Takuetsu no gakuen
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When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été]

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Ishiro Idogawa
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Ishiro Idogawa

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MessageSujet: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptyLun 17 Aoû - 23:39

Minuit … Le silence glisse sur les toits des bâtiments de l’académie Takuetsu, accompagnant une nuit d’un noir d’encre, une nuit sans lune comme il n’y en a qu’une fois par mois.

Invisibles, une dizaine de silhouette, on ne peut être plus précis car elle sont presque invisibles, habillées entièrement de noir dans la sombre soirée, se faufilent habilement sur les hauteurs. Leur direction ? Les dortoirs. Leur but ? Top secret.

Arrivés près du bâtiment, ils se laissent souplement tomber sur la balustrade en dessous d’eux. L’une des ombres sort de sa poche un objet et crochète la serrure. Puis, lentement, afin de ne faire aucun bruit, il bascule la fenêtre, et tous rentrent. Ils sont dans un couloir. Etage : 3ème. Le plus dangereux sans doute. Il leur faut descendre, et ce très discrètement, car ils pourraient y laisser leur peau … Mais heureusement pour eux, ils arrivent à l’escalier sans encombre et descendent rapidement les deux étages qui leur permettent de parvenir au premier. Etage des collégiens. Sur un geste brusque, ils se séparent en deux groupes qui se dirigent vers deux portes différentes. Arrivés devant, ils enfilent un petit masque avant d’ouvrir la poignée et d’activer une petite boule qui laisse échapper une fumée quelque peu …. Soporifique. Deux collégiens sont embarqués, un dans chaque chambre. Puis ils s’en vont, laissant les lieux comme si rien ne s’était passé, à part qu’il y a deux absents …

De même vers les appartements. Le groupe se sépare en eux (moins les deux qui restent avec les collégiens) et emportent deux autres formes selon la même méthode. Un réel coup de chance que tout se soit passé sans heurts, car l’une habite avec une ancienne SA …

Une fois les 4 personnes endormies rassemblées, ils se dirigent vers la sortie …

Nous sommes le Lendemain matin. 8 heures environ. Fin de l’effet du gaz soporifique. Les quatre élèves se réveillent dans une pièce entièrement blanche, lumineuse bien qu’on ne puisse y voir ni fenêtre, ni lampe. Ils sont habillés, pour les garçons, d’une sorte de combinaison et pour les filles, d'une chemise noire et d'une jupe allant jusqu'à hauteur de genou, tout étant noir pour trancher avec le blanc uniforme du lieu. Autour d’eux, rien. Pas de table, pas de chaise, pas de caméra. Ils sont allongés à même le sol, dur et froid, qui pourrait s’apparenter à du carrelage sans vraiment en être. Sortie de nulle part, une voix pas très métallique, mais transformée par le biais d’un micro pour être méconnaissable finit de les réveiller.

- Bonjour ! Bien réveillés ?
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Erian Uriel
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MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptyMar 18 Aoû - 1:10

*Aie, si elle apprend que je suis rentré dans cet état Anny va me tuer… qu’est ce que j’ai du me mettre quand même…j’ai même pas eu la force de me mettre au lit et j’ai dormi a même le sol…j’arrive même pas a me souvenir ce que j’ai fait hier soir avant de boire…en plus je me sens complètement HS la…*

Voilà à peu de chose près les première pensées que j’eu en m’éveillant lentement au contact d’un sol plus que dur, avec un mal de tête digne d’une prodigieuse cuite et surtout aucun souvenir de comment j’avais pu me retrouver au sol… D’ailleurs sachant que je refusait tout verre d’alcool depuis près d’un mois comment est ce que j’aurais put être ivre ?(oui entre Anny qui partage ma chambre et l’affaire Aya j’avais appris a craindre les divers liquide euphorisant…) Bon alors comment j’en étais arrivé à dormir sur du carrelage moi ? Tout le problème résidait dans le fait que j’étais sur de m’être couché tôt car je commençais de bonne heure demain, et qu’a part de l’eau nul liquide n’avait atteint mes lèvres… Et si j’étais tombé du lit je sentirais la couverture que j’aurais inévitablement emporté avec moi… Bon peut être finir d’émerger du coltar matinal pour ouvrir les yeux et ce décider a essayer de comprendre ce qui m’arrive non ?

M’écoutant moi même, j’ouvris les yeux et je me redressais lentement… Aouch ! le flash pour les yeux, j’avais pas fermé les volets en plus ou quoi ? Tandis que mes yeux s’habituaient lentement à la luminosité ambiante ,qui était je l’avoue assez forte, je distinguais des formes autour de moi, elles étaient de couleur noire ce qui contrastait fortement avec le blanc flashy qui nous entourait… je me mis définitivement debout et observait la seule chose qu’il y avait a observé, a savoir les autres forme noire…C’était des humains comme moi… Ils dormaient eux aussi dans ce qui semblait être un monde de blanc immaculé… Bon je vous épargnerais toute les questions qui occupaient mon esprit et me permettraient de faire une dissertation de phylo complète en moins de quinze minute avec une armada de question métaphysique, et je me concentrerais sur la description de ce que je voyais… A savoir deux « petit » qui devaient être lycéen ou collégiens, un garçon et une fille… Fille qui soit dit en passant avait les cheveux rose mais n’était a mon grand soulagement pas Aya… La dernières forme car nous étions quatre appartenait a une fille de mon age semble-t-il dont la beauté n’avait rien a envié a celle d’anny… et je crois bien que j’aurais pus rester des heures a regarder cet ange endormi si une foule de question et de pensé ne se bousculaient pas dans mon esprit.

Déjà je constatais que l’on m’avait changé de vêtements… me faisait revêtir a l’image de l’autre garçon une combinaison digne d’un X-men, tandis que les filles semblaient avoir quelques chose de plus soft…. Pourquoi il n’y avait que nous avec les combinaisons moulante hein ? Autre chose étrange, je sentais un poids inhabituel a mon poignet droit… poids qui s’avéra être un bracelet métallique basique de trois centimètre de largeur… et qui il faut le dire me faisais une très mauvaise sensation quand je le portais, allez savoir pourquoi… Peut être parce que j’avais l’impression qu’il se dégageait quelques chose de lui…

Phase suivante…inspections de ma propre tenue… bon rien de particulier a signaler… du cuir très souple qui colle au corps du porteur… doté de deux poches dans lesquels je m’empressais de jeter mes mains histoire de voir ce qui se trouvait dedans… A mas grande surprise j’y sentis deux objet qui m’étaient familier… au moins j’aurais la chance de pouvoir me comporter comme à mon habitude…

Les autres se mettaient eux aussi a bouger autour de moi, et la plupart étaient debout alors que je ne m’en était pas rendu compte…je ne sais pas pourquoi mais je me sentais un peu perdu… Comme si quelque chose d’essentiel manquant ou qu’un truc bizarre se produisait… Je commençais a m’interroger sur le pourquoi du comment lorsque cette voix étrange résonna dans la pièce, me tirant de mes rêverie pour me faire écouter ce qui pourrait être l’explication quand a la signification de tout ceci.
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Ismael Delaloutre
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MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptyMer 19 Aoû - 17:15

Un léger bruit venait gâcher le silence de la pièce. La respiration lourde et calme de la petite punk trahissait du sommeil de plomb qui l’habitait de même que le sourire béat qu’elle affichait. Recroquevillé sur elle-même comme un gros chat, Ismael gouttait au bonheur insouciant d’un sommeil bien mérité après une dure journée de glandouille intensive. Et son sommeil aurait pu continuer encore longtemps si une soudaine envie, humaine après tout, ne commençait pas à la tirailler jusque dans ses rêves, empêchant de poursuivre sa discussion de cuisine thaï avec l’otarie verte.

Elle se retourna une fois, deux fois, commença à marmonner avant de se redresser, les yeux fermés et encore bouffit par le sommeil. La bouche pâteuse elle passa une main sur son visage, plongé dans un demi-sommeil

« M&Ms, t’as pas un peu d’eau je meurs de soif … » Demanda d’une voix cassée la jeune fille.

Pas de réponse, la punkette commença à froncer les sourcils et fit glisser sa main à coté d’elle, recherchant la présence réconfortante de son mp4 pour se réveiller.
Petit à petit ses sens se réveillaient et elle pouvait sentir sous ses mains glisser le sol dur et froid bien diffèrent de son petit matelas si moelleux.
Depuis quand dormait elle par terre ? Qu’avait elle fait hier soir pour se retrouver ici ? Habituée à se retrouver dans des endroits insolites après une soirée bien arrosé elle haussa mentalement les épaules. Elle avait encore du boire un peu trop ou faire une petite sortie nocturne, rien de bien étrange à se retrouver par terre.

Les lèvres sèches, une petite migraine pointant le bout de son nez, la collégienne passa sa langue inconsciemment sur celles-ci avant d’ouvrir violemment et soudainement les yeux l’air outrée et atrocement choquée mais cette fois totalement réveillée.

Sans raisons apparentes elle tira la langue, sans se soucier de ce qui l’entourait ou de qui pouvait la regarder, et passa un doigt sur celle-ci… puis sa main partit effleurer son oreille à tout vitesse, avant de soulever sa chemise et fixer son nombril…
soulever sa chemise… mais…

« Depuis quand je porte une chemise moi..!»

Ses yeux descendirent sur le reste de sa tenue, au fur et à mesure que ses sourcils se soulevaient. Chemise noire, jupes courte noire, botte de cuir noir des bas noirs...
Depuis combien de temps était elle vêtue comme une gothic lolita avec si peu d’originalité et un manque de gout aussi flagrant? Et puis surtout qui avait osé toucher à ses piercings ?

La punkette remua la tête pour retrouver ses esprits et passa une main dans ses cheveux réalisant difficilement ce qui était en train de se passer, essayant de mettre de l’ordre dans ses pensées. Elle se souvenait vaguement avoir bu quelques bières dans un bar et avoir ensuite regagné avec quelques difficultés sa chambre... alors que faisait elle dans une pièce pareille? Ses yeux s'attardèrent quelques secondes sur la blancheur éclatante des murs.
Un poids inhabituel attira son attention, un bracelet serré en argent était attaché solidement à son bras. Qu’est ce qu’elle avait bien pu faire pour se retrouver dans une tenue pareille ?
Quelques mèches de cheveux tombèrent sous ses yeux et il fallut beaucoup de calme pour que le cœur de la jeune fille ne s’arrête pas en voyant qu’ils étaient… teint en noir.

« Noir…. Tout est noir… »


Les joues d’Ismael perdirent toutes couleurs, ses yeux verts s’ouvrirent sous le choc tandis que son corps était parcouru de frisson d’horreur et que sa respiration s’emballait devant l’horreur de la situation.

Ce n’était pas possible, on ne pouvait pas oser lui faire une chose pareille et toucher ainsi à ses identités ? Qui avait pu faire une chose pareille ! Quel était l’être répugnant qui avait osait toucher à sa magnifique coloration ?? Une violente envie de pétage de câble lui prit et une colère sourde circula dans ses veines.

« Mais qu’est ce qui cloche dans cette stupide école de malheur…On peut même plus cuver en paix ! »


Même dans ses pires trips elle n’aurait jamais oh grand jamais touché à ses cheveux surtout pour mettre des mèches noires, c’était donc que quelqu’un de fourbe et mauvais l’avait fait. Une créature dont les problèmes psychologiques étaient inimaginables pour toucher ainsi à sa coupe de cheveux.

Levant les yeux elle croisa le regard bleu d’un jeune homme blond en tenue très serré en latex debout devant elle.

Me dite pas que j’ai participè à un trip SM ? Même bourrée je n’aurai pas pu faire un truc pareil !


Une voix vint briser ses réflexions métaphysiques, résonnant dans la pièce sans pour autant provenir d’un endroit vraiment précis.

« Bien réveillé ? Je vais vous montrer que vouas préféreriez surement que je dorme encore ! Bande de gros nases je peux savoir ce que vous avez fait de mes fringues et de mes autres affaires ? On vous a jamais apprit que ce genre d'objets étaient personnels ? Et comment avez vous oser toucher à mes cheveux! »

Hurla en réponse Ismael , finissant surement de réveiller les autres personnes qu’elle n’avait pas remarqué, trop focalisé sur son apparence.

« Toi là ! Passe moi ton pantalon on échange de tenue… si ils pensent que je vais rester habillé comme une petite gamine parfaite ils se mettent le doigt dans l’œil jusqu’au coude » Aboya la collégienne levant un doigt vengeur dans sa direction.
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Nathan Ixy
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MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptyMer 19 Aoû - 19:24

Nathan se réveilla, allongée sur le dos, les bras croisés sur la poitrine. Décroisant ses derniers, il se redressa sur son séant. S’aidant de sa main gauche, il se frotta la tête de sa mains droite, ébouriffant ses cheveux. Il n’était pas coutumier des beuveries ni même de toute sortes de fête. Il prit alors conscience de sa tenue, une sorte de combi ressemblant de façon étrangement aux combis de super héros des comics des années 50, en version toutefois plus sobre, Noir sur blanc, joli damier humain. Nathan se demanda alors ou était passé sa cravate, qui aurait du être sur sa table de chevet. Nathan fronça les sourire d’un air très artistique, le sourcil gauche se baissant tandis que le droit se relever donnant au jeune homme un air d’hispanique surpris en train de draguer... D’ailleurs… Ou était sa table de chevet, son lit, son armoire, et son colocataire si divertissant. Si bavard. La pièce était plongée dans une blancheur immaculée digne d’un bloc opératoire. Il se leva alors, fit un geste pour réajuster sa cravate. Cravate bien évidemment absente. Il baissa les bras et détailla sa tenue avec plus de soin, de chaussure digne de la combinaison, d’ailleurs elles semblaient en faire partie. L’ensemble ressemblait a une combinaison de plonger en eaux froide, d’un noir uni. Le haut de la tenue recouvrait ses bras jusqu’aux poignets. Son poignet gauche était ceint d’un bracelet en métal, peut-être de l’argent ou juste de l’inox, large de 3cm qui exhalait une lueur noire. Le poids n’en était pas excessif. Nathan fronça les sourcils en regardant le bracelet, se frotta le bras, tentant de l’enlever. Il regarda autour de lui, à la recherche d’une porte, d’une fenêtre par laquelle se jetait mais il n’y avait rien. Autrement dit, la porte, trappe ou tous autres dispositifs d’ouverture. Peut-être le plafond se soulevait-il, ou alors le sol s’ouvrait-il, mais toujours est-il qu’il n’avait aucun moyen de le savoir. Dans la pièce se trouvait trois autres personnes. Deux qu’il ne connaissait pas, et la troisième qu’il connaissait, ou pensait connaitre. Le visage et la voix correspondait, mais c’était bien la seule chose, ni la tenue ni la coupe ni les piercings qui caractérisait la jeune femme qu’était sa cousine, ne correspondait. Quand une voix s’éleva, il ne vit aucune bouche bouger. Comprenant alors que la voix provenait sans doute d’un haut parleur, il attendit qu’Ismael (croyait-il) ainsi que le blond finisse leur réplique pour parler :

-Eh ! Big Brother tu nous fais un remix de « Cube » ou quoi ?

Nathan avait adoptez un ton familier… Après tout il n’était pas en costard ni même en chemise aujourd’hui. Autant faire relâche. Quand Ismael s’adressa à lui, il se douta qu’elle n’avait pas remarqué qu’elle s’adressait à son cousin. Il souriait. Il planta ses pupilles dans ses yeux verts et lui répondit sur le ton de l’amusement mais en étant tout de même sincère :

-Sma Sma…. Depuis le temps… J’aurais cru que tu avais compris que je ne fait pas de fétichisme sur les jupes.

Il lui souriait de son sourire sympathique est sincère. Comportement qu’il n’avait qu’avec elle. Il se rapprocha des murs de la cellule, appelons un chat un chat. C’était bel est bien une cellule. Pas de porte, pas de mur sonnant creux, pas de fenêtres du moins ne pouvaient-on en voir. La pièce gigantesque aurait-elle pu ne faire que 10m carré, on n’avait aucun moyen de le savoir… Trompe l’œil ou pas ce n’était indéfini

-Je suppose qu’aucun de vous ne traverse les murs ni ne fait exploser au contact de vôtre peaux ?

Nathan était maintenant parfaitement réveiller. Comme a son habitude, sous des questions banales, il cherchait à en savoir plus sur les gens. Il commençait à parcourir la pièce, mais ne touchant aucun mur se résigna et se rapprocha du groupe. Il se présenta comme si la situation était la plus banale possible.

-Nathan Ixy, je suppose que vous êtes vous aussi élèves de Taku et que vous ne savez pas comment vous êtes arrivez ici… Personne n’a de don utile alors ?

Soupirant, le jeune homme passait la main dans ses cheveux. La tenue en cuir le faisait ressemblait a un motard maigrichon… Bien que musclé Nathan était loin d’être un bodybuilder. Il reprit la parole. Parlant plus fort. A l’intention de leurs tortionnaires :

-Big Brother si tu nous disais ce que tu veux ?

Il ne souhaitait pas attendre que la personne qui les avait posé ici leurs envois on ne sait quel trucs dans la figure pour réagir.
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MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptyMar 25 Aoû - 15:09

On parle autour de moi, on chuchote, on marmonne, on discute, on s’écrie.
On fait du bruit.


    Ils s’agitent, me tirant de mon sommeil. Cela faisait bien longtemps qu’on ne m’avait pas tiré de mon sommeil de cette façon, et je ne me souvenais pas avoir invitée qui que ce soit dans ma chambre. Je n’avais pas de colocataire, enfin, pas pour le moment. Et je n’invitais personne, de peur qu’on bouscule ce petit éden entre quatre murs dont j’étais la seule à posséder la clef, qui constituait en quelque sorte, ma bulle.
    Je tente de me rendormir, mais l’inconfort me saisit, lentement j’ouvre les yeux. Portant ma main au niveau de mes yeux, je me relève, une étrange migraine me saisissait alors. Insondable, effrayante, elle se dissipait au fur et à mesure que je m’habituais à la luminosité malveillante de ma chambre… non, de l’ensemble vide qui constituait curieusement l’espace dans lequel je me trouvais. Je n’étais pas la seule, mais j’étais certainement la dernière à m’être éveillée. Autour de moi, trois adolescents. Un rêve, oui, je devais rêver, car je n’avais jamais vu leur tête, mais cela n’en étais pas un à mon plus grand malheur. La dureté et la froideur du sol était bien trop réaliste pour n’être qu’un simple songe de mon esprit tordu.

    -Bonjour ! Bien réveillés ?

    Une blague. Juste une plaisanterie de mauvais augure. Lentement et malgré moi, je prenais conscience de ce qui m’entourait réellement. J’observais silencieusement le visage de ces inconnus, parmi lequel, un jeune homme semblait avoir mon âge, il était le seul. Les deux autres n’étaient que des collégiens, bien trop bruyant. Où suis-je ? Une question qui demeura au seuil de mes lèvres, je me pinçais légèrement la lèvres inférieurs avant de ramener derrière mon oreille une mèche de cheveux, c’est à ce moment là que je remarque cet étrange bracelet épais et pas très esthétique, mais les découvertes se suivirent, comme par exemple, cette tenue anormal que je portais, des vêtements identiques à la demoiselle un peu plus loin. Hmm, je vais faire avec alors, pensai-je en soupirant intérieurement même si j’appréciais fort mal la chemise moulante.
    Petit à petit, le sortilège du marchand de sable se dissipa, j’écoutais alors les conversations qui avait lieu de puis un bon moment entre ces deux personnes qui semblaient se connaître.

    -Je suppose qu’aucun de vous ne traverse les murs, ni ne fait exploser au contact de votre peaux ?

    On était donc prisonnier en quelque sorte de cet endroit dont l’on ne discernait à peine les limites de celui-ci. Je tourne la tête, tentant de voir au travers mais en vain. Je me levais alors, scrutant l’endroit. Je voulus saisir une des barrettes dont j‘avais l’habitude de coincer dans mes cheveux, mais je ne trouvais rien. Je ne portais ni même de bijoux, instinctivement, je fouillais mes poches et y trouva une sucette… Ce n’était pas les sucettes que je consommais sans la moindre modération, je le remarquais très vite. Cela ne changeait pas grand-chose en soi, d’un geste simple, je jetais silencieusement cette sucette à l’aveuglette. Je ne jouais pas avec la nourriture. Celle-ci percuta un mur. Je m’avançais silencieusement, ramassa au passage la friandise et s’en un mot, m’y adossa, jambe tendu sur le sol froid. Un semblant de confort.
    Dans quelle situation m’étais-je retrouvé cette foi-ci… ?

    -Nathan Ixy, je suppose que vous êtes vous aussi des élèves de taku et que vous savez pas comment vous êtes arrivez ici… Personne n’a de don utile alors ?

    Je dévisageais alors « Nathan », un petit gaillard bien bavard. Je l’écoutais mais ne prenait nullement le soin de répondre à ses questions dont les réponses étaient bien trop évidentes. Mais la question suivante était bien plus intelligente, et surtout, plus utile…

    -Big Brother, si tu nous disais ce que tu veux ?

    J’attendis la réponse patiemment.
    Je ne pouvais faire que cela.
    Attendre et patienter.
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Ishiro Idogawa
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MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptySam 29 Aoû - 15:24

Big Brother si tu nous disais ce que tu veux ?

La réaction de la salle ne se fit pas attendre. A peine Nathan eu-t-il finis sa phrase que Angeal, Erian et Ismael tombèrent au sol, les traits tirés par la douleur. De leurs bracelets, un courant électrique intense venait, parcourant toute leurs fibres musculaires, toutes leurs cellules, provoquant ainsi des contractions intenses, leur coupant le souffle et leur donnant l’impression que chacun de leurs muscles étaient sur le point d’exploser.

Mr Ixy ici présent vous à donc fait une présentation rapide des sanctions infligé pour non respects des règles. Remerciez le….quand vous serez de nouveau apte à vous lever.

Tous étaient au sol sauf Ixy, indemne, trônant au milieu des formes haletantes de ses camarades qui peu à peu purent se remettre sur pied, non sans difficulté. Si de prime abord cela pouvait ressemblait à de la pure torture pour ne pas dire de violence gratuite, il ne fallait pas douter que, comme pour toute chose au sein de Takuetsu, cela revêtait une signification bien précises….cachée mais précise. Le blanc alentour des murs et du plafond rendait son pour son ce qui se passait dans la salle. Aussi, en tendant bien l’oreille, l’on pouvait encore entendre l’écho d’un grésillement électrique suivit des cris de douleur de trois individus.

Bien. Maintenant que j’ai l’attention de tous, je vais pouvoir vous expliquer ce que vous faites ici et ce que j’attends de vous.
Cette pièce fut tout spécialement construite pour vous les enfants et croyait moi, j’ai fait en sorte que vous ne puissiez en sortir sans avoir remplis quelques conditions au préalable.
Mais je me perds dans mes propos donc revenons-en à l’essentiel : le règlement.
Comme vous avez pus le constater, je n’apprécie guerre les impolitesses à mon encontre et cela sera sanctionné à chaque fois. De même, quand je vous ordonne quelque chose, je souhaiterai que vous y obéissiez dans les plus brefs délais…mais mis à part cela, vous avez le droit de tout faire, absolument tout.
Devant vous, dans quelques instants une porte s’ouvrira et je vous demanderai de la passer. Derrière plusieurs épreuves vous attendront. Ces épreuves, vous devrez les réussir toutes pour pouvoir enfin sortir. Cependant, pour pouvoir sortir vous n’êtes pas obligés d’être tous là. Les méritants sortiront, les autres resteront.
Bien passons sans tarder à la suite de notre programme et bonne chance à tous.


Devant les quatre élèves, une porte sortie du néant et son battant s’ouvrit sur un lieu qui semblait sombre.



La salle suivante ou vous entrerez se trouve être le totale opposé de la salle ou vous étiez au départ : absolument noire, vous n’y voyait rien à tel point que même vos camarades disparaissent à partir du moment où ils se trouvent à plus de 20 centimètres de vous. Dans cette salle étrange, vous devrez y retrouver votre chemin. Un indice ? Peut être que les quelques mots gravés sur le montant de la porte que vous allez franchir vous aiderons :
« A vouloir aller toujours de l’avant,
On en finit par oublier notre but.
Mais quand le hasard vous dicte votre cheminement,
Nul raison qu’il y est de chutes »

Je vous laisse faire un tour complet ou deux de réponse pour que vous vous mettiez d’accord sur la direction à prendre. Le ou les tours finies vous m’indiquerez donc la direction ce à quoi je vous direz ce que vous subirez. Bonne chance à tous.
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Nathan Ixy
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MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptyLun 31 Aoû - 16:08

Nathan se tenait toujours debout quand la quatrième et dernière personne se releva. Il s’agissait d’une jeune fille svelte et très belle. La taille mannequin, un joli visage. Quand Nathan eut finit de parler, en réponse a ses questions, les trois autres personnes avec Nathan s’écroulèrent, le corps tendu…

*Taser par un bracelet… Jolie… Espérons qu’ils ne soient pas du genre rancunier…*

Nathan n’appréciait pas qu’on fasse de mal aux gens. C’était barbares rustres et inutiles. Cela ne le laissait tout de même pas indifférent… « La-voix-du-plafond-coincée » semblait particulièrement indifférente aux gens qu’elle torturait... . En clair il faudrait faire ce qu’elle disait. Nathan ne sachant pas comment l’appeler attendit la fin des instructions. S’approchant alors de la porte magique, il lut et relut l’inscription. Se relevant, il s’approcha des gens présent et parla d’une voix clair, sans hausser le ton ni même bouger :

-Bien, Monsieur Big Brother nous prouve ici qu’il a un total contrôle sur nous. Cette porte a une inscription. Cette inscription et censé nous aider. Si comme moi vous pensez que tirez a pile ou face est la meilleure solution…

Nathan regarda tour à tour toutes les personnes présentes. Il était clair que la situation n’était franchement pas à leurs avantages car comme le pensait précédemment Nathan, il n’y avait que peux de chances qu’on les laisse tranquille tant que l’autre malade n’aurait pas ce qu’il veut… Et pour le moment la situation ne permettait pas de savoir ce que voulait B.B. Etant donnée que les gens présent ne devait pas avoir plus d’idée que lui, il décida de ne pas faire de sentiments :

-Bon alors… Un dé ?

Nathan souriait de façon neutre aux gens présent. Il continuait a doutait que ce soit Ismael. Bien qu’identique le look faisait trop… Jeune fille gothique en manque d’affection profond. Mais toutefois. Quand il la détailla intensément, il entr’aperçût pendant un bref instant les trous de ses piercings

-Ou alors on peut tout simplement courir dans la pièce et partir chacun dans une direction aléatoire ?

Nathan commençait à être à cours d’idée. Ce faisant il se tût en attendant la réaction des autres. Il avait compétemment oublié de leurs dires qu’il s’excusait pour le choc électrique… Mais après tout… Il s’en moquait.

[Court je sais U_U Marde !]
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Erian Uriel
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When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] Vide
MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptyMer 2 Sep - 15:52

Décidément la compagnie qui m’entourait semblait être bien appréciable… Bon puisque nous étions parti pour faire une quête épique(ou pas) à quatre autant se mettre dans l’ambiance :

(note: la parti en spoiler, ne sert absolument a rien si ce n'est comprendre les métaphore que mon perso fera durant tout le sujet dans son esprit, et voir le délire que j'ai tappé sur la situation, donc comme elle est longue, si vous ne souhaitez pas la lire ce n'est pas grave)
Spoiler:
Toujours est-il que le voleur entra parfaitement dans son rôle, en effet, en une simple phrase il réussi a faire en sorte, non seulement de faire comprendre qu’il était le voleur et ne raterais du coup aucune occasion et la ramener, et qu’en plus même sans le faire exprès ça nous retomberais immédiatement dessus : En effet il parvint en une simple phrase a irriter l’archimage qui nous plaqua au sol a l’aide d’une décharge électrique laissant uniquement le voleur debout, comme quoi les stéréotype se vérifiaient : c’était toujours les autre qui prenaient pour le voleur.

Je me relevais difficilement… a vrai dire c’était vraiment un coup de jus sévère qu’on avait pris… je ne sentais plus trop mon corps… Ou plutôt la douleur était tellement forte et généralisé dans mon organisme que je ne la captais même plus. Tenant a jouer mon rôle de chevalier a la perfection je me relevais en premier, et réfléchit a l’énigme qui nous était maintenant posé… Alors on parlait de hasard n’est ce pas ? ça tombe bien je gêrais a ce niveau là.

Je m’apprêtais a utiliser les sensations accordé par mon don pour repérer approximativement le pourcentage de chemin « facile » lorsque je me rendis compte que quelques chose clochait… Je sortis la pièce qui j’avais dans ma poche et tenta de la scanner longuement avec mon don pour vérifier ses probabilités de tomber sur telle ou telle face… A ma grande surprise je n’y parvins pas. Je vérifiais alors toute les probabilité alentour, et fus surpris de constater que je ne ressentais riens. Je jurais alors a haute voix :


« Et les dons sont semble t-il inutilisable ici, pour compliquer la chose plus qu’elle ne l’est. »

Bon et bien j’étais parti pour faire le chevalier a l’ancienne, ses bras, sa tête et rien d’autre pour se débrouiller, et bien la journée s’annonçait pas fameuse du tout. Et bien on était mal barrer pour la salle suivant…mais bon pas le choix il allait falloir réfléchir un peu.

« J’ai effectivement un dé a quatre face, , combiné a la pièce ça peu donner un ensemble de 8 direction possible, mais est-ce vraiment fiable ? »

J’aurais certes put sermonner le voleur pour nous avoir fait a tous recevoir un chose électrique sans s’en être excusé, mais honnêtement, lui comme nous ne pouvais pas le savoir, nous avions bien d’autre problème a régler, et surtout je pense que le nain allait suffisamment râler pour que je ne prenne pas la peine d’en remettre une couche. C’est pourquoi je continuais de parler, une réflexion poussé nous serait de toute manière plus utile qu’une dispute après tout.


« Reste a éclaircir plusieurs points, allons nous tous dans la même direction ou nous séparons nous ? et le message nous incitant a ne pas aller tout droit la meilleurs solution ne serait-elle pas de reculer ? on peut se fier complètement au hasard ou essayer de mener une réflexion, mais dans tout les cas faire vite, il ne m’a pas semblé très patient. »
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Ismael Delaloutre
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MessageSujet: Re: When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] When fate choose you [Mini-intrigue de fin d'été] EmptySam 12 Sep - 22:40

Une douleur intense et fulgurante, voila ce qui traversa en un battement de paupière le corps d’Ismael alors qu’elle s’apprêtait à dire une remarque bien sentit à son cousin, égoïste au possible, qui refusait lâchement de lui échanger sa tenue.
Les spasmes parcoururent son corps avec une telle rapidité, la clouant au sol sans qu’elle puisse s’y attendre tandis que ses muscles refusaient de lui obéir, tétanisée par les décharges électriques qu’ils supportaient. Alors que la douleur l’aveuglait totalement, la coupant de ses sens pour ne ressentir que cette affreuse douleur, la punkette se mordit la lèvre inférieure pour atténuer les cris qui lui montait dans la gorge, allant jusqu’à ce mordre jusqu’au sang.
Puis, aussi soudainement qu’elle avait commencé, la torture cessa, mais le corps de la collégienne restait encore secoué par des ultimes secousses, recroquevillée sur le sol froid de leurs prison et cherchant à retrouver son souffle.
Haletant contre le sol elle entendit à peine les mots, mécaniques et froids, de leurs bourreaux. A ses cotés boucle d’or avait réussit à se hisser sur ses deux jambes et âpres un moment de bug (surement une divagation mentale qui allait le conduire dans des conclusions stupides et sans intérêt) il commença à monologuer.

Se relevant avec quelques difficultés Ismaël sentit le sol tanguer sous ses pieds et une nouvelle vague d’énervement la traverser. Bien sur ici il ni avait que des gentils garçons et de jolies filles mais elle, elle ne pouvait pas laisser Nathan se comporter comme si il n’avait rien fait et papotter joyeusement du pourquoi du comment ils étaient dans une mouise noire ! Par tous les dieux ils venaient de se faire électrocuter et ce n’était surement que le début !

" Je peux savoir c’est quoi cette école qui séquestre les gens qui dorment pénard dans leurs lit ? Bande de malades mentaux."


Lissant ses vêtements elle jeta un coup d’œil à bombasse en vadrouille, bon la tentative de paraitre correcte dans cette tenue aller être définitivement abandonné, de toute façon le noir ce n’était pas tendance et sur sa peau de fêtarde ça ne lui donnait qu’un air de mort vivant gothique.

D’une oreille elle écouta blondie parler, mimant dans son coin en ouvrant et fermant la bouche sans bruits en prenant un air supérieur.

"Et blablabla regardez comment je parle sans rien dire qui fait avancer l’affaire en faisant genre c’est trop intelligent. Comment se mec fait trop son intéressant"

soupira mentalement la punkette

"je vous jure ! Tu veux quoi draguer l’autre nana ? Pitoyable ! les mec sa pense qu’à ça… et l’autre qui dit rien.. Même pas une excuse ! Non mais je t’en prie électrocute moi encore cousin, c’est normal je vais rien dire.. "

Durant ce moment de plaintes et autres remarques désobligeantes que la bienséance nous empêchera de révéler, ismael avait fermement empoignée une manche de sa veste et tiré d’un coup, apportant une conclusion bruyante à la fin de la réflexion d’Erian.

« Ha bin mon grand ! Heureusement que ton cerveau de génie est là pour nous dire touuut ce qu’on peut faire ! On l’aurait pas remarqué tout seul » répondit ironiquement la collégienne avant d’arracher son autre manche avant de déboutonner le bas et de le nouer au nombril.
Bon c’était destroy, c’était déchiré, c’était diffèrent comme tenue, le cœur d’ismael pouvait se remettre à battre.

« Tu veux aussi nous expliquer pourquoi on est plus dans notre lit ou ça te parait trop compliquer comme réflexion...En plus tu dis pas mal de bêtises, les don marche très bien vu que je peux activer le mien. »

Elle eu un regard suspicieux puis moqueurs avant de s’avancer vers lui, retirant au passage ses bottes pour ne rester qu’en bas

« T’es ptètre juste un gros naze qui est pas capable de contrôler ses capacités. Mais bon j’aime pas critiquer »
Elle parla avec un air condescendant, « .. ou parler pour rien dire, j’ai aucune idèe de quoi faire et je m’en moque royalement donc à défaut on prend au pif, on fonce dans le tas et on pleurera si sa se passe mal. »

Voila qui était clair et concis au moins !
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