Beaucoup de divergence ... Mais des points communs. [clos]

Daiichi était dans sa classe. Après l'avoir esponer pendant prèsque 2 heures, Marya finit par se rassurer et est partie. Encore une journée ou elle n'avait pas cours de la matinée ... Ce qu'elle s'ennuyait ! Mais bon ...

Le choix était simple :

-Rester pour rien auprès de Daiichi qui se comportait comme un petit ange leche-botte pour éviter qu'il ne fasse des chose qui lui vaudrait so cours particulier de 3 heure avec le directeur : Cet enfant était trop calme et effacer pour engendrer le moindre petit chouillat de problèmes ...

-Aller dormir dans le parc, auprès du lac qu'elle aimait tant : à cette heure-ci, il y aurait peut-être quelqu'un, et puis ça lui rapelait trop ce qui s'était passer le 24 décembre, où elle avait remuer beaucoup de pensées ...

-Prendre du bon temps au centre ville : Pas la peine, c'était beaucoup trop bruyant.

-Rester dans sa chambre pour travailer sur l'ensemble d'Haruna ... Tantant, mais si elle débarquait pendant ce temps là, c'était foutue pour la surprise...

-Aller regarder le club théâtre à l'auditorium : A cette periode, ils travaillait beaucoup et ce ne serait pas une bonne idée de les déranger. De plus, il n'arrêterait pas de s'interompre pour regler les divers problème de mise en scène.

-Prendre son lecteur musique, aller à la bibliothèque et se tapper un bon bouquin : Idée. Pas trop mal.

Vous savez pourquoi elle est là maintenent.

Marya se dirige vers la bibliothèque, tate sa poche : Elle n'avait pas besoin de faire un detours par sa chambre. Elle mis les ecouteurs dans ses oreilles et mis le son au minimum, comme d'habitude. Puis elle appuis sur On. Elle arrive dans les rayons.Que de choix ! Etant d'humeur à lire quelque chose de morne et si posible triste.

Elle s'avance dans la section "dramaturgie". Elle hésitait entre prendre une traduction d'une pièce Occidantale ou un recit Japonnais pure Jus ...

Elle finit par s'arrêter devant un volume traduit en japonnais d'un auteur Grec ... Un truc qui datte de l'Antiquitée ... Elle décrocha : Philoctète

Elle alla dans le lieu reservé aux lecteur ; 10 personne : Beaucoup trop. Tout le monde était assi sur le côter droit de la salle, sauf une jeune fille ; une lyceene à en juger par sa taille et son visage.

Aspirant au plus de calme posible, Marya s'assit dsu côter geuche ; celui de la fille. Elle ouvrit le bouquin ; un truc bien compliquer ...

Soudain s'éleva une voix féminine et mature, une voix mélodieuse qui raisona avec dureté et douceur à la fois :

-"Je serais toi, je ne lirait pas ça ..."

- Je serais toi, je ne lirais pas ce livre.

Le ton était posé, simple. Sans aucune animosité (chose assez rare d'aileurs). Mais Mitsuko était assez étonnée, bien qu'elle ne le montrât pas. Philoctète. Il fallait connaitre. Héros en quelque sorte de l'Antiquité Grecque. Cela dit, il était également possible que la jeune fille ait pris ce livre totalement au hasard. Mais ... on ne savait jamais. Il y avait une infime chance que ce soit intentionnel.

Mitsuko posa son livre (Contes et Légendes de l'Antiquité Grecque : Entre mythe et réalité) sur la table à laquelle elle était assise, enleva les lunettes qu'elle mettait parfois pour lire et le posa délicatement à côté du livre. Puis elle regarda l'étudiante qui avait stoppé son geste et lui faisait face.

- Il y a vraiment plus intéressant que Philoctète. Si tu cherches à lire des mythes antiques, je te conseille plutôt Heraklès, Antigone à la limite, ou bien Phèdre. L'Illiade et surtout l'Odyssée sont aussi très intéressante à lire. Tu as des préférences de genre d'écriture ?

Oui, Mitsuko connaissait bien la mythologie. Mais elle avait surtout dévoré la majorité des livres de la bibliothèque. Pas que ceux sur l'Antiquité grecque ! Non, les auteur latins n'étaient pas en reste, et encore moins les contemporains. C'était d'ailleurs pour ça qu'elle s'était permis de faire la remarque à cette jeune fille. Marya Akatsuki. Une collégienne. Elle attendit patiemment sa réponse.

-"En principe, j'aime bien les trucs sentimentaux, et je sais que les européun et américain, ou bien ceux de l'antiquitée en mette pas mal ; mais en antiquitée, Ils ont tendance à théâtraliser, je trouve ça dommage."

Réponse, c'était ça, même si il n'y avait pas beaucoup de vie dans sa voix. Cette fille devait s'y connêtre en livre.

-"Je voulait tuer le temps, et j'ai pris au hazard ; c'est le premier truc qui m'est tomber sous la main. Sinon, j'aime bien quelques trucs japonais ; il y a de bon écrivains asiatiques, mais les sujet ne m'attire pas toujours ..."

Elle éteint son lecteur, histoire de ne pas être génée par la musique (ça risquait d'être dur). Elle parlait beaucoup aujourd'hui ; peut-être parce que la douleur se faissait moins ressentir.

-"Personellement, je trouve qu'il y a trop peu d'écrits avec des chose que l'on peut ressentir profondement ; alors je me debrouille avec ce que je trouve."

Marya jette un oeil au bouquin de son interlocutrice ; Il venait du même rayon que le sien.

-"Aurais-tu quelque chose de plus émouvant à me conseiller, Aidoku-san ?" [Aidoku= Amour de la lecture]

La jeune fille avait donc pris ce livre totalement au hasard. Dommage, il aurait pu être intéressant de discuter de l'histoire de l'homme malchanceux que Philoctète avait été. Elle cherchait apparemment un livre sentimental. Pas forcément le genre préféré de Mitsuko, mais il y avait quelques bons ouvrages dans cette bibliothèque.

- Et bien ...

Elle ferma son livre, non sans avoir au préalable mis un marque page, et se dirigea vers une étagère ressemblant étonnament à toutes les autres. Dessus, des livres de différentes tailles, de différentes formes, de différents auteurs. Elle en décala quelques uns, et ...

Non ! Pas de passage secret ouvert ! Dommage, hein ? Bon, reprenons un peu le sérieux. Les ouvrages qu'elle venait de sortir étaient ses recommandations.

- Ces livres sont assez sentimentaux, poignants, tout en gardant un minimum d'action pour ne pas devenir trop fleurs bleue. Il y a plusieurs où j'ai été assez secouée à la fin.

*Même si ça commence à remonter à quelques années ...*

Depuis combien de temps n'avait-elle pas pleuré pour un livre ou un film ? Huum ... Mieux valait éviter le calcul ... D'ailleurs, une seule personne dans cette école l'avait vue pleurer, et elle ne dirait jamais rien. [hrp : d'ailleurs, ken, si tu lis ce message, tu sais ce que tu as à faire x) ]

On trouvait vraiment dans le choix un peu de tout. Elle se retourna donc vers la jeune fille.

- Une petite précision suplémentaire ou tu préfères essayer un au hasard, Akatsuki-chan ?

Marya allait-elle se demander comment elle connaissait son prénom ? Possible ... Ou peu probable, si elle l'avait reconnue. Après tout, Mitsuko connaissait tout le monde.

Une pile sur la table, un nom conu. Marya avait remarqué. Si elle conaisait son nom, elle devait forcement l'avoir rencontrer avant, ou bien alors avoir eu affaire à son dossier ou encore des racontars. C'est vrai qu'avec ses cheveux blancs, dificile de ne pas la reconnaitre quand on savait qui elle était. De bouche à oreille, on pouvait surmement savoir qui était le fantôme blanc qui trainait avec un gamin aux yeux vairons et retenir son nom.

Sauf que la lycéenne l'avait prononcée d'une manière que seule l'oreille de Marya ou une égale aurrait pu receler. Elle ne le prononcait pas Aube, mais bien Lune Rouge. Conclusion, Elle avait vu son nom écrit et en connaisait peut-être la raison, son clan. Elle avait peut-être accéder à son dossier.

-"Arigato sempai. Je n'aime pas les fins prévisible, et il est vrai que les histoire à l'eau de rose tourne souvant aux superficiel, ce qui est domage. Pour écrire ce genre d'oeuvre, il faut être très doué."

Elle pris un livre et regarda la titre, puis un autre, avant de lancer :

-"Tu a déjà lu mon nom. Tu ne l'a pas dit comme les autres. Tu pensait lune lorsque tu l'a dit et pas ciel. Mon nom n'est écrit nul part en dehors de ma porte de dortoir et mon dossier, et je vois que tu es plus vielle que moi et que tu dois au minimum être au lycée, donc tu ne peux pas avoir vu ma porte, et de toute manière, peu de personne y prête attention. Tu l'a lu plusieur fois, je peux l'entendre. Où as-tu lu mon dossier ?"

Ton plat, toujours a regarder les titres. Elle avait du goût, plus que Marya. Au bout de quelque seconde de silance, elle repris.

-"Tu n'es pas obligée de répondre, a vrai dire je m'en fiche. Ne te sent pas obliger de me dire ton nom. En mon cas, je me nomme Akatsuki Marya, mais tu le sait déjà.

Un petit sourire fugace apparut puis disparut aussi subitement qu'il était venu des lèvres de Mitsuko. Loin d'être bête la fille ... C'était marrant. Oui, l'adjectif peut sembler étrange dans cette circonstance, mais c'était ce mot qui venait à Mitsuko.

- Je ne suis pas obligée, mais c'est la moindre des politesses, tout de même. Je suis Mitsuko Ogawa. Enchantée de rencontrer enfin quelqu'un qui s'intéresse un tant oit peu à la littérature ici ... J'ai lu ton dossier dans les dossiers de l'académie auxquels j'ai accès, mais ça tu devais t'en douter.

Elle sourit, et pour une fois il y avait un peu de sincère dedans. C'était vrai que des littéraires, il n'y en avait pas des masses ici, à Takuetsu. La bibliothèque était assez souvent vide, sauf au moment des exposés où elle se remplissit d'un brouhaha continuel assez insoutenable, malgré les régulières remontrances des documentalistes (hrp : toute ressemblance avec la réalité est bien sûr totalement fortuite ...] Alors, pour une fois qu'elle pouvait discuter de livres avec quelqu'un d'autre que son père ... elle allait bien en profiter ! Sauf si Marya décidait de partit de suite, ce qui serait bien sûr compréhensible (mitsuko avait l'habitude de faire ce genre d'effet), mais ce serait dommage ...

-Mitsuko. Ok.

Marya ? Houhou Marya ? T'es loins d'être sourde alors débouche là ! Et t'as mémoir (contrairement à la mienne xp ) est loins d'être égale à celle d'un poisson rouge ! T'as très bien entendu ; Ogawa : Ogawa ! Et Ogawa = Ogawa-sama ; Do you remember now ???

Urusai.

[Ou comment gruger des lignes avec les commentaire débiles de l'auteur]

Mitsuko. C'est tout ce qu'elle avait besoin de retenir. Le fait qu'elle porte le même nom que le directeur ne changeait rien.

-C'est plutôt ironique que je lise autant alors que je n'ai jamais mit les pied dans une école pendant 13 ans de ma vie. C'est sûrement à cause de ce precepteur qui m'aprenait à écrire ; à cause de lui, j'ai gauber des quantités astronomiques de kanji. Maintenant que je sais que jamais je ne pourrais les utiliser comme on pensais que j'allai le faire, autant que ça me servent à quelque chose. Maintenant qu'il y des livres.

C'est bien plus facile de parler inutilement ; les sujets anodins ne sont jamais stéril en discution. Marya avait choisi de parler de sa manière de vivre avant le massacre ; Elle apréciait le calme, pas le silance. Elle ne parlait pas très fort, juste assez pour tenir une discution (on est dans une bibliothèque è.é) et parlait de ce qu'était son mode de vie dans son quartier familile. Pourquoi tant s'ouvrir ? Elle ne sait pas. Peut-être parce qu'elle sait déjà tout. Ce n'est pas la peine de lui cacher. Même si Marya a toujours préférer ne pas parler innutilement, elle ne voulait pas de silance.

Mars 2003.

Marya vivait dans un quartier privé de Tokyo. Le nom des Akatsuky sortait peu de là. Il était totalemment autonomes. Ce qu'ils n'avaient pas, ils le faisaient venir. Précepteur pour les enfants, qui étaient cloitré dans ce bout de terre qui était leur monde. Et peu de Akatsuky sortaient à volonté du quartier.

Marya, toi plus que quiqonque, tu était enfermée. Tu ne sortait jamais, et même au sein de la famille, peu de gens te voyaient.

Marya : *Baile*
... : Marya-dono ! Tenez vous corectement !
Marya : Demo sensei ... [Mais professeur]
Sensei : Je sais que l'étude des lettre est enuyeuse, mais vous devez aprendre à écrire du mieux possible.
Marya : Pas de ma faute si j'écrit plus facilement comme un homme ...
Sensei : Si vous travaillez, vous pourrez parfaitement écrire en femme de votre rang plus tard.
Marya : (utilisant un language vuglaire) On est plus au Moyen-âge, Sensei, j'ai pas besoin de faire comme une vielle.
Sensei : Tenez vous correctement ! Et continuer de travailler.

Marya fait la moue et reprend son pinceuau en recopiant les kanji. Kanhako s'avance sur la verranda.

Marya : Oka-san !
Kanhako : Je vous remercie Profeseur, je pense que ça suffit pour aujourd'hui. Venez, je vais vous payer.
Sensei : Bien Madame.

Marya tire la langue à son professeur et s'accroche au yukata de Kanha. Celle-ci Sort un carnet de cheque.

Kanhako : Nous vous revoyons la semaine prochaine n'est-ca pas ?
Sensei : Bien sûre ; j'espère que Marya-dono sera plus attentive la prochaine fois.

Kanhako rit d'un rire cristalin. Le professeur s'en alla, laissant Marya et Kanhako seule sur la véranda ouverte sur un soleil frai.

Marya : Oka-san ... C'est demain que vien le monsieur avec la peinture ?
Kanhako : Pligo-san et Ai-san ? Oui, c'est demain.
Marya : Je peux allez voir Onii-san ?
Kanhako : Bien sûre ! Allez va.

Marya saute et court aussi vite que lui permet sa tenue traditionnelle. Elle entand un bruit près du mur, de l'autre côter. Des bruit de creusement. Dans la poussière du sol du chemain, elle s'arrête et se dirage lentement vers le bruit.

Grat, grat ... Et des chuchotements : ceux d'enfants de son âge. Marya soulève du lière et découvre une ouverture. Derière, une bande de gamin habiller de jean et de t-shirt.

Marya : Que faite-vous ?

Les jeunes se recullent brusquement en poussants des cris de surprise.

Un enfant : Yuurei ! Akatsuky no Yuurei desu ! [Un fantôme, un fantome des Akatsuky]
Marya : Atashi ... ? [Moi]
Un autre : Courer, elle va nous manger ! Elle va nous enlever dans le quartier hanté !
Encore un autre : Bakemono ! Akuma ! Koi nai ! [Monstre, démon, n'approche pas]

Ils se mettent à courir, laissant Marya seule au milieu de la rue. Son tein blafard et les rumeur non fondée sur les maledictions des Akatsuky lui avait jouer un tours une fois de plus. Peu d'adulte parlaient des Akatsuky, pourtant bien connu par ici. Alors les enfants s'invantait des histoires de fantomes, de spectre, et de revenant qui voulait les emener dans le passer ou les dévorer.

Marya retourna à l'interieur de la demeure familliale et se remit à courir. Elle entandait le son des sabres qui s'entrechoquent et se dirigea par là. Bientôt, il fut devant elle, la regardant d'un air interogateur. Elle se jetta dans ses bras et laissa couler des larmes.

"Onii-san ... Soto no Ningen daikirai ..."
[Grand frère, je deteste les humains de l'exterieur]

Retours en 2009 ... Marya qui faisait une lecture rapide des première page d'un volume.

-Excuse-moi de te dire ça. Mais ça fait lontemps que je n'avait pas rencontrer de gens qui connaissent notre mode de vie et à qui je peux parler librement.

Ne pas faire attention à ce qui n'est pas vraiment toi. Ton nom est ton nom, tes aileuls son tes aileul, et toi, tu es toi.

ée pour le 'je raconte ma life' Mais j'avait serieusement envie de caser ce passage là ^^ Une partie du passer de Marya *oo* Brefouille, ce qui est en rouge, c'est du souvenir, donc c'est juste Marya qui se souviens ^^ [color=white]A toi (bon courage) Maiheu !]

Mitsuko sourit. Pas mal cette fille. Elle n'avait pas bronché à l'annonce de son nom. Pourtant, il y aurait eu de quoi : Marya-chan et Ogawa-sama n'étaient pas des plus proches alliés ... Ne voulant pas remuer le couteau dans la plaie, Mitsuko observa la pile des livres que Marya mettait de côté. Elle rangea ceux qui n'étaient pas retenus dans la sélection et en sortit un autre, un peu plus épais, couverture bleu sombre aux coins renforcés en métal.

- Après si tu veux, tu as ça. Le style d'action est plus lent, mais plus finement développée. La psychologie des personnages est bien étudiée. Après, c'est vrai qu'il faut aimer, y a pas action toutes les trois pages ...

C'était le dernier livre qu'elle avait lu. Une histoire assez futuriste, c'était vrai, avec pour héros un flic plus que banal et une domestique robotisée (enfin ça, on ne l'apprenait qu'au chapitre 2) ayant réchappé au massacre du manoir de propriétaire. Un roman sentimental porté par un thriller policier rempli de piques d'humour parfois assez noir ... Tout simplement délicieux.

Mais il fallait aimer le style.

- ... *regarde le bouquin* ... Je pense que ça m'ira.

Le "je pense" est superflue : Marya adorait ce style. Reste à savoir si elle le lirai tout de suite ; Marya n'est pas d'un naturel curieux, mais si elle commence, elle ne s'arrête pas vraiment. Surment passerait-elle des nuit à lire et des cours à ne suivre que d'une oreilles, mais si c'était ce qui lui plaisait ...

-Il faut avoir de toute manière beaucoup de talent pour écrire quelque chose qui entraine le lecteur à la vitesse d'u combat par exemple ; si quelqu'un n'est pas assez doué pour le decrire et qu'il en met partout, ce n'est pas interessant. Et puis si ça n'a pas de sens ... Un livre, c'est quand même pour raconter quelque chose, alors autant que ce soit utile ou distrayant.

Tiens ; Marya parle beaucoup aujourd'hui. Elle parle calmement, mais beaucoup. Son visage n'avait pas changer. Mais elle se sentait mieux. Mieux en quoi ? Elle ne savait pas trop elle-même. Elle voulait juste^être tranquille, et parler avec quelqu'un était quelque chjose de tranquille. Elle voulait quelque chose de simple, elle avait trouver. Tout cela n'était que provisoir, histoire de supporter la douleur de simplement exister, puisuqe sa décision était prise depuis longtemps :

Dès que Daiichi sera prêt, j'arrêterai.

Ce n'était pas vraiment le moment de penser à ça. Revenons dopnc à cet ouvrage prometteur. Il était d'aspect mat, de couleur simple et pourant envoutante ~~[ou comment se tapper un délire sur un tas de paperass à la couvertur bleu /sbaf]~~

Marya respira, lis un peu le début ; très bonne introduction. En même temps, elleentrepris une conversation légère avec son interlocutrice ; rien de méchant ;

-Tu as d'autre passe-temps que la lecture ? Je pense que j'en manque, ormis la musique et la retouche de vettement, la lecture est ce qui occupe mon temps libre ...

- Tu as d'autre passe-temps que la lecture ? Je pense que j'en manque, ormis la musique et la retouche de vettement, la lecture est ce qui occupe mon temps libre ...

Des passe-temps ? Hum ... voyons voir ... torturer des élèves ? Les humilier ? Faire le sale boulot de l'académie que les Sa ne faisaient pas ? Aha. Non, ça c'est des corvées, pas des passe-temps.

Des loisirs ... elle en avait quelques-uns, oui, ça elle ne pouvait pas le nier ... elle sortait, souvent, êut-être trop souvent d'ailleurs, le soir. Discothèque, et autres endroits sombres appartenant à la nuit du centre ville. tous ce slieux lui appartenaient dès lors qu'elle y mettait un pied. Personne d'autre n'avait le droit de venir l'y importuner. C'était son territoire à elle. Ceux qui s'y étaient risqué l'avaient appris à leurs dépens ...

- J'écoute de la musique. Et je dors, parce que mes nuits sont rarement tranquilles ...

Rarement tranquilles ? Ses nuits étaient souvent bouleversées par des coups de téléphone lui disant que "Machin s'est évadé" "Truc n'est pas dans son lit, trouve le dans l'académie" "Bidule est à l'infirmerie, va l'interroger". Très plaisant n'es-ce pas ? Ses journées n'étaient pas mieux d'ailleurs. Cela avait cependant un bon côté, elle pouvait sécher les cours. Enfin, c'était peu cher payé pour ce qu'elle faisait ... Et de toute façon, elle devait les rattrapper ensuite en cours particulier, alors ...

- tu écoutes quoi comme musique ?

[si tu veux arrêter après ton post, tu peux, parce que j'ai pas trop d'inspi, déjà là la reprise est moyenne x] bref, fais comme tu le sens ^^]

Tiens, quel'un qui dormait mal ? Bienvenue au club ! sauf qu'elle elle faisait des siestes, ce qui n'était pas le cas de Marya, qui ne dormait pas plus de 5 heures par jour ou nuit, et encore, c'est quand elle était calme qu'elle déppassait le côta des 4 heures.

- tu écoutes quoi comme musique ?
-Un peu de tout ; ça passe par les musiques savant aux groupe de J-rock inconus ... Quand c'est audible evidemment.

Il y avait parfois des choses à ne pas entendre, surtout avec des oreilles aussi surdévloppées que les siennes. Elle detestait pardessus tout le tembourinage. Horrible. Et puis, il y avait uen autres musique que Marya écoutait, celle de la nature et du coeur desgens, gentil battment qui parfois se révellait être envoutant. Mais il était inutile de préciser ce genre d'exentricitée. Dans un soupir, Marya regarde l'horloge.

-Il commance à se faire tard ... Je te revois une prochaine fois je suppose.

Traduction ; Ça lui ferrait plaisir de te recroiser un de ces 4 pour parler musique et lecture. Oui Marya aimait bien cette file, et peu importe sa filiation. Ogawa était Ogawa. Mitsuko allait rester Mitsuko.

Elle se lève, prend ce dont elle avait besoin (=bouquins) puis fit un signe de la main en s'éloigant, le dos tourné.

-Jahna.

Le regard des autres présant était franchement étrange, mais peu importait. Marya avait ses bouquin, un point c'est tout. ERlle passe devant la bibliothécaire, lui confia les livres, attendit deux seconde, la remercia brivement. Quand elle tourna la tête vers Mitsuko, elle était déjà ailleurs.

J'espère te revoit bientôt, Mitsuko-san.

[Pas génial >< mais pour cloturer, je pens eque c'est ok]