No body's perfect [PV]

Perfect day, perfect work, perfect girl…

[Bon, hyper court...mais vu que je sais que tu n'es pas fan du blabla qui sert pas et que j'avais la flemme de partir en live description...]

Math Madney était en train de parcourir les salles, les verrouillant une a une après une vérification minutieuse de chaque recoin. Eteignant les salles une a une, faisant tourner son trousseau de clé en Rythme avec « Are You gonna be My Girl » s’arrêtant parfois pour faire un pas glisser et reprendre en balançant la tête. Les écouteurs de son Ipod modifier était vissés sur ses oreilles, sa casquette militaire noire rabattue à la limite des yeux, le jeune homme en lui-même n’était pas très remarquable, un visage ni déplaisant mais plutôt neutre, un style vestimentaire dans les codes qui se composait ce soir d’un pantalon en jean en coupe traditionnel d’un tee shirt esprit noir et blanc et d’une veste mi saison en toile noire. La musique aidant, quand le jeune homme passa devant une femme de ménage, il lui subtilisa son balai et joua un morceau d’air guitare de sa chanson avant de le reposer sur un mur. Ayant fini l’aile des collégiens, il passa aux amphithéâtres de cours. Le premier fut rapidement verrouillé, rien à voir, des bureaux encore et toujours, un tableau et le bureau du prof… Rien de bien jubilatoire, après un rapide balayage entre les allées, à hauteur variable, à l’aide de sa lampe torche. Le deuxième amphi fut moins rapide, le jeune homme saisit une craie et commença à griffonner sur le tableau. Il était en train de griffonner les 100 premières décimales de Pi, passant rapidement à autre chose, il regarda le chef d’œuvre avant d’ajouter un smiley au bas du tableau. Le jeune homme avait de suite fonçait vers le tableau et n’avait pas fait attention a la présence d’une jeune fille, les bureaux devait être muni de lampe prives et certaines était resté allumer, lui d’un caractère observateur n’avait pas fait attention a la blonde du deuxième rang, pourtant elle ne se cachait pas.

Repérant la position de la jeune fille qui semblait travailler Mattéo s’en approcha doucement, oubliant sa musique un instant, il fit choir une de ses oreillettes qui déversa le flot rock de la musique pour pouvoir l’entendre. Elle ne semblait pas bouger, plonger dans sa réflexion ou tout autre problème mathématique. Après un court moment, le jeune homme passa sans bruit de l’autre côté du bureau, ramassa le livre et avant de déranger la fille la détailla. Blonde, peau blanche, une tenue étrange et une allure affreusement parfaite… Le genre de fille BCBG agaçante et à qui on devait injecter des drogues pour qu’elle RIGOLE au lieu de minauder bêtement et commença à parler à la jeune fille :

-Mademoiselle si vous voulez travailler vous avez les salles d’ét…

Mattéo ne finissant pas sa phrase, cette jeune fille le snobait. Pour être sur qu’elle le remarquait, il s’accroupit, regardant les yeux de la jeune fille, il remarqua qu’elle dormait… La tête penchée sur ses graphiques elle semblait étudier avec ardeur mais Mademoiselle Pionçait… Détaillant le sujet du cours, Mattéo saisit les graphiques et après les avoirs photographier mentalement en fit un petit tas qu’il glissa dans la 2éme de couverture du livre, il posa tout ça devant la jeune femme, refit le tour de l’allée et se postant devant la jeune fille, lui dit de sa voix la plus calme et la plus posée :

-Mademoiselle, mademoiselle, réveillez vous… Je vais devoir fermez la salle…

Mattéo passa une main sur l’épaule de la jeune fille. Ne souhaitant pas lui faire peur il y allez en douceur… Si ça avait était un mec il l’aurait sans doute secoué comme un prunier avant de lui tendre ses affaires et de lui indiquer la sortie… Math s’assit sur le plateau du bureau et attendit quelque instant que la jeune fille revint a elle.

*Me manquait plus que la marmotte au bois dormant…*

Mattéo pensa que s’il n’avait pas croiser cette fille il aurait pu tranquillement fouillait l’école dans quelques heures, cela semblait compromis…

♪ Are you gonna be my girl ♪

Go!!

So 1, 2, 3, take my hand and come with me
because you look so fine
and i really wanna make you mine.

I say you look so fine
that I really wanna make you mine.

Oh, 4,5,6 c'mon and get your kicks
now you dont need that money
when you look like that, do ya honey.

Big black boots,
long brown hair,
she's so sweet
with her get back stare.

Well I could see,
you home with me,
but you were with another man, yea!
I know we,
ain't got much to say,
before I let you get away, yea!
I said, are you gonna be my girl?

Well, so 1,2,3, take my hand and come with me
because you look so fine
and i really wanna make you mine.

I say you look so fine
that I really wanna make you mine.

Oh, 4,5,6 c'mon and get your kicks
now you dont need that money
with a face like that, do ya.

Big black boots,
long brown hair,
she's so sweet
with her get back stare.

Well I could see,
you home with me,
but you were with another man, yea!
I know we,
ain't got much to say,
before I let you get away, yea!
I said, are you gonna be my girl?

Oh yeah. Oh yeah. C'mon!
I could see,
you home with me,
but you were with another man, yea!
I know we,
ain't got much to say,
before I let you get away, yea!
Uh, be my girl.
Be my girl.
♪Are you gonna be my girl?! Yeah !

Demain, nos cœurs, voleront là, six pieds sous terre.

« C’est vous, n’est ce pas ? »

« Merci…Je m’excuse pour le dérangement. Je me dépêche puis vous pourrez fermer la salle. »

En attendant tu m’exaspères, petite garce sous tes grands airs.

Tu triches avec les sentiments mais c’est à toi-même que tu ments.

« Excusez moi de vous embêter de nouveau…Serait-il possible que ce petit incident ne…s’ébruite pas s’il vous plait ? »

Mattéo se tenait donc la, devant cette cruche en robe bouffante qui avait du mal à quitter les bras de Morphée. Il lui semblait qu’il poireauter ainsi depuis 5 bonnes minutes mais la musique qui sortait des écouteurs de son Ipod lui indiquait le contraire. La musique de « Are You gonna Be My girl » venait tout juste de se terminer. Tandis que la jeune fille continuait de se réveiller d’un sommeil qui avait du être profond, Math commençait a s’impatientait. Quand la jeune fille prit un air de sainte nitouche ayant était pris la main dans le sac en train de faire je ne sais quel stupidité (pour ne pas dire conn*ries) innocentes. Math leva les yeux au ciel et attendit encore. Quand celle-ci posa la question rhétorique de savoir si c’était lui qui avait range r ses affaires il faillit lui rétorquer une remarque bien senti avant de se reprendre en se souvenant qu’il était pion. Le « Non c’est Casper ou Fantômas le fantôme de l’opéra, ils sont partit par la » ne franchit donc pas ses lèvres. Quand la jeune fille leva enfin son cu… séant de cette chaise, Mattéo eut envie de hurler un Hallelujah digne de Benoit XVI. Elle sembla franchir la porte de la salle, le jeune homme poussa un soupir de soulagement. Se remettant a sa tâche, le jeune homme éteignit donc tous les lampions, a commencer par celui de la jeune fille, et terminant par celui qui était situer tout en haut puis, pour ne pas déranger la femme de ménage, il effaça le tableau ou était inscrit les décimales de Pi. Il n’avait pas dégainé sa lampe de poche de fonction, la lumière tamiser était suffisante pour voir venir n’importe qui, ce fut grâce a cela qu’il remarqua la silhouette dans le cadre de la porte, la vision du coin de l’œil fit se retourner le jeune homme…

*Encore elle ?! Elle veut quoi ?*

D’instinct il inspecta le bureau ou elle « travaillait » elle ne semblait rien avoir oublié. Quand elle se mit à parler, ne réussissant pas à retenir l’éclat de rire qui montait. Il lui répondit donc avec un léger timbre moqueur dans la voix

« Non… Ne vous inquiétez pas, si l’on trouve un élève entrain de dormir on doit juste le signaler a Miss Zuka en 4 exemplaires du formulaires B22ZA »

Le jeune homme était alors face au tableau, une éponge dans la main. Il venait par la même de montrer que c’était lui qui c’était « amuser » a écrire les décimales de Pi, pas top niveau normalité pour un pion d’écrire les 100 décimales avant de réveiller un élève. Si la jeune fille en parlait il risquait de se faire démasquer… Reprenant un ton calme, le jeune homme lui parla plus sérieusement…

« Je ne pense pas que cela représente un problème mais il me semble que je dois le signalez. »

Puis passant du coq à l’âne, le jeune homme se présentât sous son identité d’emprunt, tandis qu’il éteignait L’ipod, il s’approcha de la jeune fille pour lui serrer la main

« Mattéo Madney, je suis un nouveau surveillant… »

Il se tut en attendant que la jeune fille se présente, étant donné l’académie dans laquelle il se trouvait il s’avait qu’il fallait se méfiez des élèves comme la peste. On l’avait bien mis en garde a se sujet. Certain était de véritable bombe ambulante. D’autre des anguilles… Et Matt se retrouvait au milieu de ça… Lui pauvre Mortel ayant juste ses muscles et des contacts a l’extérieur… Mais ou était donc James bond ?

« Je vous aurais bien demandé ce que vous souhaitiez en échange de votre silence, mais, vous semblez l’avoir trouvé. »

« Selena McHeather, universitaire. »

ravi de vous rencontrer

enchantée

Matthews se tenait la… Même pas une semaine de cours et une pauvre fille tentait déjà de le faire chanter. Aussi, lorsque la jeune fille le menaça, il franchissait les allées avant d’arriver au tableau, il attrapé l’éponge et en quelque mouvement habile, les décimales furent effacer. Ce rapprochant de la maigrelette il lui parla, un sourire mauvais sur le visage :

-Vous disiez ? Je ne suis pas sur d’avoir bien compris.

Puis il s’éloigna, les mains dans le dos, appuyant sur l’interrupteur général, l’amphithéâtre tomba dans une obscurité insondable… C’est bien évidement a se moment qu’un don se déclencha, un don sonores qui plus est… Aussi la vitre de la porte devant laquelle la jeune fille se trouvait implosa, le jeune homme étant de do, il n’eut le temps de rien, la jeune fille tomba a la renverse, lui-même ne s’en sortit pas indemne, en effet, un bris de verre lui écorcha le cuir chevelu tandis qu’un second se planta dans son épaule, apparemment assez profond. La blessure saignait un peu, après une vive grimace, il retira le morceau de verre, chose a absolument ne pas faire, une fois le pieu de verre retirer, un flot de sang un peu plus conséquent sorti de la blessure, Math retira sa veste et poussa un juron suivit d’un « Irrécupérable et M*rde… » Après avoir enlevé la veste, on pouvait voir que le tee-shirt noir et blanc était en train de virer au rouge et noir dans le dos. Ayant retiré sa veste, il retira son tee-shirt et en déchira une large bande qu’il noua autour de son épaule. Une fois cela fait, il porta son attention sur la blonde… Il la vit la main posait sur le morceau de verre, Math n’était pas douer en anatomie mais vu l’endroit ou le morceau de verre était planter, il hurla a la jeune fille :

- Non mais ça ne va pas ! Touche pas a ça tu va crever…

Puis reprenant un ton plus calme il lui expliqua la situation :

-Ce morceau de verre et planté dans ton bras, il a peut-être touché l’artère brachiale donc pas touche…

Puis se remémorant que la jeune fille l’avait sans doute vu faire et qu’il se trouvait torse nu, il renfila sa veste et la boutonna sur les deux rangée de bouton avant de serrer la ceinture en grimaçant a cause du frottement sur sa blessure…

-Aieuh… Bon a par sa rien que des égratignures ?

Math souriait a la blondasse en robe… Le terme blondasse dans ce contexte n’était pas méchant mais il était clair que le jeune homme n’avait pas l’intention de laisser une fille de 12ans griller sa couverture… Au pire un morceau de verre aurait pu l’égorgé… S’aurait était tellement navrant… Un pion ne peut rien faire contre la section des artères internes et externes de la gorge… Oui vraiment bête…

-Tu continue à vouloir me faire chante mademoiselle ?

Le tutoiement était venu naturellement… Ce n’est pas tous les jours qu’une vitre vous rapproche après tout. Mattéo s’agenouilla devant la fille et lui parla :

-Vous m’autorisez a vous portez ? Je vais vous conduire à l’infirmerie…

Puis il attendit une réponse de la jeune Selena

[Court ^^]

Selena regarda d’un regard vide et désintéressé le jeune homme près d’elle qui saignait abondamment de-ci, de-là. Nullement impressionnée, elle ne fit que constater les dégâts, puis, par politesse, détourna les yeux. Après tout, ce n’était pas vraiment autorisé de regarder un homme se changer. Pas interdit certes. Mais, pas encouragé non plus si l’on en suivait son éducation, même si, ayant déjà vu Kazuma des dizaines, cinquantaines ?, de fois dans des tenues bien plus indécentes que celle-ci, cela ne lui faisait sur le coup ni chaud, ni froid.
Après tout, ce Mattew manquait un peu de musculature comparée à son prince. A se demander si il avait un jour pratiqué le sport comme elle l’entendait.

La pensée était idiote, et, elle se ravisa bien vite, étant donné que le sport comme elle l’entendait correspondait aux anciens entraînements SA et qu’ils s’agissait plus de survie en milieu hostile que de sport même si cela développait incontestablement leur physique. Elle, en avait gardé quelques légères traces sur sa propre physionomie. Cependant, ses vêtements les camouflaient la plupart du temps.

Occupée à chercher comment se débarrasser de ce morceau de verre indésirable dans son bras sans qu’il reste une affreuse cicatrice, Selena ne reprêta attention au surveillant que lorsque celui-ci l’interpella, ou plutôt, lui hurla dessus. Peu habituée à se faire crier dessus, elle qui paraissait toujours si calme et posée, s’arrêta net dans son mouvement. Malgré tout, au lieu de s’arrêter comme toutes personnes normales à la blessure qu’il lui indiquait en précisant qu’il ne fallait pas faire n’importe quoi, elle murmura :

« Vous me tutoyez maintenant ? »

Mais, le jeune Maddney ne semblait pas l’avoir entendu, comme si il réalisait soudain qu’il était à demi-nu devant une demoiselle. Elle, n’en avait que faire que sa robe soit tellement déchirée qu’elle laissait entrevoir sous forme d’un décolleté plongeant à droite une bonne partie de sa poitrine blanche. La robe glissa légèrement, n’ayant plus de point d’appuie et laissant à nu son épaule. Sa façade aurait voulu qu’elle rougisse comme une jeune vierge effarouchée, mais, à ce moment là, elle n’en avait même pas envie, simplement lasse comme le prouvait l’éclat dans ses yeux qui attendait que son interlocuteur se rhabille sans s’apercevoir que cela ne lui changerait pas grand-chose.
A sa question, elle secoua cependant négligemment la tête de gauche à droite, faisant légèrement voleter ses cheveux blonds de part et d’autres de cette blancheur d’asphalte. Non, elle n’était pas morte, dommage non ? Ce fut sa seule réponse étant donné qu’elle ignora royalement la question suivante.

Seule sa dernière phrase la toucha réellement. La porter ? Lui, la toucher ? Ce… ce pariât de surveillant étrange qui voulait réduire sa réputation si durement aquise à l’état de jeune fille simplette qui s’endormait en classe ? Sa voix se fit sans réplique, tranchante à couper au couteau, restant néanmoins très calme. Peut-être le ton dangereux venait-il de là en fait ?

« Hors de question. »

Elle marqua une légère pause, réfléchissant dans sa tête aux horaires de l’infirmeriea avant de réprendre, catégorique :

« De plus, l’infirmière sera absente. »

Il était nouveau ici, il ne pouvait pas le savoir. Cependant, l’infirmière ne pouvait être présente tout le temps puisqu’elle était seule avec Nakao, cavalier dans l’échiquier et aide de l’infirmière à ses heures perdues. Elle aurait plus de chance de se faire « soigner » en allant dans l’ancienne infirmerie des SA. Mais, encore une fois, comment pouvait-il le savoir ?
Un léger sourire éclaira son visage alors qu’elle remettait une mèche d’or derrière son oreille en s’avançant vers lui, son visage à quelques centimètres du sien, lui soufflant doucement sur le visage jusqu’à atteindre son oreille :

« Si je souhaitais vous faire chanter, ne croyez-vous pas que j’aurais déjà une excuse toute trouvée ? »

De nouveau, sa bouche glissa bien que cette fois-ci ce soit pour s’éloigner légèrement du visage du beau brun, se contentant de le fixer droit dans les yeux, comme le défiant du regard. Sa couverture était grillée depuis bien longtemps. La McHearther avait changé son fusil d’épaule comme on disait dans le jargon et tentait une nouvelle approche, révélant une seconde partie de sa personnalité si changeante et complexe. En réalité, Selena n’avait rien de la poupée barbie parfaite. Mais cela, Matt ne pouvait le savoir. A moins qu’il ne commence à s’en rendre compte maintenant ?

Si il n’était pas trop idiot, il se rendrait compte que la parole de Selena pèserait beaucoup dans la balance étant donné sa réputation et son image. Alors, que dirait la direction si elle racontait qu’un homme l’avait menacé alors qu’elle travaillait dans une salle de classe seule, à la nuit tombée, allant jusqu’à la blesser et lui déchirer sa robe pour abuser d’elle, ou, elle ne savait trop quoi dans ce genre là ?

« Oh, tu aurais peut-être préféré que je te tutoie Matt ? Je reprends donc, quelle excuse aurais-tu trouvé si j’avais vraiment décidé de te faire chanter ? »

Le jeune homme se tenait la, une veste a double rangée de bouton nouer sur sa peau nue, une déchirure dans son dos laissait comprendre qu’un éclat de verre si était planté. Sous le tissu noir de la veste on pouvait entr’apercevoir une étoffe blanche virant au rouge à cause du sang. L’amphi se trouvait dans le noir, à part la vitre éclatée tout semblait normal. Aussi, le jeune homme décida que rallumer n’était pas une chose à faire, aussi il décrocha une lampe torche de sa ceinture, la positionna lumière vers le haut et après un bref « J’adorais cette veste… » Déchira le poignet en tissu, aussi il se retrouva avec un bras plus dénudée que l’autre. .. Après une bref manipulation ou il enleva la doublure du tissu, il posa l’étoffe sur la lampe et la noua grâce a l’élastique du poignet. Ainsi la lumière tamisée ne les ferait pas remarquer… L’esprit militaire de Mattéo lui faisait penser qu’il était probablement victime d’une attaque. Aussi, il essayait de se rendre discret… Après un bref moment d’impatience, en entendant les différentes réponses de la Blonde, il grommela quelque chose sur le fait que les civils étaient obtus. Aussi, se levant, il s’approcha encore plus de la jeune fille. Après l’avoir regarder dans les yeux il lança :

-Très bien… Mademoiselle veut jouer… Elle a gagné…

Sans attendre le moindre consentement ou la moindre réaction, il arracha le morceau de verre du bras de la jeune femme, le sang commençait à perler près de la blessure, aussi, il arracha ses deux manches, il les avait préalablement entaillé grâce au verre. Une fois qu’il eut réussit à les détacher, il utilisa le premier morceau pour faire un garrot. Ayant fini, le jeune homme regarda de nouveau la jeune fille dans les yeux. Il ne savait pas si elle avait compris ce qu’il comptait faire, mais il commença un froid décompte :

-3… 2… 1…

Ayant atteint le 1, le surveillant serra de toute ses forces le deuxième morceau de manche. Maintenant la jeune fille risquait de crier… Après tout ce n’était pas sans douleur… Son bras le faisait souffrir, il l’utilisait alors que le muscle moteur était peu être touché… Il tenter d’aider cette fille alors qu’elle ne semblait pas se rendre compte que ce n’était pas un banal surveillant qui se tenait devant elle… Il décida tout comme elle que la couverture était grillée. Après avoir réfléchi a la méthode la plus rapide pour la supprimer sans preuve toutefois…

-Bon sale gosse cette fois j’en ai marre continue t’es menaces et tu ne passeras pas la nuit… et arrête ton jeu de pimbeche ou je fais en sorte qu’on croit que tu a était attaquer par un loup avant de mourir…

Les menaces venaient d’une voix froide et implacablement sérieuse. Le jeune homme semblait se diviser de sa couverture… Après tout… La situation était anormale alors pourquoi paraitre normal ? La blonde cachait son jeu, lui aussi, autant mettre leur ressource en commune. Après tout, il venait explicitement de la menacer de mort… On pouvait dire que sa couverture en prenait un coup, mais au moins, s’il mettait sa menace à exécution, il n’y aurait aucun risque de fuite… Enfin… Après un court moment à potasser sur le fait qu’il perdait ses vêtement plus rapidement que la virginité des prostituer dans les ports, il reprit la parole, s’approchant de tous les meubles qu’il avait touché, il effaça ses empreinte et parla :

-Bon alors… Maintenant je suis en train d’effacer les preuves de ma présence, cependant, étant surveillant je dois avoir fait au moins un petit tour dans la pièce non, bon il manque une vitre et alors ?

Il réapposa donc se empreintes sur l’interrupteur générale et sur la porte, ainsi si on enquêtait sur la mort il n’y aurait rien d’étrange sur le fait qu’il aurait passait plus de temps ici. Ayant fini avec les empreintes, il ramassa les morceaux de verre avec les reste de son tee-shirt et passa des gants en caoutchouc.

-Bon maintenant voila ce qu’on va faire… Tu me suis si tu veux souffler t’es neufs ans… On va tout d’abord chercher des vêtements décent dans mon appart, ensuite on se débarrasse du verre dans un concasseur et on brûle les loques qui nous habillent compris gamine ?

Sans même sans rendre compte, Math parlait comme un parfait militaire, il était clair que son rôle dans cette école était louche, aussi, autant jouer franc jeu et exploiter toute les capacités de « rose-bonbon » surnom qui lui serait maintenant attribu

é.