Coup d'oeil sur un jeu de tarrot ? [Pv Chouchou ] [NA]

Zuka avait décidée de prendre une petite pause, pas réellement qu’elle en avait besoin mais elle avait un peu envie de se dégourdir les jambes, ainsi elle se dirigeait vers sa grande fenêtre, de là, elle pouvait voir la cour ainsi que les divers élèves qui n’étaient pas en classe. Pas qu’ils manquaient le règlement mais en vue de la journée d’orientation, les cours avaient été annulés pour les lycéens ainsi que les universitaires. La secrétaire ouvrait sa fenêtre pour laisser un peu d’air frais rentrer dans la pièce qui gardait une froideur polaire grâce à son aura mais il se trouvait qu’en réalité la chaleur avait bien pénétré dans les lieux. Encore une chaude journée de Mai, l’été prévoyait d’être particulièrement étouffant cette année au grand drame de la brune qui n’aimait vraiment pas la chaleur ni même l’astre de jour.

Alors que la bureaucrate s’écartait de sa fenêtre, maintenant grande ouverte, elle était prête à rejoindre son bureau mais elle fut quelque peu forcée de se retournée. Ce n’était pas que son horloge indiquait qu’il serait 14h15 bientôt, donc l’heure de rendez-vous de l’élève mais elle n’avait pas rêvé le son qui oscillait entre ‘’PAF’’ ou ‘’SPLOSH’’. La cause de ce bruit des plus étranges ? Un moineau gisait maintenant sur le sol de sa ‘’pièce privée’’. Le plus gros son devait certainement au moment où il se prenait la vitre de plein fouet. La Japonaise n’était pas superstitieuse ainsi elle n’y voyait aucun mauvais présage dans l’acte de stupidité du volatil, cependant même si ce n’était pas une femme sans cœur, elle se sentait plus concernée par la grosse tâche sur sa vitre que sur l’animal qui bougeait faiblement et faisait des petits bruits, donc il était vivant, parce qu’elle allait devoir faire venir une femme de ménage et celle de l’Académie était un peu dans le genre fouineur. Elle devrait donc perdre du précieux tant dans son bureau, juste pour la surveillée !

La bureaucrate s’avançait un peu vers le tas de plume, elle ne savait pas réellement ce qu’elle pouvait faire pour lui, sachant pertinemment que si elle prenait l’animal dans ses mains ou même l’effleurait celui-ci aurait vécu ses derniers instants dans son bureau. Même s’il avait le cerveau de la taille d’un petit pois, il ne méritait pas d’être tuer aussi douloureusement tout simplement parce qu’il était tombé sur la mauvaise personne. Elle était là à se torturer de savoir ce qu’elle pourrait faire que la porte de son bureau s’ouvrait soudainement, elle avait complètement oublié l’heure, elle n’avait peut-être pas entendu qu’on frappait à la porte puisque c’était Hanael qui venait de l’ouvrir. Sur le seuil de la porte, le jeune homme qui avait rendez-vous avec elle.

- Monsieur Shouheki veillez venir ici ! Ordonnait la bureaucrate alors que finalement elle savait comment se débarrasser de son fardeau à plume, il suffisait que ce soit le lycéen qui s’en occupe. Celui-ci était à peine à sa hauteur, qu’elle faisait un pas de côté, pour lui montrer le volatil.

- Pouvez-vous vous en occuper ? Demandait-elle de sa voix austère qui ne la quittait jamais. Ne pouvant quand même pas rester sans bouger ni même rester dans cette situation qui était quelque peu tendue, elle lui donnait un second ordre alors qu’elle remontait l’allée.

- Une fois que cela sera fait, venez me rejoindre à mon bureau. Sans un mot de plus ni même un regard vers le moineau, elle rejoignait son domaine, là où elle était le plus à l’aise, son royaume glacée.

Kouen avait reçu une convocation pour la journée d'orientation de la part de Suzaharu-san, la secrétaire. Il n'avait jamais vraiment eut de discutions avec elle ni même d'autre échange que des salutations rares, et donc ne savait pas vraiment à quoi s'attendre. Il avait juste entendu dire qu'elle était plutôt froide, mais il éviter de prendre les rumeurs ou les dit-on pour des vérités, pensant qu'on ne pouvait se faire une opinion d'une personne qu'en la connaissant.

Arrivé il s'était assis sur une chaise dans le couloir. c'est là qu'on lui avait demandé pourquoi il venait. Quand il avait répondu, on le conduisit jusqu'à la personne concerné. La secrétaire le regarda un instant avant de lui demander de venir. Un peu intimidé, il s'avança et suivit la direction indiqué. Un pauvre oiseau qui venait de s'écraser contre la vitre gisait au sol encore vivant, mais grièvement blessé.

- Pouvez-vous vous en occuper ?

A cette demande un peu austère, il répondit immédiatement bien qu'il se demandait comment il allait faire :

-Oui Madame.

Un autre ordre sonna alors de la part de la femme. Elle lui demandait de le rejoindre dans son bureau une fois qu'il en aurait finit avec l'oiseau. Là elle se retourna sans rien ajouter de plus. Le lycéen se rapprocha du petit moineau. Il appréhendait de le toucher de peur que se ne fut fatal, mais le temps pressé pour lui. Il n'avait que deux choix, le soigner au risque de le faire souffrir pour rien, ou bien le tuer pour qu'il meurt sans plus de douleurs. Ce moineau été encore petit il n'avait même pas vécu qu'il devait mourir? Kouen ne pouvait se résoudre à la deuxième option, et prit le risque de la première en s'excusant à voix basse :

-Pardon, petit oiseau, ça va faire mal.

Le toucher directement étant trop dangereux, il prit le mouchoir propre qu'il avait enfilé dans sa poche le matin même, et commença à utiliser son don. Il créa une petit barrière qui entoura l'oiseau avec le bout de tissu, tout doucement et sans lui faire trop mal. Puis il déchira un bout de sa manche, et relâcha la barrière. Le moineau se trouvait à présent sous le mouchoir, et se fit bandé par le jeune homme. Une fois le bandage finit, il refit la barrière, la mit le plus délicatement possible dans sa main et se releva doucement.

Il serais bien aller dans sa chambre pour arranger mieux les choses mais il ne pouvait pas abandonné son rendez vous. Il garda donc la petite chose dans ses mains et alla dans le bureau en faisant attention à ses moindres mouvements. Quand il toqua à la porte la protection se remit en mouchoir. Les barrières de Kouen ne durait pas longtemps, et il pour les faire durer, il fallait qu'il soit concentré dessus, ce qui ne lui facilité pas la tâche.

Quand elle l’avait vu arrivée les mains l’autre contre l’autre mais pas refermés, elle avait de suite sût, qu’il avait apporté avec lui l’oiseau. Elle aurait poussé un soupir si cela avait été dans ses habitudes. L’élève restait quand même sur la séparation du bureau à son salon privé, comme s’il n’avait pas eu la permission d’entrer juste avant. Il était vrai que cela ne devait pas être facile de se mouvoir quand on portait quelque chose, mais il ne gravissait pas le mont olympe, juste les trois marches entre son bureau et la pièce de détendre, en plus il ne portait pas 50 kilos dans le dos, 50g devait être le poids maximum.

- Venez vous asseoir ! Ordonnait-elle d’une voix un peu plus sèche qu’habituellement, elle se demandait quand même pourquoi il gardait encore l’emplumé avec lui, c’est sûr qu’elle ne croyait pas qu’il le tuerai, sinon elle aurait très bien pu le faire elle-même mais cependant, il aurait pu aider à reprendre simplement son envole.

Une fois que l’ami des bêtes arrivait à un des fauteuils en cuir ainsi que se soit assis, comme elle lui avait demandé quelques instant plus tôt, la secrétaire qui jusque là, n’avait pas encore poser son regard sur le jeune homme, encrait ses yeux ébènes sur lui.

- Je croyais que vous deviez vous en occuper ? Demandait-elle enfin elle lui faisait plutôt une remarque sur un ton loin d’être amicaux, Zuka avait rapidement levé la main, dans un signe ‘’stop’’ car elle ne voulait recevoir aucune excuse ou explication de son ‘’invité’’ juste signaler que celui-ci n’avait pas fait, ce qu’elle aurait voulu, qu’il fasse…se débarrasser du moineau.

Il était sûr qu’elle ne voulait pas qu’il l’ai tuer mais cela ne la rassurait pas que celui-ci soit quand même sur son lieu de travail, surtout s’il s’oubliait sur son magnifique tapis.
Après un long moment de silence, lourd, elle tirait à elle le dossier de l’ami des animaux, ses yeux ne quittant pas sa victime.

- Vous avez une idée d’avenir ? Déclarait-elle d’un coup, comme d’autre laisserai une bombe bien que pour la plupart des adolescents, cette question faisait énormément de dégâts et pouvant être comparé à l’arme.

Il se demandait pourquoi il n'y avait pas pensé avant. Dès qu'il aurait finit, il irait voir Nakao, son colocataire qui avait un pouvoir de guérison, et lui demanderait de l'aide. Mais en attendant il était ici dans ce bureau, et même préoccupé pour l'oiseau comme il l'était, la voix de Suzaharu-san ne pouvait que le préoccupé d'avantage sur le moment.

- Venez vous asseoir !

Elle n'avait pas l'air de bonne humeur, à moins qu'elle ne l'appréciait pas... Dans les deux cas, il ne pouvait que se tendre, se détâcher le pls possible de la situation.

- Je croyais que vous deviez vous en occuper ?

Parlait elle de l'oiseau? Et bien il s'en était occupé, c'est ce que l'on dit en général quand on fait ce qu'il avait fait. Mais peut être que ce n'était pas ce qu'elle entendait par là... sûrement même. Mais comment aurait il put faire autrement? En même temps, le ton prit lui faisait comprendre qu'il avait fait une erreur, même si lui ne le sentait pas comme ça. Il eut même envie de s'excuser et peu être aussi de s'expliquer bien qu'il se demanda s'il aurait put le faire comme il faut et sans énervé d'avantage la secrétaire. Mais là aussi, elle le stoppa net d'un mouvement de la main qui incité au silence. Kouen n'avait pas eut le temps de commencera essayer de répondre qu'il dut s'arrêter de réfléchir à ça.

Un silence s'installa, et de ses yeux ébènes, elle le regardait, ne le lâchait pas des yeux. Il ne pensa pas à dire quelque chose pour stopper cette ambiance. Il sentait que c'était elle qui dirigeait et que tant qu'elle ne s'adresserait pas à lui, il n'aurait pas le droit à la parole. Il se tut donc, mais ne put s'empêchait de détournait les yeux, gênait par cette fixation. Il essayait de se relâcher mais n'y arrivait pas, enfin le silence fut rompu :

-Vous avez une idée d’avenir ?

Le jeune homme regarda de nouveau la conseillère d'orientation et répondit pas très fort:

-Euh...pas vraiment...

Il était vrai qu'il n'y avait jamais réfléchit sérieusement et en profondeur. Il y avait bien penser parfois, mais rien ne lui était venu à l'esprit et il n'y avait plus penser. Il n'avait pas vraiment de rêves, de but dans la vie. Il se laissait aller au rythme des jours et du temps qui passe, sans penser ou imaginer l'avenir.

Zuka n’était même pas étonnée quand l’adolescent devant elle, lui affirmait n’avoir aucune idée d’avenir. Ce n’était pas le premier d’une longue liste ni le dernier malheureusement. Elle se demandait tout de même, qu’est ce qui rendait les jeunes ainsi ? La plupart était au sein de l’Académie depuis des années et pourtant aucune perspective ne leur venait à l’esprit. Il était vrai aussi qu’au vue de l’exemple que représentait les professeurs, peu d’entre eux prenait cette voix tandis que les pions étaient souvent les clown de l’établissement ou encore mal considérer par les élèves. Etes-ce parce qu’ils vivaient dans une bulle ou la démotivation était ainsi partout dans le milieu scolaire ?

La secrétaire laissait finalement cette idée de côté et regardait les résultats ainsi que les remarques dans le dossier du jeune homme en face d’elle. Celui-ci ne denotait pas d’une une quelque conque matière et elle ne savait pas si c’était avisé de l’orienté vers les études vétérinaires ou même vendeur d’animaux.

- Quels sont vos loisirs ? Avez-vous une matière ou une chose que vous aimez faire ? Demandait pour la énième fois la secrétaire alors que ses yeux en iceberg fixait son visiteur.

[Désolée pour le retard et la petitesse de se rp ]

Aucune réaction à l'annonce de Kouen. Ce devait être parce qu'elle s'occuper de l'orientation de beaucoup de jeunes, et que d'autre que lui ne devait avoir aucune idée. Après tous c'est souvent ce qu'il arrive quand on ne pense pas à l'avenir. C'était d'ailleurs son cas, enfin disons qu'il y pensait mais qu'il pensait aussi qu'il suivrait le courant de toute manière et qu'on verrais bien le moment venu pour la suite. On pouvait dire qu'il vivait au jour le jour. Il avait toujours les yeux à moitié baissé, n'osant pas regarder la secrétaire qui n'avait pas l'air de le porter dans son cœur. Ça le gênait un peu, car il n'aimait pas donné mauvaise impression aux gens, mais il ne savait vraiment pas se qu'il pouvait faire pour ça. Il ne lui restait plus qu'à attendre les questions qui devait arriver pour sortir quelque chose au clair :

- Quels sont vos loisirs ? Avez-vous une matière ou une chose que vous aimez faire ?

Euh...Qu'est ce qu'il aimait faire? Et bien...prendre soin de ceux qui l'entoure, mais ce n'est sûrement pas utile pour trouver une orientation..? Sinon il aimait lire et s'instruire. Apprendre toujours de nouvelle chose sans se préoccuper de savoir si ce serais utile ou pas dans l'avenir. Lire sans se préoccupe du temps en entrant dans des mondes différents, en rêvant en revêtant la peau de quelqu'un d'autre quand il s'agissait d'histoire. Y avait il autre chose? Pendant l'animal café il avait apprécié de faire toutes ces pâtisseries. Après avoir réfléchit rapidement s'il n'y avait pas autre chose il répondit finalement :

-La lecture et puis...la cuisine.

Il ne lui semblait pas q'il y ai d'autre chose qu'il lui plaise vraiment, mais comme il n'avait pas tout expérimenter non plus...

[pas de problème je n'ai pas fait beaucoup mieux...:]

Zuka se demandait pourquoi aucun des élèves ne pensait pas directement à leur loisirs ou du moins dans les domaines dont ils étaient les plus doués pour orienté leur avenir. Parce que jusqu’ici la seconde question avait toujours eu réponse ou du moins une orientation vers une réponse. Elle avait à présent deux cartes en main pour l’avenir du jeune homme devant elle, la cuisine ou la lecture, elle l’aurait bien vu comme vétérinaire puisqu’il semblait particulièrement aimé les animaux. Enfin, elle n’était pas là pour leur faire passer un test d’orientation mais de lui trouver une vraie possibilité d’avenir. Maintenant elle devrait voir qu’elle des deux voies, elle allait devoir creuser pour le garçon.

- Etes-vous plus alaise dans une bibliothèque que dans une cuisine ? Demandait-elle avec tout le sérieux qu’elle disposait parce que c’était la réponse à cette question qui allait orienter l’avenir de l’argenté.

Elle avait l’impression d’avancer au compte goutte ; pourquoi aucun élève ne pouvait-il pas s’asseoir devant son bureau puis déballer son avenir pour repartir aussi sec ? Etes-ce l’école elle-même qui créait tous ses gosses sans la plus petite perspective sans les avoirs aiguiller auparavant ? Ou alors c’était dans la nature de cette génération ?

La secrétaire pris en compte sa réponse et posa à nouveau une autre question. Allait elle posait des questions tout le temps? Mais c'est vrai que seul lui avait les clefs pour savoir qu'elle orientation prendre, donc il fallait bien qu'il réponde à certaines interrogation... :

- Êtes-vous plus à l'aise dans une bibliothèque que dans une cuisine ?

Il savait sa réponse pour une fois, et n'hésita pas avant de répondre le lieu qu'il préférait :

-Dans une bibliothèque je pense...

Une cuisine c'est agréable parce qu'il y a des pleins d'odeurs différentes, parce que tous les sens sont en éveil, parce que faire la cuisine surtout quand c'est de la pâtisserie, c'est agréable, mais, une bibliothèque... c'est tout autre chose. Le calme, l'odeur du papier et de l'encre, le bruissement des pages qu'on tourne, les couvertures en velours, en cartons, en plastique; souple ou rigide; rouge verte, noir... Les gens réunit ou seul qui étudie ou se distrait...Tous cela crée une ambiance toute particulière, et très agréable à ses yeux. Mais le plus important c'est l'intérieur des livres, et les trésors qu'ils contiennent. Et puis dans une bibliothèque il n'y avait une diversités culturels plus importante que dans n'importe quelle lieu. Surtout au niveau des livres qui pouvait parler de tout et n'importe quoi, ainsi qu'avoir des livres en langues différentes, mais aussi par les personnes qui les fréquentait qui venait justement pour cette diversité, parfois pour emprunter un livre à lire à l'école, d'autre fois pour étudier un sujet ou faire un exposé, d'autre fois encore pour lire. Et quand c'est juste pour lire on retrouve la diversité des différents styles, des différents genres, des différentes langues ect Mais il commençait à s'égarer dans ses pensées et ses livres, il fallait écouté ce que disait Mlle Suzaharu pour continuer l'entretien.

Zuka touchait au but, elle savait maintenant vers quel avenir pourrait se dirigé le jeune homme. Bien entendu, elle savait que côtoyer et travailler était deux choses différents. Elle réfléchissait comment elle pourrait faire tranché le garçon vers la voie qui pourrait être la sienne, quand une idée lui traversa subitement l'esprit. Elle allait pouvoir faire en sorte que les deux éléments se regroupent dans un laps de temps plus ou moins cours qui plus ai.

La secrétaire tirait de son tiroir une des innombrable fiche de couleur que n'appréciait pas tellement les membres du personnel, une autorisation. Cela réduisait leur pouvoir sur les élèves ou plutôt sur un élève, il ne dépendait plus que de la juridiction de la secrétaire elle-même !
Elle plaçait la fiche de couleur dans une parchemine puis la tendait a l'argenté tout en lui expliquant se que lui prodiguait ce petit morceau de papier.

- Je vais vous donnez l'occasion de travailler dans les deux endroits de votre prédilection. Ainsi d'ici septembre j'aimerai recevoir votre réponse précise de votre avenir. Commençait-elle à expliquer tandis qu'elle se replaçait convenablement dans son siège.

- A la fin de l'année scolaire, il y aura un festival. Je vous conseille de faire quelque chose en rapport avec la cuisine ou encore des livres. Je vous ai également fourni une autorisation pour travailler à la bibliothèque pendant les vacances. Vous repasserez ici en septembre pour me confirmer votre orientation. Concluait la brune

Elle notait se qu'elle venait de dire dans le dossier du jeune homme devant elle, elle soulignait bien le faîte qu'elle devait le revoir en septembre. Elle attendrait que le lycéen soit sorti pour également l'encoder dans son Keitai, pour ne pas oublier le rendez-vous.

- Vous avez des questions ? Sinon vous pouvez disposer

Après l'avoir regarder une fois encore, elle sortit d'un des tiroirs de son bureau une fiche. Mais cette fiche était contrairement à ses sœurs de couleur. Ce devait avoir une signification que Kouen ignorait car il n'en avait jamais eut besoin, ni vu. La secrétaire ne tarda pas à lui expliquait son sens :

- Je vais vous donnez l'occasion de travailler dans les deux endroits de votre prédilection. Ainsi d'ici septembre j'aimerai recevoir votre réponse précise de votre la fin de l'année scolaire, il y aura un festival. Je vous conseille de faire quelque chose en rapport avec la cuisine ou encore des livres. Je vous ai également fourni une autorisation pour travailler à la bibliothèque pendant les vacances. Vous repasserez ici en septembre pour me confirmer votre orientation.

A ce moment là, il ne se douter pas que sa rencontre avec Shin il n'y a pas si longtemps, l'aiderai à faire ce que la secrétaire demandait pour le festival. Il hocha la tête en signe d'approbation. Il ne devrait pas tardé à aller à la bibliothèque, même s'il y passerais forcément tôt ou tard, et plutôt tôt vu qu'il avait presque fini son livre. Les vacances promettaient d'être intéressantes et chargées, mais il ne s'en plaignait pas, au contraire. En tous cas, il comprenait par ces paroles que la séance était finit, ou presque pour aujourd'hui.

- Vous avez des questions ? Sinon vous pouvez disposer

Est ce qu'il avait des questions...Disons qu'il se demandait comment il oserait allé voir la bibliothécaire pour autre chose que rendre ou emprunter des bouquins, qu'il se demandait comment trouver ce qu'il devait faire pour participer au festival surtout dans ce qu'elle lui demandait, et aussi si il arriverais à temps dans sa chambre pour sauver le petit oiseau, mais rien qu'il ne pouvait demandé à une secrétaire, et en plus il était un peu pressé par le petit animal qu'il tenait dans ses mains précautionneusement. Il répondit un faible mais audible :

-Aucune, merci Madame.

Politesse ou gratitude? Un peu des deux, parce qu'il était vrai que même si ça avait était plus court qu'il ne l'aurait cru, elle devait faire ça avec beaucoup d'élève, que ça devait lui prendre du temps et des efforts qu'elle avait eut la gentillesse de faire. De plus elle l'avait écouté et prit du temps pour lui aussi, et il pensait qu'il se devait de la remercier pour tout ça.

Il se leva, salua en signe d'au revoir et de remerciement, et se retourna vers la porte pour se dirigeait vers sa chambre, ou il espérait trouver la personne la plus apte à guérir le moineau : son colocataire Nakao.