[Suite de : Et lorcque ça fait trop de temps-Terminé] You said "Never too late"

Lire avant : Et lorsque ça fait trop de temps ...

Je les entendait dire. Je les entendait dire. J'était assise, j'vait un truc sur la bouche. J'ouvrait les yeux, mais sje ne voulait pas voir. J'était en train de bouger. J'était sur un brancard et ils me trainait jusqu' à un lit ; je reconnaisait l'infirmerie. Peut-être un hôpital.

Marya releva la tête et hurla, deversant une rivière de sang sur tout ce qui était à côté. elle était dans une chemise blanche : Etait, avait été. Comme la salle de bain.

Arrachant l'inutile appareil, les larmes lui coulant, elle tenta de se relever, on la retint en place. Elle jurait, mais à chaque parole se deversait un flot de sang.

-Mlle. Akatsuki, vous m'entendez ? demanda un homme qui semblait être un medecin.
-Evidement que je vous entends-- Haa !
-Retenez-la ! Ecoutez-moi : Vous êtes touchée au coeur, mais nous ne savons pas ce qu'il vous arrive et ...
-Moi je le sais ! Sang. Il y a une breche c'est tout laissez-moi ! Lachez-moi ! Continu de vomir.
-Mais ... ! Grands yeux, puis il essaye de se calmer. Nous allons devoir vous operez, surmement remplacer le coeur ...

Une main rapide atteint le medecin au cou, puis attrapa sa cravate et forca le chirugien à se raprocher du visage ensanglanté du fantôme. Elle parlait, pendent que coulait de sa bouche du sang, pendant qu'elle toussait et crachait, sur un ton dur et autoritère :

-Si vous me remplacez ce coeur, je ne pourrait plus utilisez mon don.
-Vous preferez perdre un peu de vos capacité où mourir ?
-Si je ne suis plus capable d'utiliser mon don, ils vont me renvoyer et il se retrouvara seul !Le sang coule.Alors rettapez-moi ce coeur mais gardez-le vous m'entendez ? Crache.[b] Ne changez pas ... Ce coeur ... ![/b]

Elle fut couper pas une vague de sang qui fut suivit d'un cri. Le monde redevint floue, les sons diffus et puissant, étourdissant.

Et puis plus rien. Ah si ; De la douleur.

J'ai crié, j'ai crié ... Ma gorge m'en fait mal ... Ils ont esayer de me retenir. J'ai crié et j'ai courru. J'ai crier son nom à m'en casser la voix et je les ai suivit. J'ai courru, je suis tombé, et j'ai continuer de courir. Cette scene m'a rapeller cette nuit où ils étaient tous en sang. A terre. Non je ne voulais ! Je ne veux pas ! Ils peuvent tous mourir, ils peuvent tous soufrir mais pas elle ! Pas Elle ! Même si ça fait longtemps que j'ai compris, mêmem si je sais que ça fait trop longtemps, non ! Non je ne veux pas ! Elle ne peux pas partir mainytenent ! Pas maintenant ! Je vous en suplit, même si elle ne souhaite que ça, moi je ne veux pas !

Je vais devenir plus fort ! Je vais devenir plus fort alors je t'en prie, je t'en prie Marya pas maintenant !

Ils n'est pas Trop Tard !

Daiichi se trouve dans le batiment, pousse les gens qui sont devant lui. Courir ; courir. Il ne faut pas s'arrêter.

Marya !

Trébucher, se relever, courir. Elle est là, juste devant. Marya. Peut-être morte.

MARYA !

Un couloir, une porte. Une porte au dessus de laquelle il y a marquer sur une lumière alumée "opération en cours".

Pousser la porte. Il y a des gens. Et Marya, sur une table, les visage et les vêtements ensanglantés.

Est-ce que je crie encore ? je crois que oui. Je crois que je n'ai plus de voix et plus d'oreilles ; les gens porte des bouchons aux oreilles : surment que Marya emet un son strident. Comme cette nuit là. Sauf que moi je n'entends rien. Je ne sents plus rien. Je ne m'entends même plus, je ne me sents plus moi-même.

MARYA !

Des hommes commance à s'approcher du gamin introduit dans la pièce. Il faut le faire sortir. Mais l'enfant, en larme, refusait de bouger. Ils le prrent par les bras, ils se debbatit et les attrapa dans le vide, derrière eux. ils se mirent à vomir.

J'ai tiré sur leurs ailes, et si j'avait été assez grand, je pense que j'airrait pu les leur déboiter. J'avaicait vers elle, on me retenait toujours. Et j'empoignait toujour leurs ailes, et ils s'écroulaient toujours. Jusqu'a ce que j'arrive jusqu'elle. J'ai pluerer, j'ai crier. Comme un enfant.

Suis-je si faible que je ne peux plus rien être sans toi ?

Tu es mon port, celle à laquelle je me suis rattacher depuis ce jour. Sans toi je suis seul, sans toi je ne suis rien. Ne t'en vas pas, même si tu n'aspire qu'a mourir. J'ai décider d'être égoïste jusqu'a ce que je sois fort ; je te protègerai comme tu m'as protèger. Et je t'aimerai toujours. Chaque jours sera plus beau que le précédant, parce que malgré que je soit fort, je ne serai pas fort pour que tu parte, mais pour que tu reste ; pour que tu vives : Et nous serrons en vie et heureux : Plus jamais tu n'aura ce regard triste, plus jamais tu n'aura envie de mourir : parce que la vie avec moi, et tant d'autre peut-être serra trop belle ; tu vudra vivre avec moi pour l'éternitée.

Alors peu importe que les autres soufre, que les autres meurent commme il en était ce soir là, Tu es la seule personne pour qui je ne veux pas de ce sort : Tant pis si d'autre personne vienne dans ma vie, ils ne prendront pas ta place ; A choisir, je préfairerait qu'ils disparaissent si cela peu te fairte rester.

Alors vit, Marya, ne meurent pas maintenant ! Il n'est pas trop tard ! Dis le moi : Il n'est pas trop tard pour vivre ! Il n'est pas trop tard pour que tu soit heureuse ! Nous avons un avenir !

Il n'est pas trop tard !

Il était accroché a elle. dans un bruit de dechirement organique, quelque chose lui sortit du dos : des ailes blanches, entièrement blanches. Immaculée, brillante presque, elle était immanse. Ces ailes recouvrir les deux enfants et les enfermèrent. Personne n'osa aprocher. Tout ceux qui les regardait trop longtemps se trouvait dans un état migraineux insoutenable. Quelque minute plus tard, les ailes disparurent, s'enfouissant dans la chair du petit garçon. Il était accroché et il était endormi. Il la serrait si fort que personne ne réussit à l'enlever de là. La jeune fille ne crachait plus autant, et dans un moment qu'elle s'éveilla, elle mit ses bras autours de lui et s'endormit de nouveau.

Daiichi ... Daiichi ...

Comme lui elle pleurait, comme lui et n'arivait pas à bouger. Quand il se reveilla, il ne pu se retirer d'elle. Les emloyers finir par l'extirper de ses bras et le firent sortir. Il commançairent l'opération après près de 3 heures de retard.

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Daiichi était allonger dans uensalle d'attente et continuait de pluerer, mais en silence. Il s'enferma dans un mutisme dont personne ne pu le tirer parmis les infimières. Il ne parlait plus. Ne regardait pas les gens.

Une silouette féminine s'approcha alors ... Une silouette qu'il connaissait bien.

Il ne dit mot. Il se leva juste et se mit dans ses pattes, continuant de pleurer. Une grande soeur n'en remplacerai jamais une autre. Mais il lui fallait quelqu'un.

-"Marya wa ... Marya ..." finit-il par dire.

Il enfouit sont vidage dans le corps de la jeuen fille.

-Koaï ... [J'ai peur]

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[Koaru ou Mii, ou même les deux si vous voulez ^^]

Mii se baladait, comme ça. Elle se balade tout le temps, ce dit ... Cette fois, ce n'était ni le même genre de lieu habituel, ni pour les mêmes raisons. Elle s'était fait mal ... Et pas qu'un peu ! Mais elle s'était dit qu'elle pouvait attende ... Au bout d'une heure, mister sang avait répandu le plancher de sa chambre ( hyperbole ... ), elle avait donc décidé d'aller quand même arrêté tout ça. Elle s'était bêtement planté un mini tournevis dans la main gauche ... C'est idiot ! Et en plus, ça fait mal ... La rousse, comme énoncé plus tôt, avait attendu. Et là voilà en marche pour pansement city ...

Arrêtons là les hyperbole et allégement en tout genre. Car ce qui se passe actuellement n'est pas vraiment rose ... Mii avait eu son bandage blanc qui recouvrait toute sa main ( mine de rien, c'est pas si petit, un tournevis ... ), et elle était ni satisfaite, ni mécontente. Elle n'était rien. La rousse entendit du bruit, trop à son goût. Soudainement curieuse, elle s'était un peu approché, juste pour entendre les voix. Des voix qui ne lui plut pas du tout ! Pas leurs possesseurs, mais ce qu'elles voulaient dire ... Elle attendit, et attendit longtemps. Mii tourna dans les couloirs, se trouvant une place pour patienter. Ce vacarme ... Il ne voulait rien dire de bon ! Mais alors, rien du tout ... Triste au fond d'elle, elle n'osait réagir.

Le temps passa, et quand plus aucun bruit de peur s'éleva, l'enfant chercha la voix d'enfant triste qu'elle avait entendu pleurer. Elle n'avait pas vu qu'il s'était, mais elle savait qu'elle connaissait cette personne ... Elle finit par la trouver dans la salle d'attente. Un petit Daiichi pleurait, seul, allongé et silencieux. Mii se dit que ce visage ne lui allait pas. Elle posa une hypothèse sur tout ça, entre ce qu'elle avait entendu dans son attente, et de ce qu'elle avait entendu pendant le rand vacarme.

Le garçon la vu, se leva et la prit dans ces bras d'enfant. Mii ne put réagir en premier temps. La petite voix du garçon atteint ces oreilles dans un murmure noyé aux milieux des larmes ... La rousse prit enfin Daiichi dans ces bras. S'il continuait à pleurer, il risquait fort de la forcer, involontairement, aussi à le faire. Mii n'avait presque jamais pleurer. Mais ce qui se passait là, maintenant, c'était loin d'être joyeux ...

- J'ai entendu ... Dit-elle simplement.

Elle s'écarta un peu du garçon pour voir son visage noya dans les larmes. Elle passa sa main bandelé sur ses joues, tentant de les essuyer un minimum.

- Ne pleure pas, je suis là ... Je suis sure que tout ce passeras bien ...

Mii n'en était pas sur. Mais elle tentait de se convaincre, pour mieux convaincre l'enfant. Elle ne savait rien de la médecine, mais cela devait marcher un peu comme avec les robots, non ? Les larmes du garçon semblait pouvoir créer un océan ... Les mots que Mii disaient flottés, nombreux et libres, pour une fois. La rousse se frotta l'oeil. Et puis zut, se dit-elle. Une larme coula sur sa joue.

Daiichi pleurait, mais il ne faisait plus de bruit.

- Ne pleure pas, je suis là ... Je suis sure que tout ce passeras bien ...

Il fallait bien le croire ... Il fallait bien croire ... Sinon ... Autant pleurer pour toujours.

-Poku ... Tsuyomaru ... [Moi ... Devenir fort]

Il serra un peu plus fort le vêtement de Mii.

-Je vais ... Devenir tellement fort ... Qu'elle ne voudra plus jamais mourir.

Il étouffa un sanglot et baissa les yeux. Il tremblait légerement.

-Haitsu no ... Yume da ... Boku ... Ookii. [C'est son rêve ... Moi grand.]

Il regard un peu Mii.

-Elle le dit en dormant.

Il tenta de secher ses larme seul, mais en vain, elle coulait, coulait ...

-Je ne veux plus être un enfant. Je veux grandir très vite. Maintenant. Je veux grandir, je veux devenir fort ! Je vais ...

Il s'interompu et agit en enfant. Il se remit dans les bras de Mii.

-Mii-nee, Combien de temps je vais devoir attendre ? Pour être fort ...

Être fort ... Ne plus être un enfant ... Devenir grand ... Combien de temps ? Mii ne s'était jamais posé la question. Pour elle, la vie était tellement plus facile en tant qu'enfant ! Certes, il y avais des choses qu'elle ne pouvait faire, mais ... Quand elle regardais ces aînés, une envie forte de rester une simple gamine écervelée naissait dans son estomac ... Pour ne plus la lâcher. Mii s'était juré de vivre à son rythme. Un rythme peut-être plus rapide qu'elle ne l'avait imaginé, mais un rythme à elle quand même ...

Elle regarda Daiichi, de haut, l'enfant en pleure. Une seconde larme coula sur la joue de la rousse, qui n'osa l'essuyer. Elle coula lentement, puis bascula dans le vide, une fois passé le menton. Elle alla avec d'autres, déjà au sol. Mii laissa son regard vide observer la disparition de la goutte, puis répondis à Daiichi.

- Tu es un enfant, Daiichi ... Je suis une enfant aussi ... J'ai protéger mon papa ... En restant enfant, tu peux protéger Marya ... Avec ton sourire, et donc ...

Mii se tut un moment. Le long monologues n'étaient pas fait pour elle, loin de là ! Mais là, sa voix avait envie d'agir, et de stopper cette enfermement qu'elle subissait depuis si longtemps ... Les larmes aussi, mais une seule troisième sortait. Tout en fait.

- Souris ... Je pense que Marya s'accroche pour ton sourire, alors ... Ne pleure plus et souris ... J'ai sauvé papa comme ça.

Papa ... Que faisait-il en ce moment ? Mii pensa à cet homme qui avait pleuré de tristesse à son départ. Cet homme qui avait pleuré de joie à sa naissance. Cet homme qui lui avait dit que seul son sourire apporté pour lui. Cet homme qui aimait tant la silencieuse rousse. Papa, peut-être la personne la plus chère à ses yeux ... D'une certaine manière, Mii comprenait la douleur de Daiichi. Et les larmes qu'elle n'avait pu verser enfant, pour son père, se mirent alors à couler. Mii est devenu une fontaine municipale.

- Comme mon Papa, comme mon papa ... Rien ne sers d'être grand ... On est déjà fort ...

Sourir ... Pour le bonheure de ceux qui t'entourent ... C'est ... Le seul de tes pouvoirs ...

Daiichi se décolle de sa grande soeur, essuy machinalement des larme qui recoulent immediatement. Mais tant pis.

-"Poku wa ... Daiichi. Egao Egao." [Je suis le numero 1. Sourire/visage souriant]

Il prend Mii par la main et l'emmene s'assoir, les larme soulent, mais il sourit. Il sourit. Egao egao. Zutto egao.

Deux heures plus tard, Une infimière arrive.

-"Akatsuki Marya ... Son opperation est terminée. Elle ne peux pas bouger, mais elle est conciante ... Vous êtes permit de la voir quelque minutes ... fit-elle d'une voix hésitante. Vous ... Acompagnez ce peit ?" demanda-t-elle à Mii.

Daiichi emena Mii par la main à la chambre où les conduisait l'infimière, apparemment inquiete ou stressée. Daiichi voulu, rien qu'un instant, regarder les ailes de Mii, histoire de sonder ses sentiment, mais se heurta bientôt à un mur ; Il ne voyait pasles ailes, et était très fatiger. Surement dans quelques heures, il ne verrait plus que des formes vague ; il avait utiliser son don à mauivais étien.

La porte s'ouvit, sur Marya branchée et somnolante.

-"Marya ..." Ils se força à sourir, rien qu'un peu."Daijobu ; Mii-nee wa koko." [Ça va ; Mii est là]

Daiichi stoppa de pleurer. Les larmes coulaient encore, mais il se forçait. Pour Marya. Mii, comme lui, frotta ces joues, les yeux rouges. Que le monde garde cette image dans un coin de leurs têtes ... C'est unique. Et la primaire ne risque pas de recommencer ! Elle avait laissé échappé toute la peine qu'elle avait gardé en elle pendant des années ... Il y a un moment où on ne peux plus se retenir, tout part et envahi les autres ... Daiichi déjà en pleurs, ils avaient formés un duo de pleurnichards, l'espace d'un instant. Le garçon s'était calmé et malgré les quelques armes qui culait encore, attrapa Mii par la main et alla attendre. La rousse l'avait suivi en silence, refoulant ces larmes, tentant encore de cacher sa peine.

Ils attendirent donc un moment. Mii les joues roses, et Daiichi un sourire présent.

Deux heures plus tard, la jeune fille était sur le point de s'endormir. Elle n'avait pas prévu d'attendre, mais de rentrer pour finir un robot. Elle avait réfléchis à une nouvelle technique, pour pouvoir rendre une voix plus belle à Soru. Ayant entendu parler de 'vocaloids' ( je parle des logiciels ;p), elle avait passé les deux heures à trouver un moyen d'en trouver un modifiable ... Une infirmière vînt couper sa torturesque réflexion, en leur annonçant qu'ils pouvaient voir Marya. Elle lui demanda si elle accompagna Daiichi, ce à quoi elle répondis calmement avant de suivre l'enfant :

- Ce n'est plus un enfant !

Main dans la main, elle suivit le garçon jusqu'à la chambre de Marya. Dans la chambre, elle était là. La rousse était paniquée à l'idée de voir une personne assez mal en point pour subir une opération. Elle se souvînt du jour où elle devait aller voir son père à l'hôpital ... Une fois devant la porte, elle n'avait pas eu le courage d'entrer et était partis en courant. L'ami de son père l'a ensuite ramener, s'excusant au paternel. Celui-ci avait alors, dès sonr retour, acheter un livre nommé : 'L'enfant qui était adulte'. Et il disait que la peur que ressentait Mii, cette envie de ne pas voir les autres soufrant ... C'était parce qu'elle était déjà grande. La rousse n'y avait pas trop cru, mais elle avait remerciait son père chaleureusement ... Et peu de temps après, la voilà de nouveau devant une porte d'hôpital. Elle jeta un coup d'oeil à Daiichi, qui entra sans hésiter. Elle se dit qu'il était plus grand qu'elle, car il savait affronter ses peurs.

* Il est temps pour moi dans faire autant, se dit-elle *

Elle s'approcha lentement et en tremblant du lit, suivant le petit devenu grand. Et elle ne dit rien. Elle attendis un moment. Puis elle osa.

- Courage ...

Je peux pas ... Crever maintenant ... Pas maintenant merde ... Daiidhi ...

Shinaku nai ... Shinitaku ... Nai daro ...

Je paux pas crever maintenant !

Nausée ... Nausée blanche. Les yeux se ferment quand ils se rouvrent ; lumière éblouhissante, pureté ... Tellement pur ... Nausée blanche.

Morphine... Douleur ... Mal de tête ... Envie de vomir ... Goût de bile, de sang ...
Un poignard dans le coeur.
Mort ... Vivant. Vivante ... Morte.
Hurlement.

Son. Vibration. douceur... Une argréable douceur ...Et puis ... Engourdissement.

Hurlement, encore.

-"Mlle. Akatsuki ?
-Hai, sensei no hahitsu ...
-La breche n'était pas trop ouverte pour qu'il soit nessesaire de vous le remplacer."

Marya ouvre les yeux et respire, puis daigne regarder le medecin.

-"Vous avez consecrver votre coeur ... Et vous êtes guérie ... Enfin presque. Vous avez juste a vous reposer une semaine ou deux et la breche sera totalement solidifiée. Vous n'avez plus rien à craindre.
-Atakishi wa ... Ikiteru ... ? [Je suis en vie ?]
-Votre coeur avait une couche abimée sur la paroit et elle s'est déchirée. L'ouverture lors de l'opperation était de deux centimètres et quatre milimettres. Vous avez de la chance.
-Chance ...
-Vous comprenez ce que je vous dit ? vous pouvez m'entendre ?
-Ikiteru ... [en vie]
-Aatsuki-san ?"

S'en suivit un long silance ... Marya prit une grande inspiration, constatant qu'ellen'avait pas de tiraillement dans la poitrine.

-"Ce n'est pas vous ... Pas un médecin qui m'a soigner n'est-ce pas ? C'est un élève de Takuetsu ...
-Exact...
-S'il il se rate pendant un entrainement, il va mourir.
-Nous lui faisons confiance pour être prudant ...
-Vous auriez pu le faire vous même. Quite à me tuer.
-Vous ne desiriez pas mourir.
-Je sais. Mais ma vie à moins d'importance que la vie d'autruit.
-Ne commancez pas ça. J'en ai vu défiler des dépressifs alors ne me sortez pas le dicourt de ...
-Du gamin de 14 à 16 ans qui dit "je ne suis rien laissez-moi tranquille" alors qu'il sait que chaque vie à son importance, même la sienne. Je ne cherche pas à vous faire pitier, ce serait une honte à mon nom. Sachez juste que si vous revoyez cet élève, demandez lui de décharger cette blessure sur quelque chose. Pas sur quelqu'un."

Elle respira encore. Pas de déchirement insoutenable, pas de poignard dans le soeur. Même pas trace de substance non organique comme les fils de point de suture. Rien. Effacer. Même le souvenir de sa douleur commançait à disparêtre.

-"Il y avait un enfant ... Les cheveux Argent reflet cuivré, les yeux vairons rouge et bleu.
-Oui. "L'Ange"."

Marya ferme les yeux et ne peut pas s'empecher de froncer les sourcils.

-"Il a ... provoquer des malaise dans votre personel je suppose.
-Oui. La plpard des gens qui était dans la salle à ce moemtn là sot encore alité.
-C'est la nausée blanche. Celle que vous ressentée quand vous voyez un saint. Ne cherchez pas de maladie scientifiquement identifiable, il redeviendront normaux bientôt s'il n'ont pas commis de crimes ou d'acte qui leur meutrit la concience. Quand aux autres, vous pouvez les emener à l'asile ou en séjour psychatrique.
-Comment êtes-vous infomer de ça ?
-Ça ne vous concerne pas plus que ça. Je dit ceci à titre d'information afin que vous évitiez de perdre du temps."

Elle détourna les eyux et soupira profondément.

-"C'est finit. J'ai perdu ... Il va le tuer."

L'homme sortit et parla à une infirmière. Daiichi était bien là. Elle avait perdu le pari. Il allait soufrir.

Il vint, accompagner de quelqu'un ; ces pas était bien inscrit dans la mémoire de Marya. La petite Mii, qui était si chère à Daiichi. Ils entrairent tout deux, les yeux encore rougit de larmes mais un grand sourir aux lèvres, quelque peu forcé mais sincère.

-Courrage ...

Daiichi s'avança et pris mit sa petite menotte dans la main ouvert et immobile de Marya.

-Marya ... Daijobu ; Mii-nee wa koo.

Daiichi...

-Daijobu ... Anata wa tsuoymaru. Soleni, Watashi wa Ikiteru. [Tout va bien, Tu est devenu fort, et puis je suis en vie]
-Marya, gomenasai ... Tu m'avais dit de rester sage...
-Ce n'est pas grave. On va arranger ça.

Usotsuki.

-Mii-san, koi. [Viens]

Prenant un bol d'air, Marya tenta de se redresser. Faire le point dans sa tête, faire le point partout.

-Daiichi, montre ton dos.

Le petit ne broncha pas ; tout en gardant le sourir, il s'assit sur le lit et enleva sa chemise ; une trace pourpre en pleine cicatrisation éclatait entre ses omoplates.

-Comment va ta vue ?
-L'aura blanche m'a reveillé, mais je ne voit plus les ailes ... Je commance à voir floue, je ne distingerai plus les formes bientôt ...
-Et les couleurs ?
-Elle sont très vives. Ça à l'air d'aller ...

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Mii regarda la scène, dans un état entre le bonheur et la tristesse. Elle ne savait pas quoi choisir, et préféra ne rien prendre. Les deux allaient si bien à la scène ! Elle se tut, et observa. Marya demanda à Daiichi de lui montrer son dos. Il y avait quelque chose sur ce dos ? Mii ne semblait pas, extérieurement, curieuse, mais son esprit se posa mille questions ... Il y avait quelque chose ? Une marque ? Une carte ? Une blessure ? Ou juste cela n'était qu'une simple question, sans grande intérêt ? La primaire regarda alors la garçon se posait sur le lit et défaire sa chemise. On voyait désormais son dos, mal du point de vue de Mii, mais un peu. Elle s'approcha, cette fois, ne cachant pas trop sa curiosité. Et n'osa parler.

C'était une marque, une blessure en cours de cicatrisation. Mii ne dit rien, regarda, et c'est tout. Marya demanda au garçon comment allait sa vue, il dit qu'il ne voyait pas les ailes, et que tout commençais à devenir flou ... Mii, encore, resta silencieuse. Que dirait-elle ? Elle ne savais, décidément, pas grand chose de Daiichi. Elle baissa sa tête, écoutant calmement la suite.

Pauvre enfant, qui, encore une fois, ne savait quoi faire. Finalement, elle n'avait pas progressé ... Elle était resté une enfant ... Elle se mordit la lèvre inférieure, embarrassée par cette découverte affreuse ...

Inconsciemment, Mii porta sa main droite à la gauche, qui était bandée. Le bandage ne servait plus à rien ... Cela n'avait été qu'une main attaquée par un tournevis, et vu l'état de Marya, et même celui de Daiichi, elle n pouvait se plaindre. De toute manière ... L'aurait-elle fait ? Non.

- C'est à cause ...

Mii commença. Elle hésita à continuer. Elle était bizarre. Avant, elle ne parlerait pas. Elle n'aurait pas pleurer non plus. Non, elle n'aurait rien fait, et ne serait même pas aller voir Daiichi. Mais c'était avant. Elle était devenue bizarre. Papa me reconnaîtra-t-il encore? se demanda-t-elle ...

- De ton Don ... Tout ça ?

La tête toujours baissée, elle ne relevé que ces yeux jaunes, qui regardaient les deux personnes présentes, pleins de tristesse. Pauvre gamine !

[ Mais non, mais non U_U ]

-...

Marya lève les bras sans douleur et rabat Daiichi sur elle.

-Oui ...
- Poku wa ... Jibun no Sekai no To ... [Je suis la parte du monde des "Soi-même"]

Il y avait longtemps qu'ils n'en avaient pas parler ... De ce don.

Plusieurs années plus tôt, dans le quartier familliale des Yumemaru.

-Votre enfant sera un fils.

Des larmes de joie coule sur la joue d'une femme enciente. Un grand sourir ébahie s'affiche sur son visage. Elle regarde son époux, tout aussi ému.

-Musko daro ! Musko ! [C'est un fils, un fils]

L'homme s'agenouille devant le ventre engrossie de sa femme, met ses main dessus.

-Omaeno namae wa Daiichi ! Daiichi da !
-Daiichi ... ! [Numero 1, premier]

Quelques mois plus tard.

-Toutes nos condoléances pour votre mari.
-Je ... vous remercie ...

Dans la salle, alors que la veuve est devant le cerceille de son defin époux, les commerage circule.

"Vous avez vu ? Une femme enciente, c'est quand même triste...
-Elever un enfant seule ... Même dans une famille comme la notre, cela va être difficile ...
-Je suis sure qu'elle va s'enfermer dans sa bulle et elever son enfant avec mille précaustion pour qu'il ne lui arrive rien ; ce sera un gamin faible.
-Et sans l'éducation d'un père ; si c'est un garçon, ce ne sera pas un homme.
-Je vrois savoir qu'il sera le cousin direct de la famille principal ? Si il arive malheure aux enfants des Yumemar, c'est lui qui aura la responsabilité du Clan ...
-Ne parle pas de malheur ; ils sont en bonne santé."

Quelques jours après la naiscance, la belle-soeur viens rendre visite à son neuveux. Il est dans les bras de sa mère, dans une maison fermée. La lumière n'accède sur eux que par la fenêtre orianté plein sud.

-Qui est-ce que je vois là ? Ce ne serait pas le petit Daiichi ?
-Il est beau n'est-il pas ? Comme son père. Et ses yeux sont magifiques.
-Tu sais ... Mon frère ... n'était ...
-Je suis sûre qu'il aurait fait un très bon père. Mais c'est comme ça ; regarde, je vais l'élever pour deux ; il n'aura pas besoin de père. Je lui parlerait souvant de lui; et jamais il ne l'oublira !

Elle commance à chantonner une berceuse, l'enfant somnole, ses yeux vairons mis-clos.

-Où sont tes enfants ?
-Dehors ; tu veux que je les fasse entrer ?
-Plus tard. Il ne sont pas malades ? Je ne voudrait pas qu'il attrape quelque chose. Je sais que maintenant ça se soigne bien mais quand même ...
-Je vois. Quand il sera coucher, tu sortira avec moi pour leur dire bonjour ?
-Oui, peut-être.

Mais lorsque l'enfant est au lit, la jeune mère refuse de le quitter.

"Il à l'air si fragile ... Je vais le veiller. Dis bonjour aux enfants"

Dans le quartier Yumemaru, les rumeurs vont vite. Elle ne sort jamais. Personne n'a encore vu l'enfant. Un jours, La femme du dirigeant du clan la retrouve endormie près du berceau. Elle ne se reveille jamais. Le petit est adopté par les représantant du Clan.

Quelques années plus tard.

Des enfants regarde des peintures dans les salles d'art du Clan. Ils s'arrêtent sur des oiseau peint avec une extrème précision.

-Ils sont beau !
-J'aimerai beaucoup avoir de siales ; je pourrait voler comme eux !
-C'est ça ! prends toi pour un ange aussi.

Un babin tire sur les vettement de la petite fille qui voulait des ailes.

-Qu'est-ce que tu veux Daiichi ?
-Anata ... Shoyuu ... Tsubasa ... [Toi, possession, Ailes]
-Qu'est-ce qu'il raoconte ?
-Tu ... as déjà ... Des Ailes ...

Des jours plus tard, on étudie le cas de l'enfant. On découvre en grande partie les possibilitée qu'il offre. Quelqu'un batie une théorie, d'autres suivent.

Retours à notre époque.

-J'ai su pour Daiichi ... Quand j'ai demander aux Yumemaru leurs dossied administratifs. L'oncle de Daiichi a refuser de le reconaitre, puisque le cas de sa mort lors du masacre l'arrangait ; ce serai obligatoirement ses enfant quis'occuperait du clan, et Daiichi lui faisait peur à cause de son don. Mais sa femme l'aimait beaucoup, et elle a accepter de me faire lire les dossiers administratifs et les recherche portée sur lui, ainsi que son journal intime ; c'est par celui-ci que je sais ce qui s'est passer pour ses parent, ce que je n'aurrait pas pu deviner juste en lisant les actes de naiscance et décès. A présant, je sais quand il est née et tout ce qu'il y a savoir sur son identitée pour l'élever.

Une pause. Respirons. Et elle qui n'aimait pas les long discours.

-J'ai lu les thèse des scientifique, et il n'y en a qu'une ou deux qui se raproche de la vérité. Certain penssait que Daiichi voyait tout le monde comme des anges, c'est à dire ce qu'ils sont réellement. C'est faux. Daiichi est capable de voir un monde calqué sur le notre qui y est directement lier. Certaine personne peuvent voir les âmes, Daiichi voit leur reflet et peux naviger et faire naviger des élément d'un monde à l'autre. Il peux aussi exiger une confrontation des deux mondes, ce qui provoque les malaise lorsqu'il touche les ailes d'une personne. Il peux, en echange de son énergie. Le plus souvant, il utilise celle de sa vue. Mais parfois, ça va plus loins. de l'énergie instantanée à l'énergie vitale. En consequance, il peux raccourcir sa durer de vie.

Daiichi se releve et remet sa chemise. De manière autonome. Autonome ...

-Etant donner qu'il vient de connecter les deux monde via son propre corps, il en subit les dégats de manière physique. Les ailes on pris forme dans son corps et ont precer son dos. Mêmem s'il elle ont disparue, elle laissent les traces de leurs passage. Daiichi est revitalisé après une experiance comme celle-cxi, car ses ailes sont ... Un peu spéciales. Mais maintnant, il recommance à predre des forces. Daiichi tu ... !

Il tombe par terre, Marya se releve et se débranchant.

-Fait attention !

Un peu grogis, il tente de se remetre debout. Marya le fait s'assoir sur le lit.

-Voilà ... Maintenant, c'est la limite. Les ailes des gens sont directmeent reliées à eux même dès leurs naiscance. Elles prne les couleurs et les aspects que leur propriétaire leur donne. En fait, elle sont plus relier à l'¨me q'autre chose, mais c'est le corps qui subit des pertes lorsqu'il arrive des incidants. C'est un cycle, et Daiichi en voit une partie. Il y en a qui peuvent voir les âmes, les morts, Daiichi voit les reflets. Les ailes.

Il se reinstalle et tiens Daiichi qui tombe de someil.

-Daiichi possede les ailes d'un saint : c'est quelqu'un de bien et de pure par nature. Il n'est pas destiner à en changer. Mais un evenement violent peux le faire changer. Ce ne sera plus sa nature, mais son experiance. C'est la même chose pour tout le monde. On nait avec une base plus ou moins bonne, puis l'on avance avec l'experiance. C'est ainsi que les adultes deviennne plus refrognée ; souvant, quelque soit la base, il se retrouvent gris ou gris foncé à la fin de leur vie.

Marya s'allonge, Daiichi avec.

-Daiichi est tellement pure ... que les gens qui ne sont pas au mêmme statut que lui ont des nausée quand ils voient le blancs de ses ailes. Ce sont les Ailes de Saint. Il le restera surment toute sa vie, car aucune experiance douloureuse ne semble l'attendre. Je m'inquiette un peu car peut-être qu'il ne sera jamais asser experimenter pour devenir adulte. C'est plutôt inquiétant.
-Marya ... Je ne suis pas obliger de devenir mefiant pour être fort ... Je peux êtrer gentil et fort ... Je peux ne pas être triste et fort ... Je suis ... capable ... de ne plus être un enfant ...

Mii ne dit rien. Un tel flot d'information arriva jusqu'à elle ... Que dire de plus ? C'est complexe, oui, ça l'est. Ce n'était plus qu'un simple don, c'était tout un monde. Mii tenta d'y mettre un ordre dans sa tête. Daiichi avait une famille peu simple, déjà. Comment ce genre de chose pouvait exister ? La rousse avait toujours cru que les familles étranges se limitaient à un parents en moins ... Daiichi aurait perdu son père avant sa mère. Cela avait été le contraire pour Mii, même si son père était encore en vie. C'était triste. Et puis, au fur et à mesure que son histoire s'imposa dans la pièce, la fillette comprit sa propre naïveté et sa faiblesse ... Elle n'avait donc jamais été forte. Elle l'avait peut-être été par rapport aux autres enfants normaux ... Mais en comparaison à ceux d'ici, elle était plutôt faible. Mais elle ne dit rien. Elle laissa l'histoire continuait, et laissa son esprit tout reprendre.

C'était comme un monde étrange à découvrir ... Tout cela avec seulement l'histoire d'un enfant de moins de dix ans ... Mii se posa sur le sol, curieuse de la suite. Comment Marya avait-elle compris ce don ? Mii ne comprenait que peu de chose. Daiichi était ... Il aurait ... Les ailes d'un Saint ? C'était trop immatériel pour l'enfant, qui décrocha vers la fin, incapable de comprendre une phrase de plus. Elle hoche de la tête bêtement. Et elle observa la scène. Et le problème d'être un enfant réapparu. Cette fois, Mii ne fit aucun commentaire. Elle en était incapable pour le moment. Cette journée qui avait commencé de façon si banale ... C'était trop éprouvant pour elle ! Elle avait pleurer pour la première fois, elle avait dit un semi-discours, et ... On peux dire maintenant, qu'elle a enfin des amis ...

L'enfant sourit devant le tableau. Marya et Daiichi semblaient si proche ... Comme une soeur et son petit frère. C'était mignon. Mii faisait-elle tache ? Non, elle décida de ne pas y penser. Si elle le faisait, elle se sentirait plus qu'inutile, et c'était mauvais pour elle ! Elle sourit un peu. Sur une autre personne, on aurait dit de l'insignifiance ... Mais Mii était spéciale, et pour elle, c'était un sourire.

- Je me sens simple, maintenant ...

Elle dit simplement ça, et observa Daiichi.

- Cela doit être dur ...

Oui, Glaçon robotisé possède une langue, ainsi qu'un système de voix ...

Dur ... Quelque chose de dur ... Oui, au fond, c'était ça non ? Ça faisait mal. Mal de sentir se durcir quelque chose dans son dos, grossir et exploser, labourrant au passage nos entrailles, puis resentir le videet la douleur après le passage de ces ailes.

Dur ... oui ... Quelque chose comme ça ... Être le seul a pouvoir voir un monde qui était relié et interragissait avec un autre que l'on ne pouvait voir. Le monde des âmes ... Mais des âmes vivante. Les âmes qui n'ont pas perdu l'espoir, qui veulent de leur vie de chair, car ils y prènent plaisir, ou alors ne se sentiraient pas utiles morts.

Dur ... Difficile ... De savoir qu'aux yeux de tous ... Nous resterons quelqu'un de trop joyeux pour être "simplement" humain.

-Oui ... Je pense que ça l'est. Mais je suis très heureux alors je ne vois pas où est le problème. Puique ça ne m'empechera pas de grandir. Je deviendrai quelqu'un de mieux non ?

Marya lui frotta les cheuveux et essquissa un petit sourir sans le regarder : elle pensait à autre chose elle. Daiichi pris la main de Mii et l'obligea a s'approcher. Il resta allonger, du ait qu'il ne voyait plus très bien, et qu'il n'avait plus assez de force pour bouger.

-Tu as raison ... Tes ailes sont très simple : tu ne cherche pas a cacher ce que tu es, juste à devenir sans presser les chose. Avec vous, je ne regarde pas vraiment ce monde, puiqu'il n'y a rien dont je dois me mefier. Par contre, le grand monsieur il fait vraiment peur ... C'est tout noir, comme si il était née avec, et la taille est effrayante, comme si il avait vécu plusieurs vies ...

Daiichi ne prefera pas continuer ... C'était ce genre d'ailes qu'il ppelai "Enfer". Ces ailes qui sont le reflets d'âmes déchues et sombres, déchirée et cruelle ... Ces âme qu'ils n'ausait plus appeler "Ange en perdition".

-Mii-nee ... Tu connais l'âge du Papa ?
-Ogawa-sama desu. Odo-san janai. [Ce n'est pas Papa/père]
-Hai ... ...

Sa voix faiblit, sa vue décline ... et sombre dans un état de someil. Mais juste avant de s'engoufrer dans les bras de morphée, il entend :

-Ksu ... Sakura no Akuma ... [Merde ... Le Démon au Cerisier]

Simple. Mii était simple. En elle, un sourire large apparut. Mais son vrai visage, lui, n’exprima aucune expression. Inexpressif expression ... Mii aimait être simple. La simplicité était pleine de vertu ... On ne se pose aucune question, tout vient tout seul ... On est banal, on ne pense à rien ... Plus rien n’est grave, plus rien n’est génial, on devient un légume. C’est étrange, et cela ne veut rien dire. C’est n’importe quoi et pourtant ... C’était ainsi qu’est imaginer la simplicité, par Mii. C’était simple ... Rien de compliquer. Et c’est ce à quoi Mii rêver. Vivre une vie simple, sans problème ... Mais cela avait mal commencer, et les rêves s’étaient vite effondrer ...

Il y avait une chose qui faisait de Mii une fille non banale ... Elle avait toujours mal à la gorge. Toujours. Pourquoi ? Parce que les mots lui tiraillent la gorge. Ils la mordent, ils la griffent ... Les mots la blessent plus que quiconque. Peut-être cela était un peu exagération, mais les mots lui faisaient mal depuis longtemps. Il faut comprendre. La douleur des mots étaient si grande, Mii souffrait de cela. Mais elle n’en avait pris conscience qu’il y a peu de temps. Avant, c’était comme un soulagement. Ne rien dire, bloquer les mots. Cela lui faisait tellement de bien ... C'était, étrangement, comme une révélation ... Comme un bonheur, qu'elle savourait. Le silence, le monde sans les mots ... C'était beau. Mais depuis peu ... C'était devenu laid, et sa gorge s'irritait ... Elle prit un moment pour s'en rendre compte, puis un moment pour comprendre d'où cela venait. Et elle n'avait toujours pas trouvé de solution. Les mots se vengeaient de toutes ces années. L'espace d'un instant, la fillette avait baissé sa garde. Elle avait parlé, un peu, à d'autres. Elle avait ressenti un sentiment d'amitié, un attachement à autrui. Alors, les mots ont rompus leurs pactes, et ils ont attaqués. Oui ... C'est pour ça qu'elle souffrait ... Les mots la mordaient, les mots la griffaient, les mots la tuaient ... Elle avait mal, et c'était bien fait. Mais elle avait peur d'une chose ... C'était de parler. Les mots n'attendaient que ça. Mais elle n'osait ... Car si elle le faisait, qu'est-ce qui lui garantirait que les mots ne blesseraient personne d'autre ? Et ça, elle ne se le pardonnerai jamais ... Elle ne pourrait pas non pus. Alors, elle ne parla pas non plus. Elle regarda bêtement Daiichi et Marya. Elle ne pouvait pas les importuner avec ces problèmes. Ils en avaient déjà tellement !

Papa. Daiichi demanda l'âge de "Papa". Pendant que Marya répondis, Mii se mit à réfléchir à son père. Il allait bientôt avoir, hum ... 34, ou 35 ans ... Il était encore jeune ! Mii savait pourtant qu'il ne voulait pas d'autres femmes ou hommes .... Il voulait être seul, ou avec Mii, et se concentrer sur sa carrière. C'était dommage ... Dans un sens, parce que c'était quand même un homme sérieux et appliqué dans ce qu'il entreprenait. Et Mii avait beaucoup espérer être comme lui ... En dehors des mots, elle y avait plus ou moins réussi ! Elle ramena son attention aux deux autres. Daiichi n'avait pas vraiment eu sa réponse, et il était en train de s'endormir. Mii le regarda sombrer tranquillement. Puis, elle regarda ses mains, et entendit une phrase qui suscita son intérêt. Le démon ... Au cerisier ?

- Qui est ... ?

Seuls de mots sortirent, et sa gorge lui brûla. Rien de grave. Mais pour deux mots ... Elle n'osa penser à ce qui arriverai si elle prononcer une phrase entière ...

[ Juste pour préciser que les mots ne sont que psychologique ... La pauvre ne souffre pas physiquement. ]

[Je le comprend x)]

L'homme est lié et prisonier de beaucoup de chose ; le temps, la vie, la mort, les sentiments ...
Mais il existe une sorte de lien qui est le propre de l'Homme :
Les Mots.

[Tiré de XXXHolic, tome 4]

C'était étrange, un démon qui était un humain. Mii ne comprit pas ce que cela signifiait. Devait-elle bien le prendre, ou non ? Devait-elle avoir peur ? Devait-elle ne rien penser, et parler d'autre chose ? Devait-elle ... Continuer ce qu'elle faisait ? Plongée entre la souffrance d'une solitude trop prolongée et la joie apporté par la douleur des mots ? C'était trop vague, et l'enfant ne savait que faire. Trop confus, trop vague, trop flou, trop dur à choisir. Pourtant, quels étaient les choix mis à sa disposition ? Aucun. Un choix lui aurait tant fait du bien ! Il lui était tellement facile de choisir, trouver ce qu'il fallait faire entre deux, ou trois choses ... N'avait-elle pas fait cela toute sa vie ? La rousse était perdue, et le fut encore plus quand elle comprit. Il y avait un choix. Parler, pleurer, mourir, partir ou ne rien faire. C'étaient ces options. Elle avait le choix ! Mourir était là pour la première fois. Elle n'avait jamais eu ce choix, jamais. Pleurer, pour lui, c'était la seconde. Elle y avait succomber, il y a un moment. Parler était trop douloureux. Partir aussi, ne rien faire de même ... Que faire ? Pour la première fois, seul mourir était disponible. Mais elle ne pouvait si résoudre, non, surtout pas ! Il y avait tant de monde qui souffrait plus qu'elle, et qui se battait quand même ! Elle ne pouvait choisir cette option, c'était de la triche !

Que faire alors ?

... Mii se leva, et se tourna vers la porte. Elle passa sa main gauche devant elle, hors de vue des deux présents. Elle trembla un peu, c'était rare. Demain, quand elle se réveilleras, elle continueras comme à son habitude ... Elle ne seras pas aussi faible qu'aujourd'hui ... Jamais ! Elle enleva lentement son bandage. Caché devant elle, elle savait que seuls les personnes en-dehors de la pièce avaient peut-être une chance de la voir agir. Elle l'attrapa, l'empêchant de tomber. L'enroulant autour de son autre main, celle qui n'était pas blessé, elle contempla la blessure fait par un tourne-vis. Elle la leva à hauteur de sa tête. Toujours en ce cachant de Marya, de peur ( peur de quoi ? ), elle regarda passivement cette entaille déjà en croûte. Elle leva sa main droite, et gratta. Pas juste gratter, mais lacéré sa peau, sa chair, ses veines ... Les ongles moyens de l'enfant dans une petite mare de sang, coulant le long du poignet. Elle arrêta. Une goutte coula par terre, et elle se tourna enfin. Sa main en évidence, elle baissa sa tête, avec ce regard si sombre qui hante le visage.

- J'ai ... J'ai vraiment peur ... J'ai peur de tout ... De tout ...

Elle laissa son bras pendre, et tomba par terre. Des vertiges, le ventre qui se noue, la gorge qui brûle ...

[ La pauvre, des soucis mentaux qui partent dans le corps ... Gomen, un du retard, et de deux, de la façon dont je traite ma pauvre Mii ... Mais cela devait arriver é.è ]

[Pas grave, c'est géniale (pas pour Mii hein ?) je suis pas préssée]

Le sang coule, coule, coule dans nos veine, coule dans nos bras, coule lorsqu'un homme ne pense plus à un autre, quand il pense que seul lui peu avoir mal, que seul lui soufre, et que les autres ne sont là que pour arrêter ses propre hémoragie ...

Il y avait du sang partout. Marya avait entendu cet horrible bruit, ce grattement ... Mais elle ne se sentait pas d'attaque pour lui demander quoi que ce soit. Ce n'est que quand elle se retourna qu'elle se rendit compte.

Coule le sang, coule ...

"J'ai ... J'ai vraiment peur ... J'ai peur de tout ... De tout ..."

Peur de tout, peur de quoi ? Peur de soi, peur de vivre, peur de mourir, peur d'avoir mal, de faire du mal ? Chez Marya tout se mélangaient. La tête en vrac, elle apuya sur le bouton pour appeler les infirmières. Mais elle était déjà là, elles'occupaient déjà d'elle.

Daiichi n'avait pas bouger, on l'emenait aussi. Comment étaient-elles arrivées aussi vite ? C'est bien simple :

Marya avait hurler, mais elle ne s'en souvenait pas. Ça faisiat partie des deux chose qu'elle faisait s'en s'en rendre compte ; parler en dormant et hurler. Elle ne savait jamais quand elle avait crié.

Une fois seule dans la piece, Marya n'avait pas vraiment bouger. Elle était perdue ...

Peur ... Peur de quoi ? De tout mais de quoi ?

Elle prit une grande inspiraiton. Elle ouvrit les yeux, face à cet eternel et inebranlable mur blanc qui ne bougerait pas. Pourquoi devait-il bouger d'ailleur ?

Parce que je ne suis pas capable de le faire.

Marya se débrancha, arrêta tout les apareils et se leva. Elle verrifia que tout son organisme était en état ; la seule chose à constater était son estomac vide, mais aucune importance. Elle trouva ses affaires dans un placard, elle s'habilla, sortit.

Les couloirs étaient trop blancs.

Elle s'informa à l'acceuille ; les enfants allaient bien. Enfin, bien ... Elle s'assit sur un siège, attendit. Ils reviendront tout les deux. Tout les deux.

Les images furent flous. Mii ne comprit pas ce qui commencé à se passer. C’étaient trop flou. Tout l’était trop. Que lui était-il en train de lui arriver ? Elle n’avait jamais été comme ça, jamais ... Elle avait toujours été stable, normale, si calme et sans ces peurs qui la tourmentent actuellement ! C’était trop bizarre, trop compliqué ! Cela virait au cauchemar ! Tout tournait mal, mais ... Mais ...

Elle se sentait comme une corps tombant dans un vide incroyable. Sembler seulement, car sinon, comment pourrait-elle tomber ? Elle était dans un hôpital, elle était dans une pièce, avec des gens ! Mais autour d’elle, personne. Noir. Trop noir. Elle se mit en boule. Elle tombait, mais elle ne sentait rien. De grands et violents vertiges. Mais pas de vent, pas d’effets de gravité, ni rien. Comme dans une bulle d’eau, sans l’eau. Une bulle ... Sa tête lui faisait mal, la primaire ne pouvait la garder droite. C’était trop dure ... Tout tournaient dans sa tête. Les mots commencèrent à sortir. C’était douloureux, mais ce qui brouillait ces idées l’était encore plus. Ce n’était pas naturel. Ce n’était pas cette blessure béante dans sa main gauche, ce n’étaient pas de la faute aux mots. C’était à cause de ce truc qui lui bloquait le bas du visage. Qu’est-ce que c’était ?

Et elle se rappela. Elle était dans un hôpital, non ? Un médecin l’avait endormi ? Ou était en train de l’endo ....

Ce fut noir, et Mii ne vu plus rien, ne sentis plus rien, ne pensas plus rien. Rien à dire, elle dormais. Ce fut plus tard, qu’elle se repris. Une douleur horrible lui tiraillait la main, comme si une aiguille s’enfonçait lentement dedans. Elle n’osa dire mot. Puis, au bout d’un moment, sentant la douleur partir, elle rouvris les yeux. Elle était allongée, dans une chambre vide. Ce n’était pas marrant, pas du tout ... Elle se redressa, un son de sursaut se fit entendre. La rousse regarda l’origine du son, qui venait s-d’une jeune infirmière, apparemment désolée de ce qu’elle venait de faire. Ou alors, surprise par le réveil de l’enfant. Elle porta sa main à sa bouche, et Mii vit une autre silhouette à coté. Un homme qui s’approcha d’elle.

« Tout va bien, nous venons de recoudre votre blessure, qui en avait bien besoin ... Quand la blessure s’est ré-ouverte, l’entaille s’est élargi ... Il aurait été trop dangereux de vous laisser dans cet état ! »

Mii ne dit rien, et observa sa main. L’infirmière avait commencé à poser un nouveau bandage. Celle-ci se leva, et la primaire attacha le bandage seule. Elle pouvait le faire, ça, au moins. Puis, elle remarqua autre chose. Les mots étaient partis. Elle n’avait plus mal, et pleins de choix possibles s’offraient à elle. Elle était de nouveau libre. Cette journée noire l’avait libérés des accumulations de tant d’années ... Comment ne pas être heureux ... ? Mii descendit du lit, l’infirmière l’aida. La primaire accepta sans rechigner, et la remercia d’un signe de tête. L’homme regarda l’enfant sortir. Mii se retourna au dernier moment, et leur offrit un sourire. C’était rare ... La journée aussi, serait rare. Mais Mii, en sortant, se promit de ne plus revenir. Pour ça, une seule solution. Ne plus bloquer les mots. Mii décida, aujourd’hui, de parler comme bon lui sembler. Cela ne risquait pas d’être énormément non plus, mais ... Ce serait déjà un début. Une phrase en plus, en somme !

- Je parlerai comme je le souhaite !

Et elle courut dans les couloirs si blancs ...

Elle savait qu’ils étaient encore là. Elle le sentaient, c’était comme ça. Elle courut dans les couloirs, slalomant entre les différents patients. Ils grognèrent tous. Papa aurait été à, il aurait ri. Mais Mii ne le fit pas. Elle disait parler, et rire n’était plus dans ces cordes. Ces émotions, encore, elle les garderaient cachés ! Il était encore tôt ... Beaucoup trop tôt !

Elle arriva dans une salle. Celle d’attente ? Mii ne reconnaissait pas le lieu. C’était vague ... Elle se frotta les yeux. Ils ne pouvaient pas être trop loin ! Elle la vit. Assise dans le hall, près de l’acceuil. Marya. Mii se précipita vers elle. Avait-elle, cette fois, peur ? Non. Elle ‘avait plus peur ... Elle avait dit de tout. Mais tout, qu’est-ce ? Ce n’est plus rien, maintenant. Les mots sont partis.

- Je n’ai plus peur ! C’est fini, j’ai décidé. Je n’aurais plus peur, plus jamais. J’ai eu peur de Papa. Je suis maintenant comme lui. J’ai eu peur pour rien, il n’y avait rien. Je n’aurait plus peur !

Elle se posa par terre, contre le mur. Elle souleva le coté droit de sa jupe. Elle avait toujours un short avec des poches supplémentaires ! Elle n’avait plus de sac potables, alors, elle utilisait ce short qu’on ne voyez pas du tout ... Elle fouilla la poche de droite, et en sortit un carnet ultra fin. Il y avait un mini crayon trop tailler avec. Elle souleva la douce couverture mince, et tapota le bout du crayon qui n’écrivait pas sur la première feuille blanche. Rapidement, elle fit un croquis approximatif dessus. On pouvait y voir une fillette blonde dont la chevelure bouclés au niveau des épaules et devait certainement se stopper près du bassin. Elle devait avoir, hum, 10 ans, non, plutôt 15 ... Entre les deux en tout cas. Et elle souriait comme jamais Mii n’avait vu sourire. Les joues roses et les lèvres rouges, les yeux bleus. Les vêtements étaient simples, une robe à fleur saphir de longueur moyenne, qui voletait. On ne voyait pas les couleurs, mais quand on regardait les yeux pétillants jaunes de la primaire, on voyait tout. Mii le montra à Marya, esquissant un signe de satisfaction personnelle, bloqué entre le sourire et l’indifférence.

- Elle, ce seras Mana. Et se seras mon robot parlant. Elle marcheras ... Et je l’offrirai à Daiichi ... Il seras content ?

Mii était comblée, sans savoir pourquoi. Elle n’avait rien commencé, et ces robots actuels était loin de parler, ni de marcher ! Mais elle savait qu’elle pouvait le faire. Avant la fin de l’année, se promit-elle aussi. Finalement, le mal ne va pas sans le bon. Le bon non plus ... La où il y a l’un, l’autre se pointe ...

‘Le malheur avec le bonheur, le bonheur avec le malheur, rien de va sans l’autre’ ...

- Où est Daiichi ?

Lui plaire ?

"Elle, ce seras Mana. Et se seras mon robot parlant. Elle marcheras ... Et je l’offrirai à Daiichi ... Il seras content ?"

Marya ne pu que sourire ; Mii souriait, parlait, vivait. Mii était devenue diférante de ce qu'elle haissait le plus en elle même.

-Mii ...
-Où est Daiichi ?

Marya s'accroupie près de la petite, l'attira dans ses bras.

-Arigato ... Ontoni ...

Savez-vous qui est Daiichi dans sa nature profonde ? Marya le sait ; Marya sait qu'il est étrange, à une façon de raisonner totalement décalée. Elle sait qu'il aime profondément la vie, qu'il se sent redevable de la vie, même en ayant vu beaucoup d'horreur que personne ne suporterait, même adulte. Du moins, pas le comun des mortel.

Elle savait qu'il aimait les couleur, qu'il aimait les gens même s'il en avait terriblement peur. Elle savait que son rêve le plus profond était de devenir fort. Elle savait qu'il était fragile aussi.

Peut-être autant qu'elle.

Je suis devenue trop faible ... Trop faible pour le protèger ... J'ai tuer tellement de gens ... J'ai fait tellement de mal ... J'ai été si minable ... Si elle, si elle elle peut lui redonner le sourir, si elle peut lui montrer les couleur qu'il aime tant, alors ...

-Comment pourait-il refuser le présant que tu lui offre ?

Marya se sentait sur le point de pleurer derrière son masque inexpressif ; Mais elle ne pleurerait pas ; ni de joie ni de peine. Elle était juste fatigée, plus sentsible, mais jamais elle n'ouvira son coeur. Mii allait changer, Mii allait grandir, Mii allait devenir quelqu'un. Elle était jalouse, en quelque sorte ; mais son coeur s'arrachait à des sentiment endormit, anestésier jusque-là ; l'envie s'était fait ressentir à son arriver, mais c'est la joie et l'espérance qui se reveillait à présant.

-Mii ... Daiichi est ... Une personne à qui tu peux tout offrir ...

Daiichi est ... Un ange qui voit ce que tu donne du plus profond de ton coeur.

Marya entendit un bruit de pas, elle se retourna, libérant Mii de son étrainte, surment la dernière qu'elle donerai à quelqu'un d'autre que lui.

Je serai forte ... Le temps qu'il faudra ... Je tiendrai. Je vivrai pour faire de vous des personnes fortes, des hommes et des femmes de bien.

Jusque là, je vivrai.

Daiichi s'avança, un grand sourir aux levre, les yeux vide et lise ; aveugle.

-Ikoka, Onee-san ?

Il allait accepter ? Vraiment ? C’était bien ... Mii ne faisait pas beaucoup de cadeaux, elle n’avait par ce fait aucune expérience en la matière. Les cadeaux, elle en recevait seulement de son père. Les cadeaux, elle les offrait uniquement à son père. C’était comme un cercle, un rite entre les deux. Elle lui offrait en général de nouvelles pantoufles, rien de bien intéressant, en somme. C’était des cadeaux qu’on offre à ces parents, pas à ces amis. Donc, voilà ... Mii n’avait pas l’habitude d’en offrir à des amis. Elle qui n’avait déjà pas beaucoup d’ami ! Elle n’allait pas en faire tout u plat ... Ceci dit, on ne lui avait pas encore offert des cadeaux en tant qu’amis. Juste en tant que parent.

Comment il pourrait refuser ? Mii ne savait pas. Elle ne connaissait pas tant que ça l’enfant, finalement. C’était surtout, vraiment, qu’un camarade de classe, de classe inférieur aussi ... Après, certes, elle se sentait proche de lui. Mais serais-ce comparable à l’amitié ? Oui ... Elle pensait. Alors, comment refuserais-t-il ? Ce n’était,ça, pas à elle de répondre ... Plutôt à lui !

Daiichi ... On peut tout lui offrir ? A ce point ? Il n’y avait pas trop de difficulté à choisir amours ... Ou alors, il commençait à en avoir, à force d’avoir le choix ! Mais un robot était, de toute manière, la seule chose que Mii était en mesure d’offrir. Pas à cause de problème financier. Plutôt parce que pour elle, un robot était comme un trésor, et qu’un cadeau est un trésor offert.

Pendant que Mii penser à tout cela, Marya s’était agenouillée près de Mii et l’avait prit dans ces bras. La primaire ne posa pas de question là-dessus, et laissa faire. Elle ne détestait pas les câlins, après tout, et Marya avait ces raisons, non ? Elle n’allait pas en faire tout un dessert ... Chacun faisait ce qu’il souhaitais, et Mii laissait faire tant que cela ne la déranger pas.

Puis, cela cessa. Quelqu’un s’approchait. Mii regarda qui. Daiichi. La jeune enfant s’approcha de lui. Elle cacha son croquis, le rangeant à sa place initiale. Elle allait garder cela secret jusqu’à la fin de la construction, même si cela devait prendre des années ! Elle finirait par y arriver ...

- Daiichi !

Elle marqua une pause, avant de reprendre, le plus calmement que l’on puisse ...

- tout va bien ?

Daiichi se reveilla. La chambre était blanche. Le lit était blanc, les rideaux étaient blancs, les murs étaient blanc ... Mais lui ne voyait que du noir. Non enfait, ce n'était pas du noir, c'était l'absance totale de lumière. Il sentit quelqu'un qui secouer l'épaule, il se releva, tourna la tête vers ce qui semblait être un être humain invisible et seulement perceptible par la chaleur et le toucher, ainsi qu'une odeur de parfum bas de gamme qui lui emplissaient les narine. Pourtant, il sentait la poussière, l'air qui sedéplacer lui frotter les yeux, ses yeux ouvert surment vides.

Daiichi entendait, mais n'écoutait pas. Il était simplement là, attendant quelque chose. Mais quoi ? Il se lève, titube, avance. Il sent quelqu'un tenter de lui attraper la main ; surment l'infimière au parfum oppréssant. Il referma les deux poings, avança plus rapidement, se fiant à ce qu'il ressantait dans l'espace. Souvant il se cognait dans les gens et le couloir. La jeune femme était obliger de le remetre sur la route. Pendant un temps qui semblait être la traversé d'un escalier, elle lui tint le poignet.

-Odiosan, tu fait ça parce que c'est ton travaille ? Ou parceque c'est ta concoence qui te le dit ?

Elle s'arrêta sur une marche, il sentit son regard peser sur lui. Elle soupira et finit par lacher :

-Je ne sais pas.
-C'est bien.

Elle le regardait encore, mais il décendit d'une marche, la forcant à avancer elle aussi pour ne pas le faire chutter. Ils arrivère dans le hall, Daiichi lacha sa main.

-Arigato.

Il s'en alla, en essayant d'éviter tant bien que mal les personnes qui allaient et venaient. Il entendit une voix familière, puis il reconu : les êtres humain dégagent de la chaleur, mais il y avait quelqu'un qui faisait l'inverse ; il sentit le froid glacial, l'air qui rebondissait sur le glaçon, frai, contrastant avec cette canicule humaine : Il s'avança, s'arrêta, et les sentit toutes les deux.

-Ikoka, Onee-san ?
-Daiichi !

Un temps de pause.

-Tout va bien ?

Il fait oui de la tête. Il sent Marya se lever, lui fermer les paupières, toujours ouverte et pourant sans lumière jusqu'alors. Il s'accrocha à ele, elle lui pris la main. Elle se déplaça, l'entrainant, vers Mii.

-Il est temps de partir.
-Hai.

Il marchèrent, marchère, et puis, ne sachant trop pourquoi, il dit :

"Marya ... Il n'est ... Pas trop tard ..."

"Never too late for live, never too late, for pray, never too late for belive ...
I love youi, I love you, and I don't want you say "Good Bye"
It's Never too Late ..."

Marya ferma les yeux de Daiichi. Ils semblaient si vides ... Fermés, on ne donnait plus trop cette impression, mais ce n’était pas forcément mieux ... Il était comme un enfant qui dormait en marchant. C’était bizarre ...

« Le temps de partir »

Mii intercepta cette phrase, et se tourna vers la personne qui l’avait annoncé. Marya, en l’occurrence. Ah ? Il est vrai que le temps s’était écoulé pendant toutes ces choses ... Mais cela avait eu un point positif, non ? Elle n’allait pas souffrir des mots et elle allait avoir enfin l’envie de ne plus se cacher ... L’envie de répondre, déjà. C’était beaucoup ... Elle les suivit, mais resta en retrait. Ils avaient l’air si paisibles, heureux, malgré tout ... Soudés, indestructibles, vraiment ... Mii soupira, et marcha plus lentement.

« Il n’est ... »

Mii leva la tête. Bien qu’on ne lui parle pas, ces oreilles voulaient entendre. Comme un chat, elle se redresse, afin d’en entendre d’avantage.

« Pas trop tard. »

Trop tard pour ? Mii ne posa pas la question. Finalement, elle s’arrêta, préférant les regarder partir. Elle semblait être à la fois de trop, et ils étaient si ... Ensemble ... Elle leur souhaita bonne chance mentalement, et parti dans une autre direction ...

C’est cela. Pour arriver à ce que l’on souhaite au fond de soi, il faut, à un moment, souffrir. Et avait-elle souffert assez ? Je ne sais pas ... Mais allons dire que oui ... Cette enfant a droit aussi à sa récompense ... Qui sait, prochainement ... Elle pourrait soit rencontrer un nouvel ami, ou alors, un aîné amical ou ... Juste rencontrer quelqu’un. C’était déjà beaucoup. Mii était parti.

- Au revoir, murmura-t-elle.

Le vent porteras son message ? Mais de toute façon, ce n’est qu’un au revoir ...