Cours d'histoire...Toujours pour la classe E^^

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Lève-tôt et ponctuelle comme à son habitude, Shalua était dans la salle de cours à 9h pile, 30 mn avant le début de son cours. Elle inscrivit au tableau le plan qu'elle avait prévu sur son sujet en attendant les élèves :

Les mécanismes de la seconde guerre mondiale : l'occupation de la France

I) L'occupation du point de vue militaire et administratif
II) L'occupation économique et ses conséquences
III) L'impact global de l'occupation sur les conditions de vie des français.

Puis elle sortit de sa mallette de nombreuses feuilles, dont la liste des élèves de la classe E, à qui elle allait faire cours. Elle posa la feuille à plat sur sa table, passa la main dessus pour tenter de la défroisser et commença à la lire, inscrivant en même temps sur la droite du tableau les noms des élèves.

Spoiler:

En regardant les noms, Shalua essaya de repérer ceux qu'elle connaissait. Elle élimina d'office tous les noms a consonance japonaise, restaient donc Aradwin Pottsley, Alix Wester, Lia McArthur, Matt Nodewl et Sisley Lovelace, et parmi tous ces élèves, elle ne connaissait personne. Dommage que les listes d'élèves qu'on lui avaient donné ne comportent pas de trombinoscope !
_Je sens que je vais avoir du mal...soupira-t-elle. Espérons qu'ils se montreront indulgents...
En attendant l'arrivée des premiers élèves, elle s'assit à son bureau et but lentement le gobelet de thé qu'elle avait laissé refroidir, et se laissa aller à ses pensées. Le fait d'être assise derrière un bureau encombré de tout un tas de livres, feuilles, cahiers et autres (elle s'était appropriée ce bureau dès le premier jour en y déménageant toutes ses affaires) lui rappela sa vie à la Nouvelle-Orléans, quand elle attendait de longues heures le retour de Gabriel...Elle se souviendrait toujours de son visage pâle comme la mort lorsqu'il était revenu en criant : «Un mec est mort sous mes yeux !»
La venue d'un élève évita à Shalua de rêvasser davantage, ce qui l'aurait forcément amenée à s'inquiéter pour Gabriel. Prise en flagrant délit de fainéantise, la jeune prof vida d'un trait sa tasse de thé et se leva d'un bond pour accueillir les élèves qu'elle allait assommer d'élucubrations stériles sur une période de l'histoire dont ils se moquaient totalement.

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Yui fut l'une des premières à rentrer dans la classe. Elle s'installa rapidement à sa place près de la fenêtre, et contempla le ciel. En rentrant, elle n'avait prêté aucune attention au professeur installer derrière le bureau.

Yui regardait les nuages passés dans le ciel bleu azur, elle sentait la légère brise qui s'élevait dehors, la fenêtre entre-ouverte. Le feuillage des arbres s'agitant avec précaution, chaque branches vrillaient gracieusement, les feuilles s'accrochant aux tiges qui les reliaient aux branchages. Les brins d'herbes, les quelques fleurs qui brisaient la monotonie du gazon, les quelques racines qui osaient sortir quelques peu du sol, dévoilant ainsi, leurs forces, les couleurs, leurs veines. Chaque partir de l'environnement donnait un effet secondaire à ce qui l'entourait. Yui contemplait ce paysage alors que les élèves rentraient dans la classe, allant à leur place. Soit ils discutaient avec un camarade soit ils arrivaient en silence et se plaçait calmement à leurs places. Yui ne leur prêtait aucune attention. Elle n'adressa même pas un regard ni un seul geste lorsqu'un élève rentra dans sa table par accident. Aucun bruit autour n'aurait pu la tirer de sa rêverie. Elle aimait l'histoire mais, l'envie d'affronter la brise, les racines des arbres, les branches, les feuilles, les oiseux dans leur nid...Entrer en contact avec eux, descendre et s'allonger dans l'herbe encore fraîche de la rosée du matin, devenait une obsession pour Yui. L'envie se faisait de plus en plus forte.

En revanche, elle n'appréciait guère l'idée de quitter la classe maintenant alors que le cours allait commencé.

[ c'est un peu court mais je pense que c'est un assez bon début^^"]

Bruit de course dans le couloir suivit d'un long dérapement. Misao passa en trombe la porte de la salle de classe. Elle s'arrêta sur le seuil, s'inclina devant la prof, tradition japonaise oblige.

- Bonjour madame !

Puis elle se redressa et regarda la classe. Quelques élèves, mais pas tant que ça en fait ... Etrange, elle n'était pourtant pas si en avance que ça ... Elle remarqua une jeune fille pensive près de la fenêtre. Yui Yakishi. Don ... euh ... Aucune idée, mais après tout, on s'en fiche un peu, hein ? Ne voulant pas la déranger dans ses observations (même si ce n'était pas la tentation qui lui manquait), et surtout pour ne pas énerver le professeur, Misao alla s'asseoir à une table un peu derrière. Elle regarda le tableau.

tableau de la classe E a écrit:: Les mécanismes de la seconde guerre mondiale : l'occupation de la France

I) L'occupation du point de vue militaire et administratif
II) L'occupation économique et ses conséquences
III) L'impact global de l'occupation sur les conditions de vie des français.

Misao grommela légèrement. L'occupation de la France ? Qu'est-ce que ça avait à voir avec le Japon ? Ils auraient pu parler de l'entrée en guerre du Japon, de Pearl Harbor, ou bien d'Hiroshima et Nagasaki ... Pourquoi la France ? Cependant il était vrai que le professeur ne semblait pas vraiment être japonais ... Misao prit un air blasé et appuya sa tête sur sa main.

Finallement, elle aurait peut-être du sécher les cours ... Rah, mais non ! Ce n'était pas bien du tout de penser comme ça ! Positivons ! Le cours allait se montrer très intéressant !

[Note : ce serait pas mal d'envoyer un MP, parce que ceux qui ne lisent pas tous les posts risquent de mettre longtemps à répondre ...

PS : ça sent la première ça ... x) ]

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C'était le matin. Le matin !
Ce fichu réveille sonnait de plus ne plus souvent à l'heure. Une chose qui irritait éormément Lia. Elle qui normalement ratait au moins les deux premières heures de cours se retrouvait à devoir se lever. Elle soupira, de toute façon, aujourd'hui elle était ne forme et, chose rare, son lit ne l'attirait plus.

Elle se dirigeait tranquillement vers sa salle de classe. Il restait 20 minutes avant le début des cours. Pas besoin de se presser. Elle aperçu la porte, s'arrêta quelques secondes et ouvrit. Lentement. Dans la classe, elle chercha des têtes connues.

Aucune. Super. Décidemment, pour la sociabilité, sècher ce n'était pas le top. Puis elle dirigea son regard sur la prof. Oh ? Une nouvelle. c'était plutôt rare ici.Elle lui lança un sourire et un signe de tête en plus de la salutation.

-Bonjour madame !

Peut-être saurait-elle rendre le cours intéressant. Quoi que, à bien regarder les thèmes qu'elle avait choisi, la rigolade, c'était pas pour tout de suite. Nouveau soupir.

Elle se dirigea vers les bancs. Il y avait du choix, seules deux élèves étaient déjà présente. Une qui semblait partie dans son monde, à la fenêtre, et l'autre, la tête dans la main. C'est vers cette dernière qu'elle choisit de se diriger. Quitte à s'ennuyer, autant s'ennuyer en groupe.

Elle choisit de se placer derrière la fille. Devant, c'était trop près de la prof. A côté, c'était trop voyant. Donc, derrière c'était parfait. Elle s'installa à son aise et tenta de lancer un début de conversation.

- Salut! Je suis Lia McArthur. et toi ?

[Mais que c'est court tout ça... <.<]

Kaede entra dans la classe, seul trois personnes étaient présentes l'une était distraite par l'extérieure et ne présentait aucune attention aux gens alentour. Deux autres discutaient. Le professeur installé derrière son bureau souriait au élève qui entraient au fur et à mesure que le temps s'écoulait. Kaede fut bousculer par l'un d'eux et se dirigea à une place au deuxième rang. Elle regarda le tableau : "Les mécanismes de la seconde guerre mondiale : l'occupation de la France"

Le cours paraissait super intéressant en tout ironie bien entendu. Kaede se fichait bien de se qui avait pu se passer dans son pays d'origine. Tout ce qui comptait était son présent, son futur et sa mission. Ce n'est pas en participant au cours qu'elle avancerait et apprendrait plus de chose sur Takuetsu. D'ailleurs pourquoi n'y avait il pas des cours sur la création de cette école ou pourquoi ils l'ont créées, etc... Aucune de ces informations n'étaient divulgées et c'est ce dont Kaede avait le plus besoin. Elle rageait de ne pas pouvoir en savoir plus.

La classe et les places vides commençaient à se remplir. Kaede perdu dans ses réflexions et fixant le tableau exprimait toujours son visage doux et calme. Elle n'avait presque plus mal à son dos mais elle évitait de faire des gestes trop brusque non plus (voir RP dans la bibliothèque). Elle repensait aux visages qu'elles avaient vu un seul lui revenait en particulier. Mais ne se laissa pas déborder. Elle espéra seulement que le cours se finisse le plus vite possible pour qu'elle puisse consacrer son temps à autre chose. A des recherches qui l'amèneraient à quelque chose. La bibliothèque ne lui fournirait rien, elle cherchera ailleurs.

Kaede se mit en tête d'entrer en douce dans le bureau du directeur, mais la perspective qu'elle se fasse prendre et de la punition qu'elle recevrait lui glaça le sang, elle préféra ne pas y penser et de se concentrer un peu sur le cours.

[un peu court désolé^^]

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Shalua sentait chez ses élèves un enthousiasme débordant...enfin, façon de parler. La vérité était qu'elle comprenait assez bien leur réaction face à son choix d'étudier un pays qui n'intéressait personne ici. Elle tenta alors de mettre les choses au clair, non sans s'être bruyamment éclairci la voix pour indiquer qu'elle allait prendre la parole :
_Entendons-nous bien, si j'ai choisi de vous parler de la France, ce n'est pas parce que j'aime le pays ou quelque chose comme ça. Ce que je veux vraiment voir, c'est la stratégie qui a été mise en œuvre dans l'occupation. Parce que pendant la seconde guerre mondiale, il y a eu beaucoup de pays vaincus et occupés par l'Axe, et des pays plus proches de vous, comme la Chine ou la péninsule indochinoise...Mais l'occupation de la France a tenu 4 ans, et elle a considérablement affaibli la France tout en donnant à l'Allemagne une sorte d'usine géante qui les mettait à l'abri des pénuries. Ce n'est pas pour rien qu'un historien parle dans un de ses essais d'une "vache à lait nommée France". Au début, c'était plus un pillage organisé qu'autre chose, mais avec la rupture du pacte de non-agression entre l'Allemagne et l'URSS, les Allemands ont carrément transformé la France en une annexe industrielle.
Elle guetta les réactions des élèves présents. S'ils avaient écouté ce qu'elle venait de dire, alors leur jauge d'enthousiasme resterait sans doute au même point mort, mais au moins, la prof ne passerait plus pour une folle francophile.
_Donc, poursuivit-elle, ce n'est pas de l'histoire de France que je vous enseigne là. Cela fait partie de l'Histoire en général. Même si pour que vous voyez comment la France, un des vainqueurs de la Grande Guerre, est devenue un pays occupé, je serai obligée de vous faire un petit point d'histoire sur les années 39-40.
Elle jeta un regard circulaire à ses élèves, avant de demander avec un sourire plus large que d'habitude :
_Jusque-là, pas de questions ?

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Alix toqua faiblement à la porte et attendit, elle avait dix minutes de retard car sa proie lui avait échapper et ne voulant pas perdre le contrôle d'elle même devant toute la classe, elle l'avait poursuivit. Elle soupira, elle n'aimait pas être en retard en cour, surtout si c'était une nouvelle prof, cela donnait une mauvaise image d'elle. Comme la réponse se fessait attendre elle tendit l'oreille.
France... 39-40...stratégie...occupation allemande. Elle sourit, depuis ses quatre années ici elle n'avait entendue parlé que du Japon, de Tokyo, des guerres contre la Chine et plus aucun prof d'histoire ne lui apprenait quoi que ce soit (normal pour une "jeune" fille qui a vécu plus de 150 ans), alors la France cela lui fessait très plaisir. Alix redonna un léger coup sur la porte et attendit
- Entrez, dit une voix de femme.
Elle poussa légèrement la porte comme un chat qui n'ose pas entrer.

Sakura se prélassait encore dans son lit à l'heure où les cours commençaient. Mais elle n'était pas préssée: de toute façon les horraires ce n'était pas vraiment important pour elle, juste une contrainte de plus inventée par cette insignifiante race humaine.

Son chat, Neko san, sauta sur le lit et vint lécher le visage encore ensommeillé de Sakura.
La jeune fille qui compris ce que son compagnon voulait ,se leva, lui donna du lait, et alla se préparer pour son premier cours de la journée.
Avant de quitter sa chambre, elle regarda son emploi du temps sur lequel était écrit:
« 9h30 : Histoire ».
Sakura soupira mais finalement pensa : « pourquoi pas ? ».

Elle traversa pour la première fois les longs couloirs du batiment des lycéens. Aujourd'hui bien que peu décider à aller en cours, elle était d'humeur joyeuse,comme chaque jour en réalité.
Elle frappa de façon énergique à la porte : elle savait qu'elle avait plus de 25 minutes de retard mais elle aimait se faire remarquer quoi qu'il arrive. Une voix féminine lui dit d'entrer.La retardataire s'excusa brièvement mais poliement avec un grand sourire.De toute façon avec son visage d'ange on pouvait lui donner le bon Dieu sans confession.

Sakura balaya la classe du regard ,remarquant quelques élèves qu'elle avait déjà croisé . Elle décida de s'assoir à une table au fond près d'une des fenêtres: l'endroit parfait pour rêvasser comme d'autres sont en train de le faire. Elle s'asseya et regarda par la fenêtre.
Tout en comtemplant le ciel bleu de ce début du matinée, elle perçevait la voix lointaine du professeur qui commençait à la bercer.
Mais elle ne voulait pas s'endormir et essaya de se concentre sur son enseignante: une jolie femme pétillante aux cheveux et aux yeux noirs, qui semblait apprécier grandement son métier.
Mais rien à faire la lycéenne s'ennuyait et voulait un peu plus de distraction qu'un cours d'histoire sur la seconde Guerre Mondiale.
Soudain elle se rappella d'une donnée très importante à propos de Shalua Raye. La veille au détour d'un couloir elle avait surpris une conversation à propos de son don.
C'était l'occasion pour Sakura de s'amuser et de savoir si cette prof savait garder son sang froid face à la provocation.
Elle leva la main et demanda : « Dites , Madame, ça vous tente une partie de cartes? ».

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Quelque part dans l'enceinte de l'académie, un réveil se met à sonner.

Adossée au rebord de l'unique fenêtre de la pièce, une ombre bouge légèrement dévoilant la fine silhouette d'une jeune fille parfaitement réveillée, deux mèches bleues encadrant son visage dénué d'émotions.

Levée depuis une bonne heure, une sensation étrange et malsaine ne l'ayant pas quitté de la nuit, la jeune féline décide de faire taire l'objet de sa déconcentration pour se diriger ensuite vers le bureau trônant au centre de la pièce et attraper son sac de cours.

Une fois que la porte de bois fut refermée, Kumiko repris tranquillement le fil de ses pensées tout en traçant sa route en direction de bâtiment des lycéens.

Ce ne fut que quelques minutes plus tard, et pour la deuxième fois de la mâtinée, qu'elle repris conscience du monde alentour alors qu'elle se tenait droite face à la porte abritant son premier cours de la journée: le cours d'Histoire. Bah, tant qu'elle n'étudiait pas le japon, une fois encore, ce devrait être interressant.
Il faut bien préciser que Kumiko n'est pas ce que l'on appeler une tête en classe, elle serait plutôt le contraire mais bon, quand faut y aller, faut y aller.

Elle ouvrit donc doucement la porte et entra dans la salle, inconsciente de sa grâce féline, mélangée à sa beauté glaciale; à ce sentiment qu'elle dégageait.
C'est la tête haute et le port fier, bien qu'une expression neutre trônait sur son beau visage fin, qu'elle s'avança d'un pas léger et régulier dans cette nouvelle salle.

S'arrêtant devant une jeune femme d'apparence douce, elle inclina la tête et sa voix résonna dans le silence de la salle pour prononcer une rituelle phrase d'excuse.

"Excusez moi senseï, j'ai malheureusement réussi à me perdre."

Se retournant, elle alla s'asseoir au troisième rang et jeta un regard, devenu couleur or, vers le tableau noir où elle put lire le programme.

"Les mécanismes de la seconde guerre mondiale : l'occupation de la France

I) L'occupation du point de vue militaire et administratif
II) L'occupation économique et ses conséquences
III) L'impact global de l'occupation sur les conditions de vie des français."

Contrairement aux apparences, kumiko ne s'ennuyait pas. Au contraire, elle aimait cette idée d'étudier enfin un autre pays que le japon.
Et puis, il faut préciser que l'histoire étant sa matière préférée, et la seule où elle réussit sans efforts, elle s'était déjà bien imprégnée du sujet.
Finalement, peu motivée par les cours, celui-ci pourrait bien lui plaire.

C'est alors qu'elle sentit sa présence. Elle avait oublié qu'elle serait dans la même classe. Bah, comme dit le dicton, "qui vivra, verra".
Après un rapide coup d'oeil à ses camarades, composés principalement de filles, elle reporta son attention sur la professeur et attendit pour commencer à prendre des notes mais elle se rendit rapidement compte que son entrée avait stoppée une action en cours. Apparemment elle et au vu de son regard qu'elle lui avait vu de nombreuses fois, attendait une réponse de la part du professeur.
Quelle bêtise avait-elle donc pu encore inventer?

Invité

L'enthousiasme d'Alix avait radicalement chuter lorsqu'elle avait vue les chapitres du cour.

Les mécanismes de la seconde guerre mondiale : l'occupation de la France

I) L'occupation du point de vue militaire et administratif
II) L'occupation économique et ses conséquences
III) L'impact global de l'occupation sur les conditions de vie des français.

De loin Hiroshima était plus intéressant, mais bon lorsque l'on n'a pas de meilleur sujets, on s'en contente, et qui sait... Alix détailla la classe: une, deux, trois, quatre, cinq filles, et avec elle et la prof sept et... aucun garçon, où pouvait bien se trouver Aradwin. Alix s'assit bien au fond de son siège et prit des notes ou plutôt retranscrit mot pour mot se que disait la prof. Lorsqu'une élève proposa a la prof de faire un jeu de carte elle faillit avoir deux réactions, la première donner une gifle a l'élève et lui ordonner de s'excuser, la deuxième proposer de se joindre a eux. Elle allait dire quelque chose lorsque une autre élève (décidément Alix pensait que tout les garçons c'(était évaporés) L'ambiance était tendue et Alix sortit un jeu de carte de sa poche et dit

Ok bataille ou belote

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Bip Bip Bip
Un bruit détesté par Aradwin, qui lui rappelle trop le matin (normale il ne sonne que le matin) le bruit continu, s'amplifie jusqu'à s'arrêter, chose étrange car il sonne normalement jusqu'à huit heur trente. Mais alors... catastrophe Aradwin jette un coup d'œil au réveil, il est huit heur trente et une. Lever, habillage, prise des affaires en trente secondes. Ils approche de la fenêtre et saute... pour se retrouver sur le dos d'un aigle de brume (chose pratique avec son don c'est qu'il peut toucher ses créations). Il arrive devant les salles de classes et rentre dans le bâtiment, toujours par la fenêtre, et cour à... son cour. Un couloir, puis deux, puis trois, une glissade et... une chute contre le mur. Se relève en vingts secondes, pour ouvrir, à peine essoufflé, salut la prof qui ne fait absolument pas attention à lui mais regarde Alix et une autre jeune fille comme on regarde deux fautives. Il s'assoit derrière Alix et commence à prendre des notes, mais rien que le tableau l'ennuyait: Les mécanismes de la seconde guerre mondiale : l'occupation de la France

I) L'occupation du point de vue militaire et administratif
II) L'occupation économique et ses conséquences
III) L'impact global de l'occupation sur les conditions de vie des français.