Présentation de Ishiro Idogawa [V]

Votre personnage

Identité

Nom : Idogawa
Prénom : Ishiro
Age & date de naissance : 22 ans né le 02 Juillet
Quel matiére enseigne-t'il? : Chercheur
Pouvoir :

La Maîtrise du Métal. Ce Don possède deux stades : le stade passif et le stade actif.
- Au stade passif, Ishiro est capable de détecter la présence de métal à partir du moment où il y en a autant ou plus que dans un piercing. Dans un cercle de rayon 100 mètres, il le détecte automatiquement sans avoir à se concentrer. S’il veut agrandir ce rayon, il devra puiser dans son énergie comme s’il utilisait un stade actif et le rayon pourra être agrandi de 100 mètres. Cette localisation ne peut avoir lieu si cette quantité de métal se trouve à l’intérieur d’un corps.
  Aussi, tout objet en métal l'agressant ne lui fera aucun mal car il fondra en entrant en contact avec Ishiro. Ainsi, même à bout portant, une balle tirée d'un pistolet fondra sans faire de mal. Il en est de même pour les lames....et les séringues, ce qui pose problème car on ne peut plus lui faire de prise de sang ou d'injection médicamenteuse.
- En stade actif, Ishiro peut transformer, déplacer bref, manipuler le métal qu’importe la nature du métal. Ce qu’il ne peut pas maîtriser est le métal non traité, non travaillé. Ainsi, il ne peut pas aller dans une mine de fer et en extraire ce qu’il veut. Par contre, plus l’objet sera travaillé ou traité et plus Ishiro aura de facilité à le maîtriser. Ainsi, Ishiro aura plus de facilité à faire se déplacer une bague en or qu’un lingot d’or, plus de facilité à donner une forme précise à un alliage qu’à une plaque de fer basique.
  A l’heure actuelle, Ishiro ne peut pas déplacer ou transformer un objet plus gros qu’une armoire métallique type celles de l’armée. Cependant, il peux par exemple tirer une faible quantité d’un objet plus gros (par exemple, il peut s’il veut extraire du métal d’un avion à condition de ne pas prendre au-dessus du volume limite) ainsi, tout objet métallique peut faire l’objet du pouvoir de Ishiro mais le jeune Idogawa utilise en général les nombreux bracelets qu’il porte au poignet. Comme il ne peut pas détecter une source de métal à l'intérieur d'un corps il ne peut pas non plus la contrôler.
Forme du don: Limité
Que pense-t'il du Jiyuu ?:

Jiyuu ? Ce troupeau de gamin appeuré qui ne font que palabrer bien haut sans jamais agir. Aucune inquiètude venant de chez eux. Certes l'académie ne fait pas des trucs joli joli mais quitte à agir autant agir de l'intérieur n'est ce pas ?
Pourquoi Prof ? : Pas Prof mais Chercheur. Ishiro n'a qu'une seule envie: la tranquilité. il a essayé d'y parvenir en n'interagissant avec personne mais cela un profond échec. Pour lui, il n'y a plus qu'une seule façon d'obtenir cette tranquilité: devenir de plus en plus puissant pour pouvoir se protéger des agressions extérieurs et imposer son calme. Quel meilleurs endroits que les labos pour en apprendre plus sur son Don ?

Personalité

Caractère :
Dire d’Ishiro qu’il est distant serait vrai. Réservé, il ne parle pas beaucoup et ne se lie jamais réellement à personne. Il n’aime pas la sensation d’être redevable à quelqu’un d’autre que son père adoptif. Il ne rends de comptes à personne d’autre que Itashi et personne n’a à lui en rendre : c’est sa philosophie. Il n’a jamais non plus fait preuve d’une quelconque attirance physique ou sentimentale pour une fille….ou un garçon d’ailleurs. De souvenir d’élève, on ne l’a jamais vu une fille au bras. De ses yeux, s’exhale une lueur d’intelligence et de détermination mais il semble cependant avoir hérité de son père adoptif d’un sens de l’orientation plus que déplorable et d’une totale incompréhension face à la nécessité de se battre. Cela n’empêche pas que Ishiro soit un combattant hors pair avec des armes blanches qu’il créé lui même. Si Ishiro devait être représenté par un animal, ce serait un loup exclu de sa meute : toujours seul, toujours libre, attirant mais dangereux.
Aime & aime pas :
Il adore son père adoptif. Il aime le métal cela va de soit ainsi que les forges, orfèvrerie et la joaillerie, trois domaine dans lesquels il excelle. Aussi, aime-t-il quand il a un moment de libre travailler sur des bijoux et le métal en générale. Le fait que Ishiro soit une bijouterie ambulant semble accroître que les filles lui porte. Bizarre.
Il n’aime pas du tout les animaux par contre et ceux ci le lui rendent bien car ils ont tout pour s’opposer : les animaux représentent la nature tandis que Ishiro et son métal représente l’Humanité qui assois sa domination sur le règne animal. Bref, il n’est pas rare de voir des animaux s’écarter de son passage et d’entre des chiens lui aboyer contre.
Ce qu'il pense de l'école :

Il n’apprécie pas cette école car elle va à l’encontre à son besoin de liberté. S’il y reste c’est parce que son père adoptif, Itashi, le lui a demandé. Aussi, endure-t-il tout les cours sans broncher sachant que c’est ce que Itashi veut.

Physique

Portrait :

Ayant appris les arts de la forge, le jeune Ishiro a une musculature propre à ce métier bien développée. Des cheveux rouges sang encadrent le visage du jeune où le plus saisissant est cette paire d’œils bleus semblant refléter, tout comme le métal, aucun sentiment, juste un froid glacial. Les cheveux long, il les laisse tout le temps détachés et voler au gré du vent.
N’essayait même pas de voir un sourire effleurer les lèvres du jeune Idogawa car nul ne l’a vu sourire depuis qu’il a été recueillis par Itashi, non pas qu’il soit malheureux avec lui mais plutôt parce que son passé joue dans ce sens. Et à quoi bon sourire à son père si celui est aveugle ? Il y a bien d’autres moyens pour prouver son bonheur. Mais n’allait pas me faire dire ce que je n’ai pas dis : Ishiro n’est pas non plus le genre garçon guilleret youkaïdi youkaïda qui gambade d’un pas alerte dans de vertes prairies. Assez de sentimentalisme.

Passé

Son histoire :

Du sang…Si on devait résumé la première chose dont je me souviens, il s’agit bel et bien de sang. Autour de moi, les corps inanimés de ceux que j’avais appelé jusqu’à présent papa et maman. Mes mains minuscules se mêlèrent à la chevelure rouge de mon père puis vinrent caresser les joues de ma mère. Froid…ils étaient si froid. Aujourd’hui encore, lorsqu je dors, il m’arrive de les revoir en rêve, étalés dans cette éternelle mare de sang, de revoir aussi ce qui avait conduit à cela. Je ne devais avoir que 2 ou 3 ans et pourtant tout est si clair dans mon esprit.

Le soleil se levait sur mon village natal. Je ne saurais vous dire commet il se nommait ni où il se trouvait mais le fait est que c’était bel et bien là que ma mère me donna la vie. La journée s’annonçait chaude…très chaude à vrai dire. Tout le monde vaquait à ses occupation journalière. Mon père travaillait le fer dans sa forge et ma mère était partit chercher de l’eau fraîche au puit du centre du village, tout ce qu’il y a de plus banal. Puis ils surgirent de nul part, tels une déferlante de tueurs sanguinaire : des brigands venus des quatre coins de l’île. Ils ravagèrent tout, brûlèrent, pillèrent et tuèrent. Tout fut réglé très rapidement mais mon père avait réussis à nous faire entrer, ma mère et moi, dans la forge afin de nous abriter. Mais nous étions repérés. Quand les pillards commencèrent à enfoncer la porte de devant, nous sortîmes par celle de derrière. Nous avions parcourut une dizaine de mètres mais nous fûmes repérés et très vite encerclés. L’étau se resserrait et nous n’avions pas d’autres choix que nous rendre sur la place centrale, lieu où une majorité des habitants avaient péris.
Les regards que mes parents se lançaient indiquaient bien qu’ils savaient leur dernière heure arrivé. Du haut de mon petit âge, je sentis une vague de colère comme plus jamais je n’en ressentit monter en moi, effaçant en moi tout autre sentiment, toutes autres pensés. Aujourd’hui, je pense que ce fut le premier jour où mes yeux devinrent d’un gris métalliques. Les lames des brigands fondirent sous mon regard et une véritable vague de métal fondit sur ces assoiffés de sang et d’or. Une grande partie des pillard moururent et les autres prirent leurs jambes à leur cou. Un sentiment de satisfaction m’envahit mais l’effort fournis fut trop intense et je m’écroula. Avant de m’évanouir, je ne vis qu’une chose : les corps inanimés de mes parents, gisant dans une mare de sang et de métal. J’avais tué mes propres parents à cause du dons qui s’était éveillé en moi.
Je me réveilla ce qui sembla être des jours plus tard. J’étais affamé et autour de moi, montait l’odeur de la mort. Au loin, une ombre approcha : la silhouette d’un homme. De lui s’exhalait une puissance hors norme à tel point que je crus que c’étais la mort qui venait me chercher en personne. Cela peut vous semblait bizarre que j’eusse pût réfléchir avec cette étonnante faculté intellectuelle pour un garçonnet de quelques années seulement mais de tout temps, je crois, j’étais très avance pour mon âge. Bref, le fait était que cette approchait d’un pas sûr. Plus il s’avançait et plus je pouvais distinguer de détail : ses cheveux étaient blond comme les blé, il portait un jean et, sûrement pour supporter la chaleur régnante, une chemise entièrement déboutonnée, volant au gré du vent et dans son dos était accroché un bô. Ses yeux étaient d’un bleu profond. Sur son visage, se lisait un sentiment de rare tristesse. Enfin, il me vit et s’approcha de moi.

Où sont tes parents ?

Je tendis ma main fébrile vers les corps auxquels j’avais ôté la vie : le corps de mes parents . Le sentiment de tristesse qu’on avait pût lire auparavant sur le visage du blond s’était accru.

Quel est ton prénom ?

Ishiro

C’est à ce moment que mes yeux revinrent à leur couleur originel et, je pense, ce fut aussi à ce moment que l’étranger compris ce qui s’était réellement passé ici.

Moi je me nomme Itashi Idogawa. Je vais t’emmener avec moi, tu n’as plus rien ici désormais et il faut que quelqu’un s’occupe de toi.

Il commença à se pencher pour me ramasser mais il s’interrompit et décrocha son bô. Je ne su pas à cette époque comment, mais il avait sentit le retour des brigands. Aussi, fut-il prêt lorsqu’ils l’attaquèrent.
Itashi luttait avec une facilité déconcertante. Bien qu’ils fut bien plus nombreux, les pillard avaient beaucoup de mal à esquiver les attaques incapacitante du blond. Oh, quelques attaquent atteignirent tout de même Itashi mais il ne semblait en faire fi, même lorsqu’une attaque atteignit son visage et fit couler une bonne quantité de sang. La bataille fut vite plié et on pouvait dénombrer dix nouveaux corps dans cette marée sanglante. Quand Itashi se retourna vers moi, je me rendis compte que le coup porté au visage avait touché ses yeux : ceux ci avaient été crevé et il avait continué de se battre.
Semblant encore voir, Itashi se pencha sur moi, me pris dans ses bras et s’en retourna vers le chemin qu’il avait emprunté pour venir.

Itashi Idogawa était un brillant enseignant d’art martiaux dans une des plus prestigieuses université de Tokyo. Certains disent que s’il n’avait pas été blessé durant les congés qu’il avait prit et où il me trouva, il aurait été le meilleur pratiquant de Kendo du Japon. Sakura, la concubine de Itashi, ri à chaque fois qu’elle entends ses rumeurs. Pour elle, cet accident n’avait fait que rendre meilleur le Kendo de son compagnon.
C’est vers l’âge de 5 ans que Itashi commença à m’expliquer les bases du Don. C’est ainsi que je compris qu’il possédait lui aussi un Don : celui de la prescience. Tout ce qu’il m’enseigna, je l’acquis très rapidement, qu’il s’agisse des bases sur le Don ou des arts martiaux, et je dois avouer que j’excellais plus particulièrement dans le Kendo.
Dans quand, il pensa que j’avais la capacité de contrôler un temps soit peu mon pouvoir, Itashi m’autorisa a en faire usage pour des choses bénigne comme pour réparer ne chaîne de vélo, un bijou, affûter mon katana,… Bien qu’il ne se produisit rien de non voulut, je ne pouvais pas m’imaginer autrement que comme un instrument de mort, une personne qui tue tout autour de lui. La perte de mes parents biologiques et la façon dont ils étaient morts étaient et sont encore bien présent dans ma mémoire. S’il y a une chose qu’actuellement je ne souhaite pas voir se reproduire c’est bien la perte d’un être cher.
Itashi et Sakura m’emmenèrent voir nombres de psychologue et tous s’accordèrent sur certains points : je serais durant très longtemps instable psychologiquement et je semblais avoir développé un processus défensif qui m’empêchait de ressentir la moindre émotion. Que ces hommes peuvent paraître bêtes quand j’y pense. Ne ressentir aucune émotion ? Ils étaient bien loin de la réalité. J’étais en fait comme un simple spectateur de ce qui se passait autour de moi. Entre le monde extérieur et mes pensées s’était développé un mur de réflexion derrière lequel je m’abritais sans cesse. Tous ce que je voyais, entendais et sentais été analysé, calculé et appréciait sans qu’aucune émotion ne transparaisse puis j’agissais en fonction de ce qui m’était bénéfique. Ce n’est donc pas comme si je ne ressentait aucune émotion mais plutôt comme si je refusais de reconnaître qu’elles soient là et que je les faisais taire.

Bientôt, Itashi eu vent d’une école où l’on apprenait aux élèves à maîtriser leurs Dons. Il m’y inscrivit à mon insu et quand je vins à l’apprendre, il me demanda simplement de m’y rendre et d’apprendre le plus. Itashi savait parfaitement que je détestais les ordres, aussi n’avait-il fait qu’une suggestion et comme ce doit être la seule personne à qui je me sens éternellement redevable, je ne rechigna pas et me rendit à Takuetsu. J’entra en première année de primaire même je possédais déjà toutes les connaissances que Itashi avait partagé avec moi. J’étais aussi un peu plus vieux que les autres élèves de cette classes mais je m’en fichais, je ne faisais que faire plaisir à celui qui, l’année d’après, m’adopta officiellement. Toujours en avance sur les autres, j’appris beaucoup ici même si je n’usais jamais de mon Don en présence d’autres personnes. Ne souhaitant aucun lien avec les élèves d’ici, je vivais en une parfaite autarcie. Je ne cherchais en aucun cas le contact que ce soit avec les élèves ou avec les professeurs.
Il arrivait que des différents éclates, même chez les primaires, et les élèves avaient la fâcheuse tendance de régler ça avec leurs Dons. De mémoire, de tout les différents que j’eu, même en évitant de fréquenter les autres, il ne semble pas avoir utilisé une seul fois mon Don : mes connaissances en arts martiaux étaient assez avancé. Ainsi, après quelques remise dans le rang, on évita soigneusement de me chercher des crosses.
Même si mon éducation se faisait désormais à Takuetsu, Itashi eu quand même son mot à dire et par le biais de lettres et de visites pendant les vacances scolaires, mon mode de raisonnement fut grandement influencé par l’aveugle qui m’élevait.

Durant toutes ces années que j’ai passé à étudier, j’ai toujours été un brillant élève. Quand l’année finissait, j’avais toujours deux ou trois mois d’avance sur le programme de l’année suivante. Je passa donc tout les examens de fin d’année sans encombre. A vrai dire, je crois que jusqu’au lycée nul élève ne connut mon Don car j’arrivais toujours à faire sans l’utiliser. Seuls mes enseignants le connaissait car mon père adoptif avait dû le dire lors de mon inscription. Ainsi, bien qu’étant un Elémentaire, on ne m’adula pas et on ne me traita pas de monstre, ces réactions étant courante envers ceux qui avait un pouvoir un peu plus puissant que les autres. Parmi ces personnes qui possédait un pouvoir plus puissant que les autres, se trouvait un drôle de couple : Matsuri et William. L’une avait le pouvoir de maîtriser le sang et l’autre semblait pouvoir faire des choses désastreuses par simple contact. D’ailleurs, il me revint en mémoire la raison pour laquelle je déteste tant que ça les SA.

Matsuri et William, dû à leur pouvoir puissant, appartenaient à la classe SA de l’époque. Déjà en ce temps les SA étaient admirés par bon nombres d’élèves que je qualifierai de lambda. Je n’étais pas de ce compte. Mais cette remarque ne nous est d’aucun intérêt ici. Il se trouva qu’un jour, je ne sais pour quelle raison, j’étais dans un état d’énervement assez avancé mais j’arrivais, comme à mon habitude, à le dissimuler sous mon sempiternelle masque de dureté mêlé à l’absence de quelconque émotion. Vint alors à passer Matsuri et William avec leurs, groupies habituels. Je ne sais pourquoi mais cela eu don de m’énerver plus et mes yeux devinrent d’un gris métallique comme jamais auparavant personne n’avait vu dans cette école. Mon Don échappa a mon contrôle. Ce jour là, le collier que la future prof de SA portait autour du cou commença à se faire de plus en plus serré puis vint à l’étouffer. Je ne savais plus quoi faire et je commençais à paniquer derrière mon mur émotionnel. Les élèves présents regardèrent en tout sens pour voir d’où venait la source de ce pouvoir mais ce fut William qui me vit le premier. Tout en courant, il ôta un de ses gants q’il avait l’habitude de porter en toute saison et sans que je cherche à me défendre, il vint me mettre un coup de poing remarquable à la mâchoire. Le coup, bien que puissant, ne m’aurait pas fais choir mais son Don fit le travaille. Je tomba tel une masse inerte et mon esprit plongeait dans un abîme sans fond. Je ne sais pas combien de temps cela dura mais durant ce qui me semblait être mon sommeil, je vis bon nombre de fois un grand miroir derrière lequel des voix m’appelaient. Je ne les écouta pas et j’avais bien fait. Lorsque je me réveilla, Itashi était auprès de moi. Il m’annonça que j’avais été dans le coma près d’une semaine.

Ma scolarité repris quelques jours plus tard et je ne revis plus Matsuri et William avant de bien longue années. M’évitaient-ils où avaient-ils été transféré ailleurs ? Je n’en su rien et je m’en fichait. Je m’étais rendu compte de nouveau que j’étais toujours une arme qui pouvait tuer n’importe qui autour de moi son mon propre consentement.
C’est peut-être à partir de ce moment là que je voulus vraiment apprendre le plus possible afin de pouvoir maîtriser mon Don du mieux que je peux pour, peut-être, devenir enseignant dans Takuetsu.
Il est vrai que encore aujourd’hui, je me sens comme emprisonné dans cette endroit et constamment épié mais au moins ici, j’étais sûr d’une chose : on me ficherait la paix.

Désormais, je suis à l’université où j’apprends non plus comment maîtriser mon Don mais comment réussir à amplifier sa puissance. N’est-ce pas le comble pour celui qui avait peur de faire trop de dégâts autour de lui ? Mais c’est bien un passage forcé pour devenir enseignant. Afin de m’assurer de temps en temps un petit revenu, il m’arrive d’aller en ville travailler dans la forge ou la bijouterie. Je m’entraîne toujours au Kendo avec Itashi et sans être arrogant, je peux avouer que l’élève ne tardera pas dépasser le maître.

Rêves :

Désormais, il ne souhaite que le calme et pour cela, surpasser tout ceux qui serait suceptibl de le lui gâcher.

Qui se cache derrière l'écran?!

Prénom : Grég
Age : 21 ans
Comment avez vous connu le forum ôô ? : Je traînais sur Mangalyfe lorsque je me suis fait agresser par une charmante demoiselle…
Qu'en pensez vous ? : Je suis à peine inscrit mais à première vu ça à l’air sympa
code ? :

Code Bon By Magnum au Chocolat