[Flash-Back] Test et découverte, suite [PV : Zuka Suzaharu] [NA]

Invité

Lorsque celle qu'on appelait comme "la secrétaire" du directeur lui proposa un repas, la réponse ne se fit pas attendre... enfin, c'était surtout son ventre qui avait donné la réponse, tant il avait grondé à l'idée d'un repas.

"Oui, je veux bien"

Il la suivit alors jusqu'au centre ville, où elle semblait se repérer sans aucun mal... Après tout, c'était sans doute normal, elle devait sûrement vivre ici, et donc connaitre ce chemin par coeur. C'était plausible après tout. Plus tard peut être qu'il les connaitra aussi... sûrement même.
Ils arrivèrent près d'un restaurant, il avait l'air très animé, les lumières étaient très vives au dehors comme à l'intérieur, et cela le refroidit un peu. Il ne supportait pas la foule, le bruit, cela l'énervait au plus haut point.
Mais il avait faim, alors il rentra à l'intérieur avec la secrétaire, en se faisant assez petit pour que personne ne le remarque. C'était un peu idiot, mais c'était un réflexe qu'il prenait de plus en plus, il voulait rester invisible aux autres, il ne voulait pas que quelqu'un lui adresse la parole comme ça, en pleine rue ou dans un endroit public, ça le stressait au maximum.
Un serveur s'était approché, et conseillait une place à Zuka, près des vitres. Il ne fit pas attention à ce qui se passait vraiment, il avait faim et était intimidé.
Ils prirent enfin place, mais le jeune garçon ne savait pas comment réagir, il regardait par la fenêtre, en se demandant si ce n'était que des étudiants qui vivaient dans cette ville, ou bien aussi des habitants normaux qui travaillent. Il se promit de le demander à la secrétaire quand il en aurait l'occasion.
Il s'agitait sur sa chaise, il n'arrivait pas à s'asseoir tellement il était gêné. Mais il n'oubliait pas qu'il était aussi là pour qu'elle l'aide, il ne devait pas l'oublier de toute manière.
Il n'y avait pas de menu devant lui, sans doute le serveur jugeait-il qu'il n'était pas assez âgé pour lire ou bien pour choisir lui-même. Il en aurait presque soupiré.
Il attendit patiemment que la personne devant lui prenne la parole, il ne savait pas trop quoi dire.

Zuka poussait la porte de l'établissement, elle recherchait une table de libre mais elle n'avait pas eu besoin de se donner cette peine puisqu'un serveur venait directement la placée. Il était vrai que la femme venait ici au moins une fois par semaine, elle était donc devenue en quelque sorte une habituée. Elle aimait cette endroit pour sa vue mais également parce qu'ici, la conversation était calme. Il n'y avait pas de bruit assourdissant malgré le monde qu'il y avait dans le restaurant.
Une fois qu'elle était assise, par les bons soin du serveur, elle jetait un regard par la fenêtre, une excellente place. Pas besoin de meublé la conversation, ou de faire attention d'écouter avec le paysage sous les yeux. Bien entendu, elle n'était pas venue à un rendez-vous, du moins pas avec un homme d'âge mûr, de toute façon elle n'avait plus ce genre d'événement depuis fort longtemps.

La secrétaire donnait le menu à l'enfant quand elle remarquait que celui-ci n'en avait pas sous les yeux. Elle connaissait la carte par cœur de toute façon, alors elle s'en détachait sans peine. A son grand bonheur, le service ici était rapide, ainsi elle avait du attendre une dizaine de minute avant que le serveur ne vienne rejoindre la table.

- Vous prendrez Mademoiselle Suzaharu ? La femme remarquait que le serveur ne jetait pas un regard vers l'enfant, il se ''dévouait '' tout à elle avant de s'occuper de l'autre client à la tablée. La dame ne savait pas réellement si l'appellation de ''mademoiselle'' lui plaisait, après tout une femme de son âge aurait déjà du avoir une alliance à son doigt. Elle chassait ses tristes pensées puis répondait de son voix sévère, neutre qu'elle utilisait avec ses élèves.

- Une salade comme entrée ensuite vous m'amènerez un steak aux champignons. Je prendrai comme accompagnement une bouteille d'eau. Nous verrons par la suite pour le désert.

Zuka avait insisté légèrement sur le nous, pour que le serveur n'oublie pas le gamin, c'était monnaie courante par ici, à croire qu'ils n'aimaient pas les gosses. Elle attendait donc que l'enfant commande ainsi qu'une quinzaine minutes supplémentaire avant que leur commande n'arrive. La secrétaire attendait que le serveur se retire, elle ne touchait pas à sa salade alors que ses yeux perçant se posait sur le gamin.

- Qu'attendez-vous de ma part ? Demandait-elle alors qu'elle versait le liquide dans un des verres devant elle. Elle buvait immédiatement une gorgée après sa question. Zuka n'avait jamais été pour les alcool ainsi elle n'avait pas à se privé car elle était en compagnie d'un enfant.

Invité

Le serveur l'avait ignoré, comme si la secrétaire était seule à être assise dans ce restaurant, il ne devait pas apprécier les enfants, pas du tout même, vu son regard très... offusqué lorsque la femme insista bien sur le fait qu'ils étaient deux.
Il passa sa commande, un menu enfant constitué d'un steak haché et de la purée, c'était simple mais c'était suffisant, il ne voulait pas non plus trop profiter de sa générosité. Le gamin regardait la salle, des gens s'agitaient, d'autres étaient plus calmes, c'était du vaste monde, tous attablés à des tables différentes, certaines étaient rondes, d'autres rectangulaires, certaines encore, étaient carrés... il y en avait pour tout les gouts, et surtout assez de place sûrement pour accueillir une petite centaine de personnes, mais ça, c'était son avis.
Le serveur finit enfin par partir, et elle en profita pour poser la question qu'il attendait depuis le début, il s'y attendait, c'était pour ça qu'il était venu après tout.

"Qu'attendez vous de ma part ?

C'était si facile à imaginer, à penser, ou même à planifier, mais si difficile de le demander, car Alios n'était pas du genre à demander des services, il voulait d'habitude tout faire tout seul. Mais aujourd'hui il n'avait pas le choix, alors il allait devoir s'en accommoder.

- Qui j'suis ?"

Il avait posé la question, c'était peut être pas clair, c'était un gamin, et bien qu'il semblait très doué pour maitriser les mots, pour son âge, il n'en restait pas moins un enfant de 9 ans, qui n'a pas encore assimilé tout le vocabulaire possible pour formuler un maximum de phrases construites. Elle devra donc se contenter de ça.
Il espérait qu'elle avait la réponse, il ne voulait pas être venu pour rien, et surtout ne pas avoir attendu tout ce temps pour rien.
Le môme avait levé la tête, montrant à nouveau son visage impassible, mais pas encore bien maitrisé.

Zuka s'attendait à une multitude de question mais la seule que venait de formé l'enfant était des plus complexe. Était-il partiellement amnésique ? La secrétaire chassait cette idée immédiatement puisque l'infirmière en chef l'aurait noté dans son dossier dans ce cas là. Posait-il une question métaphysique ? Une fois de plus, elle fut obligé de décliner cette hypothèse, car elle doutait qu'un gamin aussi jeune ne se pose des questions aussi profonde. Surtout qu'elle ne voyait pas trop en quoi elle pourrait l'aidée donc c'était sûrement en rapport avec ce qu'il était mais se qu'elle était également. A savoir qu'est ce qu'ils étaient, toutes ses personnes dans l'Academie. La dame réfléchissait pleinement à la réponse qu'elle pourrait lui donner, sans que cela soit trop compliquer.

- Vous faîtes partie d'une minorité, bien qu'elle semble moins minime, une fois que vous avez mis les pieds dans notre école. Vous avez reçu à la naissance, se qu'on appelle un don, celui-ci vient d'un gène différent des autres. Il est encore dur de savoir exactement d'où et comment est venu le changement mais il est bien là. Sa voix c'était faîte un peu moins sévère mais un ton un peu plus professoral, à la place d'être dur, elle s'était faîte très neutre.

La secrétaire en profitait pour avaler une fourchette de sa salade, comme pour laissez le temps au petit garçon d'assimilé ce qu'elle avait dit, elle n'était pas sûr d'avoir répondu à ses attentes, c'était pour cette raison qu'après avoir avalé sa troisième fourchette, elle demandait.

- Ai-je réussi à répondre à votre question ? Demandait-elle en retrouvant son timbre de voix normale.

Elle attendait la réponse en continuant à mangé, elle n'avait pas réellement regardé l'enfant, juste quand elle lui avait parlé, car quand on répondait, c'était de manière franche en regardant son vis-à-vis mais a présent que le silence avait repris ses droits, cela lui semblait inutile. De plus, elle ne voyait pas l'intérêt de voir quelqu'un manger.

Ainsi elle contemplait les divers personne passé devant le restaurant, elle avait toujours aimé la nuit, préférant l'obscurité au jour. Elle trouvait que tout était différent, les lumières illuminait comme des myriades de luciole la ville tout entière, les étoiles scintillait dans le ciel quand bien même l'air était pollué, on les voyait bien plus en campagne mais la vue du ciel ainsi l'enchantait. De plus puisque c'était l'été, si elle avait fait un pique nique, elle aurait pu entendre les cigales chanté. Elle se serait peut-être baladé le long d'un lac uniquement pour voir la lune se reflétait. Zuka regrettait parfois d'être la secrétaire du directeur, parce qu'elle n'avait plus le temps de profité de ses instants, elle avait conscience plus que jamais dans ce petit restaurant, que son adolescence était bien loin à présent.

Invité

Ce qu'elle venait de dire, le vieil homme le lui avait déjà raconté, et donc cela ne lui fournissait aucun renseignement précis et utile. Elle n'avait visiblement pas compris la question, il allait donc la reformuler comme il se doit.

- Non

Il avala une bouchée de son assiette avant de reprendre là où il en était :

- J'sais déjà ça. Mais pourquoi ?

Une autre chose le tracassait, la même scène qui lui revenait en mémoire tout le temps, et qui d'ailleurs fait toujours son apparition dans le temps présent. Cette scène d'atrocité avant une terrible explosion. La pire scène qu'un enfant eu pu voir de sa vie.

- Mon "don", il avait prononcé cela d'une voix dégoutée, il ne l'aimait pas car il ne pouvait pas faire grand chose à cause de lui, c'est que rien qui est lancé vers moi peut me toucher, alors pourquoi est ce que...

La scène revenait dans sa tête, il hésita un peu avant de recommencer sa phrase, ça lui faisait mal de dire ça.

- Pourquoi est ce que y a les méchants qui sont devenus fous ? Pourquoi quand j'ai crié j'ai fais exploser le village sans qu'il ai rien ?

La question qui lui trottait derrière la tête était sortie, mais après avoir dis cela, les larmes commençaient à couler le long de sa joue, car le souvenir était si vif qu'il en était insoutenable.
Il ne put plus manger, son appétit avait été coupé.

Zuka finissait sa salade puis elle demandait au serveur de lui amener la suite du plat. Elle regardait en coin l'enfant qui était au bord des larmes, elle ne savait pas trop quoi faire dans ses cas là, après tout elle n'était pas réellement douée pour réconforté les gens. Quelque part, elle réalisait réellement que le gosse n'avait pas 10 ans, pour elle, tous les élèves étaient en quelque sorte des enfants mais elle avait des fois tendance à oublier que parmi eux, il y avait vraiment des enfants. Le silence avait prit possession de la conversation, la secrétaire réfléchissait à se qu'elle pouvait bien dire. Après tout, sa première réponse avait été fausse, au du moins pas se qu'attendait le gamin, ainsi elle n'était pas sûr que la suivante pourrait lui convenir également.

Après quelques minutes de réflexion, surtout l'attend du serveur et de sa deuxième commande, elle reposait ses couverts et prenait son verre puis buvait une gorgée avant de s'expliquée. Elle allait commencée par la théorie pour que l'enfant comprenne bien la suite, puis elle pourrait s'y retrouvé plus facilement ensuite si le garçon ne trouvait pas sa réponse satisfaisante.

- Tout d'abord le don est reparti en deux catégorie, qui possède chacune des sous-catégorie semblable. Il y a le pouvoir immédiat, qu'on obtient à la naissance ainsi que le pouvoir lattant qui se déclenche bien plus tard. Pour la catégorie immédiat, le pouvoir que reçoit le bébé, est souvent aléatoire mais se révèle, une carte supplémentaire dans la vie futur de l'enfant. Par contre le pouvoir lattant est plus basé sur la personnalité et le vécu de l'enfant, il apparaît ainsi la première fois ou celui-ci en a le plus besoin.

Zuka se taisait quelques secondes, elle en profitait pour reprendre son souffle ainsi que boire une nouvelle gorgée de son verre d'eau. Elle ne savait pas réellement si elle avait répondu à la question ou non. Elle saisissait sa cuillère à désert et la lançait en direction du gamin. Celle-ci n'atterrissait jamais contre l'enfant, elle semblait être éjecter par une sorte de champs, la cuillère retombait avec un bruit qui semblait sourd sur le sol mais la secrétaire ne faisait pas un geste pour la ramassée.

- Il existe plusieurs sous-catégorie. Ton pouvoir est automatique. Elle utilisait le terme pouvoir plus que don parce qu'elle avait remarquée la grimace du garçon au moment où il avait du le prononcée lui même, ainsi puisqu'elle n'était pas sans cœur, elle essayait de dire le mot le moins souvent possible.

- Il se déclenche sans que tu ne le veuille, c'est également se qu'il sait passé dans ton village. Un pouvoir protège principalement celui qui en est le ''maître'' ou dans ton cas le possesseur. Malheureusement puisque tu as un pouvoir automatique, tu ne peux pas le contrôler, ainsi il te sera très difficile de le maîtriser. Peut-être qu'avec le temps, tu arriveras à se que le bouclier repousse de plus en plus de chose mais cela se limitera à cette petite chose.

La femme empoignait ses couverts et commençait à entamer son steack, elle n'avait pas quitté son ton professionnal tout le long de son discours, elle ne savait pas réellement se qu'elle devait dire de plus ni même de moins. Ainsi après une nouvelle bouchée, elle se retournait enfin elle regardait à nouveau le petit garçon.

- Est-ce que j'ai répondu à votre question ? Si ce n'est pas le cas, tâchez de la formulée de manière clair et sans fioriture !

Invité

"Cela encore, je le sais...

Le gamin commençait à désespérer, il n'arrivait pas à formuler sa phrase comme il le souhaitait. Il avait essayé plusieurs fois, comment pouvait-il formuler cette foutue phrase ?
Il reprit les éléments qu'il disposait :
Son "don" lui permet d'éviter tout projectile, tout objet qui pourrait le toucher et qui peut voler... C'était son simple pouvoir. Mais quelqu'un lui avait expliqué que l'explosion venait de lui, que les hommes fous étaient devenus ainsi à cause de lui...
Mais il n'avait jamais réussi à le réutiliser. Sa tête commençait à lui faire mal, à le faire souffrir à force de devoir repenser à cela.
Il se força alors à se souvenir d'un de ces hommes, un de ces hommes torturés par on ne sait quelle force, provenant d'après quelqu'un de lui.
Les spasmes qui se voyaient sur le corps, les yeux vides de conscience, juste des cris de peur, de souffrance, sans qu'on ne sache pourquoi...
Comment peut-il bien décrire ça ? C'est impossible, surtout pour un gosse qui vient de vivre ça ! Il reprit son souffle, il allait de toute manière devoir le faire.

- J'vais essayer de faire mieux... J'habitais un village avant, où mon pouvoir était déjà connu depuis longtemps... celui que vous avez vu en action au gymnase... Mais mon village a été attaqué par des brigands... Quand j'ai vu mes parents mourir, j'crois que j'me suis évanoui, mais y parait qu'y a eu un gros boum qui a tapé que les vilains... Pi j'me suis réveillé, j'étais sur le dos d'quelqu'un que je connaissais pas... il m'a ramené au village pour montrer ce qui parait que j'avais fais... Que c'était un pouvoir puissant... Mais c'est pas mon pouvoir, je veux faire de mal à personne. Moi je peux que éviter qu'on me balance des cailloux, c'est tout.
Ce que je veux savoir, c'comment ça se fait, et comment j'peux l'utiliser, et aussi éviter de l'utiliser. J'veux plus voir des gens, aussi méchants qu'ils soient, souffrir comme ça sans qu'ils aient aucune blessure. On m'a dis un mot... psychologique je crois."

Il reprit son souffle, et baissa la tête. Il espérait qu'elle avait compris ce qu'il attendait d'elle, maintenant.

Zuka observait un moment le jeune garçon, elle reposait sa fourchette, elle ne pouvait quand même pas continuer à manger dans de telle condition. Elle compatissait cependant à la douleur du gamin, elle savait parfaitement la vision d’horreur d’un village dévasté, elle savait également comme ça faisait mal quand on réalisait que c’était en partie nous la cause de toute cette souffrance. La secrétaire se demandait, si juste une fois il pouvait y avoir dans ses élèves, quelqu’un qui n’avait pas déjà été abîmé en venant ici ou qu’il le devenait en le forçant à entrer dans l’institution.

Elle réfléchissait au récit du garçon, parce qu’il fallait cette fois-ci qu’elle lui donne une réponse bien plus concrète mais quelque chose la chiffonnait dans celui-ci. Elle avait elle-même constaté que son pouvoir était défensif…ne se trompait-il pas ? Mais elle ne croyait pas trop à cette hypothèse, les enfants n’avaient pas tendance à mentir surtout sur des sujets aussi important. Elle savait que le don pouvait plus ou moins évoluer, mais elle ne croyait pas qu’un pouvoir défensif pouvait devenir subitement offensif. Les deux étant bien trop différent, il y avait une genre d’incompatibilité…ce pourrait-il alors que ce gamin possède une deuxième mutation de gène ou une chose s’y approchant ? Il ne pouvait quand même pas tendre vers le chimera ? Pas un âge aussi jeune….du moins elle l’espérait réellement.
Zuka prenait une bonne inspiration intérieurement en même temps qu’elle buvait son verre d’eau puis elle consentait à regarder le jeune homme et de lui répondre.

- Je dois vous avouez que c’est un phénomène assez étrange et que je ne sais pas réellement se qui a bien pu vous arrivez. Cependant dés que j’ai plus de renseignement, je vous les ferai parvenir. Lui expliquait-elle, ainsi l’enfant serai que même si elle n’avait pas de réponse pour l’instant, elle comptait bien en avoir et de préférence autre que la mauvaise idée qui lui avait traversée l’esprit quelques secondes plus tôt.

- Une fois que nous serons de retour à l’Académie et vous passerez à l’infirmerie. Le médecin vous fera une prise de sang, j’écrirai un mot dans ce sens, pour vérifier qu’il n’y a aucun problème de se côté là. Disait cette fois-ci Zuka en reprenant sa voix sévère qui quittait définitivement le ton professoral, même si le tout restait un peu austère, il se faisait plus répétitif, comme si elle répétait une leçon.

- Maintenant finissez votre assiette. Ajout-elle en constatant que l’enfant n’avait pratiquement rien mangé.