Takuetsu no gakuen
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Les lames.

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Erian Uriel
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MessageSujet: Les lames. Les lames. EmptyLun 29 Juin - 1:18

Bon voici l'intro d'un récit que je m'efforce de prolonger depuis un moment déjà, se passant dans un monde de ma création avec de perso inspirés de divers endroits^^ Si la suite vous intéresse je la posterais

Prologue : Une nouvelle existence


Le futur est incertain, le passé n’est composé que des fables ou des théories qu’ont laissé/échafaudé des personnes, alors il ne reste que le présent pour nous assurer de sa réalité, bien que le présent actuel ne signifiait plus grand chose pour moi. Il était amusant de remarquer qu’en moins de cinq siècle nous étions passé du stade de démon, à celui de dieu et de mythe sans omettre de passer par celui de surhomme. Qui j’étais ? Une ombre du passé. Quel âge j’ai ? Celui que l’on n’accorde normalement qu’à un dieu. Ce que j’étais ? Un simple humain que d’autre avaient élevé au rang de dieu. Pourquoi avais-je reçu un tel honneur ? Parce que j’avais terrassé un dieu avec l’aide de mes compagnons. Le dernier dieu plus précisément . Je n’étais probablement pas celui qui avait le plus fait pour la résolution de ce conflit, mais j’étais le seul qui puisse survivre à travers les ages et c’est pourquoi maintenant j’attendais, assis dans cet immense temple perdu au milieu du néant.

C’est ici que nous avions anéantie la race divine, ici que j’avais perdu les derniers de mes compagnons, ici que m’avait été confier mon dernier devoir, et ici que je continuerais à subsister pour l’éternité.
Les dieux n’étaient qu’en réalité des êtres venu d’autre plan, un lien mystique nous reliant à leur monde et notre faiblesse leur donnant envie de régner sur notre monde. Nous avions coupé ce lien, de même que tout les autres, et afin que notre monde demeure inaccessible nous les avons brisés au noyau même de la puissance des dieux.

De cet acte au premier abord rien n’est survenu à part la réussite parfaite de notre plan. Ce n’est qu’un siècle plus tard que les choses ont commencé à vraiment se faire, lorsque je fus le seul à arpenter encore ces terres. L’énergie que nous avions inconsciemment libéré se manifesta et investit les enfants de notre monde, leur donnant accès à quelque chose dont les humains ne devraient pas disposer : La magie. Alors qu’autrefois seul les dieux pouvaient nous l’accorder, certain on commencés à naître naturellement avec, à maîtriser le feu et les flammes, invoquer la glace ou les vents, ou même distordre le temps par sa propre pensée.

Ils fallut à peine un siècle pour que les guerres ravagent le globe entier et manquent de réduire à la poussière notre fragile planète. Les énergies libérées lors de l’affrontement d’armée parmi les plus puissantes avaient laissées de très profonde cicatrice sur notre monde et bientôt je me vis obligé d’intervenir.

J’avais utilisé le pouvoir qu’il me restait pour en choisir quatre. Quatre enfant humain que je destinais à un funeste mais nécessaire destin. Ils naquirent donc avec des pouvoirs monstrueux, dépassant l’imagination et les rendant presque égaux à des dieux, mais j’utilisais l’épée de Tales pour les maintenir sous mon contrôle. J’usais de la forge de Zellan pour leur fournir l’armement le plus puissant qui soit et leur confiait une mission : calmer les choses par tout les moyens possible.

Une fois qu’ils eurent commencé leur travail j’étais sûr d’une seule et unique chose : Jamais je n’avais vu tel spectacle de chaos, de destruction, de massacre et de désolation. Non pas que ceux que l’on nommait alors les cavaliers de l’apocalypse soient sanguinaire, loin de là. Cependant la bêtise des hommes était telle qu’il à fallut qu’ils s’opposent en bloc aux idées pacifiste de mes disciples. C’est ainsi qu’ils dévastèrent le monde, rasant des villes d’un revers de la main, soulevant des montagnes pour créer d’infranchissable frontière entre les peuples, noyant des pays entier sous des torrents de feu lorsque leurs dirigeants et leurs sujet c’étaient montré trop cruel pour être épargné.

Mais hélas, rien n’y fit, dès qu’ils c’étaient absentés plus de dix années les tueries reprenaient quoi qu’ils aient put faire, alors ils s’attaquèrent aux gènes des hommes, ainsi les pays pacifiste, ou tout du moins honorable virent leur peuple se transformer peu à peu en créature plus robuste, plus forte, doté d’une longévité supérieure par deux fois à celle d’un humain normal. Les autres quant à eux se virent fragilisés, réduit à l’état de sauvage, leurs muscles furent atrophié, leur air fut chargé de puissant miasme répandant des maladies meurtrières et abominable.

Mais nous avions placé trop d’espérance dans l’honnêteté des hommes et leur faculté à respecter les engagements qu’ils prenaient envers nous. Bien sûr certains les respectaient, mais dans leurs grande majorité les peuples que nous avions favorisé partirent en guerre de leur plein gré.

Mes disciples ne savaient plus que faire, et j’avoue que l’idée de réduire cette terre en cendre me plaisait de plus en plus. Je prenais un peu plus conscience à chaque échec que les épées ne suffiraient pas. Bien qu’elles conféraient des pouvoir surhumains et nous avaient permit de réaliser l’impossible, leur force ne suffisaient pas à dominer et diriger tout un monde. Pour la première fois en l’espace de quatre siècles nous étions réuni, moi et les quatre cavaliers de l’apocalypse nous étions donné rendez vous ici.

Leurs pas résonnaient sur les dalles du temple tandis qu’ils s’avançaient lentement vers moi. En un mouvement parfaitement synchronisé ils s’agenouillèrent et dirent de quatre voix qui ne faisaient qu’une :
« Les quatre cavalier sont de retour pour vous servir maître Shin. »
Je ne pus m’empêcher de soupirer avant de parler.
« Epargnez moi les formule de politesse inutile, la situation est urgente , et mes nerfs ne lui résisterons pas longtemps.
-Nous en sommes conscient et avons répondu à votre appel en réfléchissant à une réponse possible. »

Je me tournais vers eux sachant pertinemment que, si je n’avais pas la solution ils ne l’auraient pas non plus, j’étais beaucoup plus conscient qu’eux des choses se passant dans le monde et je savais tout ce qu’ils savaient.
« Je sais mes enfants , je sais. J’ai même dans mon esprit trouvé un début de solution. »
Ils levèrent tous la tête vers moi le visage empreint d’une curiosité nouvelle.
« Comme vous l’avez observé durant vos voyage les hommes ne peuvent s’empêcher de se combattre entre puissance pour une raison ou une autre. La seule solution serait de les unir sous une même bannière comme vous le savez. »
Ils hochèrent la tête, bien sur qu’ils savaient, mais il étaient aussi au courant que nous n’avions pas le pouvoir requis pour cela.
« Et pour cela, parmi toutes les immondes possibilités qu’il existe, comme par exemple détruire tout les pays et n’en laisser qu’un, j’ai choisi ce qui pourrait probablement être la pire. »

Ils commençaient à comprendre ce dont je voulais parler, et au fur et à mesure leurs visages s’obscurcissaient et s’emplissaient d’une peur nouvelle. Ils comprenaient la symbolique de cette endroit où le dernier des dieux était tombé maintenant. Et ils savaient que j’aurais plus que jamais besoin d’eux ,et que j’allais risquer le sort du monde , que je m’étais efforcé de protéger durant tant de combat, sur le plus hasardeux des coups de chance.

Je prononçais alors cinq mots qui firent l’effet d’un glas entre les murs de ce temple, et firent naître la folie mais aussi l’espoir dans le cœur de ce qui étaient probablement les êtres les plus puissant du monde.

« Nous allons créer un dieu. »

C’était dit, nous savions à quoi nous en tenir…Mais j’avoue alors que j’ignorais complètement les sombres puissances qui allaient jouer contre nous…
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Erian Uriel
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MessageSujet: Re: Les lames. Les lames. EmptyDim 30 Aoû - 1:08

Chapitre 1 : l’enfant démon.

Le pluie…Cendre détestait la pluie, comme tout ceux de son espèce en fait. Ils étaient les enfants du feu aussi l’eau leur inspirait un dégoût incommensurable. C’est pourquoi ceux de son peuple sortait rarement des étendus ravagées de ce qui fut autrefois l’un des pays les plus puissant et les plus belliqueux du monde.
Il y a cinq siècle leur pays était sans doute le plus grand, ils vivaient dans de haute tour de pierre et de verre, modelaient à leur guise la pierre et même paraît-il la météo, les flammes et les cycles des 3 soleils. Ils parvenaient à l’aide de grand panneaux de verre à diriger où bon leur semblait la furie destructrice des vents d’Asha. Ils avaient le pouvoir de voler sans ailes ni magie et parvenaient même à égaler la vitesse du vent. Lorsque la magie était née ils avaient bien sur eu de nombreuse envie expansionniste et avaient fais preuve d’une cruauté sans borne pour s’imposer.
Lorsque les cavaliers de l’apocalypse c’étaient montré les ancêtres de Cendre leurs avaient ri au nez avant de mourir pour la plupart quelques jour plus tard dans le cataclysme. Dans leur colère les cavaliers avaient déchaîné leurs pouvoirs sur ce glorieux pays qui avait été entièrement calciné en moins de trois jour, ne laissant aucun espoir d’espérer voir un jour quelques chose pousser dans la terre. Les récits divergeaient à partir de la, certain prétendaient que les cavaliers avaient en plus des flammes lâché des hordes de démon dont ils étaient les descendant, d’autre disent que des survivants caché dans des tunnels se mirent a vivre une vie pacifiste sur ces terres et que les cavaliers les récompensèrent à adaptant leur corps à l’environnement, une autre version stipule qu’ils seraient des créations de leurs ancêtres faites pour survivre au cataclysme, et la dernière théorie était qu’ils étaient des flammes tombé des soleils dans un dessein qui leur était pour le moment inconnu.
Cendre ne c’était à vrai dire jamais penché sur la question, ce n’était pas son rôle et cela n’appartenait pas à ses ambitions. L’enfant d’Isha n’avait d’ailleurs pas vraiment d’ambition, pour elle passé comme futur n’existaient pas, seul le présent comptait son avenir étant trop incertain et son passé trop lointain pour qu’il en soit autrement. Cela faisait tant d’années qu’elle avait quitté les siens pour mener cette existence de pèlerine, dont elle était la seul à connaître l’objectif.
Cela faisait plusieurs jour qu’elle marchait dans cette forêt dont la densité était telle qu’elle n’avait pas vu la lumière d’un des trois astres depuis près de trois jours. Cependant elle était une fille d’Isha l’astre de la nuit aussi les ténèbres si oppressante soit elle n’avaient pas d’influence sur son moral. Par contre pour la pluie c’était une autre histoire, bien que les arbres fournissaient un couvert plus que correcte les gouttes filtraient parfois ça et là. Cela peut paraître dérisoire mais imaginez vous dans une pièce sombre et risquant de recevoir une goutte d’acide sur le corps à chaque seconde qui passe et vous comprendrez ce qu’elle ressentait.
L’eau ne pouvait pas tuer Cendre, mais elle avait cependant le don de lui infliger de très fortes douleurs et c’est pourquoi elle la haïssait.
Rien n’aurait put la faire se plaindre tandis qu’elle avançait dans ces conditions infernale, lorsque enfin elle distingua une lumière au loin. Un éclair de soulagement passa dans ses yeux. Enfin elle était arrivé à sa destination, si ce qu’on lui avait dit était vrai Erkhan le tueur de bête se trouvait dans le village qu’elle s’apprêtait à atteindre.
Elle franchit la lisière de la forêt et fut ravie de voir qu’il s’agissait effectivement d’un village, mais ça plus grande joie fut lorsqu’en regardant le ciel elle distingua une trouée dans les nuages qui donnait directement sur son unique parent : l’astre nocturne Isha.
Le monde dispose de trois soleil, certains prétendent qu’ils existent uniquement depuis les guerres de magie ou un peu avant et d’autre soutiennent qu’ils sont la depuis la création du monde. Le premier d’entre eux est Asha l’astre de lumière, d’une couleur rouge il est le plus lumineux de tous et c’est lui que l’on pouvait apercevoir en levant les yeux au ciel en plein jour. Le deuxième était Isha cette boule de feu au flamme mauve éclairait uniquement la nuit et était la bienfaitrice de Cendre. Le troisième soleil enfin Celnya, était uniquement composé de flammes vertes et n’apparaissait que rarement mais on lui allouait nombre de propriété magique bénéfique.
Cendre soupira et mit son capuchon sur sa tête pour se protéger de la pluie battante, et sortie enfin de la forêt s’avançant sur la plaine séparant, l’ensemble boisé et le village.

Erkhan était fier de lui. Il venait d’abattre un loup immense qui terrorisait la région et avait été gracieusement récompensé et fêté pour ça. Ses yeux sombres firent le tour de la salle principale de la taverne où la fête se tenait, lorgnant longuement sur les formes des quelques paysanne au physique agréable. Puis ils se posèrent sur un miroir à l’intérieur duquel Erkhan put s’admirer dans toute sa splendeur. L’homme possédait une forte carrure digne du guerrier qu’il était et qui ressortait parfaitement lorsqu’il était vêtu ,comme maintenant, de son armure de cuir aux couleurs sombre. Ses épaisses mains rugueuse étaient taillées pour le combat et c’était grâce à elles qu’il manipulait son immense hache, cependant ses doigts étaient dotés d’une grande dextérité lui permettant de ne rater aucun de ses pièges. Ses yeux étaient d’un bleu sombre et avaient un don pour faire tourner la tête au jeune demoiselle, et les empêchaient de trop remarquer son visage carré, et son large nez qui en auraient rebuté plus d’une. Ses cheveux châtains étaient coupés court de même que sa barbe parfaitement entretenue. Il était célèbre pour de nombreuse choses, autant pour ses talents à piéger les plus prudentes bêtes ,que pour celui qu’il avait pour éventrer les plus grands monstres de sa hache. On disait aussi que sa lance avait à elle seule empalé plus d’une centaine de créature(et si cela n’était pas tellement vrai, il était cependant véridique que sa lance personnelle plus petite avait elle profiter de sa réputation pour perforer plus d’une jeune fille).
Les yeux d’Erkhan finirent par se poser sur les yeux d’une jeune serveuse, elle devait avoir à vue d’œil douze printemps, mais c’était justement cela qui intéressait le « héros » dont les penchants sexuels étaient méconnu mais pourtant bien réfutable. Il attendit que la fête se passe et lorsque le tavernier congédia ses serveuses il prétexta le besoin de s’aérer pour sortir. Il suivit alors la jeune fille qui rentrait chez elle, avec le même talent que celui avec lequel il traquait les bêtes. Lorsqu’elle fit l’erreur de s’engager dans un coin sombre, ne l’ayant pas remarqué, Erkhan enfila sa longue cagoule noire et s’approcha avec la discrétion d’une ombre avant de se saisir d’elle. L’enfant tenta de se débattre et de hurler mais d’un geste méthodique il la bâillonna, il la plaqua alors au sol et lui arracha les vêtements s’apprêtant à commencer son sinistre office sans accorder un seul remords au regard terrifié de sa victime, lorsqu’il entendit une voix.
« Décidément les héros humains sont aussi minable les uns que les autres. »
L’homme leva la tête et regarda en direction de la voix. En plein milieu de la ruelle se tenait une silhouette encapuchonné dont il ne pouvait apercevoir les traits sous la pluie battante. Il sortit son poignard ne pouvant se permettre de tolérer l’insulte et surtout de laisser un témoin vivant. Il chargea et planta son poignard dans la personne qui lui faisait face, qui ne réagit même pas….Enfin il essaya de planter son poignard car celui-ci ricocha sur l’individu. Une armure ? Il avait donc affaire à un combattant ? Il ne put pousser la réflexion plus loin car un objet solide le percuta au visage l’expédiant au sol, dans la boue à quelques mètres de son point de départ. Il était persuadé que l’individu l’avait frappé avec son poing, alors pourquoi avait-il la sensation d’avoir été frappé par une pierre ? Un golem ? Non sa silhouette était trop frêle bien que caché par la cape. Il se releva en chancelant et pesta sous sa cagoule :
« Saloperie de Pyre »
Il entendit son adversaire rire, un rire de cristal qui lui confirma qu’il affrontait une femme. Que pouvait bien faire une femelle Pyre si loin des terres de son peuple ? Il l’ignorait et ce n’était a vrai dire pas son problème. Il réfléchissait à un moyen d’abattre la créature lorsque sa voix retentit à nouveau.
« Dommage pour toi mais il semblerait que la pluie ait décidé de s’arrêter. »
Cendre retira son capuchon laissant l’homme voir son visage. Comme celui de tout les pyres il ressemblait à un masque de pierre au forme changeante suivant les émotions de son porteur. Mais ce qui choqua le plus Erkhan se fut la couleur de peau de cet être, elle était noire. Alors les yeux du héros se posèrent sur les flammes situé sur l’arrière crane de la pyre et qui chez ces êtres remplaçaient les cheveux et il constata avec effroi que celles-ci étaient violettes. Les pyres à la peau noire étaient les plus puissants nommé les enfants d’Isha, mais surtout ceux dont les flammes étaient de la même couleur que celles d’Isha avaient la réputation de pouvoir brûler l’âme des êtres vivants. Cendre ne prêta pas attention à l’humain et continua d’enlever sa cape, sous celle-ci elle portait une robe noir dont le haut ne couvrait pas les épaule et était serré à son corps tandis que le bas était composé de deux épaisse bande de tissus noir non relié entre elles qui recouvraient respectivement l’avant et l’arrière de son corps. L’une des particularité physique les plus étrange des pyres étaient leur absence de genoux et de coudes, les deux parties du membre étaient purement et simplement séparé n’ayant pour « lien » apparent des flammes de la même couleur que celles de leurs crânes.
Cendre s’approcha de l’homme, une ceinture composé de triangle métallique tintant à chacun de ses pas. Elle posa sa main sur le front de l’homme qui était pétrifié de terreur maintenant, une flamme pourpre naquit dans sa main et enveloppa le corps de l’homme. La scène dura une dizaine de seconde puis l’homme s’écroula tandis que les flammes se dissipèrent. Cendres sourit, le corps de l’homme était intact, cependant ce n’était pas le cas de son âme.
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MessageSujet: Re: Les lames. Les lames. EmptyDim 30 Aoû - 1:09

Cendre retira alors la cagoule de l’homme et ne put que retenir un soupir de dépit lorsqu’elle reconnu l’homme dont on lui avait vanté les mérites, et qui c’était mis à trembler comme sa victime à la découverte de la pyre. Elle jeta un œil à la pauvre enfant victime de ce minable. La voyant nue elle ne put s’empêcher de lui jeter sa cape avant de la serrer contre elle en lui murmurant quelques paroles rassurante à l’oreille, telle une mère rassurant son enfant après un cauchemar. Une fois la jeune fille remise de ses émotions elle lui tourna le dos et partit.
Cendre traversa le village sous le regard effrayé des quelques habitants encore présent dans les rues. Les humains étaient des êtres faible, bien que non touché par la malédiction des cavaliers ils c’étaient vu comme beaucoup d’autre peuple retirer tout accès à technologie, et avaient fini par reprendre leur méthode datant du moyen-âge, préférant la régression à l’acceptation et l’affrontement de leur nouvelle situation. Ils ignoraient pour la plupart toute notion du combat et leurs castes guerrière se divisait en deux :
Les soldats, qui était le corps d’armée le plus nombreux et étaient la plupart du temps rattachés à une armée régulière ou à la garde de ville.
Et les héros qui bien que n’étant pas régi par des codes ou une hiérarchie était bel et bien considérés comme un pouvoir militaire. Les héros étaient des humains bien plus fort que leur congénère et qui s’illustraient par leur talent pour défaire les monstres. Ils étaient craint et respecté et la parole de ceux que l’on targuait de ce titre valait celle d’un millier de personne. Ainsi si l’homme de tout à l’heure avait violé cette enfant en plein milieu du village lors d’une heure de pointe et niait l’avoir fait le magistrat local le déclarerait innocent. Cela faisait parti des nombreuses raisons pour lesquelles beaucoup de race (même parmis les espèces dites déchues par les cavaliers) méprisaient les humains.
Cendre avait maintenant quitté le village se retrouvant à nouveau dans une plaine séparant forêt et pseudo civilisation. Soudain elle sentit comme une brûlure à l’épaule, puis une autre sur la jambe et immédiatement elle regretta d’avoir laissé sa cape à l’enfant de toute à l’heure. Elle pesta contre la pluie qui reprenait et contre sa propre bêtise et se mit à courir le plus vite possible vers la forêt. Le ciel semblait c’être déchiré juste à ce moment car la pluie gagna en intensité en moins d’une seconde devenant une véritable averse. Cendre souffrait le martyr à courir ainsi sous cet élément qu’elle détestait tant. Elle faillit hurler de joie en atteignant le couvert des arbres mais son cri fut arrêté par un triste constat, ici la forêt n’étaient pas assez dense pour offrir la protection recherchée, aussi Cendre du continuer à courir sans y voir grand chose à cause de la pluie qui égarait ses sens du fait de la douleur provoquée, mais aussi à cause du manque de visibilité dû au branche et feuillage.
Le bruit de l’eau qui coulait se faisait de plus en plus fort lui faisant comprendre que la pluie redoublait d’intensité, et alors qu’elle avançait en courant quasiment à l’aveuglette elle se sentit tomber. Alors elle comprit que le bruit d’eau ne venait pas uniquement de la pluie, mais aussi d’une rivière. Rivière dans laquelle elle allait tomber, pensée qui se confirma lorsqu’au contact de l’eau elle sentit son être entier se consumer tandis que le courrant la ballottait. Elle savait qu’elle devait faire quelques chose sinon elle mourrait noyé, mais la douleur l’empêchait de penser correctement. Alors que les flots se jouaient de son corps Cendre eut la certitude qu’elle allait mourir, ici dans cette étendue d’eau perdue au milieu de nul part, sans avoir put trouver le but de son pèlerinage. Si ses yeux pouvaient pleurer ils l’auraient sans doute fait tandis qu’elle cessait de se débattre inutilement pour affronter la mort dignement dans le calme.
Alors qu’elle sentait l’eau pénétrer dans ses poumon et s’attendait à suffoquer d’ici quelques instant elle entendit un fort remous agiter l’eau et vit une masse noire non loin d’elle, avant de sentir une main saisir son bras et la soulever avec aisance malgré ses deux cents et quelques kilogramme et la lancer sans autre forme de délicatesse sur la berge. Cendre tenta de se relever lorsqu’un spasme l’en empêcha en la forçant à cracher l’eau absorbé par ses poumons. Tandis qu’elle était cloué au sol en appui sur ses bras à se vider de la substance néfaste qu’était l’eau pour elle, elle entendit l’individu qui l’avait sauvé sortir de l’eau et lui lancer une cape qui atterrit sur elle, Cendre s’attendait à voir la cape se consumer au contact des ses flammes mais s’aperçut avec un étonnement non dissimulé qu’elle était faite de la même matière insensible aux flammes que ses autres vêtements.
Alors qu’elle s’enroulait dans la cape à la fois pour se sécher et pour se protéger de la pluie qui continuant de tomber dans la petite clairière où le courant de l’eau avait finit par l’amener, elle entendit l’homme dire :
« Il semblerait que vous me deviez la vie »
Cendre ne répondit rien sachant pertinemment que l’homme avait raison, celui-ci étouffa un rire devant le comportement de la pyre et d’un claquement de doigts alluma un grand brasier au milieu de la clairière sans qu’il soit alimenté par un quelconque combustible.
« Et puis-je vous demandez ce que fait une pyre aussi loin des son pays ? »
Cendre soupira, elle n’avait pas vraiment envie d’expliquer le principe du pèlerinage qui ne manquerait pas d’apporter une dizaine d’autres questions, cependant elle lui devait la vie aussi il aurait été malvenu de ne rien répondre.
« Je suis en pèlerinage. »
« Et quel est le but de votre voyage à travers le monde ? »
Cendre fut surprise par la réponse de l’homme tant il était inhabituel qu’un non-pyre connaisse le principe d’un pèlerinage, aussi pour la première fois elle daigna lever ses yeux vers lui et l’observer attentivement. C’était un humain, son physique ne laissant aucun doute la dessus, il portait une armure de plaque entièrement noire recouvrant complètement son corps à l’exception de sa tête et de son bras gauche qui lui n’avait rien d’humain, il était beaucoup trop gros pour qu’il appartienne à cette espèce, aussi noir que l’armure il était tout simplement monstrueux, aussi large que Cendre et aussi long qu’un humain, sa main ne contenait que trois doigts, le pouce l’index et l’annulaire probablement, il semblait ne pas être fait de chair mais plutôt en une matière osseuse et était recouvert d’une carapace de la même matière. Cendre se perdit quelques instant dans la contemplation de cet étrange appendice avant de se reporter sur le visage de l’homme. Il était imberbe et ses yeux noirs exprimaient un mélange de tristesse et de joie entrecoupé d’une fierté guerrière profonde, ses cheveux étaient blond et lisse contrastant vivement avec son armure, son visage était plutôt fin, son nez était mince et ses joues légèrement creusées, il avait de fines lèvres d’une extrême pâleur qui se confondaient presque avec sa peau légèrement foncée. Nul doute que pour une humaine il devait paraître magnifique. Il semblait cependant s’impatienter d’attendre une réponse, tant et si bien qu’il reposa la question :
« Quel est le but de votre voyage à travers le monde ? »
Cendre se ressaisit et répondit sans mentir puisque cela ne lui servirait de toute manière à rien.
« Une raison de vivre ou de mourir peu m’importe . »
L’homme restait impassible malgré l’étrangeté de ses propos.
« Pourquoi donc ? »
Cendre hésitait à dire si il était curieux ou se contentait de faire la conversation tant il était inexpressif, mais elle choisit la encore de répondre, bien qu’habituellement elle ne le faisait jamais, quelques chose en elle lui ordonnait de répondre à cet homme.
« Parce que je suis une enfant d’Isha possédant les flammes pourpres, tout les êtres, ceux de ma race comme les autres, s’entêtent à me considérer comme un monstre bien que la plupart ne le montrent pas. Beaucoup souhaiteraient que je meurs, mais pourtant je n’ai pas trouvée de raison de leur faire cette joie, tout comme je n’en ai pour le moment pas trouver de vivre. »
Toujours impassible l’interlocuteur de Cendre semblait réfléchir à la prochaine question qu’il allait posé.
« Es-tu la pyre noire qui affronte et tue les héros humains ? »
Cendre frémis en se rappellent que cet homme pouvait bien faire parti de ceux qu’elle avait tant de fois tué, dans sa quête absurde. Elle voulu mentir pour son protéger à cause de son état de faiblesse mais quelque chose l’en empêcha.
« C’est bien moi. »
« Pourquoi fais-tu cela ? »
Cendre écarquilla les yeux. Elle s’attendait à ce que l’homme la frappe, la fuis, l’un puis l’autre, ou l’inverse mais certainement pas à ce qu’il reste immobile et pose une autre question à laquelle elle finit tout de même par répondre.
« Parce que lorsque j’aurais trouvé cette raison de vivre ou de mourir je veut être sûre d’avoir la force nécessaire à son accomplissement. »
L’homme sembla réfléchir un moment, paraissant peser le pour et le contre d’une décision qui lui pesait sur la conscience, comme si Cendre le confrontait à un choix dont dépendant sa propre survie. La pyre l’observait sans oser rompre le silence qui s’installa pendant de longue minute, elle ne savait pas pourquoi mais l’homme l’intimidait fortement, comme si intérieurement elle le sentait très dangereux. Il finit cependant par reprendre la parole avec cette phrase qui ne fit qu’accentuer la perplexité de la pyre vis à vis de l’humain :
« Accepterais-tu que je te donne une raison de vivre ? »
Cendre ne sut que répondre tant la question de l’homme était étrange, aussi il prit le soin de s’expliquer :
« Mon maître m’a ordonné de remettre notre bien le plus précieux à une personne qui serait capable de le protéger, je comptais à la base le donner à un grand héros humain résidant dans la capitale, mais vous me paraissez être un choix plus que raisonnable pour cette tache. »
Cendre garda le silence, pour la première fois depuis le début de la conversation elle ne ressentait pas cette obligation de répondre, comme si un sort c’était levé. Et pourtant bien que rien ne la forçait elle se surpris à hocher la tête de manière positive. L’homme sourit et se leva prennent dans ses affaires un tas de linge qu’il tendit à Cendre, celle-ci s’en saisit et constata avec surprise qu’il contenait un nourrisson dormant paisiblement malgré l’agitation alentour.
L’homme la serra alors dans ses bras concluant ainsi comme un pacte invisible.
« Puissiez-vous en prendre soin autant que votre propre vie, notre monde en dépend. »
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