Takuetsu no gakuen
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Zuka Suzaharu

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Zuka Suzaharu
Secrétaire du directeur
Zuka Suzaharu

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Date d'inscription : 01/05/2009

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Zuka Suzaharu Vide
MessageSujet: Zuka Suzaharu Zuka Suzaharu EmptyDim 3 Mai - 17:36

Votre personnage



Identité


Nom : Suzaharu
Prénom : Zuka
Age & date de naissance : 5 Mai mais tout autre renseignement son inconnu.
Quelle matière enseigne t’il? : Aucune, c’est la Secrétaire du directeur

Pouvoir : Douleur physique, il suffit à Zuka de toucher quelqu’un, juste qu’une partie de son corps (avec ou sans tissu) pour que celui-ci se torde de douleur. Cela peut se traduire par des blessures visibles mais la plupart du temps, les plaies sont plutôt internes. Plus son ressentiment est grand envers la personne visée, plus la douleur lui sera atroce. On dit que plus le pouvoir est grand, plus la responsabilité est lourde. Ce dicton ne ment pas à Zuka en effet, malgré que son don soit envier, elle ne peut même pas effleurer toute les personnes qu’elle a croiser le regard, juste une fois dans sa vie, car celles-ci s’écrouleraient de souffrance, même le contact à travers le tissu n’empêche pas son don d’opérer, celui-ci devient simplement deux fois moins fort mais tout de même suffisamment puissant pour se faire tordre le plus solide des gaillards.

Que pense-t'il du Jiyuu ?:
Elle connait l'organisme de nom mais pense que celui-ci fait partie du mythe de l'école.

Pourquoi Prof ? : Ben…je le suis pas donc je sais pas répondre à cette question.



Personnalité


Caractère : Si les élèves de l’académie ont déjà vu un sourire sur les lèvres de Zuka, ce n’était qu’un rictus froid, calculateur, mauvais bref tous sauf chaleureux. On n’a jamais surpris dans ses yeux autre chose, une lueur autre, qu’un froid polaire, critique ou encore inquisiteur. Froide, dès que vous êtes dans la même pièce, elle vous fait clairement ressentir que vous n’êtes pas le/la bienvenu(e), que vous n’êtes qu'insignifiant. Pourtant elle n’a un aucun pouvoir mental mais c’est un fait, un malaise persistant se développe, voir que le pôle Nord vient s’instaurer dans la pièce. Cet aspect froid, distant voir même malveillant par moment, en fait une personne détestée à l’égal de son patron, cependant ce n’est qu’une barrière très épaisse.

Zuka est même loin de l’image qu’elle renvoit, volontairement, car le premier abord de sa personnalité, serait torturée. Une personnalité sans cesse bridée, un mur de glace est nécessaire pour ne pas laisser ressortir la douce personne, aimante, tendre qu’elle est en réalité. Elle n’accepte que difficilement de blesser les gens, ainsi son cœur est, un peu plus meurtri quand elle utilise son don, bien qu’elle est prête à le déployer 100 fois si c’est le directeur qui lui demande. Elle possède ainsi un aspect fragile, que personne ne soupçonne derrière un masque sans cesse austère. Bien qu’elle soit une personne sérieuse, l’oisiveté n’ayant jamais été sa carte maîtresse, elle n’est pas pour autant intransigeante comme elle le fait croire, bien au contraire, les imperfections ont un certain charme à ses yeux, une dernière preuve que, quel que soit sa puissance, on reste humain malgré tout. La rancune ne fait pas partie de ses défauts, elle pardonne d’ailleurs n’importe quelle malversation du directeur, même si cela chamboule toutes ses croyances, sa façon d’être. Mais il n’est pas la seule personne dont la faute est effacée immédiatement, la plupart des élèves ont également ce tableau magique à disposition mais ils ne le savent tout simplement pas.

Il ne faut pas oublier tout de même que cette femme est intelligente, très même, pourtant il lui arrive de ne pas avoir plus de jugement qu’une potiche quand il s’agit de son patron. Elle ne ferait jamais quoi que se soit pour lui causer du tord ou même mettre sa vie en danger. Sa raison reste de mise sur ce point, mais dés que le diable des lieux lui adresse une parole, un ordre, elle l’exécute aussi tôt.

En parfaite marionnette consentante, c’est la seule manière qu’elle ait trouvé pour faire part d’une infime partie de l’amour qu’elle porte à cet homme. Un amour qui ne lui sera jamais retourné, il lui est suffisant de se tenir à 5 mètres, même si c’est séparé par une porte quotidiennement de cet être qu’elle idolâtre. Un sentiment depuis si longtemps encré en elle, qu’il fait partie d’elle, elle ne s’imagine qu’il y a, ni ne voit, d’autres hommes que lui. D’ailleurs ses tendres sentiments ont fait naître un partie de sa personnalité. Girouette, il suffit que le directeur n’aime pas quelque chose pour qu’elle ne le porte plus ou ne veule plus le voir. Mais dans le cas contraire, si celui-ci lui affirme aimer quelque chose, elle est prête à faire partie de cet ‘’univers’’. La persévérance et le perfectionnisme sont les deux traits de sa personnalité qui ne changent pas, devant ou derrière la barrière glacée.

Aime & aime pas : Le directeur, son univers tourne pratiquement autour de lui. Elle aime d’ailleurs beaucoup la femme de celui-ci (qui est en quelque sorte une amie plus ou moins proche) ainsi que leur petite fille. Elle aime rendre service et être utile à celui qui fait battre son cœur, même ses loisirs les plus anodins sont en relations avec lui. Elle lit pendant ses temps libres, loin des romans, plutôt la géo-politique, la génétique et autres sujets qui pourraient être un jour utile au dirigeant de l’établissement.
Elle aime également cuisiner, il lui est déjà arrivé d’amener des plats en ‘’trop’’ à la petite famille. En matière culinaire, elle aime particulièrement ce qui est sucré ou épicé. Le sucré-salé est un de ses mélanges favoris. Il lui arrive de temps en temps de coudre ou de raccommoder. Même si elle ne le montre pas, qu’elle aime également énormément les enfants, elle apprécie d’ailleurs la plupart des élèves de l’académie.

Elle déteste tout ce qui pourrait faire de l’ombre ou empêcherait d’atteindre les objectifs de l’homme qu’elle aime. Le jour où elle fera partie de cette liste, elle n’hésitera pas à se supprimer ou du moins à s’effacer. Elle n’apprécie pas trop le genre parasite, même si des fois elle se demande si elle n’en fait pas partie, aussi bien dans les gens que dans les insectes. Elle a horeeur de La couleur blanche qui fait référence au pur et au doux. En revanche, les couleurs sombres ont sa préférence.
En matière culinaire, elle n’aime pas ce qui est acide ni même les plats fades.

Dites nous si votre personnage est fou de quelque chose : Pas vraiment de quelque chose mais plutôt de quelqu’un, elle serait capable de n’importe quoi pour lui.

Ce qu'il pense de l'école : Bien qu’elle n’approuve pas toujours la façon de faire du directeur, elle se tait tout simplement, elle ne ferait rien pour le contrarier, en terme générale, elle aime beaucoup cet endroit, elle souhaiterait peut-être un peu plus de liberté pour les élèves mais sans plus.

Dites si votre personnage aime manipuler les élèves ... ou alors au contraire s'il est adorable.
Elle manipule les élèves par son côté glacial, qui n’est que fictif, mais qui n’est que le seul connu de ceux-ci.



Physique


Portrait :
Zuka n’a pas un minois vilain mais elle ne fait pas pour autant partie des grandes beautés du monde. Elle possède un visage fin mais avec tout de même des pommettes charnues. Sa bouche est un des attraits de son minois. Elles sont fines mais pleines, le genre de lèvres qui ne serait pas du tout dérangeant d’embrasser. Un nez également bien proportionné au reste de son visage. Des yeux noirs, bridés, lui donnent un aspect perçant, effet renforcé grâce à deux lunettes ovales toujours perchées sur son nez. D’ailleurs si cette femme portait des verres de contact, elle mettrait bien plus en valeur son visage au teint de pêche. Ses cheveux noirs ne sont pas particulièrement longs, ils lui arrivent au niveau de la jugulaire si elle les laisse détachés, chose qu’elle ne fait pratiquement jamais. Elle est mince sans pour autant être maigre, elle fait en sorte de porter des vêtements amples, souvent noirs pour dissimuler au mieux son corps. Ainsi il est difficile de réellement savoir son poids ou même le tour de son bonnet. Elle se ballade dans les couloirs dans un kimono noir avec à son bras le nom de sa profession, comme si elle voulait que les élèves comme les professeurs n’oublie pas qui elle est.


Dernière édition par Zuka Suzaharu le Dim 3 Mai - 18:51, édité 2 fois
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Zuka Suzaharu
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MessageSujet: Re: Zuka Suzaharu Zuka Suzaharu EmptyDim 3 Mai - 17:36

Passé


Son histoire :
C’était par une belle soirée, la journée était chaude mais pas étouffante. L’accouchement avait été particulièrement dur pour Kari, mais au bout de plusieurs heures de souffrance, Zuka poussait son premier cri. Si elle était la joie de son paternel, Hikaru, ce n’était pas la même chose pour la jeune maman. Dés le début elle refusait de s’occuper de l’enfant, au départ tout le monde cru qu’elle était atteinte du baby blues après tout, c’était phénomène assez courant, surtout après un accouchement particulièrement douloureux…celui de Kari avait été tel qu’à peine son enfant sorti d’elle, elle avait déclarer qu’elle n’en voudrait plus jamais. Elle demandait immédiatement qu’on l’opère pour cela.

A peu près après ses 5 ans, sa mère qui ne s’était jamais vraiment occupé d’elle, était partie avec une valise sous le bras, les raisons…elle les ignore bien qu’elle a toujours su quelque part qu’elle devait être en grande partie responsable de cette fuite. Si les tensions avaient habité la petite maisonnette jusque là, celle-ci ne faisait qu’augmenter. Son père désespéré d’avoir perdu ainsi l’amour de sa vie, commençait à fréquentée une dame dont on ne relève jamais, surtout si on se jette dans son sein avec des problèmes plein la tête. Mademoiselle Alcoolique était devenue sa nouvelle compagne.

Peut-être que la petite fille n’aurait pas pu accepter cette existence de coup et d’insulte quotidienne quand son père avant un verre dans le nez, ce qui arrivait souvent, si elle n’avait pas rencontrer un garçon de 3 ans son aîné. Ils habitaient la même rue, elle passait pratiquement tous son temps avec lui, elle aurait pu le passé avec n’importe qui d’autre à l’époque, du moment que cela lui permettait de ne pas rentrer chez elle.
Elle ne pouvait pas réellement dire vers 6 ans que Oyama était vraiment son ami mais il était tous de même une présence réconfortante pour elle. Il ne posait jamais des questions sur ses diverses bandages ou pansement qu’elle avait sur le visage, les mains, les bras, bref toutes partie de son corps a percevable, contrairement aux autres enfants qui ne tarissait pas de questions à ce sujet.

La vie continuait ainsi avec son lot de peine et quelques moment de joie avec son seul ami. Tous deux ne parlaient jamais beaucoup, il se contentait juste d’être là l’un pour l’autre. Fidèle au rendez-vous qu’ils se fixaient quotidiennement. Pourquoi avoir instauré un tel rituelle alors que le silence était leur seul dialogue ? Peut-être parce que parfois les mots dansent dans l’air on se dit plus en se taisant. Aucun des deux n’ignorait la cause des marques sur son corps, comme elle n’ignorait pas que la tension devait habiter la maison de Oyama, sinon pourquoi déjà enfant, il traînait dans la rue pour ne pas rentrer chez lui ? A présent, elle avait 10 ans, lui rentrait dans l’adolescence, il aurait très pu ne plus se rendre à leur endroit, ce n’était qu’une promesse d’enfant après tout mais il continuait pourtant à être là.

Bien sûr Hikari était pas un monstre continuellement, il lui arrivait d’être tendre avec sa fille, aimant mais rien d’interdit, mais le problème était que l’alcool le rendait très violent et qu’il buvait de plus en plus. Le faîte qu’il venait de perdre son travail y était en grande partie responsable. Ce jour là, il empestait particulièrement et la lueur de folie qu’elle percevait alors qu’elle rentrait de l’école, quelque chose l’avertissait que cette fois-ci sa crise serai particulièrement douloureuse. Il s’avançait vers elle avec une bouteille brisée, qu’il venait d’éclater contre le mur…elle savait que c’était sa faute, c’était toujours la coupable.

Elle s’était laissée tombée par terre, faire preuve de soumission l’apaisait parfois, elle fermait les yeux très fort prête à recevoir la slave de coup et de coupure mais au moment ou la main son père empoignait son bras pour la forcée à se relevée mais subitement celui-ci s’écroulait en un cri strident. Il roulait sur lui-même en se tenant le ventre puis le bras, la jambe ainsi de suite pour tous ses membres. Effrayer l’enfant n’osait plus bougée, elle ne savait ce qui se passait mais il était visible que son père se tordait de douleur. Pourquoi ? Elle l’ignorait. Elle s’approchait pour s’assurer qu’il allait bien, passez ses mains sur son front le calmait toujours après une crise mais elle avait à peine effleurer son géniteur que celui recommençait à hurler.
Zuka se collait automatiquement contre le mur, elle regardait ses mains horrifiées. Qu’est ce qu’elle venait de faire ? Elle avait déjà souhaité être assez forte pour rendre la monnaie de sa pièce à son père mais cela avait toujours été un vœu en l’air…elle ne l’avait jamais souhaité. Elle ne voulait pas être la cause souffrance physique de sa seule famille, alors qu’elle l’était déjà moralement. L’enfant éclatait en sanglot en contemplant ses mains comme si celle-ci était couverte de sang. Pour la première fois depuis sa rencontre avec Oyama Ogawa, elle ne se rendit pas à leur rendez-vous journalier. Elle était restée prostré prêt du mur de l’entrée sans osée faire le moindre geste ni même comprendre quoi que se soit. Elle avait beau s’enserrait elle-même qu’elle ne recevait aucun mal pourtant elle aurait tellement souhaité être foudroyée sur place.

Elle ne parla jamais à son meilleur ami du monstre qu’elle était devenue, son père n’avait plus porter la main après ce fameux jour. Il avait du aller à l’hôpital prêt d’une semaine, elle avait du rester chez ses voisins, gens qu’elle ne connaissait même pas. Beaucoup de rumeur avait lieu dans la rue, dont elle était fautive sur les souffrances de son père mais également d’un mal inconnu. Il avait fallu un an pour que tout le monde oublie cette histoire. Si avant cela elle était déjà écartée, elle se sentait plus seule que jamais. Elle s’étonnait chaque jour que l’adolescent qui avait partagé son enfance continue de se tenir à ses côtés. Peut-être étais-ce à cause de cela ou parce que c’était juste à ses côtés qu’elle était apaisée mais elle réalisa qu’elle aimait cet homme. Bien entendu au départ ce n’était qu’un amour d’enfant, après tout elle n’avait que 11 ans.

Le temps s’écoulait pour la jeune fille qui prenait-elle aussi le chemin de l’adolescence, même si elle essayait de se sortir de la tête son meilleur ami, c’était un exercice qu’elle ne parvenait pas à faire. Mis à part ce problème dans sa vie sentimentale, du côté familiale elle n’avait plus de soucis de se faire des coups mais elle souffrait de l’ignorance de son paternel, depuis qu’il était sorti de l’hôpital, il avait fait comme si elle n’existait pas…elle n’eut le choix de s’assumer seule puisqu’il ne préparait même plus ses repas ni ne lavait ses vêtements.
Quand elle fut en âge de sortir avec des garçons ceux-ci ressemblait tous étrangement à son voisin du bout de rue. Elle aurait pu tenter sa chance mais elle ne souhaitait pas souillé ainsi l’homme qu’elle voyait en lui, tous se qu’elle approchait se détruisait…il lui était strictement impossible d’imaginer pouvoir faire quelques chose qui pourrait le blessé. Elle fréquentait plus souvent Oyama puisqu’ils fréquentaient tous les deux le même lycée, à la différence qu’il était en Terminal et elle juste en seconde. Pourtant elle n’osait l’approchait plus qu’elle ne le faisait. Zuka eu la déception de remarquer que le nombre de ses petits amis augmentait tandis que ceux-ci ne faisaient que l’effleurer et cela malgré les nombreuses couches de vêtements qu’elle empilait. Petit à petit, elle devait se résignée qu’elle ne pourrait jamais avoir de vie amoureuse…Comment allait-elle faire alors qu’un amour était sans cesse plus important à mesure qu’elle recevait un rare sourire, de temps en temps d’Oyama, surtout quand elle se faisait plaquée mais bon c’était un sourire tout de même, tandis qu’elle n’avait plus personne sur qui le reporté. Elle ne lui avait toujours rien dit sur le pouvoir qui la rongeait, elle ne connaissait pas grand chose de lui mis a part ce qu’il lui avait raconté…et cela se résumait à pratiquement rien. Parfois…elle se demandait réellement s’il y avait un lien entre eux, après tout aussi parlant que soit le silence…l’absence de bruit était tous de même pas une vrai communication.

Ses vingt ans approchait, la majorité ainsi que la fin de ses études en secrétariat. Elle savait qu’Oyama avait de grand projet d’avenir, ainsi elle espérait lui être utile d’une manière ou d’une autre. Bien qu’elle ne lui ai pas encore formulé ce vœu, elle l’aurait peut-être fait si un jeune homme en tout point différent de son aimé ne s’était pas mis à lui faire la cours. Malgré toutes les rumeurs qui courraient ou même le nombre de fois qu’elle pouvait le repoussée. Elle se laissait séduire même si elle n’éprouvait pas de tendre sentiment pour lui, elle cédait une dernière fois mais une fois de plus le drame se reproduisait. A son grand étonnement celui-ci semblait plus ou moins bien résister à la douleur, redonnant espoir à la jeune femme. Quelques mois plus tard il s’éteignait, multiple blessure interne. Zuka savait que c’était strictement sa faute, emplie de rage et de colère envers elle même, elle avait mis le temps mais avait su d’où venait son pouvoir. Elle allait chercher le téléphone pour appeler les urgences une fois son geste achever, elle passait ensuite par la cuisine pour prendre un couteau à viande. Assise sur le sol, elle levait l’arme prête à l’abattre sur ses yeux. C’était eux la grande cause de sa malédiction, si elle devenait aveugle, elle ne pourrait plus faire de mal à personne. Elle était née gorgone, elle n’avait d’autre choix… Au moment où elle le couteau allait atteindre ses yeux, une main immobilisait son poignet. Elle pouvait entendre la crispation de la mâchoire de la personne qui venait de l’empêcher de nuire, la douleur une fois de plus.

- Ne fais pas ça Zuka, ton pouvoir pourrait mettre très utile un jour. Murmurait la voix grave qu’elle connaissait depuis l’enfance, cette voix qu’elle avait entendu muée, la seule voix qui lui torturait l’esprit jusque dans ses rêves.

La jeune femme relâchait ses doigt autour de son arme provisoire, même s’il elle maudirait tous les jours de faire mal aux autres, même si elle se détestait un peu plus à chacune de ses actions, elle ne pourrait jamais plus y mettre fin…juste parce Oyama en avait besoin. Elle attendrait dans son ombre comme elle l’avait toujours fait, elle patienterait jusqu’au moment où il lui ferait signe qu’elle pourrait enfin le servir, même si elle ne pourrait jamais lui avouer la passion qu’elle avait à son égard. Le faîte qu’il permette qu’elle reste à ses côtés était amplement suffisant puisque après tout, elle ne pourrait jamais le toucher.


Rêves :
Que la personne qu’elle aime soit heureuse, atteigne tous ses objectifs.


Qui se cache derrière l'écran?!



Prénom : Vivi
Age : C’est mis dans la date de naissance <.<
Comment avez vous connu le forum ôô ? : Par une amie !
Qu'en pensé vous ? : Il a l’air Bien sinon je m’inscrirai pas :p
code ? : [ Code Bon By La Femme En Sucre ÔÔ ]
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