Un dessin sur le sol, ce n'est pas forcement un jeu de marelle. [ TERMINE]

Zuka avait une pile de dossier devant elle, pour une fois ce n'était pas des documents à completer ni même à classer. Elle les regardaient pourtant avec beaucoup d'attention, le classeur qui se trouvait devant ses mains était ouvert à la même page depuis un petit moment.

Il était inhabituelle qu'autant de farde se trouve ainsi sur son bureau mais c'était un jour spéciale. La fin de l'année scolaire venait à peine de débuter, elle se devait de remettre à jour les dossiers ses divers élève qui figurait dans cette école. Un travail qui allait lui prendre une bonne partie du travail. C'était donc encore plus troublant, puisque la secretaire, regardait uniquement l'horloge sans faire un geste de plus, au du moins à par remettre à sa place un ou deux stylo.
Elle attendait l'élève qu'elle avait conviée, celle-ci ne semblait pas en phase avec la ponctualité, une chose suplémentaire que la bureaucrate pourrait conciler dans le dossier qui restait ouvert.

Au bout d'un temps qui parraissait interminable même pour une employée dans l'administrative, un coup se faisait à la porte. La jeune fille qui se trouvait derrière était polie, si c'était bien la personne qu'elle attendait bien entendu, sinon la patience de la secretaire était déjà serieusement entamée et elle ne repondrai de rien si tout autre personne poussait cette porte.

- Entrez !

Invité

11H00 : Tsukiyo se réveille, elle a fait un rêve épouvantable qui le faisait encore frémir. Elle avait rêvé de ce jour là, le jour qui avait tout décidé de sa vie :
Tsukiyo dort profondément. Elle fait des jolis rêves comme ceux que peuvent faire les jeunes enfants.
Un cri horrible la réveille, non, ce n'est même pas un cri, c'est hurlement de douleur, le pire de celui que vous tous avez entendu. Tsukiyo se redresse en sursaut en appelant sa sœur. Elle a peur très peur. Elle n'entend pas de réponse de sa jumelle, qui lui répond normalement toujours au tac-à-tac .
En tremblant, Tsukiyo se lève doucement. Peu rassurée, elle va tâter le lit de sa sœur : rien. Jusque la couette du futon et l'oreiller. Mais rien, pas une seule trace d'un être-vivant dans ce lit.
Tsukiyo tremble encore plus.

- C'est toi qui veut me faire peur hein! C'est vraiment méchant.
Sa sœur avait souvent l'habitude de lui faire des petites blagues sans intérêt. Mais là, cela ce remarquait que s'en n'était pas une. Alors Tsukiyo va regarder dans l'armoire, sous le bureau, derrière la porte, partout, elle regarde chaque endroit où sa sœur aurait pu se cacher dans cette toute petite chambre.
Quelques minutes plus tard, Tsukiyo abandonne la recherche dans cette chambre maudite : aucune trace de sa sœur, nul part! Tsukiyo désespère. La petite fille qu'elle était alors à l'époque sort de la salle et descend alors par l'escalier et là….

Cette scène sanglante ne traversa pas une deuxième les yeux triste de Tsukiyo : Elle se réveilla avant. Tsukiyo en frémissait encore de terreur. Cette journée continuerait de la hanter jusqu'à sa mort, enfin c'était du moins ce qu'elle pensait.
La jeune fille se lève alors, elle a l'esprit quelque peu tourmenté par son rêve quelque peu sanglant, pour ne pas dire beaucoup… Elle se dirige vers la douche. L'eau lui permet de lui remettre les idées en place. Cela lui fait un grand bien. Elle sort de la douche, se sèche et met son uniforme usé : il serait temps de le faire changer. Mais Tsukiyo n'en a rien a faire. Après tout, que lui importe son aspect physique? Comme d'habitude son uniforme est mal porté : une chaussette tirée, l'autre pas, la veste pas fermée et d'autre détails sans importance. Enfin, cela allait bientôt changé, car elle allait bientôt recevoir son nouveau uniforme, celui du lycée. Enfin Tsukiyo soupire : cela fait longtemps qu'elle a cet uniforme, et cela lui déplait de s'en séparé. Mais bon, la règle est la règle, même si Tsukiyo est une personne assez mal placé pour dire cela.
Après s'être coiffée et maquillée, Tsukiyo sort de la salle de bain, elle regarde sa montre, il est midi. Alors, juste à ce moment là, Tsukiyo se rappelle qu'elle a un rendez-vous avec la "secrétaire personnel du majestueux directeur de la prestigieuse académie Takuetsu j'ai nommé Ogawa-san". Tsukiyo devait être précisément à midi dans le bureau. Tsukiyo soupire : pas moyen de faire quelque chose de normal sans qu'il se passe un truc anormal : pour une fois qu'elle voulait tranquillement aller au rendez-vous, elle faisait un cauchemar, et bien voilà! Elle allait ratée son rendez-vous… Alors, même si cela ne servait à rien, Tsukiyo sort en courant de la chambre. Le problème, et elle le savait bien, c'était que se dépêcher n'empêchera pas Tsukiyo de se faire engueuler. Enfin bref, la vie était la vie : cela ne changerait pas grand chose à sa condition d'élève à Takuetsu. Elle traverse en courant le couloir du dortoir en entendant quelque plaintes de ceux qu'elle réveillait en courant ainsi. Cela fit sourire Tsukiyo. Elle descendit à la volée les escaliers. Evidemment, une telle vitesse à un prix : elle tomba tête la première en bas des escaliers. Mais rien n'arrête Tsukiyo : Elle se relève et traverse en courant le jardin du lycée en direction du bâtiment administratif. Enfin, elle y arrive devant le bureau de la foutue secrétaire. Avant de toqué, Tsukiyo sort par mesure de précaution son petit carnet et le feuillette : sur une feuille, la toute dernière, était marqué : "rendez-vous avec la foutue secrétaire du foutu directeur : mardi 13". On était lundi 12. Tsukiyo tapa alors su ce qu'elle croyait être le mur, mais malheureusement, c'était la porte. On entendit "Entrez !" Tsukiyo poussa un juron. Et merde. Pourquoi ce genre de chose n'arrivait qu'à Tsukiyo? Enfin, prenant son courage à deux main, elle poussa la porte.

- [b]Veuillez m'excuser, je me suis trompé de jour.[/b]

La secretaire se calmait alors que la porte s'ouvrait sur une jeune fille blonde, ce n'était pas réellement la personne qu'elle attendait mais finalement elle décidait que ce n'était pas plus mal. le travail serait fait même si l'adolescente ne s'était pas présentée le bon jour.

- Veuillez prendre place mademoiselle Nishibi déclarait-elle d'une voix tranchante en désignant un des deux fauteuils en cuir noir. Même si elle avait récupéré plus ou moins son calme, il restait autour d'elle et en elle, un peu de colère, elle s'assurait que l'élève qui lui avait faux bond double. Le directeur ne trouverait rien à redire en vue du dossier médiocre, puis il n'interferait pas souvent avec ses décisions.

- J'ai pu constater tout au long de l'année que vous aviez des absences répété ainsi que des notes médiocre. Cependant je suis prête à fermée les yeux sur ses petits écarts...Elle se taisait, elle attendait que la jeune fille accepte bien la nouvelle, lui donner un sentiment de répis hors une courte pause n'était qu'un mais en suspension.

Zuka était connu pour sa rigeur et son professionalisme, celui qui avait échappé au retenue était une personne très chanceuse ou alors très habile de ne pas s'être fait prendre. Malheureusement pour la demoiselle devant elle, elle ne faisait partie d'aucune des deux catégories.

- J'ai cru comprendre que vous êtiez particulièrement douée pour le dessin. Est-ce vrai mademoiselle Nishibi ? Elle venait d'annoncer avec plus ou moins de voile, la condition de sa cécité.

Invité

Tsukiyo est brune, mon vava est mensonger =="

Tsukiyo poussa la porte et s'excusa auprès de la secrétaire de s'être trompé dans la date. Cela n'eu pas l'air de la gêner , et elle lui répondit :

- Veuillez prendre place mademoiselle Nishibi.

Elle avait dit cela en désignant un fauteuil en cuir noir à la proximité de Tsukiyo. Sa voix tranchante surprit Tsukiyo qui, bien entendu, ne le montra en rien sur son visage. Même en présence d'une grande autorité de l'académie, elle ne laissait jamais tomber son masque de fer. Tsukiyo avait un rare contrôle de ses nerfs.

- J'ai pu constater tout au long de l'année que vous aviez des absences répété ainsi que des notes médiocre. Cependant je suis prête à fermée les yeux sur ses petits écarts..

Cela surprit encore une fois Tsukiyo, qui ne s'attendait pas à ce que celle qui était connu dans l'académie pour être très sévère et strict lui fasse faire un 'petit écart". Mais le silence qui planait disait la suite de la phrase : il y avait quelque chose à faire en contre parti.
Baaah, du moment que ce n'était pas faire le ménage. Au pire, si c'était le cas, elle dessinerait des chibis qui feraient tout à sa place.
Mais quelle ne fut pas sa surprise quand elle entendit les prochaines paroles de Zuka-san, surprise, qui, bien sur, était caché par son "masque de fer".

- J'ai cru comprendre que vous étiez particulièrement douée pour le dessin. Est-ce vrai mademoiselle Nishibi ?

Tsukiyo hocha la tête. Après un petit silence de quelque secondes, elle comprit qu'elle devait répondre à l'oral :

- En effet, en même temps, c'est normal, puisque j'exerce mon don depuis mes trois ans.

Et c'était vrai, elle métrisait cela depuis toute petite.

C'est tout petit ==" deso.

[ Hrpg: Pas grave, je réctifirai la couleur des cheveux dans se rp également ]

La secretaire fut ravie que le jeune femme marche en son sens, bien qu'elle ne montrait rien sur son masque de marbre bien entendu, bien que les notes n'était pas des plus élévée, la lycéen ne semblait pas stupide. Un bon point pour elle, tout le monde ne pouvait pas être fort dans les études, elle le savait parfaitement, c'était aussi pour cette raison; qu'elle voulait donnée sa chance à Tsukiyo de faire ses preuves d'une autre manière. Bien sur, ne nous voilons pas la face, la femme le faisait surtout pour l'école plus que pour la petite brune, mais elle ne voyait pas la demoiselle rechignée sur cela.

- C'est une chose que je suis ravie d'apprendre. Vous ne le savez peut-être pas, mais le musée de la ville à décidé d'organisé un concours de jeune talent. Je veux que vous representez notre Academie à ce concours. Elle avait prit une voix sevère mais tout de même moins froide, elle voulait faire comprendre à la Nishibi qu'elle estimait son talent, que ce n'était pas juste pour la manipulée qu'elle avait lancée cette histoire, bien que c'était exactement se qu'elle faisait. Elle ne le cachait pas, d'ailleurs elle lui expliquait de suite les conditions de cette engagement.

- Si vous arrivez à être dans les finalistes, soit dans les 3 premières, je ferai en sorte de remontée votre moyenne dans tous les cours où vous êtes en difficulté. Bien entendu vous n'aurez pas de retenue cette fois-ci. Je vous conseil cependant fortement de travaillée au cas où vous echouerez à ce concours car je ne vous serai alors d'aucune aide, je ne vous enforcerez pas, mais je ne ferai rien pour vous défendre.

Elle joignait ses mains l'une contre l'autre, s'appuyer un peu plus contre son dossier, son regard n'avait pas lâchée le visage de la brune, a l'affût de la moindre réaction.

Invité

- C'est une chose que je suis ravie d'apprendre. Vous ne le savez peut-être pas, mais le musée de la ville à décidé d'organisé un concours de jeune talent. Je veux que vous représentez notre Académie à ce concours.

La secrétaire avait dit cela d'une voix moins froide que tout à l'heure, mais le ton en était plus sévère. Tsukiyo n'est pas dupe, et compris que la secrétaire voulait habilement la manipuler en lui faisant comprendre qu'elle estimait son talent.

Je vais me laisser manipuler aujourd'hui, ce sera plus simple que de devoir protester. De plus, l'idée de participer à un concours de dessin est vraiment bien. Il serait vraiment bien de voir si mon don fait de mes dessins quelque chose de beaucoup plus beau que ceux des autres.

Tsukiyo allait donc faire semblant d'être un peu plus bête qu'elle l'est et imiter celle qui n'avait pas remarquer qu'on la manipule.

- Si vous arrivez à être dans les finalistes, soit dans les 3 premières, je ferai en sorte de remontée votre moyenne dans tous les cours où vous êtes en difficulté. Bien entendu vous n'aurez pas de retenue cette fois-ci. Je vous conseil cependant fortement de travailler au cas où vous échouerez à ce concours car je ne vous serai alors d'aucune aide, je ne vous enfoncerez pas, mais je ne ferai rien pour vous défendre

La secrétaire joignit ses mains en s'appuyant un peu plus sur le dossier, mais sans quitter du regard Tsukiyo.
Tsukiyo, toujours cachée derrière son masque de fer, dit:

-[b] Très bien, je vais faire un effort au niveau du travail, mais y a-t-il un thème particulier à respecter pour le concours? [/b]

Zuka plongeait directement les mains dans un de ses tiroirs quand la jeune femme lui avait posé la question. Bien qu'elle savait répondre à la question, elle souhaitait tout de même lui donner un prospectus du musée pour que l'artiste n'oublie pas la date pour rendre le travail. Au bout de quelques minutes de silence ainsi que de recherche dans les multiples papier qu'elle possedait, elle ressortait enfin la chose voulue. Aucun sourire vainqueur n'apparaissait sur son visage ni même de changement faciale, elle se contentait juste de tendre la brochure à l'élève.

- Vous avez ici tous les renseignements sur la date, l'heure ainsi qu'où présenter votre travail une fois achever. Le thème est ''nature mort surréaliste''. Croyez vous que votre talent artistique puisse trouver quelque chose pour un sujet aussi difficile ? Demandait-elle d'un ton plus critique que sévère, elle ne souhaitait pas décourager la brune, mais voulait savoir à quoi s'en tenir. Elle aurait bien pu appeler le professeur Enma pour avoir plus de renseignement sur la jeune femme en face d'elle mais elle souhaitait lui donnée sa chance, si la jeune artiste pouvait faire quelque chose de lucratif ainsi que bénéfique pour elle, ce serai un vrai soulagement pour la secrétaire.

- Si vous avez un quelque conque question n'hésitez pas. Sinon je ne vais pas abuser de votre précieux temps, si vous croisez une élève dans le couloir, dites lui de venir. Le ton était redevenu froid, sévère mais nullement cassant. Juste lui signifiée que si elle n'avait vraiment pas de chose à dire par rapport au travail qu'elle lui avait demandée, elle n'avait plus rien à lui dire.

Invité

Juste quand Tsukiyo avait dit cela, la secrétaire mit la main dans le tiroir et fouilla parmi les multiples feuilles qu'elle possédait. Le métier de secrétaire à Takuetsu ne devait pas être très simple, les élèves étaient nombreux et une bonne partie était à problème. En plus, être au ordre direct du directeur… Plutôt mourir! Bref, c'est un métier que Tsukiyo occuperait pour rien au monde.
Il se passa quelques minutes pendant lesquels la secrétaire continuait ainsi à fouiller dans son tiroir.

Elle pourrait ranger son tiroir parfois..

C'est vrai que vu le nombre d'élèves qui allaient et venaient dans le bureau, la secrétaire ne devait pas avoir le temps de ranger mais franchement, il y avait quand même des limites. Cela ressemblait à un bureau bien ranger en apparence, mais en faite, Zuka-san avait l'air d'un petit gamin de 5 ans qui ne voulait pas se faire gronder par sa maman et qui ouvrait un tiroir du bureau et fourrait tout dedans… Enfin, juste le geste, pas le comportement, parce comparer la secrétaire à un gamin de 5 ans… Houlà…
Bref, revenons à nos moutons, après la super comparaison que Tsukiyo avait fait en Zuka-san et un gamin de 5 ans, la secrétaire trouva enfin ce qu'elle cherchait et le tendis à Tsukiyo avec un visage neutre, ni plus ni moins.

- Vous avez ici tous les renseignements sur la date, l'heure ainsi qu'où présenter votre travail une fois achever. Le thème est ''nature mort surréaliste''. Croyez vous que votre talent artistique puisse trouver quelque chose pour un sujet aussi difficile ?

"nature morte surréaliste…" Voilà un sujet que Tsukiyo allait représenter avec plaisir, elle savait déjà tout ce qu'elle allait dessiner sur la toile. Zuka-san allait pas être déçu, pour sur, mais était-elle déjà enthousiasme? Non, bien sur, question idiote. La secrétaire reprit la parole :

- Si vous avez un quelque conque question n'hésitez pas. Sinon je ne vais pas abuser de votre précieux temps, si vous croisez une élève dans le couloir, dites lui de venir.

Non, Tsukiyo n'avait aucune question à formuler. Et Tsukiyo ne voulait pas non plus "abuser du temps précieux de la secrétaire". Enfin, façon de parler, car Tsukiyo se fichait complètement de la secrétaire. Alors elle se leva, et sans même dire au revoir, elle sortit de la salle. Dans le couloir, il y avait en effet un élève qui attendait, et Tsukiyo montra la porte avec le menton pour que l'étudiant comprenne qu'il devait entrer. C'est ainsi que Tsukiyo s'éloigna, et que l'après midi passa, et que Zuka-san était toujours à faire passer des élèves ainsi dans son bureau… La pauvre =="