Jeu de la vie [ Pv Z ] [ NA]

Une sonnerie de réveil très désagréable retentissait dans la chambre, attendant patiemment de se faire écraser sous un poing rageur pour se taire. La porte de la salle de bain attenante s’ouvrait peu de temps après le chant du l’objet électronique, Zuka se levait toujours bien avant que l’appareil ne s’enclenche, pourquoi continuait-elle à le régler ? Par habitude sûrement…Elle pressait le bouton du réveil pour rétablir le silence naturel de la pièce, seule les pieds nus alors qu’elle marchait retentissait. Une serviette autour des cheveux ainsi qu’autour du corps, fait inhabituel, elle avait oublié ses vêtements dans la chambre.
La secrétaire avait une légère migraine ainsi elle déjeunait avec une aspirine, une fois qu’elle fut vêtue d’un kimono particulièrement noir, rien de bleu marine ou encore de blanc comme elle portait habituellement. Contrairement à son habitude, qui était de rassembler les dossiers posait sur son bureau et de partir directement, elle s’attardait devant une grande armoire en chêne, elle passait ses doigts dans la soucoupe de la plante qui égayait un peu l’endroit dépourvu de décoration, pour en sortir une clé et la remplacer par celle dans la serrure. D’un geste, elle ouvrait la porte devant elle, ensuite elle sortait une grosse boite noire. Un soupir franchisait ses lèvres alors qu’elle évitait d’ouvrir la seconde porte, où se trouver un autel, sa boite en main, elle se dirigeait vers son lit pour la déposer avec délicatesse. Elle ôtait le couvercle avec autant de précaution que si elle ouvrait le coffret de pandore. Il y avait longtemps qu’elle n’avait pas ouvert celle-ci, puisqu’elle ne recevait plus des lettres de sa cousine ni des photo de son neveu. Elle poussait d’ailleurs les photographies de celui-ci ainsi que de nombreux autre papier, pour toucher enfin le fond de la boite et ressortir un petit tableau, une petite toile qui était aussi grande qu’une photographie. Elle glissait se trésor dans une de ses poches intérieures avant de tous ranger et puis sortir de la pièce.

Zuka n’était qu’a son bureau depuis peu de temps, qu’elle avait préparé un plateau de thé, le liquide était dans une boite thermos ainsi qu’un paquet de petit gâteau. Elle se dirigeait vers la pièce attenante à son bureau, celui de son patron, sans un mot ni même un regard envers le propriétaire des lieux, elle déposait sa préparation. Elle n’attendait pas que celui-ci la retienne, pour se diriger vers la porte et ressortir aussi vite qu’elle était rentrée. Il était rare que la secrétaire ait une attitude aussi glaciale avec son aimé mais tout avait toujours une explication avec la femme. Aujourd’hui était le 21 septembre, son seul jour de congé, le seul qu’elle n’ai jamais réclamé et hier Ogawa lui avait refusé, pire il lui avait donner une charge de travail supplémentaire ainsi il lui était réellement impossible de quitter son bureau.

La brune croyait que sa tête allait explosée, depuis qu’elle s’était installée derrière son bureau cela n’arrêtait pas, le téléphone ne cessait de retentir ainsi que de son keitai recevoir de plus en plus de message, à croire que le directeur avait fait passer un mémo à toutes les personnes qu’il connaissait, pour les renseigner que pour une fois, le 21 septembre, la secrétaire était enchaînée à cette pièce. Les professeurs étaient d’ailleurs tous plus contentieux qu’habituellement, ils voulaient tous rapporter des tonnes de dossier en retard. Pour un peu, elle aurait pu croire à un mauvais tour de Matsuri, mais elle savait que ce n’était pas le cas, c’était un jour que la jeune femme respectait, simple elle ne la croisait pas de la journée, comme si elle avait décidé de se faire oublier et aujourd’hui ne faisait pas exception. Chacun avait un jour noir dans son existence et c’était celui de Zuka aujourd’hui.

Une fois de plus, un coup retentissait a la porte du bureau, plusieurs fois on avait essayer d’ouvrir la porte mais celle-ci ne pouvait tout simplement plus bouger vu le nombre de dossier qui c’était amassé prêt du rempart en bois. Avec un soupir, elle se levait et constatait que la pièce était étrangement floue malgré ses lunettes bien encrées sur son nez. Elle chassait ce petit moment de faiblesse de la main, comme s’il s’agissait d’une mouche, alors qu’elle essayait de se persuader qu’elle avait une imagination un peu défaillante.
Son mal de crane ne faisait qu’empirer de minute en minute alors que les sonneries ne voulait pas se mettre en sourdine, arrivée à la porte elle ramassait les dossiers, dans une pile assez conséquente, elle allait se diriger de nouveau vers son bureau qu’un nouveau coup à la porte la faisait se retourner.

- Passé le dossier sous la porte disait-elle d’une voix étrangement rauque mais qui ne perdait pas de sa froideur mais à peine avait dit ses quelques mots, qu’elle se reprenait vite.
- Attendez ! Je viens plutôt le chercher.

Elle trouvait bête de ne pas accepter se nouveau dossier en main propre alors qu’elle était à moins d’un mètre de la porte et cela lui éviterait de se baisser pour le récupérer par la suite, ainsi sa pile comparable à la tour de pise dans les bras, elle ouvrait avec difficulté la porte pour voir sur le pas de celle-ci le jeune professeur. En tendant la main pour saisir le document que tenait l’homme, le drame se produisait, dans la seconde, la moitié des dossiers qu’elle avait dans les bras se retrouvèrent par terre. Zuka en aurait bien éclaté en sanglot tant ses nerfs étaient à fleur de peau. Dans un soupir découragé, qu’elle ne se donnait même pas la peine de cachée, elle s’abaissait pour reprendre les dossiers éparpillés un peu partout, dans un mouvement un peu trop brusque, empli d’une rage peu commune, le tableau volait et atterrissait près des chaussures de son visiteur. Les sonneries continuaient à retentir comme pour ne pas laisser instaurer le silence que sa migraine aurait tant souhaité mais sa dose d’aspirine bien trop entamée, elle ne pouvait pas soulager, un cachet en plus et c’était à l’hôpital qu’elle finissait…dans le meilleur des cas.

Spoiler:

[ Voilà j'espère que cela t'inspira un tout petit peu, dans le spoiler tu as la mini-toile ]

Pauvre gosse…. Honnêtement il avait mal choisit sa victime… Mais bon, c’était ça de faire le malin, on finissait à l’infirmerie avec une épaule brisée… Heureusement que nous étions a Takuetsu et que toute blessure pouvait se soigner, mais en temps normal se garçon n’aurait probablement pas put se resservir de son bras durant toute sa vie, Zhémial finit détailler les derniers éléments qui avaient conduit le lycéen à se retrouver avec une épaule en miette, à l’infirmière et aussi dans le dossier qu’il préparait sur le manque de discipline récurent de certains élèves…

Ce qui c’était passé ? Et bien c’était…. Juste une mauvaise pioche pour l’élève en question. Plus simplement, il disposait d’un pouvoir bien ennuyeux… à savoir celui de projeter le passé d’une personne sur un mur. Et avait tenté de s’amuser avec Zhémial en faisant apparaître le siens en pleine classe… Inutile de dire que la réaction ne c’était pas faites attendre, outre le tampon effaceur de tableau qui avait dès les premières secondes volé dans la figure de l’élève en question, ce dernier refusant de s’arrêter avait quelque peu provoqué Zhémial, qui c’était vu forcer de recourir, à sa forme de cambion pour expliquer au jeune homme qu’il n’appréciait guère sa conduite, ce qui avait donné lieu à un mémorable coup de poing dans l’épaule du dit élève qui gisait maintenant inconscient sur le lit de l’infirmerie, le cour c’étant terminé dans le plus grand calme par la suite.

Il devait maintenant allait rapporter l’incident a la secrétaire générale…inutile de dire que les chose ne s’annonçaient pas être des plus réjouissante. Bon maintenant voir quelle excuse trouver autre que le « il y a des choses auxquelles il ne faut pas toucher » pour justifier la blessure grave sur un élève, enfin ça c’était le boulot de termi, c’est lui qui avait agit, c’était à lui de s’en sortir.

La secrétaire mit un temps à lui ouvrir, mais elle émergea finalement de la porte, les bras chargés de dossier, malheureusement, détail imprévu, au moment ou Zhémial lui remit le sien, tout ce qu’elle portait tomba au sol… et une toile représentant un homme dans la fleur de l’age tomba ensuite au sol suite à un mauvais mouvement de la secrétaire. Alors qu’elle s’apprêtait à la ramasser rapidement, Zhémial lui saisit la main…. (Il eut une grimace de douleur, mais je n’en compris pas la raison), et il déclara :

« Ce n’est peut être pas le bon jour, mais je crois que vous devriez rentrer dans vos appartements pour vous reposer, vous n’êtes clairement pas en état de travailler, et cette académie pourra bien survivre une journée sans vous non ? »

Paternel jusqu’au bout hein ? même avec ses supérieurs hiérarchique… Et le tout sans autre pensée que les raisons qu’il avait évoqué, nulle envie de se faire bien voir ou quoique se soit d’autre…. C’est pour ce genre de chose que je l’aimais bien mon terminator…

[Désolé pour le retard WE chargé =(]

La secrétaire aurait sursautée de surprise, si elle ne contrôlait pas aussi bien son corps, alors que le jeune professeur lui avait saisi la main, elle s’empressait de la retirer dans l’étreinte chaude, plus par habitude que par réelle malaise. Ses yeux noirs se posait sur le visage du visiteur, elle restait tout de même interdite face à son geste, incapable de reprendre sa tâche, Zhémial n’avait eu qu’une légère grimace alors qu’il l’avait touchée. Il était vrai, qu’elle ne ressentait aucune animosité vis-à-vis de lui, cependant il aurait du réagir bien plus…ainsi pendant les quelques secondes qui s’écoulaient, toujours perturbé par les sonneries de téléphone, elle essayait de superposé l’image de la seule personne qui l’avait aimé à celle du professeur, mais sans succès, tous deux était bien trop différent physiquement.

Zuka saisissait le tableau et le plaçait de nouveau dans sa poche intérieur, près de son cœur, puis ensuite elle s’empressait de reprendre la pile de dossier qui c’était éparpillé. Une fois que les documents étaient bien placés en équilibre dans ses bras, ainsi qu’elle s’assurait que ses jambes tenaient sous le poids, elle se retournait vers l’enseignant. Elle avait parfaitement conscience de sa faiblesse, elle connaissait son corps mieux que personne, ainsi elle se voilait les yeux, pour tenir cette journée qui était un véritable enfer. Elle savait que ses cernes étaient parfaitement visibles, que sa coiffure n’avait rien d’ordonné comme à son habitude et que son teint encore plus pâle que les aspirines qu’elle avait déjà gobé. Elle brisait le silence installé entre eux, pas dans la pièce puisque les sonneries s’en chargeait très bien, pour répondre enfin à la question de l’homme. Sa politique avait toujours été de répondre aux questions qu’on lui posait, elle n’allait pas en changer sous prétexte qu’elle était un peu malade.

- Nous sommes le 21 septembre. Commençait-elle alors qu’elle se dirigeait vers le bureau pour reposer les dossiers qu’elle avait dans les bras, elle savait qu’elle ne pouvait pas les garder plus longtemps, sans que ceux-ci se retrouvent de nouveau sur le sol.

- Aujourd’hui, c’est mon seul jour de congé. Du moins cela devrait l’être…Continuait-elle en regagnant sa place sur son fauteuil, empêchant ainsi ses jambes de tremblées. Elle prenait ensuite dans sa main un dossier de la taille d’un bottin téléphonique, elle faisait en sorte que son visiteur puisse bien voir son épaisseur.

- J’aimerai approuver vivement à votre question, professeur Zhorne, cependant je crois que c’est tout le contraire…depuis se matin, les sonneries n’arrêtaient pas…les dossiers s’entassent de plus en plus et le directeur m’a demandé de rédiger un rapport complet à partir de trois dossiers de la taille de celui que je viens de vous montrez. Expliquait-elle en lâchant un soupir, si la bureaucrate n’avait pas l’habitude de la pression, il n’y avait aucun doute que celle-ci aurait éclaté en sanglot.

Alors que les mots avaient cessé de danser dans les airs, Zuka s’en voulait énormément, même si elle était à bout de nerfs et fatiguée, elle n’avait aucun droit de se laissée allée de la sorte, se plaindre était bien inutile puisque cela ne faisait rien avancer. Elle laissait échappé encore un soupir, ne pouvant le retenir en contemplant une fois de plus la jolie montagne sur son bureau, armée de son stylo, elle allait s’y remettre quand une fois de plus, on frappait à la porte.

Pourquoi avais-je l’intime conviction que ce devait mal se finir ? Ou tout du moins que quelques chose qui allait certainement déplaire à une, ou plusieurs personne, allait inévitablement se produire… Je regardais fixement Zhémial… il se tenait immobile, sans laisser transparaître la moindre émotion, toute personne le voyant dans cette état aurait put se demander si il n’était pas un peu lent d’esprit, seulement pour moi qui le connaissait si bien, je savais qu’il réfléchissait, et bizarrement j’avais peur de l’aboutissement qu’allait avoir cette réflexion, bien qu’au final la réaction était assez prévisible connaissant les bestiaux.

Il ouvrit la porte lorsqu’il entendit frapper à celle-ci… il s’agissait d’un jeune élève qui venait probablement pour un papier administratif quelconque, ou peut être parce que son professeur l’avait envoyé ici pour travail non fait ou retard, ou autre… quoiqu’il en soit il n’eut pas le temps de dire pourquoi il était la, que zhémial avait déjà parlé :

« Madame Suzuharu est actuellement indisposé, veuillez repassé plus tard je vous prie… »

L’élève sembla soulagé et parti sans demander son reste ni chercher d’autre explication, comme quoi il n’était pas la pour son propre bien. La secrétaire avait dû l’entendre c’était inévitable, aucun de nous n’avais besoin de la regarder pour deviner son air interdit… Zhémial fit volte-face, et sans que l’on puisse lire ni haine, ni violence, ni quelconque autre sentiment pouvant expliqué son geste, il balaya le bureau avec son bras droit, d’un mouvement brusque et vif, envoyant les différent dossier voler à travers la pièce, celui qu’il venait d’amener avec les autres.

Il s’apprêta à parler lorsque la sonnerie du téléphone retentit à nouveau, son regard se porta alors sur l’instrument qui sonnait depuis un moment, et cela était semble t-il de mauvais augure pour le petit instrument… Il s’approcha de la prise téléphonique et d’un coup de pied dans le fil parfaitement tendu il le débrancha le faisant taire pour le moment. Zuka s’apprêtait irrémédiablement à protester, mais avant qu’elle ne put parler Zhémial posa un doigt sur ses lèvres pour qu’elle se taise, et bien qu’une légère contraction de son bras laissait deviné qu’il avait ressentit une douleur encore plus grande que la première fois, son visage n’en laissa rien deviner. Il poussa un soupir d’irritation, puis leva des yeux déterminé vers Zuka :

« Je vous laisse le choix, ou vous retournez dans votre chambre pour vous reposer, en acceptant que je vous accompagne pour m’assurer que vous y restiez, ou je vous assomme et je vous y amène moi même quitte à perdre un poumon en vous portant, est-ce clair ? »

La secrétaire savait certes se montrer autoritaire et glaciale, mais je crains fort que zhémial se place lui aussi au top niveau dans la matière quand il le souhaitais… et sachez une chose…il n’hésiterais pas une seule seconde à mettre en place ce qu’il venait d’énoncer …

Zuka voyait que le jeune professeur se dirigeait vers la porte, elle aurai esquissé un sourire de satisfaction si cela avait été en accord avec sa personnalité ou si elle n’avait pas autre chose à pensée, même si cela n’était pas dans ses habitudes de se plaindre, elle était quand même que celle-ci ai été utile. Bien entendu, elle n’avait pas chercher à s’apitoyer pour obtenir se qu’elle voulait, elle avait toujours trouvé se moyen avilissant, mais elle ne crachait pas dessus cette fois-ci puisque cela avait permis au nouveau enseignant de partir. D’ailleurs intérieurement, elle appréciait un peu plus et remerciait l’homme pour sa fuite.

« Madame Suzuharu est actuellement indisposé, veuillez repassé plus tard je vous prie… »

Le sentiment de reconnaissance vis-à-vis de Zhorne disparaissait dans la seconde, en même temps que celui-ci ouvre la bouche. L’espoir qu’elle avait mis dans le don de compréhension de l’homme se cassait en même temps que celui-ci refermait la porte. La secrétaire était tout de même légèrement troublée, elle se demandait bien se que faisait un élève devant sa porte si tôt dans la matinée ; alors que chaque membre de l’enseignement savait parfaitement qu’elle ne prenait aucun entretien avant quatorze heure. Qu’est ce qui pouvait bien ce passer aujourd’hui ? Est-ce que tous les 21 septembre virait-il tous à la folie?
Zuka décidait de chassée cette pensée alors qu’elle continuait à rédiger et confectionner son rapport pour son patron, bien qu’elle sache que l’homme était toujours dans la pièce, elle l’avait simplement occulté pour se concentrer sur son travail, elle n’aurait pas du…
Tandis que la sonnerie de téléphone retentissait une fois de plus, la secrétaire se penchait pour attraper le combiner alors que son esprit était toujours fixé sur son rapport, seulement sa main ne rencontrait jamais l’appareil, tous simplement parce que celui-ci avait été décalé de quelques centimètre vers la gauche en même temps qu’il avait donné son dernier cri d’agonie. Elle se rendait compte seulement que les feuilles qui volait devant ses yeux ainsi que le brun et le blanc qui atterrissait par terre dans un désordre sans non était les documents qui peuplait jusqu'à là son bureau. Comme si son corps était sur ressort, ses fesses décolèrent de son fauteuil tandis qu’automatiquement la femme relevait la tête vers la cause de cet arrêt de son, même si sa migraine n’en était que ravie, la bureaucrate elle ne l’était pas du tout, elle s’apprêtait à protester vivement et peut-être même lancée une remarque bien sentie à son visiteur mais ses mots moururent dans sa gorge. Enfin ses mots s’étaient plutôt figée dans son esprit alors que le jeune professeur avait posé un doigt sur ses lèvres, elle croyait un instant que son cerveau avait un court-circuit tant la situation était improbable, de plus l’homme ne semblait ressentir aucune douleur à son contact. Du moins son esprit trop brumeux, ne pouvait pas percevoir la tension dans le corps de son vis-à-vis, ce n’est quand la voix grave retentissait une nouvelle fois, que la brune reprenait un pied dans la réalité.

Zuka dévisageait pendant de longue minutes le professeur de Chimie, celui-ci semblait parfaitement sérieux dans sa menace ? Elle ne savait pas trop comment elle devait prendre son discours. Cependant, elle devait bien constater qu’elle n’était réellement pas au mieux de sa forme, en tant normale elle aurait déjà remis à sa place le jeune ‘’blanc-bec’’ hors là aucun mot ni remarque ne lui venait à l’esprit, juste une profonde lassitude. Elle aurait pourtant du le savoir, qu’elle n’aurait pas su travailler le 21 septembre, mais une fois de plus, son amour, son aveuglement l’avait menée sur une pente savonneuse, le problème c’était qu’elle n’y était pas seule.

- Vous n’avez pas mal ? Demandait malgré elle Zuka alors qu’elle s’était écartée de l’homme. La curiosité face à cette question qui l’obsédait depuis que l’enseignant c’était rapprocher d’elle, l’avait en quelque sorte fait jeter les armes. Elle s’appuyait sur son bureau pour avancé, ensuite elle lâchait le meuble en bois pour se retourner une fois de plus vers le brun.

- Je vous suis lâchait-elle dans un soupir étrangler alors qu’elle essayait de ne pas contempler le carnage que venait de faire le houligan dans son bureau, il faudrait qu’elle vienne dans son bureau plusieurs heures à l’avance le lendemain, pour qu’elle vienne ranger et finir le dossier que lui avait demandé son patron. Elle n’avait jusqu’ici jamais failli à un ordre de la part de celui-ci, elle n’allait pas commencé…

Dans l’ensemble les choses c’étaient mieux déroulé que je ne l’imaginais, elle avait pris le temps de réfléchir et de jauger son propre état, ainsi que le sérieux de son opposant. Je crois qu’elle compris rapidement une chose : Quoiqu’elle fasse, elle était bonne pour aller se reposer dans sa chambre, son choix était juste celui de le faire dans la douleur ou calmement, et elle choisit le calme, peut être simplement parce qu’elle n’attendait qu’un violent coup de pouce (bon dans le cas présent c’était plus un coup de pied au c** mais bon) pour quitter son bureau et aller se reposer comme son corps le réclamait tant…. Bon terminator y était peut être aller un poil fort, mais au moins le courrant était passé c’était ce qui comptait.

« Je rangerais lorsque je serais assurer que vous êtes en train de vous reposer. »

En même temps on avouera que c’était la moindre des choses après avoir saccagé l’endroit, que de le remettre en état, et puis si on pouvait fouiller quelque dossier au passage c’était encore mieux n’est ce pas ? Bon seul bémol, la présence du directeur juste à côté… Mais cela nous donnerais peut être l’occasion de rencontrer ce mythique personnage de l’académie, que nous n’avions jamais pu voir et à qui nous avions pourtant beaucoup à dire. Par contre si cette rencontre avait lieu, je doutais qu’elle se passe aussi bien que celle avec Matsuri, mais bon on peut pas tout avoir n’est ce pas ? Tandis que je réfléchissais la voie de Zhémial porta encore dans la pièce :

« Si effectivement j’éprouve une sensations de douleur. »

Il ne c’était pas étendu plus que ça sur ce détail… Il n’était pas du genre a rassurer avec des phrase du genre « non ce n’est rien », il avait mal c’était vrai, plutôt beaucoup si je me fiais a son corps, mais il n’était pas vraiment du genre à faire attention à son propre corps…Il faut dire que quand on savait ce dont-il était capable, on pouvait concevoir le fait qu’il ait tendance à considérer son corps comme indestructible.

Toujours est-il qu’ils se mirent en route, bien que je sentais la secrétaire générale peu emballer par cette enlèvement, ce qui était plus ou moins normal après tout, mais bon comme on dit en général dans ce genre de cas « c’était pour son bien » bien qu’on disais souvent ça avant de faire un truc ignoble en temps normal la ce n’était pas le cas.

Il se tu durant tout le trajet, laissant le soin à la secrétaire de mener leur pas, après tout il ne connaissait pas la position de sa chambre et n’allait pas l’inventer, Bien qu’il restait assez proche d’elle pour la rattraper au cas ou elle aurait une faiblesse… Toujours est-il qu’après quelque minute de marche, et le fait d’avoir croisé quelques prof/surveillant qui souhaitaient parler avec la secrétaire (Que Zhémial avait aimablement envoyé baladé), ils arrivèrent enfin devant la porte de la chambre de cette dernière…

[je te laisse le soin de refaire un sujet, d’ouvrir la porte et de décrire, après tout c’est aps ma chambre ^^’]