ? ” Il le regarda d'un air interroguateur, qu'est-ce qu'ils pouvaient bien faire avec ces “ demi-gamins ”? Avant que Russ ne pense n'importe quoi, il lui expliqua sa vue sur les mots “ S'amuser avec les gamins ”. Faire peur... Avec leurs dons? Il ne comprenait pas tout à faite ce que son ami voulait dire par là, leurs pouvoirs ne font pas très peur, la paralysie et les mirroirs... Rien de vraiment “ extraordinaire ” ou dépeurant là-dedans... Même son petit sourire intrigua de plus en plus Russ...

- He, je te suit plus du tout, là...

Au moment, il regrettait un peu sa phrase car c'est comme si un lumière s'était allumer dans sa tête, il venait de comprendre le sens que Jez voulait parler par “ faire peur ”. Mais il faut dire que Russ n'est pas le meilleur acteur qui éxiste... Même déjà là, à son ancienne école, quand il était temps de faire de l'improvisation, il n'avait jamais d'enthousiasme et n'aimait pas se “ ridiculiser ” devant les gens. Il avait l'air d'un vrai endormi et ne se rappelait jamais de son texte, quand il y en avait, parce que en improvisation, bah ça le dit, on improvise. Il n'aimait pas non plus faire une pièce de théatre avec les élèves de son groupe, il sèchait toujours ces cours là et passait son temps à poireauter hors de l'école... Pour résumer tout ce blabla inutile, tout ça veut dire que Russ n'a jamais trop été fort en impro' ou autres trucs du genre où il fallait apprendre des textes ou se montrer devant un group d'élèves qu'ils soient plus grand ou plus petit que lui. Il regarda les gamins, puis, Jez.

- Je n'ai jamais trop été bon pour ce genre de truc...

Alors, c’était un œil rouge qui se cachait derrière ce bandage? C’était pas mal. Même qu’au contraire, cela donnait un air encore plus mystérieux à Dawnson. Restait étrange que, il semble logique au jeune noir qu’un membre paralysé ne changeait pas de couleur. Il inspira, retira la cigarette de sa bouche avec deux de ses doigts, expira en laissa la boucane se mêler à l’oxygène de l’air. Bah qu’il soit rouge, bleu, noir qu’est-ce que ça importait, rien. Russ restait unique. Et heureusement pour lui ce n’était pas de la pourriture. Jezy venait de lâcher gauchement sa réplique sur son ennuie et qU’il avait envi de s’amuser, avoir de l’action. Il avait bien beau être un flemmard de première, mais le noir détestait être engourdit. Cela lui rappelait de mauvais souvenir. Comme lorsqu’il avait attendue Russel, en restant assis sous l’abri bus et que Ru avait fini par se pointer en retard, il s’était levé et avait manquer de se prendre la sol parce qu’il ne sentait plus ses jambes.

- He, je te suis plus du tout, là...

Jezy s’en doutait un peu. Après tout Russel n’avait jamais parler sur le théâtre, où sur une autre quelconque activité. De son regard de glace, il planta son regard dans ceux de Ru. Remettant sa cigarette dans sa bouche, il ré inspira un bon coup, et le souffla. D’un ton moyennement morne il lui répondit :

- Je croyais bien que ça n’allait rien te dire… Mais bon. Je m’ennuie… Vraiment. Et je n’aime pas spécialement avoir des… Fourmis dans les jambes.

Il soupira, en refaisant pour la troisième fois son mouvement avec sa clope. Rapidement, il se rendit compte qu’elle était finit. Quoi déjà ? C’était la deuxième en si peu de temps. Il était bien vrai que de revoir Russel provoquai en lui une certaine source de stress, mais de là au point de griller deux cigarette en moins de deux heures…

- Je n'ai jamais trop été bon pour ce genre de truc...

À vrai dire, Jeza non plus n’aimait pas ce genre de trucs. Même qu’il détestait. Mais dans des circonstances où l’ennui est vraiment puissant, c’aurait pu être amusant de voir Russel jouer une pièce. Voir un Russel plein d’entrain aurait été qu’amplement divertissant. Et son entrain soudain aurait sans aucun doute apeuré ces pauvres collégiens. C’aurait fait une pierre deux coups… Finissant ça clope, il la lança par-dessus la rampe du toit. Ce n’était pas gentil pour l’environnement, mais il n’allait pas garder le mégot dans ses poches de pantalons !

- Oublie, c’était que des idées passant comme cela…

En parlant, il regarda le ciel, les nuages se déplaçaient si promptement… Ils étaient couleur grisant… Allait-il pleuvoir ? Bien qu’il aimait la pluie, l’idée d’être trempé en plein soir ne le réjouissait guère…

- Au fait, où est ta chambre ?