Un réveil momentané [POV Marya, Chi, + Libre] [Fermer]

Keiko était, coude appuyés sur le rebords de sa fenêtre ouverte, en train d'observer le ciel. Qui était plutôt bien éclairé se soir, on pouvait y voir les étoiles à perte de vue. La jeune fille était calme, une légère brise flottée dans l'air faisant virevolter ses cheveux de temps à autre. Elle réfléchissait à se qui se passait en ce moment, sa demeure ne lui manquait pas du tout. Ici tout était bien plus annimé et interessant. Tout se qu'elle faisait était casiment nouveau. Puis l'Académire, ormis quelques défaults, ne semblait pas si dangereuse. Aux yeux de Keiko du moins.

La nuit était calme, elle voyait passés des personnes, qu'elle connaissait plus ou moins. Un vent plus brusque se leva, et le silence se mit à régner dehors. Elle soupira, se n'était pas qui avait sa, puis une espece de bruit aigue raisonna jusqu'a la chambre. Il était strident, et génant. Un moment passa, puis un second vint, il dura plus longtemps, et celui-ci était plus agaçant que le premier. Keiko s'énerva puis claqua la fenêtre.

Vraiment desfois..! s'énerva Keiko

Le bruit avait cesser, la jeune fille fit un tour dans la chambre. Tout était en ordre, se qui était assez rare, le lit de Koro était correctement fait. Sans rien en dessous une fois, Keiko serais là pour la couvrir au cas où. Elle alla s'allonger sur son lit, elle pris le livre qui se trouver sur sa table de chevet. Qu'elle n'avait pas ouvert depuis un bail, elle irait prendre un bain après avoir lu quelques chapitre, elle n'avait pas envie de dormir tôt se soir. Elle se releva tout de même pour aller éteindre la lumière de la pièce, et garda juste sa petite lampe allumée. C'était suffisant, et puis au moins si quelqu'un passer, il pourrait s'imaginer que les deux jeunes filles dorment. Et peut-être que c'est que la jeune fille aller bienôt faire, dormir. Elle en avait besoin.

Mais à peine Keiko avait-elle tourner une page, que le bruit de tout à l'heure résonna à nouveau. Ce que sa pouvait être agacant! Et pourtant elle n'avait jamais entendu ce son ailleurs, sa ne pouvait être une musique. Peut-être était-ce le don de quelqu'un ?
Elle réfléchit, sa devait être des ondes sonore ou quelque chose du même genre. Mais le bruit était étrange, elle soupira. Elle reposa son livre, et avança jusqu'a la fenêtre. Ses yeux s'étaient habitués à l'obscurité, à force de scruter l'horzion la nuit. Et puis elle en aurait probablement besoin maintenant. Elle ouvris la fenêtre et regarda dehors, il n'y avait rien. Personne. Le bruit revins mais moins fort, et il était continu il ne s'arrétait pas.

Dans les buissons qui bordaient l'Académie, à la limite du jardin et de la forêt, quelque chose bougeat. Cette chose arrivait rapidement, Keiko se pencha un peu plus pour essayer de voir qui aller en sortir. A sa surprise ce fut Marya! Pourtant elle courrait plus vite en temps normale, mais Keiko remarqua qu'elle portait quelque chose sur son dos. Avec l'obscurité de la nuit, elle n'arrivais pas à distinguer ce qu'était cette "chose". Marya avança plus doucement, se devait être sa qui la ralentissait. Lorsque Marya fut éclairée par les lumières du dortoirs, Keiko remarqua que se qu'elle portait n'était autre qu'une jeune fille! Elle avançait lentement à présent, la jeune Kohana remarqua innévitablement que quelque chose de rouge trainait derrière les deux jeunes filles dehors.

Elle plaqua sa main sur sa bouche, horrifiée. Apparement Marya ne devait pas avoir vu Keiko, celle-ci referma immédiatement sa fenêtre. Et se retourna, elle regarder sa chambre rapidement. Les battements de son coeur s'accéléraient, il y avait beaucoup trop de sang, beaucoup trop. Ne cherchant pas plus longtemps, la seule idée qui lui vint à l'esprit fut celle de descendre pour aller voir se qui se passait exactement.
Le bruit qui sonnait depuis tout à l'heure augmenta d'un volume, il fut un électro-choque sur Keiko. Elle alla vers son lit, et y saisis fermement d'en dessous une trousse de secours. La même qui avait servis une fois à Megumi, même si elle savait que sa ne serait pas suffisant pour les deux filles en bas. Elle descendit aussi vite que possible les escaliers, ils étaient interminable, elle regretta de ne pas être sautée par la fenêtre. Elle apprendais à le faire plutard, elle y serais obliger. Lorsqu'elle fut arrivée en bas, elle vit Marya portant toujours la jeune fille sur son dos.

Bizarement, elle souriais mais pourtant des larmes roulaient sur ses joues. Keiko s'approcha lentement de Marya ne sachant pas vraiment quoi faire. Du sang coulait, abondamment, d'une plaie que Keiko ne pouvait voir. Elle tendit un bras vers Marya pour qu'elle pose la jeune fille à terre. Se qu'elle fit, la gardant toujours sur elle.

- Marya! Qu'est-ce qui s'est passé ?

Elle ne répondait pas, son visage était souriant mais elle pleurait. Peut-être ne savait-elle même pas se qui s'était passer. Keiko déposa la boite à côté, mais elle ne bouger pas. Elle voyait clairement la jeune fille, celle-ci avait une entaille au niveau du coeur qui saignait sans s'arréter. Elle se vidait de son sang, Keiko plaça inconsiemment une de ses mains sur la plaie pour éviter que le sang ne s'écoule. Même si c'était peu efficace. Le bruit se faisait fort, il devait s'agir du don de Marya. Keiko la fixait, attendant qu'elle agisse, où lui dise quoi faire.

Losque la fatigue lui intima l'ordre de ne plus avancer, Marya continua febrillment de courir. Elle était arrivé sur le campus maitenant, c'était moins fatigant de courir. Mais elle n'y pensait pas.

Chi ... Shinderu ?

Elle avait mis un masque. Un masque sans expresion. Elle ciontinuait d'avancer.

Ele ne se rendait pas compte de l'horrible bruit qu'elle produisait, elle ne se rendait pas compte de ses larmes brulante qui lui tranchait les joues. Elle se contantait d'avancer.

Si les gens vivent ... C'est bien pour aider les autre a vivre aussi non ? Pourquoi ne suis-je pas capable de sauver une simple vie ? De supporter une simple vie ? De même me maintenir en vie sans faire soufrir les autres ?!

Elle trébucha devant le dortoir. Effondré, elle ne santait plus la chaleur du sang qui coulait sur son dos. Ce sang qui rempait, trampant, traversant le tissu jusqu'a attindre sa peau. Brulant, directmeent sortit du coeur. Mais elle ne le ressentait pas. Pas plus que ses larmes, pas plus qu'elle n'entendait ce son qu'elle produisait. Son pendentif faisait passer tioutes les ondes de manière lisse et illimité. Il n'y avait plus de douleur pour "chanter". Mais elle ne "chantait" pas. Elle "Hurlait".

Toboe.
[Hurlement]

Quand quelqu'un vint à elles, elle se composa un sourir. Pourquoi faire ? Pour ne pas montrer que tout allait mal, que c'était le foutoire dans sa tête. Que Chi allait mourir. Qu'elle était déjà morte.

- Marya ! Qu'est-ce qui s'est passé ?
-Keiko-san ... ? Je ne sait pas ... Chi ... Est ... Comment ?

Elle fit glisser son amie de son dos, tracant une grande trace rouge sur celui-ci.

-Chi wa ... Ikiteru ? [est en vie ?]

Elle ne se rendait pas compte des larmes, du sang ... Juste de Chi morte. Keiko fini pas faire une tête étrange, celle qu'on fait quand on est cioncé entre deux haut parleur à pleine puissance. Marya respira, expira le son ; une plus grande, plus forte, plus violente et surtout plus aigüe note retentit avant de s'éloigner sans écho de là.

-Gomen ... Mimi wa ? [Désolée. Tes oreilles ?]

Elle regarda sa petite camarade de classe.

-Soletomo Chi wa ? [Et puis aussi Chi est ... ?]

Marya souriait, mais ele n'avait plsu d'espoir. Chi, une étoile de son ciel, une des plus rayonante, venait de s'éteindre tel une étoile filante.

Chi ...

Chi.

Chi ?

Chi !

CHI !

DAREGA !

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Tsukiyo fuyait la réalité, endormie dans sa couette. Elle revait.
Il y a peu, quand elle s'était couché, Riku s'était déjà endormie mais Plume n'était pas encore rentré, Tsukiyo l'avait d'abord attendu, mais au bout d'une demi heure, tombante de fatigue, elle s'était glissé dans son lit et avait éteint la lumière.
Quelque heures plus tard, elle se reveilla, elle n'arrivait pas à dormir. Certes, elle faisait quasiment tout le temp des cauchemars, mais ce n'était pas dans son habitudes de se réveiller en pleine nuit. Tsukiyo fermit les yeux. Elle ne sut pas combien de temps elle resta ainsi, les yeux fermés, sans arrivé à se rendormir. Soudain, un bruit provenant de dehors, il s'arreta mais reprit, il en fut ainsi pendant une dizaine de minutes, puis s'intensifia. Tsukiyo comprit alors qu'il se rapprochait vers le dortoirs des filles. Elle restait là à l'écouter, espérant qu'il l'aiderait à s'endormir. Alors elle comprit, c'était ce bruit qui l'avait réveillé, et il ne l'aiderait pas a la rendormir. Elle sortit du lit et identifia la nature du son. Elle le reconnu tout de suite pour l'avoir trop entendu, c'était un hurlement.
Tsukiyo se mit en colère, on n pouvait pas dormir tranquille dans cette foutue académie!
Elle sortit de sa chambre en claquant bien fort la porte, et couru vers l'origine du hurlement. Il provenait d'endessous des escaliers. Tsukiyo les descendit avec une vitesse incroyable. Tellement incroyable qu'elle tribucha et tombat dansles escaliers. résultat des courses : elle se retrouva à moitier affalé sur le sol en bas des escaliers.
Elle se releva vite et remarqua que le hurlement avait cessé. Elle cria alors:
-ON PEUT PAS DORMIR TRANQUILLE DANS CETTE FOUTUE ACADEMIE!
Elle remarqua alors Marya, la jeune fille qu'elle avait rencontré au centre ville quelque jours plus tôt avec Chi et une autre fille qu'elle ne connaissait pas qui était en train de serré quelque chose qu'elle ne vit pas.

Le sang, le sang... Beaucoup trop de sang! La main de Keiko s'en retrouvait imprégnée, l'odeur devenait forte. Sa ne servait à rien, elle plaça sa seconde main, pour essayer de couvrir la plaie. Mais sa ne changer pas grand chose, moins de sang coulait certe. Mais vu toute la quantitée que la jeune fille perdait, et qu'elle avait surement perdue, c'était bien insuffisant. Marya l'avait déposée à terre, elle aussi était recouverte de sang. Beaucoup trop! Un son plus aigue, plus fort et perçant que les précédents retentit. C'était horrible, Keiko eut du mal à ne pas mettre ses mains sur ses oreilles, tellement s'en était insuportable. Puis il s'éloigna pour résonner plus loin.

-Gomen ... Mimi wa ?

- Daijobu

Elle avait répondu précipitement, se n'était que du bruit pas de quoi s'inquiétait, elle regarder peu Marya. Celle-ci pleurée à chaude larmes, elle semblait très concernée. Se devait être une amie de la jeune fille. Pourtant elle souriait, c'est se qui étonnait Keiko. Cette dernière arrivait pourtant à voir qu'elle avait perdu espoir. Elle parla, une nouvelle fois, en japonais. Elle criait déséspérément, le nom de Chi. La fille qui mourrait devant leur yeux. Ses cris étaient aussi déchirant que les vibrations sonore qu'elle produisait. Keiko se sentait impuissante, elle ne pouvait agir. Elle ne savait pas quoi faire. Elle pris maladroitement des compresses dans sa boite, renversant casiment la moitié de son contenu à terre. Elle sortis deux trois compresse qu'elle mis sur la plaie qui se située près du coeur. Elle avait à présent ses mains pleines de sang, et ses cheveux détachés qui se collaient à son visage commencaient à devenir eux rouge. Puisqu'elle les repoussait sans arrêt. Marya appelé à l'aide, et ses vibrations ne cesser pas.

Quelqu'un decsendit. De toute façon avec tout le bruit qu'elle faisait, le dortoir finirait pas se réveiller tout entier! La en question fit un bruit énorme avant d'atteindre les 3 jeunes filles dehors, Keiko pensa qu'elle avait surement dut trébucher dans les escaliers. L'odeur du sang, qui était à présent sur elle aussi commençait à lui donner la nausée.

- ON PEUT PAS DORMIR TRANQUILLE DANS CETTE FOUTUE ACADEMIE!

La jeune fille qui venait de hurler, pas aussi fort que Marya bien entendu, se calma bien vite. Elle sortit du hall du dortoir, Keiko distingua son visage. Elle devait avoir le même qu'elle, elle cru même l'avoir aperçu dans sa classe. Elle s'appellait Tsukiyo Nishibi, si elle ne se trompait pas. Keiko ne fit pas attention à la nouvelle arrivante, elle ne serais peut-être pas la dernière à venir.

Si seulement quelqu'un avait le pouvoir de guérrir...

Mais personne ne bouger, il n'y avait rien à faire. Si elles l'a déplacait, Chi se viderais totalement de son sang, et là il n'y aurait réellement plus rien à faire. Même si Marya bouger, cela pouvait déclancher quelque chose. Les fines compresses de Keiko stoppait trop peu le sang, même si elle les changeaient. Du sang s'écoulait toujours, et il faudrait à Chi du sang immédiatement. Mais il leur était impossible de bouger...
Keiko murmura, comme une phrase de fin. Qui sonnait faux.

Il faut faire quelque chose. On doit pouvoir la sauver...

Mais c'était déjà, sans doute, trop tard peut-être...

La sauver ?

C'est pas vrai ... C'est pas vrai merde ...

Pourquoi avait elle si mal de perdre un être cher ? Chi était ... Un être chèr ? Marya ne comprenait plus vraiment ; ses sentiment embrouillés ne la menait nul par ; elle voulait juste que Chi vive. Pourquoi la condamner a vivre ? Pourquoi suhaiter qu'elle vive ?

-Tsukyo ... san ...

Elle releva sa tête humide et dit tout en gardant le sourir.

-Nani sundao ? Ayaku ! [Qu'est-ce que tu fait ? Vite !]

Elle regarda Chi, ne voyant pas plus guère qu'une nuée brouillé par les larmes. Tiens ? des larmes ? Ainsi donc elle pleure ?

-Dépèche-toi d'appeler quelqu'un ... Je t'en prie ...

Marya sombre dans une tornade de sentoiment. Elle découvre la peur de la solitude.

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Un liquide gluant et poisseux coule dans ma main et sur mon corps, mais je ne ressens rien. Je ne vois rien. Mes paupières sont trop lourdes pour que je puisse les ouvrir. Je me sens bien, même si j'ai froid. Très froid. Mais ça va passé... J'espère.
J'entend un bruit de pas. Il me semble lointain et pourtant si proche. Je sens mon corps se soulever, puis je me sens tombée, comme si je me détachais de ce corps trop encombrant. Mes yeux s'ouvrent sur cela. Je me vois soulevée par quelqu'un, sans réussir à distinguer qui. Cette scène s'éloigne de plus en plus, et je finis par ne distinguer que du Noir. Je tombe dans le Noir. Cela me semble interminable. Puis, la chute finit par arriver. Je tombe dans une espèce de grande salle blanche. *Boum* Le son ne s'entend presque pas. Il n'y a rien dans cette salle, si ce n'est du Blanc. Cette blancheur m'aveugle, et je mets la main devant les yeux. Je finit par les rouvrir. Je ne distingue rien que du Blanc. En levant les yeux, je n'aperçois que le Noir. Je soupire puis commence à avancer. Je titube, comme si le simple fait de marcher m'était devenu inconnu. Je finis par arriver devant une immense horloge.

-Une horloge ? Ici ?
-Un peu de respect, petite fille ! Je suis l'Horloge !

Je m'arrête devant l'Horloge et m'assois à même le sol... Ou plutôt, sur le Blanc.
J'écoute le long battement du pendule. Je ne vois plus rien d'autre que cet immense pendule. Je finis par ne plus savoir le Temps, alors que je suis devant l'Horloge. Je ne sais plus depuis combien de temps je suis ici. Une heure ? Un jour ? Une semaine ? Un mois ? Un an ? Je n'arrive plus à savoir. Seul le pendule occupe mon esprit. L'Horloge semble aimer l'attention que je lui porte, et moi, je suis ensorcelée par le pendule. Plus rien d'autre que le pendule.
J'entends alors un bruit de flûte. Je tourne la tête étonnée, cherchant la source de ce bruit qui me semble alors inconnu. Le son recommence, et je me lève pour essayer de m'en rapprocher. L'Horloge gronde, l'Horloge tonne, mais je ne l'écoutes plus. Je me dirige vers une porte d'où semble provenir le chant de la flûte et l'ouvre avec un peu d'angoisse. Rien d'anormal. J'avance en titubant, sans faire plus attention à l'Horloge, en train de grogner, de gronder, de hurler. Dans le couloir, je ne vois rien, mais continue sans réelle peur. J'arrive dans un magnifique champ de fleurs s'étirant à perte de vue. Le chant de la flûte recommence. Je le suis, et arrive devant un rocher où se tient un garçon d'une incroyable beauté. Je reste devant lui en écoutant la flûte sans dire un mot. Il s'arrête soudain et me regarde en souriant, comme s'il m'avais attendu. Ses cheveux bruns en bataille volent au vent. Ses yeux bleu saphir croisent les miens, et le Temps me semble se stopper pour nous laisser un moment à nous. Il me tend la main toujours avec son sourire un peu canaille en disant :

-Viens avec moi Chihiro.

Je prend sa main et le suis. Où qu'il aille, je le suivrais.

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-Tsukiyo ... san ...
La voix de marya... Tsukiyo tourna son visage vers sa provennance... Elle fut alors frappé par les larmes qui coulait sur ses joues et s'appersut alors que devant elle se trouvait une mare de sang... Et à l'innterieur de la flaque... Un corp!, un corp humain! Epouvanté, elle se rapprocha du corp et découvrit avec Tsupeur que c'étaut celui de Plume! Même à travers le sang qui salissait son visage, ses cheveux inégalement coupé, elle reconnaisait la jeune fille qu'elle avait rencontré il n'y a pas très longtemps à la boulangerie du centre ville. Puis elle se souvint qu'elle devait beaucoup à Plume : le soir ou Jona l'avait battue, elle l'avait aidé à aller jusqu'à l'infermerie.
Une vois la tira de sa réverie:
-Nani sundao ? Ayaku !
Le visage plein de larme, Marya se tourna vers Chi:
-Dépèche-toi d'appeler quelqu'un ... Je t'en prie ...
Tsukiyo hocha la tête; même elle avait un coeur, elle ne pouvait pas laisser une amie dans cet état.
Elle se mit à courir jusque l'infermerie, qui lui semblait être à plusieurs kilomètres. L'image de Plume inconsciente et ensanglanté sur le sol la hantait. Sa plaie près du coeur n'allait pas être facile à soigner, et si elle ne sa préssait pas, elle savait très bien le sort qui était réservé à son amie: la mort.
Quand elle réalisa sa, Tsukiyo fut triste, pas de la manière que quand elle se disait qu'elle resterait toute sa vie à être maltraitée à l'académie, mais d'une manière plus forte, qu'elle avait vécu il y a longtemps et qu'elle avait oublié, celle de quand on perd, de quelquonque manière, que se soit la mort ou une séparation brêve. Tsukiyo revit alors le visage ensanglanté de sa soeur, comme Plume, elle était morte d'une entaille au coeur.
Les larmes montèrent soudainement... Tsukiyo fit tout pour les refouler, en elle, la bataille faisait rage: son coeur lui disait de courir plus vite et de ne se préoccuper de rien d'autre que la santée de Plume mais son cerveaux, lui, lui disait de tout ignorer et de retourner dans son dortoir pour ne pas ressentir la souffrance de la déception si l'infermière ne pouvait sauver Chi. Le dernier choix serait lache, mais lui éviterait une souffrance immédiate. Mais allait-elle abandonner Plume? Non, bien sur que non.
Tsukiyo se mit à courir le plus vite possible jusqu'a l'infermerie. Quand elle arriva, l'infermière était à moitié endormie sur sa chaise.
Les larmes de Tsukiyo cesserent de couler et elle secoua l'infermière:
- Dépéchez vous, c'est très grave, une élève est gravement blessé au coeur!
L'infermière sursauta, se leva d'un coup et prit une grosse trousse de secour.
Elle allait ouvrir la bouche quand Tsukiyo la prit par le bras et la conduisit, aussi vite qu'elle le pouvait, vers le lieux ou se trouvait Plume, Marya et keiko.
Quand elles arrivèrent, Tsukiyo dit alors:
-voila, c'est elle.
Devant les autre Tsukiyo n'arrivait pas à montré sa tristesse, quelque chose dans son cerveau l'en empéchait, comme une barrière protectrice, je dit cela, mais il n'y a pas vraiment de mot pour le décrire.

Il est tard... Il se faisait tard, la lune était déjà bien haute dans le ciel, une grosse partie de la nuit était déjà passée. Combien de temps étaient-elles restaient là? A attendre, que quelque chose vienne. Chi se vidait de son sang, encore, toujours, indéfiniment. Les mains de Keiko posaient sur la plaie béante, ne servaient pas vraiment. Marya demanda à la jeune fille qui les avait rejoins, et qui répondait au nom de Tsukiyo, d'aller chercher quelqu'un. La jeune fille en question partit immédiatement en courant, elle disparu rapidement dans le noir, elle avait l'air aussi boulversée que Marya. Elles devaient sans doute, se connaitres toutes les trois.
Elles l'attendait, le temps passa et elle n'arrivait toujours pas. Sa en devenait stressant, pour Keiko du moins. Marya avait son visage emplis de larmes silencieuse, qui roulaient sur ses joues. Qui finissaient par s'écraser sur le visage de Chi, se mélangeant avec le sang déjà présent. Il faisait froid, mais après tout c'était normal en début de printemps. Elle se concentra un peu, et essaya comme elle put de réchauffer un peu l'atmosphère. Il ne fallais pas que Chi soit gelée. Keiko posa la paume de sa main sur son front, mais c'était peine perdu, il n'y avait rien à faire. Elle replaça machinalement sa main sur la plaie. Marya serrée le coprs inerte de la jeune fille étalée devant leurs yeux.
Après des minutes, qui avaient parru une éternitée pour Keiko, Tsukiyo revint. Elle était accompagnée d'une jeune femme qui était sans doute l'infirmière, elles étaient éssouflées.

- Voila, c'est elle.

Lacha Tsukiyo, elle avait l'air normale. Enfin si on pouvait dire, elle était ésoufflée, mais peut-être avait-elle aussi pleurée? Keiko n'éprouvait rien, elle ne connaissait pas les personnes qui l'entourraient sauf Marya. Voir pleurait cette dernière, l'attristait tout de même un peu et l'odeur du sang renforcée son malaise.
La dite "infirmière" se posa à côté du corps de Chi qui était relevé par Marya, enface de Keiko. Elle avait une trousse de secours, plus grosse que celle de Keiko, celle-ci espérait qu'elle servirait puisque la sienne avait était casiment innutile. L'infirmière leva les mains de Keiko de la blessure, pour mesurer l'empleur des dégats. A sa tête, toutes les filles purent remarquer que l'infirmière poussa un soupir safisfait. Elle ne devait apparement pas voir tout le sang qui était autour! Elle pris des compresses ou des bandes, Keiko ne fit pas vraiment attention, elle passa diverse produit dessus. Puis elle finit par faire un noeud ridicule, grossièrement attaché autour de Chi. Keiko n'en croyait pas ses yeux, c'était tout? Un simple noeud, qu'une gamine de 5ans serait capable de faire à une peluche.
Marya tenait toujours Chi, ses larmes avaient cessés depuis l'arrivée de l'infirmière. Tsukiyo se tenait toujours debout, près des filles. L'infirmière examinée Chi, surement pour voir si il n'y avait pas d'autres blessures. Keiko, assise, attendait un verdict. Sa ne devrait pas être si simple, sa ne l'était jamais...

- Il faut que je m'occupe d'elle, mais l'infirmerie est bien trop loin. Elle ne pourrait pas... Enfin, que l'une de vous aille me chercher un lit, ils sont à roulette vous n'aurez aucun mal à m'en ramener un. Prenez aussi...

Elle énuméra un tas d'autres trucs, notament des perfusions pour Chi, et tout le necessaire. Cette fois-ci se fut Keiko qui partit chercher se qu'il fallait. Elle ne vut pas les autres déplacaient Chi dans le hall du dortoir. Elle courrait, priant pour trouver l'infirmerie du premier coup. Son sens de l'orientation n'étant pas des plus fiable, par un heureux miracle elle tomba dessus. Elle entra en poussant la porte à la volée, tout était éteins, elle se dirigea au hazard vers des tiroirs les ouvrant sans les refermer. Elle ne trouvait pas se qu'elle chercher, elle passa aux armoirs. Elle les ouvraient rapidement, passait ses mains sur tout se qu'elle voyait, elle finit par trouver les perfusions necessaire. Puis dans d'autres tiroirs elle trouva le reste. Elle enfoura le tout dans un sachet, et le posa sur un lit. Elle le contourna pour arriver à la tête et se mis à le pousser, elle avançait lentement. Mais personne ne se trouvait dans les couloirs à cette heure. Alors elle accélera le pas, de plus en plus, pour finir par courir dans les couloirs.
Keiko revint dehors, elle courrait aussi vite qu'elle le pouvait, les cailloux qui trainaient à terre faisaient sauter le lit à chaque fois que l'un d'eux passer en dessous des roulettes. C'était elle qui faisait du bruit maintenant, la jeune fille finit par atteindre de nouveau le dortoir. Elle se plaça face à la porte d'entrée, qui était fermé. C'était une baie vitrée, elle voyait Marya, Tsukiyo, l'infirmière et Chi allongée à terre, à l'intérieur. Comme personne ne semblait disposée à lui ouvrir, elle poussa le lit sur la porte qui s'ouvra d'elle même avec une petite fissure au passage sur la vitre. Elles se retournèrent vers Keiko qui apportait de quoi soigner Chi, enfin...

Alors queKeiko enfoncait la porte pour amener les affaires, Marya reprenait déjà Chi dans ses bras pour la poser sur le lit. Elle resta à regarder son visage. pendant logtemps. L'infimière se contenta de la brancher ; la blessure pouvait apperement se soigner facilement, c'était le sang perdu qui était un problème.lémoragie était tout simplement montrueuse. Marya ne pouvait pas calculer dans son état actuel, mais c'était surment près de deux litre qui s'était écoulé depuis qu'elle avait pris Chi dans le bois.

Marya ne faisait que regardaer son visage d'enfant sous la lumière artificielle et pourtant si bien reproductrice de celle du Soleil provoqué par les lambe du du hall. Chi semblait juste faire un grios cauchemar, les cheuveux en bataiile. Rien qu'une enfant, un enfant ...

Mais qu'est-ce qu'on fout merde !

Marya ne pleurait plus, mais son visage était humide de larme à cause de tout ce qu'elle avait déjà pleuré. Marya se contenta de la regarder en murmurant ocasionnelement :

-Kodomo da, kodomo ...
[c'est un enfant]

Elle regardait sans une exression sur le visage, plus de souir, même pas de tristesse. juste des trace de larmes qui avait silloner leur chemin sur ses joues. Après que l'infirmière est finit de verfier que la poche de sang se vidait bien dans le corps de leur camarade, Marya s'éloigna et s'adossa dans un coin de mur, comanca à murmurer quelque note, puis sa chanson.

Akatsuky ... Akatsuky ... Ô Tsuky-sama ...

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Le garçon continue à avancer à travers les gigantesques fleurs. Je le suis, un peu sonnée. Ce garçon est tellement mignon, tellement, irréel... J'aimerai resté avec lui pour toujours, mais je sais que ce n'est pas possible. Nous commençons à nous rapprocher de la fin du jardin, et déjà, le parfum des fleurs diminue. Je me sens triste, car dans ce jardin régnait une tranquillité inégalable. Mais bon, c'est lui qui le veut, alors, je le suis. Nous arrivons devant une porte. Immense, couleur bronze, faîte de métal. Le garçon l'ouvre. A l'intérieur, du vide et du Noir. Je commence à m'inquiéter. Je ne veux pas replonger dans le Noir. J'y suis trop seule. Il doit voir mon inquiétude, car il me lance un autre sourire avant de m'attraper et de me serrer contre lui.

-Ne t'inquiètes pas. Je serais toujours ici, à t'attendre. Tu me rejoindras lorsque le Temps sera venu. En attendant, d'autre personne t'attendent.

Il s'approche du trou noir et me pousse à l'intérieur. Je recommence à tomber dans le Noir. Je me sens seule, triste, j'ai mal, j'ai froid. Toutes mes sensations, mes souvenirs me reviennent d'un coup. Je suis comme une enfant, perdue dans toute cette violence. Je m'enfonce de plus en plus, comme dans de la glu. Cette sensation m'écoeure.
Je me réveille d'un coup, à cause d'une lumière intense. Mes mains partent toute seule, et je sens que j'ai frapper quelqu'un. J'ouvre les yeux. Devant moi, Marya, Tsukiyo, l'infirmière et un personne que je ne connais pas. Je vois que c'est Marya que j'ai frappé.

-Oh ! Je, je suis désolée.... Mais... Où suis-je ? Et que s'est-il passé ?

Je suis désemparée. Je ne comprend pas ce que je fais ici. La dernière chose dont je me rappelle, c'est que quelqu'un a pris mon corps sur son dos et est parti avec. Je ne comprend plus rien. Et qui est cette jeune fille ? Je suis perdue. Des larmes coulent sur mon visage, sans que je puisse les arrêter.

S'étant pris une énorme baffe en pleine figure, Marya commança à perdre le masque ; ses yeux n'étaient même pas rouges, les larmes étaient sèches depuis belle lurette. Mais maintenant, il y avait cette espèce de visage colérique sue seule Chi était capable de faire apparêtre sur le visage de Marya.

-Oh ! Je, je suis désolée.... Mais... Où suis-je ? Et que s'est-il passé ?
-*se tien le visage* Sur Terre, chez les vivant, espèce d'imbécile !

Chi pleure, Marya la prend par les épaules, regarde sa plaie (bandelée) puis regarde de nouveau vers elle.

-La seule chose qui me retiens de te donner une baffe est le fait que ça risque de te rouvrir : Mais qu'est-ce qui t'as pris putain ?

Chi semble contempler de manière brève et diffuse sa bléssure à travers ses yeux embuées de larmes, Marya la prend dans ses bras, colle sa joue contre les cheveux de sa petite amie.

-Baka ...Uresenai. Ontoni Urusenai ...

Tu n'as pas le droit de mourir ; pas ici, pas maintenant, pas alors que je peux l'empêcher.

-Anata no Shogai ... Wasurete nai !
[Ton existance/vie ... N'oublie pas]

Elle passa sa main sur le visage de la rescapée, sans pour autant desserer son étrainte, sans pour autant la regarder dans les yeux.

-Anata wa ... Chiisai janai ...
[Tu n'est pas insignifiante]

Que pouvait voir les gens autours, un gamine qui regardait comme une aveugle droit devant elle, des larmes sillonant des joue d'enfant, et un revenant couleur neige qui lui disait aussi platement que possible en ces circonstance la valeur de sa vie.

-Omae wa ... Chiisai janai ...
[Langage masculin → Marya commance à perdre le contrôle]

Invité

Chi se réveille en envoyait carrément une bonne claque sur la joue de Marya, cela fit sourire Tsukiyo. Puis Plume se réveille, et se rend compte qu'elle a fraapé son amie, et dit :
-Oh ! Je, je suis désolée.... Mais... Où suis-je ? Et que s'est-il passé ?
Tsukiyo soupire… Mais où étaient-elles? Chez le directeur? Non voyons! Sa sautait au yeux quand même, Tsukiyo et compagnie étaient dans le hall! Puis Plume se met à pleurer. Cela attendrit Tsukiyo, mais pas assez pour qu'elle sorte de la mauvaise humer dans laquelle elle s'était plongée depuis son réveil surprise.

- La seule chose qui me retiens de te donner une baffe est le fait que ça risque de te rouvrir : Mais qu'est-ce qui t'as pris putain ?

Tsukiyo laissa échapper un rire nerveux. Ainsi, même Marya est capable de faire preuve de compassion? Et bine, c'est bien nouveau tout cela!
Puis Chi observe sa blessure à travers ses yeux plein de larmes… Marya met sa joue sur les cheveux de Chi… Tsukiyo a déjà calculé la première phrase qu'elle dirait, mais avant de la prononcé, elle allait attendre que la jolie petite scène attendrissante se poursuive.

-Baka ...Uresenai. Ontoni Urusenai ...

Pour une fois, Tsukiyo était d'accord avec Marya, mais franchement? Chi avait-elle un petit pois dans la tête pour faire cela?

-Anata no Shogai ... Wasurete nai !

Et la scène émouvante se poursuit… Marya disait tout cela d'une voix plate… Franchement le tableau était d'un genre hors du commun : une gamine qui pleurant tout en regardant droit devant elle et une morte-vivante qui disait n'importe quoi à l'enfant…

-Anata wa ... Chiisai janai ...

Tsukiyo approuve d'un hochement de tête, il est vrai que la vie serait différent à Takuetsu sans Chi, et il ne manquerait plus qu'elle meurt! C'était une de ses seules amies, alors Tsukiyo voulait la protéger, même si rien ne se lisait sur son visage, Tsukiyo n'a aucun sentiment pouvant se lire de l'extérieur, tout se passe à l'intérieur, où les flots des larmes de soulagement s'écoulent sans s'arrêter. Puis Tsukiyo soupire : elle est lasse de toute cette vie compliqué qu'elle mène…

-Omae wa ... Chiisai janai ...

Tsukiyo s'étonne, depuis quand Marya parle en langague masculin? A ce que Tsukiyo savait d'elle, on ne lui avait jamais dit qu'en vérité c'était un garçon! Enfin bref, heureusement, Tsukiyo savait bien que c'était une fille même si le peu de poitrine qu'elle avait pouvait laisser dir le contraire…

- Bon, c'est charmant tout cela, Mais Plume doit dormir maintenant, ce n'est pas raisonnable de rester éveiller après tout cela

Tsukiyo sort son carnet et dessine vague ment un Chibi assez grand pour qu'il puisse porter Chi j'usqu'à la chambre. Puis Tsukiyo dit à Marya:

- Viens avec nous, c'est pas que je t'aime particulièrement, mais c'est que Chi serait mieux à dormir avec toi que toute seule dans son lit avec une paumée en train de passé une nuit blanche de l'autre coté de la chambre.

Le temps qu'avait mis l'infirmière à soigner Chi, avait parrut une éternitée aux yeux de Keiko. De plus, la jeune fille n'avait pas repris conscience immediatement. Les autres regardaient la blésée, d'ailleurs elle se demander toujours comment Chi avait pu être mise dans cet état. Mais pour le moment sa n'était pas la chose la plus importante. Bien que pendant que Chi somnolait, Keiko avait eut plusieurs fois l'envie de poser la question. Sauf que pour une fois sa raison l'emportait sur sa curiosité.
Lorsque après quelques minutes interminable, Chi se réveilla et mis une claque à Marya. Avant de reprendre bien conscience et de se fondre en excuses devant cette dernière. Keiko regarder la scène de loin, encore plus loin que les autres personnes présente dans cette piece. Marya était à côté de Chi, d'ailleurs elle venait la prendre dans ses bras. La Kohana ne se serait jamais doutée que sa "collègue" de Sesshu puisse être aussi attachée, enfin disons plutôt aussi attentionnée. Un léger sourire apparut sur les lèvres de Keiko, puis finit par disparaitre, se disant que se n'était pas vraiment le moment approprié pour sourire. Surtout pour une raison qui pouvait parraitre inconnu aux yeux des autres. L'autre fille, Tsukiyo observait les deux jeunes filles sur le lit qui se parlaient. Apparement elle n'avait pas l'air de vouloir se meler à la conversation. L'infirmière qui suivait tout sa de très près, secouait la tête en observant Chi. Surement une bonne chose, cela devait signifier que Chi se portait bien. Keiko en fut soulagée, l'infirmière vint la voir lui faisant de nouveau un signe de tête rassurant puis partit sans un mot.
Elle reporta son attention sur Marya et Chi, se tenant à l'écart, avec Tsukiyo toutes les 3 avaient l'air de se connaitre. Elles semblaient pourtant toutes inexpressives, comme si elles ne s'inquietaient pas pour Chi. Même si leurs présence les trahissaient, Keiko n'avait plus vraiment grand chose à faire ici. Elle avait aidée comme elle avait pu, mais à partir de là elle ne voyait plus trop en quoi elle pouvait être utile.
Une phrase de Marya attira de nouveau l'attention de Keiko vers elles, elle avait parler en language masculin. Bizar... Puis Tsukiyo pris enfin la parole, elle sortis un carnet à dessin et griffona dessus. En à peine quelques secondes se qu'elle avait dessiner se matérialisa, Keiko en fut surprise. C'était donc ça son don, interessant. Une sorte de Chibi très grand était à présent parmis elles, auprès de Tsukiyo.

- Viens avec nous, c'est pas que je t'aime particulièrement, mais c'est que Chi serait mieux à dormir avec toi que toute seule dans son lit avec une paumée en train de passé une nuit blanche de l'autre coté de la chambre.

Bien, Keiko en avait donc fini. Vu l'heure elle avait raison, il fallait qu'elles dorment et surtout que Chi se rétablisse. Malgré cela, Keiko nota dans la phrase de Tsukiyo, que cette dernière et Marya n'étaient peut-être pas si proche en réalité. Mais au moins elle se souciait de l'état de Chi. Se qui, même si Keiko ne les conaissait pas, la rassurée. Elle s'appocha du trio.

- Bon, alors moi je retourne à ma chambre. Au cas où je suis dans la n°12. Laisser le lit ici, je crois que l'infirmière viendra le chercher demain. Bonne nuit.

Elle leur adressa un faible sourire, la fatigue se faisait ressentir en tout cas chez Keiko. Même si elle doutait fort de pouvoir fermer l'oeil de la nuit, où du moins de se qu'il en restait. Et ses mains encore couvertent de sang, même si il avait séché, commençaient à dégager une odeur envahissante qu'elle n'appréçiait pas trop. Elle se mit à côté de Chi, où plutôt du lit, et la regarda. Sa pouvait paraitre bizar, mais elle voulait juste voir de ses yeux si elle allait bien. La bléssée portait un long bandage qui recouvrait sa plaie, et faisait le tour de sa poitrine. En bref, elle s'en sortait assez bien.
Elle recula puis attendit que les 3 autres remontent, elle fermerait la marche.

[HRP: Gomen!!!!! >. > Je pensais pas que je devait poster!! >. > En plus c'est pas terrible u.u]

Invité

Marya me prend dans les bras et commence à me gronder. Mais heu ! J'ai pas fait exprès ! Mais elle a déjà changé de sujet. Avant que je ne réalise vraiment ce qui ce passe, Tsukiyo prend la parole. Je vois flou, je suis encore endormie, mais je refuse de l'admettre. Un Chibi géant apparaît à côté de moi.

-Viens avec nous, c'est pas que je t'aime particulièrement, mais c'est que Chi serait mieux à dormir avec toi que toute seule dans son lit avec une paumée en train de passé une nuit blanche de l'autre coté de la chambre.

Quoi ? Dormir ? Mais naaan ! J'ai pas sommeil ! J'ai pas envie de dormir ! Plus maintenant ! Je prend ma respiration pour répondre, mais une autre fille prend la parole à ma place. Décidément, ce soir, j'aurai pas pu en placer une ! La jeune fille est installée à côté de moi et me regarde dans les yeux. Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai un problème ? Je baisse les yeux et apperçois un bandage. Hem... Qu'est-ce que j'ai encore fait ?

-Bon, alors moi je retourne à ma chambre. Au cas où je suis dans la n°12. Laisser le lit ici, je crois que l'infirmière viendra le chercher demain. Bonne nuit.

Je veux pas dormir ! J'aurai trop peur de ne pas résussir à accéder aux rêves et de rester coincée entre les deux ! Le Noir, c'est bof pour dormir ! Je me frotte les yeux comme une enfant, espérant ainsi faire partir le flou, puis me laisse reveler par le Chibi géant. Une fois debout je me dégage et prend une mine boudeuse d'enfant.

-Mais heu ! J'ai pas envie de dormir, j'ai plus sommeil ! Je veux pas dormir ! Je veux juste prendre une douche et me changer !

Je me laisse pourtant emmené dans la chambre et obéis sagement. Je sens que ce n'est pas le moment de discuter, j'ai dû faire vraiment une grosse bêtise... Je verrais demain matin pour le reste.

Les 4 vents nous éparpillent aux 4 coins de la mer ♫
Les 4 vents nous éparpillent aux 4 coins de la Terre ♪

Non mais qu'est-ce que je peux raconter parfois --'

Juste pour vous dire que Les filles repartent dans leur chambre ; bonne nouvelle, mais Chi va rester avec Marya et va rester eveiller comme une gamine ... Haruna va-t-elle s'inquiéter ou faire comme si c'était pas son problème ?

Bon on arrête le délire. Les filles vont dans leur chambres, Marya est avec Cji et le Chibi d'Ochibi-sempai. Et une fois dans la chambre n°15, Marya lance d'une voix dédaigneuse :

-Installe toi, va te doucher si tu veux je changerai tes bandages. Je vais chercher des affaires dans ta chambre, et t'as pas interêt à t'enfuire ou je te promets qu'on va penser que tu y es rester.

La nuit va être longue je le sens ...

[tout petit post de cloture >w< Keiko-chan, tu peux mettre fermer maintenant]