Takuetsu no gakuen
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Comme un bleu au coeur. [clos] |
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Akatsuki Marya
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![Comme un bleu au coeur. [clos] Vide](https://2img.net/i/fa/vide.gif)
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| Sujet: Comme un bleu au coeur. [clos] Mer 25 Mar - 17:06 |
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-Vas-y.
Daiicih tape sur les touche, commance la mélodie trop parfaite pour un enfant de 5 ans.
C'est jolie, enjoué ... Pour une fois, Marya ne veux pas être morose. Daiichi joue, la musqie la rends heureuse.
Le morceau setermine sur le dernière accord. A peine est-il joué que Daiichi se precipite sur Marya. Et l'étreint.
Doki.
-Tu vas bien ?
-Oui ... Juste un peu mal au coeur.
La fille du vendeur s'approche, un grand sourir aux levres.
-C'était magnifique Daiichi-kun. Tu aprends tellement vite !
-Et toi alors ? Ça fait un moment qu'on ne t'a pas entendu ! lui-lance son père.
-J'ai compris Papa !
Elle sort de la pièce et revent avec une contrebasse. Elle prend une chaise et s'assoit, puis pose l'archet.Elle fait le glisser sur les cordes.
La musique déroule. Marya à des hauts les coeurs. Elle fait s'assoir Daiichi et pars en direction des toilettes. De blanc à rouge. La musique continue, elle crache. crache. Mais la douleur reste. Ça fait mal. Mal. Ça déchir les entrailles. Elle defait sa chemise, et voit : un émataume, tache violacée entre les deux seins.
La fille est là, la musique s'est arrêter.
-Daiichi ?
-Devant son piano. Vous allez bien ?
Elle s'aproche et lui frotte le dos. La douleur passe, elle crache encore un peu.
-Je te fait peur. Pourquoi tu fait comme si j'était à pleindre ?
- Et bien ... Faut pas être indiferant aux douleur des autres et les laisser comme ça ... Je fait ça parce que c'est normal et je vous connais vous et Daiichi-kun ...
-C'est pour soulager ta conscience alors ? Tu n'as pas besoin de faire ça avec moi.
-Je n'ai pas besoin de me justifier pour agir ...
Crahe. Taches rouges sur le carelage.
-Comme tu veux.
Elles sortent. Se retrouvent dans la boutique. Daiichi est bien assit devant le piano, mais une autre personne est avec lui.
Instinc de possession. Marya ravalle le sang qui lui coule dans la bouche et s'avance. Elle prends le petit dans ses bras etlance machinalement ;
-Gomenaisai. [Désolée] Il ne vous derrange pas trop j'espère.
Dernière édition par Akatsuki Marya le Lun 20 Avr - 17:19, édité 1 fois
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Megumi Matsukaze
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Mer 25 Mar - 21:02 |
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Une matinée pas comme les autres, pour une fille pourtant comme les autres. Premier point qui cloche. Megumi s’est réveillé à 11H…vous vous rendez compte ? Onze ! Elle qui d’habitude se lève en même temps que le soleil…Que lui est-t-il arrivé ? En fait, c’est parce que la veille, elle a un peu fêté, mais ça on s’en fou hein ? Bref, le plus important, c’est qu’elle avait fait une bonne grasse matte, avait pris un bon bain, et était en pleine forme, pour passer une superbe journée. Deuxième point qui cloche. Ses vêtements ! Comme vous le savez, d’habitude elle s’habille robe/ou jupe, mais là…Eh bien elle s’est habillé en Pantalon Jean…Vous vous rendez compte ! Désespérant pour elle. En fait, c’est sa camarade de chambre, qui a mis les deux tiers de ses affaires au linge sale, et en gros adieu les collants ! Et sans ses collants, pas de jupes…sinon, c’est la crève assuré. Bon, passons, ce n’était pas comme si elle n’avait jamais mis de pantalon…juste qu’elle était un peu mal à l’aise. Bon, une fois, prête, après quelques petits soucis d’habillage, elle allait décider de sortir. Il ne faisait pas vraiment chaud à l’extérieur, mais le temps était bon, malgré quelques légères brises, qui pouvaient s’avéré gênante, si elle ne se couvrait pas. Alors, un manteau s’imposait. *Hop !* Elle prit le premier venu qui s’avéra être un de ses préférés, puis descendit, les escaliers des dortoirs, et fut à l’extérieur. Grrr, en fait il faisait froid. Vraiment sa fenêtre était trompeuse…la prochaine fois elle sortira, même si ça devrait être en pyjama. Bref, elle avait la flemme de remonter se changer, alors elle continua sa marche. Vers où ? Elle ne le savait pas elle-même. Lecteur MP3 à la main, elle écoutait un merveilleux tube, qui était vraiment vieux, mais les vieux tubes sont parfois les meilleurs. En fait, on va dire qu’aujourd’hui c’est une avant mâtiné musique ! Pourquoi ? Eh bien parce que Megumi était en fase de créer un groupe de musique ! Enfin, elle l’avait créé, mais elle n’était pas vraiment sure. Ne lui demandez pas pourquoi elle ne saura pas, elle est trop compliqué pour vous. Enfin, après avoir marché un peu partout…Elle se retrouva au centre ville. En fait elle était passé par le préau des collégiens, où elle y était passé environ 20 minutes, le temps de tenir une conversation, avec un amie…Enfin, ce n’était pas vraiment une conversation, vu qu’elle était en train de lui donner les réponses à un devoir donné. Toujours aussi crédule celle-là. Ensuite, elle est passée au Gymnase, pour voir, jouer les garçons au basket. En fait, elle ne faisait pas ça souvent. On pouvait compter ses fois sur les doigts d’une main. Mais elle était d’une telle bonne humeur qu’elle pouvait tous ce permettre na ? Pour une fois qu’elle ne se morfondait pas sur elle-même la pauvre…Enfin, voilà, comment ensuite elle est arrivée au centre ville, la musique aux oreilles. Elle écoutait « Money Money Money – I like Money » parce qu’en fait elle était en manque d’argent. Elle voulait s’acheter une nouvelle guitare, mais son argent mensuelle n’a pas été envoyé. Donc, en gros elle est sans argent, sans musique – bon, il y a l’auditorium, mais c’est mieux de posséder sa propre guitare – et dans l’ennuie. Parce que si vous ne le savez pas encore, la musique occupe une grande place dans la vie de la petite princesse. Pour récapituler, elle était au centre-ville, à la recherche d’une nouvelle guitare de qualité et pas trop chère non plus.
Elle en avait fait, des boutiques, en fait, seulement deux, mais c’était déjà beaucoup pour elle. Elle se dirigeait vers une troisième boutique, où il y avait l’air d’en avoir de bonne, à un pris raisonnable. Elle poussa la porte légère…la déco était vraiment belle. Il fallait qu’elle le note, comme ça un jour, quand il fera vraiment très froid, elle viendrait s’y abriter, et en même temps essayera les instruments. Le plan parfait ! Ahlala, cette Megumi toujours en train, de se distraire. Elle se rapprocha vers les modèles guitares, puis en vit une qui lui tapa à l’œil. Une guitare électrique…Waouh, vraiment belle. La taille parfaite, une forme…Erf ? J’ai même pas le temps de la décrire que cette Baka c’est dirigé vers une autre guitare…cette fois-ci une guitare acoustique. Pas mal. Un beau bois vernis, faîtes de cèdre rouge…Elle leva la tête sur le côté et *Aniaghrm*. C’était le bruit qu’avait fait son cerveau, en voyant le prix de la guitare…Oulaaa, elle repassera. La tête baissée, admirant encore quelques guitares, elle sortit. *Sniif* Une petite larme coula sur son visage. Pas une larme de tristesse, mais plutôt une larme de déception ! Elle était vraiment déçu…ou elle allait trouver sa guitare hein ? Eh bien juste en face d’elle ! Il y avait un autre magasin, en face d’elle où tout était à – 20% ! Parfait pour quelqu’un à tendance fauchée comme elle ! Elle entra dans le magasin, puis pour ne pas être directement déçu, par les prix, commença à jouer avec les triangles. *Bliign Bliig* qu’elle jolie bruit. Elle se souvient, comment, elle jouait avec des triangles dans son enfance…Bon, ce n’était pas le moment non plus de penser à ça ! Allez on se concentre sur la guitare ! Elle en avait vu une…ouah ! Presque la même que celle qu’il y avait dans l’autre magasin ! La guitare acoustique vernis de cèdre rouge, avec la forme un peu ovale désiré, puis les cordes fines, et le manche polis…La guitare de ses rêves, et le prix…Le prix de ses rêves ! Elle avait trouvé son bonheur et était bien contente ! Très contente. Elle allait appeler quelqu’un pour prendre la guitare. Elle se mit derrière la vendeuse puis la tapota dans le dos.
« Excusez-moi ?! Je pourrai avoir la guitare…celle vernis… »
« Bien sûr attendez quelques minutes. »
Après qu’elle s’est occupée, s’une vendeuse, elle revint à Megumi. Elle allait lui donner, un modèle encore tout chaud, mais Megumi l’interrompit, et lui demande le modèle d’exposition. En effet c’était mieux, quand elle avait été touchée et un peu usée…beaucoup mieux. Ensuite, au comptoir, le baume au cœur, elle sortit son porte monnaie, et paya son fabuleux trésor. Elle sourit à la vendeuse puis la laissa, en sortant, du magasin. Rha…Elle ne voulait pas rentrée, et voulait faire de la musique sauf, qu’elle ne voulait pas passer pour une gitane, en jouant devant le magasin, sous le froid. Na, na, na. Elle regarda aux alentours, puis finit pas voir, un magasin, parfait pour jouer ! Parfait ! Il y avait une multitude de boutiques au centre-ville. Bon, elle y entra, puis, vit, un magnifique piano, vernis noir…Il n’y avait personne autour…personne…Parfait…Elle voulait, s’approcher jouer…Ah je ne l’ai pas dit. Elle joue aussi du piano ! Mais pas aussi bien, qu’avec la guitare. Elle se rapprocha du piano, puis le caressa, et tourna au tour d’elle. Elle voulait sentir ses émotions…Elle avait l’air d’être en forme. Alors, elle mit sa guitare â côté de celui-ci puis s’assit à côté sur le banc destiné aux joueurs, et commença à jouer. Rha…c’était bon. Elle jouait bas, mais jouait quand même. Elle fermait les yeux comme d’habitude, mais une présence vint en quelques sortes la gêner. Un petit garçon, très mignon, qui était aussi en train de jouer avec elle. Enfin, il avait commencé à jouer, la suite de son morceaux après qu’elle s’est arrêtée. Un connaisseur. Ils jouèrent ensemble, il jouait bien le gamin. Mais une vielle fausse note vint gâcher le merveilleux moment ! Le garçon avait disparue emporté, par une personne, plus précisément, une fille, qui semblait, être très proche de lui. Hey ! Elle avait gâché le morceau. Sniifeu ! Petit garçon revient jouer avec elle ! Tu joues si bien ! Allez pose tes fesses, et on continue ! C’est ce qu’elle pensait dans sa tête. Bon…Elle se retourna, et regarda la jeune fille dans les yeux. Elle se leva et lui reprit le garçon, puis le mis assise sur le banc. Puis d’un air plus que chaleureux, elle l’a mit en garde.
« Ne t’inquiètes pas il ne m’a pas dérangé ! Au contraire j’ai adoré jouer avec lui ! Il est vraiment bon. Au fait tu es qui pour lui ?! »
La question, en valait la peine, parce qu’elle voulait savoir à qui elle s’adressait. Elle se rassit à côté du garçon en face de la fille. Puis elle lui frotta un peu les cheveux [Au garçon] en lui souriant.
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Akatsuki Marya
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| Sujet: Comme un Bleu au coeur ... Jeu 26 Mar - 18:49 |
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Elle lui reprend Daiichi ... Et lui ebouriffe les cheveux ???
Je vais la tuer --* - Arrête Marya elle veut juste faire du piano tu sais ...-Ta gueule, elle viens de prendre MON Numero 1 et tu veux que je la laisse faire ?-Oui, tu aime le piano toi aussi- Mais pas quand on s'aproprit MON Daiichi !
Là, ce serai la pensée interieur de Marya si elle avait été Extravertie. Ce qui n'eet pas le cas. Néanmoins, elle reste très possesive ; elle pense la même chose, en aussi violent, mais pas exprimer de la même manière.
Marya s'assied et met Daiichi sur ses genoux.
-Continue de jouer mon coeur.
Il continue, de manière doue, santant la suite venir. Pas idiot le Daiichi ...
-Akatsuki Marya. Daiichi Yumamaru. Yoroshikun.
Ton neutre, même froid. Daiichi continue de jouer mais lance tout en jouant.
-Marya-nee wa poku no onee-san desu. [Grande soeur Marya est ma soeur.]
-Usotsuki. [menteur]
-Maybe [avec un accent prononcé]
Marya ne sourit pas, Daiichi continue de jouer.
-Anatawa dare ? [Qui es-tu ?]
Daiichi termine l'accord. Marya le prend dans ses bras, l'enferme presque, met sa tête au-dessu de la sienne et embrasse sa tignasse argentée.
-Uso Janai.[Ce n'est pas un mensonge]
-Uso da, uso.[C'en est un]
-Ie.[non]
-Kaoru-sempai wa Kaoru-nee, Mii-san wa Mii-nee. Marya wa ...[Kaoru est ta soeur, Mii est ta soeur, Marya est ...]
-Poku no onto aa.[Ma veritable mère]
Marya le ressert sur sa poitrine, l'empechant preque de bouger. Pase quelque seconde, sans que son expression change.
-Urusai, Boke.[Tait-toi imbecile]
La jeune fille semblait observer ce spéctacle avec stupeur. Certe, avec un texte aussi peu cohérant, ça pretait un peu à la confusion.
-Gomen. Tu veux jouer ? Où alors tu te sers de ta guittare ?
Ah oui. Elle a remarqué. Marya est Marya, ne vous étonnez pas. Puis elle l'examina du coin de l'oeil ; rien qu'a la façon dont elle s'assayait, on voyait qu'elle n'était pas à l'aise dans son jean. Trop serré ? Ça n'a pas l'air. Peut-être ne portait-elle pas souvant d'habit du genre ?
U soupir, un regard dehors ; Tiens, il fait froid, mais ça commance à s'éclaircir ...
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Megumi Matsukaze
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Lun 30 Mar - 20:35 |
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Il y avait beaucoup d’évènements, passés, en si peu de temps, et l’attitude, de la fille, l’interpellait un peu. Alors, d’après ce qu’ils disaient, ils étaient frères et sœurs, même si l’autre ne le revendiquait pas vraiment. Elle n’avait vraiment pas envie, de réfléchir, pour décrypter leurs relations, elles savaient qu’ils étaient, très proches et c’était ça l’important. Ils se chamaillaient, ce qui la faisait un peu rire. Elle repensait au temps avec son frère…Les chamailleries c’étaient son truc. Elle excellait en ce domaine. Bon, reconcentrons-nous sur les deux autres. Marya et Daiichii. Ils avaient un petit air de ressemblances, ce qui les rendait encore plus mignons, l’un que l’autre. Elle les regarda un peu, puis leurs souris. Elle avait l’habitude de sourire, même pour rien, mais ce sourire, était loin, de ses faux sourires qu’elle faisait par habitude, mais dans celui-ci on pouvait ressentir l’amour, et la tendresse qu’elle éprouvait à l’égard de Daiichi. Oui, Daiichi, il était si mignon, elle avait envie de lui caresser les cheveux toute sa vie. Marya ? Elle s’en foutait un peu. Surtout qu’elle était un peu agressive, sur le coup. Elle ne voulait pas partager son frère ? Na mais oh ! Elle voulait juste lui caresser les cheveux. Elle a toujours rêvé, d’avoir un petit frère…Un grand c’est bien, même si dans les bagards, c’est un peu compliqué, mais un petit c’est mieux. Lui faire pleins de câlins, et tout et tout. De plus comme il jouait de la musique, cela le rapprochait encore plus d’elle s’en le savoir. Enfin, il fallait passer le mur de fer appelé Marya. Dur, dur. Il était encore dans ses bras, et elle sentait que si elle l’approchait, elle la mordrait, en s’empressant. Une cicatrice à la main, non merci. Elle regardait Daiichi, comme l’objet de ses désirs, inaccessible…qu’elle ne pourrait jamais avoir. Oups. A force de penser elle ne s’était pas présentée. Elle allait le faire, mais seulement en s’adressant à Daiichi. Marya, elle pouvait se foutre le doigt dans l’œil et bien profond. Sans le savoir, elle avait déclaré la guerre à Megumi. Bon, bon, elle allait arrêter les rancunes, et se présenter une fois pour toute. Elle regarda Daiichi, en voulant lui recaresser les cheveux, mais sans le faire véritablement.
« Megumi…Matsukaze Megumi. »
Elle détourna son regard vers la guitare. Rha, quelle belle guitare…Même si elle ne la voyait, pas parce qu’elle était protégé par le protège en question…Elle la prit, puis, la mit devant elle, et commença à la contempler, enfin, je le répète contempler le protège, noir, et velours de la guitare. Ne lui demandez pas pourquoi elle fait cela, elle ne pourra pas répondre. Bref, elle était perdu dans ses pensées quand elle entendu Marya lui parler. Elle osait lui parler ? Humph…elle voulait qu’elle joue…Elle ne pouvait pas refuser c’était plus fort qu’elle. Bien évidemment, elle choisirait sa nouvelle guitare, pour l’essayer, et comme je l’ai dit, plus tôt, elle était plus douée à la guitare, qu’en piano. Elle sortit, sa guitare, puis commença à caresser, le corps lisse de celle-ci. Le cèdre rouge, elle n’en avait jamais entendu parler jusqu’à aujourd’hui. Il faut dire, que son frère lui achetait des guitares, mais ne lui expliquait même pas le matériau avec le quel elles étaient faites. C’était important ! Elle se leva, puis pris une chaise situé un peu plus loin. Elle ne voulait pas jouer, sur le banc reservé au piano…Ensuite, elle commença à l’accorder, puis regarda Daiichi dans les yeux, en lui souriant encore une fois, puis lança encore un petit regard suspicieux à Marya. Humph, fit-elle, comme si elle se raclait la gorge alors que c’était purement provocateur. Ensuite, elle fit quelques notes, puis toujours en face de la pseudo-famille, elle commença à pointer les autres guitares du doigt.
« Ca c’est la scène, et là-bas, mon public. »
Son public, c’était les triangles, qui se trouvait, sur le côté. Vraiment folle, la Megumi, mais, ce côté bêta, la rendait plus attachante…peut-être. Enfin, après son petit speech, de juste une phrase, elle prit son inspiration, et voulu commencer à jouer, mais se souvint qu’elle avait encore quelques choses à dire à son petit Daiichi. Oui, elle utilise le possessif et alors ?...
« Bon, bon. Avant de commencer, je voudrais préciser, que cette chanson, je l’ait composé il y a tellement longtemps que je ne m’en souviens plus. Mais…vu que cela doit-être ma toute première, je vais la dédier à Daiichi, petit choux que j’adore déjà. Assez parlé passons à la musique ! »
Elle commença alors à jouer, avec le sourire comme d’habitude, en regardant, Daiichi, vu que la chanson était pour lui. Le début était calme, et doux. Cela lui permettait, de se concentrer, en jetant toujours de petits regards furtifs, à Marya l’hyper possessive. Bon, bon, elle allait se concentrer sur la musique, au lieu de médire sur l’autre fille…oui, l’autre.
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Akatsuki Marya
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Mar 31 Mar - 18:54 |
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Megumi Matsukaze ... Marya tentait d'enregistrer les information, amis la douleur l'empechait de se concentrer entièrement ...
Elle était tout bonement ... en train de lui lancer un defi. Un défi, ça ne se refuse pas.
Pendant les note du l'hymne à Daiichi, nous entrons en conection avec la discution telepathique entre Marya et Daiichi /sbaf
Marya ...
Oui ?
Pourquoi tu ne veux pas qu'on soit avec les autres ?
Pour ne pas a avoir a soufrir ...
Megumi-san est gentille ...
Mais elle va finir par te faire du mal ...
Tu mens ...
Oui.
Alors pourquoi ?
...
... ?
Parceque je ne veut pas que tu t'en ailles.
Ce sont les mots ... Qui font mal ...
Une mélodie magnifique, elle avait l'air d'être quelqu'un de bien ... Rien qu'au son de la musique ... Sauf que la douelur repris son coeur ... Bienq u'elle lutta pouir la garder bien loin de son moment de bonheure.
Coninuait la musique, continuait la musique, Daiichi fermait les yeux et souriait. Elle aurait voulu le faire, elle aussi, mais la doulaur comme la fièrtée l'empechait de s'abandoner au rytme du son et de ses raisonances exquises.
Elipse de temps
Daiichi est devant son piano, Marya a emmener sa rivale du jour dans un coin de la boutique, près de la fênetre obtsuée par la neige et la glace, fruit d el'eau gelée en ce temps froid et pourtant d'une douceur sans pareille.
-Ce que je te demande est simple ... Tu aimes la musqiue ?
Réponse évidente ...
-Je dois reconaitre que tu est douée ... Mais je veux savoir si tu es assez forte ...
Une pause.
-Il est hors de question que je laisse quelqu'un de faible entrer dans le mode de Daiichi.
Je ne veux pas qu'il soufre ; jamais. Il est inutil que quelqu'un se plaigne a côter de lui. Innutil qu'il voit la douelur, inutile qu'il voit le mal.
-On va jouer à un jeu.
Soupir. Ses yeux se ferment.
-Je souhaterai voir beaucoup de monde, vraiment beaucoup, qui me dirons que ta musique est une des plus belle qu'ils aient pu entendre. Beaucoup de monde.
Elle respira bien fort en regardant dehors.
-Si je peux voir de mes yeux que les gens te reconnaisent comme une très bonne musiciène, alors je te laissrai entrer dans le monde de Daiichi.
Elle la regarde avec le regard effrayant qui était ses yeux habituels, durs et sans joie, sans même peine qui aurait pu les attendrire. Ce regard froid qui vous glace, tout simplement parce qu'il n'est pas humain, qu'il est blanc, qu'il ne contien rien. Pas d'histoire, pas de présant, pas même un pue d'avenir. Le vide total qu'est la destinée humaine, le néan de son coeur lorsqu'elle est loin de ce qu'elle aurait voulut avoir été la mère.
-Tu ne le comprend peu-être pas, mais je sais que quelqu'un qui utilise un talent pour vivre vit toujours des experiance qui le font murire. Deviens reconue par les autre par ta musique, et rien d'autre, et tu pourra être avec lui.
Elle avait de nouveau le regard dans les vapes.
-Ne ... le regarde pas ... Quand tu pleures ...
[tu peux répondre aux question si tu veux, tu peux taper du texte dans l'élipse de temps si ça t'arrange, juste qu'au bout d'un moment, Marya viens te voir et te demande de te parler en priver : ses raisonement sont très étrange, tu les comprendras plus tard]
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Megumi Matsukaze
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Mer 1 Avr - 22:28 |
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Après qu’elle est commencée à jouer, le magasin se vidait, encore et encore. Il ne restait qu’une dizaine de personnes. A un moment, elle s’était demandé si c’était parce qu’elle jouait…Elle aurait été vexée, pauvre Megu, qui voyait son talent envolée, en quelques minutes, partant avec les musiciens venant visiter la boutique…Daiichii, avait l’air d’aimer la musique, ce qui la réjouissait encore plus. Elle ne jouait pas pour les gens, cette fois ci mais pour Daiichi. Les autres l’importaient peu…juste pour cette fois. Même Marya, d’ailleurs elle ne la regardait, même pas. Elle jetait quelques coups d’œil à Daiichi, et aussi à sa guitare, qu’elle trouvait encore une fois de plus magnifique. Elle ne cessera pas de le penser. Revenons à notre boutique. La jeune marchande ne semblait pas se plaindre du bruit que faisait Megumi. Il faut dire, qu’elle avait accordé sa guitare, mais que tout n’était pas encore parfaitement fait. Elle était tellement impatient de jouer avec qu’elle avait oublié les bases de l’accordement. Bref passons. Elle changea de registre, pour attaquer quelques choses de plus « doux ». Ce style lui allait beaucoup mieux lui disait-on. Enfin, lui disait son frère. Elle a toujours cru que c’était parce qu’il était jaloux de son style rapide, et qu’il voulait l’écarter de celui-là. Ah Megumi toujours aussi parano. C’est pour cela qu’elle est toujours sur ces gardes, et malgré ses apparences souriantes, elle est très difficile à convaincre…Elle à beaucoup d’amis, mais peu de « vrais amis ». Bref, passons encore une fois. La musique, c’est bien, mais la faim, c’était encore mieux. Son ventre grognait, mais elle ne pouvait pas partir en plein morceau…La faim, ça sera pour plus tard malheureusement. Un petit sandwich devrait faire l’affaire ? Oui ! Comme ça dès qu’elle en aura fini ici, elle les inviterait dans une bonne sandwicherie ! C’est elle qui paiera, même si, ses économies sont au plus bas en ce moment. Vu que c’est pour Daiichi, elle ferait bien ça. Elle imaginait déjà les évènements futur…Ah Megu, très avangardiste la petite ! Bon, elle allait laisser son estomac de coté, et plutôt se concentrer sur la musique et la guitare, ah, et aussi Daiichi. Elle se distrayait rapidement, la Megumi. Bon, elle allait bien conclure, son morceau, elle finit comme d’habitude, son morceau, par un petit geste de la main dans les cheveux, et joua la dernière note. C’était une lycéenne qui lui avait appris cela. Ca faisait très « stylé » comme elle le disait, et Megumi le trouvait aussi. Ca lui donnait une part d’assurance, et de confiance en soi, qu’elle n’avait pas du tout. Passons encore une fois. Après son petit coup de maître maitrisé, elle alla voir la dame de caisse, pour lui demander, si elle pouvait lui rendre un service. Avant, elle prononça son absence. Elle se courba, à la hauteur de Daiichi, puis tout en lui caressant les cheveux elle le rassura.
« Tient ma guitare…Surveille là bien, j’arrive dans quelques minutes. »
Elle fit quelques pas, puis arriva devant le comptoir de la caisse. Elle fit un signe à la vendeuse, puis celle-ci vint enfin. Enfaite, Megumi avait une idée derrière la tête. Une idée, pas farfelue, mais très intelligente, si on puits dire. En fait elle voulait offrir un cadeau à Daiichi. Un instrument bien sûr mais quoi…Une guitare ! Savait-il jouer de la guitare ? Elle ne savait pas du tout, mais ça serait une excuse de plus pour lui apprendre, et de part ce fait le voir ! Elle avait tout calculé depuis le début. La fille arriva enfin, puis lui demande ce qu’elle voulait. Toujours, en catimini, elle lui souffla à l’oreille que c’était pour un jeune garçon, présent dans le magasin, et qu’elle devait être discrète. Acquissent, elles se dirigèrent vers le stock, pour plus de discrétion. Dans le magasin, le petit Daiichi aurait tout remarqué. Elle regarda rapidement, les différents instruments à cordes, elle finit par en remarquer un, qui correspondrait parfaitement au petit garçon. Plutôt petite, et de couleur bois, c’est une qui correspondrait parfaitement à un débutant, prometteur, ayant pas mal de talent. Elle sourit, puis dit à la vendeuse, que son choix était fait, en lui montrant la guitare du doigt. Celle-ci lui dit, que la guitare serait prête, quand ils partiraient, et qu’elle la lui donnerait en main propre. Fière de sa bonne action, même si son porte-monnaie ne l’était pas. Enfin, en voulant retourner, pour voir, Daiichi et sa sœur, elle fut entraîné, par la sœur en question…Pourquoi ? Elle n’avait même pas eu le temps, de faire le coucou à sa guitare dont elle avait maintenant du mal à se séparer. Contre son gré. Elle l’amena dans un coin, plutôt sombre de la boutique, en face d’une fenêtre. Mais qui allait surveiller Daiichi ? Et sa guitare chérie ? [ ;_ ;] Personne apparemment. Marya avait déjà commencé à lui parler, mais elle n’écoutait pas grand-chose. Elle ne voulait pas écouter, car en vérité elle n’aimait pas Marya. Il y avait des gens comme ça, avec qui l’ont avait un mauvais carma dès le début, et c’était la même chose qui se passait, avec Marya-san. Mais vu qu’elle était polie, elle allait l’écouter. C’était la moindre des choses. Elle ne répondit pas à la première question, car la réponse était beaucoup trop évidente. Evidemment qu’elle aimait la musique, sinon elle n’aimerait pas la vie ! Bref, bref, passons, une fois de plus. Toujours aussi concentrée, elle continuait à écouter ce que lui disait Marya. Elle lui faisait un compliment ? Gentille de sa part. Il faut dire que Megumi est douée, mais elle ne le sait pas. Enfin, on lui dit mais elle ne veut pas l’avouer, car elle a toujours été dans l’ombre de son frère. Mais, il y avait toujours un mais, elle s’en était doutée. Etait-elle folle ? Faible ? Mais tant qu’il aimait la personne qui entrait dans son monde cela n’importait peu ? Qu’elle était sa définition, de faible ? Elle aurait aimé le savoir.
« Quelle est ta définition de faible ? Je ne te comprends pas… »
Un jeu ? Intéressant, Megumi adorait les jeux, d’autant plus que si c’était en rapport avec la musique, elle marcherait à cent pourcent. Elle s’adossa contre un mir, étant maintenant, dos à Marya. Elle attendait avec impatience, l’ultimatum, qu’elle allait lui poser. Megumi en connaissait du monde, mais combien l’avait entendu jouer ? Très peu, c’était ça le problème. Une première difficulté se posait donc à elle. Ce n’est pas grave elle pourrait la contourné, quand même, mais avec difficulté tout de même. Megumi était timide, et ne jouait pas beaucoup, devant les gens, juste pour les intimes – Daiichi et son horrible sœur mis à part -. Quand elle jouait, elle priait pour que personne n’entende, car elle avait peur du rejet, que l’on n’aime pas sa musique. Elle avait peur de l’échec et sa peur ne pouvait jamais disparaitre malheureusement. Elle devait faire cela, pour pouvoir se faire aimer de l’horrible Marya [SBAF/]. Dur, dur, mais si c’était pour Daiichi, elle ferait un effort, et de plus si personne n’aimait sa musique, au moins elle serait fixée et arrêterait avec regrets…Soi on est douée soit on ne l’est pas !
« Ca marche…Je vais essayer. Sache que tu es dur en affaire, et que tes méthodes, me reste encore au travers de la gorge. Je saurai te rendre l’appareil un jour, car ce que tu m’as demandé de faire, est dur pour moi... ; Je le fais, mais juste pour Daiichi, ne te méprend pas. »
Elle était clair et précis, et parlait d’un ton sec, mais avait toujours gardé son sourire, maintenant devenue malicieux. Devenir reconnu ? Son groupe n’était même pas encore connu…Erf. Elle allait le faire connaitre ! Pour Daiichi ! Elle deviendra une grande star, ça c’était sur, avec la persévérance qu’elle avait et ses amies seront là, pour la soutenir. Elle se contenta de secouer la tête, pour dire oui. Elle était déjà occuper à chercher ce qu’elle allait faire, pour trouver le succès. Le chemin sera long et ardu, mais elle y arrivera à coup sure…Elle écoutait les conseils, de la Onee-chan, avec attention…Et acquiesçait, dès qu’elle parlait, comme si elle était à fond, dans ce qu’elle raconterait, puis fini par dire.
« Je ferai attention, ne t’inquiète pas…humph »
Elle hocha une dernière fois la tête, puis en faisant un signe de la tête, elle invita Marya à sortir de ce coin, pour aller voir Daiichi, qui devait s’ennuier seul maintenant. Elle lui fit un sourire. Na, elle ne l’aimait toujours pas, mais elle aimait la façon qu’elle avait de protéger son frère, aussi étrange soit elle.
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Akatsuki Marya
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Jeu 2 Avr - 19:56 |
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C'est bien vrai ... Aussi étrange était-ce, Marya ne voulait pas que le premier venu détruise tout ce qu'elle avait construit. Daiichi devait devenir fort, il devait s'endurcir ... Mais pas soufrir.
Dans un soupire, elle ne répondit pas vraiment à la question que lui posait Megumi.
« Quelle est ta définition de faible ? Je ne te comprends pas…
- ... Tu comprendra bien assez tôt.»
De retours Vers son petit bout d'amour [Elle touche encore à ses cheveux è.é] Et s'assoit à côter de lui. Marya ? Possessive. Pas envieuse. Juste épuuisée. Et faible.
Affailit ? Non. Juste faible depuis toujours. Elle était plus forte ave ctout ce qu'elle avait vécu, elle savait que si Daiichi venait à parler de sa vie avant Takuetsu, les gens trouverai tout simplement étrange cet enfant sûrement menteur. Le pire, c'est qu'elle sait que si il parlait, ce serai toujours en souriant : Sourireriez-vous si vous aviez à dire ce que vous avez vue dans les rues de Tokyo pendant deux et demi, dans les endroits les plus malfamés et raconter les scène de violence et de peine desquels vous auriez été témoin ?
Daiichi, oui.
Un enfant souriant, étrangement souriant, qui vit et fait vivre. Daiichi, cesse de sourire, tu lui fait mal.
Quand tu sourit, je ne veux pas te quitter ...
Elle lui tien la main, il la serrent ... Aujourd'hui, peu importe les autre ...
S'ils sont assez fort, ils prendront le relais ...
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Megumi Matsukaze
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Ven 3 Avr - 21:17 |
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C’était vraiment une famille étrange. Elle avait beau aimé Daiichi, énormément, elle ne le comprenait pas lui et sa sœur. Elle avait l’impression, qu’ils étaient renfermés dans un monde à eux même, et que sa sœur, faisait tout pour que personne n’y n’entre, enfin elle les présélectionnait. Mais Megumi savait que si elle réussissait ce qu’elle lui avait demandé, elle rentrerait enfin dans le cœur de Marya même si cela n’était pas vraiment indispensable. La clé de leur monde elle la voulait, et elle l’aurait, même si c’était plus facile à dire qu’à faire, parce que pour Megumi, la route de la gloire était encore loin, car à vrai dire elle n’était même pas encore construite. C’est vrai…elle avait peut-être créé un groupe mais il n’y avait que deux chanteuses et une guitariste ? Ou étaient les autres ? Elle devrait les chercher, ce qui va être dur, car beaucoup de gens s’improvises musiciens, mais peu on le talent, très peu, et c’est ça qui rendrait ses recherches encore plus complexes. Assise, elle était perdue dans ses pensées, perdues dans l’immense espace noir, qu’était son esprit. Oui, son esprit était noir, et non blanc, ou encore gris, comme beaucoup de gens le pense. Megumi est tourmenté, très tourmenté, par tout ce qui se passe dans sa vie…Et cette chose venait encore alourdir, tous les problèmes qui lui faisaient mener la vie dure [psychologiquement]. Enfin, passons, car ce n’était pas vraiment le moment de se tourmentée, car elle devait essayer de trouver un moyen de réaliser la requête de Marya. Celle-ci mettait encore plus d’ambigüité, dans leur relation, car Megumi n’aimait pas Marya, non elle la haïssait, mais cela ne se voyait pas, car, Megumi, enfin son visage n’exprime que joie, calme et bonne humeur, comme on le lui a toujours appris. Pourquoi la détestait-elle autant ? Eh bien, c’était la jalousie. Elle avait Daiichi, pour elle seule, mais cela n’était pas seulement une histoire de crêpage de chignon, ou de jalousie passagère non. Les deux frères et sœurs, semblaient avoir un passé difficile, et parsemé d’obstacles encore plus dur les uns que les autres, ça se voyaient, car ceux-ci avaient encore plus renforcés leurs liens, et c’était magnifique à voir. Sauf, que Megumi n’avait plus rien…Son père, mort, sa mère…elle n’a plus de mère à ses yeux. Cette femme, grande blonde, à l’allure hautaine et déridé, n’est pas sa mère, non, c’est juste la mère de son frère…En parlant de son frère, il est revenu, mais rien n’est plus comme avant, car, elle n’avait pas su rester avec lui, pendant les bon moments…ceux où les obstacles renforces l’amour des uns et des autres…En faisant ce bilan vous vous rendez comptes qu’elle n’a plus de famille, et que voir Marya et Daiichi ainsi, lui apporte un sorte de malaise qu’elle ne montrera jamais. Enfin passons, elle devait profiter de l’instant présent, même si cela lui était dur, avec toutes ses choses, qui lui revenaient sans cesse à l’esprit, et qui lui bourrait le crâne. Elle sortit de ses vapes, puis, détachant son regard qui était jusqu’à maintenant, fixé sur Daiichi et sa sœur, jeta un coup d’œil rapide autour de la boutique. Elle s’était absentée mentalement si longtemps, pour elle, qu’elle ne savait plus trop où elle était. Elle souffla puisqu’elle réussit enfin à retrouver ses marques, et commença à parler, car son absence mentale, à du quand même un peu les intriguer ?
« Oùùùù [><] Je suis morte de fatigue. » *Baiille* « Pourtant on n’est même pas en fin d’après-midi. »
Non, non et non. Megumi n’avait pas vraiment sommeil, c’était un autre sentiment qui était caché sous ce petit bâillement insignifiant. C’était la faim ! Oui, Megumi avait faim, depuis qu’elle était entrée dans le magasin, mais comme je l’ai dit plusieurs posts au dessus, elle ne pouvait pas sortir. Elle pouvait se retenir, encore un peu, mais pas tomber en Hypo quand même ? Dès qu’elle en aurait fini avec le magasin elle irait manger un bon plat chaud, ou froid, enfin le premier truc qui lui tombe sous la main, avec Marya et Daiichi, si la grande sœur protectrice accepte... ; Enfin, Megumi ne lui demanderai pas son avis alors, la décision avait déjà été prise. Cela la fit sourire…non, pas Marya et Daiichi au restaurant, mais un bon plat de crevettes frites…Heureusement, qu’elle était bien élevée, car elle serait déjà en train de baver sur place, Eurk. Bon, elle allait vraiment se concentrer, et sortir de ses pensées, sinon, le silence allait régner en maitre, et elle allait vraiment commencer à ennuyer le petit Daiichi, tout sauf ça ! Quoique…Lui et sa sœur avaient vraiment l’air bien, comme ça, main dans la main…c’était mignon, il était si mignon avec son air attendrissant de petit bébé. Elle détacha son regard du garçon, sinon elle allait pleurer. Enfin, elle regardait la vendeuse, qui se la coulait douce, car, peu de monde lui demandait, son aide, car, enfaite, il n’y avait qu’eux dans la boutique…Tant mieux, comme ça, la surprise de Daiichi ne serait pas gâchée par les bruits de fond…Les fonds sonores, qui empêchent tout le temps d’entendre les paroles les plus importantes dans un discours par exemple…Bref, c’était le moment idéal, pour lui amener, la surprise. Refaisant le même signe que la dernière fois, elle repartit, voir, la grande blonde aux yeux verts, qui devait surement faire monter la clientèle masculine par sa beauté…Enfin, elle n’était pas là pour ça. En tirant la vendeuse par le bras, elle lui demanda, si sa guitare avait déjà été emballée…Certes, une guitare, ça se voyait même à l’emballage, mais bon, ça faisait ‘plus cadeau’ que si elle le lui donnait directement. Une fois après être descendu, dans la mini-cave du stock, elle lui donna, le petit instrument de musique, emballé, d’un papier cadeau verdâtre, et un nœud pré-fait noir. Elle se demandait bien, comment elle avait fait pour emballer une guitare, parce que Megumi n’aurait jamais put le faire, déjà, que pendant les fêtes de Noël, emballer un livre la dépasse…Bref, ensuite elles remontèrent aussi discrètement qu’elles étaient parties, et Megumi, arriva sur la pointe des pieds, derrière eux. Ils étaient vraiment mignons ensembles, surtout Daiichi. Erf, elle avait oublié le couvre-guitare…Elle lui donnera plus tard, en espérant qu’il aime son cadeau ! Elle surgit, tel un monstre sortant de l’ombre, mais en plus jolie, et cria.
« Boùùùùùùùh ! Je suis le monstre musicien ! »
Bon, Megumi était un peu excité, mais elle n’était pas fêlée. C’était marrant hein ? Dîtes que c’est marrant sinon elle va se vexer ! Bref, après, cette petite folie, elle s’assit en se grattant la tête comme pour montrer son signe de gêne, et tendit, le cadeau Daiichi, qui le prit. Bon, ça avait la former d’une guitare et alors ? Il savait déjà et alors ? Ce n’est pas grave, au moins, c’était le cadeau qui comptait ! Megumi se demandait vraiment si ça allait lui plaire... ; Elle c’était un peu cassé la tête pour lui offrir ça surtout que la bourse Megunienne était au plus bas ! Elle avait perdu 8,1 % aujourd’hui et son seule et unique actionnaire, la mère de son frère, n’avait pas fait de dons, depuis trois jours ! C’était un comble, alors, ce cadeau il venait vraiment du fond de son portemonnaie ! Ou aussi du fond du cœur, ça marche aussi. Bref, passons encore, et encore…Elle se rassit en face d’eux, puis, avant que Daiichi, ouvre le cadeau elle, prit sa main, et le regarda dans les yeux.
« Ceux cadeau, il vient de tous mon cœur…En plus des leçons sont offertes avec la meilleure guitariste du monde. Moi. Bon assez parlotée, je te laisse ouvrir le cadeau, tu dois en mourir d’envie…»
C’est, vrai elle quand on lui offrait un cadeau, elle sautillait toujours partout, alors elle comprendrait parfaitement si il le faisait, même si il ne bougeait pas autant qu’elle. Elle regarda Marya, puis lui fit un petit sourire, hypocrite certes, mais c’était un sourire, puis continua à regarder Daiichi, qui déchirait le papier avec engouement…Qu’allait être sa réaction ? Bonne, espérons, car Megumi serait vexé, si ça ne serait pas le cas…
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Yumemaru Daiichi
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Sam 4 Avr - 19:14 |
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[Meg > Tu pourrais passer dans le coin blabla pour me faire le petit topo sur tes ailes ? [le reflet de ton ame] s'il te plait ? Merci d'avance ^^- (à décider de repondre avec le bout de chou]
Une fois le papier dechirer, je fus ébahi, merveillé, tout simplement ; cet instrument resemblait à celui qu'avait utiliser Megumi pour sa petite ballade : une belle guitard, rien que pour mo, de la par d'un ange ...
Non, non, non ; pas question de parler d'ailes aujour'dui : tout va bien, j'ai de la musique plein les oreille et incrustée jusqu'a la meoile. Je suis heureux, tellemtn heureux ...
Alors pourquoi mon coeur pleure-t-il des larmes ?
-Sugoi ! Arigato Megumi-ne...
-Megumi-nani ?
Je tourne mon regard vers Marya : son regard hautin et détaché, son air d'être simplemnt là pour me tenir en musolière ... Je le sais, ce n'est que de l'inquiétude, de l'irritation, de la jalousie et du mepris pour le monde entier enfouie dans toute son histoire, dans tous ses sentiments perdu cette nuit là : C'était meiux ainsi, car lorsqu'il y avait trop d'émotion, c'était bien pire ...
-Are are : Megumi-nani ? [Allons, Megumi quoi ?]
Je la regardais avec mon regard de petit enfant perdu et soumis, mais elle savait très bien que ce n'était pas le cas ; je decelais dans son regard l'instinc de possession qui faisait rage contre mon comportement qu'elle avait reconu, le message que je n'avait pas besoin de lui transmettre ; lui tirer la langue aurrait ait le même effet. Je chantonait alors d'un air endormis qui ne cachait plus mon insolance ouverte envers elle, le defi que je lui lançais ; je n'avait pas besoin qu'on me preotège ; pas aujourd'hui :
-Megumi-san ... Ontoni arigato ...
Megumi ne pouvait pas comprendre ... C'était tellement illogique comme language ! Elle ferma les yeux et soupira. Elle se leva, nous tourna le dos. Même si j'était capable de lui faire ressentir mon désacord, elle sait que je ne pouvait pas la contredire, faire quelque choise qui la contrariait ; je le sait moi-même. Elle a tant d'emprise sur moi, elle mefait si peur quand elle a mal, je me sans si inutile quand je ne peux pas la protèger ...
Je deteste ce monde où elle deviens affaiblit, où elle ne peux plus se battre, où elle fatigue, où elle peut me laisser tomber d'une seconde à l'autre ... Alors la moindre des choses est de lui rendre là vie agréable ; je ne ferais pas ce qu'elle ne veut pas que je fasse ... Que ce soit pour nous deux ... ou pour ceux qui nous entourent ... Que ce soit pour des inconus, pour des personnes comme Mii-nee et Kaoru-nee ... Ou bien Megumi.
Je me lève, prend mon cadeau et le regarde. Je fait un immense sourire à la meilleur guitariste du monde :
-Tu m'aprends à jouer ? Et ...
Un gargouillement raisonne : on estomac fait des sienne. Je rougis :
- Itadakimasu ?
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Megumi Matsukaze
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Lun 6 Avr - 20:37 |
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Daiichi avait l’air si content…Megumi ressentait sa joie, au plus profond de son cœur, c’était comme si elle était lui…mais lui n’était pas elle, grâce a un grand obstacle Marya… Megumi voyait ces yeux…les yeux de Marya qui le stoppèrent net, quand il lui parlait. Elle avait coupé sa phrase ! Megumi-nee ? C’est ce qu’il voulait dire ?! Alors pourquoi ne l’a-t-il pas dit ? A cause de Marya qui l’a stoppé. Pouvait-elle mesurer l’intensité de ses mots…Bien sûr, c’était Marya sa vrai sœur, mais où était le mal d’éprouver des sentiments pour quelqu’un ? Aucun, il y en avait aucun, et Megumi l’avait compris, mais surement pas Marya. Elle voulait le lui dire, mais, comment ? Pas devant Daiichi , elle ne voulait pas montrer une personnalité qu’elle ne pouvait contrôler, face à ce petit être sans défense qui comptait tant pour elle, jamais…Elle le regardait, sourire, tout en ouvrant le cadeau. Il avait l’air si heureux. Marya ne lui avait jamais offert quelques choses ? Elle l’aimait certes, mais savait-elle les choses qui étaient le mieux pour lui ? En essayant de faire son bonheur, elle faisait son malheur, et sa Megumi allait le lui dire, plus tard. Elle l’oppresssait…comme si elle lui contrôlait le cerveau, tout d’un coup, l’aspect de la gentille petite famille, sans defaults qui s’entend à merveille à tout de suite été faussé par ce comportement que Megumi a encore du mal à avaler. Quand il lui dit merci, elle resta là, sans rien, dire, en fusillant Marya du regard. Elle se contenta d’un sourire contrit, par les évènements, tout en regarda Marya d’un regard très hautain…très. Daiichi, semblait être emprisonné, dans cette spiral infernal, protéger…blesser…souffrance, étaient les mots de leurs quotidiens, il lui semblait…Son cœur était comme déchiré, même si elle ne portait aucunement la douleur. C’était comme ça, Megumi portait les émotions des autres…elle était vraiment dégouté. Vraiment. C’est vrai qu’elle avait tendance à exagérer, mais elle le pensait vraiment ; et à chaque seconde, qui passait, à chaque regard qu’ils se faisaient, et à chaque peur, ou expressions de Daiichi, la pseudo-haine que Megumi éprouvait envers Marya s’accroissait.
*La peur, le pauvre…Mais que peut-il ressentir en ce moment ? Je voudrais tellement l’aider…tellement ! Mais comment ? Il faudrait que je touche quelques mots à Marya, et maintenant, ça ne peut pas continuer comme ça. Il faudrait que je trouve un moment, sans Daiici, mais quand ? Plus tard…plustard.*
Elle réfléchissait trop, et finissait pas oublier l’instant présent. Daiichi, son cadeau, la boutique et tout le reste. Elle se ressaisit vite, avant de sombrer, dans l’immense monde qu’est son esprit, puis, regarda Daiichi, qui avait complètement enlevé le papier. Il avait vraiment l’air, d’aimer, même si un sourire, ne serait pas vraiment demandé. Il avait même retenu son invitation de lui apprendre à jouer…Quel plaisir ! Sa haine se dissipa un peu et fut pendant quelques secondes remplacée, par la joie, qui abondait, par les paroles de Daiichi. Et quoi ? Elle n’y avait même pas réfléchit. Pour elle, elle devait lui apprendre à jouer, et c’est tout, mais le petit, posait une bonne question…et quoi ? Elle se mit à réfléchir. Eh bien, tout d’abord, ils allaient se voir plus souvent, et il fallait aussi, qu’elle fixe les horaires, et les jours. Alors, alors, vu qu’elle avait énormément de devoirs, et qu’elle voulait aussi, qu’il avance vite, il y aurait au moins deux à trois cours par semaine, que Marya le veuille ou non. Elle se gratta un peu la tête, puis mis ses cheveux en arrière, en les secouant un peu. C’est comme ça qu’elle faisait quand elle réfléchissait un peu, même pour des choses sans importance. Bon concentrations, elle n’avait plus rien à fixer. Mais elle ne voulait pas parler, car elle sentait que l’atmosphère était pesante, et ne voulait pas encore l’alourdir, plus qu’elle ne l’était. Mais si elle ne le disait pas maintenant, quand le dirai-t-elle ? Maintenant, elle n’avait pas le choix, même si le moment n’était pas vraiment choisis, vraiment pas…
« Et…euh, on devrait fixer les horaires…Puisque, ça serait bien, que tu avances bien, je pensais à deux ou trois cours pas semaine…plutôt le soir, ça serai pas mal, tu en dis quoi ? »
Elle finit à peine, sa phrase, qu’elle regarda Marya, d’un air « Ramène tes fesses à l’arrière du magasin, je dois te parler ». Elle inventa une excuse, puis se leva…Même pas quelques minutes après, Marya, la suivit, et elles se retrouvèrent toutes les deux, à l’arrière de la boutique. Elle avait beaucoup de choses à lui dire, mais ne dirai, que le quart de celle-là. Ce n’était pas la dernière fois qu’elle la verrait, et elle aurait surement l’occasion, de lui dire encore beaucoup de choses, et elle ne mâchera pas ses mots. Bref, retournons à l’instant présent, et occupons-nous de Marya. Elle allait commencer, et ne lui donnerait pas l’autorisation, de parler, tant qu’elle n’aurait pas fini.
« Premièrement, tu n’auras pas le droit de parler tant que je n’aurai pas fini c’est clair ? »
Ah…Elle bouillait, à l’intérieur, ça bouillait, elle ne pouvait pas s’en empêcher. Bref, elle avait tellement de choses à lui dire, mais dirait si peu, qu’elle s’en voulait même se réserver. Elle se contentera d’une seule un unique phrase, qui malgré sa petitesse, mériterait une grande réponse si Marya était honnête avec elle, même. Elle l’espérait, car comme cela le dialogue serait plus facile. Elle tint sa main gauche avec sa main droite, car elle avait une telle envie de la gifler... ; Mais Megumi est civilisée, et elle ne la giflera pas comme cela, juste pour un grand désaccord entre elle, mais si d’autres évènements, plus grave arriveraient, elle n’hésiterait pas. Un silence régnait…on pouvait croire, que finalement Megumi ne voulait pas parler, mais c’était le contraire. Elle cherchait juste comment aborder le sujet. Une introduction ? Maybe…
« Marya, tu sais que je ne t’apprécie, pas énormément, et chaque minutes que je passe avec toi, ne fait qu’empirer ce sentiment…je suis direct. Mais tu sais que j’aime Daiichi, mais toi aussi je n’en doute pas, par contre…Tu… »
Elle ne finit pas sa phrase, de peur de parler trop. Elle laissa sa main, pour ne pas faire de bêtise, elle pouvait se contrôler. Elle regarda Marya dans les yeux, avec un regard assez strange. Hautaine ? Non. Il n’y avait ni haine, en fait il n’y avait aucun sentiment dans son regard. C’était un regard amer avide d’émotion, qui n’attendait que d’être nourrit, par un sentiment mais le quel ? le seule qui pourrait la combler est l’indifférence, mais cela vous le saurez après. Elle continua à la regarder, avant de continuer sa phrase qu’elle avait interrompue.
« Tu aimes Daiichi n’est-ce pas ? Plus que moi sans doute…mais pourquoi lui fais-tu tant de mal ? Est-ce fait exprès ? Qu’avez-vous vécu dans le passé, pour que vos liens soit si étrange à dénouer ? Je veux savoir à tout pris… »
Une question ? Non, plus, mais elle n’avait pas le choix. Elle voulait tous savoir, et elle ne lui cacha pas cela. L’angoisse reprenait, et l’envie de, de li faire du mal reprenait de plus belle. Le simple faîte d’imaginer, leurs expériences passés, et de les voir, aussi bien, que en mal, lui rongeait le cœur…Le visage de Marya lui rongeait le cœur, elle n’avait ressentit, une telle sensation. Folie ? Non…C’était le faîte de haïr Marya qui lui faisait du mal. Elle était la sœur, la personne la plus proche malgré elle, d’une personne qu’elle adorait et, haïr Marya signifiait, qu’elle se préoccuper, d’elle, qu’elle se souciait, d’elle, car le contraire de l’amour, n’était pas la haine, non, c’est l’indifférence, et Megumi ne pouvait rester indifférente face à cette fille, c’est ce qui lui faisait le plus de mal. La pièce n’était pas vide malheureusement…Le pouvoir de Megumi dépendait de ses émotions, et c’était cela le problème. Elle était troublé, et ne savait pas quoi, faire, plusieurs émotions se battaient en son cœur, même si cela ne se manifestaient pas dans son regard, et son pouvoir était à ce moment précis, encore incontrôlable, même par elle…
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Akatsuki Marya
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Jeu 9 Avr - 21:50 |
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« Tu aimes Daiichi n’est-ce pas ? Plus que moi sans doute…mais pourquoi lui fais-tu tant de mal ? Est-ce fait exprès ? Qu’avez-vous vécu dans le passé, pour que vos liens soit si étrange à dénouer ? Je veux savoir à tout pris…
-A tout prix ? »
Silence de quelque seconde.
-Vraiment à touit prix ? Connêtre l'histoire ?
Il semblait ...
-Je t'ai demander ce pari parce que tu dois comprendre un truc ; il y des choses qui font peur dans ce monde ; temps que tu ne le vis pas, tu n'y fait pas attention. Si effectivement il y beaucoup de mond equi te connait, des gens que tu ne connêtra pas, il y en a qui ne seront pas tout à fait normaux et qui pourrons te causer des problèmes, ok ? Tout ce que je fait, c'est m'assurer que le jour où Lui te ferra te demander si il est normal que tu tombe pas du ciel.
Ton neutre, mais dur, fort. Elle non plus n'avait plus d'émotion dans les yeux.
-Ce gamin est capable de parler de choses assez déroutante comme si il parlait de bonbons. Si un jours tu te rends compte qu'il n'est pas tout a fait dans le même monde que toi, il y des chances, des petites chance que tu ne soit pas assez forte pour ne pas le montrer ; le jour où ça va lui tomber dessus, il va recommancer à se tourmenter pour des choses innutiles genre "Les humains sont foutrement differants de moi".
Sa voix était devenue plus violente, plus énervée, mais elle ne cillait pas. Elle ne regardait pas Megumi, elle regardait sur les côtés les intsument qui raisonnaient comme si on les agitait 100 fois par fraction de seconde, invisible pour les yeux, inaudible pour les oreille d'un être humain normal ; Marya n'était bien sûr pas normal en ce qui concernait son ouïe.
-Que tu t'attache à lui, bien, mais c'est comme on a entendu ; tu ne t'imisce pas. S'il s'accroche à quelqu'un qui n'est pas capable de le suporter, c'est pas la peine qu'il retombe.
Un bond dans le coeur, Marya met sa main devant sa bouche.
-Daiichi et moi ... Avons des liens que je regrette ... Je suis devenue trop faible pour ... l'en sortir toute seule ...
La voix s'adoucie. Un battement. Un coup de poignard en plene poitrine. Un peu de sang qui perle sur ses doigts blancs.
-Je n'est pas besoin qu'un personne encore plus faible prènne le relais ... Ce gamin doit vivre ...
Marya se retourne dos à Megumi, arrache le haut de sa chemise, constate que ça empire. Quelques goutes tombent au sol.
-Megumi, aujourd'hui, passe autant de temps que tu veux avec lui. Je sais que tu n'est pas quelqu'un de mauvais, je peux te faire confiance ; mais à partir de demain, je m'arrangerai pour qu'il ne te parle plus. Tu ne le verr apas très frécament, pas beaucoup de temps ; tu pourra le voir pendant que tu lui enseignera la guittard si ça te fait plaisir, mais je te laisserait pas de temps en dehors de cela temps que tu n'aura pas gagner le jeu.
Elle toussotte, encore du sang qui s'éclate sur le sol gris et poussièreux.
-Je pense qu'il a faim ; emène-le manger. Je vais rester ici.
Le bruit inssecent s'amenuisait, Marya regarda Megumi dans les yeux.
-S'il te dit des trucs étrange à propos d'aiels et d'ange ou bien s'il te reconte des chose qui concerne du sang, taloche-lui la tête.
Je te fait confiance, mais j'ai tellemnt peur ... Vous venez tous, mais ne lui faites pas de mal ; ne vous lier pas avec lui pour partir brutalement ; tu ne saura rien, c'est ainsi, mais je veux qu'il vive ; sinon, à quoi bon ?
Elle sortit, se dirigea vers la salle de bain en trifouillant les cheveux de Daiichi au passage, ne faisant pas attention au regard vaison qui tentai d'accrocher le sien. Elle s'enferma, laissa Daiichi entre les main de Magumi et laissa la douelur et la soufrance reprendre leur droit sur elle.
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Megumi Matsukaze
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Mar 14 Avr - 19:00 |
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Elle parlait beaucoup…Et Megumi ne comprenait pas ce qu’elle disait…enfin, si elle comprenait, mais ne voulait pas comprendre. Elle s’efforçait de faire comme si elle ne disait rien, faisant de ses paroles, un brouhaha se réunissant à celui du magasin. L’humeur, la voix…tout de Marya avait changé. N’étaient-ils donc pas frère et sœur ? Elle ne comprenait, pas. Faible ? Pourquoi était-elle faible ? Et que signifiais ce mot pour elle, car elle l’employait tant. Megumi était un peu dérouté…Marya semblait être la victime dans cette histoire, mais Megumi ne voulait pas se l’admettre, car c’était elle, qui empêchait tous contacts…Elle était trop possessive, et même si le petit Daiichi pouvait avoir l’air étrange, ce n’est pas pour cela qu’elle n’aurait pas le droit d’entrer dans son monde…Avec ou sans ce pari, elle réussira à entrer dans son monde, avec ou sans l’accord de Marya, elle fera tout ce qu’il faut…tout. Des choses qui font peur, on peut dire qu’elle n’en a pas vraiment connu, mais sa vie n’a pas été rose non plus. Ceux qui ont eu un passé douloureux, banalise la violence envers les autres, la souffrance des autres et c’est ce que Marya faisait… Du monde ? Elle en connaissait, à cause du nombre d’années emprisonnée ici, mais ne parlaient vraiment qu’à peut de personnes. Il fallait être populaire pour entrer dans le cercle de Daiichi ? Elle ne comprenait pas, elle n’avait pas envie de comprendre. Megumi connaissait la valeur du danger, et de l’hypocrisie de ce monde, Marya n’avait pas besoin de lui apprendre…Elle le protège…le protège mais se méprend. Megumi le savait. Marya le faisait-elle exprès ? Megumi lui avait répété des tonnes, et des tonnes de fois, qu’elle ne l’abandonnera pas, combien de fois allait-elle devoir le répété ? Enormément à ce qui paraissait. Attendez une minute ?! Pourquoi haussait-elle la voix ? S’énervait-elle contre Megumi ? La jeune fille la respectait, malgré leur mauvaise entente alors, l’autre devait faire de même. Là, elle n’avait pas vraiment apprécié. La violence ne résous rien, même dissimulé dans un timbre de voix.
« Calme-toi. »
Un ton neutre, sans émotion. Elle ne lui dit pas cela pour son bien, ni pour la provoquer. Elle lui dit ça comme ça, pour qu’elle évite de mettre sa pseudo-colère sur elle. Des liens ? Elle regrette donc d’être sa sœur. Là, Megumi cessa de comprendre. Marya était trop ambiguë pour elle. Mais, aux premiers abords, Marya regrette d’être la sœur de Daiichi…Megumi ne va pas lui en vouloir, car elle-même à les même problèmes avec sa famille. Son ancienne famille. Mais le problème c’est que Marya, ce sent au-dessus de la race humaine… Qui est-elle ? Megumi résonne scientifiquement, et pense que tout cela ce passe dans sa tête. Qui gamin n’a jamais rêvé d’être un vampire ? Un super héros ? C’est la même chose pour Marya, sauf, qu’elle est à un degré, plus grand encore. Tous, ce passe dans sa tête. Un petit silence s’installa…Puis Bam ! Comme un choc dans l’esprit de Megumi. Etait-elle sérieuse ? Elle ne voulait pas, non, c’était impossible…Elle ne pouvait pas lui interdire de voir Daiichi ! Les cours de Musique, ça ne serait pas assez de temps…Marya, était sur ce coup-ci, cruelle. Megumi gardait son calme, même si c’était dur…très dur. Elle ne pouvait voir que Daiichi grâce à ce jeu ? Han…C’était trop dur pour elle, au dessus de ses moyens, et elle était sur que Marya le savait. Elle reprit son souffle. Elle regarda au sol, puis vit quelques taches de sang. La méchanceté à toujours un prix ? Marya était malade psychologiquement, et elle le savait. Soupire…
« Marya…tu es cruelle, tu le sais ça au moins ? Ce jeu, que je le gagne ou non, ne t’inquiètes pas, Daiichi je le reverrai, tu ne m’en empêcheras pas…même si ça doit aboutir à tu sais quoi. Bon, de plus, tu n’es rien pour moi, et je ne suis rien pour moi, alors je pense qu’à part Daiichi, nous n’avons rien en commun, alors à l’avenir, je te demanderai, de ne plus m’adresser la parole, jusqu’à ce que j’arrive à te pardonner, de tes paroles, que j’ai du mal à digérer. . »
Megumi toujours aussi sensible…Une larme coula sur ses joues. Elle était mal dans son cœur ; mal…à cause de Marya.Elle aurait tant aimé être forte, pour pouvoir braver tous les obstacles de la vie, comme ceux d’aujourd’hui, mais il a fallu, qu’elle soit comme cela…Marya à raison, Megumi est faible, elle le savait, mais maintenant, elle vient de l’accepté. Elle a toujours essayé d’être quelqu’un de fort, mais on ne change pas sa nature. Quelques parts, elle n’aimait pas Marya, car quand elle la regardait, elle voyait le reflet de son visage faible…Respiration…Son cœur palpitait de plus en plus vite. Elle essuya sa larme, puis respira, plus lentement. Revient à la situation…Elle ne voulait pas venir manger ? Tant pis…Megumi ne la forcerait pas à faire ce qu’elle n’a pas envie. De plus comme ça, elle pourra profiter amplement de ses moments avec Daiichi. Oui, plus tard elle ne cherchera pas à le voir, mais après, quand elle se trouvera apte à le voir, elle ira, voir Marya, et lui dire ses quatre vérités en face. L’ambiance s’apaisa, calmement…et c’était comme si un gros nuage de vapeur, s’était évaporé entièrement de la pièce : il faisait chaud. Elle réajusta sa mèche, puis, avec une voix douce, elle dit.
« Quelle est son plat préféré ? »
Elle avait dit d’une voix douce, car, elle ne voulait pas s’nerver, et devait se calmer. Ce n’est pas son tempérament d’être agressive comme cela. Elle roula les yeux, et ne regardait plus Marya. Elle faisait comme si ses taches de sang n’étaient pas apparentes. Elle s’assit, au sol, puis regarda celles qui étaient déjà au sol. Elle regarda attentivement, puis en toucha une par le doigt. Elle n’avait pas peur du sang, pas peur de celui des autres, juste du sien…Elle leva, les yeux, puis regarda Marya, et leva sn doigt, en lui montrant la tache de sang bien en vu, devant ses yeux.
« C’est un signe…Change. »
Des ailes, des anges ? Elle fera attention, même si ça lui semble un peu bizarre cette histoire. En fait, elle ne lui talochera pas la tête, comme lui conseille Marya, mais l’écoutera. Cela pourrait peut-être plus l’avancer. Elle se contenta d’hocher la tête, pour lui confirmer, et qu’elle ne commence pas à s’inquiéter, et à dire à Daiichi de se taire. Elle se le va enfin, puis, repartit, comme elle était venu, mais il lui manquait quelqu’un Marya…En partant, elle lui jeta un regard, en lui disant de repenser, à sa dernière phrase…Elle devait se remettre en question. Une fois arrivé à côté de Daiichi qui devait s’ennuyer seul, elle lui fit, une petite surprise en faisant un bond, et arriva sur le côté. Elle se mit accroupit, devant lui, puis d’une voix douce elle lui dit.
« Alors, tu viens manger avec moi ? On va passer une après-midi toi et moi à s’amuser…Marya m’a dit qu’elle ne pouvait pas venir, mais qu’elle aurait aimé…Ca te dérange d’y aller sans elle ? »
Elle espérait, qu’il allait dire non…Elle s’assit à côté de lui, en attendant sa réponse. Elle imaginait déjà l’après-midi amusante, qu’il passerait ensemble. Ce qui était sur, c’est qu’elle ne lui dirait pas que c’était la dernière, et avec un peu de chance, elle arriverait à le voir, en primaire, pendant les classes, il lui arrivait, d’y passer quelques fois le Mercredi après-midi…en espérant que Marya ne le suive pas partout, sinon, elle n’avait aucun chance de le voir.
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Akatsuki Marya
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Mar 14 Avr - 21:00 |
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« Quelle est son plat préféré ? »
"... Sushi to ... Ice cream ..."
Megumi qui seche ses larmes .... Megumi qui lui dit ...
« C’est un signe…Change. »
Pourquoi je devrai changer imbecile ?
Marya crahc encore, les souvenir défilent, défilent ... Elle entends vagement Megumi et Daiichi discuter, puis la porte s'ouvrir, se refermer. Une nouvelle vague de douleur arive, lui faisant une nouvelle fois cracher ses tripes. Il y a parfois des morceau de plaque de sang coagulée, surment ceux de son coeur qui peinait ç se réparer tout seul. La fille du gérant arrive, s'alarme encore une fois.
-J'espère que vous n'avez rien contre un coup de peinture ; c'est joli la couleur vous savez.
-Ce n'est pas le moment de me sortir votre humour noir, ce n'est pas a moi de tester de votre répartie.
-Vous m'en voyez navrée.
Une nouvelle fois elle l'aide à évacuer le mal qui ne cessait polus de renêtre. Puis, après quelque minutes, Marya relve la tête vers le miroir.
-Masui.
-Nani ?
-Wasuleteta ... Tsubasa ...
[Mal[mince] /Qu'y a-t-il ?/ J'ai oublié les ailes]
Marya se releve un peu, se repenche immediatmeent pour cracher encore un epu de rouge.
-J'ai oublier de lui demander ... Comment était ses ailes ...
-Le Don de Daiichi ?
-Oui.
-Je suis sûre que c'est quelqu'un de bien.
-J'espère pour elle.
-Je ne l'envie pas, vous devez avoir envie de la tuer maintenant.
-Comment avez-vous deviner ?
-Vous venez asssez souvant ici pour que je commence à comprendre que vous êtes très possesive envers ce garçon.
-Pas qu'avec lui, c'est plus général.
-Avez vous autres chose pour laquel vous vous en voudriez de laisser partir avec un inconu ?
-Non. On me l'a pris. Je n'ai plus rien à part lui.
Marya se releve enfin et fait le menage dans l'évier. Elle se penche vers la jeune fille pour la remercier, sort.
-Osan ? [M.]
-Hai ? [Oui ?]
-Ore ... Atashi kaerimasu. Otsukare sama. [je{ore=homme, Atashi/watashi=femme} rentre. {salutation et au revoir apres le travail}]
-Yosh, matane ! [Bien, à plus tard]
La fille l'attrape par la manche, lui tend un masque.
-Domo. Vous n'auriez pas des anestésiant par hazar ?
-Tenez.
Ellle lui donne une ordonance sur laquelle on peu lire "MORPHINE".
-Vous savez comment on fait ?
-Oui. C'est pa sla première fois que j'utiliserai une aiguille.
Elle s'éloigne, s'abaisse, Marya répond de la tête et marche vers l'exterieur en mettant le masque. Une fois au dortoir, elle dormirai longtemps. Mais avant, direction pharamacie ...
Dokana ... Daiichi ... Haitsu no Tsubasa wa ... Kirei ?
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Yumemaru Daiichi
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Localisation : trop loin de toi pour que tu puissent me toucher ...
Emploi/loisirs : Daiichi joue du violon, du piano et depuis peu de la guitare ... Mais il y a aussi être un aimant à fille ![bha oui, le Cute-Kawai, ça aide]
Humeur : ♫^w^♪ Vas-tu le suporter longtemps en mode "Dynamique" ?
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Don: Voir le reflet de l'âme (sous forme d'ailes) Et interagir sur le cops en s'en servant.
Chambre: 1(G) RDC
Côté coeur <3: Marya, Mii, Kaoru, Megumi, Helena, Michiko ♥/sbaf // Aïeuh >w
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] Mar 14 Avr - 21:20 |
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Megumi arrive en lui lancant un "Bou" menacant. Je sursaute et éclate de rire.
«-Megumi-san !
-Alors, tu viens manger avec moi ? On va passer une après-midi toi et moi à s’amuser…Marya m’a dit qu’elle ne pouvait pas venir, mais qu’elle aurait aimé…Ca te dérange d’y aller sans elle ?
-C'est bon, Marya à besoin qu'on la laisse ! Où est-ce qu'on mange ? »
Vite, ils partent tout deux dehors. Le temps est plutôt clair, plutôt bon ... Daiichi respire à plein poumon l'air légerement humide, sa guitare sur le dos. Il fait un peu le fier, mais sourit tellement qu'il à plus l'air d'être un imbecile heureux qu'autre chose. Il arrive à un restaurant s'assoient, commandent. Enfin, Daiichi laisse faire Megumi plutôt.
Daiichi sourit, sourit ... Car il est heureux. Marya le laisse aller un peu, et il est avec Meguli. Megumi ? Pour lui, elle faisait déjà partie de la famille. Il la connaissait déjà après tout.
-Ne, ne ! Megumi-san ? Tu aime manger ? C'est ce que tu préfaire le plus manger ?
Une discution animée s'en suit. Les sujets derrivent. Mais il en viens un point où l'enfant a la langue bien pendante.
-Megumi est forcement une personne bien ; c'est étonant même, ce sont les plus belles que j'ai vui jusque mainteant.
L'incompréhanssion se fait vite.
-Je parle de ton âme, enfin ce que je peux en voir ; j'en vois le reflet ; Tu a des ailes magnifique, avec de très jolies couleurs ! C'est étrange qu'elles ne soit pas abimées par la brume ...
Daiichi prend le declique, se déconecte de la réalitée.
-Tu sais, elle sont bleu, très bleu, on dirait ... qu'il y a des paillettes *voilà un enfant qui a du mal à décrir ce qu'il voit* Un melange entre des ailes d'ange et celle d'une fée !
Angel and Faries, Tenshuu to Yoosei ...
-Mais elles ont l'air fragiles ... elles s'éfrittent facilelement ... Comme les ailes d'un papillon ...
Il parlait avec un grand sourir en regardant derière l'épaule de Megumi, ces ailes trop belles pour être réelle.
Yasashi ...
[Gentil/faible]
suite ici
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| Sujet: Re: Comme un bleu au coeur. [clos] |
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