Mon voeux est ; ne pas aller au paradis, il y a trop d'Anges. [Terminé]

Marya me faisait manger en silence, addossée à un arbre à côter de la fontaine.Vous savez ? cette fontaien derière le batiment, diametralement opposée à la cour de récréation ; Oui, celle-ci, Pourquoi ? Parce que depuis sa guerison, Marya entendait mieux que jamais : le bruit lui était devenu de plsu en plus désagreable, et ça ne faisait qu'empirer.

Elle fixait l'eau, ne disait rien. Elle apréandait, et je ne savait pas quoi. Elle me disait que tout allait bien, elle ne me disait rien en fait. Ça se voit tellement dans ses yeux parfois ! Rien ne va, rien ne va plus, que ce soit nous ou au delà des mur, au dela des mer, au dela du monde ... Rien ne va plus, même les dieux semble avoir perdu le contrôle.

Ces yeux illusible, si terrifiant, tellement merveilleux et surnaturels, la plupard des gens ne voyent pas ce qu'il ressentent ; tout simplement parce qu'elle fèrme son esprit, qu'elle ne montre plus la joie, la douceur, l'envie, rien. Avant même, elle me le montrait à moi ; mintenant, c'est finit ; elle est froide, elle est dure :

La Nuit n'est plus aussi belle, elle est devenue sans rêves.

-Marya-nee ...
-Nani ?
-J'ai ... froid ...

Elle me prend dans ses bras, je sens les battements de son coeurs, je sens cette chaleure humaine qui me couvre ; pourquoi alors, pourquoi son coeur ne fait aps de même avec mon âme ? Pourquoi cette âme autrfois si chaleureuse et envieuse de la vie s'étint dans le froid absolu ?

Je la connait cette âme ; je vois ces ailes chaque jours sans vraiment les regarder ; à force, je les connais par coeur. Cette blancheur singulière, ce gris tellement proche de ma forme immaculée, ces plumes droite, parfaite, sans aucune aspéritée, mais sans douceur. Et puis, plus on avance, plus on va vers le bout, plus on s'éloigne du coeur et l'on va vers l'aparence que ça noircit, ça se tache, ça s'assombrit de manière trop brute. Il en résulte une limite ; celle qui est dépassée lorsque je suis mis en jeu, celle où Marya arrête d'être froide, celle ou elle deviens folle : Insolente, meprisante et meprisable, toutes les facette négative et inconcevable de sa personalitée, son je m'en-foutisme à sa forme la plus simple, la plus humaine, cellenon pas de l'indiférance mais de la moquerie.

-Marya ...
-Mmh ?
- ... Nande monai. [non rien]
-Baka. [idiot]

Elle soupire, le regard lointain.

-Il y a quelqu'un qui s'est perdu. Une fille gentille qui t'a offert une paire de basque.

Arrive alors une petite fille, à l'apparance de l'age de Mii-nee, s'avancant vers nous. D'apparence, car ses ailes, ou du moins ce que je peux en voir d'ici, (c'est à dire pas grand chose) son plus grande que sa propre taille.

-Salut Chi.

Une brume omniprésante, étouffante sur l'aile gauche. La droite est rouge, dégoulinante : mon coeur me remonte à la gorge, je crache le peu que j'ai avaler, maintenant et hier.

This is ... Lots of Blood ?

Invité

Après être sortit de ma classe d'art plastique, il faut maintenant que je trouve Marya, pour lui donner son tableau. J'avance de-ci de-là, à ça recherche. Je m'arrête un moment pour réfléchir. Si j'étais Marya... Ou serais-je ? Certainement avec le petit bout de chou pour qui elle m'a invité à son anniversaire. Daiichi, c'est bien ça ? Comme Daïchi, le "fils aîné" ? Non... C'est autre chose. Ce n'est pas vraiment important. Alors, si j'ai bien compris, il a 5 ans. Conclusion, il est en maternelle... Conclusion, Marya doit être dans le coin des maternelles, avec lui. Il n'y a plus qu'à aller chercher là-bas !
Je me dirige assez rapidement vers le coin maternelle. Pas en salle de classe, pas dans la cour de récréation, pas à l'escalier du courage.... Il n'y a donc plus que la fontaine aux voeux. Je souris, puis m'y rend, en sautillant, très excitée. J'espère que Marya aimera mon cadeau...
Arrivée à la fontaine, je l'aperçois, et court vers elle, toute joyeuse. C'est une très belle journée, en plus le petit bout de chou est aussi présent !

-Salut Chi.
-Marya-sama ! Comme j'avais envie de te voir ! Regarde, je t'ai fait un dessin ! Ca te plaît ? Allez ! Dis moi !

Je la prends par le cou, puis lui donne son cadeau, en sautant comme une puce. Je souris, heureuse, avant de remarquer que le petit prince est en train de vomir. Mon sourire s'efface immédiatement. Je l'écoeure, je le sens immédiatement. Je me tourne vers Marya, lui dit une autre phrase, puis me retourne et commence à partir. Je ne veux pas gêner. Et encore moins cet adorable petit prince qu'est Daiichi. Alors, il vaut mieux que je me retire et que j'aille voir si je ne peux pas être plus utile autre part. Ici, je suis une plaie pour le petit prince.

-Bon... Je vais vous laisser entre vous... Je n'ai pas l'impression que le petit bout de chou apprécie tellement ma vue. Il a l'air très mal en point maintenant qu'il m'a vue... Je ne voudrais pas qu'il tombe malade juste à cause de moi !

Je pars pour les laisser ensemble, sans attendre la réaction de Marya à propos du tableau. Il vaut mieux que le petit prince ne me voit plus jamais, ou il va réellement tombé malade d'horreur juste à cause de ma vue. Ce ne serrait pas juste que se soit le cas !

Tout se passe tellemnt vite ; je n'ai même pas le temps de faire de cmmantaire sur les appelations que me prête Chi que Daiichi commence à se sentir mal. Elle s'en va en vitesse, je relève le petit et essaye de le reveiller ; il pleure.

-Chi ! Chi matte ! [Attends] Daiichi ! Daiichi !

Je le secou dans tout les sens, le retourne, il dégobille encore.

-Daiichi !?
-Tsubasa ...
-Ks ...

J'appelle encore Chi, elle ne reponds pas. Elle est surment déjà loins. Je le prend dans mes bras, je lui frotte le dos, ses lamres coulent en silence.

-Tsubasa ...
-Yame Daiichi !
-Marya-nee ...

Il se recrocville, se blotit contre moi. Exactement comme avec ...

-Ogawa ... sama ?

Il remu la tête.

-Chi ... Chi ... Itai no ... [sang, sang, ça fait mal]

Je l'empoigne sur mon coeur, l'odeur deviens insuportable.

Marya se lève, remballe tout et amène Daiichi vers le comptoire des primaires. Une vielle femme viens l'attraper, elle lui explique qu'il a vu quelque chose de désagréable, qu'il fallait le laisser se reposer. Elle l'embrasse sur le front et reviens vers la fontaine. Fontaine au voeu ?

Elle trouve une pièce dans sa poche, la jete, tappe trois fois dans ses mains.

-Mon voeux est ... Être là pour eux, le temps qu'il faudra.

Elle qui souhaitait mourir ... Il lui fallait des enfants pour se rendre compte qu'elle ne voulait pas laissée une vie blessée sur le bord de la route. Chi, Daiichi ...

Je continurait de courir avcec eux tant qu'ils auront besoin que je leur tienne la main ; que tu le veuille ou non Daiichi.