Quelle douce musique ... [Fini]

Des main d'enfant sur le piano ...

Daiichi ... Joue moi un morceau...

Les main se promène lestement sur les touche, les yeux reste fermé et ne s'entrouvre que pour voir l'instrument. Envouté par le son, envouté par la mélodie ... Comment un enfant peut-il jouer ceci ?

Losrque la mélodie s'arrête, Daiichi l'a encore dans la tête ... Elle raisonnne encore ... Mais il ouvre les yeux, et des millions d'anges passe dans la rue.

Daiichi est dans le magasin instrumentale où l'emmene Marya pour qu'il continue à jouer. Partager en deux, un boutique et un attelier de luthier, Daiichi peut pratiquer les deux instruments.

Il est là, assit devant le piano, ses yeux regardant par la baie vitrée qui donnent sur la grande place. Raison,nne encore le sondans ses oreilles sourdes des bruit du monde exterieur ...

Il se retourne et voit Marya. Marya. La grande soeur ... Celle pour qui il ne cessera jamais de sourir, celle pour qui il joue, celle pour qui il donnerait tout ; pour son sourir.

-"Marya-nee, tu veux que je joue du violon ?"

Marya souriait ; elle sourrait !

-"Tout ce que tu voudra : Je vais demander au monsieur de te prêter un quart."

Quard de violon ; très petit ; mais exactement ce qu'il fallait à Daiichi. Marya parcouru la piece éclairé par la seule lumière du jour. Daiichi se leva. La fille du proprétaire arriva avec un petit violon, puis s'assit au piano, comment quelques notes que Daiichi reconnu très vite.

Une note ... Deux notes ... Quelques feusse notes ... Et musique.

Pendant toutes cette musique, Marya écoutait d'un air calme. Chaque note, juste ou non, s'envolait. On tremblait lorsque le violon grinçait, mais le tout ne demandait qu'un peu d'entrainement.

La musique était toujours en court losque quelqu'un s'arrêta pour ragarder a=à travers la baie vitrée. Quelque'un qui donnait de la voie par l'exterieur, suivant vagement le son de la musique ...

Sur la dernière note, Daiichi ouvrit les yeux. La lumière était moins forte qu'au départ. Il se retourna et sourit.

-"Kaoru-nee !"

« Bonjour Daiichi. Comment tu te portes? »

« C'était une très belle mélodie que tu jouais là. Tu joues depuis longtemps? »

[Changment de comte et c'est partit]

« Bonjour Daiichi. Comment tu te portes?
-Super ! Je joue du violon avec la dame !»

La dame ok, c'était exagérer, elle devait être plus jeune que Kaoru ... Mais vous savez, les enfants ...

« C'était une très belle mélodie que tu jouais là. Tu joues depuis longtemps?
-Depuis ... (compte sur ses doigts) 2ans ! Depuis que Marya-nee ma fait découvert ! Mais j'ai plus progresser aux piano ! »

Oui, c'est vrai que le piano lui présantait moins de dificultées ... Il était plus doué aussi.

-"Kaoru-nee ? Tu veux bien chanter ? Pendant que je joue ! Comme ça, Marya-nee pourra écouter !"

Le grand sourir qu'il avait sur les levre s'effaça quand il tourna la tête vers Marya. Elle était toujours sur le pas de la porte de l'atelier, mais ne souriait pas ; elle toisait Kaoru d'un air mefiant.

Non, il ne faut pas ... Qu'elle ait ce regard ... Il ne faut pas !

-"Ne ? Utau kaoru-nee !"

Il s'installa au piano (l'autre est partie, peut-être vexée par le "Dame") Et et ouvre.

-"Que veux-tu chanter ?"

« Tu veux que je chante ? »

« Tu connais "Why" de Jang Ri In ? Une chanson coréenne. »

« Ta soeur te surveille toujours comme ça ? »

« Tu connais "Why" de Jang Ri In ? Une chanson coréenne.*chuchotte* Ta soeur te surveille toujours comme ça ?
-Oui ! Elle passe tout le temps dans le café a coter ! Et puis ...»

Pourquoi ne l'avait-elle pas dit tout haut ?

-"Bah ... Marya-nee est toujours avec moi. Elle a très peur quand je suis loins ; elle ne veux pas que je fasse de bêtise."

Puis il reprend son air enthousiaste.

-"Utau Kaoru-nee ! Utau tekdasaï !"

Et c'est partit la musique [vous savez où clikker pour l'avoir] Les notes étant répétitives et rythmiques, Daiichi n'eu pas trop de mal à les replacer.

-"Kaoru-nee, tu devrai chanter très souvant ! Tu a une voix a tomber par terre !"

Puis il se tourne -Joyeusement- vers Marya.

-"Tu a vu comme elle chante bien ? Kaoru-nee wa kakoï !" [Kaoru est cool]

Marya s'appreche en soupirant. Elle tapotte sur la tête du gamin.

-"Gokurosama [Bon travail]. Kaoru-sempai a une très jolie voix oui."

Elle disait ça avec un sourir peu convaincu ...

-"Marya-nee... Tu est fachée ? Pour l'autre fois ... ?
-Qu'est-ce que tu raconte ! C'est sûre que ce n'était pas bien malin d'embrouiller le pauvre Tokosei-sempai comme ça. Mais ce n'est pas grâve ; s'ils ne sont pas capable de surmonter ça, leur histoire n'en vaut pas la peine.

Et puis tu sais, Tokosei-sempai et Lovely-sempai s'aime beaucoup ; ce n'est pas parcequ'il y a des histoire comme ça qu'il vont se detester. Par contre, ça ne te dispanse pas de ne pas recommancer *regarde Kaoru* Et même si on te le demande, évite d'écouter ce que dient les gens si c'est pour se servir de toi.
-Mais Kaoru-nee est très gentille ; c'est juste que ce jours là, elle était ..."

Daiichi s'arrête ; commant lui dire que ses ailes, à ce moment là, était diférantes ? Que la brume de son coeur la rendait fragile, qu'elle ne l'avait pas fait exprès, qu'elle voulait juste briser quelque chose ... Mais qu'elle n'avait pas briser la bonne chose.

-"Kaoru-nee ... Wa ... Hidoï jannaï ... [Kaoru n'est pas cruelle] Ne ? Kaoru-nee ?"

-"Bah ... Marya-nee est toujours avec moi. Elle a très peur quand je suis loins ; elle ne veux pas que je fasse de bêtise."

« Oh.. je vois. »

-"Kaoru-nee, tu devrai chanter très souvent ! Tu a une voix a tomber par terre !"

« Merci.. mais il y a beaucoup de personnes qui font beaucoup mieux que moi, tu sais ? »

-"Gokurosama [Bon travail]. Kaoru-sempai a une très jolie voix oui."

-"Kaoru-nee ... Wa ... Hidoï jannaï ... Ne ? Kaoru-nee ?"

« Et bien.. je ne sais pas..

les apparences sont parfois trompeuses, tu ne tomberas pas forcément sur de bonnes personnes.

« Je n'ai jamais su accepter la vérité. »

« Et bien.. je ne sais pas. Les apparences sont parfois trompeuses, tu ne tomberas pas forcément sur de bonnes personnes. Je n'ai jamais su accepter la vérité. »

Alors ... Qu'est-ce qu'était la vérité ?

-"Kaoru-nee ? Tu ne sais pas si tu es méchante ou gentille ? Moi je sais que tu es gentille ! Tu est une très gentille oneechan !Ca se voit, regarde comme tes ailes sont ..."

Noir. Douleur. Marya ... Mettait ses mains devant les yeux et la buoche de Daiichi. Elle le serrait trop fort. Mal. Douleur.

-"Daiichi. Je te l'ai déjà dit. Ne parle pas de ça aux gens."

Il se degage de ses bras en douceur.

-"Gomenasaï, Marya-nee ... Demo ... Kaoru-nee sait, je lui ait montré."

Marya se crispe. Daiichi tresaillit. Elle s'adresse d'un ton froid à Kaoru.

-"Anata da ... Qui ... C'est à toi qu'il a donner ... Une fragement d'âme ? [c'est toi]
-Ia ! Marya-nee ! Bokuno se desu ! Kaoru-nee wa ..." [Non ! Marya ! C'est ma faute ! kaoru est...]

Trop tard. D'un ton toujours aussi froid mais dur, le conflit avait déjà commancer.

-"A quoi ressemblait cette plume pour que tu la veuille ? Tu te fichait bien qu'il devienne aveugle ? Ce truc-là peux le tuer ! Il ne se contrôle pas !
-Marya-nee, ne t'enerve pas, elle ne savait pas ! C'est moi qui est voulu ...
-Tais-toi ! Il est hors de question ...
-Kaoru-nee ne m'a jamais fait de mal ! C'est moi qui lui ait donner ! Et de toute manière ça m'arrangait bien, parce que je ne voyait plus les ailes des gens !
-Tu crois que c'est une raison pour prendre le risque de mourir ?"

Elle avait élever la voix. Ses trait qui était 'linstant d'avant si sobre et denudés de sentiment étaient maitenant orné par une colère contenue ; ses poingts était serrés, ses phalange menacait de transpercer la peau de ses main.Elle serrait les dents, faisait de son mieux pour se contenir ; il y avait longtemps que Daiichi ne l'avait vu dans un état pareil ; mais la dernière fois, c'était pire. Bien pire. Le jours où ils ...

Daiichi se rapelle ce jours, ce jours trop horrible pour un enfant de 4 ans. trop horrible pour la plupard des adultes. Quelques larmes roule sur ses joue, pelres qui tombent miserablement sur le sol. Marya Eu une seconde un regard de terreur, puis remit le masque et le pris dans ses bras.

-"Gomen. J'aurait pas du.
-C'est pas toi ... *Renifle et se foure la tête dans les chevueux de sa soeur* Le monsieur, avec ... Les ailes de démon ...
-Gomen Daiichi. Je n'aurai pas dù. C'est fini.
-Marya ... Il était ... Si ...
-Je sais. C'est fini n'y pense plus."

Daiichi s'accrocha a Marya, se sentit transporté, puis plus rien. Il venait de s'endormir. De la douleur, de la peur... De très mauvais souvenirs refont surface.

[relait avec Marya.]

Marya prend le prit, le soulève et le transporte vers la salle d'a côter. Dans la penombre, elle respire profondemment. Personne ne doit la voir faiblir. Personne ; surtout pas Daiichi.

Elle se retourne et reviens dans la boutique en fermant la porte. Kaoru est toujours là, figé.

-"Excuse-moi pour tout à l'heure. Il fait beaucoup de chose incompréhansible parfois."

Voyant qu'elle n'était pas décidée à partir, elle s'aasit devant le piano et se mit à parler, histoire de combmler le silance. Elle restait toujours sans émotion apperante, mais elle comançais à avoir mal à la tête. Daiichi avait pleurer ... En grande parite à cause d'elle.

-"Je suis pathétique. Moi qui m'était promis de ne plus jamais le voir pleurer ..."

Soupire. Elle arrivait suffisement à se contrôler pour ne pas parler comme un homme. Elle parlait le langage des femmes, bien poli et sans vulgarité.

-"Daiichi à l'air de beaucoup t'aimer, alors je suppose qu'il voudra passer du temps avec toi à l'avenir. Mais je crois que tu sais ce que je pense ; pour l'instant, je n'ai pas une très bonne opignons de toi. Mais si Daiichi le veux ..."

Re-soupir. Son, ton était tellemnt plat que Marya doutait elle même de sa propre douleur. Daiichi avait pleurer... Elle ne tarderai pas à faire pareil si elle ne reprenait pas le contrôle.

-"Il faut sans doute que tu sache ..."

Musique d'ambiance

Daiichi ... Est capable de voir ... Ce que sont les gens au plus profond de leur coeur ... Il peut infliger des traumatismes corperel en mettant en mal les reflets, et il peut en échange de l'énegie de son corps, celle de sa vision en premimer, materialiser les fragment de "miroir".

Ce pourquoi il vien de pleurer, ce n'est pas ta faute. Le fait que je m'énerve à cause de son don lui à rapeller un mauvais souvenir. Un homme qui était mal, qui n'avait ni vie ni espoir. Quelqu'u de mort en fait. Nous l'avons croiser et Daiichi s'est mit a pleurer. Il m'a tirer par la main en me criant que c'était trop horible, qu'il ne pouvait pas le laisser ainsi. Il a pousser l'homme aà terre en lui disant qu'il fallait qu'il vive ; en lui disant que cette âme était en train de dépérir. Il criait en pleurant. Il semblait essayer d'arracher quelquechose du dos de l'homme. Ce n'ai qu'après que j'ai compris qu'il assayait de lui "nettoyer" les ailes. Et puis les gens se sont attrouper et l'homme ne disait rien. Daiichi a pleurer plus fort, il a hurler, quelque chose a commancer a "flamber".

Il donnait son énergie. Les ailes de l'homme sont apparut pour tout le monde. Je les ait vu : Elle était sans plume ; une membrane recouvrait un ailes, l'autre était à moitier arracher. La plupar des gens autours ont cracher leur tripe de dégout. Je ne pense pas pouvoir te les décrire. C'était horrible, quoi qu'était devenu cet homme.

Daiichi a continuer a pleurer, et il a rendu materiel les ailes de l'homme ; Il n'a pas suporter et est mort. Daiichi ne est resortie incapable de bouger. Il était tellement épuiser que ses propre ailes sont aparue pour qu'il ne disparaissent pas. Ces ailers là était ... Trop pures pour être humaine. Je l'ai emmener aux urgence, mais il était si soufrant qu'il aurrait pu en mourir. Il était affaiblie psychologiquement et mentalment. Je n'ai rien pu faire.

Alors quand j'ai compris combien il était pur, combien il était proche de la perfection, que je me suis sentie honteuse de ne pas avoir pu m'en occuper. J'ai toujours peu qu'un jours, ses ailes finnisent par se tacher de sang ...

Il est le seul à savoir ... A quel point l'être humain peu être ... Bon ou mauvais ... Ou miserable.

J'ai toujours peur qu'on se servent de lui. Toujours peur qu'il lui arrive quelque chose pour que son coeur se referme. Tout les deux, nous ne sommes pas lier par le sang. Nous ne sommes rien par raport à l'autre. Il m'a juste pris pour pillier, et m'a juste donner une raison ... Mais au fond je sais ... que je ne suis qu'un chaton égarer pour lequel il éprouve de la charité. Il veux me rendre le sourir, malgré qu'il voient des choses horribles ... Mais il me garde. Et moi parfois, j'oubli qu'il n'est pas ...

J'en ai fait ma lune dans mon ciel, je l'ai pris, je l'ai ailer, alors que je sais que je devrai parir ... S'il il m'aime autantque je l'aimpe, alors c'est perdu : jamais je ne pourrais le laisser sans provoquer ses larmes. Je ne veux pas qu'il pleure. pour rien au monde. Je veux qu'il vive, malgrer ce qu'il voit ; alors...

-"Kaoru-sempai ... Je te fait confiance. Peut importe ce que je pense de toi ; lui, il sais qui tu es, et il ne te lachera pas ; car tu fait partit de ceux qu'il sais bon, quoique soit leur facade : il sait qui tu est, qui tu a été. Tout ce qu'il attend de toi, c'est de devenir.

Deviens quelqu'un de bien, Kaoru. Quelqu'un de bien."

La porte s'entrouvrit, laissant voir un petit enfant égaré, qui sourait comme un ange.

« Je suis quelqu'un de gentille ? »

-"A quoi ressemblait cette plume pour que tu la veuille ? Tu te fichait bien qu'il devienne aveugle ? Ce truc-là peux le tuer ! Il ne se contrôle pas !

« Peut tuer.. causer du mal.. faire souffrir.. souffrir. »

« Risque de mourir.. »

'Devenir quelqu'un de bien.'

Après s'être reveillé, Daiichi avait poussé la porte : Il était là, devant sa grande soeur et Kaoru ... Toutes les deux ... Cet homme dont il se rapelait, était quelqu'un qu'il ne connaissait pas. C'était un homme croiser dans la rue, dont les ailes aurrait du lui passer à vôter. Mais il était ... Tellement ...

Marya-nee ? Doshiute, Ningen wa kanashi ?

Marya s'était affolée, car il avait faillit se vider de son energie. Elle avait été bien plus en colère que maintenant. A chaque fois qu'il était question d'ailes, juste un peu spéciale, Marya ne voulait pas en entendre parler. C'était devenu un reflexe : elle l'ignorait, faisait samblant de s'occuper d'autre chose, détournait l'attention ; parce qu'elle avait peur que de nouveau il atterisse dans cet état ...

Maintenant, il était devant deux anges ; deuxanges aux ailes blessée. Deux anges qui autrefois avait des ailes blanches et pures. Peut-être étaient-elles grises, mais combien on pouvait s'en foutre ; malgrée toutes les blessures, elles étaient là, et elles continuait de vivre : C'était ... Le plus important n'est-ce pas ?

Il s'approche, lance un regard à Marya.

-"Suki ni shinaï." [Fait comme tu veux]

Il regarde Kaoru ; ses deux yeux de couleur opposée, ses deux yeux vairon d'enfant, pourant un regard qui dépasssait, en maturitée, bien des regard d'adulte.

-"Kaoru-nee ... Anata wa ... Kanashi ... Demo, shiteru." [Tu est trite mais, je le sais...]

Il prend ses mains dans ses petites menottes.

-"Tu veux vivre ... Entant que quelqu'un de bien. Alors peu importe ce que je voit, ce que tu a fait ; Mais je sais que les gens sont influancé par leur passé, et parfois agisse selon le présant ... Mais toi, tu es libre de choisir : De devenir ce que TU souhaite.

Alors n'abandonne pas : même si tu a mal, même si tu a fait du mal, je t'en pries n'abandonne pas ; Peu importe ce que je voits : Ce qui compte, c'est ce que toi, tu veux devenir."

Il leve une main pour la poser sur le visage glacé de Kaoru.

-"Alors, Kaoru, Que veux-tu devenir ?"

-"Suki ni shinaï."

-"Alors, Kaoru, Que veux-tu devenir ?"

« Je ne sais pas.. J'aimerais juste faire ce que j'aimerais, sans être influencée par des sentiments néfastes. C'est peut-être cela, devenir quelqu'un de bien. Voler de mes propres ailes.. »

« Tu te souviens de la petite épée que je t'ai offerte la dernière fois? Tu ne dois pas te laisser faire, qu'importe ce que disent les autres. Kaoru te protègera des méchantes personnes. »

« Tu veux jouer une dernière chanson? Kaoru va bientôt devoir y aller. »

« Je ne sais pas.. J'aimerais juste faire ce que j'aimerais, sans être influencée par des sentiments néfastes. C'est peut-être cela, devenir quelqu'un de bien. Voler de mes propres ailes.. »

Soupire ... De soulagement ...

« Tu te souviens de la petite épée que je t'ai offerte la dernière fois? Tu ne dois pas te laisser faire, qu'importe ce que disent les autres. Kaoru te protègera des méchantes personnes. »

Daiichi sourit ; oui, cette épée, il s'en souvnait ; elle était si belle ! Kaoru allait le protèger ... Alors lui aussi : il allait rendre heureux ceux qu'il aime.

« Tu veux jouer une dernière chanson? Kaoru va bientôt devoir y aller.
-D'accord ! Tu veux chanter quoi ? Tout ce que tu voudra ! Une chanson qui te rende heureuse !»

C'est le regard plein d'étoile que Daiici se dirigait vers le piano, et invita Kaoru a se lever pour commancer.

-"Sugoï daro ne ? Kaoru wa Ureshi !" [Génail pas vrai ? Kaoru est heureuse !]

« On joue Konoyono Shirushi de BoA ? »

« Désolée.. je ne connais pas la suite »

Bon, il va falloir que j'y aille, on se revoit à l'académie de toute façon hein? Soit sage, et ne crée pas trop de problèmes à Marya.

Au revoir.