How to be friends in 2.5 seconds? [Pv: Tweek]

[Note: So, if you ask why the dialogue are in Engrish (engrish coz' it's English with mistake OTL), it's coz I wanna pratice... And where can I pratice? Rp! Why rp? Bah who said you can't learn form role playing game? And Kenn's American so!

Suite de → "Perdu quelque part en ville"]

Si rapidement rencontrer, si rapidement quitté. Ma rencontre avec Matsumoto fut brève, mais amusante. Du moins, pour moi… Quoique d'un sens c'est assez chiant de rire d'une personne si fraîchement arrosée de café… Si ç'aurait été moi, j'aurais sans aucun doute égorgé vif mon cher ami Tweek. Ou peut-être pas. Le gars était gentil en lui-même. Pour le connaître, je le connaissais. Ayant vécu la moitié de ma vie avec le gars, comment aurais-je pu passer à côté de sa personnalité colorée? Bah… On a tous des personnalités colorées au Colorado…

Bref, on avait placoter un peu avec Tweek, raconter les bases, pourquoi t'es là? Hey mais tu n'étais pas pauvre? Toi n'avais pas un café avant? T'es parents t'ont abandonné? Question bizarre, mais c'est quasiment naturel pour nous. Fessait combien de temps que je n'avais pas vue Tweek? Deux ans, je crois. Et je savais déjà tout de lui. Expressionellement (nouveau mot, woohoo) parlant. Son amour pour le café, son addiction pour le café, sa passion pour le café, sa caféïnétude… Je crois même qu'il va faire des études dans le café… Plus accro que lui, tu meurs. Notre petit blabla avait prit une bonne demi heure avant que nous en venions au point important. Je lui dis que j'avais un appart', gracieuseté de Tak' et que j'étais seul. Mettez deux plus deux ensemble et ça donne la réponse. Je lui avais proposé de venir avec moi. Et mettez vous à la place d'un type aussi nervosité que Tweek. Être avec Kenny, ou une bande d'inconnu qui son peut-être amis avec des gnomes voleur de slips? Kenny ou gnomes… Kenny… ou… Gnomes?

La réponse était moi.

Donc je l'avais conduit à mon appartement qui n'était pas trop loin. Tweek m'avait suivi sans trop de problème. Je lui avais dit qu'il se prendrait une baffe s'il rechignait… Rendu devant la porte de mon appart, j'y passai la clé et l'ouvrit. Curieusement, vous pensez qu'on gars comme moi laisse tout trainer, bah z'avez pas tord, mais l'appartement en elle-même était propre. Qui aurait cru que moi, Kenny McCormick, prenait aussi soin d'un logement? Bah personne… Bref, l'endroit était nickel. La porte donnait la vue sur le salon. À droite, il y avait une petite cuisinière et à gauche la porte d'une chambre –la mienne. Je poussai plus la porte pour laisse repasser Tweek et quand le jeune homme eu passé, je la refermai. Je parlai en anglais. Je suis Américain et Tweek l'est aussi, et parler toujours en japonais épuise…

"So, this one" dis-je en pointant la chambre de gauche en face de la cuisinière, "it's my bedroom, okay?" J'ouvris la porte pour lui donner la vue sur ma chambre, elle était en désordre, mais qui s'en préoccupe?

"You can take any of the two rooms left." Je pointais celle à côté de la mienne. "This one," et je pointai celle d'à côté, "and this one, just feel free to take any of them."

J'allais m'assoire sur le divan à quelques pas de la porte, attendant que Tweek s'installe.

[It's kinda short, but it's a start so =3]

[Erf, moi, je n’écrierais pas en anglais, Tweak est une pie quand il est stressé et déjà que mon anglais est pourrave… >> Alors, je vais l’écrire en français mais, normalement, quand il parle à Kenny, c’est en anglais]

# Afin que tous ceux qui désire lire le RP puissent vous comprendre, il serait bien mieux d'écrire en français et de préciser, entre crochet par exemple, avant la phrase que vous parlez en anglais =) Aaaah 'Kay, c'notez (Ah bah tient, y'as des personnes qui lisent notre topic O_O)

On s’éloignait de plus en plus du pauvre type maintenant solitaire, le laisser seul me faisait quelque chose. Je tentai de l’oublier et regarda Kenny, je lui tenais toujours la main… Ça semblait « gay », je le lâchai sans le regarder. Il y eut un grand silence avant qu’un d’entre nous se décide à parler et c’est Kenny qui commença par me demander si j’avais trouvé un appart… Je lui répondis non. Fait surprenant, il me proposa de venir chez lui. J’avais presque peur de lui dire « Non, merci je vais me trouver un appart’ tout seul » parce que je suis sûr que son appart’ ressemble au ghetto qui lui servait de maison avant… Il y avait des rats et il ne mangeait que des gaufres surgelées pour petit déjeuner. Bien sûr cela doit avoir changé mais je n’ai pas vraiment de maison non plus, refuser son offre serait assez fou de ma part. Je devrais coucher dehors, dans un parc ou dans un hôtel et ça ne me dit vraiment pas. J’accepta d’un simple signe de tête, on se rendit à son appart où il déverrouilla la porte me laissa entrer et entra à son tour en refermant la porte. Je regardais autour, bizarrement il n’y avait pas de restant de nourriture ici et là et l’air était respirable, on n’avait pas besoin d’un masque à gaz pour y rester. Il y avait quelques trucs qui traînaient mais c’était normal, il ne peut pas être parfait non plus. Gawd, un Kenny parfait, où a-t-on vue ça ?

Je m’avançais, en faisant attention où je pilais mais par terre aussi il n’y avait rien hormis un tapis pour faire plus propre. Décidément, il avait aussi changé côté caractère ; il était devenu plus propre et semblait savoir se laver maintenant. Quoique, avant, chez lui, ses parents ne devaient sûrement pas avoir les moyens pour payer l’eau… Ça se paye de l’eau ? Peu importe, ce qui était essentiel c’est que je pouvais me rassurer en me disant que je ne coucherais pas dans un taudis. Je remarquai que la cuisine était à côté, la première chose que je cherchai était une cafetière, une boulloire, n’importe quoi qui pourrait servir pour se préparer du café. Le mien était froid et du café froid est moins bon que du café bien chaud… Je regardais au bout du comptoir, au milieu puis, près de l’évier. Enfin, elle était là, une belle bouilloire noire, pas encore cassée et propre. Je couru vers elle et fit couler de l’eau dedans, jetant par la même occasion mon vieux café froid dans l’évier. J’appuya sur le bouton pour qu’elle chauffe et attendit à côté, zieutant le moindre mouvement de l’eau, la moindre bulle. J’étais en train d’oublier Kenny, lui demander s’il avait une cafetière était plus rapide mais bon, l’eau était déjà dans la machine et elle était en marche.

Kenn’ se dirigea vers moi et pointa une des chambres et m’expliqua que c’était la sienne. Il alla ouvrir la porte et je le suivis. Elle était en désordre mais toujours respirable, quelques magazines de PlayBoy traînaient sur le sol, sur les bureaux et sur son lit. Il y en avait un qui était ouvert sur une image assez spécial, je détournai le regard et sorti de la chambre. Il me montra du doigt les deux autres portes qui restait et m’expliqua encore une fois que je pouvais prendre celle que je voulais, n’importe laquelle, étant donné qu’il habitait seul. Je hocha la tête et retourna vers la cafetière euh, bouilloire. Elle s’était arrêté toute seule, sûrement que l’institut est assez riche pour nous payer une nouvelle bouilloire dernier cri. Je me tournai vers Kenny qui s’était assis sur le canapé.

- … Gah ! Tu as du café, s’il te plaît ?

Il me prendrait plusieurs jours avant de m’habituer chez lui. Je me retournais et fouilla un peu dans les armoires. Je n’eu pas trop besoin de son aide finalement, je trouva le café tout seul, je sorti une cuillère dans un des tiroirs et versa du café dedans. Je lavai ma tasse, je ne pris même pas la peine de la sécher et je déposai mon café dedans et ensuite l’eau bouillante. Je brassai tout en ajoutant un peu de sucre. Je vidai la bouilloire et la remis à sa place. Je pris une gorgée de mon café et regarda Kenny. J’allai m’asseoir auprès de lui sur le canapé. Il était dur mais à la fois confortable et bon, je n’avais pas à me plaindre puisque je n’étais pas chez moi. Je n’osais pas le regarder en face alors, je fixais mon café. Je cherchai discrètement la télécommande sur le divan, évitant le regard de mon nouveau colloque. Je finis par la trouver et j’ouvris la télévision. Mais finalement, je m’aperçu qu’il était déjà cinq heure et demi et je devais préparer ma chambre avant de dîner. Je me levai, apporta ma tasse de café avec moi et me dirigea vers la porte où j’avais laissé mes bagages juste devant avant de me précipiter vers le comptoir pour me faire du café.

Je décidai de prendre la chambre près de la porte, presque en face de la cuisine. Pendant un moment, j’hésitai entre celle au fond en avant du salon – plus facile pour aller à la toilette – ou rester devant celle de la porte d’entrée… Si je choisirais celle près de la sortie, ce serait plus vite pour le matin, me faire un café puis partir pour l’université. Et si je prendrais celle loin de l’entrée mais près de la salle de toilette, ce serait plus rapide pour aller me laver le matin et faire tout les petits trucs matinaux essentiels à faire chaque matin et ensuite, aller prendre mon café… Je fis un pas en avant, un pas en arrière, hésitant. Je continuai mon chemin, bagage en mains, près pour aller vers la chambre du fond. L’accessibilité pour la salle de toilette de matin avant Kenny avait gagné. J’entrai dans ma nouvelle chambre, il n’y avait qu’un lit, deux commodes, un « garde-robe » et quelques mottons de poussière par-ci et par-là. Faire le ménage ne me disait pas pour l’instant. Je déposai mes vêtements dans les tiroirs d’une commode. L’autres n’allait sûrement pas servir, pas maintenant en tout cas. Je plaçai aussi quelques photos en souvenir des histoires bizarres qui s’étaient passés pendant qu’on était à l’école élémentaire de South Park. Craig me manquait un peu mais bon, après tant de temps j’avais « réussi à tourner la page ». Je n’ai jamais osé lui envoyer une lettre d’ailleurs, craignant qu’il s’en balancerait. Une fois mes affaires installées, je retournai voir Kenny. Je devrais socialiser un peu avec lui, question de mieux m’habituer à vivre avec lui… … … … Qu’est-ce que j’attendais pour lui parler ? Ce n’est certainement pas un gars comme lui qui allait me faire peur ?… Bon, en faite, si. Il avait lâché le japonais pour de l’anglais. C’est évident, parler presque toujours en japonais doit être soûlant à la longue. Alors je fis de même.

- Gah ! Tu te souviens quand tu as, toi et tes amis, fait pipi sur la prof de maternelle pour tenter d’éteindre le feu ? Oh seigneur, vous avez failli tuer cette femme ! Ça ne vous aurez pas dérangé plus que ça d’avoir causé la mort d’une personne ? D’ailleurs, je me demande d’où le feu était venu… Vous aviez dénoncé Trent pour ça. GAH ! Je me demande s’il va bien et s’il vous a oublié. Je ne veux pas le voir venir à l’appartement juste pour te tabasser ! Qu’est-ce que je ferais moi ? Qu’est-ce qu’il me ferait ? Aargh ! Too much pressure !

# Si on pouvait éviter les smileys dans les paroles ... Merci ^^ (Hai, m'dam ._.~)

Je venais de refermer la porte de ma chambre lorsque j'entendis la bouilloire siller. Tien, y'avait une bouilloire à l'appart'? J'habite là depuis que je suis entré à l'université, donc, c'est encore tout récent et je n'ai pas encore pris le temps de faire le tour de tout ce qu'offrais ce petit appart'. Quoique j'aurais du au lieu de sortir… Il est vrai que la plupart du temps je n'étais pas là, explication pour le manque de ménage, si je puis dire. Pendant que j'y pense, quand Tweek s'était dirigé vers la dite bouilloire? Il me semble ne pas l'avoir vue… Bah, sûrement un des supers pouvoirs que l'on dégote quand on devient trop dépendant d'une substance illicite ou non. Peut-être que le blondie se drogue…

À sa question sur le café, je me contentais de hausser des épaules. "Dunno, maybe?" Je n'étais pas fana du café, pour être franc. Mon truc à moi était la bière ou l'alcool, donc. Je passais plus mon temps ans un magasin d'alcool que dans un magasin de café. J'étais allé m'assoire sur le canapé, rapidement, je changeai de position pour me retrouver à genou sur la surface du divan. Dos à la télévision et les bras appuyer sur le rebord du divan. Tête sur le rebord, j'observais Tweek d'un air mi-las, mi-amusé. À peine arrivée qu'il faisait comme s'il était chez lui. Je ne lui en voulais pas, à sa place, j'aurais sûrement fait pire et j'n'aurais pas demandé la permission pour rien. Je le dévisageai se verser de l'eau, y ajouter le café et puis le sucre. Voyant qu'il ne mettait pas de lait, je me rappelais qu'il y en avait plus… Chose à faire; acheter du lait et faire les courses, plus magasiner. Finalement, blondie se décida à venir sur le canapé, je me remis en position assise tout en l'observant. Monsieur prenait soin de ne pas faire de contacts visuels avec moi. Pourquoi?

Je le regardais avec un regard "genre". Puis il ouvrit le téléviseur et fut aussitôt partie… Wah, l'hyperactivité à son maximum. Je pris la télécommande et zappai les chaînes l'une après l'autre. D'un regard désintéressé, je n'arrivais pas à me concentré et à vrai dire, la télé ne me semblait pas aussi attirante que…

Je me levai d'un bon et jetai sans ménagement la télécommande sur le divan, ne me souciant guère si elle avait pu tomber et se briser. Je jetais un regard dans la chambre de Tweek. Il rangeait. Quoi d'autre? Puis je filai à la mienne et l'ouvrit une fois de plus. Je jetai un regard sur le fouillis. Vraiment, un de ses jours, un bon ménage s'impose. J'allais jusqu'à mon lit et me laissai tombé dessus, puis je me hissai pour pouvoir atteindre la commode qui était sur le côté gauche. J'empoignai mon Keitai et le mit dans la poche de mon parka. Sans faire trop attention au playboy qui était jonché sur le lit, je me dé hissai pour atteindre de nouveau la porte. Je jetai un regard en coin à ma chambre et remarquai un magasine qui voulait tomber de mon bureau. J'allai le prendre et sorti –je n'avais pas allumé la lumière. Je traversai le salon pour reprendre ma place initiale sur le sofa. J'ouvris le magasine et commençait à le feuilleter, le retournant dans tout les sens, le faisant tourné à quatre-vingt-dix degrés, à cent quatre-vingts degrés. Puis, je baissai le magasine lorsque je sentie une petite secousse provoquée par les fesses de mon nouveau coloc' se poser sur la fabrique du divan. Il avait encore de la misère à poser son regard sur le mien. Pour ma part, je m'amusais à descendre la magasine lorsqu'il ne me regardait pas et de le remonter quand il me regardait. Très amusant au passage. Pour moi…

Quoique je me demandais pourquoi il n'osait pas me regarder. S'il continuait ainsi, j'allais le prendre comme une insulte personnelle à mon physique… Après tout, je ne suis pas si moche, même que je suis plutôt sexy… Je passais la langue sur mes dents de devant, avant de prendre la parole. Je fus malencontreusement coupé dans mon élan lorsque Tweedle Tee se décida à briser la glace. Je lre regardai avec une expression du genre "tu te souviens de ce genre de trucs et même pas la date de mon anniversaire?". Il en avait du culot pour reparler de mon pseudo meurtre à base semi volontaire. Pauvre mademoiselle Claridge… Pour ma défense, j'avais que cinq pommes… Et c'était marrant… Pour moi. Mes amis. Mais pas la prof. Aujourd'hui, elle est probablement morte. Restée infirme une bonne partie de sa vie. Par ma faute. Duh…

"J'avais cinq ans, Tweak… Mais avoue, s'était marrant!," je ne pu m'empêcher de sourire, je reniflai et poursuis. "Parlent de Trent, il est sûrement le type qui m'a agressé l'année de l'année de l'année passé… Heureusement que j'avais mon don," ai-je fini plus pour moi-même.

Je déposai mon porno sur le rebord du sofa, et recherchai pour la télécommande. "Si tu ne la regarde pas, je l'éteins." J'enfonçai le bouton off. Apparemment, nous allions discuter encore.

"T'es pas mieux, monsieur 'j'ai peur que des créatures imaginaires me volent mes soutifs, gah!'"dis-je avec un sourire qui se voulais narquois, enquiquineur, plus je lui donnai un pain. "Au fait, c'quoi ton don?"