Non, je n'ai pas someil. [Jon]

Et voilà. Ça recommancait.

Marya et moi avions essayer de discuter. Ou plutôt, j'ai essayer de discuter. Mais rien. Quand je lui ait demander pourquoi, c'était encore avec la même envie que j'avait resentit avec Megumi-san. Elle voulait me protèger, elle voualait que je me porte bien, mais si elle soufre, si elle meure ? Je ne veux pas que tu meure ! Et surtout pas pour moi !

Alors qu'elle voualit me ramener avant d'aller voir à un rendez-vous avec Papa, j'ai simplement dit avant de m'enfuire en courrant :

"Si tu est fatiguer, pourquoi tu ne veux pas t'arrêter deux secondes ?"

S'arrêter deux seconde. Et continuer après. S'épuiser, soufirir, mais ne pas arrêter. Mais quel égoïsme ! Je voulai qu'elle vive ! Pas qu'elle survive ! Elle s'occupe de moi, oubli qu'elle même existe ! Et quand il arrive quelque chose de vraiment important, elle me met à l'écard et endure !

J'ai courut jusqu'au dortoir, sourut et je suis tomber plusieur fois ; je ne voualit pas qu'elle me regarde, qu'elle voit mon visage ; mon visage d'enfant.

J'ai honte. J'ai honte. J'ai tellement envie de devenir plus fort !

Je ne m'arrête pas dans les étage qui nous sont assigner ; je vais dans les escaliers, je cours, je cours, je monte ... Aller toujours plus haut, toujours plus loin ... Et vite de preférance.

Je m'écroule d'épuisement au bout de quelque minute, je ne sait pas à qu'el étage je suis, je ne sait pas où je suis, quelle heure il est. Je sais juste que je suis là, la face à terre, et que sur mon visage, il y a des larmes d'enfant, que dans mon coeur, il y a une douleur d'humain. Est-ce que tout les enfants, est-cre que tout les hommes trop faible ressentait cela ? J'en doute. Il n'y a que moi pouir être aussi tordu, il n'y a que moi qui me préoccupe de Marya ; il n'y a que moi qui ne profite pas de mon enfance pour m'inquiéter de ne pas être un homme.

Je ne sais pas ce qui m'arrive, mais je sais une chose ; J'aime Marya de tout mon coeur, je l'aime à en mourir. Alors pourquoi devrait-elle mourir pour moi ?

Quand les gens s'attache trop, quand les gens tiennent à ce que l'autre vivent, ils s'oublient eux même. C'est égoïste quand on y pense ; mais j'aimerai tant que Marya comprène, j'aimerai tant qu'elle puise me regarder dans les yeux et y voir un homme !

J'aimerai tellement être un homme ... Pas un enfant, un homme ...

Invité

Mon sac sur les épaules, je tourne en rond, observant les alentours, a part des fenetres et des portes, rien... A mes pieds, la marche d'escalier que je venais de franchir...
Perdu?
Non... Impossible... Je ne pouvais m'etre perdu... Ca ne m'etais jamais arrivé jusqu'a maintenant, pas meme quand je m'etais retrouver seul au monde dans les rues...

* J'ai juste prit les escaliers d'un batiment étrange ou j'avais lu "Dortoir", comment aurais-je fait pour me perdre alors que les escaliers allaient tout droit?
Enfin bon... Le fait est que je ne sais pas ou je suis.*

Cette académie tellement grande, et si peux d'informations pour se retrouver... je m'appretais a rebrousser chemin, lorsque un bruit sourd semblable a une chute survint a mes oreilles, sans doute venant de l'étage superieur; puis un petit gemissement se fit entendre, moins fort cette fois-ci... Curieux je décida de monter voir.
Les bruits de mes pas se repercutaient sur plusieurs étages, non pas que j'étais bruillant mais que les escaliers étaient tellement vide qu'on pouvait entendre quiconque les empreinter...

Le spectacle qui souvrit a mes yeux lorsque je decouvris la cause du bruit me fit sourire, un petit bout-d'homme fatigué, allongé au milieu du chemin. Il ne semblait pas m'avoir entendu monter... Bizard... Je m'approcha doucement de lui et m'accroupit a ses côtés.
Il ne semblait pas bien...Non vraiment pas bien...

-Salut toi!
Besoin d'aide?

Je n'allais pas lui demander comment il allait, l'évidence même est qu'il avait probleme, maintenant est de savoir si je peux faire quelque chose pour lui...

[Passe dans coin blabla, le reflet de ton âme, parce que sinon, je vais avoir du mal x)]

Daiichi se releva imédiatement et essuya ses larmes. Mode petit gamin poli et un peu naif On.

-Gomenasai, Daijobu. Ontoni Daijobu, Shinpaishinai. [Vraiment désolé, ça va, ça va vraiment tout ca bien, ne t'inquiète pas]

Parler le plus rapidement possible était donc la solution ? Non. Il se tenait à genoux, ridiculement droit, les yeux river devant lui. Puis il relève la tête, ses yeux rouges se plonge dans ceux de l'inconu. Ces yux vairons, ces yeux qui pouivait voir tant de choses ...

-Anatawa dare ?

Il ne pleurait plus, il s'interogait maintenant. Oui, passer du coq à l'âne étant sa spécialitée, ce n'était pas difficile.

Mais Daiichi était plutôt préoccuper par sa soeur ; Marya allait mal, très mal ... Et lui ne pouvait rien faire.

Il se relève, secou sa tête, et fait un grand sourir ; ce n'était pas le moent d'aller se refugier dans ses pattes, de se cacher dans ses jupe et la laisser négicier avec les grands ; mainteant, il est là, et ce n'est plus un enfant : Il allait devenir fort : très fort.

-Poku wa Yumemaru Daiichi, A class, Yoroshukun onegaishimasu ! ^^-

Auteur : Ça fait leçon aprise par coeur ; Tu viens pas de dire que tu allait arêter d'être un gosse ?
Daiichi : Si pourquoi ?
Auteur : Tu viens de parler comme un enfant ; "Poku" ...
Daiichi : Marya-nee m'a dit que c'était pas de mon âge de dire Ore, et que Atashi/Watashi, ça m'allait pas ^^-
Auteur : Pourquoi j'ai créer un gamin si naif et influancable --'