Coup d'oeil sur un jeu de tarrot ? [ PV Megu ] [NA]

Zuka jetait un œil à l’horloge en forme de fleur au-dessus de sa porte, midi n’allait pas tarder mais elle ne pouvait pas prendre une pause avant un petit moment car la ou le prochain élève n’allait pas tarder. Ne voulant quand même avoir l’estomac complètement vide, la secrétaire se versait une tasse de thé alors qu’elle s’assurait que le récipient pourrait tenir sans tâcher la pile de dossier à sa gauche, ceux des entretiens qu’elle avait déjà passé. Finalement elle décidait de ranger ceux-ci trouvant que son bureau était beaucoup trop encombrer, de plus le dossier qu’elle avait dans sa pile à droite était un des premiers dans les M, le tas qu’elle venait d’entamer. La bureaucrate n’était pas réellement douée pour les relations sociales ainsi cette journée lui paraissait tout de même assez pénible mais elle faisait avec, au moins les dossiers ainsi que l’orientation des élèves choisis seront bien en ordre, car elle n’osait s’imaginer l’état des documents de la psychologue ne faisant jamais son travail ! Elle aurait bien laisser échapper un soupir alors qu’elle pensait à sa collègue, parfois elle se demandait si elle ne faisait pas cela pour qu’elle aussi, et pas seulement les élèves, aillent un peu plus de sociabilité mais elle espérait pour la jeune femme que non, car si elle lui faisait perdre son précieux temps pour de telle baliverne, elle ne tarderait pas à la renvoyée ! Il faudrait donc qu’elle fasse une enquête pour en être sûr.

La brune saisissait le document pour voir qui franchirait la porte dans les prochaines minutes, un petit sourire se dessinait sur ses lèvres alors qu’elle n’aurait pas à sortir son Keitai cette fois-ci. Pourquoi donc alors qu’elle n’avait pas lâché cet engin de malheur de la matinée ? Car pour le plus grand plaisir de la Japonaise, ce n’était nul autre que Megumi Matsukaze, la tour de son conseil des élèves qui viendrait la rejoindre. Elle n’avait pas à se stresser à ce que l’emploi du temps soit proprement respecter car à midi pile, on frappait à la porte. La jeune femme n’avait jamais été en retard et heureusement elle ne commençait pas aujourd’hui.

- Entrez ! Déclarait la femme en reprenant son visage de marbre et en cachant sa tasse de thé pour se concentrer de nouveau sur la tâche qui l’attendait.

[Voilà je sais que cela est court mais bon c'est un rp de démarage ! J'aimerai que ce rp ne dure pas 50 ans ainsi s'il pouvait être cloturer dans un mois maximum, je t'en serai réellement reconnaissante]

Hmm, Journée étrange pour Meg. Il n’y avait pas cours, certes ça faisait su bien, mais bon elle qui était habitué au journée chargée et lourde, ça changeait, elle n’avait rien à faire de la journée, elle stagnai, attendant l’air du rendez-vous, la matinée était très ennuyeuse. Bon, aujourd’hui ce n’était pas un rendez-vous comme les autres. Rendez-vous avez Zuka, ce n’était pas rien, surtout comme elle est dans le conseil, c’est sa supérieur directe. Donc elle avait tout intérêt à arriver à l’heure, n’est-ce pas ? Vu qu’elle n’avait rien à faire d’important dans la journée, elle serait parfaitement à l’heure au rendez-vous, mais cependant pas en avance, prenant en compte le fait qu’elle ne serait pas la seule à être reçu aujourd’hui, et qu’il y aurait des gens avant elle. Décidément elle pensait à tout cette Megu. Il faut dire qu’elle était un peu réticente à ce rendez-vous, mais elle devait accepter, en quelques sortes pour montrer l’exemple. Car en soit, elle ne s’était jamais posé ce genre de question, et bon, avec Zuka, elle parlerait plutôt de l’aspect « droit » de la chose, plutôt de l’aspect, plus doux. – Je me comprends dans les propos -. Meg’ savait bien qu’elle ne savait pas ce qu’elle voulait faire d’en l’avenir, comme quoi les apparences sont trompeuses, elle qui a l’air si entreprenante, c’est pas tout à fait ça…Enfin bref.

Elle arrive devant le complexe des enseignants, puis se pressant un peu, elle arriva enfin dans le secrétariat. Sans surprise, elle était parfaitement dans le timming, à midi pile, elle frappe à la porte, puis ouvrit, pour y entrer. Elle put donc entendre la voix de la bureaucrate qui lui disait d’entrer, et c’est ce qu’elle fit, puis, s’assit, attendant que la jeune femme engage la conversation, après tout c’était elle qui convoquait les élèves et pas l’inverse. Elle se sentait un peu à l’étroit, mais bon, passons. Pour ne pas jeter de froid tout de suite par son silence, elle ajouta d’un voix douce comme à son habitude, et d’un visage rayonnant, ce qui faisait un petit contraste avec celui de la secrétaire.

« Je pense être à l’heure »

Megumi ne se l’était pas fait dire deux fois, à peine lui avait-elle demandé de rentrez que la jeune femme s’était exécutée. Pour une fois, elle n’avait pas à demandé à l’élève de prendre place sur un des grand fauteuil en cuir, puisque la lycéenne s’y était assise directement, cela la changeait de tous les jeunes gens qui restait pétrifier au pas de sa porte, comme si leur pieds avait subitement était prit dans la glue. Il était vrai aussi qu’étant membre du conseil, la tour, n’était pas aussi impressionnée par la Japonaise ni même besoin d’être guidée pour des gestes aussi simple que de s’asseoir. Cependant elle paraissait quand même légèrement mal à l’aise puisqu’elle croyait bon de préciser qu’elle était belle et bien ponctuelle. A cela la bureaucrate se contentait d’un hochement de tête puis de tirer à elle le dossier de l’adolescente.

Zuka réfléchissait quand même comment elle allait aborder le sujet de l’avenir du membre des conseils des élèves, elle pouvait lui ressortir le discours tout près, mais celui-ci lui semblait inapproprié. Finalement après un long moment de silence, elle décidait de le rompre.

- Je vous ai fait venir pour un entretien d’orientation. Commençait-elle ne sachant vraiment pas comment exposer les faîtes et en maudissant une fois de plus la psychologue de l’école alors qu’elle se retrouvait dans une situation réellement inconfortable.

- Pensez-vous faire carrière dans la musique ? Avez-vous une idée concrète de se que vous voulez faire de votre avenir ?

Zuka n’aimait décidément pas ce travail, elle avait l’impression que ses questions étaient creuse et vide de sens. En plus même si elle s’intéressait un minimum au gosse qui vivait dans cette Académie, elle devait bien s’avouée que si ceux-ci ne faisait pas carrière chez eux ou encore dans une des nombreuses usines de son patron, elle n’y était pas vraiment intéressée, la plupart partait sans se retourné une fois qu’il était dans la vie active après tout.

Entretien d’orientation ? Elle s’en doutait, et c’est bien ce qu’elle redoutait. Bon, Megumi était une fille ambitieuse de nature, mais elle était à Takuetsu depuis tellement d’années, que ses ambitions ne s’arrêtaient qu’entre les murs de l’Académie. A vrai dire, elle avait perdu la notion de « temps », et même le fait qu’une sortie potentielle était possible. Donc en clair, elle n’avait aucune idée de ce qu’elle ferait plus tard, mais ce qui était sur, c’est qu’elle voulait réussir, ça va de soit. Bon, puisque c’était la secrétaire qui l’avait convoque, normalement, ça devrait être elle, qui pose les questions conductrices…c’est ce qu’elle fit, ça la rassurait un peu. Après tout répondre en exposant ses pensées, n’étaient pas bien compliqué. Une carrière dans la musique ? Alors la secrétaire était au courant qu’elle jouait, enfin ce n’était pas si surprenant que ça. Faire une carrière dans l’art, s’était risqué, soit on réussi, soit on ne réussi pas, il n’y a pas de juste milieu. La lycéenne était trop ambitieuse pour prendre le risque d’échouer, mais la secrétaire avant tout de même attaqué un bon point, c’était un bon début. Bon, sans perdre du temps à la réflexion, Megumi répondit à la bureaucrate.

« Une carrière dans la musique ? J’y ai vaguement pensé, mais le risque d’échouer est plus important, et de plus je ne suis pas la meilleure dans le domaine, donc je préfèrerai que cela reste une simple passion.»

Voilà, c’était dit. Ce qui était bien avec Megumi, c’est qu’elle n’allait pas à demi-mot quand on parlait travail. Elle exposait toujours ses idées, même si quelques fois c’était pénible, et n’y allait pas par quatre chemins. Mais la seconde question était beaucoup plus complexe à aborder, sachant que dans son esprit, la question n’était pas clair non plus. Là, elle prenait un peu plus de temps pour répondre, se précipiter pour raconter des bêtises. Quelques idées lui traversèrent l’esprit, elle n’allait pas tarder à les exposer. Il y avait l’entreprise de son père, ou alors réussir par ses propres moyens, les deux étaient biens, mais fort complexe.

« J’avais pensé reprendre l’entreprise de mon père. Mais les relations sur j’entretenais avec lui ne sont plus assez bonnes pour que je puisse lui reparler un jour. »

Un jour ? Elle savait très bien qu’elle ne lui reparlerait surement jamais, puisqu’elle avait coupé tous les ponts avec lui et son frère, mais ce n’était pas comme-ci elle le regrettait. Elle n’était pas désespéré au point de faire carrière à Takuetsu, bien que maintenant l’Académie était comme sa propre maison, on part tous un jour, heureusement, et resté attaché à cet endroit toute sa vie, ne l’aiderait point. Après un léger temps de pause, elle continua.

« A par ça, je n’ai pas tellement d’idée, la réinsertion sera surement difficile… »

La jeune femme lui confirmait rapidement qu’elle ne souhaitait pas faire carrière, chose que la secrétaire trouvait des plus sages puisque le monde de la musique était impitoyable, si la plupart des élèves croyaient que le directeur était un requin, ils n’avaient encore rien vu auprès des maisons de disques. Quelque part, elle doutait que des personnes issues du cocon plus ou moins douillet de l’Académie puissent percer dans la musique ou même dans la comédie. Elle doutait même parfois que ceux-ci puissent réussir en dehors des murs de Takuetsu, pas qu’elle n’avait pas confiance en les divers enfants, mais ils avaient été protégés toute leur vie ou du moins une partie dans une cage étouffante certes mais qui les préservaient du monde extérieur qui était bien plus cruel, peut-être trop pour la plupart d’entre eux.

Après un petit moment de silence, la tour, lui disait ses vrais aspirations dans la vie. Elle devait sûrement avoir le projet de reprendre l’entreprise familial depuis longtemps sans pour autant en formulé le vœu à haute voix. Par contre, puisqu’elle n’avait jamais rien possédé, ni hérité de qui que ce soit, enfin à part une barrette, elle ne voyait pas en quoi les relations entre membres d’une même famille empêchait que la lycéenne reprenne les rennes du pouvoir. Cependant si cela posait un problème dans la futur carrière de la demoiselle, la secrétaire devrait faire en sorte d’y remédier, après tout le but de cette école n’était pas de faire en sorte qu’ils aillent toutes les cartes en mains au moment de regagner la société ? Du moins si ce n’était pas la doctrine de l’Académie cela avait toujours été celle de la bureaucrate et son patron n’avait jamais rien fait pour l’en empêcher.

Maintenant que la brune avait fini de parler, mettant à nu, une de ses ‘’peurs’’, la Japonaise ne répondait pas de suite, même si elle en avait les moyens. Préférant laisser s’installer un de ses silences trop lourds pour l’atmosphère, histoire qu’elle réfléchisse bien à se qu’elle allait dire. Après tout le pouvoir des mots était toujours effrayant capable de provoquer les pires tourments chez une personne comme de l’envoyer au 7ème ciel.

- Pour ce qui est de votre ‘’réinsertion’’ Commençait la maîtresse des lieux en prenant bien le soin de réemployer la même expression que son vis-à-vis. Vous pouvez toujours avoir la possibilité de travailler une fois par semaine…Si l’entreprise de votre famille est dans un secteur particulier, je ferai en sorte de vous procurer diverse possibilité d’embauche, pour un des magasins au sein de la ville. Elle préférait préciser que le faîte que la jeune femme travail n’était pas une obligation mais qu’elle le recommandait vivement puisqu’elle pouvait mettre à sa disposition tous les moyens pour qu’elle soit rapidement embauchée.

Zuka avait conscience que ce petit travail pourrait être une charge de travail supplémentaire pour la lycéenne qui faisait déjà partie du conseil des élèves ainsi que d’un groupe de musique mais celle-ci était ‘’destinée’’ a monté haut ainsi elle devait s’habituer à diverse responsabilité et ne pas être débordée par celle-ci. La secrétaire sortait d’un de ses tiroirs une enveloppe ainsi qu’un papier à lettre aux couleurs de l’Académie et les tendait à la brune.

- Ainsi vous pourrez au moins lui envoyer une missive sur vos inspirations.

Est-ce que la bureaucrate se mellait de quelque chose qui ne la regardait pas ? Totallement ! Après tout, elle ne savait pas réellement ce qu'était le rôle de conseiller ni même se qu'aurait fait à sa place la psychologue de l'école mais puisque celle-ci avait été incapable de faire le sien, Zuka devait bien tenter quelque chose, même si cela dépassait un peu le cadre de ses fonctions...

Alors comme ça, cet entretien avait un vrai fond ? Elle pensait que ce ne serait juste que pour étudier la forme et non le fond, enfin elle n’allait pas s’en plaindre non plus, ça l’arrangeait. Elle écoutait la secrétaire avec soin, ne laissant pas échapper ses mots à son oreille, car ce qu’elle disait était très important pour elle. En fait, Megumi avait dut mal exposer le problème. Ce que disait la bureaucrate, en quelques sortes l’arrangeait énormément, mais dans tous cela, il y avait un côté sentimentale non négligeable. Mais elle n’avait pas pris la peine de réfléchir à ce côté sentimentale, c’était ça le problème principale… Travailler une fois par semaine ? En effet, ça ne lui ferait pas de mal, au contraire que du bien, elle était pour, après il fallait encore voir, dans quoi, etc, mais bref, ce n’était pas la question du moment. En fait, elle voulait au mieux s’écarter du domaine familial, même si reconstruire un empire déjà implanté, c’était carrément mission impossible… La jeune fille soupirait intérieurement, voilà pourquoi elle n’abordait jamais ce sujet, il était bien trop complexe. Après avoir attentivement écouté la secrétaire, elle lui répondit petit à petit.

« Travailler une fois par semaine ? Pourquoi pas, c’est une solution. »

Puis, elle laissa un temps de pose. C’était les seules paroles concises et sur qu’elle avait pu structurer dans son esprit. Réfléchissant un moment de plus au parole de la bureaucrate, Megumi se rendait compte petit à petit, que ces propositions pouvaient être les solutions à ses problèmes et ses appréhensions. Mais bon, elle doutait toujours un peu, ses doutes ne pouvaient tout de même pas être balayés en une fraction de seconde ce serait absurde. Même si cela ne restait que dans un cadre strictement professionnel, et qu’à vrai dire, l’Académie était les premiers profiteurs, la jeune lycéenne ne pouvait s’empêcher d’apprécier les perches qu’on lui tendait. Bref, elle finit par dire.

« J’approuve complètement votre idée. »

Bon, voilà c’était dit, maintenant place au plus difficile. Une missive disait-elle ? Pourquoi pas, mais là, elle n’était pas trop pour. Le fond du problème, s’était que Megumi ne voulait plus adresser la parole à son paternel, et pas le contraire, malheureusement. Lui, voudrait surement d’elle, avec son frère qui faisait les quatre sans coups, un vrai délinquant doublé d’un dérangé mental, le contraire total de la jeune lycéenne, il ne restait plus qu’elle, qui était quelqu’un de model donc bon. Enfin bref, tout ça pour dire, que là, elle était un peu plus hésitante. Elle continua.

« Une missive ? Je ne sais pas, comme je vous l’ai dit, ça fait longtemps que je n’ai pas eu de contact avec celui-ci, et la séparation fut un peu rude, ce qui ne facilite pas les choses… »

Elle se doutait que Zuka ne comprenait pas vraiment ce qu’elle disait. Enfin, voilà, elle ne connaissait pas l’histoire de la femme, et elle n’avait pas eu les mêmes expériences – quoi que elle en avait beaucoup plus qu’elle -. Enfin, passons, ne laissant quasiment aucune pose, la lycéenne ajouta avec un peu d’amertume.

« Je ne pense pas être capable de faire une telle chose. »

En parlant de l’envoie de la missive…C’était trop.

La secrétaire ramenait à elle, la l’enveloppe ainsi que le papier, il était clair que la jeune femme ne voulait pas que la bureaucrate insiste. Zuka ne disait plus un mot alors qu’elle rangeait le matériel destinée à la missive mais prenait quand même bonne note de se qu’avait dit la tour avant de refuser catégoriquement toute communication avec son paternel.

- Bien contentait-elle de dire, alourdissant encore un peu plus l’air ambiant ainsi que la tensions qu’il y avait déjà dans la pièce

La bureaucrate faisait tourner lentement sa chaise, pour se lever avec une certaine grâce pour son âge avancé avant de se diriger vers une armoire. Celle-ci était métallique comme toutes les autres mais pas d’un gris terne mais d’une couleur noire. Elle s’arrêtait devant le meuble et ensuite ouvrait le premier tiroir, celui-ci ne se s’ouvrait pas jusque l’autre côté de la pièce, digne des films de Jim Carrey, mais il allait quand même à un bon mètre.

La brune se retournait ensuite vers l’élève qui n’avait pas bouger de son siège, elle aurait pu fuir, après tous la japonaise avait le dos tourner, mais c’était une évidence que l’entretien ne s’était pas encore achevé. Ses doigts blancs jouaient presque sur les séparations brunes, d’un tiroir qui semblait plein à craquer. Ne voulant pas perdre plus de temps, la secrétaire s’expliquait sur le contenu de ce mobilier.

- Ce tiroir regroupe tous les magasins de l’île. Dans quel secteur voulez-vous travailler ? Une secrétaire normale aurait fait un grand sourire, voir un gloussement de sa magnifique trouvaille mais Zuka se contentait de garder son masque de glace.

Elle n’avait pas grand ouvert le tiroir pour rien, ainsi elle voulait prouver à la lycéenne, qu’elle pourrait sans mal répondre à ses attentes, inutiles donc de perdre son temps, à lui donner des fausses pistes. Elle ne croyait pas que l’adolescente le ferait, après tout, elle semblait vraiment concernée par son avenir mais cela lui permettrait peut-être de se rendre compte que tous ceci n’était pas une mascarade…