Il faut savoir d'où vient le vent[PV:Marya et le Directeur Ogawa]

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Aujourd'hui le ciel était d'un joli bleu. Personnellement, Haruna l'aurait bien vu gris. Mais un gris qui résumerait bien la situation dans laquelle elle se trouvait. Hum...Comment dire...

*Dans une catastrophe irréparable qui se soldera par un meurtre sanglant...*

Exactement!Enfin,plutôt deux meurtres sanglants. Voilà qui résume bien la situation. En effet, Marya et elle avaient étés convoqué pendant une après-midi à venir dans la salle des professeurs. Un d'entre eux leur avait dit que...eh bien...le garçon n'avait toujours pas récupéré l'usage de son bras et que l'affaire était montée plus haut. Plus haut...On aurait pu espérait que cela remonte à la vie scolaire mais, problème, il n'y avait pas de vie scolaire à Takuestu no Gakuen. Quand elle avait compris que « plus haut » , c'était le directeur, Haruna avait hésité entre venir ici devant la salle des profs ou se tirait une balle avec un flingue dans la tête tout de suite. Solution n°1. Et puis elle n'avait pas revolver(Ah, parce qu'elle était sérieuse?).En clair,ce qui aime les films d'horreurs,vous n'avez plus qu'a lire(Les films d'horreur...et l'hémoglobine...)

Donc voilà, un bon moment maintenant que Marya et elle attendaient devant la porte de la salle des professeurs. Elle voyait la trotteuse de l'horloge tournait depuis très longtemps. Oh,elle s'était trouvée quelques occupations. Arranger son uniforme(autant faire une première bonne impression), boire de l'eau, regarder l'heure...Elle lançait quelques fois des sourires aussi rassurants qu'elle le pouvait à Marya bien que leur situation n'avait rien de rassurant. Elle essayait aussi de ne pas penser à son frère. Ou, tout du moins, aux phrases qu'elle se répétait dans sa tête. Puis, finalement, adossée à une fenêtre, elle regardait le ciel et ses multiples couleurs bien qu'elle avait du mal à les regarder avec objectivité. Bleu clair...Bleu marine...Bleu foncé...Bleu très foncé...Noir...Gris...Rose...Violet...Pourpre...Magenta...Bordeaux...Rouge foncé...Rouge...Rouge sanglant...

[Court,je m'en excuse T_T ]

[pas grave]

Haruna à l'air ... Stressée. C'est le cas de le dire. Marya se demandait un peu si c'était la première fois qu'elle allait voir le directeur, mais ne lui demandait pas. Pourquoi ? Parceque d'abord, ce n'était pas ses affaires, qu'ensuite, cette information lui serrait innutile, et qu'enfin, Marya avait la fleme d'ouvrir la bouche. Oui, la flème. Vous avez bien ~~entendu~~ lu.

Marya ... Au fond, cette petite afaire l'arrangait un peu ; elle pourrait faire une nouvelle tentative pour reprendre ses affaires... Du mon son sac et son contenu. Le reste, Il était sensée apartenir aux directeur.

En réalité, les seules chose qu'elle voulait réellement ravoir, c'était son katana et son revolvère ... Pas de chance, c'était justement la chose qu'elle avait le mons de chance de récupérer. Si ça ne marchait pas, tant pis. Elle trouverait autre chose. Quand même, elle qui voulait se tenir à carreau pour avoir le droit des les reprendre, c'étit raper.

En fait, Marya ne voullait pas vraiment y penser. Elle préfairait penser à autre chose ; c'était plus facile en ce moement critique de penser "Une fois ç fini, si je suis encore en état, je vais chercher Daiichi et je l'emène au centre-ville ; il y a vu un magasin instrumentale, je peux bien le remettre devant un piano ou un violon, ça lui ferra plaisir. Après, j'irait surment voir comment vas l'autre idiot."

L'autre idiot, c'était celui qui avait été suffisemment douer pour faire perdre le self contôle à Marya et qui avait à présant l'usage d'un bras en moins. Et puis Daiichi ...

Daiichi, c'était sa vie. S'il disparaissait, elle mourrait. Si il avait mal, elle en deviendrait folle. C'était sa raison de vivre, puisque s'il il n'étzait pas là ...

Il y aurrait longtemps que je serrais passer de l'autre côté.

Il ne fallait pas qu'elle cède ... Il ne fallait pas qu'il s'en prène à lui. Il ne le ferrait pas. Pas pour quelque chose de si peu important. Il falait que ce soit quelque chose d'utile, ou bien d'amusant ... Sinon, avoir un otage n'avait pas vraiment d'interet pour ce directeur à l'esprit tordu.

Marya entendit des pas dans le couloir et réouvit les yeux.

-"Haruna : Ca arrive."

Elle se redressa et tripotta du bout des doight son pendentif ; l'autre était tellemnt plus utile !

Une silouette apparut, grande et fière, effrayante en somme. Marya et Haruna allait devoir affronter le fait qu'elle se soient mit dans un sacrée pétrain.

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Le directeur entra dans la pièce d'un pas décontracté et simple, il vois les deux jeunes filles convoquées se lever à son arrivé. L'une d'elle était effrayée, l'autre completement paniqué de le voir. Il adorait cette sensation, inspirer la peur la plus simle parmit les élèves, la faire grandir par de l'incertitude et de la crainte, afin de s'en "nourir" et de maîtriser ses élèves. Voilà pourquoi il adorait ce poste de direteur de l'académie, et il ne le lassera jamais personne d'autre lui prendre cette place. Il faudrai le tuer pour ça, et il doute connaitre encore quelqu'un capable de le tuer.

Il se dirige alors vers le bureau, il n'avait toujours pas adressé la moindre parole au deux collègiennes qui sont encore debout. Il s'assit sur le siège du bureau, posant des dossiers.Trois, pour être plus préscit. Il les sépara et les place face à lui. Une fois bien instalé, du moins à son gouts, il décide enfin de parler aux deux élèves.

-Asseyez vous, jeunes filles.

Haruna s'assied presque aussitôt, de peur qu'il ne décide de changer d'avis sur le coup, alors que Marya prit un peu plus de temps pour s'assoir. Dans un silence pesant, il ouvre le dossier le plus à droite, le dossier scolaire d'Haruna Yogashi, et le lit rapidement d'un coup d'oeil rapide. Situation familiale, niveau scolaire, tout est marqué. De longue minute pas en silence, engoisant un peu plus la jeune fille au cheveux roux, avant qu'il ne referme le dossier et de prendre celui de Marya, bien plus épais. Il n'avait pas besoin de tout lire, vu quece n'est pas la première fois qu'il pose son regard à l'interieur. Il ne regarde que la fin, c'est a dire deux feuilles. Il referme enfin le dossier de Marya et entrecroise ses doigts entre eux avant de poser sa tête dessus. Il toisa les deux jeunes filles comme un chat qui vient de trouver deux souriceaux pris au piège dans un coin de pièce.

-Je ne sais pas quoi dire, mesdemoisselles, si ce n'est que je suis déçus. Déçus et désapointé d'apprendre que vous, et je dis bien "vous", vous êtes permi d'utiliser vos dons afin de blesser un autre élève de l'établissement, surtout pour une histoire si futile de baladeur. La seul personne dans cette établissement qui à le doit de décider du châtiment des autres élèves, c'est moi et moi seul. Tout comme il n'y a que moi qui décide qui à le droit de châtier en mon nom. JE décide qui reste, et qui part. JE décide qui doit vivre ou mourir.

Maintenant, j'attend votre version des faits, et j'attends de vous que ce soit crédible.

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-"Haruna : Ca arrive."

Ca arrive...Ce genre de chose n'arrive pas, Marya. C'est une fatalité que l'on ne peut éviter. La jeune fille se redresse en voyant l'homme arrivait d'un pas souple et décontracté. Il n'y avait bien que lui qui l'était. La jeune fille aux cheveux roux n'osa pas lever les yeux vers le directeur. Il devait prendre un malin plaisir à s'apercevoir qu'elle était toute paniquée à l'idée de se retrouver face à lui. Avant de le suivre jusqu'à son bureau, Haruna jeta un rapide coup d'œil à Marya. Elle non plus, elle n'était pas rassurée.

Donc,elles le suivirent. Il ne leur disait rien et elles ne prirent pas le risque de discuter pendant tout le trajet, aussi court fut-il. Le directeur s'installa, prit trois dossiers, les sépara, les mit devant lui. Un d'entre eux, le plus à droite, avait marqué « Haruna Yogachi » sur le devant et un autre « Marya Akatsuki ». Ce dernier était plus épais.

-Asseyez vous, jeunes filles.

Haruna s'assit très rapidement. Autant ne pas le contrarier et ne pas rechigner. Et puis, on s'est jamais, il pourrait changer d'avis. Marya vint s'assoir à ses côtés, peu après. Il prit un dossier. Le plus à droite. Le sien bien sûr! Pourquoi elle ? Pourquoi toujours elle?! Il commença à le lire. Elle aurait bien aimé lu dire de s' arrêter tout de suite mais elle n'ouvrit même pas la bouche. Elle entrevu sur une des feuilles « Situation familiale ». La collégienne commença à angoisser. Sa famille n'était pas très recommandable. Non...Elle n'était pas recommandable du tout! Bonjour les préjugés...Tant pis...Que pouvait-elle faire d'autre? On a les parents qu'on a...Recouvrant peu à peu son sang-froid, sa respiration trouva un rythme normal. Enfin, le directeur se décida à poser son dossier et prendre celui de Marya. Il ne lut que les deux dernières feuilles. Ah...Il l'avait peut-être déjà lu. Puis il les toisa en entrecroisant ses doigts et posant sa tête dessus.

-Je ne sais pas quoi dire, mesdemoisselles, si ce n'est que je suis déçus. Déçus et désapointé d'apprendre que vous, et je dis bien "vous", vous êtes permi d'utiliser vos dons afin de blesser un autre élève de l'établissement, surtout pour une histoire si futile de baladeur. La seul personne dans cette établissement qui à le doit de décider du châtiment des autres élèves, c'est moi et moi seul. Tout comme il n'y a que moi qui décide qui à le droit de châtier en mon nom. JE décide qui reste, et qui part. JE décide qui doit vivre ou mourir.

Maintenant, j'attend votre version des faits, et j'attends de vous que ce soit crédible.

Déçu? Il est déçu? Et désappointé? Il insiste sur le « vous ». Qu'il insiste! Haruna, qui a retrouvé a peu près son calme et sa froideur habituels, sait très bien que son don n'est pas si nuisible aux autres que ça! Et le directeur, il se prend pour un dieu ou quoi? Non,le diable en personne c'est pas possible! D'accord, il est directeur mais de là à s'octroyer tous les droits...

Donc sa version des faits en crédible...Ouais, impossible de mentir et de faire un truc crédible en si peu de temps. Et puis Marya dirait sûrement la vérité donc autant éviter de s'enliser en racontant un truc qu'elle a inventé de toutes pièces. Vu que Marya n'ouvrit pas la bouche, Haruna se décida à parler en premier. Elle regarda le directeur droit dans les yeux pour la première depuis qu'elles étaient ici. Son regard bleu clair se plongea dans l'œil vert émeraude uniquement visible, l'autre étant caché par un monocle.

_Bon alors...Après que Marya se soit occupé du baladeur de l'élève, il est venu lui hurler dessus avant de la frapper...Puis elle s'est défendu et à utiliser son don. Elle s'est arrêter mais on a du emmener l'élève à l'infirmerie parce que il était blessé...

Elle s'arrêta là, ses yeux toujours planté dans celui du directeur. Un frisson la parcourut pendant un instant. Mais elle était quand même contente de son petit résumé. Aucun mensonge et sans rentrer dans les détails. Elle soupira en attendant de voir ce qu'allait dire Marya.

_Bon alors...Après que Marya se soit occupé du baladeur de l'élève, il est venu lui hurler dessus avant de la frapper...Puis elle s'est défendu et à utiliser son don. Elle s'est arrêter mais on a du emmener l'élève à l'infirmerie parce que il était blessé...

Tout juste ce qu'il faut.

Marya regarda encore un peu son diossier trop plein ... Le compte rendu de l'organisation de son anciène vie, autrement dit tout sur le clan Akatsuky. La propriété entière qui se baladait entre elle etr les main du directeur. Ces objet à une valeur incommansurables qui ne demmandait qu'a être vendue pour un bonne somme rondellette avoisinant les 120 000 ¥ la pièce, en ne comptenant que les sabres ... Oui, car il y avait ce colt ... Ce colt qui n'avait pas de valeur ... Tant elle était immanse.

Et surment aussi tout ce qui concernait le massacre, Daiichi, Sa vie pendant ces deux ans ... Ey ses problème de personalité et de comportement évidemment. Tout cela sans compter son don. Elle pouvait se souvenir qu'il devait aussi être marquer à l'interieur les noms de tout ceux qu'elle avait tuer ... Ces noms qu'elle portait ... Leur vie ...

Elle se réveilla de ses penser et croisa le regard d'Ogawa. Un petit frisson de dégout fini de la convaicre de parler.

-"Comme elle a dit ; Mes oreilles était trop sensible et il allait me briser les tympan. J'ai utiliser mon don à tord, je le reconnais. Ils sont venu, il allait me frapper, et à ce moment là, c'était de la légitime défance. Haruna ma arrêter avant que je lui arrâche le bras."

Un peu brutte comme explication, mais c'était ce qui s'était passé. Elle sentit le regard du directeur, comme un couleuvre s'enroulant sur son corps. Et Maryua sentait que ça allait se ressérer.

-"Objectivement, Haruna n'a pas utiliser son don. Elle a juste sauver la vie d'un de vos étudiant."

Le serpent ressera l'étau et devin vipère, montrant les cros pour faire miroiter son venin mortel. Marya transpirait, il s'en fallu de peu pour qu'ellene tramble pas de l'échine. Ce coup-ci, elle allait mourir ; pour quelques secondes. En fait, il n'y a que dans ces moments là que Marya se comportait vraimant comme uh enfant de son âge ...

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Ogawa écouta les remarques des deux jeunes filles et regarde attentivement leurs réactions. Il n'en attendait pas moins des deux jeunes élèves, lui dire la vérité est quelque chose qu'il appréciait par dessus tout, même si ça lui enlève certain plaisir personnelle. Mais il n'est pas là pour ça aujourd'hui. Il est présent pour statuer de la responsabilité de l'accident et c'est ce qu'il va faire. Il n'appréci neanmoins pas le fait que Marya lui souligne un fait qui pourtant est trés clair.

-Seriez vous sourd, mademoiselle Akatsuki? Ou alors me prenez vous pour un imbécile? Si c'est l'un des deux cas, je vous conseille de remédier à ce problème rapidement, ma chère, à moins que vous ne teniez à ce que votre "petit frère" ne paye pour vos emportement stupide.

Ogawa avait touché un point sensible, trés sensible. Marya, qui était jusque là impassible, était devenue nerveuse et colérique. Il le voyait trés bien, la jeune fille se retenait de ne pas faire le même sort qu'elle avait fait à l'élève sur le bras d'Ogawa. Mais elle sait que la moindre action contre le directeur risque d'être désastreux pour le petit primaire. Le sourire sadique d'Ogawa prend de l'empleur sur son visage.

-Chatiez les innocents pour en punir les coupables. Cette phrase est bien trouvé à la situation, n'est ce pas, ma chère. Je ne demande pas grand chose durant votre séjour dans ces lieux. Juste deux chose primordiale : de l'obéissance et de la discipline. Si vous tenez à ce que votre chère petit frère ne subisse pas mes foudres, et si vous tenez à récuperer vos souvenir de famille, il est de votre devoir de respecter mes règles, est-ce bien clair? Alors taissez vous quand il faut vous taire.

Ogawa tourne son regard vers Haruna, la jeune fille est surprit est choqué de voir cette scène. O-yama ne perd pas de temps pour la mettre au courant de la situation.

-Trouvez vous ça ignoble, ma chère? Apprenez ceci, je suis ignoble. J'ai tout les droits sur vous et quand je dis tout, c'est vraiment tout. Vos dons, votre histoire, vos vie, même vos corps sont ma propriété tant que je suis dans ce fauteuil. Et apprenez bien ceci : Chaque personne dans cette établissement finit toujours par m'obéir, de gré.....ou de force.

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-Seriez vous sourd, mademoiselle Akatsuki? Ou alors me prenez vous pour un imbécile? Si c'est l'un des deux cas, je vous conseille de remédier à ce problème rapidement, ma chère, à moins que vous ne teniez à ce que votre "petit frère" ne paye pour vos emportement stupide.

Houla...Ça craint, il commence à s'énerver. Le regard de Haruna fit le TGV. Directeur, Marya, Directeur, Marya...Cette dernière commence à devenir nerveuse. Si elle aurait pu étrangler le directeur, elle l'aurait fait sans aucun doute. Mais on ne sait pas de quoi ce fou est capable.

-Chatiez les innocents pour en punir les coupables. Cette phrase est bien trouvé à la situation, n'est ce pas, ma chère. Je ne demande pas grand chose durant votre séjour dans ces lieux. Juste deux chose primordiale : de l'obéissance et de la discipline. Si vous tenez à ce que votre chère petit frère ne subisse pas mes foudres, et si vous tenez à récuperer vos souvenir de famille, il est de votre devoir de respecter mes règles, est-ce bien clair? Alors taissez vous quand il faut vous taire.

L'obéissance, la discipline...Il est accro à ses mots!! Et il est monstrueux, ça c'est sûr. Haruna écarquille les yeux. Ce n'est pas possible! Ce n'est pas possible! Il ne ne peut pas être si...ignoble! Y'a un bug! Il se retourne vers elle, la toise de son œil vert. Comme si il avait lu dans ses pensées.

-Trouvez vous ça ignoble, ma chère? Apprenez ceci, je suis ignoble. J'ai tout les droits sur vous et quand je dis tout, c'est vraiment tout. Vos dons, votre histoire, vos vie, même vos corps sont ma propriété tant que je suis dans ce fauteuil. Et apprenez bien ceci : Chaque personne dans cette établissement finit toujours par m'obéir, de gré.....ou de force.

Là, c'est trop! Haruna n'en peut plus. Il est exactement comme lui. Cet être...Il lui ressemble! C'est le même, les mêmes gestes, les mêmes paroles...Le directeur est comme son crétin de frère. Les êtres comme ça doivent la hanter! Elle est maudite, c'est la seule chose plausible! La jeune fille tenta de retrouver son sang-froid pour dire ce qu'elle pensait « en douceur » au directeur.

_Non, je ne trouve pas ça ignoble, juste...Juste...

Ses yeux brillaient. Les souvenirs l'envahissaient. Un tempête combattait dans son crâne, terrassant tout sur son passage. Elle regarda l'œil vert qui la fixait. Son regard clair semblait éteint.

_Juste...

Ce mot ne voulait pas franchir sa bouche. Étrange? Peut-être bien. Haruna rassembla son courage. Elle doit le dire. Il faut qu'elle le dise...Pour faire avancer les choses...

_Juste pathétique...

Au revoir Haruna...Heureuse de t'avoir connue!

Petit frère. Souvenir de famille. La vipère tenait ses cros vénéneux sur sa gorge. Marya ... Il ne faut pas !

Je peux pas ... Je peux plus le suporter ! Il va lui faire du mal !

Alors tue-le.

Je ne peux pas ! Tout dépend de lui !

Tu peux recommancer : tu 'as pas besoin de lui.

Je ne peux pas m'occuper de lui seul ! J'ai besoin de son aide merde !

Il va le faire pleurer.

Mais tout dépend de lui ! Il faut qu'il vive !

Tu n'as donc plus de fierté.

Je ne peux pas risquer qu'il vive cette vie !

Mais si tu le laisse ici, il va pleurer de ne plus te voir assez, il va pleurer car quand tu ferra un faux pas, il le ferra pleurer.

Je ne peux pas le tuer !

Si c'est trop dur de suporter ... Tu peux TE tuer.

Cela faisait trop de temps ... Que Marya y pensait.

Ce serait tellemnt plus simple si je n'existait pas ...

L'un de vous deux va mourir, et tu ne soufrira plus.

Je ... Je ...

Marya se planta la canine dans les levres, faisant couller par le même occasion du sang dans sa bouche. Ele sortie de son débat avec elle-même et continua avec peine à écouter sans protester. Elle ne pouvait pas le tuer, elle ne devait pas disparêtre ; sinon, Daiichi allait pleurer : un jours où l'autre.

-Trouvez vous ça ignoble, ma chère? Apprenez ceci, je suis ignoble. J'ai tout les droits sur vous et quand je dis tout, c'est vraiment tout. Vos dons, votre histoire, vos vie, même vos corps sont ma propriété tant que je suis dans ce fauteuil. Et apprenez bien ceci : Chaque personne dans cette établissement finit toujours par m'obéir, de gré.....ou de force.

Effectivement, Haruna semblait troublée par la conversation. Marya ne s'en étonait pas, mais elle sentie que son amie était au même niveau qu'elle ; quelqu'un de soumis qui avait envie de se lever. Sauf que Haruan était plus que ça ; elle étona et Marya, chose difficile à faire.

_Non, je ne trouve pas ça ignoble, juste...Juste...

Haruna dit pas n'importe quoi merde !

_Juste pathétique...

Le coeur de Marya fit trois tours, puises yeux se tournairent vers O-yama. Marya ne put s'en embecher, et fiot avec beaucoup de mal ce qu'elle n'avait pas fait depuis 3 ans maintenent ... Sans objets pour l'aider.

Elle fit vibrer l'air et se concentra sur celui entourant les oreilles d'Haruna, l'isola et commanca à "parler".

Haruna si tu comprend ne serait-ce qu'une bribe de ce que je vais te dire, fait-le ; c'est un homme, il peux facilement nous mettre à terre, alors s'il sa lève, tu te barre en courant. Il va te faire quelque chose de dangeureux, soit en sûre alors tu n'a plus qu'a prier pour qu'il n'agisse pas en être humain mais directeur ; Tu m'entends ? On ne peux pas faire grand chose alors je sais que c'est chiant mais merde on se fera punir et on n'en reparle plus ; si on parle encore une fois, il est capable de ...

Trop long ... Marya stop le message prématurément et se met à respirer avec de serieux ennuis ; Elle n'éait pas sûre que son message soit assez clair pour qu'Haruna le comprène mais elle espairait qu'elle avait compris qu'il fallait arrêter le massacre.

Marya cacha son malaise quelque secondes mais ne pu s'empecher de se tenir le coeur ; elle venait d'utiliser toutes le cellules de son corps... Quelque chose de chaud venait de lui starveser la gorge, et un gout de fer emplit sa bouche ; ce n'était qu'une fois, la fois de trop. Les cellules du coeur ne suportait plus cet usage trop sauvage du don. Elle avait percer ou dechirer une mambrane.

Et merde ! Pas maintenent ! C'est pas le moment merde !

Elle jetta un coup d'oeil à Haruna ; elle ne semblait pas avoir compris. Elle avait du se tromper de fréquance sur certaines paroles. Elle regarda du côter du directeur ; Il ne pouvait pas avoir entendu, puisque seul l'air d'Haruna avait vibrer. Le sien était rester immobile, elle en était sûre.

J'ai encore fait quelque chose d'innutile. Merde Pourquoi ce truc est aussi contaignant quand je porte pas mon pendentif !

Elle tregarda le bureau avec son dossier ; le pendantif aussi devait être répertoirié ...

Citation :: Les effectifs concernants les Akatsuki retrouvés lors de son arrivée :

Le revolver des Akatsuki, jumelé du colt famililes.
Un des Sabres dits "Chanteurs"
Le pendantif dit "Chanteur".

Ces deux dernier éléments ont été percée de facon à faire vibrer l'air à l'interieur, surment ont-ils été créer spécialement pour le don de ce clan.

Toutes ces information ne sont que des hypothèse confirmé par Akatsuki Marya lors de son arrivée.

Ce pendantifs ... Ce serrait nettment plus simple ... Et beaucoup moins dangereux s'il elle l'avait.

[Haruna : Libre à toi d'entendre en totalitée ou de ne prendre que des parties : s'il il manque des passage, présante le comme ça

Haruna ... qu'une bribe de ce que je vais ..., fait-le ; ...peux facilement nous mettre à terre, ... barre en courant. ... dangeureux, soit en sûre alors .... qu'il n'agisse pas en être humain ...u m'entends ? On ne ... je sais que c'est chiant mais merde ....et on n'en reparle plus ; si on parle encore une fois, il est capable de ...

Voilà donc après choisie ^^

Directeur ;

Le message n'est entendu que par Haruna mais on peu percevoir dans l'air quelque chose d'étrange ; c'est la réaction du mouvement des molecules d'air qui transporte le son. Libre à toi de le ressentir ou pas.

Bonne chanc epour comprendre ma logique ... Pour mes affaires surtout ^^"]

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Ogawa sourit en écoutant le point de vue de la jeune fille. Elle avait prit son temps pour bien choisir les mots afin d'éviter de subir une punition trop lourde et sévère. Seulement, on voyait qu'elle ne connaissait pas tés bien le directeur, ce qui est normal vu que c'est la première fos qu'ils se rencontrent tout les deux. O-yama appréciait ce genre de situation, car l'élève ne se doute pas une seconde à quel point il pouvait être cruel, et morbide, quand il le pouvait.

Soudain, le monocle qui cache son oeil droit se met alors à vibrer. Etrange, il se demande bien pourquoi, avant de tourner son regard vers Marya, qui semblait un peu palotte. Il comprit alors qu'elle venait de faire vibrer l'air, surement pour parler son amie sans qu'O-yama ne sache se qu'elle lui dit.

-Belle preuve de courage, ma chère, mais vaine tentative. Si vous aviez vos objets, ou si vous saviez mieux utiliser votre don, je n'aurai pêut être rien remarqué. Quel dommage pour votre amie, elle subira le prix de votre insubordination.

O-yama fit alors un grand sourire mauvais et posa son regard vers la jeune fille. Il utilisa son don afin de voir ce qui la trouble, la tourmante, la rend triste. Une chose lui arrive directement, une forme apparament trés proche de la jeune fille, une personne qu'elle détèste, qu'elle hait, qu'elle méprise plus que tout au monde. Pour le peu qu'il en voit, cette personne posèderai le même caractère que lui, c'est à dire orgueilleux, sadique, médisant. Quelle belle surprise de connaitre l'identité de cette personne, vu que ce dernier était un élève de l'école.

-Vous trouvez ça pathétique? Voyons, ma chère, si c'est le cas, vous ne devriez pas être si surprise. Aprés tout, votre frère n'est il pas "pathètique" selon votre terme?

La jeune fille regarde le directeur dans les yeux, grossière erreur, trés grossière. Il la tient à présent en son pouvoir maintenant que leurs regards se sont croisés. Les gens sont si facilement impréssionnable, même ceux qui possède des dons particuliers. Il suffit juste qu'il trouve quelque chose de particulier et les gens le regarde avec surprise et peur. Et cette peur lui sert à beaucoup de chose, et tant qu'il attise cette peur, la jeune fille n'osera même pas déplacer son regard ailleur que dans celui du directeur. Si son oeil gauche peut voir les blessures psycologique des gens, l'oeil droit est bien plus terrible encore.

-Ah, votre grand frère, trés brillant élève, pas comme sa soeur. Il a tout de suite comprit où était sa place et il m'a rendu beaucoup de grand service. Hélas, ce genre d'élève est trés rare, je n'en voit qu'une poignée par génération. Il s'agit vraiment d'une personne sur qui n'importe qui peut compter, pas comme vous. Ne serait-ce pas d'ailleur pour cette raison que votre famille s'est débarassé de vous en vous envoyant ici?

Tout en parlant, il portait un regard insistant sur la jeune fille. Tant qu'elle garde le contact avec ses yeux, il peut lui envoyer des illusions, mais pas n'importe lesquels. Se sont les souvenirs de la jeune fille qu'il oblige à voir, des souvenirs cruel, douloureux, blessant.

Invité

Haruna ... qu'une bribe de ce que je vais ..., fait-le ; ...peux facilement nous mettre à terre, ... barre en courant. ... dangeureux, soit en sûre alors .... qu'il n'agisse pas en être humain ...u m'entends ? On ne ... je sais que c'est chiant mais merde ....et on n'en reparle plus ; si on parle encore une fois, il est capable de ...

Hein? C'est Marya. Elle lui envoie un message. Haruna essaie de le comprendre mais c'est assez difficile. Elle se tourne vers Marya. Elle est très pale. Qu'est-ce qui lui arrive? Malheureusement, la jeune fille n'a pas trop le temps de se posait la question.

Vous trouvez ça pathétique? Voyons, ma chère, si c'est le cas, vous ne devriez pas être si surprise. Aprés tout, votre frère n'est il pas "pathètique" selon votre terme?

Arrêt sur image. Comment peut-il le savoir? Mais il n'a pas tout à fait tort. Oui, c'est la vérité. Haruna a toujours hait son frère. Il a compris. Il a tout compris. Elle n'arrive plus à lâcher son regard. Il connaissait son point faible, depuis le début. Et elle s'est laissée avoir. Décidément, ces êtres se ressemblent.

-Ah, votre grand frère, trés brillant élève, pas comme sa soeur. Il a tout de suite comprit où était sa place et il m'a rendu beaucoup de grand service. Hélas, ce genre d'élève est trés rare, je n'en voit qu'une poignée par génération. Il s'agit vraiment d'une personne sur qui n'importe qui peut compter, pas comme vous. Ne serait-ce pas d'ailleur pour cette raison que votre famille s'est débarassé de vous en vous envoyant ici?

La collégienne écarquille les yeux. C'est pas possible. Son frère a rendu des services au directeur? C'est pas vrai! Dites moi que c'est pas vrai! Il la regarde avec insistance. Alors...C'est trop tard?

« Inutile...Tu est inutile... »

Haruna frissonne. Elle qui s'était promis de ne pas céder à ses souvenirs. Maintenant, il va être dur de remonter la pente. C'est bon...Le directeur la tient...Il ne la lâchera plus maintenant.

« Haruna...Les gens comme toi ne devraient pas exister. Il faut toujours être bien vu par les gens haut placé. Et toi...Tu préfères être seule...Tu es inutile, Haruna. Tu ne mérites pas que je sois ton grand frère »

Si elle s'écoutait, la jeune fille éclaterait en sanglots. Non, il faut qu'elle lutte. Contre son frère. Contre le directeur. Contre elle-même, si il le faut! Elle doit se relever. Même si elle ne peut pas grand chose...Il faut qu'elle essaie. Maintenant.

_Si vous pensez que mon frère est quelqu'un de bien...

Elle ferme les yeux. Elle entends sa voix perçante. Ses yeux bleus comme les siens qui la fixent. Et ce sourire malsain. Maintenant, elle aussi elle sourit puis réouvre les yeux tout en fixant le directeur.

_Alors...Vous n'avez rien compris...

-Vous trouvez ça pathétique? Voyons, ma chère, si c'est le cas, vous ne devriez pas être si surprise. Aprés tout, votre frère n'est il pas "pathètique" selon votre terme?Ah, votre grand frère, trés brillant élève, pas comme sa soeur. Il a tout de suite comprit où était sa place et il m'a rendu beaucoup de grand service. Hélas, ce genre d'élève est trés rare, je n'en voit qu'une poignée par génération. Il s'agit vraiment d'une personne sur qui n'importe qui peut compter, pas comme vous. Ne serait-ce pas d'ailleur pour cette raison que votre famille s'est débarassé de vous en vous envoyant ici?

Kono ... Yaro .... [ Cette espece de ...]

Il utilisait son don ... Comme il avait tenter de le faire avec Marya la première fois ... Et il avait réussi. Marya ne s'était pas sucider à ce moement pour une seule raison ;

"Je ne laisserais jamais ce gamin avec vous ; tant que vous serrez capable de le faire pleurer"

Il avait attiser sa rage. Mais Cela n'empechait pas qu'en sortant elle était ... Plus que mal en point. Cet homme prenait les gens, leur douleur, et nous lesd affichait devant les yeux ... Il était surment capable de remuer la couteau dnas la plaie jusqu'a ce que la personne en meure. Il était tout simplement en train de fair ela même chose avec Haruna.

Marya se demandait si Haruna était assez forte ... Et eu un serieux doute (vous savez, vous avez un seireux mla a faire confiance aux gens autours de vous dans ce genre de situation, surtout quand on crachote du sang qu'on doit ravaler !). Haruna était-elle ... Assez forte ?

_Si vous pensez que mon frère est quelqu'un de bien...

Haruna ... Nani ... ? [qu'est-ce que ?]

_Alors...Vous n'avez rien compris...

Haruna ... Se défendait ? Haruna ... Ne se soumettait pas à ce pouvoir ? Marya eu un léger sourir et se retenu de ne pas pouffer.

Haruna ... Désolée d'avoir douter ... Tu es ... Bien plus forte que moi.

Haruna voyait surment ces images, entendait surments des mots ou des son qu'il lui faisait mal, mais elle se défandait : Seul eux savait ce que cachait cette discution, et Marya n'était que le témoins d'un combat psychologique. Haruna avait vraiment raison ...

"sur une échelle de 1 à 10, a combiens évalurais-tu ta force mentale."
"Question 1 : 9/10"

Non ... Même ça c'était un mensonge .. sans plaisanter, si elle n'avait pas été ausi faible (crachotte du sang^^") et qu'elles n'était pas dans le bureau du directeur, elle l'aurait dit à voit haute :

"Tu m'as mentit Haruna ; 15/10. Tu est beaucoup plus forte que moi. Beaucoup plus forte. Que tout ça."
"Peut-être même que lui ..."

Marya se surpris à parler de LUI ... Ca faisait longtemps !

Onii-san !

Marya ferma les yeux et sourit impreceptiblement ... Et pouis merde !

-"Exusez-moi ... Ogawa-sama."

Leurs tombe était déjà prête alors ... Si ça pouvait le vexer, tant pis (aller tu moi, ça ira plus vite)

-"Je crois que nous avons environs une heure et demi pour decider de notre punition, et même si je suis sûre que parler de son frère si utile doit vous ravir, je pense que vous avez d'autres chose à faire que vous occuper de deux insolante comme nous."

Mode Charmante jeune fille bien polie OFF ; Marya changer d'expression ; le meilleur moyen de vous la décrire est encore "elle fait la gueule".

-"Vous savez très bien dans quelle état nous nous trouvons alors je pense que vous ne vous étonerez pas si je vous dit que je ne vais pas pouvoir tenir longtmps à jouer cette coédie ; ne vous vexez pas si je parrait impolie vous savez qui je suis."

Il l'avait déjà vu dans cet état. Il savait que Marya n'aimait se ralonger en politesse, et il savait aussi ses sentiments ev=nvers lui, et bien se comporter n'y changerait rien. Alors la seule chose qu'elle risquait était de gacher son plaisir de pouvoir martiriser Haruna. (but recherché ???)

Elle grattat le nuque, sans se cacher... Quelle tenue Marya ! Bravo !

-"Vous savez à quel point les discution serieuses me rapel de mauvais souvenirs ... Vous avez eu de nombreuses occasion de venir founer ma penser et de faire ce que vous faites en ce moments même a Haruna ; si vous voulez vous amuser, faites le avec des élèves seul, je suis sûre qu'il agoniserons."

Haruna t'as compris ? maintenent ferme ton espris et concentre-toi sur autrrechose que tes souvenir, au moins pour réduire l'impacte.

-"Quelle est notre punnition ?"

Marya ...
Ouais ?
Tu es incorigible.
Ca va ta gueule.

Haruna ... Moi aussi ... Je veux me battre tu sais ?

Invité

Au début, O-yama avait réussi à faire plier la jeune fille à sa volonté, il ressentait bien la peine et la tristesse dans le coeur de la jeune fille, cette énergie négative qu'il avait tant besoin. Besoin pour quoi, me direz vous, mystère, mes jeunes amis, ne gachons pas tout en révélant ce secret à chacun. Mais il fut surprit, trés surprit de voir que la jeune fille, malgré ses aspect frèles et ses souvenirs fort douloureux, pouvait resister tant bien que mal à son pouvoir, même si elle n'est pas capable de s'en retirer complétement.

Marya# "Exusez-moi ... Ogawa-sama."

O-yama dirige alors son regard sur Marya, coupant ainsi son "contrôle" sur ses illusions. Il se demandait ce que la jeune fille pouvait bien vouloir lui dire pour qu'elle le dérange.

Marya# "Je crois que nous avons environs une heure et demi pour decider de notre punition, et même si je suis sûre que parler de son frère si utile doit vous ravir, je pense que vous avez d'autres chose à faire que vous occuper de deux insolante comme nous."

Elle change de ton, comme de caractère

Marya# "Vous savez très bien dans quelle état nous nous trouvons alors je pense que vous ne vous étonerez pas si je vous dit que je ne vais pas pouvoir tenir longtmps à jouer cette comédie ; ne vous vexez pas si je parrait impolie vous savez qui je suis. Vous savez à quel point les discution serieuses me rapel de mauvais souvenirs ... Vous avez eu de nombreuses occasion de venir fouiner ma pensé et de faire ce que vous faites en ce moments même a Haruna ; si vous voulez vous amuser, faites le avec des élèves seuls, je suis sûre qu'ils agoniseront. Quel est notre punision?"

O-yama sourit.

-A la fois arrogante, provocatrice et charmante. Vous avez le savoir faire pour vous attirer des ennuies, ma chère, et pas seulement qu'à vous, mais aussi à votre entourage. J'aurai pensé que ma petite "menace" de tout à l'heure vous aurait apprit à rester à votre place et à réfléchir sur les mots qui pourrait sortir de votre tête de moineau, mais je me vois, hélas pour vous, dans le devoir de les mettre à execution.

Nous allons donc jouer à un petit jeu, rien que tout les deux, ma chère Akatsuki Marya. Votre punition sera on ne peut plus simple, il s'agira tout simplement de faire en sorte que votre petit frère ne fasse aucune bétise. Cela peut vous paraitre simple à première vue, mais quand je dit "aucune", c'est vraiment "aucune". Comme vous le savez, malgré tout ce que l'on dit de moi, je suis une personne qui attache énormement d'importance à ses élèves, surtout au niveau de leurs études. Si le nom de Daiichi Yumemaru venait simplement à être murmuré à mes oreilles, que ce soit pour un devoir non rendu, une absence injustifiéé ou pour un rapport disciplinaire, je me ferrais un immense plaisir de...quel est votre terme déjà? Ah oui, de fouiner dans ses pensées et de le faire agoniser.

Rappelez vous bien ceci, mesdemoiselles, nulle personne est au dessus de moi dans ce bas monde. Je ne suis pas dieu, je suis pire, je suis le diable réincarné. Beaucoup de vos ainés ont tenté de me resister, de me destituer, voir même parfois de me tuer. Tous, sans aucune exeption, ont échoués dans cette tâche. Et certain avait bien plus de puissance que vous deux réunnit.

Invité

Bien qu'elle réussissait à surmonter les horribles souvenirs que lui envoyaient O-Yama, Haruna commençait à fatiguer. Elle ne tiendrait pas longtemps à ce rythme.

"Exusez-moi ... Ogawa-sama."

Tout ce qui la chamboulait se coupa et Haruna souffla un peu. Elle tourna sa tête vers Marya. Qu'allait-elle dire?

-"Je crois que nous avons environs une heure et demi pour decider de notre punition, et même si je suis sûre que parler de son frère si utile doit vous ravir, je pense que vous avez d'autres chose à faire que vous occuper de deux insolante comme nous."
-"Vous savez très bien dans quelle état nous nous trouvons alors je pense que vous ne vous étonerez pas si je vous dit que je ne vais pas pouvoir tenir longtmps à jouer cette coédie ; ne vous vexez pas si je parrait impolie vous savez qui je suis."
-"Vous savez à quel point les discution serieuses me rapel de mauvais souvenirs ... Vous avez eu de nombreuses occasion de venir founer ma penser et de faire ce que vous faites en ce moments même a Haruna ; si vous voulez vous amuser, faites le avec des élèves seul, je suis sûre qu'il agoniserons."
-"Quelle est notre punnition ?"

Finir dans un cercueil, sûrement! Haruna respirait normalement maintenant. Marya était redevenue comme avant. La petite fille polie a disparu à une vitesse phénoménale!

-A la fois arrogante, provocatrice et charmante. Vous avez le savoir faire pour vous attirer des ennuies, ma chère, et pas seulement qu'à vous, mais aussi à votre entourage. J'aurai pensé que ma petite "menace" de tout à l'heure vous aurait apprit à rester à votre place et à réfléchir sur les mots qui pourrait sortir de votre tête de moineau, mais je me vois, hélas pour vous, dans le devoir de les mettre à execution.

Nous allons donc jouer à un petit jeu, rien que tout les deux, ma chère Akatsuki Marya. Votre punition sera on ne peut plus simple, il s'agira tout simplement de faire en sorte que votre petit frère ne fasse aucune bétise. Cela peut vous paraitre simple à première vue, mais quand je dit "aucune", c'est vraiment "aucune". Comme vous le savez, malgré tout ce que l'on dit de moi, je suis une personne qui attache énormement d'importance à ses élèves, surtout au niveau de leurs études. Si le nom de Daiichi Yumemaru venait simplement à être murmuré à mes oreilles, que ce soit pour un devoir non rendu, une absence injustifiéé ou pour un rapport disciplinaire, je me ferrais un immense plaisir de...quel est votre terme déjà? Ah oui, de fouiner dans ses pensées et de le faire agoniser.

Voilà, c'est clair...Marya n'a pas l'air de réagir. Et pur le don de O-yama, elle n'a pas tort. Haruna l'aurait bien décrit comme ça. Et pour elle? En effet,la collégienne est curieuse de savoir ce que le directeur va lui faire faire. Elle est un peu...Beaucoup bizarre!

Rappelez vous bien ceci, mesdemoiselles, nulle personne est au dessus de moi dans ce bas monde. Je ne suis pas dieu, je suis pire, je suis le diable réincarné. Beaucoup de vos ainés ont tenté de me resister, de me destituer, voir même parfois de me tuer. Tous, sans aucune exeption, ont échoués dans cette tâche. Et certain avait bien plus de puissance que vous deux réunnit.

Haruna a un petit sourire discret. Elle a déjà entendu ce discours mais là, elle se tait et évite de trop y penser. Elle ne se fera pas avoir une deuxième fois. Enfin, on espère...En essayant de garder son calme, oui car son petit duel psychologique l'a épuisée nerveusement parlant, elle se décide à demander pour elle.

_Et pour moi? Quel sera ma punition?

Oui, car elle se doutait bien qu'il n'allait pas l'oublier! Surtout après qu'elle est tenter de résister au pouvoir aussi atroce soit-il du directeur.

[désolée pour le retard, week-end charger ^^"]

"Rester à votre place et à réfléchir sur les mots qui pourrait sortir de votre tête de moineau"
"Nous allons donc jouer à un petit jeu, rien que tout les deux, ma chère Akatsuki Marya"
"Aucune bétise"
"Vraiment aucune"
"Je me ferrais un immense plaisir de...quel est votre terme déjà? Ah oui, de fouiner dans ses pensées et de le faire agoniser."
"Le Diable réincarné"
"Me tuer."
"Tous, sans aucune exeption, ont échoués dans cette tâche"

Marya ne changea pas de visage. Mais à l'interieur, elle était ... Morte de rire. Ce rire malsain, qui dit ... Que ce qu'aime vraiment l'homme, c'est la montée d'adrénaline.

Haruna repris.

_Et pour moi? Quel sera ma punition?

Alors là, Marya n'en pouvait tout simplement plus. Un grand sourir s'afficha sur ses lèvres. Un sourir de sadique.

-"Surment quelque chose de plus clasique Yogashi-san."

Cette perte de conciance, cette envie brutale de tout foutre en l'air, et puis, ce sentiment qu'il ne fallait pas qu'elle s'ennuis ... C'était toujours la même chose : Loesequ'elle en avait assez de tout prevoir, que les autres risque le danger ; elle devenait un peu folle ... Un peu elle-même a son état le plus brutte, le plus humain ... Le plsu pytoyable.

-"Vous commancez à vous amuser, pas vrai ? Je serait derière lui partout, de toute manière, mais bon ... C'est un jeu n'est-ce pas ? Alors on va jouer ; on va jouer avec la vie des gens."

Elle perdit un peu de son sourire.

-"Akuma-sama. [Diable, en comparaison à Kami-sama (Dieu)]"

La douleur de sa poitrine se reveilla, la ramenant à la raisin. Elle repris son air de petite fille polie ; ce qui ne servait trictement à rien à par lui prouver qu'elle jouait le jeu, car il la connaissait déjà sous toutes ses personalitées.

-"Bien, Ogawa-sama, J'accepte."

Puis elle se tourna vers Haruna.

Invité

O-yama sourit encore plus en écoutant la réponse de Marya. Elle avait beaucoup de cran pour lui répondre de cette manière et sur un ton aussi sûr et désinvolte. C'est clair, ce genre de challenge est réalisable, mais plus le temps passera, plus la diffulté sera énorme, la tension intense et la défaite cuisante, autant pour le directeur que pour la jeune collègiène.

-"Vous avez raisons, ma petite Marya. Nous jouons avec la vie des gens, et vous n'avez absolument pas la moindre idée de ce que subira votre petit frère si il a le malheur de tomber entre mes mains. Vous devez par contre savoir ce que ça fait, vous qui avez jouer avec énormément de vie.

Un jeu doit avoir un gagnant et un perdant. Vous connaisez les règles, voici les enjeux. Si je gagne ce pari, votre petit frère aura l'immense honneur d'avoir un cour privé avec moi durant trois heures, trois heures qu pourrait être les derniers de sa vie. Mais si vous gagnez, je m'engage à vous rendre tout vos objets de famille. Oui, vous m'avez bien entendu, j'ai dit "tout vos objets".

Ce jeu à une durée limité. Il commence aujourd'hui et durera jusqu'au premier Mai, à midi pile. Bien entendu, toute punition antérieur à notre discution ne compte pas."

Il tourne son regard vers la jeun fille au cheveux roux.

-"Quand à vous, ma chère, je pense que votre première expérience envers ma présence vous à mit un peu de plombs dans la tête. J'estime que vous avez été assez punie pour cette fois, à moins que vous ne désirez voir une heure de retenue en ma compagnie."

Invité

Haruna fut assez surprise de la désinvolture de Marya. Dieu sait ce qu'il s'était passé dans sa tête mais, en tout cas, ça c'était passé! Bref...Le directeur continua a parler avec Marya. Leur jeu allait avoir un gagnant et un perdant. Ils allaient joué avec la vie des gens. Marya avait joué avec énormément de vies(Première nouvelle!) et elle perdit le fil de la conversation. Elle regarda le Directeur sans le voir et essayant de chasser les funestes pensées qui hantaient son esprit. Décidément, il possédait un don bien destructeur! Elle était encore toute chamboulée. Quelques morceaux de souvenirs qu'elle avait normalement enterré au plus profond de son esprit refaisaient surface. Il était grand temps qu'elle puisse s'en aller de ce lieu malsain et de la chose inhumaine qui leur servait de directeur. En sentant ce dernier posait son regard sur elle, elle sortit de ses pensées pour voir ce qu'il allait lui dire. Et surtout la sentence qu'il lui réservait!

-"Quand à vous, ma chère, je pense que votre première expérience envers ma présence vous à mit un peu de plombs dans la tête. J'estime que vous avez été assez punie pour cette fois, à moins que vous ne désirez voir une heure de retenue en ma compagnie."

Non, surtout pas!Jamais!Jamais, jamais! Absolument jamais!
Elle lui aurait bien dit ça mais cela aurait été un peu trop...Enfin, ça ne lui ressemblait de dire ça,en clair! Du plomb dans la tête? Il lui en faudra plus mais, là encore, Haruna ne fit pas de commentaires. Elle allait pas s'attirer encore plus d'ennui qu'elle n'en avait déjà sur le dos. Il ne put s'empêcher de répondre avec une pointe d'insolence dans la voix.

-Non merci, je m'en passerai!

Et maintenant on peut s'enfuir en courant?Mais non, elle n'allait pas rajouter ça! Elle regarda du coin de l'œil Marya. Le directeur avait parlé de lui rendre la totalité de ces objets. Mais de quels objets parlait-il? Elle devait avoir un passé très compliqué car Haruna n'y comprenait rien mais alors absolument rien! Elle demanderait à Marya de lui expliquer quand elles seraient sorties...Peut-être...Un jour...Enfin, pour l'instant, elles étaient toujours dans ce bureau. Mais qu'est-ce qu'il attendait pour les faire sortir? A moins qu'il voulait vraiment les voir finir dans une boite en bois? Ou alors, il avait encore quelque chose à ajouter...La jeune fille pencha pour cette dernière proposition. Peut-être que se taire et attendre qu'il leur dise de sortir était la bonne solution...Traduction: Marya, reste en mode petite fille polie et fait pas tout foirer, merci d'avance. Étrangement, c'est toujours dans ce genre de situation qu'un événement fait tout foirer justement...Enfin, peut-être pas cette fois! N'est-ce pas?

[C'est moi ou je suis visée dans les quastion d'Haruna-chan ? XD]

"Vous qui avez jouer avec énormément de vie."
"Si vous gagnez, je m'engage à vous rendre tout vos objets de famille. Oui, vous m'avez bien entendu, j'ai dit "tout vos objets"."
"Commence aujourd'hui et durera jusqu'au premier Mai, à midi pile"

... Parfait ... Le rêve ...

"Si je gagne ce pari, votre petit frère aura l'immense honneur d'avoir un cour privé avec moi durant trois heures, trois heures qu pourrait être les derniers de sa vie."

Ces paroles pesait bien plus que toutes le autres. Daiichi. Daiichi. Pleurer. Soufrir.

Tu-le.
Non.
Peux importe si il est fort ; s'il y a une chance qu'il meure, fait-le.
Peu importe qu'il soit fort ou non ; tout dépend de lui ; de lui uniquement.
Il va lui faire du mal.
S'il le touche, je ...
Tu le tura.

La douleur dans la poitrine commançait a ce renforcer pour se transformer en vague de brûlures régulières. Marya serra les mlevre et inclina la t^te en signe d'optempération.

-"Quand à vous, ma chère, je pense que votre première expérience envers ma présence vous à mit un peu de plombs dans la tête. J'estime que vous avez été assez punie pour cette fois, à moins que vous ne désirez voir une heure de retenue en ma compagnie.
-Non merci, je m'en passerai!"

Tiens, Haruna voullait sortir ... Oui ... Il était temps.

Après quelques seconde de silence, (Marya est toujours en mode "Gentille petite élève bien sage sans expression ON") Il fallait bien dire que tout était dit. Marya se leva et s'inclina bien bas en lancant les politesses habituelles.

-"Arigato gonzaimasu, Ogawa-sama. Istule ishimasu." [Merci beaucoup+ formule de politesse pour quitter la piece. Remarquez le formidable "sama" qui remplace le "sensei" dasn Ogawa-sama.]

Elle se tourna vers Haruna et eu l'ombre d'un sourir, contrastant avec son regard toujours aussi impassible.

Iko ka, Haruna.
[Allons-y]