Juste un rêve que je ne voulais pas oublier...

Invité

Je tiens à préciser que cette fanfiction n'est qu'un délire que j'ai eu avec une amie, elle m'avait juste défier d'écrire une histoire sur ce sujet, cependant bien écrite, et de la postée ensuite sur Internet... Défis relevé !!! Et voilà donc le début ^^

Juste un rêve que je ne voulais pas oublier…

Le lundi, en court de latin...
« Tenez monsieur, dit Enilia en s’approchant de son professeur le rire aux lèvres, votre premier diplôme de meilleur prof de l’année !!! » Le professeur conserné, j'ai nommé, Mr.Yakuma saisit le précieux document, un sourire s’affichant sur son visage mince :
« Il est marqué par les signatures de toute la classe.
– Merci, réussi t-il à dire… »
Voilà ce que ses élèves favoris avaient prévuent pour ce premier jour d’Avril, une carte musicale dans le cahier de la classe et un diplôme signé de la main de tous… S’était sa première année d’enseignement, et malgré que cela ne soit pas grand-chose il prit grand soin de cette copie… Preuve qu’il avait été accepté au sein de cette école, ou plutôt au sein des élèves… et le soir même, il était la, à lire et relire les petits mots laissés par ses élèves… Quelques uns lui avait paru très plaisant, mais un seul avait vraiment retenu son attention :
« Toutes mes sincères félicitations monsieur, Kayumi. Vous êtes mon prof préféré »
Avait telle écrit d’une autre couleur. Surement un complément rajouté ensuite...
Ca n’était qu’un complément, mais c’était cependant ce qui lui faisait le plus plaisir dans ce compliment écrit de sa main…
Kayumi était son élève favorite… et découvrir que ce favoritisme était réciproque… lui faisait un immense plaisir…
Certes, il s’en douter un peu… mais maintenant il en était sur…
Pourquoi s’en doutait-il ?
Je m’explique…

C’était le dix-huit décembre, six jours avant Noël et la veille des vacances scolaires. Il ne restait plus que quelques secondes avant la sonnerie annonçant la liberté des élèves. Mr Yakuma terminais sa phrase quand enfin l’appel se fit entendre. Il eut à peine le temps de leurs souhaiter de bonnes vacances, que déjà tous s’étaient précipités vers la sortie en criant de joie… Tous... Sauf Kayumi… elle attendit que plus personne ne fut dans la salle… Puis, timidement s’approcha de son professeur et lui tendit un dessin tout en lui souhaitant un joyeux Noël, le rouge lui montant aux joues... Très surpris, Sora Yakuma l’accepta avec grande joie, en remerciant grandement son élève.
Celle-ci, après avoir transmis le précieux coli, s’empressa d’aller rejoindre ses amis qui l’attendaient devant la salle.

La première chose à laquelle il avait pensé fut « Pourquoi ? » pourquoi lui ? se disait-il…
Il en avait finalement conclu qu’elle l’aimait bien. Et maintenant, il en avait la preuve…
Ce cadeaux, il l’avait gardé précieusement, il avait même hésité à l’afficher, mais il voulait à tout pris éviter les questions de ceux qui pourraient le remarquer, non pas qu’il n’en était pas fier, bien au contraire. Il souhaitait juste éviter un interrogatoire interminable…
Mais chaques fois qu’il observer ce dessin, il ne pouvait s’empêcher de se souvenir du magnifique sourire, malgré qu’il est été timide, qu’elle avait abordée lorsqu’elle le lui avait tendu.
Ce cadeau ? Deux feuilles qu’elle avait collées juste sur les bords de façon à ce qu’il y est un trou entre les deux et sur chaque face visible elle avait dessiné elle-même des personnages de mangas. Et à coté d’eux, elle avait écrit en lettres majuscules : « Joyeux Noël monsieur… Et bonne année !!! » en dessous elle avait signer de son nom en minuscules, puis enfin elle avait glissé à l’intérieur deux sucettes en cœur rouge -que beaucoup d’élèves mangeaient lors de leurs heures de pause- qu’elle même trouver délicieuses et qu’elle voulait donc faire gouter à son professeur préféré.

Il était un peu triste en se rappelant que les cours se terminaientt deux semaines plus tard, et qu’il devrait donc se séparer de ses élèves, et, peut être ne plus jamais les revoir…
Cette idée l’attristait beaucoup… Il finit par s’endormir en pensant à tous ses événements qui s’étaient déroulés depuis qu’il avait commencé son nouveau travail de professeur…

Good, le sujet > je t'encourrage à continuer ^^- ♪

Invité

Je tiens (encore ^^) à préciser que le prénom Kayumi est mon préféré, voilà pourquoi je l'utilise U_U
Chapitre 2

Le lundi suivant en cour de latin…
«Je vous disais donc qu’il ne faut surtout pas confondre entre le client antique et le client moderne, dit Mr. Yakuma à l’ensemble de la classe, le client antique demande des services en échange de biens alors que… il s’arrêta quelques instants ayant repérée Kayumi en train de passer un mot à son amie Kaïri qui était placée devant elle. De peur qu’elle ne lui en veuille, il préféra faire comme si il n’avait rien vu et il continua donc son cour, euh… oui, donc le client antique demande des biens en échange de services, résuma t-il très vite, alors que le client moderne, lui, est un acheteur qui effectue un achat. »

Pendant qu’il dictait le cour à ses élèves, il continuait d’observer Kayumi et Kaïri, les deux jeunes filles, tout en écrivant leurs leçon continuait de s’échanger des mots… Il ne pouvait s’empêcher de se demander se qu’il y avait sur ces mots :
« Pareil pour la notion de patron antique et patron moderne, continua t-il, le patron antique est en quelque sorte un chef de grande famille qui possède des clients à qui il rend des services, il doit aussi les protéger. Ne résistant plus à la tentation, il se laissa guider par sa curiosité et se rapprocha des deux jeunes filles, Kaïri, lui demanda t-il, pourriez vous me donner les mots que vous échanger avec votre camarade depuis tout à l’heure.
– Ais-je vraiment le choix… questionna telle tout bas, d’un ton ironique. »
Mr.Yakuma fit mine de n’avoir rien entendu de peur que Kayumi ne le méprise encore plus…
Il remarqua d’ailleurs qu’elle semblait très gênée lorsqu’il prit les papiers que Kaïri lui tendait.
Il ne put s’empêcher de commencer à les lire :
« Il n’est pas facile de partir quand on veut rester,
il n’est pas facile de sourire quand on veut pleurer,
mais le plus difficile et d’oublier quand on veut aimer… »
Des poèmes… Voilà ce qu’elle écrivait, voilà pourquoi elle était gênée…

Il voulait continuer de les lire, mais il devait pour l’instant finir son cours, et il commencer à voir de l’impatience sur le visage de ses élèves. Il posa ces précieux papiers sur son bureau et reprit sa leçon : « Alors que le patron moderne est en quelques sortes un chef d’entreprise. En disant ceci, il n’avait pas arrêté d’examiner Kayumi se demandant si ce qu’il venait de faire ne lui avait vraiment pas plu, mais contrairement à son habitude, après cet incident, jamais durant la fin du cours elle ne l’avait observé.
Kayumi l’avait zieuté une seule fois, mais voyant qu’il la fixer, elle avait de suite détourné le regard. Cependant il avait pu remarquer, non pas de la colère, mais plutôt un certain trouble dans ses yeux. Surement à cause des poèmes qu’il avait découverts.

Cela le tourmenter quand même… D’ordinaire, Kayumi le fixer dans les yeux tout le long du cours, au début cela lui avait fait tout drôle, mais finalement il avait fini par s’y habituer. Il avait même commencé à apprécier. Elle était même devenue son élève favorite et loin au dessus des autres. Et à présent les regards de Kayumi envers Mr.Yakuma étaient maintenant réciproques :
« Bon ce sera tout pour aujourd’hui. Vous aurez un contrôle la dessus après les vacances, des cris de réprobation se firent alors entendre dans la salle, alors si vous avez des questions sur la leçon c’est maintenant, dit-il en haussant la voie pour continuer de se faire entendre, car je n’en reparlerais plus d’ici là… Personne bien dans ce cas, si vous avez marqué le contrôle, vous pouvez ranger vos affaires. Ca va bientôt sonner… A peine avait t-il finit sa phrase que la sonnerie retentit dans le collège, et les élèves se précipitèrent vers la sortie. Lui se dépêcha aussi, il voulait se retrouver enfin chez lui après une longue journée de cours. Alors qu’il sortait, il vit Kayumi à l’autre bout du couloir, Kaïri à ses cotés. Ces deux là sortaient toujours les dernières, surement qu’elles n’étaient jamais pressées…