Amamiku Matsuri [V]

Identité

Nom : Amamiku
Prénom : Matsuri
Age & date de naissance : 24 ans. 5 janvier
Quel matiére enseigne-t'il? : professeur des SA
Pouvoir : maitrise du sang. Elle peut "diriger" un filet (ou plus gros) de sang, et changer la consistance du sang (liquide ou solide). Distance maitrisée : 200 mètres environ.
Forme du Don : limitée
Que pense-t'il du Jiyuu ?: Huuuuuum ... bonne question, mais comme elle les "combat", on peut penser qu'elle n'est pas avec eux. Seulement, les convictions des gens changent suivant ce qu'ils ont à gagner ...
Pourquoi Prof ? : Elle ne supporte pas qu'on lui donne des ordres, et être prof lui donne une certaine liberté de mouvement.

Personalité

Caractère : S'il y a une chose qui est sûre c'est que Matsuri ne laisse pas indifférent, dans tous les sens du terme. Mystérieuse, secrète, on ne sait presque rien d'elle à part son don et sa profession (et encore, il y en a qui les ignorent toujours ...), et Matsuri ne s'en plaint pas. Après tout, c'est une femme de l'ombre, et l'ignorance des autres est mère de sûreté. Sérieuse, elle est une adepte du travail "vite fait, mais bien fait". C'est une perfectionniste. Calme, il vaut mieux qu'elle le reste, car si elle s'énèrve, il est préférable pour votre sécurité d'aller vous cacher loin, très loin. Surtout si vous êtes responsable de sa colère. Question logique, ne cherchez pas à comprendre celle de Matsuri. Parfois, c'est une logique humaine normale ... parfois, la logique est plus complexe. Lorsqu'il y en a une. Matsuri est quelquefois sujette à des périodes de folie passagère. Entre deux choix, Matsuri ne prendra pas forcément toujours celui qu'elle considère le meilleur, mais celui qui lui sera le plus profitable. En cela, elle peut parfois apparaitre sans coeur. Mais il s'agit juste pour elle de garder le maximum de liberté possible. Elle veut diriger sa vie, et refuse de s'enchainer à quoi que ce soit, même pas à quelqu'un ... Entreprenante, dans les relations, c'est elle qui viendra vers vous. Si vous venez la voir, elle sera plus que méfiante ... ce qui n'équivaudra pas forcément à un non ...
Aime & aime pas : Matsuri adoooooore taquiner les gens. Malheureusement, elle ne s'y prend pas toujours comme il faut. Mais allez savoir si elle ne le fait pas exprès ? Matsuri déteste recevoir des ordres, mais adore en donner. Elle est indépendante, et fière de l'être. Son compromis avec le directeur lui est souvent bien utile, lui conférant une autorité sans bornes dans l'établissement. Si elle apparait distante et sévère avec ses élèves, c'est en réalité parce qu'elle considère de son devoir de les protéger, comme le ferait une mère avec ses enfants. Sans doute un manque affectif à combler ...
Ce qu'il pense de l'école : Matsuri est un prof ... special. Elle aime le calme et le respect des règles qu'elle impose. Mais elle n'est pas foncièrement méchante.

Physique

Portrait : Comment décrire Matsuri en quelques lignes ? Voilà qui est bien difficile ... Mais essayons. Matsuri possède l'aura même de la liberté, comme une flamme l'entourant en permanence, captivant le regard. De plus, Matsuri n'est pas laide, bien au contraire ! Ses longs cheveux couleur nuit retombe en cascade sur ses frêles épaules, encadrant un visage aux traits fins. Lorsqu'elle vous regarde de ses grands yeux bleux océan, impossible de détourner votre regard, sauf par un extrême effort de volonté. Ses lèvres délicates ne demandent qu'à sourire, révélant des petites pomettes. Grande, un corps mince et musclé, Matsuri fait un peu "mannequin" (d'ailleurs elle a reçu plusieurs propositions, mais les contrats sont toujours trop contraignants ... dommage, elle aurait pu être encore plus riche qu'elle ne l'est déjà). Matsuri ne porte pas l'uniforme que les professeurs sont censés porter (et elle n'est pas la seule d'ailleurs), mais leur préfère des tenues plus affriolantes, et beaucoup plus ... comment dire ... dénudées ? Le directeur a d'ailleurs souvent droit aux meilleures ...

Passé

Son histoire :

Il était une fois ...

C’est ainsi que toutes les histoires commencent. En général, elles se finissent souvent par « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ». La fin de l’histoire n’étant pas encore écrite, on ne peut pas vraiment dire si ce sera le cas …

Bien qu’il soit fort probable que ce ne le soit pas. Mais commençons par le commencement …

Il était une fois, donc, un jour d’hiver, froid, un jour où la neige recouvrait toute la plaine de la région de la plaine d’Hokkaido, tout au nord du Japon. Une région déjà glaciale en hiver, mais cet hiver-là était encore plus rude. Etait-ce un bon présage ? Certains disaient que oui, d’autres que non. Les avis étaient tellement partagés qu’au final, on ne demandait plus aux autres, et on gardait sa propre initiative sur la tournure que prendraient les événements pour l’année qui viendrait.

Pour la famille Amamiku-Kenshitaki, c’était une mauvaise année. Car la femme de l’actuel dirigeant de la famille, Miss Nadeshiko, attendait un enfant qui n’était autre qu’une fille. Or, pour la survie du groupe, il aurait mieux valut un garçon, qui puisse reprendre les rênes de la famille et de ses activités pour le moins … spéciale. Pire, il semblait que cette fille ait un pouvoir spécial, qu’elle ait hérité de la malédiction familiale … Comment le savait-on ?

Parce que la mère faisait régulièrement des baisses de tension dues à un manque de sang, ce qui arrivait à toutes les mères porteuses de ces individus génétiquement différents. Afin que la mère continue à vivre, il fallait régulièrement transfuser du sang dans son organisme, car le sien disparaissait mystérieusement on ne savait où … Déjà au début, la petite fille avait « tué » sa jumelle ainsi. Tous les médecins avaient crus à un Syndrôme Transfuseur – Transfusé, mais la famille savait, elle, que c’était bien pire …

En ce jour, la délivrance approchait pour la femme pâle à mourir qui était allongée (gisait aurait pu convenir, ne serait-ce la souffle qui faisait régulièrement se soulever la couverture qui la recouvrait) sur le canapé du salon de la grande maison familiale. Enfin, elle allait être débarrassée du monstre qui l’habitait. Avec un peu de chances, une fois l’accouchement fini, elle aurait encore assez de force pour la noyer pendant qu’elle demanderait à être seule … Oui, c’était la meilleure chose à faire. Elle avait vu ce que ça avait donné avec le père de son mari … Un homme fou. Inconscient du danger. Il était devenu riche, certes, mais c’était un moindre mal vu tout ce qu’il avait fait …

- Argh …

Le travail commençait. Courage, dans quelques heures, tout serait fini …

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- C’est un monstre ! Un mooooooonstre ! Laissez-moi l’éliminer ! Il faut que je la tue ! Elle ne doit pas survivre !
- Emmenez-la loin d’ici et calmez-la.

L’homme est incroyablement calme au vu de la situation, désastreuse, il faut bien le dire. Sa femme vient d’essayer de noyer sa fille fraîchement née dans le lavabo qui était non loin d’elle. Heureusement, une infirmière est arrivée à temps et a pu extraire l’enfant des bras avides de sa mère, qui commença à devenir agressive, griffant la jeune femme pour récupérer son enfant, criant hystériquement qu’elle devait tuer le « monstre ». Il écarte d’une main froide le linge qui cache la tête de l’enfant et la regarde longuement avant de prononcer quelques mots …

- Ichiko (sorcière) … Mayuko (Enfant libre) … Beniko (Enfant rouge écarlate) … Fuyuko (Enfant de l’hiver) … Ryuuketsu (effusion de sang/carnage). Tel sera ton nom, tes noms. Mais on t’appellera … Hideko (enfant supérieur).

Hideko. Ainsi fut appelée cette petite fille si spéciale. Mais ses autres noms, parfois appelés noms d’âmes, amenés selon certaines légendes à diriger la vie de la personne, furent étrangement prophétiques …

Hideko grandit extrêmement vite. Nadeshiko n’ayant plus eu d’autre enfant, et internée pour cause de problèmes mentaux, toute l’éducation nécessaire au poste de future-épouse du chef de la famille lui fut donnée. De plus, il était fort probable au vu des rumeurs que son père décide de renier sa femme ne lui étant plus d’aucune utilité pour épouser sa fille, prometteuse, au lieu de lui choisir un mari ailleurs. Mais les quelques rares personnes qui prononcèrent ces mots un peu trop forts furent mystérieusement retrouvées quelques temps plus tard au fond de la baie de Tokyo …

Hideko n’eut ni une enfance heureuse, ni une enfance malheureuse. A vrai dire, elle n’eut pas d’enfance. Dès qu’elle sut comprendre ce qu’on lui disait et marcher (ce qui arriva remarquablement vite, confirmant les aptitudes incroyables et prometteuses de la petite) on lui enseigna les arts martiaux, dans la variante familiale. Simples ou compliqués, mais toujours efficaces. De plus, ils reçurent la visite du grand père de la petite, qui travaillait pour une certaine académie. En échange d’une grosse somme d’argent versée régulièrement à cette dernière, il voulait bien faire en sorte que Hideko puisse sortir de l’académie et rendre ainsi autant de service à sa famille qu’à l’académie, pour laquelle elle travailla dès très jeune, et qui lui apprit, par le bais de on grand père en particulier, à correctement utiliser un Don qui se révélait bigrement efficace … De plus, pour on ne sait encore trop quelles raisons, si la vue du sang ne l’effrayait pas, elle la rendait aussi extrêmement euphorique, et la petite avait donc quelques tendances à le faire joyeusement couler autour d’elle.

Entraînée à tous les arts, à 10 ans, elle était une véritable experte, et un assassin en puissance prometteuse, bien qu’elle comptait plus sur son Don que sur ses capacités physiques. Elle pouvait liquider à peu près n’importe qui, et se faire passer aussi pour n’importe qui, y compris plus vieille qu’elle n’était, pour appâter quelques vieux hommes aux fantasmes assez particuliers qu’elle devait contenter avant de s’en débarrasser. Mais cela ne la gênait pas. Quelques rumeurs coururent sur qui lui avait appris, certains prétendant que son père n’y était pas étranger, mais ils rejoigninrent bien vite ceux qui avaient prétendu qu’il l’épouserait dans le silence des eaux.

Peu avant sa dixième année, elle reçut la visite d’un professeur bien particulier. Un jeune homme qui devait avoir un peu moins du double de son âge. Il devait, selon les termes du contrat, lui enseigner « son futur métier ». Sous ces phrases sibyllines se cachaient d’autres cours d’arts martiaux, et l’enseignement de techniques de liquidation expresses. Futur métier : assassin. Elle lui vouait une admiration sans borne. Sans doute parce que malgré ce qui les opposait, il lui enseignait quelque chose qu’elle adorait et surtout, pas toujours dans les règles, qu’il transgressait avec la permission de Hideko (ce qui permettait d’éviter les catastrophes si ça se découvrait), assez souvent. Ce qui la marqua le plus, dans ces cours particuliers, fut le jour où il sortit de sous sa chemise un petit instrument. Une harpe pour être plus précise. Il lui apprit à en jouer, et aujourd’hui encore, si vous la surprenez dans un de ses rares moments de solitude, vous pourriez la voir arpenter de ses doigts fins les cordes de cet instrument si particulier ...

A dix ans, son grand père lui apprit qu’il n’en avait plus pour longtemps. En effet, le Don du Sang étant un Don assez puissant, le monde était trop petit pour en contenir deux, et le plus âgés mourrait obligatoirement lorsque le plus jeune atteignait sa dixième année. Il lui enseigna toutes les « arcanes » qu’il savait, transmettant ainsi à la lignée suivante toutes les connaissances accumulées par lui-même et ses ancêtres. A elle de s’en servir convenablement et de les améliorer encore … C’est lors de l’officialisation de la transmission qu’elle changea de nom. Puisqu’elle restait heureuse même entourée de sang et de cadavres, son grand père décida de la renommer Matsuri, à savoir « fête ». Il mourrut très peu de temps plus tard.

Ainsi, à dix ans seulement, elle se retrouvait avec une puissance de destruction massive assez incroyable qu’elle prenait avec le sourire, et avec une maturité hors du commun. Rien ne la touchait, rien ne lui provoquait le moindre sentiment. A part la vue, toujours, de ce liquide rouge qui lui semblait si familier et agréable.

C’est à 10 ans qu’elle accompagna le directeur de l’académie, Ogawa, pour récupérer un élève. Ce n’était pas la première fois quelle partait accomplir des tâches pour l’académie, mais c’était la première fois qu’il fallait qu’elle récupère quelqu’un, et la première (et dernière) fois qu’elle partait seule avec cet homme qu’elle admirait. Il se dégageait de lui quelque chose d’incroyablement … attirant. Bien sûr, elle était jeune, elle ne comprenait pas vraiment tout. Mais les auras, chez elle, ça ne trompait pas (oui, elle y croit). Et l’aura de cet homme était impressionnante. Vive, claire et forte. Attirante pour elle comme l’est la lumière d’une lampe dans la nuit pour les papillons, quitte à s’y brûler les ailes …

A 12 ans, Matsuri élut définitivement domicile à Takuetsu et ne rendit plus que très rarement des comptes à sa famille. Elle y apprit la musique, se perfectionnant ainsi dans d’autres instruments que la harpe, ainsi que le chant, la danse ou encore le dessin, la peinture, la sculpture. La trahison de Mitsuomi, qu'elle apprit peu de temps après son arrivée, l’affecta énormément, et elle lui en veut toujours un peu, car elle ne sait pas ce qui lui est arrivé depuis qu’il est parti en l’abandonnant …

14 ans. Matsuri est dans les SA depuis un certain temps, et sa vie lui convient tout à fait. Elle la vit comme elle l’entend sans s’embarrasser de pacotilles insignifiantes. Et dans les pacotilles, on trouve les élèves. Matsuri ne les tient pas en haute estime, et elle a tendance à les ignorer totalement, dans leur grande majorité. Alors forcément, quand elle sent que quelque chose lui serre le cou, elle ne pense pas tout de suite à un autre élève qui ne se maîtriserait pas. Et pourtant c’est le cas. Ishiro Idogawa, élémentaire du métal, a perdu son contrôle et le collier de la jeune demoiselle est en train de serrer inexorablement son cou dans une étreinte mortelle … Heureusement pour elle, William, le jeune homme qu’elle a été chercher quatre ans plus tôt et qui état à côté d’elle à cet instant, envoya le responsable dans un coma non voulu et qu’il regretta longtemps, jusqu’à ce que ça énerve Matsuri qui lui fit comprendre qu’il lui avait sauvé la vie et que si problème il adviendrait, elle le réglerait. A partir de cet instant, elle fit d’ailleurs bien plus attention aux autres …

16 ans. Matsuri est une des ombres les plus connues du monde. On ne sait pas qui elle est, mais la Veuve Noire comme on l’appelle fait parler d’elle dans toutes les organisations douteuses. Elle fait de nombreuses missions, très diverses, auxquelles elle est habitué. Mais c’est lors de l’une d’elle qu’un événement changea tout.

Cependant, avant de s’intéresser à cela, intéressons-nous à l’évolution d’une de ses relations … celle avec le dénommé William McHearther. Oui, celui que Matsuri a été cherché, et à qui elle a fait grande impression. Elle sent, les filles ont un Don pour ça, qu’elle l’intéresse. Hors, le truc, c’est qu’à cet âge là, elle aussi, elle commence à s’intéresser à lui. C’est avec sa franchise habituelle qu’elle le lui dit, et qu’elle passa avec lui la dernière nuit « paisible » qu’elle avait avant l’évènement qui changea le cours de sa vie.

Elle découvrit par hasard au retour d’une mission d’infiltration (brillamment réussie) un document sur elle qui lui apprit qu’elle était considérée comme dangereuse, approchant du stade D de Chimera, sur un stade E final … Elle se « reseta » donc, détruisant le dossier et bridant sa mémoire afin que nul autre ne le sache, et bridant son don par la même occasion …

Sa vie n’en devint pas moins mouvementée puisqu’elle réussit même, à 18 ans, à mettre au monde une fille en toute discrétion, naissance due à une liaison avec son professeur de maths …

Ce professeur, un homme possédant l’incroyable Don de pouvoir attacher sa vie à un tableau, la séduit immédiatement par son caractère calme, doux, et confiant. Un peu perdue, car inconsciemment elle ne s’est pas encore remise de sa perte de mémoire, bien qu’elle n’en ait pas conscience, cela la rassure et c’est tout naturellement qu’elle lui tombe dans les bras. Au sens littéral d’ailleurs, car c’est lors d’un malaise en cours qu’eut lieu sa première approche. Bientôt, il ne fut plus son professeur, et les excuses de cours supplémentaires ne suffirent plus. Il leur fallut trouver des endroits pour se donner des rendez-vous secrets, ce qui fut bien plus compliqué qu’on ne l’aurait cru ... Leur fille naquit après deux ans de liaison, et fut immédiatement placée à l’adoption. La grossesse fut difficile à cacher, mais apparemment, Matsuri réussit à ce que personne ne s’aperçoive de rien. On soupçonne quelques disparitions mystérieuses de n’être pas étrangères, mais rien ne peut le prouver ... C’est à peu près à la même date qu’ils rompirent, mettant fin, en de bon terme, à une relation « qui ne pouvait être vouée qu’à l’échec », puisque le professeur ne vieillissait pas, et que Matsuri si ...

Le prochain homme sur lequel Matsuri fixa son attention n’était pas un inconnu. Loin de là. Il était tout aussi loin d’être accessible. La demoiselle ne désirait rien de moins que le directeur de l’académie, Mr. Ogawa. Le seul, elle s’en rendait compte, à pouvoir lui offrir la liberté …

Peu de temps après sa sortie de lycée, elle fut chargée de prendre la tête du groupe des SA, devenant l’unique professeur de ce groupe d’élite qu’elle dirige encore aujourd’hui d’une main de fer. Les stratagèmes et les liens mis en place avec diverses personnes se révélèrent payant puisqu’une fois adulte, elle se retrouva « officieusement » en dehors de toutes règles de l’académie, donc libre. Enfin.

Mais les choses ne restent jamais ce qu’elles sont. A 24 ans, lors d’une soirée pour le moins mouvementée où elle retrouva William (et tua accessoirement un étudiant de l’académie), Matsuri retrouve la mémoire, sa puissance … et les conséquences qui vont avec : en particulier son stade D.

Reste pour elle à ne pas se faire prendre … et à garder les bonnes relations pour ne pas sombrer dans les remous chaotiques d’une académie en constant changement …

Rêves : Sortir avec le directeur ? x) Plus sérieusement, Matsuri n'a qu'une envie, rester libre.

Qui se cache derrière l'écran?!

Prénom : [classé confidentiel, accès interdit]
Age : 16 ans
Comment avez vous connu le forum ôô ? : parinternet, mais chais plus ce que j'ai marqué ... x)
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