"Et ce n'est que le commencement~" [Pv: Yukyuk]

[Suite de "Halloween's Secret"]

Où allais-je donc emmener ma jolie princesse? Nul ne le savait –sauf moi, mais c'est évident-. Pour un jeune garçon de dix neuf printemps comme moi-même, plein de lieux s'offraient à moi. Et ajoutons le fait que la demoiselle dans mes bras me fessait confiance. Il serait dommage de la décevoir, hm? C'est ce que je crois aussi. Sortant de la ruelle, ma silhouette devint plus éclairé, par la même occasion, Yuka aussi devint plus éclairée. Je pu mieux observer ses vêtements. Sa jolie tenue de gothi-loli lui allait bien. Sûrement qu'elle s'était habillé de la sorte pour Halloween. Après tout, cette fête était encore de son âge. Parce qu'entre nous, une jeune fille comme elle qui attend sagement dans une ruelle partiellement –voir pas- éclairé, ça a quelque chose d'inquiétant. Enfin, dépends pour qui.

À la sortie de la rue, je observai de droite à gauche les lieux le plus proche, -et classe, cela va de soi- pour y déposer la miss. En croire par les gamins qui parcouraient encore les rues, il devait être moins tard que je me l'imaginais. Donc certains lieux étaient –et devaient- être ouvert. Bien que l'idée de l'emmener dans ma chambre aurait, en effet, parut être une merveilleuse idée. Mais mal/heureusement quelques facteurs m'en empêchaient. Rien de bien méchant, seulement quelques pensées logiques venant des passant ou même des gamins. Comme: "dis maman, où le garçon là-bas amène la jeune fille?" et ça c'était un bon exemple. La même question pouvait –et était- assurément posé encore et encore et aussi reformulé dans la tête des gens. Je suis loin d'être un mind reader, mais mine de rien, ça fait louche. De plus, la question, je me l'aurais posé à mon tour si j'avais été à la place de la première personne à l'avoir posé, justement. Sauf qu'au lieu de prétendre une réponse en sang, comme meurtre, ç'aurait été quelque chose de moins rouge, mais plus rose… Enfin, si l'on voit où je veux en venir…

Huh uh, je n'ai pas demandé à avoir un esprit si mal tourné. Quoique non, c'est marrant ainsi. Je quittai les boutiques des yeux pour poser mon regard sur la jeune fille qui avait encore les yeux cachés de ses mains.

"Ne triche pas, hm, sinon il se pourrait fort bien que tu te retrouves bien rapidement sur le sol," l'avais-je prévenu… Parce que dans ma tête, c'était plus un avertissement qu'une menace… Même si j'avoue que la phrase pouvait faire pour les deux. "Tu me fais confiance?"

L'endroit fut la grande place… Original, huh? En fait, non, ce n'est réellement pas terrible et il n'y a rien de vraiment impressionnant, mais! C'est le seul endroit de logique auquel j'ai pu pensé en si peu de temps -cinq minutes-. Au moins, l'ambiance était bien, il y avait encore quelques enfants accompagnés de leurs parents, les lumières étaient partiellement allumées pour donner un effet sombre, mais non effrayant. Juste pour mettre l'ambiance d'Halloween, je suppose. J'allais y déposer "my sweet princess" lorsque mon attention fut prise avec un endroit meilleur. Même si le jeune lycéenne ne pouvait le voir, je ne pu m'empêcher de sourire narquoisement. Une habitude quand je me sens gagnant.

"I'm biggest fan, I'll follow you until you love me…" J'aimais bien cette chanson, paparazzi, et je trouvais qu'elle collait bien avec l'ambiance que je voulais créer. Et je l'avais chantonné, "Baby there's no other superstar, you know that I'll be~"

Et c'est comme ça que nous nous retrouvions devant l'entrer d'un restaurant. Plus sympathique que la place publique, non? Je déposai Yuka délicatement sur le sol.

"Hm, le voyage a été plus long que je l'imaginais, m'enfin on y est."

Heureusement que le fait que ce soit Halloween faisait que le bar/restaurant demeurait ouvert plus longtemps. Quoique peut-être que ça n'a aucun rapport avec la fête… Bref, whatever, ce n'est pas comme si je savais l'horaire sur le bout des doigts. Mais j'avoue que j'étais content qu'il le soit. J'ouvris la porte et fit un mouvement disant à la demoiselle d'avancer.

"After you."

[Encore désolé du retard ~ Aww, j'ai mériter une fic <3 ]

L

A

« Choix intéressant… »

S

Si je rentre….tu payes…

« Trop tard, je suis rentrée.

I

L

« Ne bois pas trop tout de même, cela te cause souvent des problèmes…. »

L

[non je n'ai pas d'excuse, pourquoi? Aïe, pas tapper ><"]

Peut-être l'avais-je déjà mentionné, mais j'avais à être créatif et je l'ai été. Résultat, Yuka avait, et j'emphase sur le avait, semblée être satisfaite de mon choix de lieu. Ou peut-être suis trop submergé par ma propre euphorie d'avoir enfin pu trouver une place pas trop nulle pour notre rendez-vous improvisé? Je souris à la tentative de Yuka, bien sûr, j'allais payé et ç'avait été mon attention. J'aurais du le préciser avant de lui ouvrir la porte, mais peut importe, tout avait été si rapide? Du moins à mon avis.

Mais! N'étant pas si stupide que j'en ai l'air, j'avais pensé au coup et donc, j'osais espérer que Yuka ne s'amuserait pas à teste mon porte monnaies, ce qui pourrait fort bien se retrouver regrettable si cela arrivait et étant tout aussi intelligent –à ma manière bien sûr- je n'avais qu'à soit;

1- Prendre quelque chose de léger.
2- Rien manger du tout.

Quoique je venais de ressortir du bar avant de tomber sur Yuka. Oh et puis, si j'avais une soif, je n'aurais qu'à prendre de l'eau, car être sobre durant le reste de la soirée –nuit- ne me ferait pas trop de mal, du moins, je le pense encore.

J'observai attentivement la jeune lycéenne se lever. Ne pouvant m'empêcher de détacher mon regard de tous les mouvements de sa robe. Ce qui m'arracha un bref sourire, je mentirais en disant que cela ne me plait pas. Mes yeux se détachèrent –à regret- lorsque Yuka finit de me verser de l'eau. À ce moment, je lâchai un bref "merci" et je pris le verre et le portait à mes lèvres pour étancher ma soif, quoique je ne fusse pas si assoiffé que ça. Heureusement que j'eu le temps d'avaler l'eau et de déposer le verre, car à ce que miss Yuk dit, le contenu aurait fort bien pu se retrouver sur la table et ç'aurait été vraiment, non mais vraiment très indélicat de ma part. 'Fallait croire que j'avais de la chance ce soir.

"Oh bien sûre," lui répondis-je sur le même ton, tout en reprenant une gorgé d'eau. "Mais, je pourrais très bien te retourné ce que tu viens de dire."

Sur ce j'eu un autre sourire, mais du style du "cheshire cat".

"Au fait, j'ai peu être la mémoire courte, mais il me semble que tu ne m'as toujours pas dit ce que tu fabriquais dans la ruelle, sauf mis à part molester le premier jeune homme qui passe dans le coin?"

Je repris une autre gorgée de mon breuvage lorsque je sentis quelque chose qui se trouvait être le pied -!?- de Yuka. Oh semblerait que la demoiselle veut jouer? J'allais répondre quand je fus interrompu par le serveur de tout à l'heure; à coup sûre venu prendre notre commande.

Il nous donna deux menus, puis sortie un carnet à note et un stylo en main. Et il nous observait tout deux sûrement dans le but d'avoir nos commandes. Il n'a peut-être pas du remarquer les jeux "sous table" de ma charmante petite lycéenne. Je pris l'un des menus et jetai un œil sur le contenu, pensant que Yuka fessait de même. Après quelques minutes, le serveur prit la parole:

"Alors, qu'allez vous prendre," dit-il sur un ton polie et aimable, parce qu'il y était obligé s'il aimait son travail, avec son stylo prêt à noter.

Avant de répondre, je reportais mon regard sur Yukyuk.

[Pas grave ^^ ]

Ce serveur, cette saleté de serveur, était arrivé un peu vite au goût de la Kunimoto. A se demander si les enfants de la nouvelle génération avaient déjà fêté halloween…Après tout, le but n’était-il pas d’embêter les divers magasins et restaurants jusqu’à ce qu’ils craquent et leur servent la totalité des bonbons cachés dans l’imposante soucoupe près de la table de la cuisine ? Il allait falloir les éduquer un peu mieux que cela si les « grands » voulaient pouvoir être tranquilles…

Pourtant, comme si de rien n’était, l’adolescente sourit au serveur qui lui tendait les cartes. Les mains blanches saisirent la reliure sobre, la déposant sur la table, presque comme si elle s’interrogeait faussement. Son sourire changea légèrement, donnant à son visage un petit air mutin que l’éclat de ses yeux à la lumière du restaurant renforçait, lorsqu’elle observa celui qui était sensé l’inviter pour ce soir.

Yuka n’était pas assez présomptueuse pour partir du principe que l’honorer de sa présence se devait d’être compenser dignement par n’importe quelle folie de princesse, dont ici, celle de réduire à néant les économies de monsieur Charmant. Par amusement personnel, la jeune fille laissait malgré tout planer le doute. Après tout, Kenneth n’était pas sencé savoir qu’elle venait d’un milieu assez modeste où, sans toutefois être pauvre, elle avait appris la valeur de l’argent. D’autent plus qu’au final, elle n’avait pas vraiment faim, alors, la meilleure solution était de commander peu, et de se faire réinviter plus tard…

« Une crêpe fourrée. » dit-elle tranquillement en rendant sa carte, au par avant feuilletée rapidement, au serveur.

On pouvait certainement trouver plus glamour pour un dîner. Anny, la si classe et si distinguée reine des glaces auraient probablement choisi autre chose, et ce, même si elle mourait d’envie de dévorer goulûment une crêpe. Mais, pas Yuka. Elle aurait eu envie de pâtes qu’elle aurait été tenté de prendre des pâtes à la bolognaise…c’était dire.
…

Quelques instants plus tard, une assiette fumante ainsi que la commande du jeune homme se retrouvèrent sur leur table. L’odeur enivrait à elle seule les papilles gustatives et notre gourmande la dévorait déjà du regard sans plus prêter attention à son interlocuteur. Elle souffla un simple « bon appétit » avant de saisir de ses doigts la crêpe que le serveur n’avait fait que emballer comme si elle était à emporter. Un peu de ce qu’elle contenait coula doucement sur les doigts de Yuka qui s’empressa de le porter à sa bouche pour le lécher, rencontrant enfin les yeux de son interlocuteur, ce qui eu le don de lui décrocher un sourire malicieux. Alors, elle ôta le doigt de sa bouche, quittant sa mine d’enfant au regard charmeur par son éclat de gourmandise.

« Tu veux goûter peut-être ? » demanda-t-elle malicieusement en se rapprochant de lui, coude sur la table, en position semi-assise.

On voyait de temps à autres les blondes plantureuses des films hollywoodiens adopter la même position mais, elles avaient un peu plus d’atout là où il fallait ce qui leur enlevait d’ailleurs toute candeur. Yuka, par ses airs encore enfantin par moment, la conservait quelque peu. Sa mine se fit cependant boudeuse lorsqu’elle constata que la position « sexy » n’était pas du tout confortable. Elle se replaça donc avant même que Kenneth n’ai pu croquer dans sa crêpe et poussa sa chaise, apparemment décidée à se lever. Le restaurant calme avait ses privilèges…

En deux enjambées, elle se retrouva aux côtés du blond, et sans scrupul, pris place sur ses genoux, un bras derrière le dossier de la chaise, toujours avec ce même sourire caractéristique aux lèvres.

« Fais aaaaah » le provoqua-t-elle comme une fausse petite amie trop impliquée.

La Kunimoto en profita mine de rien pour glisser quelques mots à l’oreille du jeune homme, tel un secret qu’elle souhaitait que personne n’entende:

« Ce que je faisais là importait peu puisque je suis ici maintenant non ? »

Niveau deux de provocation enclanchén, voyons si cela suffira....

Sans plus attendre, j'ouvris à mon tour ma carte, après tout que pouvais-je bien faire d'autre? Curieusement, c'est cette partie-ci que je redoute le plus lors d'une invitation. Allez savoir pourquoi. Je feuilletais le livrais à la recherche de quelque chose de moyen. Moyen en prix, et bon au goût. Par contre, je ne pu me retenir de jeter un regard à la dérobé à la jeune demoiselle devant moi, stressant peut-être à l'idée de devoir débourser plus que prévue. Bah, d'un côté, je n'avais rien prévu et pas fixé de budget. Et d'un autre côté c'aurait moins fait… attrayant disons. Parce que, qui invite une autre personne et lui dit: "okay, je t'invite, mais ce que ta commande ne doit pas dépasser tant". Personnellement, ça ne me donne pas envie de sortir avec la dite personne.

Je reportais mon attention sur la carte, à cette instant je cru voir l'esquisse d'un sourire sur les lèvres de Yuka, ayant déjà le menu face à moi, je ne pris pas la peine de vérifier. À vrai dire, même en feuilletant et en refeuillant, je ne trouvais toujours pas ce que je pouvais bien me mettre sous la dent. Je n'avais pas trop faim, aussi. Et puis, je redoutais la réponse de mon invitée. Lorsque celle-ci vint, je n'étais pas décidé, mais j'eu un soulagement. Comme un poids qui se retirait de mes épaules. Un soupire de soulagement intérieur. Bref, j'étais content. Pour ne pas perdre la face, je fis de mon mieux pour retenir ma joie. Et oui, il y en a qui son heureux en gagnant à la loterie et il y en a qui son heureux seulement en entendant un repas. C'est fou comme la joie vient rapidement s'immiscer. 'Faut pas oublier que je suis un gars à qui ses parents demandaient de rapporter les restes lorsqu'il était invité chez ses copains…

Par contre, je me demandais si c'était exprès ou si la jeune demoiselle n'avait pas si faim ou autre. Mais posé la question aurait été très déplacé surtout que le serveur était toujours là. Ce qui me fait penser que je dois répondre.

"Salade césar," fini-je par dire. C'était "cheap" et non original, au moins ceci faisait l'affaire. Je refermais la carte et la redonna au serveur qui finissait de noter sur son calepin, nos commandes. J'en profitai pour faire un sourire furtif à Yuka, me demandant ce à quoi elle pouvait penser. Après tout, qui sait ce qui se passe dans la tête d'une jeune lycéenne de nos jours?

Durant l'attente de nos plats, rien de notable ne s'était passé. Le même serveur que la veille vient nous apporter nos repas et fût aussitôt parti. Je regardai absentement la direction où il était parti. Je ne me retournai que lorsque j'entendis le "bon appétit" auquel j'y répondis un bref, mais courtois: "à toi aussi".

Puis je commençai à m'attaquer à mon assiette dès que je vis mon invitée le faire avant moi. Je tapotai le contenue de la pointe de mon ustensile, n'ayant pas encore touché au plat lui-même. J'étais plutôt concentré sur les actions de Yuka, qui lorsqu'elle rencontra mon regard m'arracha d'ailleurs un sourire. C'est drôle comment le sourire me venait facilement ces temps-ci.

Je trouvais sa proposition amusante, j'allais lui répondre, vraiment, mais lorsqu'elle se déplaça, sa nouvelle position me laissa pantois. Et mon instinct masculin prit le dessus. Je la regardai de haut en bas, de sa tête à sa poitrine. Et seulement ce geste me donnait l'air pervers et idiot. Mais! Il n'y avait pas de mais, en fait. Je n'avais toujours pas trouvé de réponse, ou plutôt, je n'avais pas cherché à n'en trouver une, qu'elle changea de position. Ce qui me laissa le temps d'arrêter de loucher brièvement sur la fine silhouette devant moi. Je la suivais du regard jusqu'à ce qu'elle ose prendre place sur mes genoux. Je n'en l'empêchai pas, plutôt amusé par l'audace dont fessait preuve la lycéenne. Au moins, jelle n'était pas un poids lourd. Je décidai de jouer le jeu et fit comme elle me le demanda:

"Aaaaaaaah."

Entre temps, je sentie le souffle chaud et humide entrer en contacte avec mon oreille.

"Si tu le dis, très chère. Oh et puis, non, tu as raison, ce n'est pas important," lui murmurai-je esquissant un sourire narquoi tout en levant ma main droite et m'amusant à la promener délicatement sur son dos, la pressant un peu plus près de moi. "Tu commences à jouer à des jeux dangereux."

[Encore bon anniversaire/ 'Espère que ça te convient/ 'Espère de ne pas se prendre un autre kiwi ._.]

Dis, dis, dis, on joue au papa et à la maman ?

Assise ainsi sur ses genoux, l’enfant n’était nullement honteuse. Là où les joues d’autres jeunes filles se seraient probablement colorées à une vitesse vertigineuse, celles de la blondinette conservaient leur pâleur naturelle, révélant ainsi que malgré cette main traîtresse qui parcourait son dos telle une vague caressante langoureusement et par intermittences le sable. Celle-ci remontait toujours plus haut, plus loin, se faisant aimé par le sable qui redemandait son amitié au moment om elle faisait mine de s’échapper pour mieux lui revenir.

Eux, ils étaient semblables à ce sable et à cette mer. Mais, qui était qui ? Là était la véritable question. Voyant qu’il ne cédait qu’avec une certaine réserve à ses jeux, Yuka sourit légèrement. Et, l’enfant fit manger sa « bouillie » au pré-adulte, inversant les rôles.

Avec des yeux pétillants de malice, la Kunimoto découpa, pour ne pas dire arracha, un morceau de sa crêpe, ajoutant un peu plus de sucre glace sur ses doigts déjà légèrement collants. Mais, lorsqu’elle voulu lui donner, il n’y eu bêtement pas que sa main qui fut salie de fourrage.

« Attends… » Lui intima-t-elle en passant son index au coin de la bouche de Kenneth pour récupérer ce qui aurait d’après elle une bien meilleure place dans la sienne.

Néanmoins, contre toutes attentes, cela ne semble pas la satisfaire. Avec une lenteur infinie, fixant son but sans même voir que les lèvres convoitées appartenaient en réalité à celui qui lui avait payé sa crêpe, ou, tout du moins allait le faire. Son visage glissa légèrement et sa langue entra en contact avec la peau du garçon, lapant au passage ce qui y restait avant qu’elle ne se redresse totalement, contente d’elle à en juger par son sourire.

« Il ne faut pas gâcher la nourriture. »

Son sourire révélait qu’elle s’amusait comme une enfant avec une barbe à papa, et, lorsqu’elle se lécha un par un chaque doigt avec une désinvolture calculée, celui-ci s’élargit un peu plus. Le serveur les coupa avant qu’elle n’ait pu reprendre la parole, écarquillant les yeux de surprise en apercevant la jeune fille sur les genoux de l’universitaire. Cette dernière se contenta d’afficher une mine faussement innocente et il du bien se résoudra à retourner précipitamment en cuisine, provoquant un léger rire chez la blondinette. Enfin, ayant reprit son souffle au bout de quelques interminables secondes, elle ajouta langoureusement :

« J’aime bien le danger….moins quand celui-ci me répond si peu… »

[selon ce qui t’arrange, vu comme j’ai galéré, je t’autorise à ce que sur ses mots elle regagne sa place, ou bien reste là où elle était. La longueur est ridicul...mais j'avais déjà assez attendu et rien de meixu n'est venu. >>]