Un peu plus près des étoiles.... (Pv Marya Chan)

La nuit venait de tomber sur le campus et le jeune Sosuke se sentait à peu près comme chez lui désormais, en effet le jeune était arrivé dans ce lycée depuis une demi semaine mais déja, le cadre et l'ambiance du batiment lui plaisait assez bien. Il regardait désormais les étoiles et se disait qu'il aimerait tellement être une d'elles, la liberté, quelque chose qu'on ne peut acheter avec de l'argent mais qui parfois vous coute la vie. Comment vivre dans ce bas monde sans un tant soi peu de liberté quelles qu'elles soient? C'est une très bonne question à laquelle le jeune Urameshi n'avait malheureusement aucunes réponses à proposer. Les cours n'étaient par contre pas son fort dès la première interrogation, le jeune homme s'était retrouvé à devoir rendre la feuille aussitôt donnée par le professeur et être contraint d'aller en étude, il avait du rendre tout simplement une jolie feuille bien blanche. Bref il regardait donc les étoiles et ignorait de quoi l'avenir serait fait, il avait déja vu dans ce lycée particulier, des pouvoirs assez impressionnants et se sentait donc relativement à l'aise. Avant son pouvoir de regénération aurait eu le don de foutre la frousse à n'importe qui puisque son pouvoir ne mettait que quelques minutes à remettre en état une fracture ou n'importe quel os cassé, bref le genre de blessures qui prend 6 mois de convalescence au minimum....

"J'aime bien cet endroit, cela est très calme lors des belles nuits comme celles ci, dommage de ne pas encore connaître du monde, ce serait un plaisir d'avoir une personne avec qui faire une légère discution..."

A ce moment la il ignorait que sa demande allait être réalisée par une jeune fille mais toujours est il qu'il s'asseya sur sur chaise de bois qu'il avait chapardé à son arrivée ici et intallée à cet emplacement, une mais pas deux car en effet, il n'allait pas jouer les déménageurs après tout, il resta alors à moitié étendu quand une ombre sembla se profiler au dessus de lui, il réouvrit alors les yeux et constata la présence de quelqu'un cependant sa vue était un peu dans le jeu d'ombre et de lumière puisque la personne était dans le reflet de la lune, un petit parfum parvint alors à toucher ses narines, la seule chose qu'il savait était désormais qu'en face de lui se trouvait une fille mais la lumière de la lune l'empêchait de clairement apercevoir le visage de cette dernière.....

"Qui êtes... Vous?"

Voila la seule question qui lui vint à l'esprit sur le coup. Toujours est il que c'est mieux que de rester sans rien à dire à passer comme un bête type sans interêts quelquonques.

De l'air froid a respirer ...

C'est ce qu'elleavait besoin cette nuit-là. Haruna ne semblait pas bien dormir, et elle étoufait. Pour ne deranger personne, elle pris la decoision de zaper le couvre-feu et de se refugier en hauteur.

C'est drôle n'est-ce pas ? Les gens qui sont au plus bas, qui se sentent au plus bas aiment les hauteurs. Pourquoi ? Sans doute pour certain qu'il sont plus proche de Dieu, du paradis ... Marya ne croyant en rien, elle ne savait pas vraiment ; mais elle trouvait au ciel et aux endroit dégagée quelque chose de bon, de meilleur pour l'humeur ... Et au moins, la plupard du temps, il n'y avait pas grand monde ...

Le calme, le silence. La solitude. Elle n'aimait pas le bruit, mais pas non plus le vide ; c'était mieux quand il y avait une certaine musique dans l'air. Elle n'aimait pas qu'il y ait du monde, mais elle ne voulait pas être seule ; elle avait peur d'être seule.

Il y avait quelqu'u sur le toit. Tant pis, espérons qu'il dorme ... Elle s'avance, à pas presque dansés, va à côter de cet étranger samblant être un jeune homme. Un être humain, quoi d'autre ? Ici, il n'y avait pas vraiment de monstre, de bête ... Juste des être humain qui vivent ... De jeune humains qui se dévouvrent, de jeune humains qui découvre la vie ...

C'est mon cas aussi ...

Mais Marya ne comtait pas attendre la fin de son aprentissage ; elle s'en irai bientôt ; dès que sa Lune serait assez forte pour brillée seule, tel un soleil.

En parlant de Lune, celle de cette nuit était bien pleine ; ronde et lumineuse, Marya aurrait jurer qu'elle était teinté d'un peu des couleurs de son clan. Elle ne pu s'empecher de murmurer en chantonant.

Akatsuky ... Akatsuky ... Berce la Nuit, D'une lumière saine,
Yoru, yoru, Ô nuit de grâce, n'oublie jamais qui t'éclaire ...

Le vent fit virvoltée sa chemise blanche, la frolant, la carressant de sa fraicher, mais elle ne trambla pas. Elle continue d'avancer, d'avancer, jusqu'a ce qu'elle atteigne le jeune homme qu'elle avait presqu'oublier dans sa nostalgie ...

-"Qui êtes ... vous ? Entendit-elle.
-Akatsuki Marya ... Ça fait beaucoup de personne qui me demandent mon nom ... Et toi ? qui es-tu ?" dit-elle d'un tonneutre et mélancolique à la fois, avec une douceur exquise.

Elle fit qulque pas pour s'éloigner, repris sa dance légère et commança a chanter avec une gaitée qui dépassait ses habitude. Son visage était impassible, nul sourire ne s'affichait sur son visage, mais on pouvait entendre dans sa voix les notes qui dansaient avec elle.

Akatsuky, Yoru, ö Tsuky-sama ...
Zutto, zutto kirei dana ...
Yoru wa ... Yoru wa ...
Watashino Ie .. Watashino Ushi da ...

[Lune rouge/aube, nuit, Lune-sama
Toujours, toujours belle
La niut est, la nuit est
Ma maisson, mon foyer]

Ses cheuveux blanc reflétait les rayon blanc de l'astre lunaire, comme sa peau, mieux même que la chemise blanche qui semblait bien triste a côté de ses membres immaclés. Elle dansait en fermant presque les yeux, puis releva la tête quand il lui répondit, montrant ainsi son regard mauve pale qui sous la lumière mystique semblait être deux perles lumineuse, deux petite lune rouge ...

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[Akatsuky = Aube ou Lune rouge. Tsuky = Lune. Yoru = Nuit.]

Invité

Mouais. Il fait nuit. Et alors ? J'ai pas sommeil, j'ai pas froid, je vois parfaitement devant moi (c'est comme si j'étais un petit soleil, je vois comme en plein jour). Bon. J'ai plus qu'à aller me balader alors !
Vêtue de ma chemise de nuit noire, m'arrivant un peu plus bas que les genoux, et armée avec le kit de survie, je vais de-ci de-là. Mes pieds nus caressent le sol. De la terre, du ciment, du sable, de l'herbe. C'est froid, piquant, très agréable. Je suis paumée ? Pas grave. La lune brille... C'est beau... Mes yeux e voient qu'elle, et mon corps avance sans que je m'en aperçoive. Je monte, toujours plus haut, pour rejoindre la lune. Elle brille et m'attire, comme un aimant... J'entends son chant m'appeler, comme si elle avait besoin de moi... (Et oui, maintenant, je vois plus des silhouettes invisibles pour les autres, j'entend des voix !)

-Tsuki-sama.... Attend moi...

Mes jambes m'emmènent instinctivement vers l'endroit le plus haut que je connaisse : le bâtiment scolaire. Devant cet immeuble, je semble me réveiller et commence à monter. Un étage, deux étages... Jusqu'au toit. Pour voir la lune. Je m'arrête devant la porte, le coeur battant la chamade. Pourquoi s'effraye-t-il autant ? J'ouvre la porte d'un coup, et respire immédiatement l'air frais, pour me détendre. Deux personnes sont déjà sur le toit.
Une des deux silhouettes m'est familière. Elle a des cheveux blancs, et est assez grande. Qui c'est ? Ca peut pas être Daiichi, c'est trop grand. C'est pas non plus Aradwin, car, du coup, c'est trop petit. Il ne reste plus qu'un personne.... Marya ! Je coure vers elle en criant très fort :

-Marya-sa... Un peu plus près des étoiles.... (Pv Marya Chan) 664447

Un peu plus près des étoiles.... (Pv Marya Chan) 664447

MARYA-SAMA !

J'évite son coup de poing, son croche-patte, mais trébuche sur un caillou et m'étale cinq mètres plus loin.... Je suis pas douée... J'ai franchement des progrès à faire ! Trébucher sur un caillou ! Lamentable !

Le jeune homme semble la regarder intensement. Que voit-il ? Un fantôme ? Un esprit ? Un monstre ? Une enfant ? Une femme ?

Marya le regarde fixement, implante son regard si destabilisant au fond de lui ; il tien; il tien, il semble ne plus pouvoir détacher so regard ... marya non plus. Aimentée. Contrairement aux autres où elle doit détourner le syeux, où ils doivent eux détourner les yeux. Elle entends, écoute la mélodie de la nuit, mais se tait. Elle essaye de se souvenir de qulque chose, mais elle ne sait pas quoi. Ah si : Il y a quelqu'un qui s'approche.

-Marya-sa ... MARYA-SAMAAA !
- Sama tayudna ! [ne m'appelle pas "sama"]

Dès qu'elle tente de se jetter sur elle, Marya se retourne et frappe. La petite évite, elle saute pour éviter son pied qui rasait le sol pour la faire tomber, s'éloigne en riant et ... tombe. Marya la regarde avec une sorte d'énervement et finit par femer les yeux pour se contenir. La petite se releve, semble déçu par sa chete, puis profite de l'inatention de Marya pour la prendre par la taille. Marya contien sa colère et soupir.

-Plume, t'es pas croyable ... Tu voulait vraiment que je t'en mette une ou quoi ? Ne m'appel ni Pincesse, ni sama, ni dono ni ...

Le point lever en regardant Plume qui s'accrochait sans l'écouter, elle finit par abandonner ; cette gamine avait le don de la faire sortir de ses gonds ! Prèsque pire que Daiichi !

Puis elle se rapellla la présance du jeune homme, et tourna son regard vers lui. Magnétique.

- ... Excuse ... nous ... Elle n'est pas ...

Oui, presque, articule Marya, mais je crois que tu l'as remarquer, il n'y a que deux réaction possible ; 1, ils se barre en courrant, 2 il éclate de rire.

3, il fait exactement pareille que toi ; il te fixe et ne dit rien. Mais n'y compte pas.

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Naturellement il l'avait entendu et c'était pour cela qu'il s'était réveillé et qu'il demandait qui était la mais dans le reflet de la lune, il ne distinguait pas tellement son interlocutrice si bien qu'il se demandait si oui ou non, ikl ne rêvait pas c'est alors que celle ci lui répondit qu'elle s'appelait Marya, un bien joli prénom et elle lui demanda ensuite quel était son nom à lui, une question logique et dans sa semi rêverie, il était évident qu'il en avait oublié la politesse sur l'instant présent mais était ce un drâme, il allait lui répondre quand elle reprena sa petite danse, il en profita pour se redresser dans une position désormais assise et regardait désormais la jeune demoiselle danser quand celle ci semblait désormais le regarder intensément, il était venu le moment de se présenter alors que leur regards continuaient de se fixer. Elle avait un regard déstabilisant qui essayait de forcer les autres à baisser le leur mais pas question de laisser cela se produire, il soutenait sans trop de mal le regard de la demoiselle et commenca à légèrement prendre la parole...

"Urame...."

Interrompu dans sa phrase par un bruit de pas incessent il retourna légèrement la tête et aperçut une autre fille qui courait vers la jeune fille qui dansait un peu plus tôt mais c'est alors qu'une scène de manga sembla se produire.

-Marya-sa... Un peu plus près des étoiles.... (Pv Marya Chan) 664447

MARYA-SAMA !
- Sama tayudna !

Voila qui allait retarder quelques peu les présentations puisqu'un semblant de bagarre se déclencha à cet instant précis Marya leva son poing pour frapper mais l'autre jeune fille esquiva pour ensuite éviter le croche pied qui venait juste après, bons réflexes mais une chute maladroite la fit tout de même tomber au sol.... Bons réflexes certes mais également maladroite, bon apparemment cela avait eu au moins le dons de stopper ce genre de scène innapropriée sur le coup, Sosuke savait cependant que cette école était particulière, il savait donc qu'il s'amuserais un peu quand même, Marya sembla se retourner vers lui mais l'autre fille la prena alors par la taille: Want a Hug? X3. C'est alors que la jeune danseuse commenca à engueuler légèrement l'autre fille mais déja elle se retournait sur lui s'excusant de la scène...

"Y a pas de mal. Je reprend ou j'en était, je m'appelle Urameshi Sosuke de la classe D et contrairement à toi qui en a beaucoup qui demande ton nom, dans mon cas tu es la première à me le demander Marya. Bref Enchanté."

Le jeune homme se leva alors et rejoignit le bord du toit s'appuyant contre le rebord en béton, il regardait la lune désormais appréciant le silence soudain de cette belle nuit, la nuit porte conseille dit on, peut être est ce vrai mais ce soir elle se montrait propice à une double rencontre pour le jeune homme qui souriait légèrement....

"Nous avons droit à une belle nuit, n'êtes vous pas d'accord?"

Il venait de se retourner sur les deux demoiselles en posant cette question, il n'aimait pas la superficialité et préfèrait à cela les choses les plus simple car parfois c'est ce qui est le plus simple qui est encore ce qu'on aime le mieux, il souria légèrement pour accompagner ses propos. Il attendait désormais une réponse, il remarquait aussi que sous la lumière de la lune Marya était plus transparente à moins que ce ne soit son corps qui apparaissent mieux soudainement une fois la lune présente, surement portait elle des vêtement si clair que sur le coup la silouhette de Marya se voyait à travers les vêtements sans rien dévoiler de compromettant pour autant. Quant à l'autre demoiselle et portait comme Sosuke des habits simples à savoir pour Sosuke, un simple t'Shirt blanc avec un pantalon style uniforme d'école mais plus en toile qui se prêtait à merveilles pour un sport quelquonque le tout étant accompagné avec des baskets blanches

Invité

{Je porte une nuisette noire, mais bon... --'}

Après ma lamentable chute, je me retourne. Marya a baissé sa garde... Un peu plus près des étoiles.... (Pv Marya Chan) 664447

Je fonce vers elle. ATTAQUE SPECIALE CALIN X3 ! Je la prend par la taille. Elle est plus grande que moi, mais peut m'importe, c'est ma grande peluche ! Elle est tellement belle, tellement forte, tellement protectrice... On pourrait penser que rien ne pourrait la faire faiblir... Mes yeux, jusqu'alors concentrés sur Marya, se tourne vers un autre coin du toit. Je remarque alors qu'il y a une autre personne sur le toit, à part nous deux (chose que j'avais déjà vu, mais quelque peu... oublier), un garçon, tandis que ma grande nin'gyou (poupée) lui parle. Je le regarde, et inscrit son visage dans ma mémoire. Il me fait penser à un lion regardant ses petits. La même expression de douceur et de tendresse qu'un père pour ses enfants... Je suis certainement la seule à voir ça, c'est tellement étrange... Je n'ai pas l'habitude de voir un regard pareil. Ses yeux sont uniquement tournés vers Marya, et j'ai l'impression de gêner leur moment d'intimité. Il se présente. Sa voix ressemble à de l'or liquide. Marya-nin'gyou, elle, a la voix comme un rayon de lune. A la fois réel et irréel. C'est cette voix que je préfère.

-Y a pas de mal. Je reprend ou j'en était, je m'appelle Urameshi Sosuke de la classe D et contrairement à toi qui en a beaucoup qui demande ton nom, dans mon cas tu es la première à me le demander Marya. Bref, enchanté.

Ses paroles ont beau être amicales, je m'accroche plus fermement à Marya. J'ai peur... qu'il me la prenne. Je n'ai jamais ressenti ça pour quelqu'un. Je me suis attachée à elle. A cause de son regard, de sa voix, de ses yeux, de sa démarche. Tout. Elle est comme un rayon de lune qui aurait pris une apparence humaine. A la fois royale, distinguée, et perdue. J'ai envie de la garder pour moi... Mais... Ne serait-ce pas utopique ?

-Nous avons droit à une belle nuit, n'êtes vous pas d'accord ?

Ses yeux ne se détache pas de Marya. J'ai l'impression d'être une gêne, un poids, un obstacle entre eux deux. Pourtant, son sourire m'apaise. Comme un père. Je me décroche presque à regret de Marya, et monte sur le petit muret du bord du toit. Mes pieds sont presque dans le vide, mais j'avance. Je me retourne d'un coup, les mains derrière le dos, un grand sourire au lèvres. Si je dois perdre ma Marya-nin'gyou, autant la perdre entièrement ! J'ouvre la bouche. Ma voix est un murmure, et le vent la fait résonner un peu partout.

-Je suis Mirane. Mirane Chi. Classe C. Ravie de faire ta connaissance. Tu peux m'appeler Plume, c'est mon surnom, et je le préfère à mon prénom.

Sourire. Ne pas pleurer. Continuer d'avancer. Après tout, pourquoi reculer ? C'était moi et moi seule qui ai décidé de me trahir. C'est rien que de ma faute. Un peu plus près des étoiles.... (Pv Marya Chan) 13516

Un peu plus près des étoiles.... (Pv Marya Chan) 13516

Je marche comme une bourrée, juste au bord du toit, en chantant très doucement une petite berceuse. Je ne sais pas où je l'ai appris. Je la connais, c'est tout. Je ne chante que pour moi. Je ne suis pas sûre que Marya et Sosuke aient envie d'entendre à quel point je devrais faire un tour dans un cour de chant.... Le vide n'est qu'à quelques millimètres de moi. Pourtant, je n'ai pas peur de tomber, ça ne met jusqu'ici jamais arriver. Pourquoi avoir peur de ce que je n'ai jamais vécu ? Mon sourire devient léger, tranquille, rassuré. Si je dois perdre quelqu'un, je n'ai pas à m'en faire. Cette personne m'oubliera vite. Et pour moi, je n'ai pas de coeur, je ne risque pas de sentir réellement cette perte....

Chi Mirane ? Plume est un surnom ?

-Chi ...
-Mh ? *tourne la tête d'un côté tout en machant*
-Ça te va bien ...
-Mh ?*tourne la tête de l'autre côter*
-O-Chibi-san ... Kimi wa sugoku Chiisai.

[Chi=sang, mais aussi Chi-sai=petit]

Chiisai n'est pas le bon mot ... Elle n'est pas ... insignifiante ...

Chi se promène, se balance sur le rebord ... Un peu trop même. Combien de fois est-elle sur le point de tomber ? Exactement 48 fois. moyenne de 7 par seconde. Avant qu'elle n'entame réellement une chute de l'autre côté du toit (= dans le vide de 5 étage environs), Marya la ramène par le col (où ça le col, elle en en chemisette ?!) du bon côter du bord.

-Tu veux vraiment tomber toi ; tu t'imagine t'écraser au sol à cette hauteur ?

Chi fait son petit air de chien qui ne comprend pas bien ce qu'on lui raconte. Marya soupir.

-Tu ne sait pas ce que signifit tomber hein ?

Et encore.

-Tomber ?
- ...

-_-' Inconciente ; on va pas t'en vouloir ... Et en plus elle recommance. Laissons tomber.

-Fait gaffe, si tu tombe, je pourrait rien pour toi ...

Sous entendu que tu aimerai pouvoir y faire quelque chose ? -- Urusai. -- Toujours aussi aimable >>'

Elle s'adosse près de Chi qui joue encore la bourée sur la rembarde, répond à la question réthorique (ou pas ?) du (jeune ?) Sosuke.

-La nuit ... A toujours été belle tu sais ...

Pendant que Chi dansait presque sur le rebord, Marya sontinua son chant, sa berceuse ...

Tsuky-sama ... Tsuky-sama ... Omoidashita ...
Kono utau, 'no utau,
Kirei Yoru-sama wa ...

L'autre demoiselle venait de s'accôter au mur se présentant sous le nom de Chi Mirane et finalement le jeune Urameshi se sentit un peu exclu de la conversation alors qu'il avait tenté de l'engager, c'est alors que la jeune Chi sembla vouloir tomber du rebord et finalement Marya se retrouva encore en train de l'engueuler, elle répondit alors à Sosuke que la nuit à toujours été belle et elle avait raison dans un sens, elle permet toujours un certain moment de solitude.... Il regarda alors la lune lui aussi, elle est belle et est au sources de toutes les légendes les plus diaboliques n'empeche qu'il se sentait un peu exclu de la conversation, les deux jeunes filles dansaient et chantonnaient de leur cotés et Sosuke retourna sur sa chaise regardant le ciel assombri, c'est alors qu'il se releva en quatrième vitesse Chi venait de perdre l'équilibre non mais je vous jure, elles vont le tuer plus vite qu'autre chose.... Toujours est il qu'il se déplaca et attrapa le rebord du muret donnant un léger coup de pied dans le dos de Chi la remettant sur le toit tandis que lui dans son élan passa à travers la fenêtre en contrebas tombant dans un débarras et traversant la porte se faisant alors bien remarquer. Heureusement il se cacha de justesse pour le surveillant et remonta quelques minutes sur le toit s'excusant auprès de Chi pour le coup de pied soudain de tout à l'heure.

"Désolé du coup mais bon tu vas pas te plaindre alors que je t'ai sauvé la vie hein?"

Il remarqua un morceau de verre fiché dans son avant bras droit, superbe trophée dites moi, enfin c'est toujours mieux que de se retrouver borgne ou que sais je, bref il le retira et le sang splitta alors sur le sol se stoppant presque immédiatemment, la blessure s'était refermée quasi tout de suite après sa création les cellules mortes remplacées par des cellules neuves....

"Voila mon pouvoir, je me regénère quelque soit la blessure et ce de manière très rapide, je l'ai depuis ma naissance. Et vous avez vous un pouvoir quelquonque?"

Sosuke se rasseia alors sur la chaise longue, quelle nuit riche en rebondissement....

Invité

Marya pense que mon prénom me va bien. C'est gentil de sa part. Je regarde la lune en oubliant que je me trouve quasiment au bord et fait un pas... Dans le vide. Je sens quelqu'un me repousser vers le toit, et avant d'avoir compris ce qu'il m'arrivait. Je me retrouve la face par terre. Tant pis pour moi. Sosuke remonte. Je suppose que c'est lui qui m'a empêcher de tomber, il est un peu blessé. Je ne dis rien, trop fascinée par le sang. Sa voix sort, comme une flèche, mais rebondit contre moi sans m'atteindre. Je ne peux que me concentrée sur le liquide rouge. Rouge. Sang. Chi.

-Désolé du coup mais bon tu vas pas te plaindre alors que je t'ai sauvé la vie hein ?

Je lève les yeux de la blessure et le regarde. Il semble en colère. Pourquoi ? Je n'ai pas souhaité qu'il se blesse... Pourquoi faut-il toujours qu'on me regarde ainsi ? Je ne comprend pas... Une larme coule, comme une grosse perle, le long de ma joue. Je baisse les yeux, sa blessure se soigne d'elle même... Incroyable ! C'est donc ça son don ? Au moins, il est utile le sien, pas comme le mien... Si seulement je pouvais changer de don ! Ce serait absolument génial !

-Voila mon pouvoir, je me régénère quelque soit la blessure et ce de manière très rapide, je l'ai depuis ma naissance. Et vous avez vous un pouvoir quelque conque ?
-Oui. Sinon, nous ne serions pas ici. Enfin... J'espère.

Sa question semble naïve, mais à y regarder de près, ce qu'il demande réellement, c'est QUEL est notre don. Faut-il que je réponde ? Il est tellement inutile. J'attend un moment, pour voir si Marya répond. Elle ne semble pas y tenir, aussi, je me sens obligée de dire le mien. J'entend ma voix, résonnant un peu partout, et pourtant si faible. Un peu comme si je chantais une berceuse. Pourtant, je ne sais pas chanter. Impossible que ce soit ça.

-Mon don est de pouvoir plongé les gens dans leurs propres ténèbres ou dans leur lumière. Je suis également capable de voir très bien dans la nuit, car mon corps est une lanterne humaine. Je ne sais même pas pourquoi...

Je m'installe à côté de lui, et gribouille sur un carnet quelques phrases concernant Marya et lui. C'est très important de connaître ce genre d'information, ça m'aide vraiment. Chaque fois que je rencontre quelqu'un, je fais une fiche sur lui, avec son portrait, un dessin de toute sa silhouette, son âge, sa classe, et les informations que j'ai pu obtenir de cette personne. C'est très instructif. Evidemment, ce carnet, je ne le montre à personne. Aussi, je le range rapidement, et commence à manger du chocolat. Je prends une autre tablette et la tends à Sosuke et à Marya et demandant prudemment :

-Vous en voulez ? J'en ai au chocolat blanc, au chocolat noir et au chocolat au lait. Ca vous intéresse ?

[Chocoalt blanc **]

Marya prend une tablette blanche, l'ouvre et croque dedans, dans un bruit exquit de craquelure : vous savez, quand vous casser un morceau à pleine dent. Le regard toujours en l'air, elle se con,tente de regarder vers le haut, vers le Ciel, vers sa Lune adorée ... Vers les étoiles ...

Where is my Lucky Star ?

Elle sent sur elle deux paires d'yeux ; finit par soupirer, et lance d'un ton mi-agacé, mi-enuyé, sans l'ombre d'un sentiment dans la voix :

-Onde sonique ou sonore par passage en vibrations cellulaire.

De grands yeux ... Inquisiteurs, interogateurs, que dire de plus de ces deux têtes d'idiot qui vous fixent l'air de dire "J'ai absolument rien compris, tu peux répéter ?". Un soupir encore, elle se retourne sans ouvrir les yeux et réduit les reste d'aluminium et de papier en poussière intersidérales d'une main fermée à l'aide bien sûr de qu'elle que vibrations destructrice, poussière qui d'ailleur s'envole au vent à des kilometre de là quelque seconde plus tard.

Elle s'avance à quelque paos d'eux, s'arrête, ferme les yeux.

20 H. 40 Hz. 80Hz. 160Hz. 320Hz. 640Hz. 1280Hz.

Un siflement medium empli l'espace, la nuit fait raisoner. Marya se concentre, tente de faire occiller les notes. Do. Fa. Re. Si#. Elle lache, le silence reviens ; elle hallette, puis se releve, quelque goutes perlent sur son front.

-Je peux aps faire grand chose à part détruire ; c'est très dur de ne pas monter dans les aiguës ; Mon clan favorisait la musique et l'art à la dersrtuction pure, mais j'en suis pour l'instant incapable. Il faudrait que je recupaire deux ou trois trucs avant que ce soit audible ...

Ce fut Chi qui répondit la première à la question de Sosuke, ainsi elle pouvait faire ressortir le coté angélique ou démoniaque des personnes? Tant mieux qu'elles n'en comprenne pas encore les possibilitées parce que bon son don se résumerait à manipuler les personnes en stimulant les émotions de cette dernière effrayant. Elle s'installe alors a coté du jeune et commence à gribouiller des notes apparemment sur lui et sur Marya, si elle ne le montrait à personne c'était raté en se mettant juste à coté de Sosuke, elle le rangea toutefois assez rapidement et Sosuke ne chercha pas à savoir pour autant ce qu'elle avait noté, toujours est il qu'il accepta de prendre un bout de chocolat blanc tout comme Marya c'est alors qu'il regardèrent Marya et elle dévoila aussi ses pouvoirs, manipuler les ondes est aussi un pouvoir destructeur une fois mature. Elle fit alors une petite démonstration et on put sentir une certaine densité sonore dans l'air.

"Sinon depuis combien de temps êtes vous dans cet établissement, personnellement je suis nouveau dans le truc depuis une semaine et vous?"

Sosuke essayait de savoir si il pouvait faire connaissance avec des personnes qui connaissent bien les lieux, en effet cela lui permettrait de demander un coup de main pour s'y retrouver dans ces leiux car oui, cet établissement est assez collosal et le visiter prend du temps, le pire des cas serait de se perdre dans sa propre école....
Hrp: Dsl du rp minable mais je voulais pas bloquer

Invité

Je regarde Sosuke très étonnée. Il n'est là que depuis une semaine... Le veinard ! Je me lève chante très bas, me rapprochant du bord du toit. J'hésite à répondre. Le vent fait voler mes cheveux et me fait frissonner. Oui, c'est vrai. Il y a des élèves qui arrivent tous les jours, pourquoi suis-je étonnée ? Je ne sais pas... C'est une réaction qui m'est venue naturellement... J'ai du mal à admettre qu'on ai pu avoir la chance de ne pas avoir passer son enfance ici... Mais bon, parfois, il vaudrait mieux l'avoir passer ici... Je monte sur le petit bord, et soupire. La lune m'éclaire, mais je n'ai pas besoin d'elle. Après tout, je suis un peu comme une lanterne vivante, alors... Je me retourne en souriant, et parle en espérant que les larmes ne couleront pas tout de suite :

-Moi, cela fait beaucoup trop longtemps que j'y suis... Mais, je ne peux pas vraiment me plaindre, il y en a de moins bien loti que moi. Je ne suis vraiment pas à plaindre... Je suis presque une princesse comparée à d'autre...

Je ris. C'est drôle, mais maintenant que je le dis, cela me semble réellement stupide et égoïste de ma part. Après tout, il y en a qui ont tout perdu, juste devant leurs yeux, comparée à eux, je suis plutôt bien traitée, je n'ai pas de souvenir très précis avant Takuetsu, donc rien de traumatisant ! Je regarde la lune, me plonge en elle, et pleure. Mes larmes m'échappent complètement. Je me blottis comme je peux, en essayant de cacher mes larmes.

-Je suis désolée ! Je ne veux pas vous déranger... Ce n'est pas de votre faute. Pardonnez-moi ! Je ne suis qu'une imbécile finie !

Je continue à pleurer. Mes larmes tombent, les unes après les autres, sans s'arrêter. Je me relève et saute. Un fois arrivée au sol, je me mets à courir, pour me cacher dans les bois, et éviter l'horrible spectacle que de moi en train de pleurer comme une madeleine. Pourquoi ? Pourquoi toutes ces larmes ? Pendant 9 ans, j'ai réussit à les contenir, alors pourquoi sortent-elles à présent ? Qu'est-ce qu'il m'arrive ?

Quand Chi pleure ... J'y voit une enfant ... Une enfant qui tente de rester où elle en est ... Pas préssée de grandir, se fiche de soufrir ... Chi est une enfant qui à vécue son enfance ; à Takuetsu : Une enfance différente, une enfance qui lui à surment pris certaines chose ...

Moi ? Je ne sais pas trop. Mon enfance à moi ... Etait entre celle d'une enfant gatée et quelqu'un qu'on essay d'en sortir le plus vite possible. Je n'est jamais eu de vrai enfance qu'avant mes 4 ou 5 ans. Après, il fallait que je devienne vite adulte, vite forte, vite femme. Il fallait que je me comporte comme une petite princesse, une poupée bien élevée, et sans en montrer rien être aussi forte qu'un homme. C'était ça dans mon clan ; je suis tomber sur le mauvais rôle ; le rôle de la petite fille unique de la famille dirigeante d'un clan ; un clan fermer qui procède différament, des marginaux qui gardent leur traditions.

Je me souviens que si je l'avait voulu, j'aurait pu abuser de mon statue ; le simple fait d'être née comme une princesse me donnait tout les droits : je pouvais demander à un homme de se tourner en ridicule juste pour me faire rire, il le ferait. Je l'ai fait quand j'avait quatre ans ; l'age où on se rends compte que nos proches nous cajole et nous cède tout, l'âge où l'on à l'impression d'être le centre du monde, cleui où l'on croit que tout viendra comme on le voudra, là où l'on ne pense pas que l'on existe, que le monde existe, et que nous ne sommes qu'un poussière dans ce monde.

J'ai très vite compris, je me suis souvant rebeller, souvant comporter audieusement face au gens, juste pour leur montrer que je ne rentrrait pas dans le moule. On m'apprenait à vitesse éclair, je retenait, et j'était senser le recracher une fois que j'aurait été une princesse, une meneuse ... Même si je savais que la plupard des hommes du clan attendrait avec impatience que je me range et que je donne un fils pour revenir aux traditions.

Tout ça, c'était perdu ; les Yumemaru ont passer le massacre, la famille de Daiichi était en ce moment active et officièlement la plus puissante des fraterie de sabreurs ; Akatsuky est mort : je suis la seule, élevée et formée pour quelque chose qui n'a plus de sens. La Légende de la Lune Rouge est morte, et moi je suis seule, avec ces souvenir d'enfances qui ne me servent à rien : un passé qui ne me sert plus à rien, à part peut-être soufrir ...

La preuve ... Que je suis en vie ?

Chi ... Je ne dirai jamais rien quand tu pleurera ... Ne crois pas que je n'est pas remarquer, ne cois pas non plus que je t'ignore, que j'ignore ta soufrance ; je suis juste conciente que ça ne me concerne pas ; c'est ton histoire, ton pasé, tes sentiments. Si un jours tu veux m'en faire part, je n'aurai pas besoin de te le demander. Chi, ne pleure pas, si tu pleure fait le une fois et envoie au loins ton chagrin.

C'est tellement étrange, moi je croyais ne plus jamais resentir assez pour pouvoir en pleurer : pourtant avec toi, je ressens tellement de choses ...

Sosuke semble se demander quoi faire, Marya ne la regarde plus.

-Laisse : son histoire est la sienne.

Elle finit son moreceau de chocolat, se retourne vers le rebord, prend une grande inspiraiton :

"Arigato, Kiseni no Chibi ! Choco wa umooï !"

[Merci [mix entre saletée de gamin(e) et Chibi (petit)] le chocolat est bon]

La voix grave et fluide de Marya raisonne, puis s'étein sans provoquer d'écho.

-Si elle entends pas, tant pis.

Elle se retourne, marche un peu vers le centre du toit.

-Tu sais, tu n'as pas besoin de poser tant de questions ... Il n'est pas toujours nécesaire de tenir une conversation ...

Elle respira assez fort ... Ecouta le bruit de la nuit. Les bruits ... De l'eau dans le lointin, des abre qui se frottent feuilles à feuilles, le vent qui sifle, chante, danse encore et toujours de son pas soyeux ... Elle recommence à entoner la chanson ...

Akatsuky ... Akatsuky ... Berce la Nuit, D'une lumière saine,
Yoru, yoru, Ô nuit de grâce, n'oublie jamais qui t'éclaire ...
Tsuky-sama ... Tsuky-sama ... Omoidashita ...
Kono utau, 'no utau,
Kirei Yoru-sama wa ...
Akatsuky, Yoru, Ô Tsuky-sama ...
Zutto, zutto kirei dana ...
Yoru wa ... Yoru wa ...
Watashino Ie .. Watashino Ushi da ...

Elle semblait être acompagnée par les bruits, les sons, la musique de la nuit ... Elle dansait encore, les cheuveux qui terminait sa danse à peine esquissé pas ses jambes. Elle leva la main en direction du jeune homme, l'invitant à s'approcher. Elle lui pris la min et ses bras prirent alors le rhytme de sa danse.

Anata wa Eien, Anata wa warashi no
Inoshi todemo kirei wa Tsuky-sama ...

[Tu est éternitée, tu est ma
Vie, si belle est Dame Lune]

Obligant le garçon à l'accompagner dans sa reverie, elle tournait, vrillait, son point de gravitaion étant lui : élairée par cet éternel rayon de Lune, elle parraisait vraiment fantôme ...

Koi Yume-dono Koi zutto
Boku wa chisai akambo ...

[Viens Sire Rêve, viens toujours
Je suis l'insignifiant bébé]

Elle finit par se retrouver bien face à lui, sa main dans la sienne, le regard blanc planter comme plus tôt dans le siens, le defiant toujours, refusant de lacher avant lui, rester planter sans pouvoir en resortir ; la chanson continuait.

Akatsuky, Yoru, Ô Tsuky-sama
Omoï, Omoï Omoïdashita
Tu est éternelle et tu carressait mes nuits
De lumière et de rêves ...
Fait de même pour mes enfants
Et fait de leur nuits de longs champs ravissants ...

[Aube/Lune rouge, Nuit, Dame Lune
Je me sou je me sou je me souviens]

Elle s'arrêta de bouger, sa groge lui brûlait ; il faisait froid maintenant ...

Demo Akatsuky Koi Imanowa ...
[Mais l'aube viens maintenant ...]

Un vent glacial la gela, la fignant dans a posture, les rayons de lune se reblettait sur ses cheveux etr ses yeux, son teint ne prenait plus de couleurs, elle était comme sur le point de se briser, de disparêtre ...

Chi ... Tu te sens seule ? Si c'est le cas, vien sme le dire, je serais là tu sais ... Pas pour longtemps mais je serai là ...

[On ne casse pas mon embiance è.é C'est beau le silence vous savez ?]

Le jeune homme ne savait plus trop quoi faire, Chi avait piqué sa crise de larmes et était partie en trombe ne laissant ni à Sosuke ni à Marya le temps de l'en dissuader ou que sais je, il se retrouvait désormais seul sur le toit en compagnie de Marya et ne savais pas trop ou se mettre entre rattraper Chi et rester avec elle, quel choix cornélien auquel ce fut Marya qui l'aida à se décider, elle avait raison dans un sens, l'histoire de restait l'histoire de Chi et il n'avait pas le droit de fourrer son nez la dedans c'est alors qu'elle remercia Chi d'un cri pour le chocolat tout en la traitant de sale gamine en gros et elle lui parla alors avant de se laisser aller écoutant tout les sons divers avant de recommencer à danser un peu comme ci comme ca, par des mouvements improvisés, toujours est il que Sosuke la regardait un peu faire vu que désormais ils sont suel à seul, il la regarda alors bizarrement puisque cette dernière venait de l'inviter à la rejoindre, sauf que Sosuke ne sait absolument pas danser, toujours est il qu'il s'approcha pour le lui dire mais mal lui en prit puisque la jeune fille lui prena les mains et commenca à l'entrainer dans son dance show, elle l'obligeait ainsi à accompagner la danse se faisant tourner ect via son bras comme centre d'appui et ils finirent après quelques pas et paroles à se retrouver bien face à face main dans la main leur regards se défiant à nouveau et comme Sosuke est du genre provocateur il n'hésita pas deux secondes à tenter de lui faire comprendre qu'il ne chercherait pas à s'échapper du regard envoutant de la demoiselle c'est alors qu'elle se figea, il était vrai que le temps s'était bien rafraichit, il enleva alors sa veste et la mit sur les épaules de la jeune demoiselle...

"Tu vas finir pas attraper la crève à sortir en tenue légère...."

Fit il alors en tournant sa tête du corps de la jeune fille puisque bon cela restait un vêtement assez transparent qu'elle portait à ce moment précis. Il se mit alors en tête de ne pas profiter de l'ambiance, il devait trouver un truc à dire ou à faire avec elle mais rien ne venait dans sa tête il eu alors une idée, il avait vu dans un petit cagibi quelque chose d'assez intéressant et il lacha la main de Marya...

"Je reviens, bouge pas...."

Le voila en train de dévorer les escaliers et donc les descendre à grande vitesse et il entra dans la pièce, il y avait la ce qu'il voulait, il se servit don cet remonta ainsi avec une couverture et une chaise pliable double qu'il déplia une fois en haut, il se mit la couverture sur le dos et alla chercher la demoiselle l'entourant avec lui avant de s'asseoir sur la double chaise, la couverture ainsi installée les empêcherait d'avoir froid, seul bémol c'est que maintenant les voila collés l'un à l'autre désormais mais il n'y avait pas encore pensé...

"Au moins on peut rester ici sans risque de crever de froid..." Fit il alors en souriant....

[Qu'est-ce qu'il est c** il est malade il veut finir au grnier tout de suite ou quoi ??? /sbaf Nous vous prions de pardonner l'auteur pour ces commentaire débile, nous reprenons le cours e l'hisotoire immediatement /ZBING Non mais ! Tu vas pas l'avoir comme ça dans ta poche direct ! /SBAF Petige de plomb by the creator OFF]

Cever de froid ? Elle ? Il y avait de quoi rire.

-Arigato.

Ce sentiment ... revient ... Celui de vouloir être prise, s'enfuire d'une réalitée trop épuisante, se fondre dans quelque chose jusqu'a en oublier l'existance-elle même ... Le froid, effectivement, se fit sentir, mais en son coeur, en son corps, un tremblement la parcourue.

Elle ne chantait plus, elle murmurait, entonait à peine une mélodie. Sosuke semblait géner. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi ... Enfin si, elle savait, mais dans sa logique, c'était quelque chose de bien futile.

-Anta wa omoshiroi ... [Tu est amusant/interessant]

Elle fit basculer sa tête vers l'arrière et fit un de ses espèce de sourir que tous auraient pris pour moqueur.

-Tu ne reflechit pas vraiment au consequances mais si ça peut aider quelqu'un et toi même, tu le fait quand même. Tu a envie de partir là non ?

Tiens ... son coeur ne lui faisait plus mal.

-Je comprendrait que tu t'éloigne, mais personnelement, je n'ai jamais vraiment penser qu'être à côter de quelqu'un soi une chose génante ... Les filles le font bien entre elle et les garçon aussi, alors qu'elle différance quand ce sont les deux ?

Tiens, la lumière lunaire lui donnait encore cet air fantomatique ...

-Enfin ... Si l'on éprouve pas de besoin spécial, il n'y a rien de dangereux ...

Tiens, elle avait froid ... le froid du doeur, le froid de l'âme ... L'envie de quelqu'un auprès d'elle.

-C'est ce que j'ai toujours penser ... Mais la plupard des gens préfairent ne pas faire comme moi et ignorer ; c'est peut-être plus facile de ne pas se mélanger et se conformer aux habitudes ...

Tiens ... Sosuke ... Est un homme ...

Elle se recrocvilla, elle était plus coller à lui que jamais.

-Mince ... Ça me reprends ... J'en ai très envie ...

Il ne vallait mieux pas, elle ne le ferai pas. De toute manière, ce n'était pas à son paroxisme ; elle pouvait parfaitement se contenir. Mais ça faisait tellement de bien d'avoir quelqu'un de plus grand que soit auprès de soi, de plus fort, qui tiens le rôle du protecteur ...

Onii-san ...

Elle femra ses yeux couleur Lune et continua sa chanson ... Puis ... La fatigue ... Puis ... Le vent ... Puis la chaleur ... Et rien.

Have some nice dream with the stars ... So close of the Stars ...

[dsl j'ai été très prit ca devrait aller un peu mieux ^^]

Sosuke venait sans se rendre compte d'inviter Marya a passer du temps en sa compagnie en l'enrobant avec lui dans la couverture, elle le remercia alors alors mais elle s'arrêtait de chanter un peu pour lui dire qu'il était intéressant, c'est alors que le jeune homme remarqua la bêtise qu'il venait de faire, a savoir quasi forcer la main à une jeune fille, c'est pas comme cela qu'il allait bien se faire voir dans l'établissement. En effet, il n'avait strictement pas réfléchit aux conséquences de ses actes pensant à son bien être et à celui de la demoiselle sans lui avoir vraiment demander son avis mais bizarrement, il n'avait pas trop envie de se barrer, passer pour un couillon, un trouillard? Hors de question. Elle demanda alors la différence quand les deux sexes se mettaient l'un a cotés de l'autre, ils avaient juste l'air d'un jeune couple regardant la nuit mais dans un sens elle n'avait pas tort quelle est la différence en fin de compte? Strictement aucunes. D'un seul coup il se sentit un peu plus à l'aise en fin de compte, peut êtres que les personnes avaient juste peur de se mélanger, il est vrai que les mecs et les filles ont leurs fiertés et aucuns des deux camps n'osent vraiment faire de pas envers l'autre, c'est alors qu'a la surprise du jeune homme elle se colla à lui sans montrer aucunes gênes, que voulait elle dire par ca me reprend? Bonne question mais inutile de la poser... Elle sembla alors s'endormir et Sosuke installa la tête de Marya contre son torse une fois qu'elle était partie dans ses petits rêves....

"Je vous jure, J'ai parfois l'impression de me sentir de trop..."

Il regarda la nuit et il sentit ses yeux se fermer à son tour et hop le voici qui dormait sur le banc avec une fille contre lui, voila qui va en faire jazer des personnes mais comme il s'en fout complètement, c'est du pareil au même au final et il n'allait certainement pas la réveiller pour cette connerie, il n'y a pas à avoir honte d'aider une demoiselle et du coup il pouvait lui aussi sombrer dans cette nuit ou les deux jeunes étudiants allaient du coup s'endormir dans les bras l'un de l'autre... Le temps passa ainsi et le soleil levant vint à réveiller Sosuke, apparemment Marya dormait encore mais quelle allait être la réaction de la demoiselle? Il attendit alors qu'elle se réveille.

Pour une fois ... Cette nuit là ... Je ne fit aucun cauchemare ... Je n'avait pas mal, ne n'avait pas froid, je ne me sentait pas vide ... Et ma seule bribe de rêve dont je pouvait me souvenir sans encombre était une Fleur de Lys avec une fleure de Cerisier que me donnait un enfant aux cheuveux blancs et aux yeux vairon : Daiichi.

Au fond, c'est ce que je voulais ... Que Daiichi reste pour moi quelqu'un qui me rende heureuse ... Mais je ne voulais pas que ça s'arrête. C'est pour ça que j'ai pris le sexe en dégout dès que j'y ai pensé. Parceque je savais qu'après ça, Daiichi et moi, ce lien que nous avions, allait être détruit. Ce lien est comme une corde trop fragile pour donner quelque chose de violent et fort, mais aussi trop fragile pour que de simples petites choses puissent le maintenir solidement. Enfin jusqu'a présent, c'est ce que je pensais. Mais cette nuit je viens de me rendre compte que c'était absolument sufisent. Des fleurs. D'innocentes fleurs. Une qui portait mon nom, l'autre qui était simplement belle.

Daiichi, pour moi, est ma raison de vivre. Alors peu importe le desir que je confonds, il faut qu'il soit heureux.

Je veux que tu arrive à la bonne arrivée.

Alors temps pis si ça fait un peu mal, quelqu'un qui peu aporter autant de bonheur n'a tout simplement pas le droit d'être détruit. Alors je le protègerai, je le protègerai jusqu'a ce qu'il soit assez fort pour être un homme fort. J'empecherai les faibles de l'entrainer dans leur chutte. J'empcherai qu'il ai mal, qu'il envie les autres. Et si il me le demande, j'éliminerai ce qui lui fera du mal.

Moi y compris.

Je veux ... Qu'il vive.

Quand Marya ouvirt les yeux, l'aube était déjà là ; le soleil vint prendre ses rayon pour chatouiller ses iris sans pupille, lui arranchant seux ou trois larme qui ne coulère pas. Les yeux humide, les prit une grande inspiraiton et se rapela de la nuit dernière. Elle se tourna vers Sosuke et fit une espèce de sourir.

-Yabe ... Ma colloc va se demander ce que je foutais.

Elle ferma les yeux et entendit les battements de coeur.

Akatsuky to ... Dooki ...
[Aube et battement de coeur]

-T'as passer une bonne nuit ?

Une politesse rare sans hypocrisie. Marya était en train de changer. Bien plus rapidement que n'importe qui l'aurait cru. Marya changeait. Parce que sa nuit obscure était mainteant éclairée de beaucoup d'étoiles.

Elle se lève, s'étire, prend position vers le soleil qui commencait à pointer le bout de son nez.

-Le soleil est une étoile tellement proche et brillante qu'elle nous empèche de voir les autres.

Elle se tourna vers Sosuke un peu à contre jour, et lança d'un ton anodin :

-Ce serait bien qu'il n'y ai pas de soleil pour qu'on puisse voir les autres étoile et la lune tout le temps ...

J'espère qu'aucun soleil ne viendra dans ma vie, car je sait qu'un fois qu'il aura brillé, j'attendrait l'aube avec impatience en oubliant la beauté et l'importance des mes étoiles ...

Un sourir, un sourir qui n'était pas forcé, surprit le visage de la princesse blanche. Elle ne pouvait pas s'empcher de sourir. Depuis quand pouvait elle sourir sincèrement ?

Bon ben apparemment elle venait de commencer à se réveiller un peu et tant mieux dans un sens, non pas que ca lui déplaisait qu'une fille se colle à lui bizarrement mais bon, avec le fait qu'ils ont gardés cette position durant plusieurs heures vives les courbatures, elle fit directement qu'elle pensait à sa coloc' qui devait s'en faire parce qu'elle n'était pas rentrée de la nuit, mais bon en même temps c'était logique, elle demanda ensuite si il avait passé une bonne nuit mais ce dernier fit un signe affirmatif de la tête mais lorsqu'il voulu lui demander elle se leva pour s'étirer permettant au jeune homme de faire de même juste après, elle lacha alors quelques phrases assez bizarres mais bizarrement le jeune homme était assez habitué....

"Le soleil est toutefois nécéssaire à notre survie, sans lui le climat de notre planète serait froid et surtout il ferait invivable, nous ne pourrions y survivre, beaucoup souhaiteraient que la lumière aveuglante disparaisse mais c'est parfois cette lumière qui nous pousse àainsi à aller de l'avant tu ne trouve pas?"

Il répondait ainsi a une question par une autre comme à son habitude, il s'approcha alors de Marya et passa son bras autour d'elle oubliant complètement une niouvelle fois qu'il tenait une fille dans ses bras puis surtout il se moquait éperdument des préjugés de ces jaloux pas fichus de pouvoir parler avec une fille. Lui au moins avait passé le stade de l'enfant de primaire au moins, il passa alors la couverture autour d'elle, il commencait seulement a faire bon pas la peine d'attrapper un coup de froid sur le coup des choses....

"Désolé si je te met un peu mal à l'aise mais tomber malade de bon matin ne serait pas très cool tu trouve pas?"

C'est ainsi qu'il restèrent la à regarder l'aube se lever, parfois un lever de soleil pouvait être terriblement beau mais le meilleur est surement quand le soleil se couche, en effet, on obtiens un ciel remplit de couleur avant qu'il ne laisse la place à la nuit toujours porteuse de bons conseils, le jeune homme bailla alors aux corneilles placant sa main devant sa bouche il s'appuya alors sur le rebord du toit attendant qu'elle reprenne la parole.

Ce jeune homme qu'était Sosuke parraissait être un étrange garçon. Pourtant, Marya ne pouvait ressentir que de la sympatie pour lui. Il la comprenait, et pour une raison encore obscure, il prenait soin d'elle. Etait-ce un drageur de première classe, ou simplement un homme qui étaity complexé quand il ne faisait rien pour les autre ? Ou bien encore juste un jeune homme qui fait ce qu'il peux et veux instictivemement, du mieux dans la mesure du possible ?

Marya s'en fichait un peu. Au fond, peut importe la motivation ; c'était quelqu'un de bien. On puet sauver une vie pour de mauvaise intention, on en reste quelqu'un de bien. Pas forcement de bon sens, mais de bien tout de même. Ce que Marya savait, c'est qu'elle avait passer une très bonne nuit, dans cet état étrange que losqu'on se couche tard et qu'on se reveille tardivement, quand le someille est lourd et sec, mais qu'au reveille, on se sens leger comme une plume. C'était une de ces nuits qu'elle venait de apsser, et ce genre de nuit, elle les passait rarement seule. Ça faisiat longtemps même qu'elle n'avait pas passer de nuits sans rêves, de nuits sans reveille douloureux, de nuits ùo morphée ne vous acceuille pas aussi profondement en ses bras pour que vous vous endormiez sufisement profondément.

Elle s'avanca aussi sur le rebort, et un sourir de sa fabrication fendit son visage si souvant masque blanc , masque de nô, bien que souvant moins théâtrale que ce dernier.

-Tu n'as pas tort ; c'est bien pour cela que je n'en veut pas : Si un soleil aparait dans ma vie, il ferra naitre en moi des choses si belles que je voudrait les garder jusqu'au bout. Mais il serait impossible que ces sentiments restent intactes s'il venait à disparêtre. C'est pourquoi je n'en veut pas. Il y aura surment un jour où mon soleil va s'éteindre.

Marya se mit à regarder le ciel, cet étrange sourir toujour sur le visage. Elle n'arrivait pas à la diminuer. Il était fixer sur elle. Elle ne pouvait aps s'en empecher. Elle était ... Heureuse.

-Je pense qu'elle va vraiment s'inquiéter, je devrait y aller. Je te remercie.

La brise du vent lui carressa doucement la peau et lui amena une odeur qu'elle conaissait ; celle des cerisiers fleuris.

Haru ...
[Primptemps]

Elle remit correctement la couverture sur elle.

-Tu la prise en bas ? je vais la reposer en passant.

Elle tendit le bras et glissa sa main dans les cheuveux du jeune homme, puis fit glisser sur sa joue.

-Ontoni ... Arigato ...
[Vraiment merci]

Puis son sourir disparut, sa main revint se cacher dans la couverture. Chaleur. Chaleur humaine.

-Solewa. [sur ce]

Elle se retourna et ouvrit la porte conduisant vers les escaliers. Elle coupa ainsi assez violement le moment. Le rêve était finit, il étaiot temps de reprendre contacte avec la réalitée. Quand elle retrouva l'endroit pour déposer la couverture, elle la garda quelques seconde dans ses mains.

Chaud ... Gentil ... Confortable ... Rêve ... Etoile ...

Qu'est-ce qui m'a pris ... ? Tant pis ...

Ça ressemblait un peu trop à ...

Sempai ...

Elle secoua sa tête et prit une inspiration. Elle se sentait bien, c'était tout ce qui comptait.

Je crois qu'une nouvelle étoile viens d'apparêtre dans mon ciel de nuit ... Cette école est bien plus contraignante que je ne le pensait. Mais c'est si bon ... de se sentir chez soi ...