La folie des dragueurs ÔÔ [Pv Atsushi Ootani, Amamiku Matsuri, Ai Enma]

Mais quelle folie a pu bien entrer dans la tête de ses deux adolescents pour faire une chose pareille...

[Quelques heures plutôt]

Shinji avait eu la chance de n'avoir cours que l'après midi. Pour une raison encore inconnue, les professeurs d'éducation physique et d'histoire était absent ce jour là. Shinji profita de se temps libre pour aller se détendre dans le parc. Il y retrouvait la nostalgie des temps anciens où le jeune homme et son ami d'enfance, Atsushi, venaient dans ce parc pour relever des aventures dont il imaginait toute l'histoire. De vrais combattants de la liberté et de l'imagination disait parfois Shinji, à l'égard de se groupe si uni.

En parlant d'Atsushi, ce dernier arriva lui aussi dans le parc, a croire qu'il a un radar dans sa tête... Ah mais c'est un radar [ Smile

]. Avait-il deviné la présence de Shinji et était-il venu pour lui parler? La réponse après la pub... [Hum]

« Hey Atsu, tu n'as pas cours? »

« Tu ne te rappelle pas que je suis dans ta classe. » Dit-il avec un sourire et en même temps avec un peu de sarcasme.

Shinji fit une petite mine, mais gardait quand même le sourire. Il est vrai qu'il n'avait pas penser à ce détail de classe. Mais peut importe, le tout était qu'ils soient tous les deux libérés pendant toute un après-midi. Et qui dit Atsushi et Shinji ensemble veut dire... Bataille de boule de neige... Ah non, il neige pas... Ben alors plan drague.

« Et si on faisait comme au bon vieux temps, une nouvelle après-midi de plan drague? »

Shinji était déterminé comme il ne l'avais plus été depuis de longs moments. Il est vrai que depuis qu'il est avec Keiko, tout semble heureux pour lui mais il a besoin de se sentir plus... déchainer. Et aujourd'hui, l'occasion se présente enfin et il lui vient en lui un souffle qu'il avait pas ressentit depuis un long moment. Il ne manquait plus qu'une confirmation du jeune homme et l'affaire est dans le sac.

Shinji pouvait voir Atsushi attraper un sourire de dragueur comme il le connait bien, celui qu'il a à chaque journée de ce type, à chaque fois qu'il essaye de se faire une fille et aussi celui qu'il perd quand il se ramasse un râteau. Enfin bref, Atsushi retrouvait son sourire d'antan et Shinji savait exactement ce que ça voulait dire... UNE JOURNÉE DE FOLIE!!! Le problème était de trouver qui ils iraient draguer... Atsushi eut une idée. Étant le plus fou des deux, il n'y avait que lui pour trouver une idée pareille.

« Pas cap de draguer un prof... »

« Toi t'es pas cap. »

« Tu paries? »

« OK, le premier qui se fait une prof remporte le pari... Celui qui perd devra se balader en slip dans l'académie pendant toute la journée, même aux heures de cours. »

« Ca marche! Rendez-vous à 17H devant les dortoirs des professeurs. »

Shinji avait exactement 3 heures pour se préparer. Pas de temps à perdre. Il se dirigea en vitesse vers le centre ville et alla acheter de nouveaux vêtements. Quoi de plus classe que des chemises noirs pour aller draguer. Un pantalon noir de cérémonie, pour donner de l'effet et surtout, des chaussures noires pour mettre tout en harmonie. Haha, enfin prêt pour mettre la patté à son cher ami d'enfance, Shinji passa dans la salle de bain et se passa de l'eau sur le visage, se brossa les dents, se cura le nez [XD], mit du parfum et enfin, se dirigea vers la porte des dortoirs des professeurs. Il était le premier sur le porche de la grande porte séparant le monde des élèves et le monde des professeurs. Un petit sentiment d'angoisse persistait cependant dans l'esprit de Shinji. Ils allaient quand même enfreindre le règlement en entrant dans le vestibule des profs. Mais bon, une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal. Il put voir Atsushi arriver par la même porte que Shinji... Il faut dire qu'ils sortent tous les deux des dortoirs... C'est logique quand on a un rendez-vous, on ne sort pas des toilettes ou de la salle de gym... Enfin je m'égare. Atsushi sortait donc du couloirs des dortoirs des garçons.

« Prêt? » Lança Shinji à l'égard de son ami.

D'un côté, il ne pouvait pas reculer... C'était soit la honte, soit l'effraction au règlement... Bah d'un côté, enfreindre le règlement n'est pas si grave puisqu'ils le font assez souvent... Enfin bref, l'heure de vérité approchait à grand pas... L'heure de la découverte aussi mais surtout, l'heure du jugement... Qui se baladerait tout nu dans les couloirs de l'académie? Réponse dans le prochain épisode de Pokémon //SBAM!!!!//

[Logiquement, ce sera à Atsushi de poster et puis aux deux professeurs... A vous de décider qui en premier Smile

]

Deux profs absentes dans la même journée ! Parfois, le hasard et la chance font bien les choses. Enfin, chance, ça dépend pour qui... pas pour les malheureuse prof d’histoire géo et de sport. Grâce à quelques microbes de la grippe se baladant nonchalamment dans les couloirs de l’académie, Napoléon n’attaquera pas la Russie aujourd’hui, et Atsushi n’aura pas à se luxer une épaule au badminton ! La vrai vie, la grande classe. Le hasard est un Dieu que l’on se doit de vénéré pour que ce genre de chose puissent arriver ! Donc ! Qu’allais donc faire notre fougueux adolescent attardé, de ces quelques heures de farnientes durement gagné sur une journée de travail ? Etape 1 : flâner quelque part à la recherche d’un occupation quelconque et passablement inutile.

C’est donc logiquement que Atsu se retrouva dans le parc, avec la ferme intention de s’allonger dans l’herbe et de regarder les nuages. Une matinée de farniente gagnée, se doit d’être usé à la farniente et à rien d’autre que la farniente. Tous les plus grand sage l’ont dit et sont unanimes : « La paresse est une droit ! » disait Pierre Lafargue.

Allongé dans l’herbe grasse Atsu observait les nuages traversant subtilement la voute bleutée : celui là ressemble à un croissant, celui là à un cercle, celui là à un... carré ! celui là à un... plus gros carré...

Manque d’imagination ? Hô, de nouveau un cercle.

Sentant qu’il n’arriverais à rien ainsi, et souffrant de son cruel manque d’imagination (une honte nouvelle, un bataille perdu contre les nuages. Nous avons perdu une bataille MAIS PAS LA GUERRE !!! Mouhahahaha mort aux nuages !), Atsu se releva, s’étirant de tout son long, en poussant un bâillement surhumain, digne du yéti lorsqu’il s’éveille victime d’une crise d’apoplexie durant la nuit et alors que son gosse lui renverse un énorme verre d’eau bouillante (eh oui ! , le yéti il crains pas le froid !) sur la face. Pas très sexe en clair. Et, c’est à ce moment précis, à cet instant fatidique, lors d’une fuguasse seconde, un éclair de l’horloge implacable du temps infini , que Atsu, d’un seul coup, sans qu’il l’ait vu venir et en un instant ... se déboita l’épaule et s’écroula au sol, mort de douleur et de honte...

« Pffff... M’ennuie ... »

Il capta l’onde de potofeu, proche de lui, dans le parc. C’est vrai qu’il n’avait pas cours lui aussi, ils étaient dans la même classe après tout ! Il se dirigea alors vers son ami d’enfance. Un parc et ce gars là... que de souvenir. Petit, il jouait à Bioman dans un parc semblable à celui-ci. Le genre de truc qu’il vaut mieux garder secret pour préserver sa propre réputation et celle de son acolyte. Enfin...

Il apercevait le dit acolyte.

« Hey Atsu, tu n'as pas cours? »

« Tu ne te rappelle pas que je suis dans ta classe, Potofeu . » lui rétorqua-t-il avec ce petit ton ironique, habituel de ce genre de remarque. Shinji y répondit d’ailleurs par son habituelle petite mine déconfite de chien-battu, qui en avait fait craquer plus d’une ! Mais ça ne prend pas avec LE Atsushi ! Tu ne me fera pas craquer ainsi Irrécupérable drageur... (en même temps, tu ne me ferais pas craquer dans tous les cas, t’es un mec ! ... -_-...Mais... Mais mais mais... mais c’est qu’il me drague le Shinji ! Petit pervers... -_- ).

« Et si on faisait comme au bon vieux temps, une nouvelle après-midi de plan drague? »

Ho ho ! C’est ça ! C’EST CA ! Mon Dieu, Shinji t’es un génie !!! C’est exactement ce genre d’idée géniale qu’il me fallait pour m’occuper cette matinée ! Shinji je t’aime... Heu... m’aurait-il eu au final le sacripant avec sa figure déconfite ? Et bien NON !!!! MOuhahahaha... enfin je dit nawak là, revenons au sujet de base !

Atsu aborda un petit sourire en coin. Un plan drague, il leur fallait un plan. Quand on drague, il faut toujours avoir un but, une idée, un fil conducteur, sinon on s’en sort pas. Il y a trop de possibilité sans plan. Et on se perd. Il fallait absolument un plan.
Idée !

« Pas cap de draguer un prof... »

« Toi t'es pas cap. »

« Tu paries? »

« OK, le premier qui se fait une prof remporte le pari... Celui qui perd devra se balader en slip dans l'académie pendant toute la journée, même aux heures de cours. »

« Ca marche! Rendez-vous à 17H devant les dortoirs des professeurs. »

Il se séparèrent. Chacun connaissais les règles du jeu, chacun savait exactement quoi faire, ils avaient joué à ce jeu des milliers de fois.

Atsushi se prépara sans aucune hésitation. Il avait dit qu’il le ferais, il le ferais ! Pour l’occasion, il mit un T-shirt tout ce qu’il y a de plus normal. Genre : noir, avec marqué Mass Murderers dessus (un groupe de métal) et un jean ample. Il savait que Shinji était du genre à ce préparé méticuleusement (une vrai fille), mais ce n’était pas son groove. En amour comme dans la vie, franc et sans additif, ni colorants artificiels ! Il s’était déjà lavé en se levant et comme il n’avait pas vraiment fait grand-chose jusqu’alors, pas besoin de le refaire, il était tout propre =) .

Shinji était déjà devant la porte des dortoirs. Comme il s’y attendait, son ami était tiré à quatre épingles avec une tenue et tout ce qui va avec. Du Shinji tout craché.

« Prêt? » Lança Shinji à l'égard de son ami.

« Toujours prêt ! Mais, c’est quoi cette tenue digne d’un croque mort ? » lui envoya-t-il. Les vannes en tout genre était toujours de mise avant l’attaque de la drague à proprement dire. On lançait les coups bas avant l’assaut, pas pendant ! C’était une règle implicite établi depuis longtemps entre eux.

Atsushi mis la main sur la poigné de porte en lançant un regard appuyé à son compagnon, tout en attendant la répartie cinglante que son ami ne manquerait pas de lui envoyer avant qu’il ouvre la porte. Ils avaient deux « style » très différent, mais pour l’entré dans le dortoir, ils appliqueraient le sien.

Il ouvrit rapidement, la porte, observa l’intérieur de la pièce et dit l’air de rien :

« Oups, désolé, on s’est perdu ! Je peux rentrer ? »

Et il entra.

La journée avait été ... pitoyable. Non, pire que ça. Il n'existait pas de mots. Matsuri n'avait pas l'habitude d'être dérangée, ou d'avoir de mauvaises journées, alors chaque fois qu'une tuile lui arrivait, forcément cela l'énervait.
Elle avait déjà très mal commencé par le réveil en fanfare à cause d'un entrainement d'alerte incendie matinal. Oui, même à Takuetsu, il y avait des alertes incendies. Et pas partout en même temps, ce qui fait qu'à 5 heures du matin : DI-DU-DI-DU-DI-DU ... De quoi vous donnez envie de casser l'appreil. C'était d'ailleurs ce qu'elle avait fait, balançant un vase en fer forgé dessus.

Bref, déjà, un point pour le réveil.

Mais ça ne s'était pas arrêté là. Non, ç'aurait été trop simple.

Une fois irrémédiablement réveillée (Matsuri avait quelques problèmes d'insomnie, et ne s'endormait pas facilement donc quand on la réveillait, et ben ... elle se rendormait rarement) puis levée et préparée, elle reçut un sympathique message sur son téléphone professionnel. Un message émanant de "l'administration". Donc pas du directeur, puisque Matsuri avait rentré son numero personnel dans le téléphone. Zut. Elle ouvrit l'insupportable petit engin, et lut le message.

portable insupportable a écrit:: De : Administration
A :Matsuri Amamiku, professeur des SA
Sujet : Mission
Plusieurs chimeras repérés dans les environs de Takuetsu. CH occupés ailleurs. Priorité absolue de les capturer. Elimination possible si résistance trop dangereuse.
Niveau de priorité : 5

Priorité : 5. Sur 5. Ha, ha ha. Elle en aurait presque rit si ça ne l'avait obligé à bouger de sa chambre qu'elle quittait rarement, il fallait biren le dire, puisqu'elle était loin d'être surchargée de travail. Le plus embêtant dans ce message, c'était la priorité accordée à la capture, et pas à l'élimination. Elle pouvait éliminer facilement les gens, sans trop d'énergie, mais les mettre KO demandait quelques secondes de plus qui auraient pu lui être utiles autre part. Zut. Et en plus les CH ( Chimeras' Hunter, ceux qui normalement s'en occupaient ...) étaient occupés ailleurs ... ZE bonne excuse, oui ! Ils voulaient vraiment lui pourrir sa journée ...

Pour résumer ce qui s'était passé après, elle avait été crapahuter en forêt, c'était farcie 4 chimeras (un hibou (oO) un homme-plante (...) une sorte de cage métallique ayant mauvais caractère ( Rolling Eyes

) et pour finir, une masse rouge (eurk ...) ) le plus facile à vaincre ayant été le dernier puisque constitué entièrement de sang. Mais bref, évitons les détails "sympathiques" et reprenons la journée 5 heures plus tard, une fois Matsuri rentrée avec 4 paquets encombrants à l'académie. Une fois son travail terminé, elle fila prendre une douche et s'assit devant la télévision.
Les nouvelles étaient déprimantes. Réellement déprimantes. Une nouvelle déclaration de guerre imminente entre la Corée du Nord et celle du Sud, plusieurs braquages, des meurtres, viols, et autres dégradations physiques ou mentales de personnes. Elle prit la télécommande et ferma la "boite magique" comme elle l'appelait lorsqu'elle était petite.

Ce temps lui semblait aujourd'hui si lointain ...

Pour se changer les idées, elle décida d'aller rendre une petite visite au directeur. Il était environ 16h, et il devrait être là ... en principe.
Mtsuri mit une de ses plus belles tenues, et se dirigea vers le bureau de la personne qui, ~~peut-être~~ sans doute, sauverait sa journée. Elle poussa la porte du bureau, terrifiant pour certain(e)s, attirant pour d'autres (enfin ... pour elle en fait ...) pour tomber sur une pièce sombre ... et vide.

Désepérément vide.

Elle s'approche rapidement du bureau, pour trouver dessus une lettre de renseignements sur un certain "Hayao Kurishiza".

*Encore un nouveau venu à l'académie sans doute ...*

Voilà que sa seule lumière de la journée s'éclipsait. Elle s'assit sur la chaise, la tête entre les mains, avant de décider à faire un peu dez rangement (et en profiter pour relire quelques dossiers secrets, et autres fichiers cachés ...) avant de partir, refermant le coeur lourd la porte.
Elle retourna au dortoir des professeurs, passant par la cuisine et "volant" (quel vilain mot ... emprunter à long terme serait plus juste) quelques bouteilles du meilleur saké existant. Elle prit aussi un verre, parce qu'elle n'aimait pas bore à la bouteille.
Parce que oui, elle avait l'intention de boire. Et pas qu'un peu. Boire pour oublier cette journée de merde qui venait de lui tomber dessus. boire pour s'endormir jusqu'à ce que demain arrive.

Elle se servit un verre et le but cul sec. Puis un deuxième. Puis un troisième. 4, 5 ... une dizaine ?

Matsuri buvait assez souvent. Ce qui ne l'empêchait de tenir assez moyennement l'alcool. Elle commença à partir en vrille, seule, sans savoir si quelqu'un d'autre la voyait ou pas. Qu'importait après tout ? Elle était seule.

- J'ai toujours été seule depuis que chuis z'ici ! Jamais personne pour venir me parler ! Me demande bien pourqwoua ...

Oui, quand elle était bourrée, Matsuri avait parfois quelques problèmes d'élocutions, aussi la transcription phonétique de ses paroles sera-t-elle parfois étranges, mais je vais tacher que ça reste compréhensible.

- Ils ont peur de moi, c'est za ? Hein ?

Elle se leva, un peu chancelante, mais coup de bol (!) ses entrainements faisait qu'elle gardait des réflexes normaux en étant ivre - puisque ses réflexes étaient améliorés normalement - et elle se rattrappa. Elle se positionna devant un miroir, se parlant à elle-même. Ou à son double. Enfin bref, à la charmante personne toujours en robe qu'elle avait devant les yeux.

- Tu zais quoi ? Chuis sûre que ça va s'arranger, un jour ou l'autre. Touuuuuuuuuut s'arrange toujours. Ou presque. Parzque moi, tu vouas, je crois pas que ça s'arrangera. Personne ne m'aiiiiiiiiiiime ... Enfin, je crouas. On z'intéresse à moi que quand je dois faire des trucs. C'est naze ...

Elle retourna s'asseoir, se resservit un verre qu'elle avala aussi sec.

C'est alors que la porte s'ouvrit à la volée. Matsuri cacha vite fait les bouteilles et le verre sous les coussins du canapé. Reflexe inconditionné ...

- Oups, désolé, on s’est perdu ! Je peux rentrer ?

Atsushi ? Et celui derrière ... Shniji ? Oulah, il fallait qu'elle arrête de boire ... Et vite. A moins que ... Naaaaaaan ... ils n'auraient pas osés ? Quoique, venant d'Atsushi cela ne lui semblait pas tellement étonnant, venant de Shinji par contre ...

Elle se leva doucement, faisant passer celà pour une calme froideur, alors qu'en fait, c'était surtout pour éviter de tomber. Mais tout irait bien tant qu'ils ne voyaient pas les bouteilles. Prenant une bonne inspiration histoire de se laver un peu la tête, elle lança d'un ton qu'elle voulait ferme :

- Puis-je savoir ce que font deux de mes élèves préférés dans un dortoir qui leur est interdit ?

Invité

Ai regarda encore et encore ses cheveux désormais jaune pâle, naaaaannnnnn maintenant sa chevelure devait retrouver sa couleur d'origine, quitte à utiliser vanish ou de l'eau de javel... Une pensée traversait l'esprit étroit et tordu de Ai, DE L'EAU DE JAVEL!!!!

-Mais pourquoi je n'y avais pas pensé plus tôt !

Elle traversa le jardin en courant et en dissimulent c'est cheveux dans sont uniforme, si une mèche avait le malheur de dépasser, elle ne sait pas se qui ce serait passé, elle l'aurais surement coupé ou même brulé qui sait ?! Elle entra dans un bâtiment en trouva la salle de bain féminin des profs. Elle y entra en claquant la porte derrière elle //SBLAMMM// cette pièce était immense! 60 profs pourrais y entré ! //bref// Elle trouva un lavabo, plutôt luxueux, //ouuuuuahhhhh// et chercha dans le tiroir du dessous, et y trouva dissimulé derrière un tat de chose inutile tel qu'un canard en cahouchou, des broces à dents usagées, ainsi que ...NON C'EST Pas VRAI!!!!! de la peinture jaune fluo !!!! //Arggghhhh// Objet de touts mes malheurs! Elle retira c'est vêtement, enfin, l'uniforme prescrit, elle rentra dans la douche la plus proche.
Elle pris l'eau de javel et vida le pot entier sur elle, le produit irritait sa peau, elle frottait énergiquement sa chevelure, elle ce rinça, se sécha et regarda c'est cheveux redevenue blanc, BLANC!!!! //Youpiiiii// Elle souriait malgré elle, elle tourna le regard et attrapa le sèche-cheveux, un petit séchage pour la route, et voila //smile//.
Elle regarda ses vêtements complètement salle et ce rabilla avec. Elle entra dans le dortoir des profs, en ouvrant la porte très silencieusement, et y trouva une prof complètement bourré qui se regardait devant le miroir en se parlent a elle même (...) //Lamentable//. Ai marchait en direction d'une porte qui marquait:

Code:: "Chambre de AI ENMA"

Une chambre décernée, //Ouuuuaaaaaahhhhhh// Elle ouvrit et regarda au alentour. La chambre était Immense !!!!! un immense bureau, une Armoire gigantesque, un lit a deux place !!!! Le paradis quoi !!! (...) Mais attend (...) un lit deux place (...) Le doute s'installa dans l'esprit de Ai, //hummmmm// *réflexion de 20 seconde* surement pour se prélacer ! Elle ouvrit l'armoire, et toutes ses affaires était rangé même ... le sous vêtements de madame ! Comme ses cours était terminé, elle pouvait opter une tenue décontracté elle prit un slim, un haut décolleté et quelque bijoux. Elle brossa ces cheveux blanc //YES !// et entendit soudain la porte s'ouvrir (...) rien avoir avec la discrétion de Ai de tout a l'heure (...) et elle entendit soudain quelqu’un parler, un élève sens doute avec cette voix :

<élève>- Oups, désolé, on s’est perdu ! Je peux rentrer ?

il y eu un petit moment de silence et la prof bourré de tout a l'heure parla :

- Puis-je savoir ce que font deux de mes élèves préférés dans un dortoir qui leur est interdit ?
//Arggghhhhh// Les pauvres !!!! je sent venir l'heure de colle. Ai sortie de sa chambre et regarda ce qui se passa en passant sa tête de derrière le mur, deux garçons, des ados faisais face a la prof, plutôt mimi les garçons //^^// Mais attend on peut préférer des élèves!? mais c'est quoi cette logique ? Ai sortie de sa cachète, et fit face elle aussi au deux garçons. Comment sa ce fait que ces mecs soit la? a mon avis il ce sont perdue comme moi souvent... Enfaite elle préfère cette hypothèse //hi hi hi//

Pour finir, était-ce une bonne ou une mauvaise idée ce pari? La question n'aura une réponse que lorsque les deux adolescents seront ressortit de ce lieu dit « interdit aux élèves ». Vive les règlement qui ne serve à rien puisque 2 élèves y sont quand même rentrer... De toute façon, ils ne peuvent craindre grand chose... 2 heures de colles... A ce jour, cette sanction est plus une partie de plaisir que le reste... Ou alors peut-être un revoit... Oh mais être renvoyer chez-sois quand notre chez sois est en faite l'académie... C'est un peu difficile. Ou alors peut-être une autre séance de torture avec Matsuri... Hum peut-être. Ah ça fait toujours du sport en plus...

Comment expliquer la complicité de ces deux amis. Avec des paroles douces?

« Mais, c’est quoi cette tenue digne d’un croque mort ? »

Ah ben non, pas possible. Et oui, Atsushi et Shinji pouvaient être les meilleurs amis du monde, que dis-je de l'univers, que dis-je, de l'infini voie spatio-temporel que forme l'univers avec le système de la myopie de mon voisin [//SBAM!!!//]...Bref, ils pouvaient être très ami, ils ont toujours un petit jeu qui consiste à lâcher la vanne la plus conne et la plus appropriée pour le moment. Et on peut l'avouer, Atsushi gagne souvent... Et oui, notre cher écrivain, qui tape sur un clavier et qui fait vivre ce petit bonhomme qu'est Shinji, n'a pas la grande classe d'exploser les personnes qu'il voie avec des vannes dignes de la création du monde... Mais tout possible dans ce monde où chaque être vivant a sa propre fonction dans la société.

Atsushi, l'homme le plus dingue de toute l'académie, sera le premier élève à fouler le dortoir des profs du pied. Mais qu'elle extase... Enfin, moi je prendrais ça comme un événement national avec une fête digne de la fête de Pâques... Bref je m'égare. Atsushi ouvrit la porte avec le style que l'on pourrait nommé: « J'ouvre une porte et je frappe après »... Je pourrais vous faire toute une théorie sur ce style mais je crains que mon temps ne soit déjà que trop utilisé par ces différents paragraphes qui ne sont là que pour montrer à Yuka que je sais faire des postes de + de 15 lignes...

Donc Atsushi ouvrit la porte tout en lançant...

« Oups, désolé, on s’est perdu ! Je peux rentrer ? »

Il est vrai que cette phrase a dû être méthodiquement cherchée pendant un long moment. Posé une question et se foutre de la réponse, c'est tout un talent. Et moi j'admire les personnes qui vont sonner chez les gens et qui disent: « Bonjour, je peux rentrer? » et qui rentre sans même attendre la réponse. C'est en effet les personnes qui sont vite retrouver dehors en train de sonner à une deuxième maison. Mais dans le cas présent, le fait d'être 2 peut faire tout changer. Et oui, le fait de se retrouver en couple permet une grande aide entre les deux compatriotes... Bref tout ça pour dire que Shinji avança et se dirigea vers la porte, avec cette habitude de rester silencieux.

Mais comment peut-on expliquer la situation qui va suivre? Je vous pose cette question pour vous garder dans un SUSPENS!!! Et oui, un grand moment dans l'histoire de Takuestsu va enfin apparaître sous vos yeux. En effet, Shinji va parler [SBAFFF!!!!!!]... Bon je disais donc... Shinji était entré en suivant son ami. Il referma la porte et put enfin admiré le chant des oiseaux qui volaient autour de l'académie. Oh que c'est mignon. Tout aurait pu rester si mignon et si beau mais il a fallu qu'une personne de la plus grande importance vienne faire son apparition... Le dirlo... Plus bas, non pas son pantalon... Mais oui, la prof des SA... OH, comment réagir face à cette découverte. Deux élèves dans un dortoir qui ne leur est pas approprié. Mais ça mérite la plus grosse des fessée... Mais ce sera une parole de Matsuri qui vint changer la donne à toute cette jolie petite introduction inutile de la part du narrateur...

« - Puis-je savoir ce que font deux de mes élèves préférés dans un dortoir qui leur est interdit ? »

Shinji pouffa de rire. Pour la première fois de sa vie, Matsuri avait osé parler de gentillesse. Vous avez bien entendu, Matsuri a dit préférés... Mais quelle changement. Si elle est gentille, c'est que ce n'est plus Matsuri... OÙ EST-ELLE?!

Mais à la place de cette question plutôt ridicule et peu utile, le jeune homme lança.

« Préféré? Oh mais c'est un bien gentil mot qui sort de votre jolie bouche. Serions-nous des privilégiés? »

Mais le jeune homme n'attendait aucune réponse de la part de son professeur. A vrai dire, il n'attendait plus grand chose mise à part fin de ce pari qui pourrait passer comme inutile. Mais vu la féroce force de son adversaire, tout ne se ferait pas en une minute et quarante-trois secondes. Néanmoins, le jeune homme avait une appréhension sur tout ce qui allait se passer. Il est vrai qu'avant de rentrer, il avait fait toute une liste de sanction qu'il pourrait avoir, mais aucune ne lui donnait envie de fuir. Tant mieux.

Le jeune homme pouvait donc observer une professeur en colère devant eux vu le lieu où ils ont osé mettre les pieds. Mais ce n'est pas tout... Mise à part les oiseaux, les arbres et les poussières volantes, personne ne venait détruire la magnifique rencontre entre les deux élèves et le professeur. Rien sauf un autre professeur. HAHAHA Shinji a l'oeil. Le jeune homme lança à haute voix.

« Ne vous cachez pas derrière ce mur, nous ne vous ferons aucun mal... Nous ne sommes que de simple et inconscients élèves qui viennent dans un lieu qui ne leur est pas destiné... »

[Désolé de ce post pourri... Je suis pas en bonne forme.]

- Préféré? Oh mais c'est un bien gentil mot qui sort de votre jolie bouche. Serions-nous des privilégiés?

Matsuri le regarda. Le temps que les mots fassent leur trajet nerveux entre les tympans et le cerveau, il y eu un petit vide. Rien de bien mechant, mais par rapport à la répartie habituelle de Matsuri, il y avait une chance, une infime chance que ses élèves remarquent que quelque chose clochait.

- Shinji ... Voyons ... vous savez bien que ze vous adore.

Oulah, il va falloir qu'elle fasse gaffe. Si elle commence à parler bizarrement, ils vont tout griller, et ça elle ne peut pas se le permettre. Quoiqu'il y a de fortes chances qu'ils ne le répètent pas. Mais elle ne peut pas courir ce risque ! Si elle commence à se dire ça, qu'est-ce qu'elle va laisser passer derrière ? Non, ça ne va pas du tout.

- Ne vous cachez pas derrière ce mur, nous ne vous ferons aucun mal... Nous ne sommes que de simple et inconscients élèves qui viennent dans un lieu qui ne leur est pas destiné...

Il y avait quelqu'un d'autre ? Un autre professeur ? Nan, c'était une mauvaise blague ! Elle l'aurait remarqué ... Quoique, avec la bouteille de saké qu'elle avait dans le sang ... Il n'y avait plus grand chose qu'elle remarquait. Elle se retourna vivement, comme elle l'aurait normalement, c'est à dire trop vite pour ses réflexes actuels, ce qui la fit manquer tomber. Elle se retint à la première chose qui tomba sous sa main, à savoir le canapé. Oops. elle se retrouva assise par terre, un coussin sur les genoux, et (comme par hasard !) c'était celui-là même qui servait à cacher les bouteilles et le verre. Ou plutôt avait servi, car tout était maintenant visible. Elle aurait pu essayer de les recacher, mais elle savait que c'était trop tard. Ils auraient tout vu avant qu'elle ne réussisse à remettre ce foutu coussin dessus.

- Journée de merde jusqu'au bout, hein ?

Elle partit ensuite dans un rire nerveux non contrôlé avant de s'appuyer contre le canapé, essayant de se relever, et n'y arrivant pas. Sachant que ça ne servait à rien de s'obstiner comme ça, elle tendit la main en l'air.

- Un gentleman pour m'aider à me relever siouplait ?

(c'est minuscule >.<)

« Shinji ... Voyons ... vous savez bien que ze vous adore. »

Shinji la regarda avec un regard plutôt perplexe. De un, elle parle encore avec tant de gentillesse qu'on pourrait croire que l'âme d'une bonne soeur est entré en elle. Mais de plus, elle a commencé à avoir un accent dont il ne connait l'origine. Le fait de zozoter pourrait lui paraitre familier vu les quelques pays qu'il a visité avant son arrivée au Japon, mais là, aucun ne lui revenait en tête.

Shinji put apercevoir une jolie petit frimousse passer le bout de son nez. Cette frimousse devait surement être un des professeurs qui vivent en ces lieux. Mais elle voulait surement savoir ce que faisait 2 élèves dans un lieu inadéquat pour eux. C'est si curieux de voir des élèves dans un salle qui leur est interdite? Moi je ne suis pas curieux quand le directeur fait une sortie de l'école alors pourquoi dans ce cas-ci tout le monde veut nous regarder. Enfin, quand je dis tout le monde, elles ne sont que deux. Et oui, Shinji avait réussi à avoir la preuve que la personne ayant montrer sa frimousse était une femme. Il ne la connaissait pas mais il en reconnaissait les traits féminins. D'un côté, sa venue est une aubaine pour nous, les deux garçons fous alliés. On ne se disputera pas les parts féminines... Enfin s'il prend la personne que je lui laisse... Sinon, ce sera plus compliqué. Shinji ne s'empêcha pas d'interpeler la personne se trouvant derrière la porte, peut-être par curiosité de savoir qui les regardait de ce regard si peu caché. Il est vrai que question espionnage, elle a encore du boulot.

« Ne vous cachez pas derrière ce mur, nous ne vous ferons aucun mal... Nous ne sommes que de simple et inconscients élèves qui viennent dans un lieu qui ne leur est pas destiné... »

Shinji avait la chance d'être au première loge de la plus grande dispute au monde, ou plutôt de la plus grosse sanction qu'il pourrait y avoir dans cette académie. Enfin c'est ce qu'il espérait... Il voulait absolument entrer dans la légende, accompagné de son ami. Il se voyait déjà dans les journaux de l'école: « Atsushi Ootani et Shinji Gerard, les premiers étudiants à être entrer dans les dortoirs des professeurs et à en sortir vivant... » Les dernières paroles étaient encore peu fiables. Il ne savait prédire le futur et savoir avec certitude s'il s'en sortirait vivant. Mais une pensée vint raviver l'esprit du jeune homme. Il fait parti de la classe SA, c'est à dire qu'il est important pour les yeux du directeur et donc la mort de deux élèves de classe SA ne serait être tolérée par le directeur. Conclusion, il est sûr de sortir vivant de cette embrouille... Enfin, si ses pensées sont exactes.

Dés la fin de sa phrase, le jeune homme put participer à un spectacle qu'il pourrait voir très rarement: une personne faisant une pirouette ratée. Faire un tour sur soi-même et tomber est la preuve que quelque chose cloche. Et le pire dans tout ça, c'est que c'est son professeur qui est dans le rôle de cette magnifique vedette. Oh comme c'est beau, comme c'est gracieux et divin, enfin tout devait être gracieux et divin, sauf la chute. Mais bon, on ne peut pas toujours tout avoir. C'est bien dommage vu les talents artistiques de son professeur. C'est vrai, elle a le talent de casser les élèves avec classe et élégance, mais aussi de créer des exercices toujours plus sadiques les uns que les autres, et pour finir, le talent de faire peur à toute personne qui l'énerve. Personnellement, j'admire Matsuri pour ce talent que peu de professeur de cette académie ont. Devrait-elle devenir prof de sarcasme en tout genre? ou encore création des pires châtiments de tout Bikini Bottom? Même Bob l'éponge ne pourrait nous répondre.

Donc, Shinji pouvait admirer le ballet qu'effectuait sa jeune et jolie professeur. Mais tout était gâché par cette chute qui révéla l'emplacement surprise de la soirée, à savoir la cache secrète des boissons alcoolisées. Shinji se tourna vers son ami qui semblait plus admirer les boissons que le reste. Et tout en douceur, il lui fit un clin d'oeil, insinuant qu'ils passeront une soirée plus que mémorable. Des bouteilles de saké, on aurait pu avoir mieux serte mais c'est toujours ça de gagner.

« Journée de merde jusqu'au bout, hein ? »

Serait-ce la découverte de son jardin secret qui l'a mit de mauvaise humeur? En tout cas, Shinji lui trouvait cela plutôt drôle comme situation. Oh que dirait le directeur s'il voyait son meilleur élément de tous ses états? Oh ce serait la plus grosse fête du siècle. Non, en faite, ce serait la pire chose qui puisse lui arriver. Il serait virée et ne pourrait plus jamais enseigner car ceci serait noté dans un rapport qui la plongera dans une dépression que nul le peut en sortir. Bref, il fallait tout faire pour éviter qu'elle se fasse prendre par le directeur. Mais d'un côté, que viendrait faire le directeur dans ce dortoir alors que c'est l'un des seuls membre de l'académie à pouvoir dormir chez lui, tranquillement et sans les désagréments de tous les petits gourmands du soirs. Ils sont parfois trop nuls en plus, il faudrait leur apprendre à se déplacer sans faire un bruit. On nous a apprit cela, mais pourquoi pas à eux. Surtout qu'ils ne font cela que pour mieux se sentir et mieux dormir... Mais c'est dérangeant pour toute personne qui les entends, en l'occurrence, Shinji. Un étage de différence et il entend tout... Halalala.

« Alors comme ça, on nous cache quelques bouteilles... Que diriez-vous de profiter de la soirée, de se détendre tout en buvant à volonté. Mais attention, CHUT, il ne vaut rien dire au directeur sinon, nous sommes tous les 4 morts. »

Shinji visait surtout Matsuri et Ai dans ce message. Il savait que c'étaient les deux talons d'Achille de cette soirée. Un mot de trop et les 4 personnes seront empailler au dessus de la cheminer... Heuk. Mais il semblerait que Matsuri ne pourrait rien dire puisqu'elle est l'instigatrice de toute cette soirée. Donc, Shinji et Atsushi seraient un peu sauvés si jamais quelqu'un parle. Bref, il ne faut que personne ne parle, c'est beaucoup plus simple. Matsuri agita le bras vers le ciel, comme demandant un renfort divin. Était-elle si bourrée que ça? Elle ne savait pas se relever... Peut-être est-ce si grave que ça...

« Un gentleman pour m'aider à me relever siouplait ? »

Le jeune homme sourit à la vue de la scène. Il regarda vers la porte, toujours entrouverte mais dont personne n'est encore sortit. Il fit un signe de la main, demandant à la jeune femme de venir les accompagné dans cette festivité qui allait commencer. Après tout, pour une fois qu'on peut s'amuser tous ensembles, professeurs comme élèves. Quelle belle image à immortaliser. Mais en vérité, immortaliser cet événement serait prendre le risque de dévoiler cette fête. Donc, c'est pas bon. Il s'approcha ensuite du professeur, toujours en demande d'aide. Il lui tendit la main et l'a mit sur le canapé qu'elle voulait utiliser comme soutient.

« Que la fête commence!!! »

Shinji regardait autour de lui, il ne voyait rien de bien, quelques bouteilles de saké, 1 verre... Et on est 4. Le jeune homme se leva et se dirigea en vitesse vers la cuisine. Arrivé en ces lieux, il prit quelques bouteilles, de la bière, des verres,... Bref, tout ce qu'il fallait pour que cette fête soit réussie. Il pensa même à prendre une radio, on ne sait jamais quand l'envie de danser nous emporte. Il en profiterait surement pour... Oh surprise surprise... Suspens, ça ne se fait pas de tout dévoiler à tout le monde comme ça tout de suite. Sinon, il n'y a plus aucun plaisir à lire la suite.

Dés le retour du jeune homme, il donna un verre à tout le monde et les remplirent un par un. Quand tout le monde eut son verre plein, le jeune homme leva son verre en proférant quelques injures à cause de la piqure de moustique qui lui avait été administré dans un lieu connu sous la métaphore de deux collines entourant un précipice. En bref, le c** XD.

« Je souhaite porter un toast à Matsuri qui, sans elle, on n'aurait pas autant envie de faire la fête et de se bourrer la gueule jusqu'au lever du soleil... Et aussi à Atsushi sans qui nous ne serions pas ici en ce moment... Et aussi à... Comment est-ce votre nom?... Ai c'est ça? Oui Ai qui sans elle, on se serait moins amuser car plus on est de fous, plus on rit. Et enfin, je tien à me remercier pour... »

Shinji n'eut pas le temps de finir qu'il fut ramener en vitesse sur le canapé par une main dont il ne connait l'origine et cette dernière obligeait le jeune homme à boire. Ainsi commença la douce fête entre élèves et professeurs.

« Ne vous cachez pas derrière ce mur, nous ne vous ferons aucun mal... Nous ne sommes que de simple et inconscients élèves qui viennent dans un lieu qui ne leur est pas destiné... »

Gandalf a parlé ! Mais cette vanne il la garderai pour lui, on était sur le champ de bataille maintenant, on devait se soutenir, pas s’enfoncer ! Atsushi esquissa un petit sourire. Il devait être comme deux rochers balloté par les flots et la tempête, tel deux esquimaux perdus dans New-York de dont la deuxième langue est le mandarin sub-saharien. Ils devaient être indestructible et uni. Se retournant, il ferma la porte en jetant un coup d’œil (ou d’onde) pour détecter d’éventuelles oreilles indiscrète. Il n’en vu aucune et ferma la porte scellant par la même leur destin. Désormais, ils étaient prisonnier dans la tanière du loup, la cible de la drague, au main de leur « adversaire »...

Et voilà Matsuri qui choie (surement à cause de la joie de voir deux de ses élèves dans sa chambre de manière aussi peu discrète...), s’écroulant du canapé, un coussin agrippé dans sa main. Mais où était donc passé les magnifiques réflexes de notre professeur spécialisé... ? Où était sa grâce naturelle dans tous ses mouvements rapide et précis qui faisait souffrir et avoir mal ? Mais où étaient-ils ? Peut être, je ne sais pas, la réponse se trouvait-elle dans les bouteilles révélées au grand public, gentiment posées sur le canapé, dans l’attente et l’expective d’un gosier asséché ? Et ce n’était pas des bouteilles d’eau...

- Journée de merde jusqu'au bout, hein ?

Ha nan !! C’est génial !! Les choses n’aurait pas pu mieux tourner ! Mis à part l’état cliniquement incorrect de Matsuri (verriez-vous votre prof de math bourré au saké... ?), c’était le summum de ce qu’il pouvait arriver de mieux à nos deux adolescents ! De l’alcool gentiment offert par notre chère prof des SA pour, je cite, « ses deux élèves préférés »+ deux profs donc pas besoin de ce tiré la bourre avec Shin et on a même pas été refoulé à l’entré ! Parfait parfait parfait (je le répète trois fois pour vraiment qu’on comprenne)...

« Alors comme ça, on nous cache quelques bouteilles... Que diriez-vous de profiter de la soirée, de se détendre tout en buvant à volonté. Mais attention, CHUT, il ne vaut rien dire au directeur sinon, nous sommes tous les 4 morts. »

« Ô mon dieu ! Mais « madame » Matsuri, vos n’êtes pas totalement saines de corps et d’esprit ? Et votre vertu des SA ? Et votre self-control en toutes occasions ? Mais maintenant, qu’elles sont découvertes... je crois qu’on a pas le choix, elles sont ouvertes ! il faut les finir ! » continua Atsushi un grand sourire fleuretant sur son visage. En effet, celle qui était respecté comme une femme autoritaire, bien sous tout les rapports, sans jamais flanché et incroyablement puissante, se trouvait là en état de faiblesse... Et quel faiblesse !

« Que la fête commence!!! »

J’approuve, j’acquiesce, Shinji barman... déjà ça me plait déjà ! Le pauvre s’enfuit vers la cuisine surement à la recherche de verres pour trinquer, boire, faire la fête, ~~se mettre une cuite mémorable~~, profiter de la vie !

« Vous allez voir que il va revenir il va nous faire un super discours dont il a le secret... C’est évident ! » proféra Atsushi en parlant du joyeux drille qu’était son ami... Et il n’y manqua pas. Après avoir rempli le verre de chaque « invité » présent, d’une dose non négligeable d’alcool, il s’exclama d’un voix solennelle, dans une pose digne de Cicéron face au peuple romain en attente de la plaidoirie de célèbre rétheur (il ne manqua que la toge, ici, remplacer par son super costume) :

« Je souhaite porter un toast à Matsuri qui, sans elle, on n'aurait pas autant envie de faire la fête et de se bourrer la gueule jusqu'au lever du soleil... Et aussi à Atsushi sans qui nous ne serions pas ici en ce moment... Et aussi à... Comment est-ce votre nom?... Ai c'est ça? Oui Ai qui sans elle, on se serait moins amuser car plus on est de fous, plus on rit. Et enfin, je tien à me remercier pour... »

« Mon dieu sauvez nous de ces paroles interminable»... priait Atsu, implorant la divinité des fêtes réussi et des anti-discours de Shinji. Il avait beau savoir que Shinji adorait ce genre de discours, en faisait une manière de vivre, mais lui ... c’était autre chose ! Il n’était pas tellement porté sur le discours sérieux et sans ambigüité, c’était plutôt l’inverse. Le discours lui plaisait, les conversation le passionnait, lorsqu’elles étaient tendancieuses, imprévues, spontanées, ambigüe, particulière, sous-entendu, stupide ou carrément direct. Et là il était en train de révélé que ce qui se passait maintenant, à savoir leur intrusion était prévu à l’avance. Et il ne fallait surtout pas que ça se sache !

Choppant vivement son ami au col de sa chemise, il le ramena en vitesse sur le canapé et lui dit en lui collant son erre sous le nez :

« Concours de cul-sec ! Je suis sûr que j’vais plus vite que toi ! »

Et il le força à boire son verre soutenant son regard ébahi. Bien sûr la lutte était inéquitable... Atsushi avait commencé à boire très largement avant son ami. Leur verre se vidait petit à petit, mais celui d’Atsu était inévitablement en avance... Et fini complètement asséché bien avant celui de Potofeu...

« J’ai gagné !!! T’as un gage !!! Qui m’aide à la trouver ? » demanda Atsushi d’un ton candide portant un regard malicieux sur l’assemblée qui allait jugé du châtiment de Shinji...

Désolé vieux, mais c’est tellement drôle ! ^^

Invité

« Ne vous cachez pas derrière ce mur, nous ne vous ferons aucun mal... Nous ne sommes que de simples et inconscients élèves qui viennent dans un lieu qui ne leur est pas destiné... »

Ai était maintenant à découvert, même si elle avait fait exprès. Les deux garçons aussi séduisant l'un que l'autre la regardèrent avec appétit. L’un des garçons lança un petit sourire moqueur et referma la porte derrière lui tout doucement comme ci il ne voulait pas que la porte ce casse en mille morceaux, il regarda derrière la porte par une petit ouverture comme un espion en pleine mission secrète.

Un instant plus tard Ai détournait le regard de ces deux garçons, étrangement beau et observa la posture étrange de sa collègue à la bouteille de sake, en effet la jeune prof à la bouteille de sake était complètement écroulé sur le canapé en s’agrippant à un coussin tout piteux, décidemment cette prof était tout sauf une prof comme les autres, n’empêche elle c’était quand même sifflé un bonne moitié de la bouteille de sake. Quand on ne tient pas l’alcool on n’en boit pas !

-Journée de merde jusqu'au bout, hein ?

Hein ? De quoi elle parle ? Si c’était de sa gamelle, Ai en 2 minutes elle te fait 6 gamelles d’affilés ! Mais ai compatit, c’est vrai que c’est vraiment la honte de ce gaméller complètement bourré, mais bien heureusement pour Ai quand elle est bourré elle ne tombe jamais c’est super mais pour que Ai soit totalement bourré il faudrait 2 litres d’alcool, et encore, de l’alcool très forts tel que le rhum.
Les deux garçons ce regardèrent d’un air joueur, Ai semblait avoir un peut peur de ce qui pourrait bien lui arriver.et c’est alors que l’un d’entre eux dit : « Alors comme ça, on nous cache quelques bouteilles... Que diriez-vous de profiter de la soirée, de se détendre tout en buvant à volonté. Mais attention, CHUT, il ne vaut rien dire au directeur sinon, nous sommes tous les 4 morts. »

Oui c’est réaliste si le dirlo est au courant et que Ai … Mais attendez là ! Ai est compris dans le lot !!! Mais sa ne ce fait pas ! Mais bon comme personne n’était au courant ce n’est pas trop grave et puis de plus Ai avait vraiment envie de ce souler au saké pour oublier sa journée avec le pot de peinture jaune fluo, et l’eau de javel qui lui piquait encore la peau.
Et la, un jeune garçon dit : « Ô mon dieu ! Mais « madame » Matsuri, vos n’êtes pas totalement saines de corps et d’esprit ? Et votre vertu des SA ? Et votre self-control en toutes occasions ? Mais maintenant, qu’elles sont découvertes... je crois qu’on n’a pas le choix, elles sont ouvertes ! Il faut les finir ! »

*ce n’est pas très faux ! Sifflons-nous les petites bouteilles de sake* pensa Ai avec envie, c’était limite si elle en bavait.
et a ce moment précis Ai entendit : « Que la fête commence!!! »

Ai n’attendait plus que ce mot, et enfin il avait été prononcé, elle ce jeta sur les bouteilles de saké déjà ouverte pas la prof à la bouteille de saké et s’en siffla la moitié d’une. Un des garçons était partit en direction de la cuisine, oh trop aimable, des verres, mais avec le saké ce n’est pas la peine !

« Vous allez voir que il va revenir il va nous faire un super discours dont il a le secret... C’est évident ! »

Ahh un discourt ! Super, avec le saké ça fait fête ou mariage mais là Ai pensais plus qu’a une chose, la deuxième bouteille c’est pour quand ? les deux garçons remplirent les verres modérément, Ai regardait son verre et les regardèrent d’un air qui voulait dire, « c’est tout ?? » et la, le jeune parla :
« Je souhaite porter un toast à Matsuri qui, sans elle, on n'aurait pas autant envie de faire la fête et de se bourrer la gueule jusqu'au lever du soleil... Et aussi à Atsushi sans qui nous ne serions pas ici en ce moment... Et aussi à... Comment est-ce votre nom?... Ai c'est ça ? Oui Ai qui sans elle, on se serait moins amuser car plus on est de fous, plus on rit. Et enfin, je tien à me remercier pour... »

Ouai ! il as raison et maintenant on boit quand ? Maintenant ? :

« Mon dieu, sauvez nous de ces paroles interminable»

Ai était tout à fait d’accord avec l’autre, et se siffla son verre en deux seconde juste après que le garçon eu finit son interminable discourt.
A ce moment un des garçons attrapa son amie et lui lança un défit que même Ai aurait relevé sans problèmes :
« Concours de cul-sec ! Je suis sûr que j’vais plus vite que toi ! »
Les deux garçons burent leurs verres et l’un d’eux dit :

« J’ai gagné !!! T’as un gage !!! Qui m’aide à la trouver ? »

Ai réfléchissait, se creusait la tète pour trouver un bon gage, Ai cherchait un très bon gage.
Et elle trouva :

-J’ai une idée, euhhhh … Shinji ? oui, bon tu devras te promener en sous vêtement jusqu’à minuit ici. c’est raisonnable ?

Ai était content de son gage mais cela plaira t-il a Shinji ?

Oups, non seulement elle était découverte, mais en plus ils en profitaient. Heureusement pour elle, enfin surtout pour eux, elle ne se rappellerait sans doute rien le lendemain matin. Oui, sans doute mieux pour eux. Le peu de conscience qui lui restait lui permit de répondre à Shinji.

- Tous les 4 ? Ne m’incluez pas dans le lot, je vous prie. De toute façon, je suis découverte, alors profitez-en pour boire ce que vous voulez, mais moi je ne crains rien ... Je suis bien au-dessus des règles de l’établissement. Quant à vous Atsushi ... j’abandonne. Pour l’instant, vous êtes plus aptes à vous défendre verbalement que moi, et je n’ai pas la tête à ça.

Elle insista bien sur le verbalement.

- Mais ne croyez pas que je fasse ceci sans raison. Enfin, cela ne vous regarde pas. Quant aux bouteilles ...

Elle jeta un regard las aux bouteilles, détaillant le nombre, la quantité, ...

- Faites-en ce que vous voulez, je ne cautionne pas vos actes.

Shinji l’aida ensuite à se relever. Un type sympa celui-là ... surtout quand il y avait quelque chose à la clé. Mais bon, ça, c’était une autre histoire ... Une fois debout, elle dépoussiéra ses affaires, en tentant de garder l’équilibre. Une fois, ça va bien, deux, c’est trop. Shinji partit chercher des verres. Oh my ... bah, tant pis, ils se saouleraient et repartiraient ensuite, tranquillement. On va essayer de sen convaincre, hein ? Hein Matsu ? ... Matsuri ? Ah, nan, cerveau déconnecté, trop tard. Désolée, repassez plus tard et laissez un message !

Shinji revenu, chacun fut servit avec une bonne rasade de saké. Ouais ! On continue à boire ! Mieux valait pour elle ne pas arrêter d’ailleurs, au risque de reprendre ses esprits un peu trop tôt. Oui, elle avait décidé de lâcher prise. Tant pis, advienne que pourra. Les autres étaient responsables d’eux-mêmes, elle ne décidait plus de rien. Journée pourrie ? Soirée amis ! Enfin, amis ... C’était vite dit, même si a beuverie qui se déroulait devant ses yeux inconscients y ressemblait fortement. Shinji prononçait un discours. Elle entendait les paroles sans les comprendre vraiment, laissant le flot la bercer presque. Elle releva juste la tête en entendant son prénom, mais ne comprit pas tout, et retint juste le « Atsushi sans qui on ne serait pas là en ce moment ». Pourquoi ça ne l’étonnait pas ? Il était bien du style à faire ça. Mais pourquoi diable étaient-ils venus ici ?

Ouch, ma tête ... Arrête de penser, et bois plutôt ton verre, Matsuri, ça vaudra mieux. D’ailleurs, tous ont bu. Et Atsushi demande de l’aide pour un gage. Un gage ? Pourquoi Shinji aurait-il un gage ? Pas tout suivi là ...

- J’ai une idée, euhhhh … Shinji ? Oui, bon tu devras te promener en sous vêtement jusqu’à minuit ici. C’est raisonnable ?

Matsuri tenait sa vengeance ... et un bon mattage tranquille et discret. Quoi ?! Shinji faisait partie de sa classe, et si elle maltraitait ses élèves (oh, tout de suite les grands mots ...) elle connaissait très bien leur anatomie pour les soigner tout autant. Et Shinji avait un beau corps d’athlète. Comme Atsushi d’ailleurs ... Oui, très bien foutus, les deux adolescents ...

Aïe aïe aïe ... ça devient grave ... Tant pis, fonçons ! L’alcool embrumant son esprit aidant, elle prononça d’un air mi-neutre, mi-amusé la sentence.

- Totalement d’accord. Je t’autorise à faire ce gage, Shinji. Après tout, je suis bien ton professeur. Atsushi, puisqu’apparemment vous êtes responsable de cette fête improvisée, vous êtes condamné à enlever votre T-shirt. Nous, nous gardons nos vêtements si vous le permettez. Enfin, même si vous ne le permettez pas à vrai dire.

Un coin de l’esprit de Matsuri se surpris à prier pour qu’ils n’aient pas l’idée d’un « srip-quelque-chose » ... Décidément, ça allait loin ... L’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération ;)

[hrp : j’ai rien dit, j’ai rien fait, je n’insinue rien du tout ... 0=) ]

« -J’ai une idée, euhhhh … Shinji ? oui, bon tu devras te promener en sous vêtement jusqu’à minuit ici. c’est raisonnable ? »

Le jeune homme sourit. Après tout, ça pourrait être drôle comme situation.

« Totalement d’accord. Je t’autorise à faire ce gage, Shinji. Après tout, je suis bien ton professeur. Atsushi, puisqu’apparemment vous êtes responsable de cette fête improvisée, vous êtes condamné à enlever votre T-shirt. Nous, nous gardons nos vêtements si vous le permettez. Enfin, même si vous ne le permettez pas à vrai dire. »

Shinji ne voyant pas d'autre alternative s'exécuta à son tour. Mais lui et l'alcool, ça ne faisait pas toujours bon ménage. Il se rétama donc assez facilement en voulant enlever son pantalon.

« Ne vous inquiétez pas... Je n'ai rien... »

Une fois totalement... Ou presque déshabillé, le jeune homme se mit sur la table et lança un cri sournois dans toute la salle.

« C'est la féte C'est la FFFFF... FFFÉÉÉÉTEEEEEEEE!!!!! »

Le garçon ne tenait même plus sur ses jambes, il manqua à 3 reprises de s'écrouler par terre à cause du petit cul-sec qui pourtant était suffisant pour mettre Shinji OUT... La fête se terminera plus vite pour lui...

« J'ai une idée... A chaque cul-sec que Shinji et moi buvons, vous retirez un vêtement. »

Les idées non-claire, le jeune homme arrivait même à oublier le nom de son ami et surtout se prendre pour lui.

« SHINJI, FAIS DES FEUX D'ARTIFICES AVEC TES FLAMMICHES!!!! »

Il faisait déjà tous les gestes que devait faire Atsushi pour les feux d'artifices. Il s'y prenait tellement qu'il faillit une nouvelle fois de tomber en avant sur son professeur. Il prit une bouteille d'alcool dont il ne pouvait voir l'étiquette vu son état actuel et la vida en quelques minutes. Il sentit un coup quelque chose remonter en lui.

« Maitresse, arrêter de me lécher le ventre... C'est pour plus tard ça. »

Bien sûr, personne ne lui léchait le ventre... C'était plutôt la boisson qu'il venait de boire qui avait envie de liberté. Pris au dépourvu [Enfin, pour lui c'est le cas], le jeune homme s'écroula en arrière, se remis debout et se dirigea seul dans la cuisine. Enfin, il déversa tout son estomac dans l'évier le plus proche. Ensuite, il tomba littéralement et rampa jusqu'à ses compagnons. Une fois ses compagnons visible, il alla chercher de sa main droite un tissu et le lança au professeur de dessin.

« Cadeau de la maison!!! »

Ainsi, le jeune homme s'endormit nu dans la cuisine tandis qu'Ai se retrouva avec un slip sur la tête...

[HRP: C'était la seule idée qui m'était venue à l'esprit... >.>]

Invité

ahhhh ce que Ai avait pue être fière d’elle enfin un gage qui lui semblais insurmontable ! C’est alors que Shinji sourit : « tient mon gage n’était pas si terrible que sa ?! Ce disait-elle toute déçue.

« Totalement d’accord. Je t’autorise à faire ce gage, Shinji. Après tout, je suis bien ton professeur. Atsushi, puisqu’apparemment vous êtes responsable de cette fête improvisée, vous êtes condamné à enlever votre T-shirt. Nous, nous gardons nos vêtements si vous le permettez. Enfin, même si vous ne le permettez pas à vrai dire. »

Mademoiselle bouteille de saké était d’accord avec le gage qui paraissait risqué pour Ai, Soudain, Shinji commença à enlever son tee-shirt, chose qui ne la dérangeait pas totalement mais quand il s’agissait d’un homme qu’elle connaissait à peine ça changeait un peut sa vision des choses. Le pantalon du jeune homme glissait le long de ses jambes ce qui commença à déranger Ai de plus en plus, pourquoi à chaque fois qu’il y a des hommes à une soirée sa dérape autant ? Et la, le truc qui casse toute une ambiance, Shinji le strippe-tiseur, se rétama comme une vielle quiche molle.

« Ne vous inquiétez pas... Je n'ai rien... »
Quand ces mots fut prononcé elle ce calma un peut, et encore plus étrange, son cœur battait à la chamade, elle serrât très fort son vêtement, juste à l’emplacement du cœur : « hé, doucement ! Que m’arrive-t-il ? » Elle ce demanda si ce n’était pas les effets secondaires du la bonne dose de saké qu’elle avait déjà engloutit, et finit par croire à sont hypothèse.

« C'est la fête C'est la FFFFF... FFFÉÉÉÉTEEEEEEEE!!!!! »

Le jeune homme complètement ivre ce tenait maintenant sur la table basse et avait crié ces quelques mots. Shinji vacillait et faillit tomber 2-3 fois.

« J'ai une idée... A chaque cul-sec que Shinji et moi buvons, vous retirez un vêtement. »
Une idée qui ne plaisait pas tellement à Ai, surtout que maintenant que Shinji était ivre, il ce prenait pour son ami. Ai ce sifflât sa bouteille très rapidement, et regarda Shinji d’un air désolé.

« SHINJI, FAIS DES FEUX D'ARTIFICES AVEC TES FLAMMICHES !!! »

Tout en imitant les gestes, il manqua de tomber un quatrième foix sur Ai. Il prit une bouteille d’alcool que Ai regardait avec envie, c’était une bouteille de Vodka.
Mais Ai ce rendit compte un peut tard de l’erreur qu’avait fait sont élèves, L’élève commença à avoir des allusionnassions assez douteuse :

« Maitresse, arrêté de me lécher le ventre... C'est pour plus tard ça. »
Shinji s’écroula sur le sol sur le dos, et se dirigeât vers la cuisine, Nous entendîmes Shinji vomir tout le contenue de sont estomac.

« Je vais aller voir si tout vas bien, j’ai un peut l’habitude des gents qui vomissent à cause de l’alcool. A tout de suite ! »

Ai se leva, et se mit à l’entré de la cuisine, mais Shinji avait finit de vomir, et se retrouva en train de ramper presque nue. Ai s’accroupie devant Shinji, qui avait une tête de chien battue qui intimidait Ai et la :

« Cadeau de la maison !!! »

Shinji lui lenca un morceau de tissu sur sa tête. A regarda plus attentivement l’endroit d’où pouvait provenir ce morceaux de tissu, et Remarque que Shinji était à poil.
Le jeune homme s’endormis paisiblement, mais Ai elle était plus gêné que jamais elle sa releva, retira le caleçon salle de Shinji de sa tête, et aida Shinji à ce relever.

« Je le conduit dans ma chambre pour qu’il se repose je reviens tout de suite ! »

Ai traina Shinji jusqu’à la porte de sa chambre, elle ouvrit la porte maladroitement ce qui fit basculer la tête de Shinji su l’épaule de Ai, Ai rougissait.
Elle posa le jeune homme nu sur son lit.

« Décidemment, tu fait tout pour que je replonge ! »
S’adressât-elle au visage endormit de Shinji.
Puits une pensé traversa l’esprit de Ai. Elle plongeât sont doux regard sur Shinji et lui vola un baisé

« En remerciement pour ton cadeaux, triples andouilles !»

Elle se releva et recouvrât le corps de Shinji avec la couverture et déposa le caleçon au pied du lit. Elle sortit de la pièce en regardant le jeune endormi. « C’est sur que comme sa tu es deux foix plus mignons ^^, mais tu es trop jeune pour moi hihihihi »

Ai regagna le salon, et rassura les autres :
« Il dort pour l’instant, et il ne tardera pas a ce réveiller !^^ »

Les événements ne s'étaient pas passés extrêmement vite, mais il faut croire que le cerveau est sélectif dans le tri des informations lorsqu'il est légèrement (oui, juste un tout petit légèrement) imbibé d'alcool. Elle admira certes le joli corps de Shinji (quelle femme digne de ce nom ne l'aurait pas fait, cela dit ?) mais le reste ... Hum ... Un peu plus flou. Jusqu'à ce que Ai décide d'emmener Shinji dans sa chambre. Là, le cerveau se réveilla. Mais pas le bon côté.

Vous savez tous que le cerveau est divisé en deux hémisphères (ou en tout cas, maintenant, vous le savez). L'un est dit plutôt rationnel (gauche) et l'autre créatif (droit). Pas de chance ! C'était le cerveau droit qui s'était remis en marche. Elle se leva donc sans aucune rationalité et enjamba Atsushi (depuis quand était-il à côté d'elle, lui ?) pour ... se vautrer bien comme il faut en se prenant les jambes dans les siennes. En essayant de se rattrapper, elle retomba en arrière sur le jeune homme. Mais dans le mauvais sens. Face contre lui. Encore que mauvais sens n'aurait ici pas sa place puisque le jeune homme avait obéi à son ordre et enlevé son T-shirt (quand d'ailleurs ?) ce qui en soit, était ... plutôt sympathique.

Elle se releva tant bien que mal et s'assit à côté du jeune homme, évitant de le regarder.

- Excuse-moi. Je ... J'ai trébuché. Enfin, tu as du t'en rendre compte. J'espère que je ne t'ai pas fait mal ...

Elle passa une main dans ses cheveux avant de partir dans un fou rire incontrôlable qui se finit sur les lèvres d'Atsushi. Fugace, léger, simple courant d'air, rêve ou réalité ? Sans doute réalité car elle lui adressa un clin d'oeil agrémenté d'un doit sur les lèvres et d'un "chut" muet avant de se relever et de partir un peu plus loin.

Une fois debout au milieu de la pièce, elle se retourna vers lui et le regarda, étonnée.

- Depuis quand je me suis levée au fait ? Je n'étais pas assise sur le canapé il y a quelques instants ?

C'est à cet instant qu'Ai rentra, indiquant que Shinji ne devrait pas tarder à se réveiller. Matsuri poussa un grand soupir.

- Cette soirée est une vraie catastrophe ...

Elle se laissa tomber dans un fauteuil et ferma les yeux. Sommeil ... Mais elle ne pouvait pas dormir. Elle les rouvrit donc bien vite, contemplant le désordre apparent.

- Oui, une vraie catastrophe ...

Le classieux prince des flammes était hors combat, par KO. 1 à 0 pour le saké. Et oui, salamèche ne tenait pas bien l’alcool et le somme s’était subrepticement emparé de son esprit, le plongeant nu, dans les limbes d’une demi vie peuplée de rêves ou de cauchemars rendus grotesque par l’abus d’alcool. Nous vous rappelons que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et que... Et si on ajoutait à la présente situation, une Ai avec, posé sur sa tête, le dernier vêtement, qui pourtant avait résisté, tant bien que mal, au génocide vestimentaire de Shinji dont l’esprit n’était plus net à cause de l’alcool, plus un Potofeu qui nous fait un crise hallucinogène et s’imagine un étonnant enchainement de situations incongru (Maiiistressssseee.... ôô mon dieu Potofeu reviens nous...) et pour finir une Matsu qui condamne Atsu a enlever son T-shirt pour l’occasion et ce par simple perversité au vu de l’excuse utilisé, la scène s’avérait être tous qu’il y avait de plus décalé, de plus étrange, de plus inattendu. Mais c’était là tout le charme de la situation.

Atsushi retira donc de bonne grâce son T-shirt alors que tout le monde était occupé à observer attentivement le petit spectacle improvisé par Shinji. Notre jeune adolescent le regarda fuir dans la cuisine, lors de la chute et du clou final de sa représentation (attention à ne pas marcher dessus) Ai le poursuivant pour aller l’aider à ne pas clamser seul dans la nourriture. Il se débrouillerait bien seul avec elle le bougre, il n’avait pas besoin de lui pour ça, non ? Alors pourquoi ne pas profiter de cet excellent saké abandonné sur la table, que Matsuri leur avait gracieusement offert au prix d’une fête non prévu ? Aucune raison de ne pas faire honneur à la maison.

Mais alors qu’il tendait vivement la main vers la bouteille se relevant légèrement du dossier de son fauteuil pour attraper la sacro-sainte liqueur, ce n’est pas face à l’alcool qui provoque l’oubli qu’il se retrouva, mais nez à nez avec Matsuri, une violente douleur lui vrillant sauvagement le mollet droit. D’un côté, ce n’était pas comme si Matsu, de tout son poids, venait de s’appuyer sur sa jambe avant de s’écrouler contre lui, car il est bien connu que l’inertie d’une personne bourré est légèrement plus violente que celle d’une personne sobre. C’était donc tout le poids de la « madone » qui venait de le percuter de plein fouet.

- Excuse-moi. Je ... J'ai trébuché. Enfin, tu as du t'en rendre compte. J'espère que je ne t'ai pas fait mal ...

« Nan, articula Atsushi un sourire crispé sur les lèvres, j’ai presque rien senti, on va dire que tu pèse pas lourd » Mais il avait beau dire ça, il sentait la crampe venir, se propager furtivement mais douloureusement dans toute sa jambe. Vous pourrez noter au passage, lecteur fidèles et attentifs, le tout nouveau tutoiement d’Atsu à l’égard de sa professeur, en espérant que Matsuri, elle, ne le note pas, et qu’ainsi Atsu ne finisse pas clouer à une croix en plein milieu de l’académie après une lapidation. Priez pour lui mes très chers frères... à ce moment Atsushi frôlait la peine capital. Mais quel intérêt à enfreindre les règles, s’il n’y a aucun risque ?
Un fou rire éclata timide mais cristallin dans la salle. Subtilement des lèvres se posèrent doucement l’une contre l’autre, courte pendant un instant sensuel. Agilement un doigt discret se posa sur les lèvres de Matsuri dans une promesse de silence muette. Tout d’un coup, ce n’est plus frôler la mort qu’Atsu faisait. Il en était rendu à fleurter avec elle. On passe au cran supérieur.

- Depuis quand je me suis levée au fait ? Je n'étais pas assise sur le canapé il y a quelques instants ?
Cette soirée est une vraie catastrophe ...
Oui, une vraie catastrophe ...

Ai était rentré, leur signalant que Potofeu n’était pas mort, et que ses jours n’était pas en danger mais ce n’était pas la priorité d’Atsu. Ce n’était plus dans ses préoccupations. Son cerveau imprévisible venait d’être traversé par une idée délicieusement interdite et proscrite. Il allait tenter le diable et passé un pacte avec Satan. Il se leva et alla s’assoir sur les jambes de Matsu qui s’était rassise. Ainsi, il était face à elle, incroyablement proche. Elle ne pouvait plus se lever, emprisonnée par le poids d’Atsu, posé une jambe de chaque côté, Atsu qui s’appuya ses deux mains sur les cuisses de Matsuri, se penchant légèrement vers elle.

« J’ai été condamné à enlever mon T-shirt pour l’organisation de cette fête, déclara-t-il. D’accord, la raison peut paraitre valable. Mais j’exige une égalité de jugement. Normalement, pour avoir amener du Saké tu devrais aussi être condamné à enlever ton T-shirt. Et pour m’avoir voler ce baiser, je ne vois pas d’autre punition que de t'en voler un autre, avec des intérêts, donc meilleur que celui-ci. Je ne vois pas autre chose... ça te va ? »

Malgré tout Atsu tenait un peu à la vie. Il préférait encore demander un minimum avant d’agir avec Matsuri. Et, si elle acceptait, ce serait tout bénef. Matsuri avait beau être sa prof, ne pouvait-on pas trouver un de ses professeur très bien foutu ? ...

Il faisait noir, le temps semblait s'être arrêter à l'heure de son avancée cataclysmique vers la table, faisait office de magnifique scène pour un spectacle hors du commun. Le froid était présent dans la pièce où le jeune homme était couché. Il faisait froid, très froid. Des cris, des pleurs, des rires,... Ils semblaient entendre tout ce qu'il se passait autour de lui. Et pourtant, rien ne pouvait être retenu par cet esprit trop embrouillé par la situation dans laquelle il était entré. Serait-ce de la folie? Entendre tous ces sons, qui d'ailleurs n'étaient guère audibles. On aurait dit que le son ne passait qu'à certains moments et qu'entre ces deux moments, le son se perdait dans l'infini. Le calme, c'est ce qui refit surface après ces quelques et étranges bruits de fond. Et c'est alors qu'une odeur qui lui semblait encore inconnue fit surface sur les surfaces nasales. Odeur douce et reposante. Un parfum qui n'avait pas de sensations naturelles mais qui pouvait réveiller les quelques cellules grises intactes de la grande cuite que le jeune homme s'est prit. Lentement, et dans un effort considérable, Shinji se concentra sur cette odeur qui ne le laissait indifférent. C'est grâce à cette dernière que ses yeux purent s'ouvrirent. Lentement au vue du temps de réaction, mais sûrement. Il se redressa, tout en combattant le vertige et la sensation de tourni qui envahissait son subconscient. La première chose qu'il pouvait remarquer était son beau côté vestimentaire qui était lacunaire. Le mot était complètement démesuré vu qu'il était entièrement déshabiller. Cela lui mena à une hypothèse qu'il n'aimait guère. Il se retourna et ne vit personne dans la pièce. Les draps étaient bien mis, preuve qu'il n'y avait pas eu de mouvements. Soulagé, le jeune homme mit rapidement un caleçon, manquant de justesse de perdre l'équilibre. Ensuite, il se dirigea vers la salle de bain, se tenant à tout objet pouvant l'aider à se maintenir debout.

C'est en entrant dans la salle de bain que la surprise fut assez marquée. Première chose, il y avait toute sorte de maquillages. Pensant naturellement qu'il était dans sa chambre, raccompagné de la fête dont de vagues souvenirs refaisaient surface. Il fait un demi-tour vite-fait-mal-fait et observa le contenu de la chambre dans laquelle il se retrouva. Son coeur se mit à battre vite, trop vite peut-être pour une situation normale. L'angoisse montait rapidement, la sueur apparaissait sur le front et les cheveux blancs commençaient à se faire lourds. Il secoua sa tête pour reprendre ses esprits... Ce qui n'était pas la meilleure idée. Deux secondes plus tard, une remontée acide se faisant sentir dans l'œsophage du jeune homme. Cependant, elle se stoppa et reprit la direction normal. Il se remit face au miroir et pouvait voir les effets de la soirée, qui n'était pas encore finie. Le premier était les cernes qui se creusaient profondément, pouvant même laisser croire que les cernes avaient des cernes...Ensuite, une couleur ressortait sur les lèvres du jeune homme. Il essuya sa bouche sur une serviette et remarqua que cette couleur venait d'un rouge à lèvres. N'ayant pas fait attention à cela pendant la soirée, il ne savait pas de qui celui-ci venait. Il se nettoya le visage et l'essuya lentement. La fatigue était de plus en plus présente, mais il devait sortir de cette chambre, sans oublier d'avoir des explications sur cette soirée. Il se dirigea vers ses vêtements qui avaient été ramassés pour lui. Une chance car sortir en sous-vêtement dans l'académie n'est pas très conseiller. Malheureusement, au vue de l'état du T-shirt, il devra faire l'impasse dessus et se balader torse-nu. Il mit son pantalon, ses chaussettes et chaussures et se dirigea vers la porte d'entrée.

La surprise était grande. Son esprit reprenait conscience petit à petit, laissant les mouvements du jeune homme de plus en plus fluides et contrôlés. La poignée de la porte bougeait, montrant que le jeune homme était levé. Cependant, il mit quelques secondes pour enfin la franchir et se retrouver dans le confessionnal, dans le centre de la vérité et dans les entrailles de l'enfer pour les personnes qui ne supportent pas l'alcool. La salle était brulante, Sushi prêt à bondir sur son professeur, tandis qu'Ai était un peu à l'écart.

AI!!! Le rouge à lèvres!!!

Le jeune homme avait les yeux qui étaient gros comme des pastèques. Mais après un regard rapide sur Ai, le jeune homme diminua le volume de ses yeux et pensa à quelque chose de plus drôle. Il s'approcha de Ai sans même se soucier des deux autres à côté et il la prit par la main. Il la traina jusqu'à la chambre où il avait dormi peu de temps, referma la porte et la plaqua contre cette dernière.

« Alors comme ça, on vole des baisers à ceux qui dorment la nuit? Ma chère, le rouge à lèvres ne ment jamais. »

Il avait ses mains placés sur ses avants-bras pour l'empêcher de tout mouvements brusques qui pourraient déstabiliser le jeune homme.

« Vous savez que c'est interdit d'avoir une relation avec un élève quand on est professeur? »

Était-ce vrai ou pas, il n'en savait rien. Mais je crois que retenir un professeur peut l'être par contre. Le jeune homme rapprocha son visage vers celui de son professeur.

« Et que, si vous êtes pris en flagrant délit, vous serez renvoyée? »

Le jeune homme ne craignait plus les sanctions disciplinaires du directeur, sauf si elles ont une atteinte sur le physique ou sur le mental. Il savait qu'il ne pourrait être renvoyer à cause de son don. De plus, il connaissait des choses pas très réjouissantes sur les actions du directeur. Les seuls punitions qui devraient prendre la place du renvoi serait l'utilisation de son don sur le jeune homme, ce qui pourrait le tuer.

Le jeune homme garda une très infime distance entre les deux visages. Son regard était fixe, perforant, ignorant toute peur. Il la regardait comme il regardait un ennemi, à croire qu'elle avait fait du mal à quelqu'un. Ses yeux ne clignaient pas, laissant une douleur apparaître sur la surface des yeux. Mais il ne la sentait pas cette douleur, il était comme captivé, ensorcelé, hypnotisé. Lentement et avec toute délicatesse, il embrassa son professeur, laissant durer intensément le moment. Les yeux se fermèrent, guérissant la douleur. Plus le baiser dura longtemps, plus l'étreinte du jeune homme se résorbait. Bientôt, le professeur serait libre de ses mouvements. Il ne voulait pas perdre une goûte de se baiser par ma foi exceptionnel et peu commun pour le jeune homme. Lentement, il détacha ses lèvres des siennes, mais gardant son visage proche de celui du professeur.

« J'adore enfreindre le règlement, surtout pour des cas comme vous. »

Le souffle était lent, il était confiant malgré l'angoisse qu'il avait en sortant de la chambre. Paradoxe non? Le professeur était maintenant libre de ses mouvements, malgré que les mains du jeune homme étaient restées à leur place initiale. Il lui caressa les bras du bout des doigts, tout en regardant dans les yeux son interlocutrice, et la première maitresse du jeune homme.

[Je suis désolé du retard, j'ai mal programmé mon travail et voila. Désolé aussi pour Ai, à qui je lui avais demandé de faire un RP et qui pour finir, ne devra le faire qu'après moi.

Pour la suite, je propose que chacun poste en fonction de l'autre... Donc, Atsushi et Matsuri, postez sans vraiment compter sur Ai et moi, sauf s'il y a rassemblement. Cela évitera de m'attendre un mois pour un RP qui pourrait avancer...

Quand à Ai, désolé mais tu vas devoir attendre 1 mois avant que je poste... J'essayerai de faire mes RP en début Aout mais je ne promets rien.]

- J’ai été condamné à enlever mon T-shirt pour l’organisation de cette fête. D’accord, la raison peut paraitre valable. Mais j’exige une égalité de jugement. Normalement, pour avoir amener du Saké tu devrais aussi être condamné à enlever ton T-shirt. Et pour m’avoir voler ce baiser, je ne vois pas d’autre punition que de t'en voler un autre, avec des intérêts, donc meilleur que celui-ci. Je ne vois pas autre chose... ça te va ?

Comment en était-elle arrivée là ? La question tournait et re-tournait constamment dans la tête du professeur redoutable et redouté des SA. Sa memoire, et sa conscience, lui jouaient des tours. Parfois elle se souvenait, parfois pas. Aux grands maux, les grands remèdes. Elle éloigna un peu Atsushi d’elle (enfin, autant qu’il était possible d’éloigner un garçon assis sur vos jambes) et traça une longue ligne le long de son avant bras. Son visage se crispa, mais la blessure ne tarda pas, si ce n’est à cicatriser, au moins à arrêter de saigner (pratique quand même, ce Don …). Elle secoua ensuite sa tête, afin de s’aérer l’esprit, et fixa son élève.

- Désolée, mais je déteste avoir l’esprit embrumé très longtemps. Nous parlions de … ah oui, de T-shirt, et de baiser volé …

Elle jeta un coup d’œil aux bouteilles qui traînaient toujours sur la table. Pas bon, ça, pas bon du tout …

*Demain, j’arrête de boire. Définitivement.*

Elle savait que c’était sans doute faux, mais bon, ça la rassurait de se dire qu’elle ne revivrait pas ça une deuxième fois. L’espoir fait vivre, non ?

Ses pensées revinrent aux demandes de son élève. Entreprenant, le Ootani. C’état bien. Enfin … euh … dans un certain sens, pas dans tous les sens, mais bon … Là, elle s’embrouillait. Changeons de sujet.
En soit, rien de ce qu’il lui demandait ne la dérangeait. Elle songeait juste aux conséquences. Pas pour elle, parce qu’elle obtiendrait facilement un blanchiment, mais pour eux. Ses élèves. Elle était responsable d’eux. Enfin, tant que personne ne rentrait, ça irait. Et personne n’était sensé rentrer. De toute façon, tout intrus serait immédiatement détecté bien avant de franchir la porte de la salle commune, alors … Elle se pencha vers le visage d’Atsushi, les yeux toujours dans les siens, et murmura, joueuse.

- Je le fais dans quel ordre ? D’abord le T-shirt, ou je t’embrasse avant ?

Il était surpris. Une lueur avait traversé son regard, montrant qu’il ne s’attendait pas vraiment à cette réponse de la part d’un professeur désormais en pleine possession de ses moyens. Elle fit semblant de réfléchir, avant de lui dire que finalement, embrasser sans le T-shirt était bien plus intéressant qu’avec. Bon, elle ne portait pas un T-shirt, mais un haut particulièrement étoffé (normal, elle avait rendu visite à son directeur adoré … enfin, rendu visite … vu la pièce vide où il aurait du être) alors l’enlever prendrait quelque secondes de plus qu’un T-shirt.

En relevant le bas du haut, sa main agrippa quelque chose au niveau des côtes, sur le flanc gauche. Elle lâcha immédiatement le haut, tandis que, d’une voix qui restait calme malgré l’éclair de panique qui avait traversé son regard, elle demanda à Atsushi de se pousser de ses jambes, afin qu’elle puisse se relever, et enlever son haut ailleurs.

La voix ne lui laissant pas vraiment le choix, le jeune homme s’écarta, et Matsuri se releva vivement, se dirigeant vers sa chambre et la salle de bain qui allait avec , histoire de laver le sang qu’elle avait sur les mains, et de trouver comment camoufler cette plaie au côté qui ne voulait pas partir …

Elle espérait juste qu’il ne la suivrait pas, ou autre, parce qu’elle voyait mal comment elle lui expliquerait ce que c’était puisqu’elle-même ne le savait pas.

[hrp :Les plaie qu'elle a est en fat le signe du stade 4, sur 5 de la Chimera qu'elle est en train de devenir. A toi de voir, Atsu, si tu le sais, et comment tu réagis à ça ;) Elle, elle ne sait rien du tout, puisque c'est avant qu'elle retrouve la memoire ]

Invité

- J’ai été condamné à enlever mon T-shirt pour l’organisation de cette fête. D’accord, la raison peut paraitre valable. Mais j’exige une égalité de jugement. Normalement, pour avoir amené du Saké tu devrais aussi être condamné à enlever ton T-shirt. Et pour m’avoir volé ce baiser, je ne vois pas d’autre punition que de t'en voler un autre, avec des intérêts, donc meilleur que celui-ci. Je ne vois pas autre chose... ça te va ?

A peine qu’Ai soit revenue, et la fille-saké devait maintenant enlever son tee-shirt. Ai regardait ces deux niai qui ce regardait, l’une crispé et l’autre plutôt amusé. Ai leva les yeux au ciel, si le directeur arrivait… Non vaut mieux pas y penser ! Ai pris une autre bouteille de saké, cela devrait faire humm… sa 5e …tout ou plus.

- Désolée, mais je déteste avoir l’esprit embrumé très longtemps. Nous parlions de … ah oui, de T-shirt, et de baiser volé …

La fille-saké était H.S. sa ce voyait dans c’est yeux fatigué et cerné, mais ses cerne n’était pas les grosse cerne que tu as quand tu fais une nuit blanche, non mais de jolie petite cerne qui lui donnait un air asse mystérieux.
la fille-saké se pencha vers le visage d’Atsushi, les deux individus ce regardèrent intensément.
-
- Je le fais dans quel ordre ? D’abord le T-shirt, ou je t’embrasse avant ?

Humm, un strippe dans une école… Ouai c’était une bonne idée ! mais Ai ne serais pas de la partie, dommage…

La fille-saké c’était retiré et maintenant Atsushi et Ai était seule mais ai complètement dans son saké ne l’avait pas remarqué en revanche cette dernière avait entendue la porte s’ouvrir, ce qui fit lever les yeux d’Ai. Shinji avait fait son entré.

Ai : Alors le bel endormie sa va mieux ?

Aucune réponse néanmoins Shinji la regardait fixement avec des yeux très ronds. Il s’avançait maintenant vers elle, la prit par la main et l’entraina ailleurs.

Ai : Shinji !!! Ettt …euh attend !

Ai reconnaissait le chemin qu’empruntait Shinji, c’était celui de sa chambre, Il ouvrit la porte, la claqua et me plaqua contre celle ci ce qui surpris Ai.
« Alors comme ça, on vole des baisers à ceux qui dorment la nuit? Ma chère, le rouge à lèvres ne ment jamais. »

Son rouge à lèvre l’avait trahi. Mais Ai n’était pas vraiment surprise et puis qu’est-ce que sa pouvait bien faire c’est fait c’est fait point barre ! Shinji retenait très fortement Ai ce qui ne la dérangeait pas tend que sa.

« Vous savez que c'est interdit d'avoir une relation avec un élève quand on est professeur? »

Ai qui depuis tout a l’heure avais évité le regard de Shinji, le regardait maintenant avec un air complètement déboussolé, triste, et gêné a la fois. Shinji approchait son visage de celui de Ai.

« Et que, si vous êtes pris en flagrant délit, vous serez renvoyée ? »

Ai le regardait maintenant avec envie, cette proximité avec Shinji l’avait fais craqué et plus que jamais.
Shinji ce rapprocha lentement du visage de Ai et finalement Shinji embrassa Ai, Ai na s’attendait pas à sa venant de la part de sont élève mais elle lui redit sont baisé aussi délicatement que lui. Le baisé duras, pensait-elle éternellement. Shinji détacha lentement ses lèvre des siennes mais Ai cherchait un autre baisé, mais cela fut si furtif que Shinji s’en été pas aperçue.

« J'adore enfreindre le règlement, surtout pour des cas comme vous. »

Elle le regarda, ma fois en quoi il y avait du mal à ce faire plaisir ? Non franchement. Shinji avais lâché son emprise sur elle puis il lui caressa le bras, d’une manière sensuelle, délicate et hors du commun entre élève et prof. Mais ce fut avec envie qu’Ai s’était maintenant rapproché de celui ci et plaça c’est lèvre au cou, elle commença à déboutonner les trois premier boutons de la chemise de Shinji mais elle n’alla pas plus loin au risque de brusquer son élève elle releva la tête et l’embrassa derechef. Les mains d’Ai étaient plaqués sur le coup de Shinji puis commença à emmêler les cheveux du jeune homme. Ce baisé Ai voulait qu’il dure éternellement.

La réaction de son professeur fut immédiate. Elle plaqua ses lèvres au cou de Shinji et leur douceur donnait des frissons au jeune homme. Il ne savait pas si cela était réellement bien de le faire mais pour finir, la question fut vite envoyée à la corbeille, au risque de perdre une occasion qui n'est peut-être pas très courante. Un élève et une prof, cela ne se refuse pas. Ai mit ensuite ses mains sur les boutons du chemisier de Shinji et les déboutonna. Mais elle s'arrêta au troisième, surement pour faire durer le suspens, ou pour ne pas aller trop vite. Mais à vrai dire, Shinji ne voyais plus la relation entre professeur et élève comme étant faite pour le ''sex''. Du coup, il se résigna à aller plus loin. Il repoussa Ai assez fort pour qu'elle retombe sur son propre lit et reboutonna sa chemise. Il ne sentait pas bien, il le savait. Coupable d'avoir fait une connerie, il quitta ensuite la chambre sans se retourner. Il se retrouva dans la pièce de départ mais il n'y resta pas. Il prit sa veste qu'il avait déposé précédemment et quitta le dortoir, en faisant bien attention de ne pas attirer l'attention dans les couloirs.

Une fois en sécurité dans sa propre chambre, le jeune homme commença à réfléchir à ce qu'il avait faillit faire. Il s'était dégonflé. Cent fois, il avait pensé se retourner, revenir sur ses pas et se lancer sur Ai et la déshabiller entièrement avec une folie furieuse. Cent fois, il refusa de se voir comme un pervers fou qui ne veut que faire l'amour avec un professeur.

« Les baisers ne seront que les souvenirs d'un amour impossible que vous avez eu envers moi. Je préfère entretenir une relation normal avec une personne comme vous. Après tout, j'étais ivre et vous aussi. Ceci ne devait donc pas se passer normalement. »

Il disait de manière si clair, comme s'il était juste devant elle. Et pourtant, ce n'était pas le cas. Lentement, il se mit dans son lit et s'endormit, en essayant d'oublier cette soirée.

- Je le fais dans quel ordre ? D’abord le T-shirt, ou je t’embrasse avant ?

Wow ! Pan dans le dents, 10 points pour Matsuri. Avis à tout les commandos, l’allié Atsushi a été abattue sans sommation de la part de l’ennemi. Je confirme L’allié Atsu est mort. Cependant, il semblerait que les cause de la mort ne soit pas une balle comme on pourrait si attendre, mais plutôt une crise cardiaque en plein vol. Un peu comme un pigeon qu’un chasseur voudrait tuer, victime d’un infarctus juste avant d’être tiré. Et vous savez pourquoi l’infarctus à lieu ? Nan, pas seulement parce que le cœur a lâché, non c’est bien plus terrible que ça... Il a lieu, parce que le pigeon comprend qu’il va se faire tirer avant même que la balle ne parte. Outre le jeu de mot dramatique que l’auteur vient de placer dans le récit, nous remarquerons toute la chronologie tragique que subit notre pauvre pigeon.

Récapitulons, vous voulez bien ? Ceci ne prendra que quelque seconde. Merci à vous. Tout d’abord Atsu entre dans la chambre d’un professeur avec la ferme intention de draguer au maximum. De deux, des événements imprévus se profilent à l’horizon : 1-> Elle n’est pas seul, elles sont deux ; 2-> De l’alcool est présent sur les lieux du défis. Pour l’instant on pourrait à première vue, juger que ces deux événements ont été favorable aux affaires d’Atsu. Cependant, il n’en est rien. Pourquoi ? Parce que Shinji s’est fait blackboulé en dehors du jeu et qu’Atsu reste seul avec Matsuri et doit donc être d’autant plus subtil dans son jeu. De plus, alors qu’il pensait pouvoir usé du fait que Matsuri est sévèrement sonnée pour faire durer le jeu de tension, il gagne beaucoup trop vite. Bien trop vite à son goût. Bien trop vite surtout, parce que ce n’est pas lui qui a coincer Matsuri, mais c’est Matsuri qui l’a finalement coincé. Et ça ce n’est pas du tout au goût d’Atsu de perdre comme ça. Tout ce qui risque alors d’arriver est une cascade d’événements spontanés sensés lui faire « reprendre la main ». Ce qui va débouler à coup sûr, sur du n’importe quoi. Mais ça, Il s’en fiche. Le second problème c’est qu’à voler trop haut, notre pigeon risque de se brûler les ailes et de chuter. Mais ça aussi, notre petit Icare n’en a cure. Le dernier problème, et de taille celui là, c’est qu’Atsu...
Est boulimique.

Mais pas n’importe quel boulimie. Celle qui fait les drageurs et les éternels déçus, même si la seconde catégorie est plus rependue. Celle des attentions.

Voir son professeur enlever son T-Shirt en face de soi et surtout pour soi, n’est pas une vision banale. Atsu était tout attention, tel le guépard guettant la frêle gazelle, ou l’adolescent observant le vestiaire des filles par le verrou sans se douter que le surveillant est juste derrière lui. Oui, décidément, pour une fois dans sa vie, Atsu était concentré. Ces yeux, occupés à retenir les moindres détails de ce mouvements qu’il ne verra surement qu’une fois dans sa vie, étaient deux caméra branché en mode haute définition et filmant en continu. La suite aurait logiquement du être un baiser, si Matsuri ne s’était pas brusquement arrêté dans son mouvement. Fin du délire fantasmagorique, on violement retourne sur Terre, crash aérien, Icare s’effondre les ailes en feu. A trop vouloir voler haut notre pigeon s’est effectivement brûler les ailes.
Quelques mots prononcés suffirent à faire descendre Atsu des jambes de Matsuri alors qu’elle se précipitait vers la salle de bain.
Set et match. Les score sont maintenant de 11-0 pour Matsuri contre Atsu. Une tel défaite, les cris des supportaires retentissent encore résonnant dans le stade strident à mes oreilles !!! Une superbe performance, un superbe set, une balle magnifique. Alors que l’attaque revenait à Atsu, en une contre-attaque formidable, notre professeur adoré l’a mis à terre en deux coup ! Fantastique, Matsuri est en fait Yannick Noah (attention, grande révélation du jour).

La porte de la salle de bains, claqua aux oreilles d’Atsu comme le glas du défis et de sa victoire possible. Alors qu’il flottait, soudainement seul, comme inconsistant, tel un fantôme dans le salon, Atsu s’assis au sol les jambes enserré dans ses bras, la tête dans les genoux. Ses yeux, observait le plancher qui tournait, tournait, tournait... Non, le monde tournait ! Mais les pensés d’Atsu était enfin clair. Car plus que l’alcool, ce qui faisait chavirer notre jeune drageur était cette cinglante défaite. Pour s’être fait avoir, il s’était fait avoir. Et en, et par une, beauté en plus. Après avoir créer toute cette tension, avoir si facilement cédé, elle l’avait laissé là au beau milieu de tout ça. Pour être frustré il était frustré. Comment ai-je pu à ce point me faire mené en bateau. Comment ai-je pu une seule seconde croire que j’y arriverais aussi facilement.
Je me suis fait entubé.

Ce fus la conclusion à laquelle il parvient.

Elle était dans la salle de bain. Il n’avait aucune idée de ce qu’elle y faisait. Peut être l’attend-elle ? Peut être le test-elle au travers cette fuite. S’il la rejoignait maintenant, il avait peut être une chance de revenir au point de tension où ils en étaient avant. Peut être qu’elle avait vraiment quelque chose à faire et qu’elle allait revenir aussi. Ou alors simplement il suffit qu’il vienne la voir parce que c’est ce qu’elle veut, se prouver qu’en ce moment il a besoin d’elle. Oui ça doit être aussi simple que ça...

Mais Atsu ne l’est pas.

Il se leva, ramassa son T-Shirt et sorti de la chambre, marchant dans les couloirs. Et oui, le petit n’est pas si prévisible que ça... ou pas.
Pourquoi était-il parti ? Simplement parce qu’il n’acceptait pas un échec. S’il allait la voir, cela voulait dire que Matsu avait gagné, qu’il dépendait maintenant d’elle. Elle le tenait dans ses filets et avait gagné la partie. Or, quoi de plus inintéressant qu’un homme qui a perdu.
Cependant, un petit mot était posé sur la table basse au milieu du salon.

« Bravo, Madame.
Vous avez gagné pour cette fois, mais la prochaine fois, je vous préviens, j’aurais peut être l’avantage =). Méfiez-vous... Du moins j’espère ne pas toujours perdre.
Atsushi-shi. »

C'était cependant, un magnifique défis que lui lançait ainsi Matsuri. Un sourire flotta sur ses lèvres alors que, redevenant lui même, il se mit à chanter la chanson qu'il avait en tête malgré l'heure tardive, oubliant le sommeil des élèves qui l'avait mérité. Y arriverait-il un jour. Nous verrons bien.

La suite se passe chez Yuka.

Arrivée dans la salle de bains, Matsuri passa ses mains sous l'eau froide et retira son haut pour laver aussi la plaie qui commençait à apparaitre sous ses côtes. Elle passa longuement son visage sous l'eau, tentant d'y enlever toutes les traces d'alcoolisme autant que les traces de douleur, de honte, de questions, de regrets ...

Alors qu'elle fermait le robinet d'eau, elle entendit une porte se refermer. Elle releva la tête vivement, mais nan, plus aucun bruit. Ses yeux se plissèrent légèrement. Elle colla un pansement sur sa plaie et remit son haut avant d'aller dans le "hall" des professeurs. Elle y trouva un mott d'Atsushi à son attention qu'elle lut rapidement.

Elle sourit. Atsushi ... Un jeune homme prometteur, pour le moins. Mais aussi incroyablement joueur et gzmin lorsqu'il le voulait, tout autant que sérieux et responsable. Un fort caractère, et un fort potentiel ...

*Une prochaine fois, hein ? Je t'attendrais, Atsushi ... mais je suis loin d'être de celle avec qui tu peux jouer impunément ...*

Elle déchira ensuite le papier et entreprit de faire une petite balade nocturne dans l'établissement pour se changer les idées ...