Contact. [libre]

Devant la boutique, simplement, a regarder la vitre.

"En parlant de contact ... Je pense ... Que je vais m'acheter un portable."

Marya avait juste déposé le gamin avec les autres. Elle avait vu Mii, elle avait dit à Daiichi de la rejoindre. C'était le rôle de Mii, de garder un oeil sur lui.

"Je vais ... Essayer un jour de plus ... Avec vous tous."

Nous somme le 1er Juin, les cours sont terminés ...

Kenkei ... Kenrei ...
[Liens, relation ... Conections]

Programe d'aujourd'hui ; s'en achetter un, le personaliser, puis aller faire un tour dans le magasin de tissu pour continuer a faire un peu de courure à ses heures perdues ... Bref, c'est pas compliqué ... Mais tout d'abord ...

Marya soupir, puis pousse la porte.

-Ojamashimasu ...
-Irashaimasen.

Marya s'avance, se promène dans les rayonages métalisés présantant des portables, chaque model disposé avec élégance tel un bijou.

Ces portables ne captaient pas à l'exterieur. En fait, tout portable normal ne fonctionnerait pas de l'interieur de Takuetsu jusqu'au dehors. Une sorte de barrière empeche les ondes de sortir. Aussi le raiseau est limité à l'académie.

Mais c'est déjà pas mal, étant donnée la surface qu'occupe cette école ...

Marya s'avance vers un model en noir. Elle l'examine, puis recule d'un pas, observant l'objet de loin.

-Excusez-moi, vous voudriez de l'aide ?
- ... Je n'ai jamais utiliser ce genre de chose avant ... Je ne sais pas comment faire.

[qui veut apprendre à Marya comment on utilise un portable ?]

Décidément, on dit que l'humanité contrôle la technologie, mais en réalité, elle en est devenu dépendante

C'est ce que Kenshiro à apprit à ses dépend lorsque son téléphone portable s'est retrouvé en miette en faisant un magnifique plongeon du dernière étage du lycée. L'appareil est passé à la trappe sans même avoir la posibilité d'être réparé, paix à son âme au paradie des téléphones ayant longuement servit leurs propriétaires. Pour info, le téléphone de Kenshiro avait déjà plus de 4 ans, il était temps qu'il en change. Mais bon, il aurait aimé un changement moins brusque, et surtout sans coupure.

Il arrive donc dans le magasin spécialisé en vente d'appareil de télécommunication mobile (Je sais, j'aurai put faire beaucoup plus court, mais c'est fait exprès, et le terme réel est celui que je viens d'exposer) afin de trouver un téléphone capable de remplacer l'ancien, mais qui soit aussi accésible à son budget (Et oui, le porte-monnaie d'un lycéen ne pèse jamais bien lourd.) Entrant alors dans le magasin, il se dirige directement vers les premier téléphone qu'il apperçoit.

Marya#... Je n'ai jamais utiliser ce genre de chose avant ... Je ne sais pas comment faire.

La voix frappa les oreilles du maître du temps comme un fouet. Il se retourne vers l'endroit où la voix se trouve pour appercevoir la petit princesse opale parler avec une conseillère de vente. Le téléphone de travail de cette dernière se met à sonner, laissant la cliente blanche seul quelques instants. Kenshiro s'approche et lui adresse quelques mots alors qu'il se trouve encore dans son dos.

-Et bien, Marya. J'ignorais que tu ne savais pas utiliser un portable. Tu veux que je t'explique?

La voix du jeune lycéen n'était pas moqueur, mais assez neutre. Il s'étonne lui même d'aller la voir, car lors de leur dernière rencontre, la séparation à été un peu violente.

Et pam ! C'est parti !

-Aniiki ... ?

Elle se retourne, contemple d'un air pasif le lycéen. Encore une fois, elle se demanda ce qu'elle foutait ici ; cette academie avait l'air immense, mais vous tomber toujours sur les même types ...

-Saki wa gomen. [désolée pour l'autre fois] Odo-san m'avait mis les nerfs alors ...

Un demi-mensonge. C'était vrai, c'était bien Ogawa qui avait amener cette situation. Mais la formulation laissai penser qu'elle était juste aller le voir et était ressortie de mauvaise humeur. La réalité était differante ; et Marya, malgré qu'il lui ait lacher la laisse, n'vait pas abandonner l'idée qu'Ayumi et Kenshiro risqu'aient de se faire avoir un jour ou l'autre. Les séparer était un but qu'elle se fixait elle-même pour leur propre bien ...

Elle sonda légerement les yeux de Kenshiro ; il ne semblait pas avoir tant de rencoeur que Marya le pensait. Une vague de chaleur l'envahit, puis un sentiment de culpabilitée ; elle s'était déjà attacher à lui, elle avait déjà peur de lui faire du mal, déjà peur d'être rejetée. Pourtant, il le faudrait bien un jour ...

Marya ferma les yeux une fraction de seconde, remmettant en ordre sa tête, faisant le ménage, comme une défragementation informatique, puis les réouvrti presque immediatement, ayant mis en forme tout ce qu'elle devait faire. Jouer la comédie n'était pas le mot ; Marya jouait sans cesse la comédie, ne serait-ce que pour faire comprendre à quelqu'un qu'elle était ou non satisfaite. Elle était un visdage vide sur lequel elle devait mettre des masque pour comuniquer ; même avec Daiichi, elle devait juste sourir et laisser comprendre qu'elle était heureuse. N'est-ce pas ce que tout le monde fait ? Sauf que pour Marya, elle est obliger de se forcer, de s'en rendre compte. Les yeux san pupille fixère le jeune homme avec un air appaisé, sans sourire mais avec une certaine tranquilitée.

-Oui, j'aimerai que tu me dise. Merci.

Elle avait concsience que ce n'était pas vraiment vrai, que c'était assez fictif comme attitude ; elle ne pouvait pas vraiment direr que Kenshiro avait oublier ce qu'elle avait fait ; elle avait mentit, et il avait surment compris qu'elle lui ferrait du mal à l'avenir, surment compris dans quel camps elle se trouvait. Ayumpi aussi, elle devait avoir compris.

J'espère que vous ne tenterez pas de faire autrement ; je ne veux pas ouvrir de nouvelles blessures.

-Comment va Lovely-sempai ? Je crois qu'elle était blessée, non ? Elle va mieux ?

Je n'ai qu'a faire samblanc, faire comme sirien n'avait été dit ... Et tout ira bien. En douceur, sans qu'il ne s'en rendent compte. A la fin, il seront juste protéger d'eux même, d'Ogawa, et de moi.

Marya avait regardé Kenshiro sur un air un peu troublé. Peut être ne s'attendait-elle pas à ce qu'il lui adresse la parole aussi rapidement. Néanmoins, son premier reflexe fut de s'excuser pour ce qui s'est passé, annonçant le nom du directeur un peu comme la raison de son comportement. Kenshiro n'en demande pas plus, il sait bien que, dans Takuetsu, tout les murs ont des oreilles et des yeux pour le directeur. Marya remit son masque "anti-émotion" avant de demander un peu d'aide à Kenshiro, pour finir par demander des nouvelles d'Ayumi.

-Oui, concernant ses blessures, elle va bien mieux. Seulement, elle est comme moi, elle n'a pas encore digéré ta "tentative d'humour" avec les préservatifs.

Il est vrai qu'aujourd'hui, cette action pourrait passé pour quelque chose d'amusant à raconter d'ici quelques années. Seulement, sur le moment, ni Ken, ni Ayu, n'avait apprécié le "cadeau" de Marya envers eux lorsqu'elle les a rejoint à l'infirmerie. Même si la situation pouvait permettre un quiproquo envers n'importe qui, une simple remarque graveleuse aurait juste suffit. Enfin, cette histoire date un peu, et ce n'est plus vraiment d'actualité.

-Même si Ayumi est toujours furieuse concernant cette histoire

Bon, concernant les portables....Je ne sais pas par où commencer sans sembler te parler dans une langue extra-terrestre. Donc, je pense que pour quelqu'un comme toi, il te faut juste un portable simple, avec vraiment peu d'option. On va commencer par aller dans ce coin là.

Il emmène (gentiment) Marya dans une zone du magasin où les portables semble vraiment très simple, avec seulement 3 fonctions : Appel, Sms/Mms, et appareil photo.

-Avant que tu n'en choisise un, tu peux me dire quel mouche t'a piqué pour que tu décide d'en avoir? Parceque bon, avoir un portable, c'est bien, mais avoir des gens a appeler, c'est beaucoup mieux.

D'habitude, Kenshiro possède un peu plus de tact envers les filles, mais il semble faire quelques exeption envers Marya et Kaoru (Allez savoir pourquoi, d'ailleurs. >>) La jeune fille regarde Kenshiro avec un peu de colère dans le regard. Enfin, quelques chose qui fait penser à Kenshiro qu'elle est en colère envers lui. C'est pas facile avec son masque d'ivoir toujours incrusté sur la figure.

-Je plaisante. Enfin, dans un sens, il est vrai qu'un portable ne te servira à rien si tu ne possède pas de contact

-Baaaka. Atarimai decho.
[Iiiidiot. Evidemment]

Marya comtempla les model ; trois joli couleur, il n'y avait que le noir qui lui plaisait vraiment par ses formes. Bon, alors après, même si ça à l'air joli, si tu sait pas t'en servir ...

-Il y en a de plus en plus ... De plus en plus ...

De plus en plus d'étoile dans mon Ciel ... Ça me fait peur, et ne même temps, pour une raison que j'ignore ...

-Je ne comprends pas. C'est juste que j'agis de plus en plus spontanément. Je réfléchit de moins en moin, et je commanca à me dire que les autres, même quand ils sont innutils, sont important ... Et pas parcequ'il sont humains : parcequ'il ont une place en moi.

Elle tend le bras, ses doigt sont à quelques centimètre de l'apareil, sans pour autant l'attendre ...

-C'est idiot ... Ce que je ressents ... Comme une vague, qui me fait agir ... Comme par instinc ...

C'est ... un sentiment ... ouvert ... comme si au lieu d'être loiurde et epuisante, soudain la vie semblait être respirable ...

-Je ne comprends pas. Je sais juste que ...

Ce que tu ne comprends pas Marya ...

-Je veux rester en vie ... pour eux ...

... C'est que tout ces sentiments, tout ces liens ...

-Pour vous ...

.. T'aporte ce que les humains appellent "Bonheure".

[Post ultra-court, mais super important ... (trop court X/)]

La princesse opale aurait-elle enfin réussi à s'ouvrir aux autres?

Kenshiro écoute attentivement les paroles de la jeune fille qui lui fait face. Une fois qu'elle eu finit, le lycéen se demande qu'elle drogue elle à bien pus prendre avant de venir dans le magasin, car il ne comprenait absolument pas les paroles de Marya. Mais à force de se les répéter dans sa tête, il commence à comprendre le sens de ses mots. Un légers sourire se déssine sur le visage de Kenshiro, et décide enfin à répondre à ses mots.

-Tu as mis du temps à comprendre, mais on dirait que tu viens enfin d'ouvrir les yeux sur le sujet. Mais bon, rassure toi, même avec la meilleurs volonté du monde, on ne change pas du jour au lendemain. Et puis, l'amitié n'est jamais à sens unique. Même si tu fais des effort pour t'adapter aux autres, eux aussi devront faire cet effort envers toi.

Mais bon, on s'éloigne un peu du sujet premiers, c'est à dire te trouver un portable. Choisis le tien parmit ceux-là, pour bien commencer. Le temps que j'en prenne un également. Et oui, je suis un peu obligé d'en racheter un, le mien n'a pas du tout apprecier son saut en hauteur du toit du lycée.

Paix à son âme.

Kenshiro se dirige donc directement vers son rayon de téléphone afin de se prendre un portable un peu plus performant que son précédent outil de communication. Après avoir choisit un des derniers models en ventes, avec écran tactils, il se retourne vers son amie afin de voir ce qu'elle a choisit. Seulement, elle semble encore assez indécise sur le sujet.

-Heu....Tu as des questions concernant le choix de ton téléphone?

-...

Réponse claire ? Si je te donnais tout d'un coup, t'aurrai une tête à faire peur ... Marya avait aprécier que Kenshiro l'écoute, ça c'est sûr, mais elle doutait qu'il soit près à l'entendre lui demander en clair "C'est quoi exactement un portable ?" ... Bha, oui, quand vous avez été coupé du monde pendant 12 ans, sans appareils froncièrement élécrtonique en dehors des cuisines et des bureaux, vous sortez un epu de l'âge de pierre niveau technologie quand c'est pas un ordinateur ...

Raisonnement de Marya → Ceci est un mini ordinateur où je suis supposer entrer des données qui sont transmise à d'autre petits ordinateurs, voir les ordinateurs normaux (oui, au japon, les mails et les sms sont fusionnés) ... Mais qui vous dit que les même codes ont été utilisés ? Si ça se trouve, tout est mélanger là-dedans ! Et puis comment ont fait pour envoyer plus de 3000 kanjis differants avec si peu de touches ? Franchepment c'est pas super pratique tout ça ...

-...

Bon Marya, reveille-toi, je crois que le pauv' Ken il est largué parce que tu est muette et pas franchement compréhansible, car oui, Kenshiro Tokisei n'est pas devin, et ne peut pas lire dans les pensée ! Non non, sinon ça se saurait.

-...

Marya tend le bras vers un truc, et envoie ... Oi ! Marya ! Arrête ! Si t'envoie des ondes là-dedans, tu va tout dézinguer ! Oui je sais que ce sont que des ultra-son histoire de savoir ce qu'il y a à l'interieur mais si tu le fait pas bien tu va bouziller les circuits ! Oi ! Marya ! Tu m'écoute oui ? C'est vraiment toi qu'a des circuit fondu là !!!

-Ah, naruodo.
[ah, je comprends]

Marya arrête enfin le massacre ~~à la tronçonneuse~~ aux utras-sons, puis se tourne vers son ami :

-Je voudrait juste que tu m'expliques les touches ; je n'ai pas bien appris les kanjis phonétiques. Et je ne comprend pas commment ont peut écrire du japonais avec moins de 15 touches ...

[kanji simplifié qu'on utilise sur les portables et les ordinateurs pour simplifier l'écriture ; les ordinateurs les rassemblent pour donner les verritables kanji, chise dont les portables sont rarement capable]

Marya ne souriait pas, elle était vraiment concentrer sur ce qu'elle disait, mais ont pouvait simplement sentir autre chose ; le fait qu'il n'y ait pas cette froideur, cet aura glaciale qui l'entourait aupar avant ; même si il n'y avait pas encore de chaleur humaine, elle faisait déjà bien moins penser à un engin mécanique, bien moins penser à une adulte rembarée par la vie ...

C'était comme un enfant qui était en pleine aprentissage ...

Le silence dit bien plus long que des mots.

Kenshiro comprit, par le silence de Marya, qu'il avait vraiment tout à lui apprendre concernant l'utilisation d'un téléphone portable, de A à Z en passant par les lettres de l'alphabet greque. En gros, les prochaines heures allaient être très longues pour les deux jeunes gens. On peut pas vraiment dire que pour Kenshiro, car Marya doit aussi tout apprendre et tout comprendre sur le tas, ce qui n'est pas rien, ne serait-ce que pour les bases des sms. Déjà, ne pas savoir utiliser un téléphone portable de nos jours ne signifient que deux choses : soit vous êtes un Octogènaire dont les facultés cérébrales commence à flanché, soit vous vivez en ermite depuis votre naissance. Etant donné que Marya n'est ni l'une, ni l'autre, elle doit appartenir à un mix des deux, ce qui donne une jeune fille assez spécial qui se retrouve obligé de demandé de l'aide à son Aniiki préféré afin d'amélioré ses relations personnel avec une race étrange que l'on nomme habituellement "humain".

Kenshiro doit commencer à lui expliquer le Kanji phonétique, ce qui est loin d'être quelque chose de simple pour lui, car lui même avait énormément de mal à l'utiliser depuis qu'il est arrivé au Japon. Bien qu'il ne s'en sort pas trop mal, il se dit qu'expliquer cela à quelqu'un comme Marya revient presque à faire six fois le marathon de New-York à la suite.

-D'accord....En gros, j'ai du boulot pour te le faire comprendre. Je pense qu'on devrais d'abord acheter les portables avant de commencer autre chose, car l'expliquer simplement avec des mots, c'est très compliqué. Par contre, avant que l'on commence, je tiens à te le dire de suite. Si tu ne comprend pas quelques choses, tu me le dis de suite, que je n'ai pas à tout recommencer.

Les instrument de communication acheté, Kenshiro et Marya s'asseyèrent donc sur un banc à disposition des clients afin que le lycéen commence son cours spécial "Apprentissage pour l'adaptation à la vie social de Marya via les téléphones portables à la sauce Ken". Les explication complète des bases d'utilisation du Kanji Phonétique dura un bon moment, entrecoupé par des crises de nerfs avortés et quelques pensées de sucides morbides.

-Bon, voilà déjà, en gros, comment on utilise le Kanji phonétique. Tu as d'autre questions?

-Mmmh ... C'est idiot en fait ...

Oui, c'est le seul commantaire que t'as a faire chérie ? Parce que le nombre de fois où tu l'a coupée pour lui dire de tel truc, c'est pas mon dieu croyable --'

Effectivement, Marya n'était ni une mémère de plus de quatre-vingts ans, ni un ermite née ... Quoique. Sachant qu'elle à été éloigné de la technologie pandant 14 ans (ainsi que tout apprentissage exluant l'anglais, l'art de l'administration et les base des maths (c'est à dire 1, 2, 3 et 4 et l'addition et encore, la calculette avec) ainsi que les lettres litéraire, ce qui vous avourez est de très très très loins bien plus compliqué et barbant à lire que les petit singes ridicule sur les téléphonnes, mais totalement impossible de lui retirer de la tête maintenant ... En gros oui, hisoire, géographie, le verritable programme de maths de 4e ou bien les sciances physique ... c'est plus bas que le zéro absolu (c'est à dire -700 et quelques pour ceux qui ne connaitraient pas les mesures nationnale de la température <<')

Donc, à part un ordi standard et une calculette pour faire les comptes financier du clan et la répartition sosciale braucoup trop longue à expliquée maintenant, et bien non, Marya, en dehors de l'éléctro-ménager vital, n'a jamais vu de sa vie ; ou plutôt, ne l'avait jamais avant ses 12 ans, la première fois dattant de sa fuite avec Daiichi du commissaria où elle à croisé quelques boutiques numeriques avant de se rétamer chez les Yumemaru qui vivaient de la même manière qu'elle ... chez de qui elle à été vite virée au bout de 4 ou 5 jours ...

Après ça, on traine dans la rues (et pas les plus élairées) et vous vous doutter que la télé ou les ordis, c'est non ...

-Bon je crois comprendre ...

Heureusement pour toi, Kenshi, Marya est elle-même un ordinateur en ce qui concerne le décodage et l'asimilation, et comme t'es pas un trop mauvais prof, elle à fini par comprendre. \o/

Marya pris l'ustensile, tenta d'écrire quelque chose ... Elle trouva plutôt froid le métal noir, s'étona de sa propre chaleur.

En Dayo ...

-私は赤い月 ... 違い暁 ... {Watashi wa Akatsuky[akai tsuki] ... Chagawu, Akatsuki ...}
[Je suis ... Lune Rouge (vrai nom de Marya) Non, Aube ...]

Marya tentai de le retranscrire sur l'écran, arrivait sans mal à reconnaitre les signes et les sons associés. Marya elle tournait souvant la tête sur le côté, comme si c'était imcompréhansible ...

-Avec ça, les mots changent vraiment de sens ... Comme quand on parle ... C'est ennyeux ...

Mon nom ... Mon nom ...

-C'est le même ...

Watashino namae ...
[Mon nom]

Puis elle regarda son grand frère de coeur, avec un air d'enfant, pourtant toujours aussi inexpressif ...

-Envoie moi un message, que je le lise ; comme ça on verra si je comprends.

[Tu n'es pas obliger de comprendre ce que dit Marya à propos de son nom, étant donner qu'elle ne te l'a pas écrit en Kanji correct.
Fait envoyer le message que tu m'a envoyer dans ma boite mail]

Marya# "Bon je crois comprendre ..."

-Dieu soit loué, la grâce vient de la toucher. Si je devais lui expliquer encore le moindre passage, je pense que je me serais acheté un revolver pour en finir avec ce mal de crâne.

Kenshiro retire les quelques goutes de sueurs qui avait perlé sur son front dans l'attente d'une réponse de Marya. Heureusement, l'une des principales qualités est la patience, et elle à été mise à rude épreuve devant ce cas bien étrange qu'est Marya. A croire parfois qu'elle n'est pas née sur terre, mais qu'elle vient, comme la plupart des femmes, de Vénus, ou peut être bien d'un de ses satélites. Mais là n'est plus le sujet, vu que la séance d'explication est passée, il ne reste plus que la pratique.

Marya commence donc à écrire un message, sans réel destinataire, juste pour voir si elle pouvait l'écrire. Son mouvement de tête basculant sur le coté lui donne l'air d'être une poule qui vient de trouver un couteau d'argent (Expression française, que je ne traduirai pas la signification car ça ne se fait pas :p) avant de se tourner vers son Aniiki adoré (même si son visage montre toujours son inexpréssible neutralité.

Marya# "Envoie moi un message, que je le lise ; comme ça on verra si je comprends."

Kenshiro refléchit à un truc simple, mais efficace qui serait bien compréhensible pour la princesse opale. Soudainement, il se souvient de la dernière phrase qu'il a envoyé à Marya via les boites mails, et une petit sourire moqueur s'agrandit sur son visage. Il écrit alors le message rapidement et de manière que Marya ne voit pas le moindre mot avant de le recevoir.

-Envoyé. Attends quelques secondes.....

Un bip sonore se fait entendre, Marya voit le petit symbole mais ne comprend pas comment on fait pour ouvrir le message.

-POur ouvrir un message que l'on t'a envoyé, tu appuie sur la touche "Ok". Si tu n'as pas le temps de le lire, ou si tu ne peux pas le lire de suite, tu appuie sur le bouton rouge "Racrocher", tu pouras par la suite lire le message dans ta boite au lettre dans le menu un peu plus tard. La petite enveloppe en haut à droite indique que tu as du courrier non-lu.

Maintenant, essaye de l'ouvrir, pour voir.

Marya suit les instruction de son instituteur ... Et découvre un message qu'elle avait déjà lu quelquepart ... en language compréansible. En effet, la dernière fois qu'elle avait pianotter sur un ordinateur dans un des cybercafé avec son adresse mail, son grand frère lui avait envoyer en kanji corect ce message ... mais là, il était plus copliquer de comprendrer ce charabia ... Enfin, elle l'avait enregistrer maintenant, c'était pas difficile.

-Je veux bien moi mais ...

Elle pointa du doigt le petit signe : un "P" anglais précédé deux deux points verticaux.

-Korete nani ?
[c'est quoi ça]

"Mais rassure toi, je t'en veux encore pour les preservatifs :p"

Ah, oui, va falloir que tu lui dise ce que c'est qu'un smiley <<"

Marya, tête d'enfant qui comprend pas, penche encore la tête comme un chiot ; manque pluqs les les oreilles rabattues et réaussées pour vous faire les petit canider de compagnie écoutant son jeune maitre de 10 ans qui se plaint de l'existance et hait la vie parce que son meilleur copin lui à piquer son croissant pendant la colo ... Il y a même le colier pour vous dire ! Ah ? C'est hors sujet ? Bon ok ...

Même si son visage restait peu expresif, je peux vous dire une chose qui risque de vous faire rire ; Marya était ... Mignone là ...

Kenshiro se demande s'il doit éclater de rire....ou s'il doit être complétement dépité par ce qu'il vient d'entendre.

En faîte, il s'attendait qu'elle fasse une remarque concernant le contenue du message, a sa manière. Bon, elle a bien fait une remarque, mais pas celui que Kenshiro avait pensé. Elle lui demande simplement ce que signifie le petit symbole qu'il a mit à la fin du message. Grosomodo, elle ignore complétement ce qu'est un smiley. Les bras lui en tombe, il avait décidé de ne pas lui en parler parcequ'elle utilisait un peu l'informatique et que les smiley sont l'une des choses que l'on apprend en premier, mais là...Il se dit qu'il doit vraiment tout lui apprendre?

-Non, j'ai beau retourné le problème dans tous les sens, j'arrive toujours à la même conclusion. Elle n'est pas née sur terre, et je suis même certain qu'elle ne vient pas de Venus. J'ai trouvé, elle vient de Tatooin. Que la force soit avec moi pour suvivre à cette épreuve [HRP]Désolé, j'ai pas pus m'en empêcher ^^""

Bon, je vois que le travail n'est toujours pas finis, et heureusement que j'ai pas de rendez vous actuellement. Au moins, ce détail n'est pas bien compliqué à comprendre, et je pense que tu t'en sortira, jeune padawan.

Bon, les deux point et le "P" ensemble forme une écriture symbolique que l'on nomme un "Smiley". En gros, tu montre ton humeur à la personne à qui tu envoie ton message. Les plus basique sont : "", "", ":p", etc, mais d'autre sont un peu plus compliqué et je pense que l'on va éviter de les montrer pour l'instant. Pour celui que je t'ai envoyé, on peut dire qu'il est un peu moqueur

En même temps qu'il lui explique ses exemples, il prend son portable et note les smileys basique tout en tournant le téléphone de 90° pour lui montrer qu'il ressemble à un visage humain mis de coté. Il dû néanmoins remettre la tête de maria à l'angle zero lorsqu'elle décide d'incliner ce dernier dans le même sens du portable

-Mmmh ... En dayo ... Ah, Kawaï da !

Ah oui, Marya soius le charme du petit monde en couleurs des smileys ... Même si c'était pas grand chose, il y avait déjà plus d'intonation dans sa voix normalement si monochrome ... Marya était differante, et pourant on la reconnaissait bien ; il n'y avait plus de masque, juste une gamine qui tentait de laisser passer ses sentiment à travers un mur qui l'empêcahait de ressentir un reelle émerveillement. Quelque chose s'ouvrait.

-Donc, si t'as pas de rendez-vous ... Si tu m'en veux pour les capottes ... ça veut dire que toi et Ayu, vous l'avez pas fait ? T'es encore puceau ?

Et SBAM ! Fallait qu'elle tombe celle-là, et elle n'a même pas chancher de ton tien ! Toujours calme, ~~mignonne~~ et détendue, comme si elle parlait du chat du voisin qui avait maigris ...

Et que je tourne la têt ed'un côté de l'autre, et que je dise "Oh, c'est pas ça ? Si ? C'est cette tête que tu me fait là grand frère ?" Conversation télépatique, avec un petit air innocent genre "je ne sais pas ce que je raconte" ...

Oui c'est, fait l'innocente ...

Tranchant et direct, comme un couteau.

La phrase de Marya eu autant d'effet sur Kenshiro que si elle l'avait transpercée au ventre avec un katana et qu'elle s'amusait à bien le remuer dans la plaie pour agrandir le trou. Ce n'est pas le fait qu'elle le dise qui l'a "choqué", mais plus la manière de le dire. Elle l'avait dit sans méchanceté, ni géne dans la voix. Elle avait dit ça comme si elle venait simplement de dire "Bonjour". Son visage aussi expréssif qu'un masque de porcelaine lui donne l'air complétement innocente de ses parôles, comme si ce n'était pas elle qui les avait sorties mais une autre entité maléfique qui prend posséssion de son corps pour s'amuser avec des pauvres mortel.

-Non, Kenshiro, ne bouge surtout pas. On ne l'étrangle pas, on ne la tue pas, on ne la frappe pas, on ne la décapite pas, on ne la coupe pas en rondelle avec un hachoir à viande, on ne lui enfonce pas des aiguilles sous les ongles, on ne lui arrache pas les yeux avec une cuillère à soupe, on ne l'assassine pas avec une fourchette en promotion, et on ne l'insulte pas de tout les nom qui existe sur terre ou dans n'importe quel langue connue et inconnue du grand public. On reste calme, et on espère que personne n'a entendu la phrase qu'elle vient de prononcer

Tout en essayant d'éviter de faire toutes les idées morbides qu'il pense à grande vitesse, Kenshiro garde son self-contrôle et essaye de trouver une parade non cinglante à lui répondre. Il faudrait aps non-plus entrer dans son jeu, car la connaissant bien, il sait que la discution risque de durée un bon moment, et ce n'est ni le lieu, ni le moment pour ce genre de réglement de compte.

-Ce genre de détail ne te regarde absolument pas, ma chère. Et puis, je pensais t'avoir expliqué que ce qui s'est passé dans l'infirmerie était un simple accident. Certe, la position dans laquelle on se trouvait aurait put difficilement être fait par accident et elle porte facilement à confusion pour n'importe qui. Mais toi, tu enfonce bien en nous balançant les préservatif en plein visage. Tu aurais put être un minimum plus délicate, mais c'est malheureusement quelque chose qui te fait également défaut.

-Delicate ?

Non, Marya ne change pas de ton, ne prend pas dair moqueur ; effectivement, le sujet semble pour elle aussi anodin qu'un autre, et crois moi Kenshiro Tokisei, tu vas soufrir.

-Je sais comment on l'écrit, en anglais aussi.

Marya fait le symbol en l'air, le plus complèxe que vous devirez connêtre : 繊細 avec l'index, puis ...

-デリケート [derikeeto] ... Ata [c'est ça] Sur le telephone portable, suivit de Delicate. Tu vois que je connais.

En lettre romaine ... Oui bon j'avoue là, elle le fait un peu exprès ... Puis elle reprend sans une once de moquerie :

-Je ne pensait pas spécialement à ce moment là ; tu aurais très bien pu le faire après, et dans ce cas tu ne m'aurais pas rabacher le fait que cette blague était stupide histoire que j'oubli un peu, Baka-Aniiki.
[imbecile de frère]

Oui, Marya en mode "je vous jure que je ne dis QUE la verité" ON, Kenshi, t'es pris au piège.

-Donc, vous l'avez pas fait ; et si ça te gèen autant, t'es forcément puceau.

Puis, tout en consultant la liste de smiley enregistré sur son téléphonne, elle réploique sans un geste sarcastique :

-Même-moi qui est vierge, je ne suis pas si accros sur ça ... C'est pas illégale le sexe à ce que je saches ...

Marya tait-toi avant que quelqu'un entende je t'en suplie >.<

-C'est qu'elle se fiche de moi en plus, l'éffrontée.

Kenshiro eu un rire moqueur en la voyant rétorquer ces remarque et ses phrases. Sa manière de faire et de dire était amusante, mais sans plus. On la croirait presque innocente si on ne la connaissait pas comme elle est. C'est une véritable poupée de porcelaine qui essaye de comprendre le monde qui l'entoure et qui demande juste à devenir vivante (Bref, une Pinochio Japonaise en porcelaine). Kenshiro regarde furtivement autour de lui pour voir s'il n'y avait pas trop de personne qui les avait entendu ou qui serait succeptible de les entendre parler. Heureusement, il y avait du monde, et ce monde était trop occupé avec leurs propres soucsis pour s'occuper de deux jeunes personne qui parle de relation charnelle et de vertue.

-Certe, tu connais le mot et tu sais l'écrire, mais en comprends-tu seulement le sens? Il ne s'agit pas de connaitre le mot, il faut le ressentir. Et vu comment tu me sors tes remarques, tu es à des années lumières de vraiment comprendre le sens du mot délicatesse. Prenons par exemple la phrase que tu as sortie il y a peu. Tu l'aurais dis mot pour mot la phrase à une autre personne avec les mêmes intonnation et le même visage, je dirais qu'il y en a au moins 80% qui t'auraient gifflés pour l'avoir dit. Tu peux exprimer ton point de vue, mais réfléchit déjà sur la manière de dire, afin d'éviter de blesser moralement la personne.

Et puis, tu insinue que je suis encore vierge parceque je ne l'ai pas fait avec.....avec Ayu. Mais qui te dis que je ne l'ai pas fait avant avec une autre fille? Je suis dans l'établissement depuis même pas un an, j'ai très bien put sortir avec quelqu'un d'autre et le faire, et ça tu ne peux pas prouver le contraire. Bon, je peux pas le prouver également, et je n'ai nullement l'intention de prouver quoi que ce soit, surtout si c'est toi qui écoute

Et pour finir, la seul chose qui me gène vraiment pour que je me sois braqué quand tu as posée la question, c'est ton intonnation qui en est la cause. Tu aurai bien put me donner un coup de pied dans l'entre-jambe que tu aurai eu le même résultat.

Ne pense même pas essayer de le faire pour comparer

-... Dommage.

C'est qu'elle y pensait en plus --'

Marya écouta bien le discourt de son grand frère, calmement, et tout ce qu'elle avait trouver à dire, c'était un "dommage" --de ne pas pouvoir essayer-- franchement mal placé dans une discutions sérieuses qui devait lui apprendre a avoir plus de tact ...

Puis son regard se perdit dans le vide, une froideur étrange l'envahis soudain.

-S'ils y tiennent, ils peuvent. Mais ce n'est pas un crime, c'est naturel. Ce sont juste les circonstances qui peuvent rendre cela méprisable. Engendrer est une action qui existe et qui doit exister ; il est inutile de tenter de s'en défaire.

Sa voix était redevenue plus monocorde, morne, morte. Froide. Une information numérique, comme sortie dune mémoire, d'un dictionnaire. Tout sauf "humain".

-C'est simplement ... Qu'on est fait pour ça.

Sinon pourquoi vivre ...

Marya ferma les yeux, rangea son téléphone, mit les jambes sur le banc et repris figure humaine, plus chaleureuse, et plus mélancolique surtout.

-Quand j'étais gamine ... J'entendais tout ce qui se passait dans la maisonnée ; tout le quartier familiale. Surtout la nuit. Avant, je ne comprenait pas ce que c'était ; Mes cousins, mes oncles, mes tentes ... Tous, je les avais entendus, au moins une fois. Je ne comprenais pas, je savais juste que ceux dont j'avais entendue la voix la nuit revenait différent la matin ; les femmes, les cousines, s'enfermait plus, ou restaient avec les autres filles uniquement, et les hommes se pavanaient fièrement, certain de mes oncles avaient un air plus cruel. C'était le pouvoir et le plaisir qu'ils avaient eu la nuit. Le plaisir et la souffrance qu'elles avaient eu.

Elle réouvrit les yeux, ceux-ci était un peu embués ; par le souvenir, par le flou d'une mémoire d'enfant... Puis, comme toujours, elle soupira.

-Ce n'est qu'après le génocide que j'ai réellement compris ; j'étais dans la rue, avec Daiichi, et toute la nuit, ou non abritée par quelqu'un, le mur d'à côté était celui d'une maison close, la remise d'un bar, la chambre d'un homme qui s'est prise une fille pour un soir. J'avais douze ans. Pour la première fois, je comprenais pourquoi le sexe étais la hantise des bonnes mère de mon clan.

C'est ainsi que j'ai fait ma propre thèse, ma propre vision de la chose ; une chose pure que les hommes ont salie, que les femmes ont laissée se salir.

Puis elle leva la main, pinça du bout des doigts la veste de Kenshiro. S'empêcher de trembler, s'emecher de craquer ...

-Aniiki ...

Parmi les pêchers que Dieu ne pourra pas toujours nous pardonner ...

-Tu pense que ...

Il y a tout ce qui est égoïste.

-Ayumi-sempai ... Ou moi ...

Le plaisir par la luxure, le meurtre ... Celui qui fait souffrir l'autre pour notre propre bonheur. Mais quand deux personnes s'aiment et se donnent, qu'elle donnent la vie, pourquoi les punis-t-on de notre regard ?

-On pourras être mère un jour ?

Kenshiro écouta en silence la réaction de Marya, qui semblait un peu plus sombre qu'avant lorsqu'elle parla de son passé. D'ailleurs, c'était bien la première fois qu'elle parlait de sa famille face à Kenshiro, il savait juste qu'elle avait perdu tout son clan suite à un massacre, mais elle n'avait jamais évoqué sa vie avant ce massacre, et Kenshiro ne le lui avait jamais demandé, de peur de la mettre en colère. Enfin, à la façon de Marya quoi. Mais il fut un peu choqué d'apprendre de quelle manière elle avait comprit ce qu'était le sexe, et le lycéen se dit que cette manière est l'une des pires, sans vraiment être la pire de toute. Il se sentait gêné de tout cela, ne savant pas quoi ajouté.

Soudain, la main de Marya se mit sur sa veste, la pinçant du bout de ses doigts, comme une enfant perdu qui venait de trouver une personne qu'elle connaissait et qui demandait son chemin à travers des rues qu'elle ne connaissait pas. Kenshiro attendait de savoir ce qu'elle désirai lui parler et se tut, ne voulant pas la bloquer ou quoi que ce soit. Elle semblait....triste au regard de Kenshiro. Malgré son masque neutre qu'elle porte sur le visage, Kenshiro la ressentait complétement triste. Mais connaissant la belle, il s'attend à en entendre des vertes et des pas mures.

Marya# Aniiki...Tu pense que ...Ayumi-sempai ... Ou moi ...On pourras être mère un jour ?

-C'est décidé. Ma futur carrière sera psychiatre pour adolescent et pré-ados. J'ai l'impression de faire que ça ici.

Ce n'est pas à moi d'y répondre, ma belle. Je ne parle pas du côté "naturelle" mais "mental" que vous avez toutes les deux. Ayumi...disons que ce n'est pas vraiment le moment de lui parler de ça. Evite de demander pourqoi, je ne désire pas repondre à la question.

Et pour ce qui te concerne, n'est tu pas déjà une mère pour Daiichi? Bon, il est clair que vous n'avez pas de lien de sang, mais ce genre de chose n'a aucune importance dans votre cas.

Quand à ce que tu as vu cette nuit là dans la maison close...sache que ce n'est pas celà l'amour. Ce n'est qu'une facette, la plus crade certe, mais elle n'est pas la principale, loin de là. Faire l'amour, c'est le faire avec une personne dont on a des sentiments reciproque, et réel. Faire l'acte sans sentiment, ce n'est pas de l'amour, c'est autre chose qui n'a absolument rien à voir.

Le problème avec toi, c'est que tu vois et comprend certaine chose d'une manière un peu froide. Certe, avec ce que tu as vecue, on ne peut pas faire autrement. Mais pour ce qui est de devenir mère un jour...je pense que oui...mais d'ici quelques années, lorsque vous aurez déjà évolué mentalement.

Et aussi quand vous aurez guérie vos blessures.

Kenshiro se rend compte alors que, d'un simple achat de téléphone, il est passé à un discourt philosophique sur l'amour.

Une mère ... Pour Daiichi ? Alors vous aussi vous le voyez comme ça ?

-Si je suis une mère pour Daiichi ... Il va pleurer lorsque que je vais mourir.

KANAHKO !

-Je ne veux pas qu'il sois lié à moi ... Comme si je suis avait donnée vie ... Je ne epux pas concevoir cela. C'est déjà suffisemment dur d'être considérée comme un membre de sa famille, comme une soeur ...

Onii-san ! Ikenai de !

-Alors je ne conçois pas le laisser ... Me voir comme une mère.

Kanahkao !

Sur ces mots, elle se releva, pris son grand frère par la main et le traina dans la rue tout en parlant.

-Si un jour je devien maman, j'aimerai que ce soit lorsque je serai suffisement forte pour vivre moi-même.

Elle s'arrête brutalement devant un magasin de peinture, sort son porte-monaie bien saigné par l'achat du Ketai.

-Ça me fait peur ... Parce si je suis mère, je serai obliger de vivre le plus longtmps possible. Vivre pour toujours ...

Zutto ... Zutto ikite ...
[Toujours, toujours vivre]

-Et ça, ça me fait vraiment peur, d'envisager un avenir où je serai obliger de vivre.

Elle lève la tête vers le ciel, et de sa voix monocorde fait sortir un long soupire et de longue note à chaque syllabe :

-Sore wa Iaaa dane.
[Je n'en ai pas envie]

Je veux bien profiter du présant, mais je ne veux pas r'avenir ; j'ai trop peur de soufrir encore. Et je veux plus que tout m'arrêter, ne plus m'épuiser. M'épuiser en vain.

Elle rentre rapidement en faisant signe à Kenshiro d'attendrer, ressort quelques minutes plus tard avec une petite malette de peinture. Elle lui fait signe de la suivre et va s'assoir sur un autre banc. Elle ouvre la malette, sort son Ketai noir, commance à peindre dessus.

-Il faudrait vraiment que je sois plus mature que je le suis maintenant. Ce serai assez étrange ...

Elle avait comme une vois dce petite fille, une voix de gamine, pourant toujours aussi peux expressive. Et elle continuait de peindre ; un peu de bleu, un peu de blanc, beaucoup de blanc ...

-Et toi, Aniiki ? Tu aimerai ça d'être Papa ? Hormis Ayumi j'entends, si tu pouvais l'être ... ?

Parfois, Kenshiro se demande si la jeune fille en face de lui ne serait pas un peu (énormement) sucidaire sur les bords, à parler un peu trop facilement de la vie et de la mort comme cela. Kenshiro trouve cela un peu...effrayant, ce qui ajoute un côté maccabre, mais également plus immature à la jeune Akatsuki. Elle avoua un peu sa peur de vivre, mais avoua également qu'elle devait encore grandire mentalement parlant avant de pouvoir devenir mère à son tour. Enfin, Kenshiro se dit aussi qu'elle ferait bien de grandire également physiquement, ça ne serait franchement pas du luxe. Mais il pense qu'elle devrait déjà commencer par le début et dans le bon sens, c'est à dire trouver quelqu'un avec qui elle se sentira bien, autant physiquement que mentalement. Mais bon, ce genre d'oiseau est assez rare, surtout pour une fille comme Marya.

Kenshiro pose sa mains sur la tête de Marya, la cajolant un peu sur ses paroles avant de continuer la conversation.

-C'est ça ton problème, c'est que tu reflechis souvent trop intensement pour un sujet qui ne demande parfois qu'une pensée banal. On ne peut t'obliger pour ce genre de chose. Et puis, tu as encore beaucoup de temps devant toi avant de penser sérieusement à avoir un môme. Sérieux, j'étais venue pour me prendre un téléphone, et me voilà à discuter avec toi de naissance

Marya entra dans un lieu, et en ressort quelques minute après avec une valise de peinture. Ils partent alors vers un autre banc, où Marya lui demande si lui désirerai avoir des enfants, en prescisant qu'elle ne parle pas d'en avoir avec Ayumi, mais bien, dans le futur, d'avoir des enfant à lui. Le lycéen reflechit quelques secondes avant de répondre à la princesse opale qui semble dessiner quelque chose du bout de son pinceau.

-Moi? Oui, j'aimerai bien en avoir, mais pas tout de suite, naturellement. Comme toi, je pense que je dois encore grandir un peu avant de me sentir capable d'en élever correctement. De plus, il ne faut pas oublier que, comme nous, ils auront des facultés particulières, et connaissant l'animal que je suis, je serais bien capable de faire l'idiot avec eux. Mais bon, ce n'est pas vraiment un des choses que je ferrais avant au moins.....hum.....disons les 10 prochaines années.

- Mmmh ... Nijui-nana sai ...
[27 ans]

Marya relevait la tête de manière enfantine en réfléchisant, cette fois elle ressemblait vraiment à une enfant. Si elle n'avait pas fait un metre soixente-dix, on l'aurait bien prise pour une gamine de dix ans. Même si son visage n'était toujours pas aussi expressif que lorsqu'elle avait vraiment dix ans.

-Nijusai-nana no odo-san. ii dja.
[un Père de 27 ans. C'est bien]

Elle contina tranquilement de peindre sur la face arrière de son Ketai, puis continua de parler.

-Dis, si je suis toujours là dans dix ans, tu me le montrera ? Aka-chan. [le bébé]

Un petit sourire calme, paisible. Un sourire qui n'était pas joué, réelle. Ça faisait longtemps qu'il n'y en avait pas eu tant. décidément, entrer dans cette école n'était pas une mauvaise idée. Daiichi devait être aussi si ce n'est plus heureux qu'elle en ce moment. De toute façon lui, il y a un meutre juste devant il est heureux quand même alors =='

-Mieru Oshi, mina no kodomo.
[je veux les voir, les enfants de tout le monde]

Une ligne blanche, une touche de bleu ... un peu de rouge pour faire violacé.

-Haruna no ... Sempai no ... Koro to Kawashima-sempai no.
[no → sous entendu le sien/leur enfant]

Puis une tache de blanc pure.

-J'aurai l'impression d'avoir de nouveau une famille.

Une plus petite famille que celle que j'ai perdu, mais une famille où je serai prohe de chacun. Une famille que cette fois, j'aurai la force de proteger.

Marya oche la tête deux fois, et sourit :

-Oui, une petite famille de mafieux dont je serai la maraine. Plutôt cool.

J'aurait tout le temps de pleurer la nuit les cent soixente-treize Akatsky la nuit. Je pleurerai moins, car même si je n'ai pas fait mon deuil, Aniki m'a aider à me sentir mieux. Et puis, avec une famille comme ça, je pourait peut-être faire mon deuil et me relever. Recommancer à vivre.

-Tu vois, dans ces moment là, je me demande pourquoi je veux tant les rejoindre ... Les Akatsuky.

Un peu de gris, en plein sur la neige ...

-Même si ça me fait mal, j'ai envie de continuer ... Parce que je sens que vous me tenez tous par la main.

Kenshiro regarde alors la jeune Marya réagir à ses parôles. Elle lui dit qu'elle trouve ça bien d'être père à 27 ans, mais pour Kenshiro, il trouve que c'est plutôt dans le bon âge. Il trouve cela effrayant de voir des adolescents déjà parents avant même d'avoir atteind la majorité. Bon, il fait peut être un peu vieux jeu, mais il trouve déjà cela beaucoup plus correct que les moeurs d'aujourd'hui, beaucoup plus laxistes qu'il y a trente ans. Marya semble un peu comme possèdée alors qu'elle continuait à peindre sur sa feuille blanche. Elle demande s'il lui montrera son enfant lorsqu'il sera né.

-J'y compte bien, frangine. Hors de question que tu ne sois pas présent lorsque mon enfant viendra au monde. Bon, certes, ça ne sera pas pour demain, mais au moins, tu auras une bonne raison d'attendre.

Elle lui annonce qu'elle aimerait voir tout les enfants de ses autres amis, qu'elle nomme sans aucun problème. Elle trouve qu'ils forment une famille, ce qui fait très plaisir au lycéen, même si elle n'avait pas besoin de rajouter le terme "Mafieux" à la fin. Elle parle ensuite de son désire de retourner auprès des siens, mais qu'elle à envie de continuer à vivre. Kenshiro s'approche de Marya, lui posant une main chaleureuse sur l'épaule.

-Premièrement, je doute qu'ils aient envie que tu les rejoigne aussi rapidement. Pour ma part, malgré tes origines mafieuses, je trouve que tu es beaucoup trop jeune pour te permettre d'aller rejoindre saint Pierre là haut. Je conçois parfaitement que tu ai envie de rejoindre ta famille, de te sentir auprès d'eux à nouveau, mais n'oublis pas que tu as encore beaucoup de chose à faire en ce bas monde. des choses à voir, à découvivre, à expérimenter. La vie est un cadeau que l'on doit user jusqu'au bout pour éviter de le gacher.

Deuxièmement, je suis assez d'accord avec toi sur le fait que nous formons une famille. Enfin, la dernière fois que j'ai sortis cela, Kaoru s'est carrement moqué de moi...à moins qu'elle ne m'a criée dessus, je ne m'en souviens plus trop. Enfin bref.On ne pourra jamais remplacer totalement ta véritable famille, mais nous serons néanmoins toujours présent pour toi et Daiichi, mais aussi pour tout les autres qui auront besoin d'aide

Intrigué par le dessin, Kenshiro le regarde, se demandant de quoi il peut bien s'agir. Oui, lui et l'art, ça fait deux.

-C'est quoi ce truc? Un canard sur un micro-onde???

-Ma famille ne provient pas de la mafia, baka. Tu me prends pour une Yakuza ou quoi ?

En même temps même les voisin pensait que c'en était alors ... Ça ne changeait pas grand chose ...

Il n'y avait pas grand chose à dire, effectivement : Il avait bien raison en tout point, à chaque fois qu'il ouvrait la bouche, il disait toujours quelque chose d'adulte ... Parfois utopiste, mais effectivement, personne ne pouvait vraiment nier.

Et c'est cet homme quej'ai choisis pour devenir mon frère.

Jamais il ne remplaceront ce que j'ai perdue. On ne remploace pas son frère, sa mère, ses cousins comme ça. Et effectivement, même si il lui ressemblait vraiment, Kenshiro ne serait jamais "Onii-san". Juste aniiki. Jamais Oniisan.

Parce que le seul à avoir été Oniisan, c'était Akatsuky Saïto.

Les liens du sang importe peu. J'avaencerai ; je resterai en vie ; pour voir cette famille, pour voir ces enfants. Et je ferrait en sorte d'exister pleinement.

-Je les aiderai ... Si j'ai envie

Toujours cette voix calme, voir molle, annimée par un certain air de plaisenterie. Toujours ce sourire simple affiché, toujours ces yeux qui semble ne regarder nulle part : La voilà, Marya heureuse : Marya capable de se dire qu'elle est en vie et pour longtemps. Capable d'aprécier le fait d'être en vie.

Marya, à 14 ans, qui se raproche de ce qu'elle était à 10 ans : quelqu'un de désagréable, orgeuilleux, insuportable et exécrable mais vivant.

C'est à ce moment que Marya entendit Kenshiro s'approcher pour regarder vers son piètre travail (bon, grâces aux calculs et aux mesures précises, c'était assez reconnaissable, certains aurait dit "bien désiné"). Mais Marya n'était pas fière de ce travail. Elle avait choisis un paysage glacial pour ne pas faire ressentir le manque de sentiment de l'oeuvre. Elle autrrait fait une île tropicale, on aurait tout de suite sentie quequelque chose manquait. Or ici, il n'y avait aucune chaleur à donner. C'était froid ... Et réaliste.

[HRP/ Canard sur un micro-onde ?? XD]

Marya pausa le pinceau et soufla un peu dessus, puis le tourna du côté du grand frère.

-C'est un peu moins impersonel maintenant.

Oui, plus je suis ici ... Plus ... Haru, vraiment ... Vivre, j'aime ça.

-À moins que ce soit peut être une oie...

Cherchant toujours ce que Marya essayait de representer sur son kétai, Kenshiro comprenait néanmoins ce que cherchait à faire Marya sur ce dernier, le rendre bien différent des autres à sa manière, y mettre un peu d'elle dessus. Ce fut lorsqu'elle avait finit que Kenshiro put un peu mieux apprecier le rendu et remarque enfin qu'il ne s'agit rien de plus qu'un loup sur une colline et train (surement) d'hurler sa solitude à la lune qui est sa seul compagne. Il voit également Marya, même si elle lui dit que c'est déjà moins impersonnel, un peu déçut de son oeuvre. Et pourtant, pour Kenshiro, il trouva la scéne très appropriée au caractère de Marya.

-C'est clair, c'est déjà bien mieux que les autocollants qu'il nous font payer une fortune et que tu as une chance sur 10 qu'un autre gars possède le même. Dommage que la peinture s'efface de temps à autre, mais je trouve, même si ce n'est pas extraordinaire, que c'est bien réussi. Je trouve même une ressemblance entre ton loup...

A moins...que ce soit un chien....enfin peu importe, j'ai le bénéfice du doute.

...Entre ton loup et toi. Aussi blanc et pur Bon ça, ça reste encore à prouver que la neige, seul en compagnie de la lune dans un milieu froid, et qui semble, malgré les apparences, chercher de la compagnie auprès des autres. Oui...aucun doute, c'est exactement toi, lorsque l'on s'est rencontré la première fois, cette froide nuit de noël.

Oui, maintenant il s'en souvient, mais ce n'était pas le cas avant. Marya lui avait, il ne sait comment, bloqué la mémoire, et ne se souvenait absolument pas de leurs rencontre, et encore moins de ce qui s'est passé cette nuit là. Mais lorsqu'ils se sont rencontré de nouveau, en compagnie d'Ayumi, la mémoire lui est revenu.

-Et cette fois là, Marya avait encore parlée sans réfléchir au conséquence.

Mais ton dessin représente plus un passé que le présent. Aujourd'hui, je pense que la petite louve solitaire à trouver la compagnie qui lui manquai. Qu'en pense tu, Marya?

C'était vrai. Elle n'était plus seule. Plus vraiment.

-Peut-être ...

Puis elle pointe du doigt une des étoile, renchérie de manière douce, presque timide :

-Le ciel n'est pas noir : il y a plein d'étoiles.

Jamais je n'aurai fait d'étoile ... si ça avait été comme il y a longtemps ...

-Vous êtes tous ici. Et moi je suis là, a vous regarder d'en bas commeune imbécile. Vous voir me suffit, mais je sais que si je tends la main ...

Elle le pose sur le côté, ranges la malettes et tout les ustansils de peintures.

-Je ne pourait pas vous atteindre.

Un coup de vent, une soudaine fraicheur, les cheveux de marya tente en vain de se libéré de leur prison que constinuait son bandeau. Une mêche s'échappe, suis le mouvement de l'air, danse, seul, blanche. Marya se lève, prends le Ketai, le secoud un peu ; il était déjà presque sec. Elle prend la malette d'une main et se retourne vers le grand frère :

-Même si mon passé à fait quelque chose de moi ... Vous êtes en train de tout faire fondre, voir démolire completement tout ce qui avait été édifié en moi.

La peur, la méfiance, la haine.

-Et vous êtes en train de bâtir quelque chose que je ne comprnds pas. J'ai l'impression que vous l'avez depuis toujours, et que je ne pourait jamais vraiment l'avoir.

Ce sentiment qui me dit ... Qu'il faut que je profite d'aujourd'hui ... Il y a quelque chose derrirèe : une chose que je n'ariv epas à comprendre. J'ai peur de tendre la main : peur que ce "bonheure" s'envole comme un mirage.

-Chotto ... Kowaï. Demo ureshi desu.
[C'a m'effraye ... Un peu. Mais je suis contente]

Bien que je n'arrive pas à le suivre, j'ai envie de courir : de courir après le bonheure. Même si je suis à moitié morte et que je voulait arrêter.

-Je ne vais pas m'arrêter tout de suite.

Une cloche sonne, obligeant Marya à se couvrir les oreilles. Déjà si tard ? Il faisait encore jour, pourtant il était temps d'arrêter : oui, grand temps. Mais c'était bien suffisant.

-Iabe zo. Wali Aniiki.
[C'est mauvais. Désolé grand frère]

Elle mit le portable dans sa poche, se pencha en avant : Daiichi attendait peut-être. Car malgré tout ce bonheure, Marya ne pouvais pas oulier Daiichi. Elle se retourna, commança à courir, puis ralentit un peu. Finalement, elle s'arrêta, se retourna et lança sur un ton plat mais clairement ironique :

-Si jamais Lovely-sempai ne veut pas t'en faire un, moi je te ferrais un Bébé rien que pour toi !

Quoique tu ait besoin ... Si les autres ne peuvent te le donner, je te le donnerais.