"Les blessures du coeur sont-elles plus douloureuses que ceux du corps?" [PV Ayumi]

-"Décidement, ça ne s'arrange pas du tout, cette histoire."

C'est sur ces mots, pensé d'un ton assez amère, que Kenshiro se dirige vers l'infirmerie, une main posé au niveau de son coeur. Il allait demandé à l'infirmière de voir si elle ne peut rien faire pour atténuer la douleur qui l'assaile depuis quelques jours. Un véritable imbécile, voici à quoi il s'estime pour le moment. Un imbécile qui connait ce qu'il risque en utilisant le pouvoir le plus puissant de son don : l'arrêt total du temps. Mais plus il passe de temps dans cet établissement, plus il est obligé à utiliser ce pouvoir qui le mine la santé. Mais il sait que plus il utilise son don, plus il augmente en puissance, même si ce n'est que vraiment petit à petit.

Mais pour le moment, sa seul pensé est de trouver de quoi calmer sa douleur au coeur et dans son corps. Heureusement, il est absolument certain que le directeur n'est pas au courant de ce petit "prix à payer" pour utiliser l'arrêt total. Mais il vaut mieux éviter qu'il soit au courant de ce genre de détail.

Pour il ne sait quel raison, il se sent toujours observer là où va, sur tout ce qu'il fait et dit. Depuis quand il se sent ainsi? Depuis sa dicution avec Marya. Et encore, Kenshiro n'est pas du genre suspicieux, mais ici, à Takuestsu, Kenshiro à dû apprendre à ne pas se fier au première apparence. Non pas que Marya à dit quelque chose sur le sujet, mais un court silence à bien valut à un long discourt sur le sujet. Kenshiro fait mine de ne rien savoir, afin d'éviter que sa "petite soeur" n'ai d'ennuie pour rien.

Enfin, revenons aux problèmes actuel de ce lycéen qui à des ennuies plus que normal. Sa respiration le gène un peu, ainsi que des sortes de douleur au niveau de la poitrine. Rien de bien méchant, mais qui commence à devenir bien plus que génant pour plus tard. De plus, avant de prendre tout et n'importe quoi, il vaut mieux savoir ce qui tourmente son corps. Il avance donc, sans se hâter, vers l'infirmerie.

Mais alors qu'il se trouve non loin de la dîte pièce, il tombe, dans un croisement, nez à nez avec Ayumi. La jeune fille animorph fut aussi surprise que lui de le croiser en direction de l'infirmerie. Kenshiro ne put réprimer un certain sourire de joie en la voyant.

-"Bonjour, chaton"

Il s'avance vers elle et l'embrasse tendrement. Il recule de nouveau pour appercevoir le visage de son rayon de soleil journalier.

-"Comment vas tu? Je ne m'attendais pas à te voir ici, mais j'avoue que ça ne me dérange pas de te croisser aujourd'hui."

Ayumi revenait d'un cours d'entrainement avec les SA ... et cela ne s'était pas vraiment passer à merveille. Matsuri voulait nous faire apprendre un nouveau style de combat, mais un style de combat plutot dangeureux. Nous devions nous battre contre notre pire ennemi ... nous même. Et bien evidament toutes blessures reçu dans cette "illution" seront devenues réelle quand t-on serait revenu dans le terrain vague. Et puisce que je vous parle de ça ... c'est parce que cela ne c'est vraiment pas bien passer pour Ayumi. Elle était distraite et cela lui avait été fatal. Son autre elle même n'était pas du coup comme notre Ayu, elle ne reflechissait pas avant d'ataquer. C'est ainsi qu'Ayumi s'est retrouver avec l'épaule ouverte.

Les autres étant encore dans leurs "illutions" contre eux même, ne pouvait voir qu'Ayumi était dans un piteux état. Matsuri lui avait tout de suite fait aller à l'infirmerie ... car de toute maniere dans cette état Ayumi ne servait pas à grand chose. Elle n'était pas très utile ces temps si ... elle n'eut pas besoin d'entendre les commentaires de sa prof, elle savait bien ce qu'elle et le directeur pensait d'elle. Ayumi était certainement faible, mais la faiblesse montre que nous sommes humains. Elle ne voulait peut etre pas tuer d'autres gens mais elle l'avait decider ainsi ... peu importe le choix de Matsuri-sensei et Le directeur.

Elle partit donc en direction de l'infirmerie. S'arretant parfois contre un mur. Ayumi n'était pas en forme ... elle ne mangeait pas grand chose ces temps si ... et cette perte de sang soudaine n'aidait en rien. La tête lui tournait. Elle avait une énorme envie de fermer les yeux ... peut etre ne les ouvrirait-elle plus jamais. Etait ce cela sa destiné ?! Si elle devait finir ainsi Ayumi ne pouvait rien y faire. Elle serra son àpaule droite. L'émoragie ne s'arretait pas pour autant et sa tête ne voulait pas s'arreter de tourner. Elle mit sa veste ... pas question qu0elle croise quelqu'un de trop curieux dans les couloirs.

Elle tourna dans un croisement et se retrouva face à ken. Rah ... Pourquoi il faut toujours tomber sur les gens qu'il faut pas. Elle lui fit un sourire. Elle était tout de même heureuse de voir son petit ami. Elle ne le voyait pas souvent depuis l'incident avec Marya. Oui au debut c'était Ayumi qui le fuyait ... mais maintenant c'était parce qu'elle n'avait pas le temps de le voir. Avec la SA, le Jiyuu et autre ... elle n'avait plus de temps pour elle. Et ses problemes qu'elle essayaient de cacher prennaient de plus en plus de place.

-"Bonjour, chaton"

Ayumi ne dit rien ... elle lui fit juste un sourire amoureux. Et quand son cheri se pencha vers elle pour l'embrasser, elle ne put que lui rendre son baiser. (oui c'est logique me direz vous xD)

-"Comment vas tu? Je ne m'attendais pas à te voir ici, mais j'avoue que ça ne me dérange pas de te croisser aujourd'hui."

On était juste devant la porte de l'infirmerie. Donc Ken allait à l'infirmerie aussi ... Ayumi ne prit pas beaucoup de temps a repondre parce qu'il allait remarquer qu'elle lui cacherait quelque chose ...

- "Sa va ... Oui ça fait un moment. Ken tu es malade ?"

Quelque chose pour gagner du temps ... Ken lui expliqua pourquoi il était ici et lui demanda ce qu'elle fesait ici.

- "Ah moi ... je rentrais dans ma chambre ..."

Ah zut ma chambre c'est de l'autre coté. Alors que Ken n'avait pas du tout gober son excuse.

- "Ahah ^^'' Oui j'ai un peu la tête dans les nuages ses temps si. Rien de grave ne t'inquiete pas. Bon bah ... je vais y aller.

Ayumi est vraiment nulle en mensonge. La blessure ... peu importe, elle querrirait cette maudite plaie toute seule. Comme elle l'avait toujours fait. Alors qu'elle allait se tourner pour retourner dans sa chambre ... ken attrapa le bras d'ayu ...

Ayumi# "Ca va ... Oui ça fait un moment. Ken tu es malade?"

-"Pas vraiment...juste un petit malaise de rien du tout pour le moment, en tout cas. Et toi? Que fais tu par ici?

- "Ah moi ... je rentrais dans ma chambre..."

-"Elle me prend pour un idiot?Heu....chaton, les dortoirs se trouve de l'autre côté de l'institue.

- "Ahah ^^'' Oui j'ai un peu la tête dans les nuages ces temps ci. Rien de grave ne t'inquiete pas. Bon bah ... je vais y aller.

Ayumi salut poliment Kenshiro, qui n'était en rien convaincu de l'excuse d'Ayumi. Elle est loin d'être aussi idiote et tête en l'air qu'elle aime le faire croire, mais semble vraiment pressée de quitter la présence du lycéen. Il ne pense pas qu'elle lui en veut encore pour le coup de la piscine, elle semble même être en train de cacher quelque chose envers lui. Le maître du temps s'intéroge sur cette question, mais n'eu pas vraiment le loisir d'y réfléchir, étant donné que la belle commençait à partir à l'anglaise devant lui.

Soudain, durant une fraction de seconde, quelque chose le frappe directement aux yeux lorsque la jeune fille fesait demi-tour sur elle même. Une tâche rougeatre et étincelante attire son regard sur l'épaule de la fille. Bien que le t-shirt d'Ayumi soit noir, il distinguait fort bien la tâche écarlate qui ornai l'épaule droite de la jeune fille au cheveux gris (Si, ils sont gris, j'ai eu l'autorisation de la patronne sur le sujet :p). Kenshiro, sans attendre qu'elle ne s'éloigne d'avantage, lui attrape le bras gauche pour la retenir. Ayu se retourne, étonnée de l'action faite par le lycéen balafré. Le visage, habituellement souriant surtout envers elle, était un peu plus soucieux que d'habitude. Et il avait une raison de l'être. Ayumi, voyant ce visage, baissa les yeux en voyant qu'il avait comprit qu'elle ne s'était pas égarée.

-"Ecoute, Ayumi. Que tu veux pas me dire certaine chose pour ne pas m'inquieter, je le conçois. Mais que tu n'aille pas immédiatement te faire soigner parceque je me rend également à l'infirmerie, je ne le conçois absolument pas, surtout pour une plaie qui saigne. Montre la moi, s'il te plait."

Tout d'abord hésitante, Ayumi déplace alors son haut pour montrer la plaie qu'elle venait apparement de se faire. Une coupure net qui saigne peu, mais qui saigne quand même.

-"Bon, c'est pas encore trop grave, mais tu vas passer la première. Je peux me permettre d'attendre un peu, pas toi."

Ken attrape la néko par la taille et la dirige vers l'infirmerie, non pas par peur qu'elle ne peut plus marcher, mais pour éviter qu'elle commence à fuir en courant (On ne sait jamais. Qui n'a jamais eu peur d'aller voir un médecin un jour?). Il ouvre la porte et fait entrer Ayumi assez rapidement, tout en criant pour alerter l'infirmière.

-"Madame Ogawa (Et oui, la femme du directeur est l'infirmière de l'école), j'ai une amie qui s'est bien coupée à l'épaule, et ..... Madame Ogawa, vous êtes là?? "

Seul l'écho de sa voix qui resonne dans la pièce lui offre une réponse à sa question. Personne ne se trouve dans l'infirmerie, même pas le chat (Bon, maintenant, il y a Ayumi [//SBAM//] Oui, bon, j'ai compris, j'ai rien dit Vous avez vraiment aucun humour) Le silence est tellement pesant qu'on entendrait les mouche voler au dessus d'eux.

-"C'est pas possible, ça. Elle est passée où?"

Il s'avance vers le bureau de l'infirmière et y découvre un mot replié sur lui même. Kenshiro s'en empare et commence à le lire.

Citation :: Aux élèves qui me cherche.

Je suis partie chercher des vaccins et des médicaments qui sont en rupture de stock dans notre pharmacie. Je reviens d'ici peu, veuillez attendre mon retour. Vous pouvez ouvrir la boite à pharmacie d'urgence pour les problèmes mineurs au cas où.

L'infirmière Ogawa

-"Génial.....Et je fais comment moi maintenant?"

Situation d'urgence, mesure d'urgence. Avant tout, il devait désinfecter la plaie pour ensuite la refermer. Sinon, bonjour les dégats qu'Ayumi aura a subir par la suite. (Comme le comité de censure ne tient pas à ce que je vous détail ça, je me tairai donc sur les multitudes d'infection possible.) Il commence à chercher dans l'amoire à pharmacie que l'infirmière à nommé peu avant.

-"Désinfectant....désinfectant....voyons, voyons...Il n'y a pas des masses de choix dans le coins, et tout les produits sont des marques japonaise, je ne les connais pas.

Cachant un jurons, il s'arrête soudain sur un détail qui a une assez grande importance dans le sujet. Il se retourne vers Ayumi, un peu gené et cherchant les mots pour le lui demandé sans qu'elle ne lui saute dessus pour réduire son dos en steack haché de boeuf (Origine france [SBAAAAAM] MAIEUH ><)

-"Euh...Ayumi. Le temps que je cherche de quoi te soigner, va t'assoir sur le lit....et retire ton haut pour que je puisse m'occuper de toi."

Ci-git Kenshiro Tokisei, lycéen stupide au grand coeur, tué pour avoir dit une phrase de la mauvaise manière

Ken venait de lui attraper le bras pour la retenir. Elle baissa les yeux au sol, il avait remarquer qu'elle avait l'épaule completement araché. Que dire dans ses moments là ... bah pas grand chose c'est bien là le probleme. Elle l'avait surtout remarquer par rapport au regard de Ken. Il était si souriant normalement ... mais sur le coup il était plus soucieux.

-"Ecoute, Ayumi. Que tu veux pas me dire certaine chose pour ne pas m'inquieter, je le conçois. Mais que tu n'aille pas immédiatement te faire soigner parceque je me rend également à l'infirmerie, je ne le conçois absolument pas, surtout pour une plaie qui saigne. Montre la moi, s'il te plait."

Ayumi ne voulait surtout pas l'inquieter, mais lui dire un mensonge ou une excuse du genre "ce n'est rien" ne ferait qu'empirrer les choses. Elle ne pouvait pas se defiler cette fois ci. Elle enleva la manche de son t-shirt noir vers le bas et laiça apparaitre une coupure ... une plaie. Non très saignante mais qui pourrait devenir assez grave si elle s'infectait. Ken examina vite fait la plaie.

-"Bon, c'est pas encore trop grave, mais tu vas passer la première. Je peux me permettre d'attendre un peu, pas toi."

Ken attrapa Ayumi par la taille et en direction vers l'infirmerie. C'est très gentil ... mais je sais encore marcher. Mais bon ... elle ne dit rien. On allait pas rajouter de l'huile sur le feu. Ils arriverent à l'infirmerie et Ken se mit a crier tout d'abord le niom de l'infirmiere pour lui dire qu'elle avait ... de la "visite".

-"Madame Ogawa, j'ai une amie qui s'est bien coupée à l'épaule, et ..... Madame Ogawa, vous êtes là?? "

Mais pas de réponse. Il avait deja deposer Ayumi par terre qui restait planter là à rien faire. Ayumi regardait dans toute la piece. Pas d'infirmiere.

-"C'est pas possible, ça. Elle est passée où?"

Alors que ken grognait (on va dire ça comme ça xD). Ayumi restait toujours planter là. Oui oui j'ai surment pris racine. Elle s'amussait a regarder ses chaussures ... tiens ça me rapelle vagement quelque chose. (dedicasse a ma kohai-chou xD) Ken retournait deja toute les armoires pour trouver quelque chose. Il venait de quitter le bureau de l'infirmiere et y avait laisser un papier. Mais pas envie d'aller voir ce que c'est.

-"Désinfectant....désinfectant....voyons, voyons...Il n'y a pas des masses de choix dans le coins, et tout les produits sont des marques japonaise, je ne les connais pas."

Du désinfectant ... pas de l'alcool 90° ... ou je sens que je vais y rester. Sa brule ce truc c'est horrible ! >< Ken arreta alors sa recherche de désinfectant et se tourna vers Ayumi plutot mal à l'aise. Mauvaise nouvelle ? ôô Qu'est ce que j'ai fais encore. Nééééé mais dis moi >< (Ayumi inpaciente XD noooooooon sans blague)

-"Euh...Ayumi. Le temps que je cherche de quoi te soigner, va t'assoir sur le lit....et retire ton haut pour que je puisse m'occuper de toi."

M'assoir sur le lit ... moui pas de proble et puis ... heinnnnnnnnn OO ... retirer mon haut ? Puis comment ça m'occuper de toi ... néééééééé OO *esprit mal tourné en route*
Je suis trop jeune ... >//////< quoique 16 ans moins 26 jours, c'est pas vraiment jeune. (et ouiiiiii ^o^ mon anni c'est dans 26 jours *claque mentale*) C'est dans la moyenne quoi ... néééé mais qu'est-ce que je raconte. Ayumi reprend toi. Quand Ken parle de s'occuper de toi ... c'est surment pour ... pour ... désinfectant ? ... OO pour me desinfecter ... l'épaule. Oui voila c'est ça. *gros soupire de soulagement* XD Ayumi alla alors s'assoir sur le lit ... purer pourquoi fallait que ça soit un lit ... >> drole de coeinsidence ... *tousse* Elle devint alors ecarlate ... bon ... bon ... Elle enleva alors son t-shirt et se retrouva en soutif. (bah ouai logique) >////< Très mal a l'aise mais alors là très très mal à l'aise. Bon je vais pas vous fair eun dessin (marya come on *claque mentale* XD bah oui marya dessin ... je me comprend) Bon plus qu'à attendre que Ken decide de me donner le désinfectant quand en finisse >///>

Durant un court instant, Ayumi s'est bloquée sur place sur la dernière phrase de Kenshiro. L'imbécile, il aurait dû remonter le temps pour changer la manière de lui demander de retirer son haut afin qu'elle puisse se soigner. Mais avec ses pseudo-problème de santé, il tente d'essayer de ne pas utiliser ses pouvoirs sauf en cas de nécésité absolut, et dans le cas actuel, c'en est pas une. Mais bon, avec les filles, il faut toujours se mettre sur ses gardes, on ne sait jamais. Mal interpreté, la phrase de Kenshiro (Qui, l'on doit bien avouer, porte vraiment sur une confusion extrème) fait tourner à plein régime la partie imaginatif des filles, qui le prenne souvent par le mauvais bout. Et connaissant Ayumi, si elle le prend mal, il était finit (enfin, presque).

Mais heureusement, Ayu semble, après s'être arrêtée quelques instant pour bien traduire les paroles de Kenshiro, avoir comprit qu'il le lui demande pour qu'il puisse la soigner. Respirant de nouveau sans avoir une épée de damocles au dessus de la tête, il cherche de nouveau du désinfectant. Il en est désolé pour la pauvre Ayumi, mais de toute manière, elle allait avoir mal lorsqu'il commencera à soigner la plaie. Encore faut il qu'il trouve de quoi pour le faire.

-"Peuvent pas avoir du Dakin (Antisceptique Français) comme tout le monde dans ce pays? Attend voir ça, c'est quoi ce petit flacon vert? Qu'est-ce qu'il y a de marqué sur le flacon? Anticséptique cicatrisant à base de plante....Désinfecte les plaie en vue d'une suture de la peau. Mais c'est parfait tout ça"

Ayumi ne semble pas tranquil sur les mots de Kenshiro. Et il sait qu'elle le sera encore moins en voyant l'aiguille et le fil pour les sutures. Ken imagine très bien ce qu'elle est en train de penser, mais il sait également comment lui enlever ses doutes de son esprit extremement fertil et à l'imagination débordante. Il s'approche donc d'elle, avec le flacon, les compresses, et le reste du materielle. il s'assied derrière elle, et remarque qu'elle ne la pas quittée des yeux. POur la première fois depuis tout à l'heure, il sourit pour la calmer.

-"Ne t'en fais pas, je ne te ferrais les points de suture que si l'infirmière n'arrive pas entretemps. Et je ne te ferrais pas non plus un carnage, je sais les faire. Bon, je ne suis pas medecin, mais j'ai mon brevet de secourisme et ma mère m'a apprise à faire les points de suture pour ce genre de blessure."

Ayu se detend un peu, mais reste quand même un peu tendu sur le sujet. C'est vrai après tout, Kenshiro n'est pas medecin, et il n'a fait les points de suture qu'une seul fois, et ce n'était pas sur un être humain. Ce n'était même pas de la viande vivante, vu que c'était une cuisse de gigot cuit (Pas terrible comme premier essai). Bien que les sutures étaient, par les dire de sa mère, très bien réussi, son père hurla au desespoir en étant obligé de coupé un gigot déjà bien amoché.

Enfin, retournons à nos moutons (qui eux sont encore capable de se nourrir d'herbe) et à notre problème actuel. Kenshiro prend une compresse et l'imbibe d'antisceptique. Il pose le flacon et se tourne vers elle, les yeux posé sur la plaie (et pas ailleur) Il déplace les cheveux pour éviter qu'ils trainent dans le sang.

-"Bon, je presume que tu t'en doute, mais ça va faire un peu mal. Mais dis toi que si tu as mal, c'est que ça marche."

Il aurait bien dit "c'est que t'es encore en vie", mais tradition française, il à tourné sept fois sa langue dans sa bouche avant de dire une connerie. Il commence donc à désinfecter la plaie avec la compresse, de l'interieur de la plaie, vers l'extérieur. Ayu retient un petit cri, mais sa main se cripse sur le matelas du lit.

-"Ne t'en fais pas, ça ne durera plus bien longtemps. Et puis, tu as du en avoir bien d'autre, des blessures de ce genre."

Toujours en pleine active recherche ...

-"Peuvent pas avoir du Dakin comme tout le monde dans ce pays? Attend voir ça, c'est quoi ce petit flacon vert? Qu'est-ce qu'il y a de marqué sur le flacon? Antiseptique cicatrisant à base de plante....Désinfecte les plaies en vue d'une suture de la peau. Mais c'est parfait tout ça"

Né ... j'aime pas les mots. Je n’ai jamais aimé les médicaments. >< Mais n'ayant toujours pas l'esprit tranquille. Le truc de médecine le l'intéressait pas des masses là. C'est fou ce qu'on peut stresser pour aller chez le médecin. Surtout les vaccins. Dite pas le contraire, les filles seront d'accord avec moi, celle qui ont prit le vaccin HPV. Tout le monde disait qu'il faisait archi mal et tout le tralala ... alala ce qu'on peut exagérer. Tout ça c'est dans la tête, plus tu te dis que ça fait mal plus t'a mal. C'est logique. Enfin ... je crois. Ken vint vers Ayu avec un flacon, des compresses, un fil OO ... pour quoi faire ... et une O_O aiguille! Non non non non >< C'est qu'une petite coupure pas besoin de la recoudre ... pas vrai ? é.è

-"Ne t'en fais pas, je ne te ferrais les points de suture que si l'infirmière n'arrive pas entretemps. Et je ne te ferrais pas non plus un carnage, je sais les faire. Bon, je ne suis pas médecin, mais j'ai mon brevet de secourisme et ma mère m'a apprise à faire les points de suture pour ce genre de blessure."

Ah ah ^^'' c'est étrange ça me rassure pas plus que ça. Les aiguilles et tout le trala ... je n’ai jamais aimé ça. Enfaite en y pensant ... j'ai jamais aimé aller chez le médecin tout court. Ayu observait toujours ce que faisait Ken ... au cas où elle devrait se reculer d'un coup en voyant une jolie aiguille s'approcher. Ohhh quelle chance ! La fenêtre est ouverte. Mais Ken ne faisait que mettre du désinfectant sur une compresse. L'opération "soignante" est sur le point de commencer mon général. Ken retira les cheveux qui trainaient sur le coté droit pour les mettre de l'autre coté. La ou la blessure n'était pas.

-"Bon, je présume que tu t'en doute, mais ça va faire un peu mal. Mais dis toi que si tu as mal, c'est que ça marche."

Complètement pas intéresser par ses mots mais par autre chose XD Tiens ayu vient de remarquer quelque chose ... elle avait toujours été assez frileuse mais le contact entre la main de Ken et le cou d'Ayu était ... comment dire ... assez réchauffant ... AHHHHHH mais la compresse sur la blessure l'était encore plus. X_X (bah oui bande de pervers j'ai dis ça pour faire une comparaison pas pour autre chose Ahaha XD) Ayumi s'accrochait déjà au matelas et priait pour que ses ongles et autre accessoires félins restent dans son corps ... trop tard. >> Et oui quand Ayu a mal ... ou plutôt qu’elle se sent en danger. Paf x) ohhh les jolies n'oreilles ! /SBAF Ohh le pauvre matelas qui aura un gros trou x)

-"Ne t'en fais pas, ça ne durera plus bien longtemps. Et puis, tu as du en avoir bien d'autre, des blessures de ce genre."

Pour en avoir elle en avait. Ses cheveux restaient collés à son magnifique sparadrap fait maison. Ayumi avait une autre blessure sur le dos. Beaucoup plus veille ... datant un peu près de ... 9 ans si je m'en souviens bien. Et cette pauvre petite blessure n'avait jamais vu du désinfectant de sa vie. C'était peut être le moment de le faire ... non Ayu ? Ayumi soupira ... le moment était peut-être (et je dis bien peut être) venu de faire ce qu'Ayumi détestait le plus. Se plaindre ... ou plutôt demander de l'aide ... montrer que même elle a des failles ...

Personne n'est infaible ... personne ... Comment vivre sans faire confiance en personne ...

Ayumi baissa la tête et ses cheveux vinrent lui cacher son visage. Ken stoppa la désinfection ... peut être pensait-il qu'Ayu avait mal ou autre chose. Mais il fut assez surpris quand la main "valide" d'ayumi vint s'agripper à son t-shirt et qu'elle vint se blottir dans ses bras ... la tête enfouit dans son torse. Ayumi chuchotait quelques phrases qu'on ne comprenait pas vraiment. Des mots ... rien de plus. Des mots pousser par le vent qui ne se transforment qu'en murmures que plus personne n'entend ... que plus personne ne veut entendre.

Ayumi demanda à ken s'il ne pouvait pas lui désinfecter la plaie qu'elle avait sur le dos. Au début, Ken tira une tête assez sérieuse. Ayu s'était encore blessée et elle ne s'était pas soigner immédiatement. Ayumi ne dit rien. Elle passa juste une main sur le haut de son dos et on entendit un bruit de déchirement. (Vous savez le bruit srachhhhh comme quand on enlève la cire *claque mentale*) Ayumi se retrouva avec dans sa main droit un bout de papier encadrer de scotch et immaculé de sang qui avait déjà séché. La plaie avait elle aussi déjà séchée mais sans aucun traitement ... donc une blessure pas jolie à voir. Mais surtout c'était un endroit ou une blessure était étrange. Toute seule on ne pouvait pas se faire une blessure sur le haut du dos ... une explication ... ça ne serait peut être pas inutile. Alors que ken désinfectait la plaie, Ayumi lui raconta la vérité. Enfin plutôt ce qui c'était passer. Le fait qu'elle déteste son père, Ken le savait déjà. Mais il ne savait pas que son père était violant avec elle ... et encore moins qu'il lui avait fait des blessures. Ayumi était jeune se faisait toujours battre par son père ... et cette fois si c'était contre un table en verre qu'elle s'était cogner. Vous en voyez par vous même les dégâts ... quand vous étez une jeune fille de 5 ans sans personnes a qui se confier ... à qui va-t-on faire soigner ses blessures ?! A force les blessures physique ne sont plus rien par rapport aux coups que votre cœur à pris ... Ayumi n'était pas une bonne fille ... pourquoi ?! Tout simplement parce qu'elle aimait sa mère et que sa mère l'aimait aussi. Son père était étrange ... mais Ayumi n'avait jamais essayé de le comprendre ... à 5 ans que voulez vous comprendre. Plus le récit d'Ayumi avançait plus sa voix devenait brisée et pleine de larmes ...

Le nom Ayumi ne veut il pas dire Loveless dans une autre langue ?! Ou alors destiné à vivre sans amour ...

{ Bof Bof mon post >>'' Gomen j'avais pas trop d'idées ! }

Ayumi commence à se transformer en chat, du moins au niveau des oreilles, et peut être également des ongles. Il vient tout juste d'entendre le bruit du tissu qui se déchire lorsque qu'on lui plante un couteau pour faire un trou. Bon, dans ce cas là, on en a cinq magnifiques qui aèrent bien le matelat du lit de l'infirmerie. Dommage, il avait encore de belles années de services à fournir, le pauvre, Mit en retraite anticipé suite à des soins légers, on peut rever mieux comme fin pour un lit d'infirmerie. Enfin bon, là n'est pas le sujet, alors on y retourne rapidement. Kenshiro continuait à appliquer sa compresse imbibé d'antiscéptique sur la plaie, fesant encore ses mouvement simple de l'intérieur vers l'extérieur.

Mais sans dire quoi que se soit, la tête d'Ayumi s'abaisse, stoppant ainsi le mouvement perpetré par Kenshiro depuis le début. Il ne pense aps que ce soit la lotion antiscéptique qui lui fait trop mal, Ayumi n'est pas le genre de fille à se plaindre de ça. Serait-ce sa phrase dite quelques secondes plus tôt. Aurait elle eu plus d'impact qu'il ne l'aurait pensé? Mais de quelle manière? Kenshiro pensa de suite à la mort de la mère d'Ayumi par son père, mais il se doute qu'il n'y avait pas seulement que ça.

Un soupire coupe le silence qui survollait le couple durant quelques secondes. Kenshiro ouvre la bouche pour lui demander ce qui lui arrive, mais il n'eut pas le temps de soufler le moindre mot. Ma main gauche d'Ayumi attrape d'un geste vif le t-shirt blanc de Kenshiro avant que la tête grise de la néko-girl ne s'enfuisse dans le torse du lycéen. Instinctivement, et ne voyant pas quoi faire d'autre sur le coup, Kenshiro enlace Ayumi, oubliant que cette dernière ne portait que son soutient-gorge (Et oui, les mecs ne sont pas tous des pervers, surtout si leurs amours est sincères. Ce qui, au grand dame de certain, est le cas pour les deux jeunes gens. Na). Il entendait des murmures poussées par Ayumi, il ne réussit pas à les entendres ou bien les comprendres. Il n'entendait que quelques mots, dit juste un peu plus fort que les autres. "Haine", "Frappée", "Morte", rien de bien joyeux donc. Kenshiro comprend qu'elle porte plus d'une blessure sur elle, et que le flacon d'antisceptique qu'il à dans les mains ne lui sera pas suffisant.

Quelques instant passe avant que la tête d'Ayumi ne sorte de nouveau à la lumière de l'infirmerie, les yeux rougient et humides. Le regard de Kenshiro croise de suite les yeux émeraude foncé de la jeune fille.

Ayumi "Ken, pourrais tu aussi...soigner une autre blessure?

Sa réponse n'avait pas besoin d'être dîtes, il accepta sans même répondre à la jeune fille qui se retourne dos à lui. Sa main valide attrape quelque chose qui est caché par ses cheveux gris, ce qui a empêché Kenshiro de s'en appercevoir plus tôt. Un bruit de sparadra que l'on arrache lentement de la peau se fait alors entendre. Ken apperçoit de la main qui ressort de la cheveulure un bien étrange pensement : un bout de papier écarlate tenu par deux morceau de scotch. Oubliant ce morceau de papier, il déplace les cheveux d'Ayumi pour qu'ils se retrouve de l'autre côté de son épaule, sur son torse.

Ken fut fortement choqué, il n'y avait pas d'autre mot pour décrire ce qu'il était en train de resentir sur le coup. Une cicatrice à moitié fermé se trouvait en plein milieu de son dos, qui part de son cou et long de quelques centimètres. Bien que Kenshiro ne soit pas un spécialiste en médecine et n'avait pas fait d'étude spécifique, c'était loin d'être un quiche et comprenait bien que la blessure n'a jamais été soignée et qu'elle ne datait pas d'hier. La blessure avait plusieurs années et n'avait pas guérit complétement.

Sur le coup, Ken ne savait pas quoi dire. Engueuler Ayumi pour ça? En avait il vraiment le droit, vu qu'il ignore de quel manière elle avait eu cette blessure. Et de toute manière, ce n'était pas son genre de crier sur les filles. Reprenant son calme, il attrape une nouvelle compresse et commence à nettoyer également cette plaie, l'autre étant bien nettoyée et en partie refermée, attendant juste qu'on la recoud. D'un ton qui lui appartient plus, Kenshiro tente de comprendre l'histoire de la jeune fille, et de sa propriétaire.

-"Comment t'es tu fais ça? Et pourquoi ne pas l'avoir fait soigner avant?

-Mon père...me l'a faite, il y a très longtemps.

Sans s'arrêter de s'occuper de la plaie, Kenshiro écoute sans dire la moindre remarque l'histoire de la jeune fille. Il connaisait, depuis leurs première rencontre, la haine d'Ayumi envers son propre père. Ce même homme qui est responsable de la mort de sa mère et de son animal de compagnie. N'importe qui haïrai son propre pour avoir tuer sa mère, mais ce n'est rien de plus qu'une partie que Kenshiro connait de cette haine, et il se rend compte, au fûr et à mesure, que le mur de haine de la jeune fille est bien plus haut et plus épais qu'il ne l'aurai imaginé. En fait, il avait raison, "elle en avait vu d'autre". La douleur de sa récente plaie n'est absolument rien comparé à celle qui assaille le coeur de la jeune fille.

-"Mais quelle douleur est la plus intense? Celle du corps ou celle du coeur (âme)? Question stupide."

Plus il écoute l'histoire d'Ayumi, plus il se trouve un peu minable face à elle. Lui qui a toujours vécu dans une famille qui l'aime, n'ayant jamais subie aucune correction qu'il ne méritai pas. Comment son existense pouvait elle faire le poids face à la sienne. Soudain, il remarque que plus elle en parle, et plus sa voix commence à être cassée (ce qui est plus que normal dans un sens).

Ayumi# "Je n'ai jamais compris la haine de mon père envers moi, et je n'ai jamais eu envie de la comprendre. Je...Je ne sais pas pourquoi je suis la proie de sa haine. Pourquoi ...

Ken s'arrêta de suite avant qu'elle ne termine sa question qu'elle est en train de poser. Toujours dans son dos, Kenshiro passe ses bras autours du corps d'Ayumi et la serre tendrement contre lui. Elle en fut tellement surprise qu'elle en arrête de suite ses paroles. La tête du lycéen se pose sur l'épaule gauche de la jeune fille (Ben oui, l'épaule droite à encore sa plaie, bande de nouille).

-"Je ne peux pas répondre à la question, comme personne ne peut y répondre à part ton père. Mais je sais une chose, c'est que ton existence ne peut pas être remis en cause par qui que ce soit, même pas par toi. Ton nom reflète bien ta personnalité et tu ne dois pas l'oublier. En français, ton nom se traduit par "J'existe", c'est un nom révelateur porté par ceux qui demande de l'affection. Lorsque je t'ai rencontré la première fois, je t'ai entendu chanté, j'ai pris concience de ton existence, et je suis tombé amoureux. Tu as des amis sur qui compter, des gens qui t'aime et qui tienne à toi. Tu n'es plus seul à présent."

[Hrp] 1/ J'ai eu l'autorisation de la patronne pour faire parler son personnage.
2/ Le nom Ayumi se traduit exactement par "J'existe et je suis belle"

[Incrust POWA !!!! It's My turn, bande de Baka !]

Marya était rester pendant tout ce temps derière la porte, à écouter attentivement.

Marya était restée sur la porte à écouter, au départ pour Ken, pour Ogawa ... Et puis Ayumi, pour Seshuu ... Et puis eux deux, pour Ogawa aussi ...

Eux deux pour elle enfin ...

Ne ... Vous aimez pas ...

Ken, pourrais tu aussi...soigner une autre blessure?

Ne vous faites pas tant confiance ...

Elle les entendait, elle entendait Ayumi, son histoire ...

Ne ... Vous aimez pas à ce point ...

Je n'ai jamais compris la haine de mon père envers moi, et je n'ai jamais eu envie de la comprendre. Je...Je ne sais pas pourquoi je suis la proie de sa haine. Pourquoi ...

Ne soyez pas si humains ... !

"Je ne peux pas répondre à la question, comme personne ne peut y répondre à part ton père. Mais je sais une chose, c'est que ton existence ne peut pas être remis en cause par qui que ce soit, même pas par toi. Ton nom reflète bien ta personnalité et tu ne dois pas l'oublier. En français, ton nom se traduit par "J'existe", c'est un nom révelateur porté par ceux qui demande de l'affection. Lorsque je t'ai rencontré la première fois, je t'ai entendu chanté, j'ai pris concience de ton existence, et je suis tombé amoureux.

Ne soyez pas ... si ...

Marya s'effondre sur place, se laissant glisser pour terminer assise, dos à la salle.

Si il s'aiment tant ... Je vais regretter de leur faire ça ...

Marya savait ce qu'elle devait faire. Séparer Kenshiro d'Ayumi, le soumettre à Ogawa, se servir du fait qu'il était affaibli, quand il était affaibli ... Cet arrête total du temps par exemple ... Et puis ce qu'elle devait faire par desus tout ...

C'était jetter Ayumi dans les bras d'Ogawa.

Plus vous vous aimerez, plus ça aua d'importance ... Plus ça fera mal, plus j'aurai de remorts ... Alors ...

Ne vous aimez pas !
Ne soyez pas si humains !
Ne vous faite pas autant confiance !

Je ne veux pas ... Détruire les gens ...

Mais c'est eux ou nous. C'est elle ou lui, c'est lui ou moi.

Daiichi et elle-même ... avait-ils plus de valeur qu'eux deux ?

Eux aussi avait une vie, une histoire, eux aussi avait des soufrance ... Ayumi venait d'en faire le bilan ... Eux aussi était blessers, aux aussi souhaitaient vivre.

Ne vous aimez pas aussi fort, je dois vous détruire !

"Tu as des amis sur qui compter, des gens qui t'aime et qui tienne à toi. Tu n'es plus seul à présent."

Aniiki, yamete !

Marya n'avait aucune expression sur le visage. Rien dans ses yeux. Mais elle se mordait les lèvres jusqu'au sang, elle tenait sa tête dans ses mains.

Aniiki ! Haitsu no koto ... suki daro ...
[Tu l'aimes]

Mais plus tu l'aimera ... Plus ça ferra mal, quand je vous briserai ... Quand je la briserai ...

Marya sentait ce qui se dégageait d'eeux. De la confiance, de l'affection à l'état pur. Une vague de tendresse qui réparai jusqu'a son propre coeur.

Et je suis sensée détruire ça !

Marya serra les poings, ses ongles s'enfoncèrent dans ses mains.

Ça sert à quoi que je vous dise "Je suis désolée" si je recomance ? Ça sert à quoi si je vous fait encore plus mal ? Ça sert à quoi si à la fin, je vous détruit ?

Ça veut tout dire sauf que je suis désolée !

Je n'ai même plus envie de murmurer dans le vide ... Gomenasai.

Marya se relève, se remet en place, continue découter. Du sang coule sur ses mains et sa bouche. Elle se contenta d'écouter, de regretter ...

Je suppose que je n'ai plus le droit de dire ... "Je suis désolée" ?

Je me souviens encore ... cette salle, cette obscurité, la douleur, les coups ... Une salle ou se trouvait un tabouret qui grinçait à chaque fois que je m'asseyais dessus. Je me souviens encore ... parfois je n'arrivais pas à m'y assoir dessus car papa me frappait tellement que j'en avais mal aux muscles. Cette salle était mon pire cauchemar ... et c'était là ou papa se sentait le mieux. C'était là qu'il me mettait la mort de maman sur la conscience. C'était là ou il se défoulait ... C'était là ou il me faisait douter de moi-même ... Mon cœur partait en miette à chaque mots, à chaque fois ou il disait "ta mère est morte par ta faute ! Tu l'as tué". Jamais je ne pourrais oublier la souffrance qu'il m'a fait subir ... mais si dans un sens il avait raison. Si ... Mon amour était une souffrance ... Que devrais-je faire ...

~ ~ ~ ~ ~

-"Tu n'es qu'une peste ... C'est toi qui l'a tuer ! Tu as tuer la femme qui j'aimais le plus au monde."

-"Pèr ..."

-"Ne m'appelles pas comme ça ! Tu n'es rien pour Moi. Tu n'es rien pour Nous ! "

La petite Ayumi baissa la tête. Elle était haute comme trois pommes, mignonne à en croquer, mais pleine de bleu et de coupures. Elle était assise sur un tabouret en bois plus grand que les tabourets normaux. Elle balançait ses petites jambes dans le vide ... dans le vide de sa vie. La petit lueur de l'on voit dans les yeux d'un enfant épanouie n'apparaissait pas dans les yeux d'Ayumi. Ses yeux brillaient mais pour autre choses ... elle pleurait. Ses yeux étaient emboués de larmes ... de larmes cristallines. Elle restait muette ... de toute manière, elle n'avait pas le droit à la parole. Elle ne devait qu'écouter et être d'accord avec tout ce qu'on lui disait ... approuver toutes ses horreurs que son père lui mettait sur le dos.

-"Je suis ... désolée !"

Ayumi avait murmuré cette petite phrase. Que pouvait-elle dire de plus ... Son père s'approcha d'elle et lui attrapa le menton avec sa main droite, l'obligeant à le regarder dans les yeux. Il serrait si fort qu'Ayumi en avait mal à la mâchoire. Il avait toujours été comme ça ... brute.

-"Cela ne sert a rien de t'excuser ... Personne ne voudra de toi ! Personne ! Qui voudrait d'une petite chialeuse et par dessus le marcher de quelqu'un à l'amour maudit. A chaque fois que tu aimeras quelqu'un cette personne s'en mordra les doigts ... Tu tueras les personnes que tu aimes le plus. La preuve avec mon pauvre amour qui t'a aimé aussi fort qu'elle pouvait. Tu n'es qu'une malédiction ... Tu es seule ... personne ne te tiens la main maintenant. Que vas-tu faire ?! Pleurer ... comme tu sais si bien le faire. Les gens auront pitié de toi ... rien d'autre."

Il lâcha violement la mâchoire de la petite Ayu qui tomba sur le sol. Elle ne regardait pas son père dans les yeux ... trop peur de le défier .... Trop peur de se faire battre. Elle ne fit que regarder le sol et à nouveau approuver ce qu'il lui disait ...

~ ~ ~ ~ ~

Il y a des choses qu'on aimerait oublier ... mais qui restent encrer dans notre cœur ... Alors qu'Ayumi continuait son récit et qu'il commençait à lui rappeler le Flash Back qu'elle avait eu. Père avait surement raison ... Enfin de compte, qui sait. Ayumi sentit deux bras lui attraper la taille et la serrer contre eux ... Ken ! Ken posa sa tête sur l'épaule gauche d'Ayumi, ne la relâchant pas pour autant. Ayumi arrêta son récit ... Elle se sentait bien dans les bras de Ken ... mais sa tête pensait plutôt à ce que son père lui disait ... ses paroles restaient en éco dans sa mémoire …

-"Je ne peux pas répondre à la question, comme personne ne peut y répondre à part ton père. Mais je sais une chose, c'est que ton existence ne peut pas être remis en cause par qui que ce soit, même pas par toi. Ton nom reflète bien ta personnalité et tu ne dois pas l'oublier. En français, ton nom se traduit par "J'existe", c'est un nom révélateur porté par ceux qui demande de l'affection. Lorsque je t'ai rencontré la première fois, je t'ai entendu chanter, j'ai pris conscience de ton existence, et je suis tombé amoureux. Tu as des amis sur qui compter, des gens qui t'aime et qui tienne à toi. Tu n'es plus seul à présent."

Ayumi eut un sursaut de surprise ... Elle posa ses mains sur les mains de Ken qui se trouvaient toujours sur sa taille.

Il dit exactement l'inverse de père ...

Dans un simple murmurèrent, on put entendre Ayumi prononcer un simple :

-"Merci"

Ayumi se retira de l'étreinte de Ken. Elle se tourna face à Ken et posa sa main sur la joue droite du jeune garçon. Elle approcha son visage de celui du garçon pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Elle chuchota un brève "Je t'aime" avant de repartir dans ses pensées.

Sa mémoire voulait en faire des siennes encore ... cette culpabilité ne partirait-elle jamais.

-"Tu n'es qu'une malédiction ... Tu es seule ... personne ne te tiens la main maintenant."

Non, c'est faux !

-"A chaque fois que tu aimeras quelqu'un cette personne s'en mordra les doigts ..."

Non

-"Tu turas les personnes que tu aimes le plus."

Non

Ayumi s'éloigna d'un coup de Ken. Elle ne pouvait pas le mettre en danger ... non. Cela ne devait pas se reproduire! Elle alla s'assoir sur un coin du lit gardant une distance raisonnable avec le jeune garçon qui n'y comprenait plus rien. Elle venait de l'embrasser, lui dire qu'elle l'aimait et maintenant elle le fuyait. Mais Ayumi, elle se battait contre son Ford intérieur ...

Kenshiro est à présent hors du lit, dos à terre, et une belle bosse sur le crâne.

Toujours alongé sur son matelas de marbre (le sol, pour les andouilles qui ne comprenne pas les métaphores.) et encore un peu sonné par le choc obtenue lorsque sa tête eut heurté le sol, il se demandait ce qui a bien put se passer, ou ce qu'il avait bien put faire, pour qu'Ayumi le repousse comme ça. Il avait beau tourner le problème dans tout les sens, il ne voyait pas ce qu'il avait fait de mal. Mais maintenant que ces cellules grises se sont remises correctement en place, il décide alors de se relever afin de demander directement à l'interessée. Mais de nouveau debout, il apperçoit la jeune fille assise un peu plus loin, le regard perdu, presque pleurant. Kenshiro pense même qu'elle est déjà en train de pleurer, et décide de ne pas s'approcher d'avantage.

Seulement, le jeune homme ne comprenait plus rien à la situation. Ayumi l'avait remercié, l'avait embrassée, et lui avait même murmurée qu'elle l'aimait. C'est ensuite que tout est passé si vite et que Kenshiro avait perdu le fil de la situation. Seulement voilà, la jeune fille venait de parler de son passé, de son père, de ses douleurs autant physiques que mentales. Un souvenir à dû revenir, une action, une phrase, qui l'a obligée à repousser le lycéen loin d'elle. Il ne doute pas un instant que le père d'Ayumi doit être la cause de ce geste envers lui, mais pourquoi? Qu'avait il dit, qu'avait il fait? Le jeune homme s'attendait au pire, et décide alors d'en savoir un peu plus sur le sujet. Il ne cherchait rien de plus qu'à comprendre les peines d'Ayumi, même si il sait qu'il ne pourras qu'imaginer ce qu'elle à ressentit.

Kenshiro reste donc debout, face à elle, restant à la même distance pour éviter le moindre geste intempestif de la néko-girl. Frotant sa bosse situé derrière sa tête pour atténuer un peu la douleur. Bon, déjà, il a eu de la chance, il ne saigne pas. D'ailleurs, il se rappelle qu'il doit finir de soigner la jeune fille, et remarque que l'épaule droite commence de nouveau à saigner suite aux derniers mouvement d'Ayumi. Seulement, il ne savait pas quoi dire, ou même quoi faire pour réussir à "calmer" la blessée.

-"Il ne t'a pas seulement battu et insulté, n'est-ce pas?"

Le regard de la jeune fille croise celui de Kenshiro durant quelques secondes avant de retourner se braquer vers son short blanc sur lequel ses mains commence à se crisper. Kenshiro s'approche alors vers elle, lentement, sans bruit, avant de se s'accroupir et de lui pendre ses mains dans les siennes.

-"Si tu veux pas m'en parler, je comprendrais, chaton, et je ne t'en voudrais pas. Je sais que j'en demande beaucoup, mais je veux juste comprendre. Je veux savoir ce qui t'a poussé à faire ça. Laisse moi ta confiance, c'est vraiment tout ce que je te demande. Ne me laisse pas sans connaître la vérité.

[Hrp]Petit post, désolé, mais j'ai déja eu du mal à trouver de quoi écrire.

Ayumi avait repoussé Ken d'un coup. Elle ne peut pas vraiment l'expliquer ... c'était comme si elle venait de recevoir un coup d'éclair et qu'elle devait réagir. Elle n'y était pas vraiment allée mollo et puis l'effet de surprise y était pour quelque chose aussi. Ayumi n'était pas vraiment elle même dans ces moments là ... Quand son passé se mélangeait a son présent ... cela faisait souvent de drôles de mélanges et des grandes douleurs ...

Ayumi était assise sur le lit. Les yeux dans le vague, la tête encore dans le passé. Cette maudite partie de sa vie ne sera jamais effacer de sa mémoire. Elle devra vivre encore et encore avec ces remords, ces horreurs dites par son père. Comme si les coups ne suffisaient pas. Son épaule lui faisait mal de nouveau. Avec tout ses mouvements elle avait du remettre la plaie en sang ... mais peu importe ce n'était pas ses blessures physiques qui lui faisaient mal mais ses blessures psychologique. Ses yeux se remplissaient de larmes ...

Père avait raison ... je ne sais que pleurer.

-"Il ne t'a pas seulement battu et insulté, n'est-ce pas?"

Ayumi soulève la tête et son regard croisa celui de Ken. Elle avait eu un frisson ... Ken venait de toucher un point sensible. Elle baissa à nouveau la tête et regarda son short blanc. Une larme s'était déjà détacher de ses yeux pour faire le trajet sur la joue d'Ayumi ... En terminant sur la main droite d'Ayu qui se trouvait sur ses cuisses. (merci a ma cousine XD je me souvenais plus comment on disait ! )

Ses mains se serraient sur ses cuisses. Ses ongles rentraient dans la paume de ses mains. Se faire mal pour oublier à quoi on pense ... drôle de technique. Mais il n'y a que ça qui marche parfois. Elle sentit les mains de Ken prendre délicatement ses mains dans les siennes.

-"Si tu veux pas m'en parler, je comprendrais, chaton, et je ne t'en voudrais pas. Je sais que j'en demande beaucoup, mais je veux juste comprendre. Je veux savoir ce qui t'a poussé à faire ça. Laisse moi ta confiance, c'est vraiment tout ce que je te demande. Ne me laisse pas sans connaître la vérité."

Ayumi serra les mains de Ken. Elle ne lui faisait absolument pas mal. Elle avait juste l'habitude de serrer quelque chose dans ses mains quand elle était sois triste ou énerver.

-"Excuse-moi ... Je ne voulais pas te repousser. Une chose m'est revenue en tête ... Mon père ... disait toujours que si maman était morte c'était par ma faute ..."

Ayumi voyait bien que Ken voulait savoir la suite. Cela n'avait pas de sens ... Ayu n'avait pas put tuer sa mère. Mais Ayumi ne dit plus rien pendant un moment. C'était dur de s'entendre dire que l'on avait tué la personne que l'on aimait le plus au monde ... et que c'était peut-être parce qu'on l'avait aimé qu'elle en était morte.

-"Père ... dit que mon amour est maudit ! Que ce serait à cause de cela que Maman est morte ... Quand j'ai entendu les paroles de mon père ... j'ai eu peur de te faire subir la même chose ..."

Un silence s'installa. C'était totalement idiot ... être maudit sa n'existe pas ... la supercherie c'est quelque chose qu'on ne trouve que dans les livres ... mais je vous le jure. A force de vous bourrez le crane quand vous êtes petits ... vous commencez à y croire ...

Ne me laisse pas. Je ne veux pas être seule ... je veux garder ta main dans la mienne éternellement, mais j'ai peur de te mettre en péril. En amour il faut aussi faire des sacrifices ... et si mon sacrifice devrait être de te laisser partir pour que tu ne sois pas en danger ... je le ferrais. Mais alors je serais à nouveau seule et sous son contrôle. Mon père aurait enfin de compte raison ... et ma vie ne sera plus et rien d'autre que les ombres obscures qu'il m'avait décrit étant petite .... Ne me laisse pas. N'arrête pas de m'aimer. Ensemble on trouvera une solution ... je crois ... j'espère ...
Please, Stay With me !

Lors de sa dernière phrase, Ayumi avait de nouveau baissée les yeux sur son short, laissant tomber des larmes. Une très court labs de temps après qu'elle eu finit sa phrase, Kenshiro l'enlasse de nouveau, posant la tête de la jeune fille sur son épaule et la serrant tendrement contre lui. Il avait imaginé des choses sur le sujet, et la réponse était effectivement très grave. Kenshiro avait beau chercher toutes les raisons possibles, il ne comprennait pas comment un père peut haïr à ce point sa propre fille, et surtout lui imputer la mort d'un être qui leur était chère. Rendre responsable une fille de cinq ans, une chose complètement absurde qu'on se demande comment elle peut exister. Même la tolèrance de Kenshiro ne pouvait pas accepter ce genre de chose.

-"C'est d'une stupidité incroyable."

Kenshiro ne bougea pas d'un pouce, mais il savait qu'Ayumi est surprise par ces paroles.

-"Depuis quand l'amour est-il une malédiction? L'amour, quel qu'il soit, est toujours une véritable bénédiction. Malheureusement, on l'utilise trop souvent et on se cache derrière pour justifier ses actes et ses erreurs. Mais si il y a bien une chose qui ne changera pas, c'est la beauté d'un véritable amour. Ta mère t'aimait vraiment, elle était là pour toi. Elle devait surement t'aimer autant que tu l'aimais. Mais ce n'est pas toi qui est responsable de sa mort, et personne n'a le droit de t'en imputer la faute. C'est la jalousie de ton père qui l'a tuée, rien d'autre, et ton père est juste trop lache pour accepter cette vérité."

Il retire la jeune fille de son étreinte afin de revoir son visage. Elle était subjugée par ses paroles, elle semblait ne pas savoir comment les accepter ou les interprété. Il posa son front sur celui d'Ayumi, sa main gauche posé tendrement derrière sa tête pour la maintenir, son regard posé dans celui de la néko-girl, comme pour lui prouver que les paroles qu'il va dire sont vraiment emprunt de sa sincérités. Elle lui avait ouvert son coeur blessé, il va à présent lui ouvrir le sien.

-"On tente toujours de protèger les choses auxquels on tient le plus au monde, et tu as tenté de me protégé. Je t'en remercie, Ayumi. Mais il faut bien plus que des mots pour me mettre dans la tombe. L'amour est un don de dieu, la jalousie celui du diable. Je ne t'abandonnerai pas pour si peu, pas après ce que je t'ai dis à la fontaine à voeux, je tiens toujours mes promesse."

Pour conclure sa phrase (et pour rien d'autre :p), il approche ses lèvres de ceux d'Ayumi et l'embrasse tendrement. Une fois fait, il éloigne sa tête de celle de la neko-girl, qui semble s'être un peu calmée.

-"Bon...Il serait peut être temps d'en finir avec ces plaies. Malheureusement, l'infirmière n'est pas là, c'est donc moi qui m'y colle."

Il avait dit ça avec son naturel sourire confiant, revenue exprés pour l'occasion. Ayumi, souriant quelque peu, se met dos à lui. Kenshiro repasse un coup d'antiscéptique et commence par la plaie de l'épaule droite. Il prend à présent l'aiguille stérilisé et du fil à suture pour commencer à recoudre. Il tente de faire en sorte que ce soit le moins douloureux possible pour Ayumi, et semble bien y arriver. A bout d'une petite minute de patience, la plaie de l'épaule fut refermée, il suffit juste d'attendre la cicatrisation.

A présent, il s'occupe de la plaie dans le dos de la jeune fille, essayant de la faire refermer du mieux qu'il peut. Il réussit, tant bien que mal, à faire en sorte qu'elle se cicatrise bien. Il finit enfin par refermer cette plaie, qui ne demandait que ça.

-"Pour ta plaie de l'épaule, tu n'aura pas de marque je pense, même pas ceux de l'aiguille. Par contre, pour celui du dos...Elle restera à vie."

A vomir.

Marya avait une de ses nausée ... Insuportable.

Pour un peu qu'elle sache encore pleurer, elle l'aurai fait. Mais elle avait déjà tout pleurer. Elle avait pleurer pour Chi, elle avait pleurer pour ses maux du passé ... Elle avait pleurer pour sa propre douleur ... Mais elle ne pouvait pas pleurer pour ça.

C'était à vomir.

Aniiki ... T'as vraiment décider ... Si tu savais, si tu savais merde ! Tu ferrais ça ? Tu le ferrai quand même pas vrai ? Et encore, si ce n'était que de la pitiée ... !

Tu l'aime merde ! Tu l'aime et elle t'aime, c'est prèsque comme vous ne faisiez qu'un !

Je souffre à chacune de vos paroles, à chacun de vos baisers ...

Pourquoi ...Pourquoi ? Pourquoi suis-je si inutile ?

Je ... ne vais pas sacrifier l'avenir de Daiichi ... Mais contre ça ... Je vais ... Vous deux ...

Je suis ignoble !

Marya tentait de se détendre. Sa respiration était lourde à suporter, ces battmeents de coeurs commançais à lui faire un mal de chien ; rien a voir avec cette blessure desormais oubliés causé par son don ; c'était le dégout d'elle même, la terreur qui lui prenait la gorge chaque fois qu'elle y pensait : les détruire eux ... Pour elle-même.

Je suis ignoble !

Les entendre s'embrasser devenait écoeurant. Elle s'essuyait la bouche et les mains qui était ensanglantés.

A vomir.

Quand Kenshiro comança à recoudre la plaie, elle tenta de se concentré sur les bruits environants ; elle le regretta immédiatements ; elle entendit leur coeurs shynchronisés, et le battmzent si merveilleux de son grand frère.

Vous me lâchez jamais ! Fermez-là un peu !

{ Marya j'ai lu ton post il était 06 du mat' ==''' J'ai mal au cœur ... Enfin débarrasser de ma cousine XD Ken me comprendra ! }

Ayumi se demanda si elle n'avait pas plutôt mal fait de parler de cela. C'était un peu (beaucoup) débile de croire à cela. Mais cela lui hantait l'esprit ... C'était idiot et naïf ... Une chose aussi simple a inventer qu’un esprit enfantin a compléter les failles a force de grandir. Les humains voient tous les choses à leur façon ... et certain on une drôle de façon de voir la vie ... Ken avait pris Ayumi dans ses bras ... il ne devrait certainement pas comprendre le fait qu'Ayu est "peur" de son passé. (Ayu est bizarre ce n’est pas ma faute U_U)

-"C'est d'une stupidité incroyable."

Néé ... qu'est-ce que je disais. J'ai la forte impression de mettre pris une balle de foot en pleine cage thoracique. Sa fait mal ... == Du mal à respirer d'un coup. Mais bon ... Ayu savait que Ken ne comprendrait certainement pas ... il devait la prendre pour une folle maintenant. (créa : Mouahahaha c'est pas dur ça ! / Ayu : è-é Jess ! / crea : *sifflote* ... )

Ayumi entendait à moitié ce que Ken lui disait ... elle ne demandait même si c'était le fait de a gonder parce qu'elle croyait à un truc complètement abstrait ... et ridicule. Mais non ... Ken parlait calmement sans lever la voix et donnait l'air de quelqu'un de compréhensible.

-" ... Ta mère t'aimait vraiment, elle était là pour toi. Elle devait surement t'aimer autant que tu l'aimais. ..."

Maman ... Parfois je me demande comment serait la vie si père ne t'avait pas tué ... si je n'étais simplement pas née. Toi et père auriez surement eu d’autres enfants et tu serais toujours en vie. Ton sourire ne se serait pas étend cette nuit de 27 mai ... en voulant tout simplement me protéger ... Comprends-tu a quel point je peux haïr mon existence ...

-" ... Mais ce n'est pas toi qui est responsable de sa mort, et personne n'a le droit de t'en imputer la faute. ..."

Je sais mais ... je ...

-" ... C'est la jalousie de ton père qui l'a tuée, rien d'autre, et ton père est juste trop lache pour accepter cette vérité."

Je ...

Ayumi ne savait pas vraiment quoi penser. C'était bien trop de dire "oui" a tout le contraire qu'on lui opposer quand elle était petite. Ayumi disait souvent des choses étant petite qu'elle se rappelle encore ... enfermée dans sa chambre au troisième étage, elle n'avait que les petits oiseaux comme compagnie. Elle leur parlait sans savoir qu’ils pouvaient la comprendre ... son don ne s'était pas encore manifester ... Elle leur parlait comme un enfant parle a une peluche quand elle n'a personne a qui se confier. Elle murmurait souvent que même si son père est méchant avec elle, elle lui devait respect. C'était celui qui lui avait donné la vie ... et celui qui pouvait le la retirer quand il voudrait.

C'est simplement maintenant qu'on comprend le sens de nos paroles ... On se dit parfois qu'on est très idiot étant petit ... mais même étant ado ou adultes, on dit des choses absurdes.

Ken lâcha son étreinte sur Ayumi ... allait il la laisser maintenant ... de toute manière elle s'attendait à tout. Mais elle ne sentit que la main du jeune garçon derrière sa nuque et ses yeux se plonger dans les siens.

-"On tente toujours de protéger les choses auxquels on tient le plus au monde ... "

Maman pourquoi n'ai-je pas put te protéger. Parce qu'une Ayumi haute comme trois pommes ne peut pas faire grand chose ... et encore aujourd'hui je n'aurais surement pas put faire grand chose contre père ...

-" ... Je ne t'abandonnerai pas pour si peu, pas après ce que je t'ai dis à la fontaine à vœux, je tiens toujours mes promesse."

Je ne serais pas seule ?! ... Je n'aurais plus cette doleur à la poitrine ... ni cette boule dans l'estomac. Aurais-je enfin une main dans la mienne ...

Une promesse ... j'en avais fait une, il y a longtemps. Qu'est-elle devenue ... je n'en sais rien. Elle est surement dans un coin de ma mémoire. Oublier, ranger dans un tiroir et attendant qu'un jour, j'ai le courage de la tirer pour pouvoir l'accomplir.

Ken venait d'embrasser Ayu. Mais la petite Neko girl avait l'air ailleurs ... Il parlait mais Ayu ne répondait pas. Il continuait a soigner ses plaies ... et ils les avaient même recousu ... Mais Ayu n'en avait pas vraiment eu conscience ... Son esprit était ailleurs. Loin là ou plus de 10 ans de suite, elle s'était retrouver a y aller dans les moments de solitude. Là ou une personne qu'elle aimait le plus restait en connexion avec elle ...

Maman ce soir ... j'aurais put me sacrifier pour essayer de t'aider ... mais j'ai eu peur. Père était énerver et je n'ai pas su prendre mon courage a deux mains et sortir de ma cachette pour te venir en aider. Je me demande parfois comment se serait terminé les choses si je l'avais fait. Père se serait surement venger sur moi et ce serait moi qui serais à ta place. Tu ne penses pas que ce serait plus "juste" ainsi. Tu n'avais rien fait ... Père me détestait moi ... et c'est toi qui a péri. Man ... pourquoi m'avoir donné le ruban rouge quelque jours avant ta mort ... pourquoi m'avoir dit de toujours garder tête haute et faire confiance à la vie. Savais-tu ce qui allait se passer ?! Savais-tu que tu allais mourir pour moi ...

Il faut savoir garder la tête haute ma chérie ... un jour viendra ton jour. Le jour où tu comprendras le pourquoi de la vie. Tu es encore bien jeune mon poussin. Mais garde bien en tête je t'aimerais toujours ... Ce n'est pas un adieu ... c'est un au revoir ...

-" On ne peut pas revenir en arrière. Ce qui est fait et fait ..."

Ce n'était pas à Ken que Ayu répondait ... c'était simplement la suite des paroles de sa mère. Celle qu'elle lui avait dit quelques jours avant sa mort. Ayumi se tourna vers Ken un sourire aux lèvres ... elle reprendrait confiance en elle ... il était peut être temps d'accomplir sa promesse ... Celle de ne jamais faiblir, et de croire toujours en l'existence de sa vie.

Un jour ... le ciel sera à nouveau bleu. Mais dans la vie il faut du bon et du mauvais. On fait parfois de drôles de choix ... mais les sentiments nous poussent à faire de drôles de choses. Je sais puisque c'est toi mon poussin, tu y arriveras ! J'ai confiance en toi ... Je t'aime mon ange !

Maman je te promets de tenir ma promesse ... un jour la tristesse qui git dans mon cœur partira ... et je ne garderais qu'en souvenir que les bons moments ... mais pour l’instant c'est encore trop dur ... mais moi aussi maman je t'aime !

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

Les esprits d'Ayumi semblaient prendre le dessus. Elle n'était plus ni en transe ni en plein cauchemar. Elle soupira ... Le temps pouvait être un bien bonne ennemi parfois. Elle entendit Ken lui dire qu'il avait finit de recoudre ses plaies. Apres avoir sortir la phrase ou tu te demandes mais de quoi elle parle. Elle attendit un moment ... et répondit un simple merci à Ken. Pour la plaie au dos ce n'était pas grave si elle resterait à vie. Au moins elle était plus soignée qu'avant. Elle rougit d'un coup ... tiens elle était toujours en soutif enfaite. Elle allait se lever pour prendre son haut qui se trouvait sur la chaise un peu plus loin mais a peine le pied sur le sol, elle fut prise d'un malaise. Elle tomba à la renverse et s'accrochant au t-shirt de Ken, ils se retrouvèrent l'un sur l'autre sur le lit. D'un coup, une silhouette apparut au contour de la porte ... ah zut. Elle doit se faire un quiproquo de malade. Bah oui, Ken complètement allongé sur Ayu a moitié déshabiller et en plus sur un lit. Désolé il ne faut pas un esprit super pervers pour comprendre ça de travers. Mais passons ... Ken et Ayu super mal à l'aise et la jeune fille (?) enfin si on voit des cheveux de filles / toujours devant la porte. Né va se passer quoi maintenant ?!

{ Voila XD ... bon vous me dite si sa va ^^ Bon j'ai tout inventer x) mais bon ... je voulais mettre marya en action =D Vous me dites si sa va pas x) }

Kenshiro, posant les objets qui lui ont servit à soigner Ayumi, entend la phrase de la jeune fille. Bien qu'il comprend qu'elle ne s'adressait pas directement à lui, il avait l'irresistible envie de sortir le mot ultime qui resume bien la condition mental confuse dans lequel les gens comme lui se retrouve. Principalement utiliser en France par les habitants de la région Nord, que l'on traduit par "Pouvez vous répêter votre question, s'il vous plait, mademoisselle", mais que l'utilisation fort simple est bien plus rapide à lire et à comprendre.

-Hein???

La jeune fille semble perdu dans ses pensées, Kenshiro pose sa main sur l'épaule gauche afin de l'en faire sortir. La jeune fille se tourne, appercevant alors un Kenshiro un peu troublé par une quelconque parole dite par elle. Enfin, Kenshiro n'est pas énormément troublé non plus, juste un peu étonné par la phrase qui est sortit de la bouche de la jeune fille.

-Je peux savoir de quoi tu parle?

Ayumi lui sourit pour toute réponse, comme pour lui dire que ce n'est pas très important. Mais après quelques secondes de silence, elle le brise en disant un merci, cette fois destiné au jeune homme. Sur le coup, il se demande si, comme choix de carrière, il devrait pas faire psychiatre pour pré-ados, ados et jeunes adultes. Rien que dans cette établissement, il deviendrait extremement riche, surtout si le dirlo est encore là quand il obtiendra son diplome. Mais ce choix de carrière demande énormement d'étude, et il ne désire pas plus que ça rester sur les bancs de l'école plus que nécésaire.

Soudain, Ayu devint écarlate. Ken se demande bien pourquoi et se souvient maintenant qu'elle était encore en soutif (Et oui, avec le genre de discution que l'on a eu avant, ce genre de détail passe bien souvent à la trappe). Ayu tente de récuperer son haut, mais elle fut prit d'un vertige et attrape alors le t-shirt de Kenshiro pour se retenir. Tout se passe alors tellement vite que même Kenshiro ignore comment ils ont réussi à se retrouver dans la position suivante : Ken allongé sur le lit, Ayumi sur lui à califourchons.

Les deux jeunes gens ont alors un échange de regard assez géné. Mais un bruit vient en direction de la porte, obligeant le petit couple à regarder dans cette direction. On y appercevait quelqu'un, et ce quelqu'un les avait vu également. Et là, Kenshiro pense fortement à l'allocution habituelle des situation désastreuse (je veux bien marqué ce que c'est, mais si je le fais, Raijin-sama risque de flamber un de ses fusibles atomics. Et comme je veux encore rester dans le forum un bon moment, je ne le marquerais pas.).

Soudain, il observe la silhouette, et elle lui dit quelque chose. Déjà, il en est certain, c'est celle d'une fille, et d'une qu'il connait. Ignorant depuis combien de temps elle est en train de les espionner, Kenshiro se refuse de revenir dans le temps pour empêcher ce qu'il vient de leurs arriver. Toutefois, bien qu'il ne bouge pas d'un pouce et la tête en arrière, il s'adresse à la personne comme si il avait deviné l'identité (ce qui n'est pas le cas)

-C'est pas sympa de faire du voyeurisme comme ça. J'ai horreur que l'on m'observe.

Marya devant les deux zozos à une envie d'exploser de rire : ceci est faux.
Marya devants ces deux imbecils pique un fard : ceci est faux aussi.
Marya va sortir pour ne pas derranger : encore tout aussi faux.

-C'est pas sympa de faire du voyeurisme comme ça. J'ai horreur que l'on m'observe.
-Onto Aniiki shiteru ?
[Vraiment tu sait grand frère]

Marya s'avance et femre la porte derière elle, le visage toujours aussi vide d'émotion qu'habituellement, aillant reussi au préalable à effacer toute trace des ses précédant malaises.

-Ça ne me derrange pas que tu ait des désir, mais ferme la porte au moins.

Elle se dirrige vers une étagère, ouvre un tiroir, prend un petit objet et le balance aux deux autres qui le ratrappent instictivement.

-Et comme avoir ce genre de relation est interdite en dehors des SA pour Ayumi-sempai, on va éviter qu'un gosse prouve votre culpabilitée.

Marya venait de leur jeter des preservatifs.

Elle se dirrige vers le petit coin bandelettes pour enrober de gaz ses mains transpercées par ses ongles et va au lavabo pour se lavre le visage, tacher par le rouge de ses lèvres.

-Aniiki ... Fais juste attention ...

Car j'ai compris ... Qu'il faudra du temps pour vous désunir ... J'attendrait le moments où vous aurrez le moins mal ... Fait attention Aniiki ; fait attention à moi.

Puis elle se retourna vers le couplequi la regardait avec des yeux effarés.

-Non je n'ai pas de camera, pourquoi vous m'observez comme si j'avait tuer quelqu'un ? Et Sempai, ton soutiens gorge est détacher à la première agraphe, détache l'autre au moins.

La réponse de la personne qui se trouve à l'extérieur parmet à Kenshiro, rien qu'avec la voix, de determiner de qui il s'agit. Et il a eu raison de dire qu'il connait bien la personne, vu qu'il s'agit ni plus ni moins que la princesse blanche en personne, Marya. Bon, c'est plus le fait qu'elle l'appelle "Aniki" qui lui à permit de déterminer son identité qu'autre chose, mais passons, là n'est pas le sujet. Toujours allongé sur le lit, il apperçoit la nouvelle venue en train d'entrer par la porte et de la refermer derrière elle.

Marya #"Ça ne me dérange pas que tu ai des désirs, mais ferme la porte au moins"

Kenshiro vire au rouge. Surtout que le ton qu'emploi Marya sonne un peu faux par rapport à la remarque. Il sent aussi une intense chaleur non loin de lui, et remarque qu'il s'agit juste d'Ayumi qui vire a un rouge bien plus qu'écarlate. Ils décident de quitter la position dans laquelle ils se trouvaient pour en prendre une bien plus convenable. Kenshiro se met même debout. A peine eut-il posé le pied à terre que Marya lui lance, à lui et à Ayumi, un objet dans leurs mains. Ken devient encore plus rouge lorsqu'il s'apperçoit que ce qu'elle vient de lui lancer n'est rien d'autre qu'un préservatif.

-HEIN???? Mais qu'est ce que tu veux que j'en fasse, de ça?

Bon, Ken n'est pas stupide à ce point, mais il se demande pourquoi elle lui en passe un ici et maintenant. (Mais n'oubliez pas, les jeunes. Il faut toujours sortir couvert. //SBAAAAAAM// Oui, bon, oki, oki, je me tais et je continue. Ce type n'a vraiment aucun sens de l'humour.)

Marya# Et comme avoir ce genre de relation est interdite en dehors des SA pour Ayumi-sempai, on va éviter qu'un gosse prouve votre culpabilitée.

-T'AS PAS D'AUTRE ANERIE DE CE GENRE A NOUS SORTIR, PENDANT QUE TU Y ES?

Kenshiro avait envie de le lui dire en version non censuré, 3D, avec un pur son 5.1 THX sortie tout droit d'un système d'ampli cinéma à en faire tomber les cheveux. Mais il décide, afin d'éviter le massacre oral (ainsi que pour empêcher des âmes purs et innocentes qui se trouve à moins d'un kilomètre d'eux d'enrichir leurs vocabulaires de manière très fleurit et peu apprécié des instituteurs et des parents.) de se taire et de serrer le poing qui tient l'emballage et son contenue. Il sent également une onde négative provenant de derrière lui, sans aucun doute Ayumi qui doit également se retenir de ne pas refaire ses griffes sur la peau acre de Marya. Mais il sent bien qu'un mot supplémentaire risque de tout déclencher.

Marya#Aniiki ... Fais juste attention ...

Kenshiro regarde autrement la jeune fille à partir du moment où elle lui dit cette phrase, mais sur quoi devait-il faire attention? Doit il prendre attention au sujet qu'ils sont en train de parler? Non, le ton employé est beaucoup plus grave que celui qu'elle avait utiliser peu avant. C'était vraiment une mise en garde, et elle est vraiment importante. Avait il raison de se méfier d'Ogawa? Peut être sagit il de quelqu'un d'autre. Kenshiro n'ose pas demander à Marya de quoi il s'agit, car sinon, elle le lui aurait déjà dit depuis un moment déjà.

Soudain, le visage blanc de la jeune fille se retourne de nouveau vers le jeune couple qui, malgré sa dernière phrase un peu mystérieuse, avait toisé assez intensivement la princesse blanche. Il faut dire que, même si la porte était en partie ouverte, elle n'avait pas à les espionner derrière la porte, c'est un manque cruel de respect à l'intimité des gens.

Marya# Non je n'ai pas de camera, pourquoi vous m'observez comme si j'avait tuer quelqu'un ? Et Sempai, ton soutiens gorge est détacher à la première agraphe, détache l'autre au moins.

Et voilà, c'est le mot de trop.

Kenshiro retient alors une Ayumi métamorphosé à moitié en tigre. Il l'attrape en plein vol après avoir ralentit le temps (Ben oui, un tigre qui saute, c'est vif et c'est très puissant) au niveau de la taille. Oubliant qu'elle est toujours en soutif, elle se débat pour se retirer de l'emprise qu'exerce le lycéen sur elle. Ce dernier obtien des coups de griffes au niveau des avant bras, mais ne prend pas compte de la douleur. Il recule néanmoins sa tête, pour éviter de se prendre un coup mal-placé.

-Tient, c'est vrai que l'une de ses agraphes est......MAIS QU'EST CE QUE JE RACONTE? C'est pas le moment de penser à ça.

Calme toi, chaton, calme toi. C'est pas le moment de te faire un steack de Marya à la sauce tartare, il est même un peu tôt pour manger quoi que ce soit.

Quand à toi, Marya, retiens toi de faire ce genre de commentaire dans ta situation. Déjà, ce genre d'humour ne convient pas du tout à ton caractère. Et à la prochaine remarque de ce genre, c'est moi qui allume le barbecue pendant qu'Ayumi se charge de te transformer en viande haché.

Marya ... bah là génial. Lâchez les ballons ... >> On va se marrer .... ( ~~et à la fin de ce rp je me suicide~~ ) Et je ne suis pas à la fin de mes surprises. Mais bon ... fessons genre le monde est rose ... Oh génial des lunettes avec des verres roses ... tiens c'est vrai la vie est toute rose maintenant. *claque mentale* bah quoi U_U j'essaye de détendre l'atmosphère banane. Enfin bref ...

-Ça ne me dérange pas que tu ais des désirs, mais ferme la porte au moins."

Ouai d'accord. Don't problem chérie ! >>'''

Maudite rougeurs tout de même ... enfin rougeurs appelons cela comme ça puisque Ayumi ressemblait plutôt à une tomate. Mais bon passons. Ken s'était déjà mit debout alors que Ayu cherchait son haut. Rahh il est ce foutu haut. Mais elle n'eut pas le temps de chercher plus que Marya venait de lui balancer quelque chose à lui et à Ken. Ils le rattrapèrent de suite ... reflex. ... un préservatif OO euh ouai bien sur. Marya tu ne veux pas me passer la pilule du lendemain pendant que tu y es aussi. Franchement ... n'importe quoi.

-"Et comme avoir ce genre de relation est interdite en dehors des SA pour Ayumi-sempai, on va éviter qu'un gosse prouve votre culpabilité."

Déjà un ce n’est pas parce qu'on est en SA qu'on peut se taper des relations à tout bout de champ. Puis deux pour avoir un gosse faut faire quelque chose logiquement et là à moins que t'y ai vu quelque chose ou que j'ai loupé un épisode .... ON A ABSOLUMENT RIEN FAIT. (ayu qui pette un câble XD *sifflote*)

Les jolies rougeurs avaient déjà dit au revoir au visage d'Ayu et elle était plutôt rouge de colère. Elle serra le préservatif dans sa main droite et le laissa tomber deux minutes âpres sur le sol. Les jolies yeux vert bruns d'Ayumi prenait une vue allongé ... un début de transformation ?! Moui ... x) non non Ayu les ongles c'est dedans. On ne tut pas Marya encore ... oui c'est bien respire. Calme ! Ayumi se concentrait sur la conversation cherchant toujours ce *** de haut qui devait se trouver quelque part. Marya venait de dire à Ken de faire attention. Elle ne comprenait absolument pas de quoi elle voulait parler mais puisqu'elle ne s'adressait pas à elle, elle n'allait pas y mettre son nez. Manquais plus qu'elle se mêle de ce qui ne lui regarde pas. Elle trouva enfin son haut. Oh bah tiens il n’a pas changé de position enfaite ... Alors qu'elle allait se lever pour aller le chercher Marya l'avait toujours ouverte. (marya je t'aime XD désolé pour l'expression)

-"Non je n'ai pas de camera, pourquoi vous m'observez comme si j'avait tuer quelqu'un ? ... "

Tuer quelqu'un ... pffff. Mais tu fais ce que tu veux très chère. Quoique le manque d'intimité envers autrui tu ne dois pas connaitre mais bon passons.

-" ... Et Sempai, ton soutiens gorge est détacher à la première agrafe, détache l'autre au moins."

Un petit temps de réaction très chers lecteurs ... encore une minute ... Tic (XD)

QUOIIIIIIIIIIIIIIIIII ! Espèce de **** ! C'est bon ... Marya je vais te tuer ! *-*

Alors qu'Ayu allait se jeter sur Marya griffes en dehors mais est attrapé au vol par ... ken. >> Boulet va ! Lâche-moi ! Lâche-moi je te dis ! >___< Ayu essayait de toute ses forces de sortir de l'emprise de Ken le griffant parfois sur ses avant-bras. Tans pis pour lui il n’avait qu’à pas s'interposer. Mais peine perdu ... il ne la lâchait pas d'un pouce.

-"Calme toi, chaton, calme toi. C'est pas le moment de te faire un steak de Marya à la sauce tartare, il est même un peu tôt pour manger quoi que ce soit."

Déjà un tu enlèves le chaton c'est très mal placé dans cette phrase âpres que TU m'es empêcher de faire la peau à MARYA!

-"Quand à toi, Marya, retiens toi de faire ce genre de commentaire dans ta situation. Déjà, ce genre d'humour ne convient pas du tout à ton caractère. Et à la prochaine remarque de ce genre, c'est moi qui allume le barbecue pendant qu'Ayumi se charge de te transformer en viande haché."

Pff ... genre ! Si tu crois qu'elle va s'en tirer comme ça tu me connais très mal chéri ! Déjà un tu me lâches!

Ayumi demanda gentiment une fois à Ken de la lâcher. Pas de réaction ... je vois. Deux fois ... toujours rien. Je vois ... je vois. Ayumi lui envoya un coup de coude dans l'estomac et là comme par hasard il la lâcha tout de suite. (gomennnnnnnnn xD je te l'ai dit de ne pas me faire répéter trois fois ce que je dis) Elle passa ses deux mains par derrière son dos et attacha correctement son soutif avant de remettre son haut, s'en fichant complètement du regard des deux autres. Elle se tourna vers Marya les yeux toujours allongés et plus foncés que d'habitude ... non elle n'allait rien lui faire. Pas maintenant.

-"J'ai aucune idée de ce que t'essayer de faire Marya ... mais ma patience a des limites !"

Pas de réponse ... de toute manière je m'en fou ! Mais Marya avait quelque chose à cacher. Et maintenant que je t'ai dans le collimateur je ne te lâche pas chérie !

-"Et si t'as quelque chose à dire dit le tout de suite et pas par des sous-entendus débiles et complètement dépasser. Ou alors tu as peur ... de quoi ! Mer** (censuré) à la fin ! Si t'as quelque chose dis le tout de suite et arrête d'essayer de tourner autour du pot ! "

Hum … pas vraiment capable de contrôler ses émotions la petite Ayu. Ah bah que voulez vous ! Elle a toujours été comme ça !

Ken essaye de retenir Ayumi qui est en mode Nekozilla ... Sympatique à regarder, c'est mimi tout plein tout ça. Après avoir tenter de calmer par les mot sa petite amie sulfureuse, Kenshiro lance à sa desormais petite soeur un regard aussi noir que le négatif de Marya.

-"Quand à toi, Marya, retiens toi de faire ce genre de commentaire dans ta situation. Déjà, ce genre d'humour ne convient pas du tout à ton caractère. Et à la prochaine remarque de ce genre, c'est moi qui allume le barbecue pendant qu'Ayumi se charge de te transformer en viande haché.
-Mince alors j'ai la frousse de me faire bouffer par un bébé chat et un grand frère plutôt crevé par ses experiences à propos de ses capacitée. Et puis qui te dis que c'était de l'humour ..."

Essaye de comprendre ce que je te raconte imbecile de frère.

Marya avait un ton encore comparable à une plaque de plexiglace parfaite sans courbure. Ayumi demanda bien trois fois à Ken de le lâcher et fini par se prendre un coup dans l'estomac (dommage pour toi). Elle remit son soutiens gorge ~~Tiens elle va le garder~~ et commança à essayer de contrôler tant bie que mal sa muttation. Elle aprocha enfin de Marya et se mit à parler de manière brutale, direct ... Ce qu'on attendait d'elle, mais elle était prtête à perdre le contrôle visiblement.

-"J'ai aucune idée de ce que t'essayer de faire Marya ... mais ma patience a des limites !"

Elle a compris.

-"Et si t'as quelque chose à dire dit le tout de suite et pas par des sous-entendus débiles et complètement dépasser. Ou alors tu as peur ... de quoi ! Merde à la fin ! Si t'as quelque chose dis le tout de suite et arrête d'essayer de tourner autour du pot ! "

Marya regarde ailleurs, prenant cet air détaché qui ressemblait pour beaucoup à du dédin.

-"Aniiki elle est bruyante ta copine, la prochaine fois choisi le model en dessous pour les encintes. Juste parce que je voulait soigner mes mian et mon visage."

Elle lève la main gauche, celle du côt" d'Ayumi, bandelée mais pourtant déjà imbibée de rouge.

-"J'ai trébucher."

Trébucher sur vous, sur vos sentiments ... sur les miens.

-"C'est bien pour ça que je te dit de fermer la porte, c'est pas sûre que ce soit insonoriser par ici ..."

Marya s'éloigne d'un demi pas par précotion de sa semapi, l'entendant grouiller de colère, prête à se jeter sur elle.

-Et là, tu la laisse me chrcutter et tu va chercher le petit bois ?

Marya se prépart a sortir mais s'arrête en touchant la poignée.

-"Et sempai, je ne crois pas avoir tourner autours du pot ... Tu vois facon plus clair de vous le dire ? A part évidemment "Quand vous vous y mettrerez, fermez la porte et n'oublier pas les capottes". Moi je vois pas vraiment."

Ayumi ... Ne me déteste pas ... Ignore moi ... le contraire de l'amour ce n'est pas la haine, les deux sont des formes d'attachements.

Le contraire de l'amour, Haruna ... C'est bien l'indifférance ? Alors Ayumi ... Ignore moi et vis ... Et sépart toi vite de lui, ça ferra bien moin mal.

[Vous avez le droit de la retenir ou de la laisser partir au choix ^^- ♪]

-Pour quelqu'un qui à la force d'un poisson rouge, tu fais très mal quand tu t'y mets vraiment.

Kenshiro reprennait aussi rapidement qu'il le pouvait sa respiration, qui fut coupé par le majestueux coup de coude dans l'estomac de la furie qu'était devenu Ayumi. Le temps qu'il puisse se redresser convenablement, Ayumi avait déjà remit son haut et commence alors à gueuler contre Marya. La jeune fille (Ayumi, cu que maintenant il y en a deux dans la salle) osa alors poser les questions que Kenshiro n'était pas décidé à lui poser. Bon, elle l'avait posé ces questions de manière un peu brutal, et peu de personne aime accepter de répondre quand c'est demandé de cette manière (Elle a oublié de dire "s'il te plait" //SBAM//Raaah, non, j'ai pas reprit de chiantos, alors lâche moi la grappe, Ken).

La princesse opale, comme à son habitude, était resté de marbre face à cette avalanche sonore qui fut employé par une Ayumi en colère. Il faut admettre que, quand on connait bien la petite Lovely, même en colère, elle ne fait pas vraiment peur (Sauf si elle commence à vous griffe à mort, là on peut commencer à avoir peur.) Elle se tourne avec un certain dédin vers Kenshiro et s'adresse à lui sur un ton neutre.

Marya# "Aniiki, elle est bruyante, ta copine. La prochaine fois, choisit le model en dessous pour les enceintes. Juste parceque je voulais soigner mes mains et mon visage. J'ai trébuchée"

-Je ne choisirai rien d'autre, j'aime bien ce model. Elle est moins surfaite et bien plus compréhensible que d'autre

Même si elle cache bien sa force quand elle s'y met

Ayumi se retient de toutes ses forces de ne pas faire un massacre dans la pièce où il se trouve, preuve qu'elle peut avoir beaucoup de patience également. Mais sans savoir pourquoi, Kenshiro s'imagine déja le titre du journal de demain : "Deux étudiants retrouvés mort dans l'infirmerie, tué apparement par un fauve en liberté."

Marya# "C'est bien pour ça que je te dit de fermer la porte, c'est pas sûre que ce soit insonoriser par ici ... Elle recule d'un demi-pasEt là? tu la laisse me charcutter et tu vas chercher du petit bois?

-Pourquoi allez en chercher? Le bureau en chène ici fera très bien l'affaire.

Marya se dirige alors vers la porte, prête à partir. La main sur la poignée, elle décide néanmoins de répondre en partie à la question d'Ayumi, sans pour autant se retourner face à elle.

Marya# "Et sempai, je ne crois pas avoir tourner autours du pot ... Tu vois facon plus clair de vous le dire ? A part évidemment "Quand vous vous y mettrerez, fermez la porte et n'oublier pas les capottes". Moi je vois pas vraiment."

Là, ce n'est pas la patience d'Ayumi qui est mis à l'épreuve, mais celle de Kenshiro. Cette fois, pas de quartier, elle ne partira pas d'ici tant qu'elle n'aura pas répondu convenablement aux questions. Il attrape la jeune fille par le bras et la fait alors reculer de la porte pour la forcer à s'assoir sur le lit. Comme toute les filles de son âge, Marya ne pèse presque rien (Ah, les filles et leurs régimes. Non Ken, lâche moi cette barre de fer, lâche moi ça tout de suite.*prend le fouet* Couché, sale bête. Bon, reprenons où nous en étions.) Une fois assise, il s'adresse à la princesse blanche sur un ton autoritaire, comme un grand frère pour sa petite soeur.

-Reste là et ne bouge pas.

Ken retourne vers la porte et l'ouvre pour toiser ce qui se trouve dans le couloir. Rien, ni personne en vue, Et pas moyen de se cacher, vu que le couloir est dépouvut de pilier et que le plus proche croisement se trouve à plus d'une trentaine de mètre. Ken referme la porte, à clef cette fois, et retourne en face de Marya en s'asseyant sur une chaise.

-Ecoute moi bien Marya. On va mettre les choses aux points ici et maintenant, en commençant par le sujet que tu semble fortement apprécier pour jouer avec nos nerfs. Je n'ai pourtant pas à me justifier, mais nous n'avions pas l'intention de faire ce à quoi tu pensais, et tu le sais très bien. Ensuite, ça fait déjà, par deux fois, que je te surprends en train de suivre et de me surveiller. Pour la première fois, je t'ai cru sincèrement quand tu m'avais dit que tu cherchais à t'excuser mais que tu ne savais pas comment le dire. Mais quand je t'ai demandé ce que tu voulais vraiment, j'ai tout de suite sentis un mensonge, il n'y avait pas seulement que ça qui te poussais à me suivre partout.

Tout à l'heure, tu m'as donné une mise en garde, et je sais fort bien qu'il ne s'agit pas seulement du fait d'avoir un gosse. De quoi je dois faire attention?....Ou envers qui je dois porter ma méfiance?? Dit le moi, Marya. Dit le moi tout de suite et maintenant. Sans mensonge, sans sous entendus et sans changer le sujet.

-Anta wa ... Baka daro ?
[T'es un idiot ?]

Marya met ses deux mains sur le lit et croise les jambe, le regard bien en face, tenant tête à Kenshiro qui semplait plus ou moins bien suporter ses yeux blancs.

-Je viens de te dire que je me suis blessée.

T'es vraiment assez con pour me poser la question ? C'est pourtant évident ; qui a des raisons et surout le pouvoir de te faire suivre par moi comme un toutou ?

-Et si tu pense que ça me va pas de parler comme, je suis désolée mais c'est mon comportement naturel ; excuse-moi de me lâcher un peu lorsque j'en ai marre d'aboyer et de remuet la queue quand "Papa" me le demande.

Tu peux le comprendre non ? Allez grouilles-toi de t'éloigner de moi ! C'est pourtant pas compliquer ! Si tu le fais pas, c'est moi qui vais t'éloigner d'elle bon sang reveille-toi Aniiki !

-Si tu peux pas supporter mon mauvais caractère, rien ne t'aublige à me parler.

Marya bascule vers l'arrière et s'allonge, les bras derrère la tête. Son menton recommancais à saigner, mais elle n'en avait pas grand chose à faire. Si Kenshiro ne comprennait pas ses allusion, temps pis et tant mieux ; elle ferrait son boulot et Daiichi et elle serraient hors de danger.

Batir son bonheure sur le malheure des autres.

-Tu ne m'es pas indispensable, je ne te le suis pas non plus.

Essay de comprendre imbecile de frère au lieu de rester béhat devant cette fille, il va te tuer avec si ça continue merde !

Elle se met sur le côté, regarde vers Ayumi.

-Onto ... Anta wa baka. Bikoo janai ... Shotto kegashite ...
[Vraiment, tu es un imbecile. C'est pas une filature. Juste un peu bléssée]

Tu crois vraiment que je suis asez douée pour trébucher la tête et l'intereur des main la première ? Réfléchit un peu !

-Si j'avait vraiment voulu te suivre sans me faire remarquer, tu ne pens epas que j'aurai été un peu plus discrette ...

Il n'y pourtant pas plus évident !

-Mmmh ... Moï yo. Sukareshata. Oyasumi.

[Ça suffit. Je suis fatiguée. Bonne nuit]

Je ne peux pas t'en dire plus ! C'est à toi de te reveiller bon sang !

[Ayu > tu peux comprendre à la place de ken les allusion de Marya si il est trop idiot pour les comprendre tout seul ^^- ♪]

Marya avait toujours l'air de se foutre gentiment d'Ayumi. Mais bon ... elle ne prit pas en compte ses mots. Peu importe.

-"Aniiki elle est bruyante ta copine, la prochaine fois choisi le model en dessous pour les enceintes. Juste parce que je voulais soigner mes mains et mon visage."

Qui est bruyante >> ... puis je n’ai même pas crié. Franchement la c'est le comble ! Tu veux voir ce que sa donne quand je gueule très chère ! { OMG XD non non pas besoin }

-"J'ai trébuché."

Etrange ! Marya montrait ses mains ... on voyait du sang dans la partie intérieur de la paume. Drôle d'endroit pour se blesser quand on trébuche. Ah moins qu'elle n’a essayé de se rattraper avant de tomber au sol. Mais cela était étrange tout de même. Les goutes de sang faisaient une dimension un peu près exact ... un peu comme quand ... on se blesse exprès. Mais Ayumi n'eut pas le temps de regarder plus la plaie que Marya baissait à nouveau sa main. Mais Ken ne prit pas beaucoup de temps avant de répondre.

-"Je ne choisirai rien d'autre, j'aime bien ce model. Elle est moins surfaite et bien plus compréhensible que d'autre."

J'ai l'impression d'être un objet qu'on achète en stock dans un magasin et qu'on pourrait rendre quand on le veut. Merci >> ! J'espère que je coute cher au moins ... pas les trucs qu'on achète au marché au puce. Mais de quoi je parle ... --'''

-"C'est bien pour ça que je te dit de fermer la porte, c'est pas sûre que ce soit insonoriser par ici ..."

Grrrrrrrrrrrr ... non mais ... ce n’est pas possible là. T'arrête un peu de dire que je suis bruyante. Tu me cherches ou c'est moi qui rêve ... Enfin bref ...

-"Et là, tu la laisse me charcuter et tu va chercher le petit bois ?"

Pff ... connaissant Ken aucune chance qu'il me laisse toucher marya. Mais elle s'était déjà retourner et se dirigeait vers la porte posant sa main sur la poignée de la porte

-"Et sempai, je ne crois pas avoir tourné autours du pot ... Tu vois façon plus clair de vous le dire ? A part évidemment "Quand vous vous y mettrez, fermez la porte et n'oublier pas les capotes". Moi je vois pas vraiment."

Ayumi soupira ... bon je vois. Tans qu’on ne se saura pas énerver convenablement, Marya n'arrêtera pas de nous chercher. Mais même pas le temps de dire quoique ce soit que Ken prenait déjà Marya par le bras et la forçait à s'assoir sur le lit.

-"Reste là et ne bouge pas."

Il alla vers la porte, la ferma à clef et revint s'assoir sur une chaise devant Marya. Ayumi, elle, était déjà assise sur le rebord d’une fenêtre fermée à double tour. Pas moyen de partir ... la poisse. (Claque mentale)

-»Écoute-moi bien Marya. On va mettre les choses aux points ici et maintenant, en commençant par le sujet que tu semble fortement apprécier pour jouer avec nos nerfs. Je n'ai pourtant pas à me justifier, mais nous n'avions pas l'intention de faire ce à quoi tu pensais, et tu le sais très bien. Ensuite, ça fait déjà, par deux fois, que je te surprends en train de suivre et de me surveiller. Pour la première fois, je t'ai cru sincèrement quand tu m'avais dit que tu cherchais à t'excuser mais que tu ne savais pas comment le dire. Mais quand je t'ai demandé ce que tu voulais vraiment, j'ai tout de suite sentis un mensonge, il n'y avait pas seulement que ça qui te poussais à me suivre partout.

Tout à l'heure, tu m'as donné une mise en garde, et je sais fort bien qu'il ne s'agit pas seulement du fait d'avoir un gosse. De quoi je dois faire attention?....Ou envers qui je dois porter ma méfiance?? Dit le moi, Marya. Dit le moi tout de suite et maintenant. Sans mensonge, sans sous entendus et sans changer le sujet. "

Beaucoup de sans dans cette phrase enfin bref ... Ayumi ne faisait qu'écouter. Cela ne la regardait pas ... Bien que la conversation l'intriguait un peu ...

-Anta wa ... Baka daro ?
[T'es un idiot ?]

Ayumi tourna alors la tête vers les deux autres adolescents. Elle avait loupé une phrase ... pourquoi Marya répondait cela ?

-Je viens de te dire que je me suis blessée.

Mais bizarrement tout ce qu'elle disait n'allait pas vraiment avec ses gestes et la lueur de ses yeux ...

-"Et si tu pense que ça me va pas de parler comme, je suis désolée mais c'est mon comportement naturel ; excuse-moi de me lâcher un peu lorsque j'en ai marre d'aboyer et de remuer la queue quand "Papa" me le demande. Si tu ne peux pas supporter mon mauvais caractère, rien ne t'oblige à me parler. Tu ne m'es pas indispensable, je ne te le suis pas non plus. Onto ... Anta wa baka. Bikoo janai ... Shotto kegashite ... Si j'avait vraiment voulu te suivre sans me faire remarquer, tu ne penses pas que j'aurai été un peu plus discrète ... "

Les paroles de Marya fessait d'un coup plus vraisemblable ... Ayumi eut un moment ou ses yeux s'agrandir un peu plus ...

-Mmmh ... Moï yo. Sukareshata. Oyasumi.

Elle ... venait de comprendre !

{ mouahahaha xD comprendre quoi bah vous le découvrirez plus tard ! }

Kenshiro écouta alors la réponse de Marya, sans dire le moindre mot, sans faire le moindre geste qui pourrait couper la parole, sans sourciller à la moindre insulte qu'elle lui lançait pour le faire réagir. Seulement, il savait fort bien que, malgré ce qu'elle venait de dire, la moitié des choses était fausse_, et l'autre moitié dissimulait la vérité. Aprés tout, les artistes utilisent bien le mensonge pour démontrer la vérité. Les termes employés par la jeune fille, surtout le "Papa" utilisé à cet effet, lui indiqua que le directeur était sans aucun doute impliqué.

-Pourquoi ais-je douté de la présence de ce sadique pervers.

Soudain, Marya se lève et se dirige vers la porte en disant qu'elle est fatiguée et qu'elle désire se reposer. Ken ne la retient pas quand elle passe juste à côté de lui. Mais alors qu'elle ouvre la serrure à clef...

-Attend.

Marya se retourne vers Kenshiro, mais ce dernier ne la regarde même pas. Il avait le regard posé sur le mur devant lui, parlant à la princesse opale sur un ton un peu froid.

-Tu as raison, imoutosan, je suis un imbécile pour ne pas l'avoir compris plus tôt.

Pitié, Marya, ne m'en veux pas, j'ai compris en partie ton manège, alors essaye de comprendre le mien.

Et tu as raison aussi en disant que je ne te suis pas indispensable et inversement. Mais si tu tiens tant à le prendre comme ça, alors ce que tu viens de nous dire ici et maintenant sont les dernières choses que l'on_ a à se dire. Je ne suis pas quelqu'un de rancunier, mais j'ai horreur que l'on me prenne pour une nouille. Parce que malgré tes belles paroles et tes excuses, je sais qu'il y a autre chose, et je saurai_ quoi. Maintenant, si tu n'es plus capable de me faire confiance, alors tu peux retourner d'où tu viens. Daiichi doit sans doute être en train de t'attendre.

Marya sort de l'infirmerie, claquant la porte assez fortement, Kenshiro attend quelques secondes, écoutant la faible résonnance des pas qui se déplacent dans le couloir. Quand ces derniers se trouvent assez loin, Kenshiro se lève d'un bon, prend la chaise et l'envoie en direction de la porte d'entrée. Tout en lachant un juron en français, plus par habitude que pour éviter d'être grossier devant Ayumi. La chaise se fracasse alors sur la porte en bois, sans qu'aucun des deux objets ne subissent de dégat apparent.

Kenshiro reprend son calme avec sa respiration et essaye alors de comprendre où cela a bien pu_ commencer. Pourquoi et pour quelle raison Ogawa aurait envoyé Marya le surveiller. Bon, le choix est facile à comprendre, vu que Marya est une personne assez proche de Kenshiro pour que ce dernier ne porte pas de soupçon. Mais a présent, c'est "pour quel motif". Le directeur ne fait jamais rien par hasard, alors pourquoi spécialement Kenshiro.

-Il a mal digéré le fait que je l'ai frappé, ou quoi?

Soudain, il se retourne vers Ayumi, qui fut un peu choquée de la dernière action de Kenshiro.

-Pardon si je t'ai effrayée, Ayumi. Seulement...je suis comme toi quand je suis en colère, j'ai du mal a contrôler mes action ^^"""""

# Edit modo : Merci de faire un chtit peu plus attention aux fautes de frappes, aux accords sujet/verbes, maculin/féminin, et aux accords de temps ...

La réponse ... Comme une illumination.

Marya se dégage, sort sans le regarder dans les yeux, elle ne peux voir que du coin de l'oeil Ayumi et ses eyux ; elle avait compris ; ils avaient compris.

Yokata ... Arigato ...

-Kankienai ...[rien à battre]

Marya se leva et se dirigea vers la porte. Elle reposa sa main sur la serrure et ne dit plus rien. D'une façon ou d'une autre il n'y avait plus rien à dire ... Alors qu'elle allait ouvrir la porte Ken lui demanda d'attendre un moment. Marya relâcha la poignée et se tourna vers Ken qui ne lui accorda même pas un regard. Il lui parla même sur un ton assez froid, quelque chose qu'il ne faisait jamais normalement ...

-Tu as raison, imoutosan, je suis un imbécile pour ne pas l'avoir compris plus tôt
Et tu as raison aussi en disant que je ne te suis pas indispensable et inversement. Mais si tu tiens tant à le prendre comme ça, alors ce que tu viens de nous dire ici et maintenant sont les dernières choses que l'on a à se dire. Je ne suis pas quelqu'un de rancunier, mais j'ai horreur que l'on me prenne pour une nouille. Parce que malgré tes belles paroles et tes excuses, je sais qu'il y a autre chose, et je saurai quoi. Maintenant, si tu n'es plus capable de me faire confiance, alors tu peux retourner d'où tu viens. Daiichi doit sans doute être en train de t'attendre..

Ayumi ne comprenait pas bien quelques paroles. Mais cela ne la regardait pas ... non ce n'était pas son problème.

Marya se retourna et sortit de la salle en claquant violement la porte. Ken avait lui aussi peter un câble car une pauvre et innocente chaise venait de faire un gros câlins ... et non ... un énorme bisou ... non plus ... une rencontre plutôt brutal avec la très chère porte. Elle se brisa quand elle rencontra sa très chère amie la porte d'entrée. Ayumi fut plutôt surprise de cette réaction ... c'était bien la première fois qu'il se comportait comme ça. Enfin devant elle en tout cas. (Ken tu fais des trucs pas louches dans le dos d'Ayu hein è-é hein ... Bon j'ai rien a dire sur ce sujet là *sifflote*)

-Pardon si je t'ai effrayée, Ayumi. Seulement...je suis comme toi quand je suis en colère, j'ai du mal a contrôler mes action ^^"""""

Ayumi secoua la tête pour faire non. Ce n'était pas grave. Elle se mit sur ses pieds et s'approcha de Ken. Sa main se posa sur le bras droit de Ken. Il y avait tans de chose qu'elle ne comprenait pas. Elle n'aime pas être dans l'ignorance. Mais elle n'aime pas demander aux gens de lui raconter leur secret ... Leurs peines. S’ils veulent le dire c'est de leur propre initiative. Elle remit son bras le long de son corps. Que voulait-elle ... comprendre ? Etre rassurer ? Elle n'en savait absolument rien! Mais cela lui trottait de la tête. Elle souffla un simple "J'y vais !" Et passa par une autre porte que marya. (bah ouais marya est toujours derrière l'autre porte --''' baka) Sortie de l'infirmerie, elle ferma délicatement la porte et soupira. Que voulait-elle à la fin ? A quoi bon ... Elle passa sa main sur la plaie sur son dos. Peu importe. Elle n'en savait rien ... mais cela arriverait peut-être. Elle partit en direction de sa chambre ... là ou elle devrait être depuis longtemps.