Takuetsu no gakuen
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une folle en liberté (Erian)

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MessageSujet: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyMer 1 Juil - 0:38

Zaï marchait le nez en l’air On était en plein milieu de l’après-midi et la jeune femme fixer le soleil à s’en faire pleurer les yeux. Elle ne prenait même pas la peine de regarde où elle allait, les lèvres pincées, concentré sur son objectif. Elle finit par s’arrêter et par soupirer. Non décidément elle ne comprenait pas. Comment avait-il pu passer son temps à fixer le soleil ? Remarque, il n’avait peut-être pas atterri dans l’hôpital psychiatrique pour rien celui-là…. Zaï secoua la tête et passa à autre chose. Elle remarqua alors qu’elle se trouvait dans une ruelle étroite et mal entretenue. Elle s’approcha du mur d’un bâtiment et toqua dessus de son index.
« Tu cherche quelqu’un ? »

Zaï ferma les yeux sans prendre la peine de répondre, elle plaqua son oreille contre le mur, puis se détourna complètement du bâtiment afin de faire face à Sétoc.
« Pourquoi tu apparais toujours quand je suis dans ce genre d’endroit ? »
Sétoc eut un sourire amusé. Zaï lui lança un regard dédaigneux. Elle savait qu’il ne répondrait pas, il n’avait jamais répondu à cette question,….comme à tant d’autre.

« Aucune importance je n’ai qu’à partir d’ici et pouf tu t’en vas »

« Mais tu ne vas pas le faire ! »

Zaï s’immobilisa. Elle fixa le jeune homme qui lui faisait face et constata une nouvelle fois les différences qui les opposaient tout les deux. Elle était vêtue d’un jean déchiré et d’un t-shirt noir délavé alors que les vêtements de Sétoc étaient impeccables. Elle avait toujours trouvé cela étrange… De toute façon Sétoc et Zaï ne se ressemblait pas physiquement, lui était grand, maigre, avec deux yeux noirs enfoncés dans un visage fin. Non, Zaï ne lui ressemblait pas du tout.

« Ah bon ? »
« Tu m’as fait venir ici Zaï… »
« Je t'ais fais venir ?! Tu te fous de moi ! Tu te pointe tout seul à chaque fois que je passe dans ce genre de ruelle qui pue ! »
« Je ne parlais pas de cela… »
« Mais oui c’est ça et moi de suis la lune ! »

Zaï se détourna de l’homme en soupirant d’exaspération. Sétoc avait le don de lui taper sur le système mais il était également de très bons conseils…enfin quelque fois…quelques rare fois…

La jeune femme donna un coup de pied dans le mur, tien elle avait deux chaussures différentes… Elle émit un son qui ressemblait vaguement un grognement, et remarqua qu’il y avait une ombre qui arrivait vers elle tout au fond de la ruelle. Elle se tourna vers Sétoc.

« C’est qui ? »
Sétoc haussa un sourcil et soupira.
« Comment veux tu que je le sache ? »
« Bein chais pas »
Zaï haussa les épaules et alla se placer à la gauche de Sétoc. Etrangement une fois côte à côte le duo dégageait une étrange aura, comme si les deux se ressemblaient bien plus qu’ils ne le paraissaient. Zaï plissa les yeux, Sétoc ne broncha pas.
« Il arrive droit sur nous »
Zaï n’avait pas prononcé ses mots pour Sétoc, c’était plus une réflexion à haute voix. Elle lança quand même un dernier regard à Sétoc.
« Tu reste ou pas ? »
« Pourquoi partirais-je ? Cette rencontre pourrait être intéressante »
Zaï fronça les sourcils ? Intéressante ? Il se moquait d’elle ? Il est vrai que contrairement à elle Sétoc adorait rencontrer de nouvelles personnes…mais de là à dire que c’était intéressant…il y avait tout un monde.
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Erian Uriel
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyMer 1 Juil - 23:21

Me voilà maintenant devant une page blanche a tenter d’aligner des mots pour qu’ils aient un sens, travail assez ingrat auquel je ne peux couper puisqu’on me harcèle pour que je le fasse. Autour de moi j’entend des conversation futile et inintéressante et qui parviennent pourtant a me déconcentrer… Le calme est décidément quelque chose de très difficile a obtenir en ces lieux, et ce n’était pas faute d’être cloîtrer chez moi…Mais il fallait toujours qu’un groupement d’imbécile traîne dans le couloir et parle a haute voix juste devant MA porte d’appartement… Murphy je t’aime t’avais raison sur toute la ligne, les ennui sont la pour s’accumuler et pour rien d’autre. En résumé je devais rendre ce foutu devoir d’anglais(en retard évidemment d’ailleurs la prof me harcelait pour l’avoir) et il fallait bien évidemment qu’un groupe de mec parle a haute voix de musique dans le couloir(avec son a l’appui) juste pour me faire ch***. J’étais pas vraiment colérique mais fallait pas pousser mémé dans les orties non plus. Bref pas la peine de continuer a bosser j’étais clairement pas en état… Pile je m’installe sur le canap chaîne hi-fi a fond et je fait la larve, face je sors…. Bon et bien sortons puisque ma meilleure amie en a décidée ainsi.

Je remis ma pièce dans la poche et sorti en claquant la porte assez violemment(heureusement que Sora n’était pas la sinon il m’aurait tué je crois(autant pour le travail laissé en plan que pour la porte que je risquais de broyer en cognant si fort)), et me dirigeais en ruminant vers la sortie, décidément la journée commençait mal…mais vraiment fortement mal, déjà que j’avais eu assez de difficulté pour me motiver a taffer, il fallait que je sois interrompu par des gens oubliant de rentrer dans leur appart pour ne pas déranger les autres. Au final je décidais de laisser mes pas me guider a travers les diverses rues de la ville. C’était une belle journée tout de même, pas de nuage a l’horizon quelques agréable nuage et un petit vent frais pour éviter la sueur. Nan en fait tout n’était pas si horrible du coup, juste que j’avais pas vraiment envie de goutter au joie de la foule c’est pourquoi je préférais emprunter les ruelles détourné et autre.

Au détour d’un ruelle ma route croisa celle d’un bien étrange couple, ils semblaient parler entre eux mais leur attention était focalisé sur moi… Serais-ce que je dérange ? Nan visiblement leur conversation tenait plus de la confrontation que du moment intime, donc je n’interrompais pas forcément quelques chose d’important. Enfin toujours était-il qu’il était bien étrange de voir un tel couple à cette endroit…leurs tenue ne s’accordaient pas du tout, l’un était dans un style très classe et élégant, digne d’un beau parleur, tandis que la fille se rapprochait plus de ma tenue avec un simple t-shirt et un jean.

Je m’avançais lentement vers le couple, sans qu’ils ne m’adressent un mot, pourtant du peu que je percevais dans leur conversation un vague débat sur ma présence. M’en mêler ou ne pas m’en mêler ? Pile je m’en même Face je passe mon chemin. Je lançais la pièce en l’air et la rattrapait dans ma main avant qu’elle ne retombe…Pile bien évidemment, allons nous sociabilisé encore plus. Je m’avançais donc auprès des deux êtres, je ne savais pas trop comment entamer la conversation. Je ne savais même pas si ils étaient dangereux d’ailleurs…pour se balader dans ce genre de rumeur sombre c’était quand même assez louche.


« Bonjours messieurs, dames J’espère ne pas déranger, je cherchais juste un endroit calme et loin de la foule pour réfléchir tranquillement, aussi j’espère que ma présence ne vous dérangera pas si je choisis de rester ici pour méditer un moment. »
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyJeu 2 Juil - 0:25

Rester ici ? Pour méditer ? Pour quoi faire ? Zaï fit une moue dubitative et lança un regard curieux à l’inconnu. Elle trouvait étrange de vouloir méditer, surtout dans ce genre d’endroit, mais après tout ce n’était pas elle qui allait juger l’étrangeté d’un comportement. Et puis elle avait vu bien pire comme comportement bizarre. Fixer le soleil à s’en faire pleurer les yeux par exemple, ou encore toquer contre un mur pour voir s’il n’y avait pas quelqu’un enfermer dedans… Mais avant qu’elle n’est le temps de réagir, Sétoc pris la parole…fichu Sétoc. Est-ce qu’elle l’empêchait de parler elle ? Réflexion faite, elle le faisait dès qu’elle le pouvait…

« Votre présence ne nous dérange nullement jeune homme »
« Parle pour toi ! J’ai pas encore décidé moi ! Et puis commence pas tu veux ! »
Zaï se rapprocha du jeune homme en question et le fixa un long moment en silence.
« En plus il est aussi vieux que nous ! »
Sétoc ne sembla pas le moins du monde se formaliser de la réplique de Zaï, qui incapable de rester en place, fit le tour de l’inconnu sans véritablement le regarder. Elle fronça les sourcils, se mordit la lèvre puis retourna vers Sétoc qui avait enlevé son chapeau et fait un sourire ambigu à l’homme. Non mais à quoi il jouait ? Il pouvait pas s’en empêcher pour une fois ? Zaï s’éloigna des deux hommes pour se rapprochait du mur dans lequel elle frappa à nouveau un bon coup dedans. Ne pas s’énerver, ne pas s’énerver, ne pas s’énerver. Sétoc était toujours comme ça. Inutile de s’énerver devant témoin. Mais Sétoc continua dans sa lancé sans se préoccuper de la jeune femme, comme il en avait l’habitude.
« Ne vous préoccupez donc pas de Zaï, elle est un peu folle mais ça lui passera… »
Folle ? Folle ! Il avait osé ! Zaï s’immobilisa totalement pendant quelques secondes puis avant que l’inconnu n’ait le temps de répondre, elle se rua sur Sétoc en hurlant.
« JE NE SUIS PAS FOLLE »

Zaï se jeta littéralement sur son double, qui bascula sur l’inconnu. Il y eut alors deux grognements parfaitement identiques venant de Sétoc et de Zaï, pourtant le premier était de l’exaspération et le second de la colère. La jeune femme et le jeune homme se relevèrent en même temps.
« Enfin Zaï ma belle, calme toi tu veux »
Zaï ne répondit rien mais son regard exprimé suffisamment sa colère pour comprendre que de toute façon elle l’aurait simplement insulté. Sétoc se détourna simplement d’elle, un sourcil froncé, comme s’il eut était simplement agacé par le comportement de la jeune femme.
« Inutile de s’affoler cela va lui passer. »
Ce fut le mot de trop, un sabre noir apparu subitement dans les mains de Zaï qui voulu se jeter une nouvelle fois sur Sétoc, mais Zaï trébucha sur l’inconnu, faillit lui embrocher le pied, ripa sur le goudron, le sabre disparut au moment ou son menton percuta le sol et qu’elle s’assomma à moitié.

A ce moment là si quelqu’un avait observé Sétoc il aurait pu voir plusieurs réactions. Premièrement il fut inquiet pour la jeune femme, sans se soucier de sa propre intégrité physique. Ensuite au moment ou le sabre s’évanouit, il sembla être plus présent, puis lorsque Zaï s’assomma à moitié il eut le même regard vitreux que la jeune femme. Immédiatement après il retrouva son visage impassible et il avait même un regard amusé.

Zaï mis quelques secondes à comprendre que la basket noir qu’elle fixait n’était pas la sienne mais celle de l’inconnu. Elle s’était étalée de tout son long perpendiculairement à ses jambes, mais s’étant retourné à moitié pendant sa chute, elle se trouvait à présent nez à nez avec la chaussure de l’inconnu. Zaï se redressa alors brusquement, avant de regarder ses pieds. L’un était chaussé d’une basket rouge, l’autre d’une boots. Elle tendit ensuite sa main vers l’inconnu ?

« Sétoc ne vous a rien cassé ? »
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Erian Uriel
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptySam 4 Juil - 0:41

Allons bon, les chose commençaient fort bien, si l’homme m’invitait a resté et s’en plaisait même on ne peut pas dire que c’était le cas de la fille que ma présence semblait gêner plus qu’autre chose, c’est a ce demander si j’avais bien fait de m’incruster, d’ailleurs que faisaient deux être qui semblaient s’entendre si mal l’un avec l’autre ? Au fond peut-être étaient-ils la a la base pour régler leur compte. Au passage je n’appréciais pas réellement la manière dont l’homme me regardait et me souriait… A croire que je l’intéressais…Si c’était le cas il risquait de vite déchanter : je suis a 100% hétéro.

Leur dispute dégénéra rapidement et une bagarre éclata entre les deux individu, la fille faisant apparaître ce qui semblait être un sabre dans ses mains…Bon peut être songer a calmer le jeu là. Alors que la fille se jetait sur l’homme je tendis la jambe discrètement en modifiant les probabilité de telle manière a ce qu’elle tombe à cause de ma jambe et que le sabre ne m’embroche pas(ni personne d’autre d’ailleurs), elle s’assomma d’ailleurs a moitié en tombant…Oups j’avais oublié de régler se détail héhé… Bon bah tant pis…Je portais mon regard sur l’homme voir si il n’avait rien…et il semblait dans le même état que la fille, chose assez étrange il faut avouer.

La fille se remit lentement de ses émotions et me demanda si sétoc(l’homme je suppose) ne m’avait rien fait tout en me tendant une mains que j’attrapais pour me relever., je remarquais au passage l’étrange tenue vestimentaire de la jeune fille…particulier les chaussure quand même. Une fois debout je fis mine de vérifier mes articulation avant de déclarer :


« C’est bon je vais bien, je suis solide après tout. Par contre ça vous arrive souvent d’essayer d’embrocher votre…..Ami… Pas que je sois non violent mais ça me paraît un peu extrême comme solution pour le faire taire non ? »

Je ne cherchais pas tellement a provoquer Zaï c’est juste que…Cette situation m’échappait un peu et m’intriguait aussi. Cette jeune fille et cet homme qui n’avaient rien en commun, étaient pourtant la ensemble a parler comme de vieux amis et tentaient la seconde d’après de s’entre tuer. Cependant la politesse serait peut être de s’assurer de l’état de santé de celle qu’il avait fait tomber.


« Et vous comment allez vous ? Vous semblez avoir reçu un mauvais choc, vous êtes sûre d’aller bien ? »

Au final je me rendais compte que je ne parlais pas au seul qui m’avais été sympathique au tout début a savoir Sétoc… Pourtant quelque chose me faisais plutôt m’orienté vers la fille pour la conversation…Peut être parce que c’était elle qui s’inquiétait pour moi, et que son élégant compagnon me semblait plutôt intéressé par mon physique.

Voyant que ni l’un ni l’autre ne réagissait a ma remarque sur la blessure, j’avançais lentement ma main vers le menton de la jeune fille et disant que je voulais juste m’assurer qu’il n’y avait aucune fracture, le choc ayant été assez rude. Je fit lentement passer ma main sur le bas du visage de la jeune fille en appuyant par endroit pour m’assurer qu’il n’y avait nulle fracture, je la vis tiquer au moment ou je sentais un liquide chaud couler sur mes doigts… c’était peu visible mais elle saignait semble-t-il. Je retirais ma mains…La blessure semblait être assez moche en fait.

« Vous devriez faire un tour a l’infirmerie pour au moins recoudre la blessure… Le problème c’est que je ne suis pas sur que l’infirmière soit la… Si vous voulez je peux vous y accompagner, je me débrouille un minimum pour se genre de chose. »
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyLun 6 Juil - 1:03

Zaï passa ses doigts sur son menton, un peu de sang se retrouva sur son index. La jeune femme le lécha. Elle lança un regard à Sétoc qui avait le regard vitreux, puis retourna son attention sur le jeune homme qui la regardait toujours. Aller à l’infirmerie ? Pourquoi faire ? Elle avait connu pire, elle allait juste avoir mal au crâne pendant un moment. Par contre Sétoc semblait sérieusement sonné. Il s’approcha de l’homme lentement, comme s’il se méfiait soudainement de lui. Zaï lui lança un regard curieux, mais le jeune homme n’avait pas l’air agressif alors elle ne dit rien. Celui-ci se rapprocha encore mais c’est Zaï qu’il fixa cette fois, puis son regard se fit un peu plus trouble encore. Puis soudainement il sembla aller mieux, alors que l’inquiétude de la jeune femme à son sujet était à son comble.

« Inutile d’aller jusqu’à l’infirmerie, j’ai juste un peu mal à la tête »


Sétoc se raidit alors subitement faisant sursauter simultanément Zaï. La jeune femme fronça les sourcils, alors que Sétoc se comportait de plus en plus bizarrement, mais alors que son inquiétude mêlait à de la curiosité, la jeune femme eut l’idée de regarder à nouveau le soleil et de repenser à l’hôpital psychiatrique. L’effet fut immédiat, alors que Zaï semblait se perdre dans ses pensées, Sétoc retrouva son attitude habituelle. Il eut alors un sourire ambigu et s’adressa à l’inconnu.

« Puis-je connaître le nom de l’homme qui à réussi à assommer Zaï ? »

A assommer ? Qu’est-ce qu’il racontait ? Certes elle avait trébuché sur sa jambe, mais elle allait bien. Enfin presque…mais Sétoc avait réussi à éveiller la curiosité de la jeune femme. Elle reporta à nouveau toute son attention sur le jeune homme. Son regard se fit alors inquisiteur, comme si un projecteur était braqué sur le jeune homme, inconnu. A ce moment Zaï était parfaitement immobile, totalement concentrée sur son inspection. Un sourcil légèrement levé traduisit l’étonnement de l’inconnu, Zaï enregistra l’information mais ne s’en soucia pas le moins du monde. Ce qu’elle lut ensuite sur le visage et dans la position de l’homme qu’elle fixait la laissa perplexe. Il était inquiet et se sentait capable.

Pourquoi ressentir ce genre de sentiments ? Quelle raison avait-il d’être inquiet ? Zaï fronça les sourcils. Peut-être était-il inquiet à cause de sa chute. La jeune femme passa machinalement une nouvelle fois ses doigts sur son menton. Il n’y avait pas de raison, elle avait fait chute bien pire, une fois elle s’était même retrouvée avec son propre sabre planté dans l’épaule. Et puis si Zaï n’était pas masochiste, la douleur n’était pas son principal souci. La douleur physique tout du moins. Mais si Zaï pouvait deviner d’où provenait l’inquiétude, ce n’était pas la même chose de la culpabilité. Il s’agissait forcément de quelque chose qui venait de se passer mais quoi ? Se sentait-il coupable parce qu’il avait été involontairement la cause de sa chute ? Quel drôle d’idée... Zaï se mordit la lèvre et inclina la tête.


« De quoi tu te sens coupable ? »

Sétoc fronça les sourcils et posa un regard interrogateur sur l’inconnu, tandis que Zaï attendait la réponse, simplement curieuse.
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Erian Uriel
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyMer 8 Juil - 0:36

Ils étaient définitivement étrange ces deux là, alors qu’elle s’apprêtait à l’embrocher il n’y a pas deux minutes, voilà qu’elle s’inquiétait plus pour lui que pour elle…alors que son menton semblait être vachement ouvert tout de même…peut être besoin de point de suture qui sait ? Enfin je n’allais pas la forcer après tout, c’était son choix à elle après tout je n’avais rien a lui imposer. Le comportement de Sétoc lui était des plus étrange, il semblait sonné et pourtant n’avait rien eut(enfin c’est ce qu’il m’avait semblé). Il s’approchait de moi avec une prudence assez singulière alors que je venais de lui sauver la vie… Son visage et sa contenance semblaient changer au fil du temps et des actions de la fille…c’était bizarre…Remarque je venais d’avoir la preuve que Zaï était une élève de l’académie, Sétoc en était peut être aussi un(quoiqu’il semblait un peu vieux…prof peut être ?) et donc son étrange nature devait être du a son propre pouvoir.

Les mots de Sétoc m’arrachèrent une grimace… A vrai dire vu la dernière réaction de la jeune fille je n’étais pas vraiment motivé pour qu’elle comprenne que c’est moi qui l’avait assommé, bien que je ne remette pas en cause ma faculté a esquiver les coup je n’étais pas motivé pour me faire un ennemi aujourd’hui…Alors que je m’apprêtais a clamer mon innocence je sentis un regard intense se poser…Zaï me regardait d’un œil inquisiteur qui ne présageait rien de bon…et elle me surpris en devinant plus ou moins ce que je ressentais depuis tout a l’heure et en me demandant pourquoi j’éprouvais cette foutue culpabilité…Je soupirais et reculais pour m’adosser au mur et un brin blasé je m’expliquais :


« Mon pouvoir consiste a manipuler les probabilité, c’est donc moi qui vous ait fais tomber et m’arrangeant pour que le sabre ne blesse personne….et j’ai malheureusement oublié de régler celle devant vous empêcher de vous faire mal en tombant, c’est a cause de cette erreur que je culpabilise je suppose. »

Je reportais mon attention vers Sétoc qui m’avait demandé mon nom et enchaînais :

« Je me nomme Uriel, et je ne considère pas que le fait de l’avoir assommée soit une raison pour me réjouir, c’est d’ailleurs une erreur de ma part et donc plutôt et motif de regret. »
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyDim 19 Juil - 19:05

Zaï se tut un instant, stupéfaite. Il l’avait fait tomber pour qu’elle ne blesse personne ? Il l’avait fait tomber pour protéger Sétoc ? Vraiment ? Zaï tenta un instant de se contenir, puis n’y tenant plus elle éclata de rire tout en grimaçant de douleur. Sétoc lui même avait un sourire ironique sur les lèvres.

« Vous vouliez protéger Sétoc ? Alors ça c’est franchement délirant ! »

Et Zaï se remit à rire de plus belle, son rire lui fit même pleurer les yeux. Sétoc finit tout de même par retrouver sa mine impassible, tandis que la jeune femme reprenait lentement son souffle. Elle regarda à nouveau Erian qui semblait surpris et se remit aussitôt à rire. Protéger Sétoc d’elle-même ? Quelle idée saugrenue ! Certes il ne pouvait pas savoir, mais tout de même… Au moins Zaï aurait eu sa dose de rire pour le mois entier.
Sétoc, soupire et leva les yeux aux ciels, il alla s’appuyer nonchalamment contre un mur, en fixant Zaï qui finissait peu à peu par se calmer, et par retrouver un semblant de sérieux. Elle soupira et respira profondément. Il avait parlé de probabilité non ? Donc cela signifiait qu’il était bizarre comme elle lui aussi ? Remarque des bizarreries dans le coin, c’est pas cela qui manquait. Sétoc fronça les sourcils et reporta son attention sur Erian, Zaï en fit de même.


« Tu sais je n’allais pas lui faire de mal »

C’était pas faute d’avoir essayé. En fait lorsque Zaï y parvenait, elle s’infligeait en même temps les même dégâts. Mais de toute façon, elle avait remarquait il y a bien longtemps que ses….matérialisations ne pouvaient pas atteindre Sétoc. L’étrange phénomène fonctionnait également dans le sens inverse, Sétoc était incapable de les toucher. Encore une autre bizarrerie. Sétoc sortit alors de son mutisme un bref instant.

« Vous contrôlez le hasard alors, c’est intéressant »


Et Sétoc lança un long regard à Zaï qui lui répondit d’une grimace. Quoi ? Qu’est-ce qu’il voulait ? Qu’est-ce que ça pouvait faire qu’il contrôle le hasard ? La jeune femme fit une deuxième grimace à Sétoc qui soupira d’un air désespéré. Zaï leva les yeux au ciel et reporta à nouveau son attention sur Erian. A quoi pensait Sétoc ? Elle était peut-être un peu folle mais elle n’était pas stupide. Elle avait très bien compris le danger éventuel, mais honnêtement elle ne s’en souciait pas le moins du monde.

Zaï effleura une nouvelle fois son menton du bout des doigts, elle saignait encore. Elle aurait probablement une jolie croûte et mal à la tête pendant quelques temps. Elle jet un œil à Sétoc, il allait parfaitement bien pour preuve il était encore là, appuyé sur son mur, l’air de rien. Zaï soupira à son tour et ferma les yeux un instant. Ce qui suivit déstabilisa certainement Erian. La jeune femme respira profondément et cessa d’être là. Son corps n’avait pas bougé d’un poil, mais la jeune femme était partie profondément dans ses pensées, profondément en elle, quelque part vers son subconscient. Sétoc s’agita un instant, comme s’il fut nerveux, puis un large sourire éclaira son visage sérieux. Il se tourna vers Erian, en le fixant profondément.


« Vous savez inutile de vous en faire pour Zaï, un jour elle est tombée du toit de l’hôpital psychiatrique en tentant de s’échapper, elle était dans un sal état après, et la tête du médecin… quoi qu’il en soit, un conseil tout de même, s’il devez vous arriver de la faire tomber de nouveau, évitez de la faire perdre connaissance…. Je vous tuerai probablement, et ça serait dommage parce que je commence à bien vous aimer »
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyVen 24 Juil - 13:11

Cette fille était définitivement timbré je crois que je pouvais résumer ce que j’avais sous les yeux ainsi personnellement, je dois avouer que j’avais décidément de plus en plus de mal a saisir ce couple… Elle venait d’essayer de l’embrocher et lui souriait, elle trouvait même stupide l’idée que je puisse vouloir le protéger, tandis qu’elle se marrait comme si j’avais fait la blague du siècle. Autant dire que pour un esprit normal c’était incompréhensible et que c’était ce que j’en concluait plus ou moins, bien que cela pouvait être du a son pouvoir.

Après réflexion… Le Sétoc semblait réagir un peu comme Zaï, il lui était aussi arrivé un truc bizarre lorsqu’elle c’était a moitié assommé, sa présence avait parut s’effacer si je me souvenais bien. Si on ajoutait a cela l’apparition du sabre on pouvait supposer que la jeune fille était capable de matérialiser ses pensée… Et donc Sétoc serait l’une d’elle puisque qu’elle ne pouvait pas le tuer semble t’il, et qu’il n’avait pourtant pas l’air d’un combattant d’élite, c’est donc qu’il était immunisé. J’aurais put aussi en déduire qu’il avait un pouvoir défensif puissant mais il était trop vieux pour être un élève et qu’il ne me disais rien en tant que prof… Donc j’en tirais la conclusion un peu tirée par les cheveux qu’il n’était pas humains… Mais bon n’étions nous pas a Taku ? Y avait-il vraiment quelques chose d’impossible ici ? A la réflexion non n’est ce pas ?

Je n’eux pas le temps de pousser plus ma réflexion, que l’homme m’interpella a nouveau sur mon pouvoir… il y avait une lueur d’intérêt dans son regard qui me gênait, comme a chaque fois qu’il s’intéressait a moi en fait. Honnêtement c’était flippant à force, mais je commençais a m’y faire… Ce type me rappelait un peu un rapace(sens figuré pour commerçant avide), qui évalue les gens du premier regard et voit si ils sont utile a ses projet, et si c’est le cas cherche a en tirer le maximum possible avant de s’en débarrasser dès que le jouet en question ne lui servira plus.

L’instant d’après Zaï semblait ignorer notre conversation comme si elle n’existait plus et était passé au rang de légume. Par contre les mots de Sétoc étaient…assez effrayant il faut l’avouer, bon la menace de mort pourquoi pas, j’étais pas à ça près de toute manière, j’avais bien suivit une fille alors qu’il était sur que dans 90% des cas j’aurais du finir cryogéniser par le seul fait d’être la, alors bon maintenant un mec qui m’annonçait qu’il me tuerait si je faisait du mal à ça protégé ça ne me froissait pas plus que ça. Par contre le coup de l’hôpital machin tout ça, me confirmais dans l’idée que cette fille était plutôt dérangée. Par contre j’avoue que le fait qu’il commence a bien m’aimer me faisais une belle jambe comme on dit…Honnêtement je pense que j’aurais peut être préféré qu’il se mette a me maudire pour le coup, cela m’aurait peut être filé une raison de me barrer… Je n’avais pas peur, j’était juste troublé par tout ce a quoi j’assistais.


« Si vous la dites si résistante je suis convaincu qu’il n’y aura alors pas de problème, et je n’ai après tout aucune raison de lui faire perdre connaissance. »


Je marchais lentement dans la rue, passant devant les deux êtres avec qui je parlais, en me demandant ce que je pouvait bien dire/faire maintenant… Peut être quelques petite question seraient-elles de mise ? Après tout il fallait bien que je me pose des questions au bout d’un moment.. Finalement je me tournais vers Sétoc en souriant et lui répondit :

« Vous êtes un peu bizarre vous et Zaï mais au fond moi aussi je vous aime bien… »

Mon sourire s’effaça de mon visage l’instant d’après, celui-ci devenant soudain beaucoup plus sérieux tandis que je lançais un regard inquisiteur a cette étrange créature :


« Cependant j’ai dans l’idée que vous, contrairement à elle, n’êtes pas vraiment humain n’est ce pas ? »
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyLun 27 Juil - 17:54

Sétoc eut un sourire amusé et regarda un instant le ciel. Il se passa quelques minutes avant qu’il ne réponde à Erian, comme s’il réfléchissait aux conséquences de sa réponse. En vérité, il songeait à Erian d’une toute autre façon. Il finit par revenir à ce dernier et par lui répondre, un sourire féroce aux lèvres.

« Je ne pense pas qu’aucun de nous trois soit totalement humains. Mais il est certain que je le suis encore moins que vous deux. Quant à savoir ce que je suis, il me semble que vous avez commencé à saisir de vous même. »

Ce fut le moment que choisit Zaï pour revenir dans le monde réel. Elle observa les deux hommes en silence, comme si quelque part, au fond d’elle-même, elle savait ce qui venait de se passer. Elle eut un sourire amusé, puis rêveur. Elle se saisit alors de son ocarina et le porta à ses lèvres. Elle ferma les yeux et se mis à jouer, sans aucun avertissement. La mélodie était d’abord lente, et sombre, puis la jeune femme accéléra le rythme au fur et à mesure qu’elle montait dans les aigus. Elle s’arrêta brutalement de jouer alors quelle n’avait pas achevé sa dernière note. Elle fixa un long moment Sétoc, sa tête commençait à lui tourner. Etait-ce du au choc qu’elle avait reçu en tombant ? Sans doute, mais il y avait autre chose, elle en était certaine. Quelque chose l’intriguait comme à chaque fois qu’elle traversait ce genre de rue, pourquoi Sétoc était apparu soudainement ? Pourquoi n’avait-il pas disparu ? Il aurait du à présent. De plus faire apparaître le sabre avait épuisé Zaï plus que d’ordinaire.

Le sol sembla bouger aux yeux de la jeune femme, puis alors qu’elle fermait les yeux pour retrouver son équilibre, elle sursauta. Etrange, elle avait cru voir deux hommes, là, à l’instant. Mais que se passait-il ? Avait-elle une commotion cérébrale ? En se cognant le menton ? Elle n’était pas douée en anatomie mais tout de même, c’était bien étrange…
Sétoc observa un instant Zaï tanguer, il se tourna alors vers Erian.


« J’espère vous rencontrer de nouveau Erian, il serait dommage de perdre de vue un si bel homme »

Sétoc eut alors un sourire amusé tout en à la fois quelque peu sournois. Il fit un clin d’œil à Erian et s’approcha de Zaï qui le regarda avec une certaine colère.
« Je vais vous donner la réponde à votre question, alors regardez bien si vous tenez à avoir la certitude de ce que je suis…bien que je doute que vous puissiez totalement comprendre mon existence, tant que vous ne la comprendrez pas elle »
Sur ce Sétoc saisit la main de Zaï, il y eut un flottement entre le duo, Sétoc eut un léger sourire, un sourire qui indiquait que ce n’était pas encore le moment, et l’instant d’après, il avait disparu.

Zaï resta un instant immobile au milieu de la rue, elle avait compris le message de Sétoc, mais…pas encore le moment pourquoi ? La jeune femme se sentit toutefois immédiatement mieux, et toutes hallucinations avaient disparu de sa mémoire, emporté par Sétoc, au fond de son subconscient. Zaï fixa alors Erian.


« Bon on ne va pas rester ici toute la journée. J’ai faim, et toi ? »

Zaï avait changé de sujet le plus naturellement du monde. Un sourire joyeux était même revenu sur son visage, elle secoua les épaules un instant, comme si tout ce qu’il venait de se passer et d’un commun sans égal pour elle.

« Ah au fait tu aime la musique ? »
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Erian Uriel
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MessageSujet: Re: une folle en liberté (Erian) une folle en liberté (Erian) EmptyDim 2 Aoû - 23:15

Nous étions tous des êtres humains hein ? Personnellement je me considérais encore comme un humain avec un petit plus, rien de bien impressionnant certes, mais un petit plus quand même, au fond je ne m’étais jamais vraiment posé la question de si j’étais vraiment humain ou pas… Ici j’étais au milieu de personne comme moi, aussi je me paraissais normal, et auparavant mon pouvoir n’ayant aucun effet visible je ne mettais jamais trop posée la question bien qu’elle me paraissait pour le coup plutôt intéressante et on pouvait aisément dire que Sétoc touchait un point sensible… Serions nous donc comme les X-men une race de mutant qui était destiné a se multiplier de plus en plus jusqu’à un jour peut être remplacé l’humanité ? Bah après tout quelle importance ? L’évolution était un phénomène naturel, et si nous étions vraiment une espèce surdéveloppé alors nous continuerons a vivre alors que l’autre aura progressivement disparu…nan vraiment cela ne changeait rien à mes yeux.

Zaï sembla se redécider a se joindre a nous alors que Sétoc confirmait mes propos sur son inhumanité, mais alors que je m’attendais a la voir dire quelques chose, elle choisit de s’isoler une fois de plus pour se lancer dans sa musique, qui était ma fois bien belle, à croire qu’elle c’était entraîné pendant fort longtemps a aligner les notes, a noter pour plus tard, Zaï est une bonne instrumentaliste, information pas si importante en soit mais qui pourrait sans aucun doute servir un jour(ou pas). Elle s’arrêta soudainement et sembla fixer Sétoc en se posant des question intérieurement semble-t-il.

Zaï semblait mal en points, ce que Sétoc sembla remarqué, mais quand bien même il s’approchait d’elle, et prenait sa main comme pour la rassurer, ses mots m’étaient toujours adressé, chose peu compréhensible a vrai dire, son amie semblait sur le point de s’écrouler et le regardait d’une manière plutôt effrayante, et cependant son attention restait rivé sur le parfait inconnu qu’il venait de rencontre, comme si elle n’avait pas d’importance pour elle. Il disait qu’il allait finalement me fournir la réponse a mes interrogations…Enfin en partie…Puisque selon lui je ne pourrais tout comprendre sans comprendre Zaï… Ce qui me confirmait certaine pensée…

Enfin il disparu soudainement, avec une certain distorsion autour du couple, mais je ne parvins pas a en comprendre quelle était la raison de ce flottement…toujours est-il qu’il n’était plus la, et que je restais maintenant seul avec Zaï… Bien que j’aurais du seulement garder ces mots dans ma tête, je ne put m’empêcher de les dire a haute voix :

« Je vois tu es donc son pouvoir Sétoc. »

Fort de cette information peut utile en fin de compte je réfléchissais a ce que j’allais bien pouvoir faire du reste de ma journée… Je jetais un œil a mon keitai, pour vérifier mon agenda de la journée… Oups, j’avais oublié mais, le mardi c’était ma journée chiante ou je reprenait les cours a une heures trop tôt pour que je puisse penser avoir une pause pour manger. En parlant de manger Zaï m’y invitait….Mais hélas c’était un cour que je ne pouvais pas me permettre de louper, d’autant que Zuka m’avait déjà en grippe depuis l’an dernier donc je n’allais pas donner a la secrétaire générale une raison de plus de me poser problème. Je sortis un papier sur lequel j’écrivis mon adresse Keitai et je lui tendis :

« Je m’excuse mais je n’ai pas le temps de m’éterniser, les cours vont reprendre, c’est mon adresse Keitai, n’hésite pas a m’envoyer un message si tu a besoin de moi, on pourra parler de nos goût musicaux comme ça, si ils correspondent je serait ravi de te prêter quelques cd. »

Et sans un mot de plus, réalisant l’imposant retard que j’avais sur mon horaire normal je parti en courant vers l’université, ou le prof ne manquerais pas de m’engueuler pour la moindre minute de retard a n’en pas douter…
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