La légende dit qu’un savant fou commença diverses expériences sur des enfants au hasard, le cachant alors à sa famille.

Il captura tout d’abord des cobayes à ces expériences. Des enfants abandonnés qu’il adoptés. Des enfants mal aimés emmenés au loin. Des enfants fugueurs accueillis. Des enfants qui venaient de partout, et de nul part ...

Ce savant fou rataient expériences sur expériences ... Mais avec le temps, il fut convaincu d’une chose : Il pouvait réussir.

Un jour, son unique fille alors âgé de 11 ans invita son unique amie. Le savant vit l’enfant, et en tomba amoureux. Pas qu’il se mit à l’aimer comme il se devait. Mais une irrésistible envie de jouer avec elle le prit ...

Trois ans plus tard, il réussit à l’enlever, pendant que sa fille était en voyage. La gamine avait tenté de s’enfuir, en vain ... Le savant commença ces expériences sur elle, et elle fut la première et seule réelle réussite ...

L’enfant fut étrange. En se réveillant, un don se réveilla en elle, un don provoquait par tous cela ... Les effets d’une expériences. Elle perdit la vue, mais en échange, elle devint la muse du savant. Quand elle était là, il réussissait tout. Ainsi, son corps non voyant assista à tout à partir de là ...

Un an passa, et sa fille finit par tomber dans le laboratoire. Fou de rage, le savant l’enferma, et lui fit subir un traitement encore plus horrible que son amie. Elle en ressortit elle-même changer, manipulant des lors les armes mieux que personne, contre une absence de rêve, et l’omniprésence de cauchemars ... { ce symptôme fait partie des plus courant parmi les élèves ... }

A la 20 victimes, le savant fit construire une école dans lequel il plaça tous ces cobayes, qui s’enchainèrent sans fin.

Les élèves furent sous surveillance, plus ou moins en sécurité, chacun développant dons et faiblesses, parfois même qu’un seul des deux .... La fille du savant fut satisfaite malgré tout de son sort, regardant alors de haut les élèves effrayés, tandis que son amie, enfermée dans sa tour, pleurer chaque jour sa haine et sa tristesse ...

Des clans se firent. Certains furent ravis de leurs sorts, d’autres non. Certains abandonnèrent l’idée de vivre, d’autres non. Certains décidèrent de s’enfuir, d’autres non.

—Tous entrèrent, mais personne ressortis ... —