La petite fiction pourrie de moi !

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C'est une fiction que j'ai inventé à partir des idées de celle de G-P sur son blog (désolée G-P...)
Ca s'appelle La petite de la lune, et vous êtes pas obligé de le lire...

La petite de la lune

Prologue

Une petite fille courait. Elle était seule, triste. Elle s'arrêta, s'assit, pleura. Un homme passa devant elle, puis en se retournant :
-Que fais-tu ici toute seule, petite ?
-Je suis (snif) toute seule... Mes parents (snif) sont...
-Viens, je vais te trouver où dormir.
Il l'emmena dans une école, où il parla à la directrice.
-Tu peux rester ici, ils ne te feront rien.
-Merci monsieur.
La directrice vint la chercher et l'emmena dans le dortoir.
"Ils ne te feront rien." Qu'avait-il voulut dire ?
Elle s'endormit avec cette dernière question sans réponse...

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Chapitre 1

Douze ans plus tard, dans un des quartiers mal famés de Tokyo.
Un jeune homme passa. Il portait un blouson en cuir. Il avait les cheveux noirs et les yeux rouges. C'était Alex, le chef d'un des groupes de gangsters les plus connus de Tokyo. Il passa dans les rues, avant d'entendre un cri. Il ne se retourna pas, c'est monnaie courante ici... Le cri se répéta plusieurs fois, et devint de plus en plus fort. Alex, que les cris dérangeait, partit voir. Le cri venait d'une jeune fille, entourée de cinq garçons.
-Fais nous voir comment tu danses !
-Laissez moi tranquille !
Une lame se mit à briller dans la main de celui qui semblait être le chef. Alex décida d'intervenir, ne serait-ce que pour faire cesser les cris.
-Hey, vous, vous gênez à la faire crier, laissez-la pour qu'on puisse avoir la paix !
-Qui es-tu pour nous donner des ordres ?
Un revolver apparut dans la main d'Alex.
-Tu... tu es Alex, le chef des Akatsuki ? Sauve-qui peut !
Ils partirent en courant. Alex soupira et rangea son arme.
-Qu'est-ce que tu fiches ici toi ?
-Je... je dois partir... Merci pour tout... Mais... elles m'attendent...
Elle se mit à courir. Il la rattrapa et lui tendit son blouson. Elle n'était vêtue que d'une tenue trop petite pour elle et trouée vers le bas. Elle ne le regarda pas, ses yeux et ses cheveux étaient cachés sous un grand chapeau noir.
-Comment t'appelles-tu ?
-... Tsuki...
-Tsuki ? Nooon, c'est pas vrai ?!
Elle ne répondait pas, mais il sentait qu'elle était mal à l'aise.
-C'est un joli prénom.
Elle se mit à rougir. Alex s'approcha d'elle et lui retira son chapeau d'un coup. Elle avait les cheveux et les yeux bleu marine. Tsuki reprit son chapeau assez brusquement et le remit sur sa tête.
-Pourquoi tu les caches ?
-Parce qu'elles m'ont dit de le faire.
-C'est qui elles ?
Elle poussa un cri. Alex laissa tomber, il n'aimait pas beaucoup discuter, il n'était pas du genre bavard.
-Je m'appelle Alex. Viens.
Elle ne semblait pas comprendre, et semblait même étonnée.
-Tu me dois quelque chose, tu dois bien t'acquitter de ta dette !
Elle hocha la tête et le suivit. Ils traversèrent le quartier. Les rues, les visages, les numéros... Tsuki les mémorisa... Ca pouvait être utilise....
Ils arrivèrent devant un maison étrange, un peu effrayante, une espèce de maison hantée... Du moins, c'est l'impression qu'elle donna à Tsuki...

Ben moi je dis en lisant le prologue...

C'est pas bien de suivre un inconnu dans la rue! ><
* prend une voix de petite fille*
Ma maman elle m'a toujours dit de refuser les bonbons des vilains monsieurs...

...

Tout ça pour dire, que la petite est un peu trop naive (si ce n'est folle) de suivre un gars rencontré comme ça dans la rue...Quand à l'école...ba, elle a un peu trop de chance là quand même... ôè

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Ha ha ha ! J'ai quand même précisé dans le titre qu'elle était pourrie ma fiction !

Chapitre 2

-Bon, on entre.
-Là... Là-dedans.... ?
-Bah, oui !
Ils se dirigèrent vers l'entrée. A l'intérieur, la maison était très jolie, mais vraiment très sale.... Plusieurs jeunes hommes arrivèrent, accompagnés d'une seule fille.
-Ah, Alex, te voilà de retour, et je vois que tu as amené de la compagnie...
-Oui, Tsubasa, j'ai amené de la compagnie. Soyez gentil avec elle surtout... Tsuki, rend-moi ma veste... Et enlève ton chapeau !
-Heu... oui...
Elle s'exécuta, puis secoua ses longs cheveux, qui retombèrent en cascade. Elle se cacha ensuite la moitié du visage avec son chapeau. "Trop mimi..." fut la seule pensée qui traversa le cerveau des garçons présents....
-Bon, faudrait peut-être que tu te changes... Kyoko?
-Hum... Oui, je penses que je peux lui prêter des vêtements, c'est demander siii gentiment...
La jeune fille s'approcha de Tsuki en souriant, lui prit la main et l'emmena vers sa chambre. Sa chambre ressemblait à celle d'un princesse, avec du brun, chocolat, caramel, orange, noir, blanc... Une grande panoplie de couleurs assemblée de façon splendide. Il y avait beaucoup de peluches, coussins, livres...
-C'est une chance que l'on fasse la même taille, n'est-ce pas... hem Tsuki, c'est ça ?
-Heu... oui...
Kyoko commença à vider sa penderie, et la chambre fut remplie de vêtements. La séance d'essayage débuta...
-Non ! Trop grand ! Trop petit ! Trop rouge ! Trop court ! Pas ton style ! Non !
Au bout d'une ou deux heures, Kyoko s'avoua vaincue, elles avaient faits le tour de tout les vêtements...
-Aaaaaaa..... Je n'ai rien qui pourrait te convenir ! Quoi que....
Elle venait d'apercevoir dans la penderie, une tenue qui avait échapper à la séance d'essayage...
-Essaye ça !
-Vous... vous êtes sûre ?
-Mais, oui !.... Ah, au fait, tutoie moi !
-D'ac... D'accord...
Elle enfila la robe.
-Tiens.... C'est un joli médaillon !
-Merci.... Il... appartenait à ma mère...
-Mais, c'est quoi la phrase dessus ?
-Hem... "Master of her key... Master of her life".... Ca veut dire "Maître de sa clé, Maître de sa vie...
-Tu comprends cette langue ? Génial ! Et de quelle clé il parle ?
-Je... je ne comprend que cela.... Et pour ouvrir un médaillon... Il faut une clé... Comme pour les cadenas...
-Ah ? Décris moi ta mère !
-Je... je ne me souviens pas d'elle...
-Ah, bon ? Pourquoi ?
-Je préférerais.... Que tu racontes ton passé avant... s'il-te-plaît...
-D'accord ! Kyoko Aburame, 16 ans, petite soeur d'Alex !
-Tu... es... sa petite soeur ?
-Oui ! Tu pensais que j'étais qui ?
Tsuki se mit à rougir. Elle avait pensé que Kyoko était la petite amie d'Alex.
-Si tu pouvais éviter de bégayer... Ca m'arrangerait...
-Dé... désolée....
-Hum... A toi !
-D'accord... Tsuki, 16 ans, famille inconnue...
-Tu ne connais pas ta propre famille ?
-Non... Je suis orpheline.... A quatre ans... J'étais dehors, je fuyais quelqu'un.... Je n'avais nul part où allez... Et un homme m'a emmené... dans la pension pour jeune fille de Mme... Eneï...
-Mais... C'est...
-Oui... Mais je ne le savais pas, jusqu'à.... mes treize ans.... Elles m'ont fait sortir de la classe... et mit à la cuisine... pendant que les autres ont reçus des cours...
-Mais pourquoi tu... ne recevais pas les même cours ?
-Je ne sais pas... A la place, elles me faisaient faire la cuisine, le ménage, la couture... des choses comme ça...
-Vraiment ? C'est cool !
Elles continuèrent à discuter un moment, ne sachant pas que quelqu'un les observait.
Clic clic clic clic. Zoom sur le médaillon. Clic.

Youpi c'est partie ^^

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Chapitre 3

Une voix se fit entendre :
-Alors vous descendez les princesse ? On va pas vous attendre éternellement pour le repas.
-Oui, Kin, on sait, on se dépêche ! Aller, viens, tu dois avoir faim !
-Quoi ? Dans... cette... tenue ?
-Bah oui !
Kyoko attrapa la main de Tsuki et elle dévalèrent en trombe l'escalier. Les garçons les regardèrent, bouche bée.
Kyoko avait enfilé un uniforme d'écolière : chemise blanche, jupe courte noire, veste noire, bottes noires... Elle était à finir par terre !
Quand à Tsuki, elle avait une robe qui lui arrivait au bas des genoux, en violet-bleu, comme celle d'une princesse, avec des ballerines bleu marine et des noeuds dans les cheveux.
-On fête quelque chose ? Je suis pas au courant !
Comme tout le monde le sait certainement, le repas est le meilleur moment pour connaître les gens, et Tsuki ne manqua pas d'utiliser cette technique.
Les Akatsuki étaient composés des triplés Kin (l'intello avec le bouquin), Zaku (le sportif, celui qui est en tenue de sport), et Dosu (l'impitoyable, qui te regarde, prend garde), des frères Kazaki (celui qui a une bouille de gamin), et Nataku (le sérieux avec les lunettes), Kakyô (le timide, là-bas au fond), Kusanagi (celui qui se vient de reprendre du riz), des jumeaux Takeshi (celui avec les balafres dans le cou), et Kentarô (celui qui tente de draguer Kyoko), Akira (celui qui dort), Takamura (celui qui est surexcité), Tsubasa (c'est le prof de la bande), Nokoru (le bras droit d'Alex), Kyoko, et... bien sûr Alex le chef...
Nokoru se tourna vers Tsuki, qui n'avait pas touché à son assiette.
-Tu n'aimes pas ? Tu n'as pas mangé...
-Quoi ? Si, si... j'aimes...
Elle lui sourit et commença à manger. Il rougit. Elle était vraiment mignonne.....
-Grand frère ! Il faut vraiment que je lui achète des vêtements, si elle doit rester !
-Oui, c'est bon, tu peux y aller, mais arrête de crier !
-Merci grand frère !
Kyoko souriait, vraiment contente ! Elle réussissait presque tout le temps à obtenir ce qu'elle voulait... Son frère, lui, soupira.
Le repas continua, et la fin les garçons se levèrent et partir. Kyoko retourna avec Tsuki dans sa chambre. Celle-ci la questionna du regard.
-Ils vont en boîte, ou dans un bar, et je ne peux même pas y aller à cause de mon cher frangin ! C'est pas juste... Mais maintenant que tu es là....
-... Comment... les gens font pour vous reconnaître ?
-Nous avons un revolver avec gravés dessus deux fleurs de lune rouge et le mot Akatsuki. De plus, il est noir. Prépare toi, je vais te dire une bonne idée !
Tsuki commença à craindre le pire... Et elle eu raison...
-Prépare ta plus belle danse, on va en boîte !

Chapitre 4

-En... boîte ?
-Oui, maintenant, on est deux, donc pas de problèmes !
-Mais.... je ne peux pas.... y aller comme ça...
-Hum.... Prend ma tenue ! J'en prendrais une autre !
-...
-Wow ! La jupe est vraiment aussi courte ? Prend plutôt celle-ci !
Elle lui passa une jupe-short noire plissée avec une fleur doré dessus.
-Ils doivent être aller à "L'étoile du soir", c'est la boîte préférée de mon frère... Allons-y on verra bien !
Elles sortirent, et marchèrent un moment. Arrivées devant la boîte, elle virent un panneau :
"Jeunes filles demandées pour mettre de l'ambiance. Choix de musique possible."
-Tu vois Tsuki, c'est un signe !
-....
Elles entrèrent, et se dirigèrent vers les vestiaires. Kyoko enfila un top violet avec un pantalon moulant noir. Tsuki mis une chemise noire avec la jupe-short de Kyoko. Celle-ci entra sur la piste, sous les yeux effarés des Akatsuki (surtout son frère) et dansa énergiquement sur Show me love de Tatu. Elle narguait son frère, et celui-ci était furieux ! Puis, à la fin de la chanson, elle retourna au vestaire.
-Bonne chance, j'ai fais du bon boulot, à ton tour !
Tsuki entra en scène, sur Numb de LinkinPark, elle dansa avec des couteaux. Les garçons étaient à la fois fascinés et effrayés... Comment une fille aussi mignonne pouvait-elle faire une danse aussi... étrange ? A la fin, elle ramassa ses couteaux et juste devant les coulisses, elle se retourna et souri au public, puis partit se changer. Kyoko courut la rejoindre.
-Ta... Ta danse, où l'a-tu apprise ? Elle m'était familière....
-Je... Je ne sais pas... J'ai l'impression de... de l'avoir toujours su... Tu crois que ton frère a aimé ?
-Pourquoi demandes-tu ça ? Tu ne serais pas...
-Pas quoi ?
-Pas amoureuse de lui par hasard ?
Tsuki se mit à rougir. Elle ne savait pas quoi répondre.
-N.. non !
-Ah oui ? Hum... Ta danse était spéciale et mon frère te dévorais des yeux !
Tsuki ressemblait à une tomate trop mûre... Et deux garçons entrèrent, dont un en colère.
-Hem... Alex et Nokoru... arrivent.
-Oups... Les ennuis commencent...
Alex se plaça devant Kyoko tandis que Nokoru s'approcha de Tsuki. Alex commença à enguirlander sa soeur.
-Kyoko ! Tu es complètement folle ! Qu'est-ce que tu fais ici ? Tu es inconsciente ?
-Non, je vais très bien. J'en ai juste assez de ne pas participer à la fête !
-Ah bah bravo !
Tandis qu'ils se disputaient, Nokoru, lui, discutaient avec Tsuki, qui avait l'air vraiment fatiguée, se qui la rendait vraiment mignonne.
-Ca va ?
-Hum ?
Elle le regarda, étonnée, elle n'avait pas l'habitude qu'on lui demande si ça allait.
-Oui, moi je vais bien... Ils se disputent souvent comme ça ?
-Oui ! C'est monnaie courante ! ... Ta danse était... originale !
-Tu... Tu trouves ? Merci !
Ils s'arrêtèrent de parler et se mirent à rire, sans savoir pourquoi. <<Nokoru est vraiment gentil...>> Alex, qui les regardait n'avait pas l'air content. Sa soeur continuait de lui crier dessus, sans qu'il s'en occupe. Il serra le poing et reprit sa dispute.
-(Baille) Cette danse était vraiment épuisante, je suis exténuée...
Elle tomba endormie dans les bras de Nokoru, à la colère d'Alex. Nokoru semblait perdu et ne savait plus quoi faire.
-Tu es vraiment égoïste ! Tu ne penses qu'à toi et tu es incapable de me comprendre !
-Toi, tu réagis comme une gamine, tu ne grandis pas ! Tu...
-Hem... Alex...
-Quoi ? Tu vois pas que je suis occupé là ?
-Si si ! Mais Tsuki s'est endormie, je voudrais les clés pour la ramener...
-Elle va bien ? Elle ne s'est pas fais mal ? C'est de ta faute, Alex !
-Je voudrais juste les clefs pour rentrer, elle a besoin d'un bon lit.
-Bon, dans ce cas-là, on rentre. Les autres nous rejoindront, laisse leur un message.
-Ok !
Ils sortirent, Tsuki dormant dans les bras de Nokoru ! Lorsqu'ils furent tous dans la voiture, Alex à la place du conducteur, il annonça la sentence :
-Kyoko ?
-Oui, Alex ?
-Tu es privée de sortie pendant trois semaines !
-Quoi ?! Tu es un monstre !
Elle regarda Tsuki dormant, et se mit à sourire.
-Dis, tu aimes beaucoup Tsuki ?
-Quoi ?!
-C'est vraiment un ange.
-Comment peux-tu savoir ça ? Tu l'a rencontrée aujourd'hui !
-Si tu la voyais dormir, tu dirais comme moi !
Tsuki était appuyé sur la fenêtre, un sourire timide sur les lèvres, les cheveux dégagés, tranquille. Vision de l'innocence pure, de la fragilité, de la douceur.
Une étoile tombée du ciel.

Chapitre 5

Un souffle, une larme, un cri.
Tsuki se réveilla en sursaut, après un cauchemar. Elle n'arrivait pas à le remettre en image, et ne le voulais pas de toute façon ! Elle regarda la pièce où elle se trouvait et se mit à rougir ; ce n'était pas la chambre de Kyoko ! Elle se leva, sortit de la chambre en faisant le moins de bruit possible. Il faisait nuit et les autres dormaient encore. Elle descendit et alla dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner de toute la maisonnée. Elle aimait faire la cuisine.
Café, thé, brioche, chocolat chaud... Elle avait retenu les goûts de tout le monde, et en profitait bien pour éviter de les décevoir !
Vers sept heures, quelqu'un entra dans la cuisine, l'air endormi, et s'approcha de Tsuki.
-Tsuki ? Qu'est-ce que tu fais ?
-Bonjour Shu-sama. Du café ?
Elle lui présenta une tasse de café embaumante. Alex la posa sur la table.
-Pourquoi tu m'appelles Maître ?
-Parce que c'est ainsi qu'il faut que je vous considère. Avez-vous bien dormi ?
-La cuisine a un effet bénéfique sur toi, ton bégaiement a disparu ! Oui, j'ai bien dormi, même si le canapé est moins bien que mon lit ! ... Tu sais quoi ? Tu vas m'appeler juste Alex, Alex-san ou Alex-sama si tu veux, sinon je vais pas aimer !
-D'accord !
Tsuki était rose. C'était la chambre d'Alex ! Alex prit la tasse de café et le goûta. Il avait l'air vraiment très étonné !
-Comment... Comment as-tu fait ce café ?
-J'ai... J'ai juste prit les grains de café ! Je... Je suis désolée je n'aurais pas dû fouiller !
-Pourquoi tu t'excuses ? C'était pas un reproche, c'est juste que je suis étonné que tu saches faire de tels cafés !
Les autres arrivèrent les uns après les autres et firent aussi des compliments sur la cuisine de Tsuki.
-C'est plus facile de faire la cuisine avec de bon ingrédients !
Elle disait ça, mais elle semblait tout de même ravie et était très rose, et eux étaient ravis d'avoir une bonne cuisinière ! Pendant qu'ils déjeunaient, Tsuki commença à nettoyer les chambres, salles de bains... Toutes les pièces y passèrent.
-Kyoko... Où sont partis les garçons ?
-Ils sont partis travailler, et moi, je vais faire les courses !
-D'accord ! Je vais préparer le repas.
Quand les garçons rentrèrent... Ils eurent un choc ! La maison était propre, la table était mise, le repas était prêt et Tsuki les attendait à l'entrée, habillée en serveuse japonaise (grâce à Kyoko, bien sûr) !
-Bonjour !
-... Bravo Tsu-chan ! La maison est redevenue une maison !
-Merci Kazuki-kun !
Elle souriait, elle était heureuse, enfin !

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Chapitre 6

Elle était réellement tombée amoureuse d'Alex, depuis qu'il l'avait sauvé, et ne pouvait rien y faire. Le jour de l'anniversaire de Kyoko, elle était allée danser dans le jardin. Elle dansait, heureuse, sans s'apercevoir que quelqu'un la regardait. Elle faisait des pas de classique (au programme de son école), un pas de deux, lorsque quelqu'un la prit par la taille pour l'aider. C'était Alex. Elle continua à danser avec lui, bénissant le fait qu'il faisait nuit, car elle était vraiment rouge.
-Ne m'abandonne pas !
-Non... Jamais...
Ils continuaient de danser. A la fin de la chanson, Alex lui prit la main et la ramena dedans. Elle se réveilla avec lui, dans son lit, mais elle était heureuse.
Cela faisait un an qu'elle étai avec eux.
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Un souffle, un cri, une larme. Tsuki se réveilla en sursaut. Elle avait refait ce cauchemar. Elle se leva en évitant de réveiller Alex et monta sur le toit. C'était la pleine lune et son anniversaire... Elle regarda la lune et entendit un bruit de clochettes, ses yeux devinrent vides. Elle resta un moment immobile, les minutes passaient.
Alex s'était réveillé, il sentait que quelque chose clochait pour Tsuki. Elle n'était pas dans la chambre et la cuisine était vide ! Ce n'était pas normal !
Tsuki commença à avancer sur le toit, en regardant la lune, se posa sur le bord et tomba... Elle perdit connaissance.
Alex vit passer Tsuki par la fenêtre... Elle tombait ! Il sortit en courant et la rattrapa juste avant qu'elle ne touche le sol.
-Tsuki ! Tsuki !
Elle était blanche, froide et inerte.
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Vide, froid, seule... Elle avait froid... Elle était seule... Elle tombait...
Elle ouvrit les yeux d'un coup, le coeur battant la chamade. Les autres la regardaient, inquiets.
-Tsuki ! Sa peau est glacée ! Tsuki, ça va ?
Elle hocha la tête et essaya de se lever. Sa tête tournait et elle tituba. Les autres l'assirent. Un médaillon brillait d'une lueur rouge-noire à son cou. Kyoko, qui avait déjà eu l'occasion de voir son médaillon le remarqua.
-Tsuki... Ton médaillon... Il est différent... Où l'as-tu eu ?
-Quoi ? Mais... Je ne... Je n'ai pas d'autre médaillon...
Le médaillon représentait deux serpents croisés qui tenaient chacun dans leur bouche les ailes d'un phénix. Elle n'eut pas le temps de bien le regarder, car Kazuki arrivait. De tous les membres de L'Akatsuki, s'était le plus jeune et le plus proche de Tsuki.
-Tsuki-chan ! Tu vas bien ?
-Oui... Ne t'inquiètes pas, ça va mieux.
-Tu es sûre ? Tu ne t'es pas fait mal au moins ?
-Non, ça va, je t'assure ! Ah ! Au fait, merci... Alex... de m'avoir rattrapée.
-T'étais pas censée être inconsciente ?
-Je me suis juste sentie tombée.... Et tu es le premier que j'ai vu... Donc j'en ai conclut que...
-Ok, ok, évite la description.
-Tsuki-chan ? Où est ton médaillon ?
-Je ne sais pas, quand j'ai ouvert les yeux, j'avais celui-là...
Elle le regarda de plus près. Sur le serpent, on pouvait lire : "Master of her key Master of her life"...
-C'est... C'est pas possible ! C'est mon médaillon ! Il a changé !

Chapitre 7

Tous un groupe de jeunes étaient rassemblés en cercle, autour d'une jeune fille. Ils regardaient avec stupeur un médaillon.
Zoom. Mise au point. Zoom sur le médaillon.
Clic. Clic. Clic.
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-Mais... Tsuki, c'est impossible !
-Je sais... Mais regarde, il y a la même inscription que sur mon médaillon !
-.... C'est vrai !
Elle était épuisée. Elle ne comprenait plus ce qui lui arrivait.
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Dring ! Dring ! Dring ! Clic.
-Allo Patron ? La Princesse est fin prête...
-Parfait, amenez-la moi !
-Bien Patron !
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Tous un groupe de jeunes étaient autour d'une jeune fille très étonnée. Son médaillon s'était transformé. Elle ne se rendait pas compte que ce n'était réellement son médaillon qui avait changé, mais elle-même...
Malgré les événements de la matinée, la journée se déroula sans autre incident, avec un beau soleil. Il y eu une belle fête pour les 17 ans de Tsuki, où elle reçut un ruban blanc (de qui ? voyons, je vous laisse deviner !). On aurait dit que rien ne s'était passé, les autres essayaient d'oublier...
Le lendemain : 15h00
Tsuki était seule à la maison, les autres étaient partis travailler.
(Profitons en pour faire la description de leur travail. L'Akatsuki est un groupe qui "aide" la police. Un peu comme des espions. Oui, je sais, ça colle pas avec le fait qu'on les reconnaisse grâce à leurs revolvers, mais bon....)
La porte sonna, et Tsuki vint ouvrir. C'étaient deux hommes. L'un grand, l'autre un peu plus petit, mais ils étaient tous les deux très musclé.
-Oui ? Que puis-je faire pour vous être agréable ?
Ils la regardèrent un moment et....
Une voiture partit à toute vitesse. A son bord, une jeune fille bâillonnée et ligotée pleurait.

Ôô Tien j'avait pas lu ce passage de la fin ><

Et bien, toujours aussi formidable, je seul truc qui pourrait géner, c'est le fait que tu va Tres tres tresb vite ><

Mais l'histoire est très belle, ça donnenvie de suivre ^^

Invité

Tsuki, c'est sensé être moi? x)

j'aime beaucoup!

Invité

Tsukiki-chan... Si tu veux écoutes !

Chapitre 8

Les garçons et Kyoko rentrèrent. La maison était vide et la porte était grande ouverte. Ils commencèrent à pleurer.
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Tsuki se réveilla dans une chambre qu'elle ne connaissait pas. Vu le style de décoration, les meubles, les couleurs, cela n'était pas la maison de Alex. Elle se leva et s'avança vers une immense penderie. Elle l'ouvrit d'un coup, très violemment. Il y avait plus de robes qu'elle n'en avait jamais vu réunies dans le même lieu... Elle prit une petite robe simple et sortit. Elle se balada dans le couloir. Il était long, froid, vide. Elle ne reconnaissait en rien la maison chaude et accueillante des Akatsuki. Elle avança doucement en titubant, mal réveillée. C'était comme-ci elle avait oublier comment marcher, chaque pas lui demandait plusieurs secondes de réflexion. Elle ouvrit une porte. La pièce était vide. La suivante aussi, celle d'après aussi. Toutes celles du couloir étaient vides. Elle arriva à un couloir et descendit doucement, et se tenant à la barre, comme une petite enfant. Elle arriva devant une grande salle et ouvrit la porte. Celle-ci grinça. Tsuki tressaillit puis entra et referma rapidement la porte. C'était une salle à manger. Une immense table était placée au centre de la salle, et sur cette table, des milliers de plats de toutes les sortes. Au tour de cette table, beaucoup de personnes. Tout au bout de la table, se trouvaient un homme affreux. Il était gras, les cheveux sales, le teint maladif. Lorsqu'il l'aperçut, il se mit à sourire, et ce sourire glaça d'effroi Tsuki. Lorsqu'il ouvrit la bouche et parla, c'était comme si on avait mis un disque raillé en route, tant sa voix déraillait.
-Nous t'attendions, petite princesse. Viens donc t'asseoir et te rassasier avec nous.
Un valet vient la voir et la fit asseoir à l'autre bout de la table. Elle tremblait, elle ne connaissait personne. Tout le monde mangeait avec appétit, aussi, elle se décida à prendre un biscuit et le mangeait, apeurée, en regardant tout autour d'elle. Il n'y avait que des jeunes de riches, des barons et autre.... Aucun jeune ne lui semblait abordable, ils semblaient tous beaucoup trop sûrs d'eux-même. Elle se mit à réfléchir à quelque chose. Il avait bien dit... Qu'ils l'attendaient ? Ils la connaissaient ? C'était pas réciproque alors.... Elle continua à manger, tout en attendant un peu plus de réponse. Le vieil homme gras sembla le comprendre, car il se mit à sourire et à dire d'une voix rigolarde :
-Ne t'en fais pas, petite princesse, tu auras les réponses en temps voulu. Pour l'instant, continuons à manger !
Cette vois rigolarde la dégoûta, lui fit froid dans le dos. Elle voulait partir, mais tout le monde la regarda, aussi elle repris une brioche et continua à grignoter, virant au rouge pivoine. A la fin du petit-déjeuner, deux valets l'emmenèrent dans sa chambre et lui firent enfiler une robe incroyable, pleins de rubans, des dentelles, des broches, des bijoux... Elle s'étonna presque d'avoir réussit à l'enfiler, malgré le fait qu'elle soit pile à sa taille. Ca aussi, ils le savaient. Lorsqu'elle se regarda dans le miroir, elle se mit à pleurer.
-Depuis tout ce temps, je me fait observer... Sans même le savoir.

Invité

Désolée tout le monde... Mais j'abandonne cette histoire.
Désolée pour ceux qui attendaient la suite... S'il y en avait.