Session #1; initialisation...

Il y a des nuits à Takuetsu, où tout semble tranquille, et pourtant, vous ne le saviez peut-être pas, mais une activité s'est rapidement répandue, activité rassemblant des élèves de tous niveaux. Ainsi, chaque semaine, plusieurs élèves choisis 'aléatoirement' (vous croyez au hasard?) sont confrontés à des épreuves.. croustillantes? Il est minuit. Les portes sont enfin ouvertes, il ne reste plus qu'à attendre les invités, pour peu qu'ils comprennent la carte indiquant le lieu secret. Et une fois à l'intérieur? Une salle spacieuse, ornée de décorations d'une autre époque, est prête à accueillir les élèves déguisés pour l'occasion. Robes bouffantes et bijoux pour les dames, costumes élégants pour les hommes, des vêtements... qui perdront sûrement de leur beauté à la fin de la soirée. Pour l'heure, joie et mystères sont de la partie, commençons en douceur, laissons les faire connaissance...

Bonjour cher élève de Takuetsu no Gakuen,

Vous êtes cordialement invité au confessionnal où vous y rencontrerez d'autres élèves et pourrez tester la maîtrise de votre don et de vous-même...
Relèverez-vous le défi, ou fuirez-vous cette invitation?
Nous vous attendons dans la salle cachée indiquée sur la carte jointe.

Avouez que le message n’est pas du genre à faire dans la longueur. Pourtant, il n’avait pas fallut beaucoup plus pour énerver légèrement le jeune homme à la chevelure de sang. Vous devez vous dire qu’on aurait pût éviter de faire tout un message sur le fait que cet élève ai un léger ressentit mais sachez que si je m’attarde, c’est car une petite saute d’humeur chez Ishiro se traduisait par une haine irraisonné chez quelqu’un que nous qualifierons de lambda. Oui Ishiro avait la capacité de refouler au plus profond de lui toute émotion qui viendrait à lui traverser son esprit. Prenez garde vous qui venez assaillir la forteresse de mes sentiments car la muraille de mon indifférence vous guette. Tenez le vous pour dit.

Alors, énerver mais pourquoi ? Parce que ce dit message qui brillait par son absence de sens ainsi que l’absence d’indice quant à son expéditeur avait été reçu sur son Keitai et que s’il était ainsi envoyé, c’est que l’administration était mêlé à cette affaire. Oh, me direz vous, cela peut très bien être une erreur d’adresse mais quand vous trouvez dans votre armoire le lendemain une tenue de soirée, une perruque et un masque avec un billet portant les mots ‘Veillez à porter cela ce soir au confessionnal et faire en sorte de ne donner d’information quant à cette soirée à personne’ , vous vous doutez qu’il n’y a pas erreur sur la personne. Viennent alors les questions habituelles du style ‘pourquoi moi ?’ ou encore ‘que me veulent-ils’…enfin ces questions seraient venus à toute personne normale mais rappelons le encore une, et j’espère que ce sera la dernière dans cette réponse, qu’Ishiro n’est pas quelqu’un comme les autres. Lui c’est donc un léger énervement qui lui vint car l’Académie l’amenait dans un traquenard mais savait aussi que, tout traquenard que ce fut, Ishiro était une grand combattant fier de relever le moindre défi pour se prouver à lui-même qui peut contrôler tout ce qui l’entoure dans toutes les situations. L’énervement venait donc du fait que le choix ne lui était pas aisé car pour lui, tout réponse était bonne à prendre.

Le soir vint et l’heure fatidique aussi. Le jeune Idogawa avait finalement prit sa décision : ce soir, il irait. Sa combativité avait réveillé en lui une curiosité qu’il ne se connaissait pas. Ces derniers temps, c’est dingue ce qu’il se découvrait. Enfin bref. Ishiro s’habillait de la tenu qui lui était attribué. Bizarrement (ou pas Rolling Eyes

) la tenue lui allait à la perfection comme si elle avait été faite sur mesure. D’un côté, si comme le pensait Ishiro, c’était l’Académie qui était derrière tout cela, l’administration pouvait facilement avoir accès à ses mesures quand il les avait donné pour faire faire ses uniformes.

Spoiler:

A l’heure dite, Ishiro mit son masque et sa perruque se dirigea vers la soi-disant salle secrète dont l’ouverture se trouvait derrière un faux mur, à un endroit précis de l’Escalier du Courage. La salle était luxueuse et très spacieuse. Des miroir recouvrait des pants entiers de mur milieu de dorure et de tapisseries stylées XV ème siècle occidentale. Un fauteuil style Louis XIV se trouvait en son centre et semblait pouvoir accueillir jusqu’à 6 personne. C’était ce qu’on appelle un chaperon : vous savez un fauteuil où jeune damoiseau faisait la cours à belle damoiselle sous l’œil et l’oreille attentif d’un chaperon…la personne cette fois-ci, pas le meuble.
Contre un mur, une armoire en bois finement ciselé avait une porte entrouverte. Toujours en quêtes d’explications sur ce qui l’entourait ou allait lui vendre, le jeune Idogawa ouvrit le battant pour en contempler l’intérieur. Il n’y trouva que d’autre costumes, masques et perruques, sûrement en cas que quelqu’un est ‘oublié’ de mettre celui qui lui été alloué.

Des bruits de pas, la porte s’ouvrit.

[hj] A l’attention des personnes qui poste après moi : la description (certes assez sommaire mais suffisante) de la pièce est en accords avec les idées des organisatrices, de même pour les modalités d’acquisition du message et de la tenue.

Recevoir une invitation étrange, Marya s'en fiche.
Recevoir une invitation très curieuse, Marya ne s'y interesse pas.
Alors pourquoi ses pas résonnent-ils dans le couloir ?

Disons simplement que Marya à été quand même piquée au vif de recevoir un si horrible masque, et qu'elle était donc poussé par son instic de le rependre et resculpter entièrement. Histoire que ce ne soit pas inutile, il fallait bien qu'elle aille quelque part avec, car elle n'avait plus de place dans le placard et devrait bientôt empiéter sur celui d'Haruna si elle voulait garder l'integralitée de ses création.

Elle choisi donc de ressortir un vieil habit, création d'un autre age (c'est à dire datant de quelque mois) et d'accroder avec son masque pour parêtre assez présentable. Le tout étant de laquée ses cheveux de doré pour être méconaissable sous un loup or et blanc et un voile de même coloris couvrant ses épaules dénudé d'un vêtement autrefois assez extravagant, mais qui après le passage de Marya avaitrepris un peu de sobriété. Il ne manquait plus qu'a remetre un voile par dessous ainsi qu'un grillage pour donner une forme vers l'arrière (ce que Marya détestait, mais bon ...) et il retrouvait un style assez particulier.

Vous vous demandez peut-être où avait-elle fait une telle aquisition ? Pour tout vous dire, elle avait ruiner ses économie dans un vêtement haute couture ... Pour le retravailler.

Marya passe devant la boutique, voit cette robe extravagante et importable pour tout être ne méprisant pas le confort, entra en catimini, demanda la robe à la vendeuse.

-Êtes vous sûre ? Vous auriez du mal à la porter croyez moi ...
-Je sais ; c'est pour ça que je vais en faire de la charpie.
-??

Laissant donc, incompréansive, la robe à prix cassé à marya (ce qui fiot quand même très chère, elle laissa sortir ce drôle de numero ... Marya travailla toute la nuit, ce qui donna un résultat bien différant du vêtement de départ ...

Avant ...

Spoiler:

Après ... (a immaginer avec un loup et un voile sur les épaules, ainsi qu'une relevation au niveau des hanche dù au grillage)

Spoiler:

Nous revenons donc ... Passant dans les couloir, suivant avec minutie les indications, trouva facilement le couloir et la porte, pu l'ouvrir en repérant de l'oreil une autre personne.

-Itsure ishimasu.

Elle entra, pu mirer un beau jeune hommes aux cheveux d'une couleur délicieusement rouge, puis observa la salle sans faire un bruit, sans un sourir, ni un air de tristesse, ou même d'ennuis. Elle était juste debout, inexpresive ... Malgré ses parures, elle était bel et bien neutre et glaciale ...

Puis elle réobserva à travers son masque le probablement lycéen ou universitaire ; force physique potentielement dangeureuse, comportement imprevisible pour le moment ... Pareillement en ce qui concernait son Don. La nature de cet home était sans doute impossible à lire du premier coup d'oeil, et Marya allait devoir continuer à faire ainsi toute la soirée ; si au moins elle avait leur nom, elle pourait se souveniur des registre, mais malheureusement ...

Elle ne les aurait même pas en photo.

Elle s'inclina à l'européenne, comme une danseuse, par pure politese afin de le saluer, puis se retourna s'assoir dans un des fauteuil laissant libre court à son mental pour examiner la situation et agir ... tel un programe bien concu.

Sakura avait retourné entre ses doigt un nombre incalculable de fois, le papier en était même devenu usée, la lettre d'invitation qu'elle avait reçu sous sa porte, il y a un petit moment maintenant. Elle ne pouvait pas faire part de son trouble par rapport à cette missive puisque sa seule amie était en chiffon. L'enfant hésitait, la curiosité lui criait de se rendre à cet endroit mais la raison lui murmurait de ne pas bougée de sa chambre. La grande question n'était pas réellement y aller ou pas mais plutôt ''est-ce un piège ? '' Si elle allait là-bas, qui donc augmenterai ses pouvoirs ? Qui lui rendrait la puissance qu'elle connaissait jadis ? La même personne qui les avait développer la première fois ? Si elle croisait le directeur là-bas...elle savait que la mémoire de l'homme lui reviendrait immédiatement, elle serait forcement obligée de retournée auprès de lui, d'être de nouveau son jouet, son expérience...Et c'était bien la seule chose qui la plongeait dans la terreur et peuplait sans cesse ses rêves. Retournez là-bas !

La petite fille poussait un long soupir tandis qu'elle était allongée sur son lit, sa poupée bien serrée contre elle, les yeux fermé mais toujours plongée dans le dilemme qu'avait soulevée cette invitation. Elle essayait tout d'abord d'être rationnelle. Déjà elle ne savait pas lire une carte, chose qui avait en plus dans l'enveloppe, donc pour se rendre à l'endroit prévu, ce ne serai pas facile du tout. Elle devrait fouillé par mal l'Academie avant de trouvée, donc autant qu'elle rejoigne la salle quand la nuit serait entamée depuis un moment. Il fallait donc qu'elle compte aussi sur le tour des patrouilleurs, mais elle connaissait leur roulement, elle aimait sortir la nuit quand les cauchemar l'empêchait de dormir, ainsi ce ne serait pas un problème. Elle devait se rendre à l'évidence, qu'elle n'avait donc pas cette excuse pour restée bien tranquillement dans sa chambre. Peut-être avec une autre raison ? Elle poussait un nouveau soupir car elle ne pouvait même pas lancée l'excuse qu'elle n'avait rien à mettre puisque la lettre n'était pas venue seule, car ce n'était pas une bête lettre qu'on avait glissée sous sa porte mais bien accompagnée d'un paquet, même si la missive était a part, le bruit qu'avait fait la boite en carton sur le sol, l'avait obligée à ouvrir la porte. Bien entendu, elle ne l'avait pas encore ouverte, elle craignait se qu'elle pourrait découvrir exactement.

Des questions emplie dans sa tête et la blonde sombrait dans le sommeil pour se réveillée au bout de quelque heures, elle ne parvenait pas à trouver, comme d'habitude, un sommeil sans rêve, aillant besoin de prendre l'air comme à chaque fois, elle se levait et empoignait sans y penser la lettre qui était toujours près d'elle ainsi que sa poupée. Elle ne mettait pas longtemps à revenir ensuite dans la chambre, puisqu'elle devait partie et quittée cette endroit, autant se rendre à un endroit où elle était plus ou moins attendue. Prenant une bonne inspiration, après avoir posé délicatement Dolly sur son coussin; elle ouvrait la boite en carton.
Celle-ci n'explosait pas comme elle l'avait crain mais des centaines d'étoiles était née dans les yeux de la fillette à la vue du contenu. Les mains tremblantes, elle les plongeait vers la merveille qui lui appartenait, certainement pour un soir, mais qui pendant un temps serai quand même sa propriété.
Devant ses yeux, se trouvait une magnifique robe d'un entre-temps. Un peu comme dans ceux des livres de contes qu'elle avait dévorée quand elle était plus jeune. La robe était jaune et blanche, puisqu'elle était moyenageuse, deux manche ample recouvrait ses bras et la coupe de la toilette allait jusqu'au sol, elle avait eu beaucoup de mal à la mettre mais au bout de nombreux effort, elle fut parer de cette magnifique étoffe. Sakura avait un sourire rayonnant pendant quelques secondes sur les lèvres, elle se sentait un peu comme une princesse. Elle jetait un coup d'oeil une fois de plus dans la boite, elle prenait les mains toujours aussi tremblante un masque de la même couleur que sa tenue, cela ressemblait un peu comme un soleil. La surprise ravageait le coeur dans l'enfant quand elle voyait au fond du carton une tenue identique pour sa Dolly. Si à cet instant la petite fille était heureuse, c'était peu dire.

Elle décidait donc de partir et refermait la porte sans faire le moindre bruit et déambulait dans les couloirs, c'était plus par hasard que réellement en voulant chercher la salle de réception; elle se retrouvait sans trop savoir pourquoi auprès de l'escalier où elle avait croisé Ruka. Elle n'était pas à l'aise avec l'endroit ainsi elle rasait les mûrs, elle devait appuyer un peu fort car une porte qui se trouvait devant elle, n'était pas en chêne comme les autres mais d'un brun beaucoup plus sombre, sûrement faît dans un autre bois, apparaissait subitement devant ses yeux. Elle poussait cette porte qui ne se gênait pas pour grinçée avec exagération, faisant se tendre un peu plus la fillette qui ne supportait pas ce genre de bruit, la porte était aussi lourde que les autres, une donne qui ne changeait pas au moins.

La surprise saisissait le coeur d'enfant de Sakura, alors que sa bouche s'ouvrait de manière peu élégante, elle n'avait jamais vu un lieu comme celui là. C'était beau, magique, il lui semblait que cette pièce appartenait à un autre temps. La décoration était pareil que comme dans les livres de contes qu'elle avait dévorée, il y a quelque temps déjà, mais elle était tout de même émerveillée.
Elle n'avait pas fait un pas dans cet endroit paradisiaque qu'une personne arrivait, elle portait un masque et une longue robe, elle était méconnaissable, sans parler elle avait empoignée la lettre qu'elle n'avait plus conscience d'avoir à la main et la déchirait.

Sakura n'avait put réprimé un mouvement de sursaut tandis que l'inconnu déchirait son invitation en plusieurs morceau pour ensuite les mettre dans une coupole puis finir par y mettre le feu. Ensuite le personne vêtue du pieds à la tête lui tendait un papier, qui ressemblait plus à un parchemin, elle s'empressait de l'ouvrir, la curiosité et l'émerveillement de se trouver dans un tel lieu, avait eu raison de méfiance.

Un sourire ravi venait trôner sur les fines lèvres de la japonaise, elle n'était pas était rayonnante de la sorte depuis bien longtemps, Elle tenait fermement sa poupée dans ses bras, qui elle même portait une tenue similaire à la sienne, elle devrait se jetée dans le bain. Sakura regardait autour d'elle, conquise par le décors mais elle n'avait pas beaucoup avancée, se contentant de restée droit comme un piquet, attendant la suite.

Spoiler:

Bonjour cher élève de Takuetsu no Gakuen,

Vous êtes cordialement invité au confessionnal où vous y rencontrerez d'autres élèves et pourrez tester la maîtrise de votre don et de vous-même...
Relèverez-vous le défi, ou fuirez-vous cette invitation?

Accueillant. C'est ce qui venait à l'esprit de Kaede lorsqu'elle reçue cette invitation... Pour elle se n'était rien de plus qu'un malade de cette école qui racontait encore des bêtises... Autant dire maintenant que Kaede ne comptait pas y aller... Elle ignorait quand exactement l'invitation avait été envoyé..., certainement pendant qu'elle dormait... Elle s'était réveillée et l'avait vu, impossible qu'elle est ne l'ai pas vu avant de se coucher, elle vérifie son Keitai tous les soirs. Impossible... Dans cette école toute était possible justement, Kaede la détestait en partie pour ça. Elle haïssait cette messagerie qui la contraignait à venir, elle haïssait cette invitation qui l'intriguait, elle haïssait la personne qui l'avait envoyé, peu importe qui elle était...

Pour elle, la journée s'annonçait mal... Quoi de mieux pour commencer la journée que une invitation qui vous invite à un endroit caché et douteux... Kaede ouvrit son armoire pour s'habiller, et remarqua un vêtement qu'elle n'avait pas avant... Elle sortit le vêtement, accrocha le cintre à la poignée de son armoire et remarqua rapidement une étiquette qui indiquait exactement : "Veillez à porter cela ce soir au confessionnal et faire en sorte de ne donner d’information quant à cette soirée à personne..."

Encore plus accueillant... Kaede avait de moins en moins envie d'y aller mais tout portait à avancer qu'elle y était obligée... Elle se posa alors une question existentielle (ou pas) : ''Suis-je la seule à y aller?'' Certainement que non, mais on est jamais sûr de rien. Kaede assista au cours, comme à son habitude, une petite élève modèle qui suit consciencieusement les cours, habillée de son uniforme.

Fin des cours...
Enfin, Kaede souffla un bon coup, cette histoire d'invitation l'intriguait beaucoup.... Elle rentra rapidement dans sa chambre, ressortant le vêtement de son armoire... Elle l'examina plus attentivement, une robe noire simple, et compliquée à la fois... Elle décida d'attendre le couché de soleil pour s'habiller.

L'heure venue, elle enfila la robe, tout à fait à sa taille. Le douce soie glissait sur sa peau, et s'arrêtait aux genoux. Elle mit ensuite la perruque donné qui était fourni avec la tenue. Une perruque aux cheveux bruns. Elle l'ajusta pour que l'on ne voit plus ses cheveux ordinairement bleus, posa le chapeau sur sa tête, serra le ruban autour de son cou et un autre autour de son poignet gauche., enfila la montre à son poignet, puis sortit avec cet accoutrement hors de sa chambre. Gardant la montre dans sa main droite, elle l'enferma dans le creux de sa paume, ainsi habillée, si quelqu'un la reconnaissait, cela tiendrait du miracle. Elle ne s'était jamais habillée de la sorte, en tout cas pas qu'elle ne sache.

Ses chaussures à petits talons claquaient contre le parquet des dortoirs. Kaede marcha alors sur la pointe des pieds pour atteindre la porte de sortie, la poussa et fila vers le rendez-vous... Elle chercha longuement l'endroit, et fini par trouver un endroit secret, caché derrière l'escalier du Courage... Un faux-mur... Assez stupide comme idée mais pourquoi pas... Déjà trois autres invités se trouvaient dans la salle. Celle-ci était assez spacieuse et luxueuse. Elle se rangea dans un coin, ne désirant pas vraiment se joindre au groupe. Elle fit le tour de la pièce des yeux, examinant les murs, les objets dans la pièce, les miroirs, et le fauteuil. Chaque détails étaient importants, cela lui permettait d'évaluer un peu le pourquoi du comment. Elle examina ensuite les invités. Chacun habillés d'un façon différente, chacun habillés élégamment, et chacun avec une perruque certainement. Impossible de savoir qui était qui. Mais comme nous le disions toute à l'heure, tout est possible à Takuetsu No Gakuen...

Spoiler:

Y aller ou ne pas y aller? Elle se serait bien tirée, elle, mais quand on vous offre une robe et qu'on vous fait plus ou moins comprendre que vous êtes attendu, le choix est vite réduit. Il y a d'abord euh cette lettre. Et puis ensuite la robe. Si ça se trouve, ils se sont trompés. Peut être que c'était pour la voisine... Ca aurait pu mais le joli masque joint n'était pas de cet avis. Les yeux sont noir et celui de gauche ne permet pas de voir à travers, trop de coïncidence...

Finalement, à force de ruminer dans sont coin, la Niwa s'était endormie tut bêtement, notez qu'à force de sortir la nuit... Elle séchait, mis pas grave, elle s'en fout. Elle se réveilla dans la soirée... A oui, la robe. Bah, un truc pareil, autant ne pas y aller...

Mais la robe est plutôt jolie, après tout, si elle l'essaye, personne ne dira rien. Ce n'est pas parce qu'elle la met qu'elle va s'y rendre, si? Elle pris la robe et remarqua une forme verte. Une perruque... Pas con, mais, pourquoi c'est toujours sur du voyant qu'elle tombe? du noir aurait convenu, alors pourquoi du vert?

Après cette courte inspection sur l'objet, elle enfila la robe. Plutôt simple d'ailleurs, même les siennes sont plus décorées... Elle se regarda dans le miroir, pile à sa taille. Comment il font pour savoir? Elle tourna un peu, bougea les mains et le reste. La robe était parfaite, rien ne la gênait, un travail de pro...

Bon, elle peut l'enlever, non? Tiens, et si elle mettait la panoplie complète, rien que pour voir... Juste pour voir. Elle accrocha ses cheveux violets avec des barrettes par-ci par-là... Puis posa la perruque sur sa tête, l'ajusta et cacha ses dernières mèches violettes. La perruque avait des cheveux bien plus longs que les siens... Elle n'avait pas l'habitude d'en porter des si long, pour un peu qu'ils s'accrochent. Elle noua ses nouveaux cheveux vite fait, et en profita pour réduite la longueur. Voilà qui était mieux. Elle posa ensuite le chapeau sur sa tête et le noua, 1: pour ne pas le perdre, 2: pour ne pas perdre la perruque. Ne restait plus que le masque. Elle retira sont bandeau puisqu'elle n'en avait plus besoin et accrocha le masque.

Le masque recouvrait tout son visage, difficile de la reconnaitre maintenant... Elle s'arrêta devant sa glace, comme pour contempler le travail.

- On dirait une voleuse... Marrant...

Une petite lumière sortit du keitai. Tiens, qui peu lui en vouloir à une heure pareille? Elle le pris et lu le message suivant: Vous êtes priez de vous rendre dans les plus brefs délais au confessionnal... C'est agréable de voir que les organisateur de se truc arrive à être manipulateur, même par Keitai. Si elel ne venait pas, qu'allaient-ils lui faire, la chercher, la punir? Autant venir de soi même, c'est moins risqué. Et puis, qu'a t-elle à perdre, vêtue ainsi, même son frère e la reconnaitrais pas. (A essayer)

Elle jeta un coup d'œil dehors, personne, tant mieux, autant que ça ne s'ébruite pas. Elle se mit à courir dans les couloirs, elle est déjà bien en retard comme ça. Elle arriva enfin au lieu dit. Ne reste plus qu'à rentrer.

" Aller, Moi-même, montres-leurs ce que tu as dans le ventre..."

Elle porta sa main sur le masque pour le réajuster et entendit un clac. Elle le retira, et remarqua qu'elle pouvait voir à travers l'œil gauche maintenant. Amusant, la soirée allait être amusante... Elle remit le masque, inspira un grand coup et entra.

La pièce 'était ni trop grande, ni trop petite. Il y avait déjà 4 masques au rendez-vous, allait-il en avoir plus. Ce qui est bien, c'est que c'est masque sont une aubaine pour elle, on ne peut voir que les yeux, mais ce sont ces yeux qui vont causer leur pertes.

Elle entra, puis s'inclina respectueusement.

- Veuillez m'excuser de mon retard...

Spoiler:

Ainsi, la dernière participante à peine rentrée, les portes se refermèrent immédiatement, comme pour tenter déjà d'abimer la splendide robe de la demoiselle.. Raté. Plus de fuite possible; "alea jacta est", les premières secondes de ce terrible 'jeu' commencaient sans plus attendre. Une voix mystérieuse résonnait alors dans la salle, pour accueillir convenablement les hôtes, cela allait de soi..

« Bienvenue à tous, et merci d'avoir répondu à notre invitation. Vous ne savez pas encore ce qui vous attend.. Un bal? Une salle de discussion? Et si nous jouons à un jeu? Je serai votre guide du jour.. ou de la nuit. Je vous prie de vous aligner derrière la ligne blanche. Dans quelques secondes, les portes du fond s'ouvriront pour donner sur une salle. Y sont cachés dix vases de verre, dans l'un de ces dix vases se trouve la photo de la personne à qui vous tenez le plus. Il faudra la trouver et revenir la coller sur le panneau se trouvant juste sur votre côté. N'abîmez pas trop la photo, ce serait dommage.. »

Quelques lettres flottantes vinrent alors hanter la salle. 10.. 9... 8... 7.. 6.. fin du décompte, les portes s'ouvrirent alors que le numéro 5 devait apparaître. L'on pouvait alors contempler une magnifique salle, magnifique, mais gigantesque. Bonne chance? Car certains vases se trouvent collés sur le plafond, d'autres sont enterrés dans des coins, et puis certains se trouvent simplement posés sur des tables. Encore faudrait-il savoir ce qui se trouve à l'intérieur..

{ Tout le monde doit tester au moins deux vases.
Vase 1 flotte dans l'air - Photo de Ishiro
Vase 2 enterré sous terre - Photo de Marya
Vase 3 posé par terre, un autre vase étant 'superposé' dessus - Photo de Sakura] {ok}
Vase 4 collé au plafond - Photo de Kaede {ok}
Vase 5 posé sur une table - Photo de Koro

Tous les autres vases sont postés sur des tables.
~~Vase 6 - colle piégée : impossible à enlever avant une demi-heure.~~
~~Vase 7 - cafards et araignées.~~
Vase 8 - liquide soporifique, agit un quart d'heure après avoir testé le vase.
~~Vase 9 - une main qui serrera la votre sans vouloir la lâcher avant un bon moment.~~
Vase 10 - donne l'illusion d'avoir perdu la main, dure une demi-heure. }

La petite fille s’était mise dans un coin de la pièce dés son arrivée, elle était quand même étonnée qu’on lui permettait de gardée sa poupée, parce que c’était un peu se qui la définissait. Grâce à sa Dolly, elle pouvait se transformer en gros canari jaune, on pouvait normalement la reconnaître, a moins qu’il y avait beaucoup de petites filles qui se baladait en toute circonstance avec une poupée dans les bras. La gamine jetait un coup d’œil au reste du ‘’groupe’’, elle était comme toujours la plus petite voir même la plus jeune, elle se sentait légèrement mal à l’aise dans cette pièce bien meublée alors qu’elle ne savait absolument pas ce qu’allait être cette soirée. Il était vrai qu’elle aurait du y réfléchir un peu plus avant de venir mais c’était être ici ou dormir et des deux, elle préférait nettement la première solution. Finalement, au bout d’un petit moment, une jeune femme, dans une robe assez courte comparé aux autres toilettes des demoiselles, passait la porte du petit salon. La gamine n’aurait pas fait attention à elle, comme pour le reste des ses compagnons de galère, si la porte ne s’était pas refermée dans un claquement retentissant n’avait pas attiré son regard, malgré elle, vers celle-ci.

Le silence qui régnait dans la pièce, avait quelque chose de lourd, de gêner mais heureusement ou malheureusement, selon les cas ou les pensées diverses et variées des gens, celui-ci ne durait pas bien longtemps. Dans un grésillement caractéristique, venait de prendre d’assaut la pièce bientôt suivi d’un message de leur hôte.

« Bienvenue à tous, et merci d'avoir répondu à notre invitation. Vous ne savez pas encore ce qui vous attend.. Un bal? Une salle de discussion? Et si nous jouons à un jeu? Je serai votre guide du jour.. ou de la nuit. Je vous prie de vous aligner derrière la ligne blanche. Dans quelques secondes, les portes du fond s'ouvriront pour donner sur une salle. Y sont cachés dix vases de verre, dans l'un de ces dix vases se trouve la photo de la personne à qui vous tenez le plus. Il faudra la trouver et revenir la coller sur le panneau se trouvant juste sur votre côté. N'abîmez pas trop la photo, ce serait dommage.. »

Sakura recherchait rapidement des yeux la ligne blanche en question, mais elle ne pouvait que la voir quand les portes s’ouvrèrent comme venait de l’indiquée la voix qui n’était ni féminine ni masculine, elle était à la limite des deux pièces. La petite fille aurait bien laissé échappée un soupir si ce n’était pas montrés acte de faiblesse. Elle s’était doutée que la soirée ne serai pas de tout repos et qu’elle n’avait pas étais invité pour un bal masquée contrairement à se qu’indiquait sa tenue, pas comme si un endroit aussi austère que Takuetsu pouvait posséder se genre de divertissement purement désintéressé. Les yeux améthyste essayaient de voir la pièce, qu’elle ne devrait pas tarder à explorer, quand le chiffre dans les airs serai sur zero. La petite blonde agrandissait les yeux d’étonnement, la pièce semblait gigantesque mais le plus étonnant était que si le mobilier riche et bien en place, ce n’était pas le cas de l’objet que chacun ne tarderait pas à prendre en chasse. L’enfant espérait que son vase ne serait pas au plafond car même avec une chaise, elle n’était pas sûr de pouvoir l’atteindre, ainsi elle maudissait sa petite taille une nouvelle fois. La blonde qui fixait jusqu’ici les chiffres sans les voir, cessait de se perdre dans ses pensées alors que le un apparaissait bien vite suivit du zéro tends attendu. Elle ne se précipitait pas vers les grandes portes, après tous, il n’y avait qu’un vase pour chacun, ce n’était pas une course à la montre, du moins elle l’espérait sinon elle savait d’avance avoir perdu puisqu’il était sûr qu’avec ses petites jambes, elle ne pourrait pas tenir la distance ou une quelque conque course.

Une fois dans la pièce la gamine laissait son regard parcourir les nombreuses tables, celles-ci étaient toutes différentes les une des autres, par leur couleur ou même leur forme. Sur chacune d’entre elle, trônait un vase en verre teintée dans les même nuance de couleur que sur le meuble sur lequel il reposait. L’enfant ne jetait même pas un coup d’œil vers les autres, ne voulant pas savoir où ils étaient ni même entrapercevoir où ils en étaient. La curiosité la poussait à s’avançait vers une table au coloris plus clair que les autres, et qui semblait plus petite que les autres, puis elle se mettait près du vase au teinte orangée. Elle observait de longues secondes la potiche, avant de prendre une bonne inspiration et fermer les yeux, alors qu’elle se hissait sur la pointe des pieds, pour ensuite enfoncée sa main dans le récipient. L’enfant réouvrait les yeux de surprise alors qu’elle sentait quelque chose lui grimpée sur le bras, elle faisait rapidement glisser sa poupée sous le creux de son aisselle, alors qu’elle se dépêchait d’enlever le vase d’un coup sec, au point que celui-ci se retrouve au milieu de la table, à tourner sur lui même. Cependant le soulagement de la Japonaise, du faîte que le vase ne s’était pas brisée, qui n’était que d’une courte durée alors que les yeux de celle-ci s’agrandissaient d’horreur et que son corps fut soudain prit de tremblement incontrôlable, elle était simplement pétrifiée. Sur la table s’étendait petit à petit, sortant rapidement et en grande quantité, diverses araignées de différentes races ainsi que de taille, accompagnée par des cafards. Un nouveau frisson saisissait le corps de la primaire, vite suivit d’un hurlement strident alors que les insectes descendent de la table se dirigeait également vers elle, Sakura retrouvait comme par miracle l’usage de ses jambes, elle n’attendait pas que les bestioles qui habitaient le vase soit plus près d’elle pour s’enfuir au loin.

Quand la petite fille jugeait être assez loin de la menace, elle décidait d’explorer plus en profondeur le reste des lieux, en essayant d’oublier l’expérience qu’elle venait de vivre. Elle détestait vraiment les insectes ! Elle devait donc trouver un autre vase qui contiendrait la soi-disant photo, cette épreuve ne plaisait réellement pas à l’enfant car elle savait que la photographie ne serai qu’une feuille blanche, cela lui faisait d’ailleurs un peu mal au cœur.
Cela faisait plusieurs minutes que Sakura regardait autour d’elle avant d’avancer un peu plus ou changer d’angle de vue, mais ce petit jeu commençait à un peu énervé la blonde. Où était ce satané vase ? Finalement assez agacée, elle se disait que le plus simple était de retourner près de la ligne blanche, peut-être verrait-elle plus facilement sa cible. Les yeux bien fixés vers son nouveau objectif, la Komatsu ne regardait pas réellement où elle mettait les pieds et se qui devait arrivée, arriva, elle se retrouvait étendue de tous son long sur le sol. En colère contre elle-même, d’avoir fait pareille maladresse, elle regardait quand même la cause de sa chute, ses yeux s’agrandissait d’étonnement pour ensuite prendre une expression qui ressemblait à de la joie. Elle ramenait ses jambes sous elle, alors qu’elle replaçait sa Dolly sur ses genoux, puis ensuite elle empoignait le vase et sans ménagement le retournait, le résultat ne se faisait pas attendre même si la petite fille ne s’y attendait pas, il y avait un deuxième vase dissimulée dans le premier et celui-ci s’éclatait au sol dans un magnifique bruit de verre brisé. Sakura s’était dépêchée de placer une de ses mains devant ses yeux pour qu’aucun des éclats ne puisse venir s’y loger, au bout d’un moment, elle enlevait son rempart et cherchait des yeux ce qu’elle venait chercher. Sans se soucier des débris ni même si elle allait se coupée ou non ; elle dirigeait sa main tremblante vers l’image qui était au centre des morceaux de verre, celle-ci était bien blanche mais la petite fille espérait que ce n’était qu’en raison du faîte que celle-ci était de dos. Prenant une bonne inspiration, elle retournait avec lenteur le cliché, la peur de se qu’il pouvait y figurer, à l’occurrence rien, mais une fois de plus la surprise saisissait les traits de la fillette.

Sakura avançait plus par automatisme que par réelle conscience vers le panneau blanc alors qu’elle y plaçait la photo en question. Elle n’arrivait toujours pas à y croire ! Elle avait bien un visage sur la photographie, par contre que ce soit, celui de Kouen, la perturbait légèrement mais elle mettait cela de côté sur le moment. Un sourire doux et heureux sur les lèvres, tous ce qui importait, était que le portrait n’était pas vierge !

Alors que Kaede jugeait la pièce sans se préoccuper du reste, elle inspecta chaque recoins dans l'espoir de trouver un indice sur le pourquoi sommes-nous ici? ... Question qu'elle se posait à peine entrée dans la pièce. La dernière participante entra dans la pièce, ce qu'elle jugea comme dernière participante car l'accès se referma aussitôt derrière elle. Puis une voix neutre retentit dans l'ensemble de la pièce...

« Bienvenue à tous, et merci d'avoir répondu à notre invitation. Vous ne savez pas encore ce qui vous attend.. Un bal? Une salle de discussion? Et si nous jouons à un jeu? Je serai votre guide du jour.. ou de la nuit. Je vous prie de vous aligner derrière la ligne blanche. Dans quelques secondes, les portes du fond s'ouvriront pour donner sur une salle. Y sont cachés dix vases de verre, dans l'un de ces dix vases se trouve la photo de la personne à qui vous tenez le plus. Il faudra la trouver et revenir la coller sur le panneau se trouvant juste sur votre côté. N'abîmez pas trop la photo, ce serait dommage.. »

Si ils avaient pu poser des questions, Kaede en aurait eu pas mal... Pas forcément sur la manière à procéder, mais plutôt la manière dont ils ont procédé pour savoir qui était cette personne à qui elle tenait le plus... Jouer à un jeu, des vases... Cela ne pouvait pas être bien compliqué, pourtant elle sentait le coup fourré...Ils n'allaient pas leur facilité la tâche, ça elle en était persuadée. C'est alors qu'un décompte qui s'arrêta à 5 s'afficha avant d'ouvrir les portes et de dévoiler une pièce plus grande, des vases en décoration sur n'importe quel surface et en verre...

A eux de jouer et de piocher dans le bon vase... Kaede se dirigea d'un pas à la fois rapide et lent... Elle regarda le vase en verre posée sur un table basse et y plongea sa main, elle tâtonna un peu et elle sentit une main agrippée violemment. Sa main emprisonnée, elle tira d'abord fort pour essayer de s'en détacher mais sans succès. Kaede ne paniquait pas, mais n'aimait pas que son bras soit ainsi accroché. Et alors que les autres participants essayaient des vases à leur tour Kaede tirait encore. Elle s'aida de la table pour se pousser en arrière, mais rien, elle était accrochée à ce bras...

Pendant au moins dix minutes elle essaya de se libérer, mais sans y arriver, elle relâcha alors toute force, comme si elle allait donner sa main, et plongea un peu plus au lieu de vouloir la sortir... La main qui la tenait fermement relâcha son emprise, et Kaede en profita pour enlever rapidement sa main. Elle resta accroupie regardant un peu sa main endolorie à force de tirer... Elle se releva ensuite et vit un vase au plafond, là elle crut qu'au moins elle ne risquerait pas de se faire piéger, du moins c'est ce qu'elle pensait... Elle prit un chaise qui se trouvait pas loin et attrapa le vase sans trop de difficultés avant de le regarder un peu avant.

Là elle se demandait si finalement ce n'était pas un piège aussi.. Elle redescendit de la chaise et éclata le vase de verre au sol, juste au cas où. Une photo! Kaede se baissa et l'attrapa se coupant un peu un doigt au passage, elle regarda la photo avec étonnement... Elle s'avança près du tableau tout en regardant la photo... Sur la photo, un garçon, la personne à qui elle tenait le plus de toute évidence. Le visage de Toshiro sur un papier glacé. Elle l'accrocha alors au tableau, stupéfaite. Puis recula un peu, perdue dans ses pensées...

La porte veut la manger? C'est l'impression que ça en donnait en tout cas. Peut être parce qu'elle est arrivée en retard. En même temps, elel n'avait aucune envie d'y aller, et le retard, c'était sa petite vengeance dirons nous...

« Bienvenue à tous, et merci d'avoir répondu à notre invitation. Vous ne savez pas encore ce qui vous attend.. Un bal? Une salle de discussion? Et si nous jouons à un jeu? Je serai votre guide du jour.. ou de la nuit. Je vous prie de vous aligner derrière la ligne blanche. Dans quelques secondes, les portes du fond s'ouvriront pour donner sur une salle. Y sont cachés dix vases de verre, dans l'un de ces dix vases se trouve la photo de la personne à qui vous tenez le plus. Il faudra la trouver et revenir la coller sur le panneau se trouvant juste sur votre côté. N'abîmez pas trop la photo, ce serait dommage.. »

Oh, voilà donc ce qui les attendait. Un petit jeu de piste en somme. Mais ce qui est à chercher pouvait poser problème. Mais bon. Les portes s'ouvrirent comme prévu, laissant place au fameux vases... Chercher où attendre que les gens trouvent pour avoir plus de chance de tomber sur le bon? Ca parait être une bonne idée... Une petite fille passa et eut la chance d'avoir une petite visite d'insectes. Ouf, au moins elel n'aura pas à se coltiner des inscetes, pour peux qu'il y aurait des milles-pattes [Oui, Koro est mille-pattes-phobe]. près, c'était possible qu'un autre vase soit aussi rempli d'insecte... Après ce fut une autre fille, mais cette fois un bras l'empêcha de se balader dans la pièce. Mince, il ont l'esprit tordu ceux qui sont à l'origine de ce fichu jeu...

Finalement, Koro quitta le mur pour aller rendre visite aux vases. Elle n'est pas une grande sportive, et l'idée d'aller sur les plafond ne l'enchantait pas. Elle alla donc rendre une petite visite courtoise aux vases de la table. Lequel choisir? Elle pris le premier en face d'elle et mit la main dedans. Puis, ne pouvait plus l'enlever. Okay, le vase lui mange... non, lui colle la main. Sympa, une main en moins U_U". Mais le vase est beau, ce serait pas mal comme décoration dans sa chambre... Hum hum, on est pas là pour voler Koro. Bon, et bien, allons voir les autres vases. Elle mit la main dans le vase qui se trouvait à côté et sentit du bout des doigt du papier. Trouvé? Elle saisit le bout de papier et le sortit et failli faire un arrêt cardiaque.

Ca ne pouvait pas être sa photo, voyons, Nakao ne compte pas autant pour elle, c'est juste un moyen de se renflouer les poches, non non non. Oui, bon, à d'autres, de toutes façon, t'es grillée. On le sait très bien que tu l'adores le grand idiot pot de colle. Vas donc l'accrocher au tableau et essayer de te débarrasser du vase. Elle essaya de retirer la main, du vase, sans grande conviction. Oui, le vase est toujours aussi collant. Elle allait donc se balader avec un vase au bout d'une main, n'ayons pas l'air stupide U_U. Elle tira le vase et commença à avancer vers le tableau, vase dans une main, photo dans l'autre. Elle l'accrocha au tableau un peu hésitante, non, ce n'est pas une photo qui va la trahir, enfin, espérons..

[Pourquoi tout le monde tombe sur un piège ert SA photo ?On peux très bien chercher ailleurs >w<]

Lorsque la voix se fit entendre, Marya ne leva pas la tête, se concentrant plutôt pour que l'horrible raisonnance ne lui déchire pas les tympans. Elle s'executa sans broncher avec les autres participant, fixant le fameux mur, avant que son attention ne soit atiré par les chiffres volants :

*Hollogrames ?*

Puis quand les portes s'ouvrirent, le sol trembla un peu avant de laisser entrevoir vette immanse pièce. Par reflexe, Marya compta : Huit vases. Il en manquait deux. Elle s'avança en même temps que tout les autres, puis se mit à regarder autours d'elle. 6 posé sur une table, un qui flottait en l'air, un autre collé au plafond. Ne pas chercher midi à quatorze heures, en supposant que la voix ait dit la véritée, il y en avait deux qui étaient cachés, et il ne pouvaient y avoir que 5 photo. Logiquement, il y a des chances pour que la plupard soient sur une table, car essayer de chercher là-haut avant d'avoir essayer le plus simple serait un perte de temps. Qu'y avait-il vraiment à craindre ? autant ne pas se fatiguer pour rien ... Même si ilks sont sadiques ici, autant ne pas se compliquer tout de suite et de constater après qu'il y a un problème.

Un pas devant l'autre, le loup devant les yeux, puis on s'arrête devant une table où trône un vase. Joli vase, porcelaine pur et décoration fines, voyons voir ... Marya soulève le pot, entend un legers cliquetit et reçois bientôt dans ses narines une odeur suave et douce comme un primptemps sur une allée de cerisiers en fleurs. Elle fouille, rien : elle à juste une envie indescriptible de fermer les yeux, de moins en moins envie de respirer. Elle inspire un grand coup pour ne pas se sentir s'étouffer et repart, sans se douter que dans à peu près un quart d'heure, elle tomberait dans les pommes.

Vide. Pourquoi vide ? Poiurquoi ce petit bruit ? Pouquoi ce doux parfum ? Elle se décida à chercher dans un des vases du dessus, montant sur la table pourprendre entre ses mains celui qui dérivait dans l'air, puis elle fouilla dedans : il y avait certe une image, mais pas celle de la personne qui lui était le plus cher.

*Kaoru-sempai ... Est-ce que ... ?*

Elle regarda les autres participant. Peut-être l'une d'elle faisait partie des amis de Kaoru, mais elle ne comprenait pas vraiment. Malgrés qu'ils soient dégisés, simplement déguisé, il semblait ne pas être des personne que Marya pouvait connêtre. Ah moins que ...

*Leur voix. Ils ne peuvent pas changer leur voix.*

-Excusez-moi ... Quelqu'un ici connais Kaoru-sempai ? Je ne crois pas que ce soit pour moi.

Puis elle posa la photo sur la table et s'avança vers une autre, regardant intensément le petit récipiant. Elle tendis la main, puis elle la plongea à l'interieur. Elle sentie une sensation glacée lui parcourir le bras avant de sentir certain de ses organes inteieur à vif, juste au niveau du poignet.

Ses yeux commançaient à se troubler, puis elle retira la main lentement : elle lâcha le loup qui tomba par-terre, puis mis sa main désormais libre devant la bouche. Ses jambes tremblèent bientôt avant de ne plus tanir et de la laisser s'effondrer sur place, les yeux river sur l'autre main. Autre main d'ailleur qui pour elle, n'existait plus.

*Je n'ai ... Plus de main ... Du sang ... Beaucoup de sang ... Une nuit ... Trop de sang ... Plus de main ... je n'ai plus de main droite !*

Un petit déclique, puis un son qui se propage, d'abord doux, aigu ... Puis plus puissant, plus eprçant, plus violent : jusqu'a ce qu'il n'y ait plus qu'une petite plainte aiguë qui ne cessa que lorsque la fatigue la pris. Elle s'effondra 14 minutes après le début du jeu, avec l'impression illusoire mais fortement réaliste qu'elle avait une main coupée.

[HRP > Je sais pas si c'est autorisé, donc si c'est pas bon je change vv']

Bienvenue à tous, et merci d'avoir répondu à notre invitation. Vous ne savez pas encore ce qui vous attend... Un bal? Une salle de discussion? Et si nous jouons à un jeu? Je serai votre guide du jour... ou de la nuit. Je vous prie de vous aligner derrière la ligne blanche. Dans quelques secondes, les portes du fond s'ouvriront pour donner sur une salle. Y sont cachés dix vases de verre, dans l'un de ces dix vases se trouve la photo de la personne à qui vous tenez le plus. Il faudra la trouver et revenir la coller sur le panneau se trouvant juste sur votre côté. N'abîmez pas trop la photo, ce serait dommage...

Placidité et impassibilité, voilà les deux mots qui régissaient toute la vie du roux et surtout qui régissait cet instant tout particulier. Jouer un jeu ? Les Maîtres de Takuetsu ne savaient vraiment plus quoi faire pour se divertir. Des menaces à demi cachées ? Qu’importe. Ishiro avait vécu des choses que nul ici n’aurait put supporter. Si certaines personne ici n’avait vécu que le tiers de ce qu’Idogawa avait vécu, cette personne se serait sûrement suicidée depuis longtemps. Alors pour l’universitaire, les facéties d’un goût douteux de ceux qui dirigeaient l’académie n’était que comme un gravillon dans sa chaussure : très énervant mais pas assez pour qu’il en face grand cas.
Le compte à rebours arriva à la fin et d’un pas lent mais sûr, le roux pénétra dans cette salle où tous s’affairaient déjà à trouver la photo qui leur correspondait. Un cri, et une silhouette plus petite que les autres s’écarta d’un vase débordant d’araignée et d’insecte en tout genre, deux nouvelles informations pour Ishiro : cette silhouette était à très forte raison un primaire et au vu de la poupée, une primaire et deuxième info, les vases peuvent nous réserver quelques surprises. Il était temps pour Ishiro de trouver sa photo.
Ishiro se concentra. En effet, l’image d’une photo était obtenue par la réaction chimique que la lumière déclenche sur le chlorure d’argent. Ainsi donc, Ishiro n’avait qu’à trouver une source d’argent avec son don pour tomber sur les photos. Mais il ne sentit rien, rien du tout. Pas la moindre photo mais il ne sentait pas non plus les innombrables bracelets qu’il portait, cachés sous les manches amples de son kimono traditionnel. Ainsi, ils avaient réfléchit à cette possibilité, la possibilité qu’Ishiro agisse de cette manière…soit, à la guerre comme à la guerre.
Idogawa se dirigea, pas assuré, vers un des vases qui se trouvait sur la table et y plongea le bras. Dans le fond, Ishiro ne sentit rien d’autre qu’un liquide assez poisseux. Retirant sa main de là, il s’essuya contre les plis de son habit. Et se mis en quête d’un autre vase.

Excusez-moi ... Quelqu'un ici connais Kaoru-sempai ? Je ne crois pas que ce soit pour moi.

Cette voix, Ishiro la connaissait. Akatsuky Marya. Il avait eu l’occasion déjà de la rencontrer lors du tournoi de la Saint Valentin.
Une photo de Kaoru ? Aucun doute n’était permis, c’était la sienne. Sans dire le moindre mot, Ishiro se dirigea vers la table ou la jeune fille venait de poser la photo qu’il récupéra. Mais ce n’était pas le portrait de Kaoru qui lui souriait sur la photo mais bel et bien Itashi Idogawa, son père adoptif.
Comment Marya avait elle put le confondre avec Kaoru ? Là était toute la question. Mais le phénomène s’expliqua quelques instants après, lorsque, sous un certain angle, l’image d’Itashi céda sa place au portrait de Kaoru. Ainsi, cette photo ne comportait pas une seule personne mais deux.
Mais fait inexplicable, la vision de l’universitaire se brouilla. Que lui arrivait-il ? La fatigue le gagnait peu à peu sans réelle raison apparente. Son regard essaya de se poser sur ce qui l’entourait essayant de trouver l’origine de tout cela puis une idée parcouru son esprit : ce liquide qu’il avait touché quelques instant auparavant, ce pouvait-il que ce fusse un somnifère à l’état liquide ? Si s’en était bien le cas, Ishiro ne possédait pas trente-six solutions. Concentrant son don, il transforma sous son kimono, à l’abri des regards, un katana de la plus belle facture ainsi que son fourreau. Dégainant, les autres ne pouvait désormais ignorer que Ishiro était armé…mais de là dire d’où il sortait son arme ….maîtrisait-il le métal ou pouvait-il faire apparaître des objets, pouvait-il transformer des objets en d’autres ou altérer la réalité pour faire comme s’il l’avait toujours eu ? là était la question.
Dégainant disais-je, Ishiro passa la main sur le fil de l’arme et s’ouvrit légèrement à la paume. La décharge d’adrénaline alors dégagée lui rendu alors une vue correct et cette hormone sembla dissiper tous les effets du soporifique. Ça n’est pas aujourd’hui que l’académie l’aurait avec un produit aussi grossier.
A côté de lui, Marya s’effondra, un regard apeuré sur le visage. Etait-elle en train de réagir elle aussi à un autre produit ? Le fait était qu’il la laisser tel quel : chacun ses problèmes après tout.

Les événements se passaient comme prévu. Chacun avait sa propre manière pour ramener sa photo, et l'on pouvait dire que tous les coups étaient permis... encore fallait-il prendre le risque, car le prix à payer n'était pas annoncé. Alors que la première épreuve n'était pas encore terminée pour tous, des portes firent apparition dans le fond de l'immense salle. Au même moment, le mur où étaient accrochées les photos se transforma en un gigantesque miroir où les photos se fondirent dedans.

« Oh, je viens de voler vos photos. Voulez-vous les récupérer? Il faudra en récupérer la clé au-delà du labyrinthe qui se cache derrière les nouvelles portes... »

Dans un grincement insupportable, comme pour annoncer le ton de la nouvelle épreuve, les portes s'ouvrirent laissant place à un immense labyrinthe. Labyrinthe composé d'une forêt de ronces, et dont l'objectif final est une piscine de sang. Problème, l'endroit est assez large pour qu'une personne passe à la fois... Quand à la piscine, elle est par contre tellement grande qu'elle pourrait contenir quelques dizaines d'éléphants. Il faudra alors se battre pour prendre la tête de la course. Mais pourquoi se battre, ce n'est qu'un jeu futile après tout ?

« Vous avez 20 minutes pour trouver votre clé... La clé se situant dans la piscine de sang. Cela tombe bien, vous ne trouvez pas qu'il fait le temps idéal pour se baigner un peu? »

La main sanglante d’Ishiro le lançait un peu. Mais n’était-ce pas là le but recherché ? Sa blessure ayant déclenché un doux mélange d’adrénaline et d’endomorphine, le poisson de contact que le roux avait absorbé semblait de plus en plus loin désormais. Sa vue était revenue parfaite et son sens aussi aiguisés pour ne pas dire plus que d’ordinaire. N’était-ce pas chose des plus merveilleuses ? Mais pourquoi se réjouir alors que sur le mur, devenu miroir les photos semblaient de plus en plus lointaine, comme se noyant des les profondeurs abyssales de cette étendu qui renvoyait à qui le regardait son reflet, les visages d’hommes et de femmes masqués. En soit, c’était un reflet d’une toute autre réalité aux yeux d’Ishiro : dans cet univers qu’il détestait autant qu’il le trouvait essentiel à sa survie, il n’avait de rapport avec personne ou presque et à son regard, tous n’était qu’apparence physique des mensonges qu’ils portaient en eux. Chacun cachait son secret en général, chacun se voilait la face quant à leur nature et, le pire, chacun se mentait au autres et tranquillisait son âme en se disant que c’était pour protéger son entourage. Foutaises ! Une seule bonne manière de gérer la situation était la bonne : celle d’Idogawa, celle qui consiste à vivre en éternel solitaire. Aucun lien n’avait vu le jour donc il n’aurait personne à qui demander pardon, il n’appréciait personne et donc aucun regret à les blesser.
Dire qu’il n’avait de liens avec personne serait faux étant donné qu’il trouvait pour le moins intrigante cette jeune fille qu’était Kaoru Mikari et que cette même jeune fille s’était trouvée sur la photo qui lui avait été octroyé. Elle était encore loin d’atteindre dans son cœur le rang de celui qui avait était son père depuis maintes années…mais bon qu’en savait-il. Un écrivain disait que s’il fallait trouver tout les handicaps que notre pouvait avoir, le plus grand était la cécité de notre cœur.

Oh, je viens de voler vos photos. Voulez-vous les récupérer? Il faudra en récupérer la clé au-delà du labyrinthe qui se cache derrière les nouvelles portes...

La porte s’ouvrit, grande, majestueuse, magistrale. Si aux oreilles de tous, ce ne devait ressembler qu’à un vulgaire grincement des plus exécrables, aux oreilles d’Ishiro bourdonnait la symphonie du métal contre le métal. L’espèce humaine était des plus bizarres à ce propos. Ayant passé plusieurs millénaire a sein de la nature, la respectant tout en la craignant, l’Homme avait finis par choisir de s’en dissocier et d’user de moyens pour créer son monde…le métal en était le plus bel exemple de cette envie de dénaturalisation. Et désormais, qu’entendons-nous ? ‘Il faut à tout pris réagir sinon le monde court à sa perte’ ‘Revenons-en à l’essentiel que la nature nous fournis et renouvelle’. Ainsi, l’Homme avait inventé de bien belles choses mais les rejetaient. Ishiro était contre tout ça : le métal, les innovations effectuer par son biais, tout cela était son monde. Et puis, l’Homme avait créé le métal en l’ayant toujours trouvé disgracieux : il les avait peint, cachés sous des boiseries ou dans des gaines ou encore enfouis dans la Terre. Idogawa aimait le métal pour ce qu’il était : quoi de plus beau que le reflet rose du cuivre sous une lumière matinale, que le jaune vif de l’or ou encore le gris bleuté du zinc ?

Vous avez 20 minutes pour trouver votre clé... La clé se situant dans la piscine de sang. Cela tombe bien, vous ne trouvez pas qu'il fait le temps idéal pour se baigner un peu?

Si notre mystérieux inconnu à la voix si agaçante avait voulut susciter un quelconque dégoût avec ces dernières phrases, c’était se donner beaucoup mal pour pas grand-chose pour le cas de Ishiro car ce ne fut pas la moue écœurée ou les regards désapprobateurs qui ‘apparut’ derrière son masque mais comme toujours, une profonde impassibilité, cette immuabilité qui le rendait hermétique à tout le flan-flan émotionnel des autres et protégeait son âme de la perversion du monde extérieur. Une course, voilà ou l’étrange hôte voulait en venir… ou bien un combat général. Jugeant du regard les autres qui l’accompagnaient, le roux ne doutait pas une seule seconde qu’il aurait l’avantage physique pour lui, quand bien même les autres participants en viendraient à se jeter tous sur lui. Les Dons ? Certes c’était le facteur de surprise de la soirée mais Ishiro savait qu’il pouvait devenir cruellement pour ne pas dire inhumainement dévastateur quand son autre lui l’emportait sur son esprit ?
Se tournant vers ceux qui semblaient eux aussi réfléchir à ce qu’ils allaient faire, Ishiro prit sa décision. Un pas. Un autre et puis encore un autre. Il était désormais sur le palier de la porte gigantesque et regardait le labyrinthe qui s’était devant lui. Je ne dirais pas ‘à perte de vue’ car la dite vue ne pouvait aller plus loin que le mur de ronce devant lui. Les passages ne pouvaient guère plus laisser passer qu’une seule personne. Il existait alors deux possibilités : faire équipe tous ensemble pour un travaille des plus sérieux et des plus efficaces mais très lent ou bien faire du chacun pour soit au risque de devoir affronter les autres….Ishiro choisissait lui la troisième possibilité.

Partez devant, partez tous. Je n’ai guère envie de faire ce voyage avec vous et l’envie qu’on me poignarde dans le dos pour trouver une maudite clé m’est des plus désagréables.
Oh et tant que j’y suis, tenter de me raisonner ou de me faire changer d’idée ne ferait que vous faire perdre votre précieux temps.

Sur ces mots, Ishiro rengaina sa lame qui l’avait sortit de son état pseudo comateux et mis des mitaines qu’il avait pris ‘au cas où’. De lui, tous ne pouvait donc que voir un homme vêtu d’un costume traditionnel, masque sur le visage et mitaine d’archer couvrant la plaie qu’il s’était fait. Rien de ce que put dire ou faire les autres ne le fit changer d’idée et il s’adossa bientôt contre un mur, les regardant partir les uns après les autres, s’enfonçant vers cet inconnu d’où s’éleva bientôt le cri de la première personne qui se retrouva avec une épine dans une partie de son anatomie quel qu’elle fut. Puis quand tous furent partis et cinq bonne minutes écoulés, Ishiro entra dans le labyrinthe. Marchant avec précaution pour ne pas abîmer ses habits prenant toujours la même direction, toujours la gauche.
Les minutes filèrent les unes après les autres et malgré tout ce temps passé, il n’avait croisé personne ni ne les avait entendu. Mais il aurait été fort probable qu’il ne les aurait pas entendus : gardant juste ce qu’il faut de concentration pour ne pas se planter dans les ronces, Ishiro étendit son Don autour de lui. Une piscine de sang. Pour la construire et pour qu’elle puisse supporter la pression du sang, qui est soit disant plus forte que si cela avait été de l’eau, il fallait avoir coulé un réceptacle en béton possédant une armature métallique et toute la technique d’Ishiro reposait sur la détection de ce métal.
Et il marcha et marcha encore, suivant la direction qu’il avait choisie en toute circonstance, recherchant la moindre senteur de métal dans son aura. Une dizaine de minute avait du passer depuis le début de l’épreuve jugea Ishiro et il n’avait pas encore trouvait ce qu’il recherchait. Certes, son kimono était immaculé de toute souillure ou écorchure due à des ronces mais cela ne servirait à rien s’il en venait à ne pas trouver la clé tant recherchée. Et puis, comme l’onde de choc d’une bombe, l’armature de la piscine apparue dans le rayon d’aura d’Ishiro, à 200 mètre au sud-sud-est, et au fond de cette gigantesque fosse à fluide organique, plusieurs petites sources métalliques autres et qui montra à Ishiro lorsqu’il les dissocia et les compta que personne encore n’avait réussis à les avoir. Idogawa développa alors son pouvoir et attira toutes les clés vers lui, les faisant traverser tout les murs de ronces qui les séparaient de lui. Quand il les eu en main, il remarqua qu’elles étaient toutes identiques. En prenant une, il renvoya les autres au fin fond du bassin où elles se trouvaient auparavant. Il finit enfin par reprendre le chemin qu’il avait emprunté pour venir jusqu’ici, plus rapidement car le pas plus assuré, et arriva dans la salle cinq minutes après.
Cette épreuve n’était avant tout qu’une épreuve d’orientation, même si Ishiro avait légèrement contourné ce principe, mais ce serait désormais aussi une épreuve pour l’esprit…mais ce seulement pour les autres participants. En effet, comment réagiront-ils lorsqu’ils reviendront dans cette salle, griffés au sang par les ronces, dégoulinant de sang provenant de cette piscine infâme et très certainement à bout de souffle pour avoir courut à travers ce fichu labyrinthe, et qu’ils verront Ishiro, nickel, pas la moindre tâche, pas la moindre éraflure, irradiant comme d’accoutumé de puissance ? Réagiront-ils violement ou couleront-ils doucement dans une dépression passagère ?

[HRP : Je rédige tout mon épreuve en un post car je ne sais pas quand je pourrais me connecter de nouveau. C’est aussi pourquoi j’ai fait des actions qui ne pourra pas influer sur les actions de vos perso. Alors faites deux ou trois tour si vous le souhaitez (et je vous le conseil) et moi j’essai de m’arranger pour avoir une connexion internet qui marche pour la prochaine épreuve. Désolé]

Des photos, des pots, des masques? Y a t il un but à cette mascarade? Sans doute pas. Après tout, c'est surement amusant de voir des élèves masqués se battre pour rien. Pour de vulgaires photos pourtant si précieuses. Qui a t-il de plus amusant que de les voir enfermés dans une pièce, à la merci de la moindre attaque. Ils sont vulnérable. Et on s'appuie sur leur points faibles. Leurs points faibles? De vulgaire photos? Amusant.

Lorsque les photos furent accrochées sur le panneau, ce dernier se changea en miroir. D'illusion en illusion, la salle aussi changeait.

« Oh, je viens de voler vos photos. Voulez-vous les récupérer? Il faudra en récupérer la clé au-delà du labyrinthe qui se cache derrière les nouvelles portes... »

Une invitation à une autre fête? Une clé dans un labyrinthe? Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Mais après tout, ce n'est qu'un jeu, un simple jeu, n'est-ce pas? Une porte s'ouvrit, et un royaume de ronces digne d'un conte de fée apparu... Immense... Et tout aussi dangereux.

"Le jeu va devenir sanglant..."

Comme s'il ne l'était déjà pas... Après tout, n'y avait-il pas quelqu'un qui s'était évanoui, avec une main en moins? Un jeu sans danger n'a rien d'un jeu. Enfin, ici en tout cas, ce serait trop simple.

« Vous avez 20 minutes pour trouver votre clé... La clé se situant dans la piscine de sang. Cela tombe bien, vous ne trouvez pas qu'il fait le temps idéal pour se baigner un peu? »

Vingt minutes? Et après, ceux qui ne trouvent pas s'endormiront, mourront? Ce serait peut être amusant. La Niwa regarda les masques. Qui était qui? Qui était un danger pour elle? Elle ne tarderait pas à le savoir, il lui suffisait juste de déclencher le mécanisme du masque. A croire qu'ils avait prévu qu'elle se servirait de son œil. Enfin, ils ont sans doutes tout prévu...
Elle s'apprêtait à porter sa main à son masque quand une voix brisa le silence.

Partez devant, partez tous. Je n’ai guère envie de faire ce voyage avec vous et l’envie qu’on me poignarde dans le dos pour trouver une maudite clé m’est des plus désagréables.
Oh et tant que j’y suis, tenter de me raisonner ou de me faire changer d’idée ne ferait que vous faire perdre votre précieux temps.

Puisqu'il y tient tant, autant le laisser faire ce qu'il veux. Ce n'est pas son genre de se jeter sur les gens en essayant de les détourner de leur but. Ca, c'est qu'en cas de besoin. Et puis les gens font ce qu'ils veulent, s'il veulent partir en dernier, pourquoi pas.

- Puisque tu tiens à partir n dernier, il faut bien un premier... Le passage est trop serré pour passé à plusieurs.

Elle n'ajouta rien d'autre, mais se tourna vers la labyrinthe. Et y entra. Elle ne partait pas pour arranger les autres, mais parce qu'attendre est déplaisant.

Une fois dans le labyrinthe, elle posa une main sur le mur droit et commença à avancer. Les pointes des ronces s'enfonçaient légèrement dans sa peau, et plus elle avançait, plus le chemin semblait se rétrécir... Dommage pour la forêt de ronces, mais c'est par là qu'elle veut aller...

Sakura était assise tranquillement sur une chaise, elle avait regardé la première personne parler, d'ailleurs celle-ci avait été particulièrement imbuvable, un vrai prétentieux ! En plus celui-ci n'osait même pas s'engager dans le chemin, de la parlotte pour rien en somme. Serrant sa poupée contre elle, les jambes remuant dans les airs, vu que la chaise était très haute, elle observait la première victime de se jeu s'avancer. Une jeune femme qui se chargeait de s'empresser dans le passage étroit, on pouvait dire que le seul garçon du groupe était galant mais personne ne l'aurait cru, elle la première. Elle n'était qu'une petite fille seulement elle savait que c'était du ''devoir'' des monsieurs de passer devant pour contrer le danger, du moins c'était se que disait son livre sur l'époque moyenâgeuse.

Pourquoi est ce que la fillette restait là ? Pourquoi n'allait-elle pas rejoindre ses congénères dans cette nouvelle chasse aux trésors ? Tout simplement parce que cela n'intéressait pas la japonaise. Elle avait eu très peur que la photographie soit vierge et le faîte que cela ne soit pas le cas, lui avait réchauffer le coeur. Cependant elle n'était pas prête à partir en croisade pour la récupérer car ce n'était pas le plus important à ses yeux...ensuite si elle avait vraiment envie d'une photo de Kouen, elle devrait prendre son courage à deux mains pour la lui demander. Là, elle ne voyait vraiment pas le but de l'aventure...

Plusieurs minutes plus tard, Marya ouvrit enfin les yeux. La salle n'était déjà plus la même, et les poupées en costumes s'avançaient déjà dans un mur d'épines qui ne rappelait rien de bon à la princesse blanche.

Valentine's Day ... J'ai mal au bras ...

Puis elle regarda sa main : oui, elle avait belle et bien disparue. Ses nerfs étaient entièrement à vif, et la douleur s'intensifiait et s'engourdissait par vagues successives. Elle ferma les yeux quelque secondes, puis les ré-ouvrit : le moignon était toujours dans le même état : elle passa la main dessus, et l'illusion était sans faille : elle pensait vraiment qu'elle n'avait plus de main droite. Elle ne parvenait plus à la toucher, à ressentir le mouvement qu'elle effectuait : rien qu'un vide et une douleur indescriptible. Son visage, à mesure qu'elle se rendait compte, devenait de plus en plus froid derrière le masque qu'elle portait. Le véritable masque vint s'assoir à sa place, Marya était de nouveau impassible.

Après un soupir, elle n'avait plus qu'a ce souvenir du visage de Daiichi pour que ce membre perdu ne représente plus rien. Un handicape certain, surtout pour manier le sabre, mais rien qu'un handicape de plus. C'était certes très dur de s'imaginer incapable de combattre, mais Marya n'avait pour l'instant aucun autre choix de l'accepter, de le faire passer pour un détaille mineur, de s'en persuader le plus possible jusqu'au moment où ça prendrait réellement de l'importance.

Elle se releva : visiblement, certaines consignes avaient été données pendant son sommeil, mais elle était incapable de se rappeler quoi : même si elle pouvait entendre des choses pendant son sommeil, il lui était impossible de se souvenir de leur signification, parfois même de leurs existences. Alors elle n'avait plus qu'a se concentrer pour rechercher la photo. Tout les vases, les neufs vases, était déplacés, brisés ou vidé. Il en manquait un, et c'était le sien. Ce vase était quelque part, et pas dans la pièce. Du moins pas dans l'air de la pièce. Tout ce qu'elle avait à faire, c'était étendre son don dans la matière pour trouver. Juste à jouer au radar sur un autre support que l'air. Elle écouta attentivement les répercutions de sa vibration habituelle, augmenta un peu son intensité, afin de vérifier une dernière fois, puis elle se releva lentement, provoquant un mal de tête lancinant, fit quelques pas et se retrouva à s'appuyer contre le mur de sa main qui avaient perdue sa jumelle, et lança une onde. Un choc se répercuta dans son oreille, mais quelque chose de trop grave pour être identifiable. Elle respira un bon coup et ré-émit plusieurs vibration les unes derrières les autres plus aigües, puis forte, des ondes plus claires et distinctes dont les effets secondaires se faisaient ressentir sur le papier peint des murs qui se décollaient et de détachait sous sa main, et quelques gouttes de sueur perlant sur son front. Elle entendit cette fois, très nettement, l'impression de vide et de résonance dans le bas du béton et de la pierre. Elle se recula, se retourna et se laissa tomber sur les genoux pour recommencer, et encore et encore, pendant plusieurs minutes, se rapprochant le plus possible se la caisse de résonance et se retrouva finalement bien au-dessus. Une des solution pour récupérer ce vase ? Sacrifier encore son énergie et sa santé en usant de son don. Sinon, considéré à juste titre qu'apparemment, ce n'était qu'un jeu : il n' y avait aucune raison de faire déplacer Papa-sempai (nouveau surnoms de Nakao Kuroshima puisqu'il avait officiellement épouser la Mama des Seshuus) pour rien.

On tente ? On tente pas ? On se fait sauter l'autre bras ou on arrête ? Tout cela n'était qu'un divertissement, rien d'autre. Pourquoi sacrifier sa vie pour un vase, une photographie, un caprice, un jeu ?

Pour quelque chose de si inutile ?

Mais la vrai question pour Marya ne se situait plus là. La vrai question était : "En était-elle capable ?"

Son don, depuis quelques mois, est surveillé et limité par un bracelet qui lui renvoie automatiquement les ondes qu'elle produit. Étant donné qu'il ne peuvent réduire à néant le don, ils ne pouvaient que le retourner contre elle. C'était simple : il était hors de question que cet te arme de destruction massive, utilisé à grande échelle, ne provoque du grabuge inutile au sein de l'établissement. Chose logique, cela va de soit qu'il ne devrait pas laisser longtemps quelqu'un comme elle sans limites, à moins de vouloir parier sur le nombre de victime qui subirait ses saut de colère inopinés.

Suis-je capable de passer outre cela ? Suis-je capable de contrôler mon don à ce point là ?

Elle voulait savoir. Savoir car depuis qu'elle était arrivée ici, jamais elle n'avait pu apprendre à le contrôler correctement. Elle avait été trop longtemps encadré par la famille des Akatsuky pour être autonome sur le développement de son don. Arriverai-t-elle à se dire qu'il fallait qu'elle travaille, qu'elle s'améliore pour être sûre que personne n'en souffrirait jamais ?

Suis-je capable de contrôler le monstre qui est en moi et de le plier à ma volonté ?

Elle posa sa main sur le sol, respira profondément, avant que de nouveau, des ondes traversent son corps.Elle augmenta la puissance, progressivement ; au bout de quelques secondes, l'objet commença à grésiller de mécontentement. Elle devait rendre la son plus fin, plus doux, tout en le rendant très puissant. Comme une note de musique, comme un coup de sabre parfait. Comme pour planter une lame dans ce sol.

Son bras était de temps en temps pris de spasmes, le bracelet vibrait sans la toucher, renvoyait à la perfection toutes les ondes brutales, trop directes, quelque soit leur puissance. La douleur commençait à s'éveiller, et son front fut bientôt trempé de sueur. Puis, elle aplatit parfaitement sa paume sur le sol, et lança une onde violente et directe, pourtant parfaitement distincte, entrainant un petit son strident ressemblant vaguement au son d'une flute à bec dans laquelle un enfant aurait subitement souffler de toute ses forces et provoqué un horrible mais superbe la, en seulement une seconde de souffle. le sol se brisa, éclata, et un millième de seconde plus tard, la note déformé se répercuta contre le bracelet qui envoya une décharge violente dans son bras, lui arrachant un petit cris de douleur instinctif. Un peu de sang s'envola et ré-atterri sur le sol, dans le trou noir.

Dans l'énorme fissure, tout au fond, brillait sous la faible lueur une porcelaine bleu d'une beauté exquise. Marya se pencha juste pour tirer, sentant une résistance : c'était trop étroit pour que la vase puisse être exhumé. Il y avait bien une fêlure dessus, indiquant le passage de l'onde, indiquant aussi qu'il avait été fragiliser. Elle soupira et, d'un coup de poing sans force réelle à cause du manque de place, brisa le magnifique vase (quel gâchis T-T) et pu en extirper un morceau de papier. Elle s'allongea, respira profondément et regarda le clicher : Daiichi y était, vu de haut et souriant comme un idiot. la photo avait été prise à son insu.

Une goute de sang retomba sur son visage, remettant au goût du jour dans son esprit l'erreur de manœuvre que lui avait cruellement rappeler le bracelet limitatif. Certe, elle avait foirer sur la fin. Mais ...

Tekkita ...
[je l'ai fait]

Elle ferma les yeux et laissa retomber son bras, pour se reposer quelque secondes. Un grand silence régnait, les autres était parti il y a longtemps. Elle se mit de côté et appuya sa tête sur son bras pour entrevoir le mur du labyrinthe aux épines d'aciers : Y aller ?