Robot mobile [ libre-euh >0< ]

Mii sautillait. Et ouais, même les élèves du genre jeneparleàpersonne peuvent sautiller. Mais chacun a ses raisons. Dans le cas de Mii, elle était sur le point d'allumer son premier robot automobile. Un robot qui devait, normalement, avancer. Mais juste marcher. C'était un robot à l'apparence d'une fillette, mais de la taille de la tête de la primaire. Mais cette mini poupée ne pourrait que marcher, aucuns autres programmes n'avaient été installés. Car Mii ne savait pas comment en créer. Mais cela sers à cela, les cours et l'entraînement. La rousse s'accroupit devant la poupée. Celle-ci avait de longs cheveux noirs qui frôlaient le sol. Une visage d'ange se trouvait sur sa face enfantine, de grands yeux de chat bleus embellissaient le tout. La poupée portait une robe bleu clair, à dentelle court et aux rubans nombreux. Jupon court et décolleté absent, rien que de la dentelles et des froufrous. Les chaussures étaient de pauvres sandalettes, mais aux chaussettes hautes accrochés à deux longs rubans noirs. Une seule broche à noeud bleu dans les cheveux, le reste lâchés. Mii enviait la poupée qui était plus que belle. La primaire, à coté, faisait pale figure. Créait-elle la beauté autour d'elle pour oublier sa laideur ? Certainement cela. Mais la primaire aimait ce qu'elle faisait. Faire de son calme et de sa pascience une source à beauté la fascinait. Même si cela restait invisible aux yeux des autres. Le visage impassible de l'enfant était pour elle une manière de se protéger ...

N'oublie rien de ce que tu aime ...

Mii, assise en tailleur devant la magnifique merveille, hésité à l'activer. Le bouton on/off se trouvait dans le creux de la tête, entre le crâne et la moelle épinière, derrière la nuque. Le doigt de la primaire, qui faisait pile poil la taille du bouton tremblait. Et si tous ces efforts se révélaient faux ? Rien qu'un pauvre gaspillage de temps et d'argent ? La tignasse rouillée de la rousse se souleva à la brise légère. Puis, elle finit par cliquer. Et pendant deux minutes, rien. La poupée resta à la même place, là où elle avait été posé. Mais enfin, elle s'agita. L'une de de longues jambes de la poupée se souleva agilement du sol. Et voilà. elle marchait. Elle marcha un mètre. La primaire était en plein extase. Puis deux. La rousse se leva, suivant lentement la poupée qui évoluer sur le sol. Puis trois. La primaire se posa sur le sol, regardant de loin la magnifique merveille avançait. Cinq. Puis rien. Mii accourut auprès de la poupée qui était ... Devant quelqu'un. L'insensible leva timidement des yeux, reprenant dans ses bras la poupée désormais éteinte. Plus de batterie !

- Pardon.

Une petite chose vien de s'arre^tez devant ces pied : Que fait Marya ?

Elle attend, regardant d'un oeil impassible la petite poupée. Une petite oeuvre d'art, surment. Quelqu'un arrive et chipe la "princesse bleu" en s'excusant.

- Pardon.

Tiens, une petite fille de 10 ans. Marya savait que ce n'était pas une bonne idée de venir pendant les heures de récréation, mais bon ...

-"Pas de quoi s'excuser. Soit contante qu'elle ne se fasse pas écrasée."

Elle regarda la petite rousse ; oui, 10 ans, c'était à peu près ça ... Mais ellenn'avait pas le regard d'une petite fille de 10 ans : elle avait ce regard impassible que l'on prenait à force de s'enfèremer dans sa bulle. Des yeus qui, s'il avait été sans pupille, aurait été semblable a ceux de Marya.

-"Excuse-moi, Yumemaru Daiichi, ça te dit quelque chose ?"

Elle devait être ne B et ne pas le conaitre, puisqu'il était en A, mais on ne sais jamais ...

-"Je suis venu le voir ; je n'ai pas beaucoup de temps. Tu sait où sont les A sinon ?"

Une fille plus grande que la minuscule primaire se tenait là. Enfin, minuscule, c'était vite dit. Mii, serrant la poupée dans ses bras, releva sa tête lourde de plan robotique, et décrypta physiquement la personne. Cheveux blancs, yeux éteints, poitrine plate. La rousse hésitait entre 13 à 15 ans. Grande en taille, mais en même temps ... Ce peu de poitrine absolu ... Bon, je rigole ! Mii lui donna dans sa tête 15 ans. Point barre. La primaire ensuite se lança dans une analyse sonore. Celle qu'avait prononcé la fille. Première remarque : elle cherchait quelqu'un. Ou non, la première était que Mii n'avait pas à s'excuser pour cela. Mais enfin, bon, on va pas chipoter là dessus aussi ! Donc, première remarque : elle cherchait quelqu'un. Problème posé : Qui ? Seconde remarque : cette personne s'appelait Yumemaru Daiichi. Seconde problème posé : ce nom me dit quelque chose ... Et enfin, troisième et dernière remarque : il était en A. Pas de problème cette fois, mais une réponse à tout : mais bien sur qu'elle le connaît ! Un petit garçon aux cheveux grisés et aux yeux à deux couleurs ! Mais quand l'avait-elle croisé ? Ah, non, celui-là, c'était le seul qui avait eut la malchance ( ou non ) de lui parler. Et de faire connaissance. Chose, disons, rare ! Très rare !

Mii ne dit rien quand même . Elle se mit à réfléchir. Non, là part contre, ce n'est pas rare du tout ! Mii réfléchit beaucoup, mais voire trop ! Bon, pour le moment, ce n'est pas la même réflexion habituelle. Non, pour le moment, elle se demandait comment répondre le plus simplement possible. Trop de mots, c'était sa phobie.

- Je le connaît, mais je ne l'ai pas vu depuis un moment.

Chose vraie. Quand remonte leur dernière rencontre ? Pfiou ... Mii n'est pas du genre à compter ce genre de chose ! Non, elle est plutôt du genre à flipper à l'idée de parler avec quelqu'un plus de dix minutes. C'est qu'elle n'a rien à leur raconter, aux autres ! Puis, elle se souvint que la fille cherchait aussi la classe A. Grâce à son intellect ( aujourd'hui très présent ), elle chercha elle-même ... Un moyen, et oui, de répondre avec le moins de mots possibles ! Il faut que j'arrête de la préciser à chaque messages moi ...

- Je ne sais pas où sont les A, je suis, je crois, en B.

Ce qui, en traduction Mii-français, français-Mii, voulait dire qu'elle n'avait rien à faire avec les plus petits, car elle n'a rien à faire avec les autres aussi. En gros : je ne veux pas subir les caprices éphémères que sont l'amitié ...

Sage enfant ...

Voilà qui était simple ...

Marya soupir (une fois de plus) et s'assie sur un banc. On croise les jambes, on respire et ...

-"Je vais l'attendre ..."

Vous croyez serieusement qu'elle allait crier son nom ? c'est ne pas connêtre Marya qui déteste élever la voix ; le silance était ce qu'elle préfèrait de tout les états du son, sauf évidement quand il est question de bonne musique.

Alors non, Matya ne vas pas apeler Daiichi ou prendre la peine de se déplacer pour le chercher ; elle allait rester assise et s'il il ne venait pas, elle repartirait. Le connaiscant, il allait encore courri dans toutes l'école ce soir jusqu'a trouver le dortoir des filles si jamais il ne l'avait pas vu plus tôt dans la journée ...

Marya ferma les yeux ... Tout les sons s'emplifient. Prennent un rhytme. Finnisent par former une percution dynamique : cris d'enfant, rire, pleurs ... Chants des oiseaux ... Des arbres ... Le vent ...

Elle finit par réouvirir les yeux et dire à l'attention de la rouquine (car oui, elle était toujours là !) :

-"Quand l'as-tu vu pour la dernière fois ?"

Elle pencha la tête comme un chiot qui tente de comprendre ce qu'on viuens de lui raconter.

-"Je parle de Daiichi."

Mii ne dit rien. Enfin, rien ne sert de le préciser. Cela ne change pas de l'ordinaire. Elle se demanda à elle-même si elle avait envie de revoir le petit. Car, si oui, autant l'attendre avec la fille. Alors que celle-ci se posa sur un banc, la primaire choisit le sol comme chaise. Elle posa le robot un peu devant elle, et regarda son visage. D'où venait le problème de la poupée ? Mii se mit à réfléchir. Au bout d'un moment ( pas plus de deux minutes ), elle enleva le vêtement de la merveille. Dans son dos, une sorte d'ouverture pour un boîtier. Comme l'ouverture des piles, dans nos jouets actuels. Mii l'ouvrit sans trop de peine. Même pas besoin d'un tournevis ! Mais, à la place de piles, se trouver cinq bosses. Ce sont donc, c'est compliqué mais bon, des câbles. Câble USB pour les ordinateurs, câble pour les prises, un autre pour les lignes téléphonique, et un dernier, dont la primaire ne savais pas elle-même l'utilité. Mais comme je l'ai dit plus tôt, le robot ne sait que marcher, seul la recharge sert à quelque chose.

Mii tripota le dos de la poupée, complètement dans son univers robotique. Une voix la sortit de son examen. Résultat : Batterie de mauvaise qualité pour cette usage. Mii referma tout rapidement, mais de façon appliqué, et rhabilla sa merveille. Après quoi, elle écouté et analysa ce que dit la fille. Bon, j'avoue que le terme 'analyser' est étrange, mais c'est le plus approprié à Mii et à sa façon d'écouter les autres. La petite écouta, puis chercha une réponse. Elle-même ne savait pas quand est-ce qu'elle l'avait pour la dernière fois, concrètement. Lui parler, cela faisait un moment. L'avoir vu de loin, pas si longtemps. Bah, quand on voit quelqu'un, pas obliger qu'il nous ai vu et qu'on lui ai parlé ! On peut voir sans parler et être vu. Et c'était l'une des seules choses que la primaire savait faire. Voir sans parler ni être vu ...

Alors, à quand remonte ta dernière 'vision' de Daiichi, Mii ? Deux jours, tout au plus.

- Il y a deux jours, je l'ai vu.

Elle espéra que 'je l'ai vu' suffira à faire comprendre qu'elle l'avait simplement vu, et non parler. Ce jour-là, elle cherchait un costume pour sa merveille ... Faut dire, trouver un costume pour une poupée de la taille de ta tête, et aussi mignon ... C'est pas facile. Et cela faisait une semaine qu'elle cherchait. Mii resserra le robot dans ses bras, les rubans de la robe s'emmêlant avec les avant-bras de l'enfant. Un rousse, et une poupée bleu.

Deux jours ... Mmmh ... Comment ça se fait que ...

-"Juste vu ou tu lui a parler ? C'était la première fois ? comment connaistu son nom ? il te l'a dit de lui même ?"

Analyse/interogatoir mode ON : Marya commencais à s'inquiéter de la sécurité de son protégé. S'il disait son nom aussi facilement à n'importe qui, ça allait vite tourner au drame ... Quelle relations entrenait-il entre tout ces camarade ? ça faisait extrèment longtmeps qu'il n'avait pas eu de contacte avec des enfants de son âge ... Autant dire qu'il aurrait pu en ignorer l'existance, puisqu'il avait toutes sa vie enfermer quelque part ; pendant les 3 première années de sa vie dans son clan, et les deux autres avec Marya ...

-"Comment t'appelle-t-il ?"

C'était plus claire que "Quelle relations entretenez-vous". Pas de "je sais pas" ou encore d'embrouille au niveau de ce qu'on apel "amitié". Une vrai amitié n'était pas posible du cpoter de Daiichi. Pour lui, tout le monde n'était qu'une grande famille. Des frères et soeurs. Jamais rien de plus ou de moins.

Effectivemnt, s'il l'apelait "nee", Marya ne savait pas s'il elle allait être rassuré ou jalouse ...

Cette gmine émet un son que je connais ... Ca ne date pas de longtemps ... Je l'ai entendu ... Ah oui, pendant un entretien ... je crois que ça ressemblait à ça ...

Mii aimait le silence. En fait, elle aimait surtout quand personne ne parlait. Cela l'apaisait un peu. Mais, étrangement, elle éprouvait ce même sentiment alors que quelqu'un parlait. Commençait-elle à s'ouvrir aux autres ? ou état-ce uniquement avec cette fille ? Mii n'avait pas envie de vérifier, car pour cela, elle devrait se mettre à écouter les autres. Ce qu'elle ne voulait surtout pas. Parler, devenir ami avec quelqu'un ... C'était pour elle, à la fois un rêve, mais aussi un cauchemar. On dit qu'être seul, en pleine solitude, donne un sentiment d'inutilité. C'est faux. Quand on est un vrai solitaire, la présence des autres nous importe peu. Et s'il n'y a personne, on ne peut pas se sentir inutile. Non, la vrai douleur de la solitude, c'est quand on commence à éprouver ce sentiment, cette envie de l'autre. Vouloir enfin ne plus être seul. Tous les solitaires ne ressentent pas ça. Mii ne l'avait jamais ressenti avant. Avant d'être là, dû moins. Dans son ancienne école, les autres lui étaient-ils indifférents pour leur banalité ? Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle commence à ressentir cette envie de l'autre.

Dit ainsi, tout cela ne fait pas peur. La vrai peur, c'est que, quand on a cette envie, que jusque là on a été seul, ça fait bizarre, on peut se sentir étrange. Disons que, on est alors entre l'envie de continuer sa vie comme elle avait toujours était, et aussi, entre l'envie d'aller vers les autres, d'éprouver l'amitié et l'amour. Et le choix est dur, car nous n'avons jamais été habitués à tout ça. C'est nouveau, c'est stressant.

Mii ne répondit pas avant la fin des répliques de la fille. Ces fines lèvres roses hésitèrent à s'ouvrir pour produire les sons de ces réponses. Finalement, elles le firent.

- Juste vu. Je lui ai parlé une fois. Il m'a dit son nom à ce moment. Et je crois qu'il m'appelait Nee.

C'est tout. Une réponse compresser en ... Tadam, quatre phrases sur une ligne ! Bravo, Mii ! L'enfant ne dit rien d'autre. Elle estima que ce qu'elle avait dit était largement suffisant !

Bon ... Alors c'était tout. Il l'appelait nee. Un brin de jalousie. Beaucoup de réconfort ; Daiichi avait une autre soeur. Avec un peu de chance, il passerai plus de remps avec elle qu'avec Marya, et peut-être se détacherait-il d'elle... Peut-être ne pleurerait-il pas quand elle lui dirait qu'il ne la revairait plus ; elle n'attendait que ça ; qu'il comprène sans pleurer ; elle voulait partir. Le plus tôt sera le mieux.

-"Prends soin de lui ..."

Marya venait de lui attribuer un rôle dont elle aura du mal à se deffaire, si elle s'en défait un jours. Un fardeau beaucouo trop lourd pour u ptite fille comme elle.

La petiote lui rapelait quelque chose, mais voilà, elle ne préta pas plus attention à ce detaille ;ça sert à rien de chercher si tu sais pas [comme en contrôle, c'est pas en te plantant 10 minutes devant ta feuille que tu va retrouver un truc que t'as oublier >.<]. Alors attendons.

Marya posa les yeux sur la petite princesse bleu ; si elle avait été de taille humaine, elle aurais atiré l'oeil de beaucoup, garçons comme filles, par sa beauté. Les proportions était parfaites, elle corespondait à tout les critère de beauté d'une occidantale. Et cette robe, quel splendeur ; Logiqement, il y en avait beaucoup trop, mais en résultat, on percois que quelque chose de plus soft n'aurait pas collé. Une petite merveille informatique.

Marya souris et se radosa sur le banc. Le bruit était bien moins désagréable ici ... Elle entendait tout. Même le cris des enfants n'était pas aussi braillard qu'on aurais pu le penser. Elle entendait ces voix d'enfants ... Voix d'enfants ... Daiichi.

-"MARYA-NEE !
-Urusaï. [tait-toi]
-

"

[XD]

Arrêter en plein vol dans sa course folle [la rime**], Daiichi stop net et boude. Puis se remet à courir et se jette dans les jambes de Marya, se blottissant contre elle en essayant d'aller à sa hauteur (du haut des ses100-110 cm x) ).

-"Baaaka. Kimi wa sugoku baka, chibi." [Imbecile ; t'es incroyablemùent idiot minus]

Elle avait dit ça d'un ton neutre, mais doux et attendrissant. Marya changeait au contact de Daiichi ; son regard, son attitide, son coeur ... Elle rit un peu, à demi, et s'adressa à la rouquine.

-"Je crois que je l'ai trouver mon idiot, pas vrai Ochibi-san ?" [Chibi=petit, en principe pejoraratif, signifiant en clair minus, gringalet, mais Marya l'utilise envers Mii car elle ne connais pas son nom et veux juste lui dire "petite, mignone", quoi que cela soit très mal exprimé]

-"'Mii-nee !"

[Daiichi se tape l'incruqste tu veux bien ? je lui fait un mini paragraphe et tu peux y aller ^^]

[ ok ! Comme tu veux ^^]

Mii ne dit rien. Rah, le grand réflexe ! Faut dire que, contrairement à Soru qui se tape limite des monologues des fois, Mii est bien silencieuse ! ( Laissez tomber, vous connaissez pô ^^). Bref. Elle ne parla pas. Quand on lui dit ' prends soin de lui ', sa première réaction n'avait pas été d'analyser la phrase. Pour une fois, elle l'avait compris sans le moindre analyse. C'est comme un 'je t'aime', c'est lisse, pas besoin de s'attarder sur une quelconque analyse, ça veut dire ce que ça veut dire. Mais Mii n'est pas du genre non plus à laisser les autres penser ce qu'ils veulent sans avoir son avis. L'enfant, c'était pas comme si elle s'en étais épris, ou alors, qu'elle se considérais comme sa soeur. Non, en fait, seulement une amie. Mais de là à ce qu'on dise à une amie ' prends soin de lui' ... Bon, je m'embrouille, comme à ma fâcheuse habitude.

Bref. Elle ne dit rien, son visage disait tout. De même pour la fille. Elle ne disait rien de plus, mais son visage disait le reste. Mii resta alors dans son silence.

Puis, des cris. Pas des cris de peur, non, plus des voix, mais fortes. Ca, tout le monde l'aurait entendu. Mais pas Mii. C'est soit ça, soit elle les ignorai. Ou alors un peu des deux.

Daiichi arriva plus vite que la rousse ne lu penser. Enfin, pour ça, faudrait d'abord qu'elle y ai penser. Et ça ... Bon, passons, je pourrais en faire un paragraphe complet sinon !

Le fille parut agressive ou alors, trop amicale avec l'enfant. Miss Rouille ne fit aucun mouvement. Finalement, le surnom de sa tendre primaire 'Statue' lui va bien ...

* Cher Tipi ( et oui, je repart dans mes Tipi xD ), quand on croise plusieurs fois la même personne, et qu'on lui parle, cela veut dire qu'une amitié est déjà présente, ou non ? Je ne sais pas, c'est la première fois, en dehors des professeurs, que je parle à quelqu'un, déjà ... Bon, essayons. Au pire, pour une première tentative, ça ne peut pas être trop mauvais ! *

- Bon ... ( attention, attention ! ) Bonjour, Daiichi ...

Clap, clap, clap ! Bravo, Mii, bravo ! Quel effort ! Quoi ?! Vous n'êtes pas d'accord ?

- Bon ... ( attention, attention ! ) Bonjour, Daiichi ...

Et flap : dans les bras de Mii-nee ! Oui il est rapide en besogne.

-Nani soundao, Mii-nee ? Oh ! Kireï, Aoï-san wa sugoku kireï ! [Que fait-tu ? Oh, Splandide, "Mlle. Bleu" est invroyablement Belle !]

Il était en extase totale devant ce peit être à la forme humaine (à ce demander si il ne croyait pas qu'elle était vrai ... -_-"). Il avait un peu de mal, a dire si elle était humaine ou non ; depuis qu'il avait materialliser la plume de Kaoru, il voyait moins les ailes ... Explication rapide.

Quand Daiichi utilise la partie "materialisation" de son don, que ce soit pour faire d'une plume un objet réelle ou transmettre sa vue à quelqu'un, il devenait aveugle pendant environs 5 jours, et commance à recouvrir la vue en deux jours ; ce qui fait une semaine pour voir. Mais il ne récupère pas ses capacités en même temps. Elles reviènnent graduellment pezndant la semaine suivante. étant donner qu'il était dans sa deuxième semaine, il avait recouvré la vue, mais ne voyait les ailes que dans un floue totale et ne les voyait clairement quand ces personne avait une volonté de vivre extrement forte, ce qui normalement ne se produisait qu'avec des miroirs... Bref, maintenant, il ne voyait pas bien les ailes. Alors pour reconaitre une poupée d'un être humain ...

-"Aoï-san ... Onto ..." [Mlle. Bleu est ... Vraiment ...]

Il s'interomp et se remet debout et reviens vers Marya.

-"Marya-nne ? Est-ce que tu peux rester ici ? s'il te plait !"

Il connaissait déjà la réponse ... Elle repartirait ... très vite ...

[court >< mais bon, c'est Daichou ... Pas beraucoup d'inspi avec lui ... (Kaoru, reviens, avec toi, il y avait des bon trcu **)

La boule de poil lui sauta dessus. Ou dans les bras. Enfin, au final, ça revient au même. Du point de vue de Mii du moins. La primaire vivait, depuis son arrivée ici, une foule de choses uniques ! La poupée bleu ne bougea pas, tout comme son propriétaire. De toute façon, comment pouvait-elle ( la poupée ), vu que la batterie est morte ? Ou du moins, toute vide ? Bref, juste pour dire que même mon crayon, seul, bouge beaucoup plus à l'instant présent que notre rousse. C'est à dire, statue.

Quand Daiichi parla du robot, Mii hocha de la tête. La poupée était belle, certes. Mais elle était encore raté. Elle ne pouvait marcher que quelques mètres, trop peu pour dire qu'elle est réussite. Bon, le problème venait de la batterie, non prévu pour une utilisation de ce genre ( plus pour les réveils en fait ) et du coup, ça fait tout capoter, mais bon ... L'hésitation du petit était présente, sur. La rousse demanda s'il avait compris que ce n'était qu'une poupée, un robot. Il était vrai qu'elle pouvait ressembler à une humaine, mais de cette taille. Bon, après, elle ne savait rien sur les dons ( le sien pouvant être aussi attribué aux surdoués. Certains adultes sans dons peuvent faire cela aussi ... ). Donc, elle n'y connaissait rien. Alors, peut-être en avait-il un qui pouvait créer de véritable vie, qui sait ?

Mii hésita à le prévenir, mais finalement, ne le fit pas. Le garçon était parti du sujet 'robot/poupée' et ce n'est pas elle qui allait en reparler ! Non, déjà qu'elle ne parle pas à quelqu'un, un, elle n'allait pas lancer ou relancer de sujet de discussion ! C'est comme demander à se faire tuer, ça n'a aucun sens. Ou alors, c'est contradictoire. Ou encore, on a une bonne raison de mourir, et dernière solution, on est maso. Mais jusqu'à preuve du contraire, Mii n'est ni suicidaire, ni masochiste.

Pareil, quand Daiichi parla à la fille ( ce dit, elle ne sait toujours pas son nom xD ). Mii se tut. Elle attendis un peu, non, enfin, beaucoup, et attendit encore. Bref, elle ne dit rien.

Information : Mii-nee = petite rouquine pratiquement muette= Mii. Très bon à savoir ...

Marya regarda le ciel ... il se fait tard ... Et non, parmis tout ses bracelets innutile, pas un seul n'a la fonction de montre. Domage hein ?

-"Non Daiichi. Je vais y aller. Je reviendrait sans doute demain."

Elle se leva et rpis le petit dans ses bras. Elle reagrdait Mii.

-"Ne le laisse pas seul trop longtemps"

Elle se détacha rapidement de Daiichi et s'en alla. Mii avait une nouvelle tâche ; s'occuper d'un enfant de cinq ans. C'était trop lourd, mais si Daiichi l'aimait, peut-être oublirait-il ... Et ne pleurerait pas.

Quand viendra le moment de partir.

Edit Mitsy > Un peu léger miss =p

I know ... Non inspiration ...

Mii trouva cela étrange. Quelqu'un cherche quelqu'un d'autre, pour partir après l'avoir vu. La rouquine chercha une explication. Peut-être pour lui dire 'adieu' ou pour voir, juste un instant, son état de santé ... Mii décida d'y réfléchir plus tard. Pour le moment, il y avait plus important ... Quoi donc ? Le petit. Parce que lui, il était encore là. Mii, dans un premier temps, posa le problème donné à son cerveau robotisé : 'Que doit-on faire dans ce genre de cas ?' Réponse rapide de la part de l'intelligence de la gamine : 'Parle-le lui.'

Après, c'est tout un débat, je vous passe donc cette charmante conversation.

Au final, un gagnant. La cervelle. Donc Mii se résigna à parler à l'enfant, dans l'espoir qu'il prendrait facilement la conversation. Parce qu'elle ne ferait qu'une seule tentative !

Elle s'approcha, serrant la poupée dans ses bras. Son coeur battait trop fort, l'angoisse lui montait à la tête. Elle ne savait pas quoi dire, mais savait qu'il fallait dire quelque chose. Et vite.

- D ... Dis, Daiichi ...

Encore un effort ! C'est vrai que comme ça, elle parait plus timide qu'autre chose. Mii s'en rendit compte, et recula, se détestant presque. Puis, elle reprit, mais cette fois calmement et sans hésiter.

- Dis, Daiichi, tu as un don, non ?

Ta-dam ! Elle a fait une phrase ! Et au passage, elle se promit de ne pas en faire d'autre avant un moment ...

- "D ... Dis, Daiichi ...
-?
- Dis, Daiichi, tu as un don, non ?"

La question à pas poser pour le moment ... Allez ... Sauf que Daiichi est très ouvert et enjoué quadn il n'est pas préocupé ; exemple là

-"Imano wa Naï ! Mieru Naï ! Demo, futsuu, mieru tsubasa !" [dans un très mauvais japonais by me, Maintenant non, je ne vois pas, mais d'habitude, je cois les ailes]

Mii ne semble pas comprendre ... Evidemment, c'est tellement bien expliqué !

-"Je peux voir ... Le reflet de ton âme."

Grand sourire sur les levre, sourir d'enfant insouciant ; que c'était bon de ne pas voir ces âmes soufrantes, ces ailes de sang ! Tout allait bien quand il était "aveugle".

-"Et toi Mii-nee ? Tu peux faire quoi ?"

Ah oui, petit détaille ; Daiichi a compris le systeme ; il sait que les gens ici ont des don que les autres n'ont pas ; c'est comme ça qu'on lui a expliquer ^^.

Il voyait des ailes ? En premier temps, Mii ne comprit pas, puis l'enfant s'expliqua. Vois les âmes ? Mii en conclu qu'il pouvait voir les âmes sous formes d'ailes. Mais ce n'est pas parce qu'elle avait comprit cela qu'elle avait comprit le fonctionnement du don. Mais elle passa vite sur le sujet. Elle se renseigneras sur les âmes un jour à la bibliothèque.

Puis, ce fut son tour de parler de son don. Comme je l'ai dit plus tôt, Mii ne considère pas son don comme tel. Des savants pouvaient faire la même chose qu'elle. Même si elle, elle n'a que 10 ans et que c'est inné chez elle. Et eux, un peu plus ... Et ils ont du étudier dur ! Mais, bon, on va pas en faire un fromage ! En plus, ils travaillaient sur des projets plus longs et intéressant que es siens. Regarder. Elle créer des poupées, et qui ne marche pas. ( Dans le sens, marcher, ce déplacer ). Alors que les autres, les grands ''roboticiens", ont fait mieux !

Mii trouva rapidement une formule courte. Les trop longues, non merci !

- Je créais des robots. Comme elle. C'est un robot.

Elle leva la poupée bleu vers le garçon. Elle espéra qu'il avait compris, car ce don ... Mais il avait dit qu'il ne voyait pas pour le moment. Ce dit, pourquoi ne voyait-il pas ?

- Pourquoi tu ne vois pas ? Les ailes.

Pourquoi ... Il ne les voit pas ?

-"Ah ça, c'est parceque j'ai utiliser une partie dangeureuse de mon don."

Oui,oui, vous avez bien entendue ce petit mioche adorable parler de tel manière qu'il connait parfaitment ces propre capacitée mais qui n'en tiens pas du tout compte, à croire qu'il ne pèse pas ses mots.

Il savait qu'a répétition, il pouvait perdre son don ou sa vie ; Il utilisait quand même une grande partie de son energie vitale quand il materialisait un fragement d'âme, ou qu'il montrait "son monde" à quelqu'un d'autre.

-"J'ai fait venir la vitalitée qu'il y avait dans mes yeux pour pour la donner à un "fragement", et je ne la récupère pas avant deux ou trois semaine. Mais cette fois, ça va plutôt vite ; j'ai retrouver ma vue "humaine" en moins d'une semaine ; c'est super tu sais, de ne pas les voir !"

Il disait ça en montrant du doigt ses yeux ; l'un maron-rouge, l'autre bleu profond ; ils avait retrouver leur éclat ; il ne leur manqait plus que leur pouvoir orriginel qu'il récupèrerait dans quelque temps... Mais tout de suite, au grand bonheure de Daiichi !

-"Ici, elles sont vraiment effrayantes ; tout le monde à de l'ancre et du sang sur ses ailes. J'en ai vu des très bizares ! Mais il y a très peu de petites ; Tout le monde est très mature ici. Tout le monde a apris plus de leçon que les gens à l'exterieur. Comme si on grandissait très très vite. Mais personne ne souris à personne ; tout le monde se hait, toutle monde s'ignore."

D'un air toujours souriants, malgrées ses horribles paroles :

-"Tout le monde à peur, tout le monde s'en veut, tout le monde à une grande haine envers la société, envers l'univers."

Il ouvrit les bras et regarda vers le ciel.

-"Personne ne s'aime, lui même ou les autres. Personne n'est curieux de son prochain ; on se suffit nous même, ici."

Il regarda Mii avec un grand sourire :

-"Mina wa ... oseru !" [tout le monde à peur]

Il pris les main de Mii en regardant la poupée et lui sourit comme si il parlait d'un grand bonheure...

-"Je suis très contant de ne plus les voir ; même si c'est pour pas longtemps"

Il souriait. Un sourire d'enfant heureux.

-"Mina ... Ningen wa ... Ontoni ... Kanashi ... Hinsô ... Shiisai." [Touit le monde, l'humain est vraiment triste, a l'air triste, est petit, (sens de peu important) ]

Avec des yeux troublée, il fixa son regard sur celui de Mii.

-"Boku wa ningen Dazo ... ? Boku wa ... Chiisaï daro ne ?" [Je suis un humain. Je suis petit n'est-ce pas ? (sans imporantance)]

Son visage prit un air inquétant, malgrer son sourire
.
-"Demo ... Bokuno ... Tsubasa wa ..." [Mais mes ailes sont]

Il s'écoulat une lamre sur son visage souriant.

-"Tenshuu no" [celle d'un ange]

Pourquoi ? Alors qu'il avait un peu de temps pour ne pas y penser ?

C'était comme ça depuis le début ... Daiichi s'enfermait dans son monde lorsqu'il voyait les reflets, et encore plus si ils étaient désagreable à regarder. Quand il était libérer de leur vue, il se réouvrait, pouvait sourire ... Pour une courte periode. Mais depuis qu'il LES avait vues ...

A chaque fois qu'il ne voyait plus les ailes des autres, il y pensait ... Il pensait ...

Daiichi tomba sur les genoux et se mit à pleurer abondament.

-"Boku no ... Tsubasa wa ..." [mes ailes sont]

Il prit la petite poupée bleu et la tourna dans tout les sens. Il posa sa main sur son visage, trop parfait pour être vrai. Il avait encore les joue mouillées.

-"Aoï-dono hossuru mau ?" [Dame Aoï (bleu) veut danser ?]

Il la serra dans ses bras.

-"Dame dame. Aoï-dono gimu mae narau aruku." [Non, pas possible ; Dama Aoï doit avant aprendre à marcher]

Il caressa les tissu de la robe bleue. Il ne pleurait plus, mais ses yeux étaiot toujours humide, et le vant les rendait glaciales.

Il ne fallait pas qu'il y pense. Il fallait trouver quelque shose ; pour ne jamais y penser. Ne jemais y penser.

Tout ce que ceux autours pouvait voir, c'était juste un enfant troublé et à la psychologie fragile. Daiichi s'ouvait quand il ne se souciait plus de la nature de son interlocutuer, mais il était un être fragile ;

Une sculpture de crystale et veux s'envoler, mais qui fini toujours par se briser.

Mii ne sut quoi dire. Elle avait envie de dire quelque chose, mais quoi ? Ce que racontas l'enfant fit regretter la question qu'elle avait posé. Le monde ... Etait triste. Le monde ... Etait silencieux. Le monde ... Et Mii faisait partie de ce monde. Pour la première fois, Mii se rendit compte qu'elle n'était pas seule. En dehors de sa famille, la rousse avait toujours cru que les gens n'était là que pour servir d'affiche. Que pour donner un peu de goût à sa vie. Mais là ... Daiichi fit comprendre, et je pense sans le vouloir, à Mii que les autres aussi avaient leurs histoires. Qu'ils avaient leurs pensées ...

Mii fut silencieuse cette fois, non par habitude, mais par tristesse. Et pour la première fois depuis longtemps, son visage parut triste. Elle hésita à bouger, à parler. Mais rien. Elle resta immobile et silencieuse.

Daiichi parla ensuite à la poupée. Mii ne dit rien. Elle fit juste attention à ne pas faire tomber son précieux travail. Pendant ce temps, elle se dit qu'il n'avait pas tord. Elle savait que de son coté, elle ne souriait jamais. Elle ne riait pas. Elle ne parlait pas beaucoup non plus. Finalement, il y avait un problème avec elle.

Elle attrapa ces joues pour les étirer, forcer un sourire; Mais rien. Le visage de la rousse refusait de sourire. Impassible et sans émotions.

- Daiichi ... Tu trouve normal, que je sois sans émotions ? Daiichi, c'est quoi, un sentiment ? Dis-moi ...

Mii se demanda si l'enfant pourras lui expliquer. Ce sont des choses si naturels pour certains, mais la rousse n'avait jamais eu plus que la définition du dictionnaire.

Non, Mii était uniquement impassible.

" impassible. adj' Qui ne manifeste aucun trouble, aucune émotion, aucun sentiment. " [le petit larousse compact, édition 2005 ]

Oui, Mii était impassible. Devant tout et rien.

[ envie de sortir mon dico U_U ]

...

...

...

(ou comment gruger des lignes)

Daiichi ne su pas tout de suite quoi répondre. Il lui était arriver de poser des questions étrange du même genre à Marya, mais voilà ... Elle ne lui répondait que si elle savait (ce qui est logique en même temps, Marya n'est pas dieu qui sait tout ...).

Sentiments ... Sentiments ... Oui, c'est vria. Lorsqu'il lui était arriver de demander pourquoi tout le monde était aussi distant les uns envers les autres, Marya lui avait expliquer ... Un peu ... Pourquoi ...

Marya-nee ? Pourquoi les humains ... Sont si differents ? Pourquoi certisn sont hereux et d'autres pas ? Kami-sama [Dieu] nous a fait pour nous détruire et nous faire soufrir ?

Marya regarda le petit garçon d'un regard désolée et attendrissant.

Tu sais, Kami-sma, nous a fait libre de devenir ce que l'on souhaite ; mais certains humain sont trop faibles. Et il choisissent ce qui est le plus dans leur interet : parfois sans se souciers que les autres seront malheureux.

Et Kami-sama veut que nous soyons malhereux ? il nous a fait fraibles ?

Comment t'expliquer ... Il nous à doter de sentiments et de faiblesses, que nous sommes libre d'utiliser à notre gré. Nous devons faire de nos sentiments des forces, et continuer d'"avancer, malgré que les autres deviennent mauvais ou faible. Nous nous servons de cette force pour continuer à vivre.

At toi, Marya-nee ? Tu est forte ?

Un silence.

Je suis la plus faible de tout les humains. Mes sentiments envres toi sont devenue ma force, et elle lutte contre ma faiblesse. Ces sentiments sont la seul raison qui mle pousse à vivre. Car je dois continuer.

Marya-nee ... Kami-sama... Suki ? [tu aimes Dieu ?]

Le kimono de Marya se crispa. Elle serra le petit contre elle.

Kami ... Inooshi ... Kiraï. [Dieu, la vie/le destin, je les deteste.]

A travers ses chevuex blanc, elle embrassa Daiichi sur le tête.

Quand tu serra assez fort ... Tes sentimetns pour moi ne devrons pas être une faiblesse. Tu devra être fort pour vivre, et continuer. Tu veux bien ?

Elle le regarda dans les yeux :

Me laisser partir ?
Je ne suporte plus ... Cette douleur d'être née ...

-"Nos sentiments, ... ce sont ... Les battements de notre coeurs ... Qui nous font vivre ... Avec ou sans les autres ..."

Daiichi releve la tête vers Mii et lui sourit a travers ses larmes à demi sehches.

-"Quand ton coeur fait Doki, et que tu a envie de faire quelque chose de fort... En bien ou en mal ..."

Il tendit la Poupée à Mii ;

-"Les choses que tu aime, les choses dont tu à peur ... Et qui te servent d'apuits et d'experiances ..."

Il ferma les yeux, toujours en souriant.

-"Ce qui deviens tes faiblesses ... Et tes forces ..."

Il les réouvirt, plus brillant et vivant que jamais :

-"La preuve que tu es en vie !"

Ressentir la douleur ... La joie ... La peine ... Resentir les choses qui font mal ... Oui c'est la preuve ...

-"La preuve que l'on est viviant !"

La preuve d'être en vie. Mii était-elle réellement en vie ? Elle se mit à se demander s'il y avait quelque chose dont elle avait envie. Quelque chose qui lui faisait peur. Et elle trouva.

Les robots. Depuis toute petite, elle construisait, sans en faire de parfaits, mais quand même ... Elle adorait ça. Ce n'était pas pour faire des robots qu'elle courait dans tous les sens à la recherches de matières premières, ou de vêtements ou ... Oui. Depuis toute petite, les rares sourires étaient de pauvres esquisses qui ne valait rien, mais ... Il y en avait eu. Tout mini, tout petit, entre l'indifférence et le réel sourire. Mais c'étaient beaucoup pour elle. Et comment étaient-ils apparus sur son visage ? A cause de ses machines métalliques ou autres, qu'elle fabriqué avec attention et application. Daiichi n'avait pas tord. Aimer ou détester. Avoir peur ou rire. Tout ça, ce sont des preuves de vie.

Donc, Mii était en vie. Un peu. Mais c'était déjà beaucoup.

Le bords de ses lèvres remontèrent un peu. Deux millimètres peut-être. Pour Mii, ou pour quiconque connaissant vraiment la rousse, c'était un sourire. Alors, elle sourit à l'enfant.

- Merci, Daiichi.

Elle leva la poupée en l'air. Les cheveux noirs de la merveille voletèrent dans le vent léger. Les noeuds aussi, mais un peu moins. Faut dire, ils ont coûtaient chers les cheveux ! C'est des faux, certes, mais quand même ! Ils sont ultra légers, pas besoin de les lavés régulièrement, et ils sont faciles à coiffer. Ouais, c'était pas gratuit !

Mii se promit alors une chose.

- Un jour, je t'offrirai un vrai robot qui parle et marche ! Promis !

Note-le, pour pas l'oublier ! Bref. UN vrai robot, à l'apparence humaine, qui parle, marche ... Semblable à l'être humain. La seule différence seras qu'il suivras son programme, et ne pourras penser de lui-même, mais ... C'est déjà un pas vers le futur !

( Wouah ! Elle a beaucoup parler, là ... )

[oui c'est vrai ^^ Aller Mii ! Encore un effort tu y es presque ^^ !]

- Un jour, je t'offrirai un vrai robot qui parle et marche ! Promis !

Les yeux de Mii brillait, comme si elle avait eu une révélation, et qu'elle était à présant combler de bonheure ; ce qui ne devrait pas être faux, car la seul chose qui aurrait pu faire croire le contraire était qu'elle ne souriait pas comme une idiote attardée. Point positif [j'aime pas montrer mes dents, alors je suis fière de Mii pour ne pas montrer les siènne et ainsi me suivre dans le mouvement "On ne souris pas come des idiot, après on a l'air con sur les photos."].

Par contre, c'était pas le cas de Daiichi ; LUI, il souriait comme un attardé agare ~~et totalement shouter~~. En même temps, il n'a que cinq ans ... Alors je peux juste vous dire qu'il est vraiment trop mimi *µ* //SBAF//

Bon bref ... Daiichi lui, souriait comme un atardé mentale en voyant les yeux merveilleux de Mii la jolie rouquine. Il était en train de tomber amoureux ou quoi ? Ton premier amours mon chou ! Je suis si fière de toi

///SBAF// BLING// PLLAARRR///

Marya : ... CRR <---(veine qui grossie sur le front)

Oki j'arr^pete de faire un RP qui se barre en freestyle et pas serieux du tout et ~~j'essaye~~ de vous paler serieusment. (ça va être dur, je vais résister)

Heurm heurm ... Donc, reprnons.

- Un jour, je t'offrirai un vrai robot qui parle et marche ! Promis !

Daiichi sourit, car Mii était heureuse (et parce qu'il allait avoir une poupée ^^ (non il ne fait pas la différance entre un robot et une poupée). Voir les gens qui l'entourait heureux lui suffisait à être heureux. Ceux qui constituent ton monde, qui t'élèvent en même temps qu'eux, que tu élève en même temps que toi. Oui, il pensait que si il restait heureux, au moins ceux qui faisait partit de son monde irraient un peu mieux. Et il serrait hereux tant que les autres le serrait. Une chaine infinie, une utopie de bonheure. Il y croyait ; c'est la seule chose en laquelle il pouvait croire ; sinon, pourquoi en avoir ? Des sentiments ?

La cloche sonna, dans 5 minutes, il devrait regoindre ses camarade de classe. Il fit un grand sourir et s'approcha de Mii.

Sans prévenir, il fonça sur elle et la pris par le cou, manqant de la faire tomber. Il posa un baisé sur sa joue et dit avec, toujours, son grand sourire :

-"Alors j'attendrai ce jours avec impatience ; Gambaree, Mii-nee !" [Bon courage]

Si avec ça elle n'avait pas des sentiments alors il y avait de quoi douter ! Daiichi se détacha d'elle et couru vers ... Vers où ? Ha oui, l'epsce de masse d'élève qui servait de Classe A ... Avant de disparêtre completment dans la foule, il fit de grands signes avec ses bras en direction de la petite fille rousse. Il espérait la revoir bientôt : ce n'était pas, après tout, un nouveau membre de sa famille ?

Mii était contente. On pouvait dire que maintenant, elle s'était fait un ami. Son tout premier ami. Elle allait quitter enfin sa solitude ? Peut-être, peut-être pas ... Cela reste à voir ... En attendant, elle n'était plus vraiment seule. C'était déjà une chose. Son premier ami, à 10 ans. C'est un peu en retard, non ? Je veux, dire ... J'avoue avoir ce point commun avec Mii, les amis en retard, et ce problème social ... Pas pour les même raisons, heureusement ! Certes, on ne va pas vers autrui. Certes, on ne cherche pas la discussion. Mais elle, même si elle en pleine conversation, on dirai qu'elle souhaite être ailleurs. Ce qui n'est pas faux ...

Après, un problème immense traversa la tête de l'enfant. Comment ont fait quand on a un ami ? Comment tu fais pour ne pas le perdre, surtout si c'est ton seul ? Est-ce que tu dois rester toujours souriant et toujours être d'accord avec lui ? Non. On doit être comme veut être ? Hum. Forcément, on doit connaître quelques petits trucs d'eux ? Ouais, il y a un stricte minimum ! Les anniversaires, ou les phobies aussi ... Bref. On peut aussi largement dire que Mii ne connaît rien sur le sujet. Complètement ignorante ... Inculte de l'amitié !

Mii décida de se renseigner rapidement pour être un minimum ... Euh ... Non, j'ai mal formulé ... Mii décida de se renseigner rapidement pour en connaître un minimum sur Daiichi. Mais elle savait quelle ne pouvait le demander en face. Rapidement, et stratégiquement ...

Mais il était parti. Elle s'en occuperas plus tard ... Si un jour, elle le croise ! Ce n'est pas chose sure, mais elle peut espérer ...

Et pour finir, Mii posa le robot par terre. Il ne marcha pas. Ce fut un robot comme les autres, un robot immobile ...