Une nuit de Noël, un fantôme qui a froid.

Daiichi était en sécuritée maintenant. Elle n'avait plus à s'inquéter. Il dormait paisiblement dans cette chambre provisoire où tout deux llogait et logerait jusqu"a leur admission officielle.

Cette nuit la, c'était la nuit de Noël ... Tout les collégiens et primaire serai en train de danser parait-il. Et apperement, Les lycéens ne semblait pas s'y interreser. A cette heure froide de la nuit, ils serraient surment bien au chaud dans leur chambres avec d=leur amis, histoire de faire des fêtes en petit comité. Il n'y aurait alors pas beaucoup de monde dans le parc à cette heure.

Ce qui soulagait Marya, car elle n'en pouvait plsu de rester cachée et confiner dans cette fuchu chambre. Même si la présance de Daiichi la rassurait grandement, il n'y avaitrien de plus horrible que de rester là-dedant, avec pour seul droit de sortit ses entretiens avec le directeur... Foutu directeur. Il avait fait pleurer Daiichi le salaud.

Elle avait longtemps hésiter à le laisser seul. Mais raisonablement, personne n'avait d'interrêt à lui faire de mal, et les gens immature n'était pas au courrant de son existance. Ce qui finit de convaincre Marya à sortir. Respirer. Il fallait qu'elle respire.

Mais l'air entrait dans ces poumons en ennemies ; il lui glaçais la gorge et les bronches, lui geleit le coeur. De quoi attraper une bronchite. Mais temps pis. Du moment qu'elle ne respirait pas par la bouche, elle limitait le risque de tomber malade. Pourquoi fait, ne voulait-elle pas être malade ? Ah oui. Daiichi. Elle ne pouvais pas le laisser seul. Surtout pas par faiblesse. Surtout pas à cause de son corps.

Elle s'était étoner plus tôt d'entendre un ruissolement dans le parc. L'Academie était bien plus grande qu'elle l'avait imaginée. Elle découvrit qu'ils avaent dévier un cours d'eau pour le faire passer dans le parc. Mais aparemment, seul les employer et quelques élèves de longue date était au courrant de l'exisance de ce court d'eau. Evidemment, c'était telement grand que personne n'irait s'avanturer aussi loin.

Elle le vit enfin ; une petite fallaise, une cascade, un lac dont la surfaces était à peine ridée par la coulée de l'eau ou le vent qui avait du mal à passer à travers le feuillage des arbre, cotoyants de près cette clairière au coeur d'argent. Une eau claire, pure, si belle ... De là où elle venait, il n'y avait que des arbres ; juste à côter, un petit pavé fleurit, mélangé homogènement avec une herbe tondue. Naturel et artificièl à la fois.

De l'autre côter, c'était le vide : Une prairie verte, tondue aparemment elle aussi, qui donnait sur des batîment un peu plus loin ; on pouvait entendre des voix et une agitation avtive qui provenait de là-bas. Des cris de joies, de peines, des chants, des bruits de vaiselle ... La fête avait commencée.

Elle regarda autours d'elle : personne. Elle tendis l'oreille : rien. Parfait. Elle n'avait pas froid. Elle avait même un peu chaud. Etrange. Elle se sentait un peu mal. Un peu ...

Abat les tabout et les prise de consciances ; Elle retira sa veste, se chemise qu'elle portait sans les manches, juste en attachant les boutons. Elle retira son foulard, des boucles d'oreilles, ses milles et un bracelets ... Elle s'attaqua à sa ceinture qui retenait à la fois ses jupes, son pentacourt volant et son legins, ses chaines qui y pendaient et ses bottes et le foulard qu'il y avait au dessus. Elle enleva tout. La seule chose qui était encore sur son corp était son "colier de chien" en cuite noir, auquel pendait le pendentif. Minuscule pendentif.

Elle le caressa doucement et hésita. Le garder ? Et riquer de l'habimer ? Ou bien le laisser là ? Temps pis. Elle pinca du bout des doigts le bord du morceau entier de cuire et fit glisser ; une bande plus fine était encastrer à l'interieur. Il fallait tirer doucement, pour ne pas la bloquer et l'empecher de sortir. Doucement. Elle fini par le deffaire entièrement. Elle l'enroula avec précaution dans le foulard qu'elle portait plus tôt au cou, et mis ce paquettage entre ses vêtement qu'elle posa sur la rive.

Ca y est, elle pouvait y aller. Elle posa lentement le pied dans l'eau ; si l'air était glacial, alors l'eau était à une tempétature polaire ! C'était effectivement le meilleur moyen de tomber malade ! Elle se vit, refléter par le miroir naturel ; Elle était peut-être belle, au fond. Son corp n'éait pas mal proportionné. De longue jambe, des bras fin, une faible poitrine ... Un vrai corps de danseuse. Elle sentit le vent l'entourer et faire fremir sa peau. Elle se decida à entrer et se dirigea vers la peite cascade. bizarement, l'eau ne lui arrivait pas plus haut qu'au mollet. Elle marchait d'un pas ralantit. La cascade parut nettement plus haute et plus large lorsqu'elle s'en retrouva proche. Elle avanca dedans, la tête sous l'eau. Ca faisait du bien. Tellement de bien. Cette eau si pure qui coulait sur sa peau.

Elle leva sa tête pour asperger son visage ; l'eau coule, coule, coule sur sa nuque, son ventre, son dos. Elle croissa ses bras et les attrapa avec ses mains ; elle avait froid. Avait-elle vraiment froid ?

Non. Elle avait juste une envie que le corps de n'importe quel être humain ressantait. Que n'importe quelle femmes pouvait ressentir ; le besion que quelqu'un la prène dans ces bras, celui de se faire réchaufer par une autre personne. Et peut-être, au fond, le fantasme qu'un homme complète son corps. Des bras, de la chaleur, de l'amour ... Celui de Daiichi ne lui suffisait plus. Mais pourquoi ? Etait-ce normal ? Pouvait-elle le souhaiter ? En avait-elle le droit ? Avait-elle le droit à cet égoïsme ?

Non, non ; ne m'aimez pas, criait-elle en son coeur ; Ne m'aimez pas ! Je n'ai rien ! Rien à donner en retour ! Ne m'aimez pas ! Mais au fond d'elle, une petite voix qu'elle essayait sans cesse d'étouffer se reveillait, surment à cause de ce froid, de cette envie ; Ne me detsetez pas. Ne m'ignorez pas. Je veux vivre. Je veux exsister ! Je veux exsister !

Les pensée de Marya s'arrêtairent alors ; elle entendis un pas du côter de la rive ; la où était poser ses affaires. Il y avait quelqu'un. Elle se reveilla et repris son air sereiux et le calcule recommaca à prendre place dans sa tête ; analyse de la situation ;
Il y avait quelqu'un ; ce ne pouvait être un primaire ou un colègien ; il étaitent à la fête ; un lycéen ? un fille ou un garçon ? Elle se concentra et filtra le son : un pas droit et ferme, non balancé comme celui d'une femme : Un garçon ?Oui ... Un homme ...

Elle s'avanca un peu plus près pour voir et confirma ses doutes : une silouette humaine, celle d'un lyceen, se dsina près de la rive, juste à côter de ses affaires. Cachée par les gouttes d'eau de la casecade, elle lança de sa voix forte et plus grave que la plupard des voix féminines :

-Darre ? [Qui ?]

[commentaire débile de l'auteur ; Peu importe que vous vouliez vous incruster dans la fête du bal de Noël, vous aurrez tout le temps de le faire après ; Cherche raiponse de la part d'un pyceen mignon qui n'a pas peur des trucs embarrasant ^^ :P ]

-AAtchoooum

Voici la seul chose qui brisa le silence de la soirée, dont le propriétaire n'était autre que Kenshiro Tokisei. Le lycéen avait décidé de sortir un peu, lors de cette soirée de noël, afin que la solitude dont il est accompagné se fasse moins lourd. A part quelques contacts dans l'établissement, il ne se sentait pas encore assez proche d'eux pour faire la fête avec eux. Et pourtant, si il y a une personne qui aime faire la fête, c'est bien lui. Pourtant, malgré son attitude toujours portée sur la bonne humeur, il ne se sentait pas de faire la fête ce soir.

Ken s'avance alors dans le parc, ne regardant pas où il allait. Aprés tout, pourquoi s'en occuperai t-il? Il n'est attendu pas personne et n'attend personne non plus. Il est complètement libre de ses mouvements ce soir, mais il doit avouer que fêter noël seul est une chose bien triste. Il avait demandé au directeur l'autorisation de retourner en france durant les vacances, mais ce dernier refusa obstinement à le laisser partir ne serait-ce qu'une journée. Aprés l'avoir insulter en français, il remonta le temps pour effacer cette évenement. Même si ça ne resoud rien, ça soulage un peu.

Mais bon, revenons à nos moutons. Ken se ballade donc, ici et là, écoutant avec son balladeur le dernier albulm de "Nightmare", fredonnant les chansons qui passe dans ses oreillettes. Mais il sentait le vent froid de l'hiver lui arracher les poumons, comme si des cristaux de glaces se formaient à l'interieur. Il expira fortement pour faire une fumée blanche, elle était bien visible et épaisse. Il en rit, même les enfants ne fesaient plus se genre de chose. Ca lui fesait du bien de rire un peu, même si ce n'était pas pour longtemps, ça lui fesait du bien.

Soudain, le temps se rafraichait et semblait bien plus humide. Un son sourd se fesait entendre au loin, le son d'eau qui tombe rapidement et en grande quantité. Une cascade? Dans un établissement? Le directeur avait vraiment la folie des grandeurs sur ce genre de détail. Il s'avança pour voir cette fameuse cascade de plus prêt, en espèrant ne pas tomber dans l'eau. Même si il avait la faculté de remonter le temps, avoir ses vêtements trempé n'est pas agréable.

Il s'avance donc, la nuit était bien clair et il pouvait donc s'enrienté sans risquer de se blesser bêtement. Le bruit de la cascade se fesaient de plus en plus fort, et l'air de plus en plus humide. Normal en même temps, si il y a une cascade dans le coin, l'humidité doit être bien imporante.

Il arrive enfin soudain devant la cascade. Mais il ne put en admirer la beauté, car il toucha quelque chose au bord de l'eau qui deplace son attention. Des vêtemens, apparement féminin, mais il ne put pas trés bien voir. Il s'abaisse et attrape un foulard, un colier en cuire sur lequel était attaché un pendentif se trouvait à l'interieur.

???# Darre?

Ken fut si surprit qu'il s'en releva d'un coup. La voix était bien grave et forte, mais elle appartenait à une fille. Son regard se pose alors sur la cascade. Il apperçoit la silhouette d'une jeune femme, apparement la propriétaire des vêtements qui se trouve au sol. Il ne distingue pas tout, mais il pouvait voir son visage. Elle avait des cheveux blanc, et ses yeux semblaient être de la même couleurs que des perles sous les reflets de la lune. C'était à la fois quelque chose de beau, mais aussi d'effrayant. On dirait une défunte tant sa peau était pâle. Mais Ken, qui était loin d'être con, se demandai quel spectre prendrai un bain à -10° en pleine nuit. Il serait mieux pour lui de se retourner, afin d'éviter de se faire traiter de pervers voyeur, mais hélas, c'était un peu tard pour ça. (De toute manière, les hommes ont toujours tort sur le sujet). Il aborde donc la conversation avec un sourire naturelle.

-Je suis désolé, vaiment. Je me balladai juste et je ne pensai pas me trouver en compagnie de quelqu'un ce soir. Je crois même que j'aurai préfèré que cette personne soit un peu plus habillé vu les circonstance. Je pense aussi avoir dans la main un objet qui vous appartient.

Oui, c'était bien un homme. Bien un Lyceen. Il venait de prononcer des paroles dans lesquels elle pouvait distainguer un peu de gène. Evidemment, vu les circonstances ... Elle pouvais le voir ; Grand, aparemment, il devait avoir 17 ou 18 ans. Ses cheuveux étant de couleur foncée, elle ne pu en distainguer correctement la couleur ; sa vue était bien moin dévelopée que son ouïe. Mais il avait une peau assez claire... Un européen peut-être ?

Elle vit alors qu'il tenait son pendentif ; Elle se sentit immediatement mal à l'aise, mais c'était trop tard : il l'avait vu. il était surment temps d'arrêter la douche ...

Elle s'avanca sans gène vers la rive, ce qui aurrait pu faire rougire n'importe quel homme. Mais elle n'était pas franchement du genre à se préoccuper de ce genre de futilitées. Mais bon, il fit quand même les gros yeux en la voyant avancer.

-"Si tu n'a pas envie de me voir, retournes-toi, mais je ne vois pas en quoi tu devrai être pris de culpabilitée : tu sais comment est fait un corps humain non ?"

Elle sortit de l'eau et renfillases affaires. Impassible, impudique. Ainsi était-elle comme toujours. C'était étrange pour l'époque ; elle le savait bien. Il y avait peu de femmes qui se laiserai voir par n'importe qui. Mais elle ne se considérait pas comme "nue" : pour elle, il fallait mettre "à nu" son âme pour qu'elle se sente réellement honteuse.

Une fois habillée (ce qui au pasage posa quelques problème puisqu'elle ne s'était pas séchée avant de se rhabiller) elle avanca vers lui afin de récupérer ses affaires.

-"Tu ne m'as toujours pas répondu ; Kimiwa darre ?"["Qui est-tu ?", sachant que le "kimi" est plus en générale utiliser pour les enfants...]

Elle avait toujours cette voix grave de femme qui était passer sur beaucoup d'experiance et qui ne se ferrait avoir par plus personne. Pourtant, elle n'avait même pas 14 ans. 14 ans moins 5 jours pour être exacte. Qu'est-ce qu'une fille de 14 ans pouvais connêtre de la vie ? Comment pouvait-elle se permetre de s'adresser à quelqu'un de plus vielle qu'elle comme si il n'était que quelqu'un de dépourvu d'experiance ?

-"Et j'aimerai ... les récupérer s'il te plait ..." cette fois sur un ton plus calme et plus doux.

Elle tourna son visage vers le sien ; ils faisaient la même taille. Elle qui avait prévu un sourir de politesse, elle ne pu s'empecher de sourir avec le coeur ; elle pouvait entendre les batements de son coeur désorganisés, si simples. Elle pu enfin voir son visage ; un visage d'homme mature et pourtant souriant (quoique cette fois, ce sourir soit un peu contreversé par l'évenement qui avait précédé) traversé par une cicatrice : il était plutot beau garçon, mais ça, Marya n'y préta pas attention longtemps. Elle ne prétait jamais attention au gens longtemps. Mais elle était trop occupée à écouter les batements de son coeur ; une merveilleuse musique. Pourtant pas bien compliquée.

Tout se mélangeait un peu dans ses penser et elle préfèra lui prendre ses affaire plutôt que d'attendre qu'il lui donne. C'était génant, d'écouter les battements de coeur. Elle s'éloigna un peu en enroulant le foulard à sa taille et tenta de remetre son ras-de-cou. Passe. Repasse. Elle était, pour une raison qu'elle ignorait, légèrement stréssée. Pourquoi ? Daiichi allait bien. Il était tranquilement endormit dans leur chambre. Pas besion de s'inquiéter. Le bonhomme derieère ? Que pouvait-il lui faire ? Elle réalisait alors que ce qui la troublait le plus était ses pensées précédant l'arrivé du jeune homme : Solitude. Aimer. Ignorer. Exister. Assez ! Elle ne devait pas penser à de telle futilitée !

Sa main ripa. Elle ne parvenait pas à inserrer la bande dans l'interieur du colier. Elle laissa tomber et finit par demander :

-"Tu veux bien m'aider ? Je n'arrive pas à le remettre."

Elle s'aprocha de nouveau, lui confiant le colier et se retournant en soulevent ses cheuveux, découvrant sa nuque, permettant au froid de l'attaquer de nouveau. Elle pointa du doigt l'endroit ou devrait se placer l'ouverture :

-"Ici. Enfonce la petite bande dans le trou de la plus grande ; ça s'enroule sur un tours entier."

Kenshiro se demandai vraiment si, en entrant dans cette école, il n'était entrer dans une autre dimension. Entre une poupée de glace insensible à la vie et une fantôme peu pudique, il trouva les élèves de cette école vraiment...étrange. Oui, étrange est bien le mot, mais qui était-il pour parler de ça, vu que lui aussi était quelqu'un d'étrange à sa manière. Il fut néanmoins surpris et géné en voyant la jeune femme nue s'avancer vers lui. Il garde quand même un sourire symphatique et calme, et ce malgré la remarque de la jeune femme qui commençait alors à se rhabiller.

Malgré le fait qu'il avait déja "bien vu" le corps de cette élève, il décide quand même de rester tourner dos à elle le temps qu'elle remette ses vêtements. Il se trouva déjà chanceux qu'elle n'utilise pas ses pouvoirs pour tenter de lui arracher les yeux, déjà faudrait il qu'il en connaisse la forme. Une fois ce détail fait, la jeune inconnue s'avance vers lui et lui demande, ou redemande, question de point de vue, son identité. Il l'a trouve légèrement impolie de demander ça sur le ton employé. Même si il n'avaient pas énormement de différence en taille, il était quand même clair qu'il était un peu plus âgé qu'elle.

Mais avant qu'il eu le temps de répondre, elle lui demande une faveur, celui de remettre son collier à son cou. Apparament, elle semble dans l'incapacité de le remettre par elle même. Selon lui, il se devait au moins de faire ça, aprés tout, il la coupé en plein "bain de minuit" et il avait touché à quelque chose qui ne lui appartenai pas. Une fois le collier mis, la jeune femme se retourne, laissant ainsi au bon soin de Ken de se présenter.

-"Bon, je pense que je dois à présent me présenter, vu que tu m'as demander par deux fois mon identité. Je me nomme Kensiro Tokisei, lycéen, je ne suis arrivé que depuis quelques jours ici et comme je ne connais personne avec qui passer la soirée de noël, j'ai décidé de terminer la visite de l'établissement. Maintenant que je me suis présenter, puis-je maintenant connaitre ton identité, que je puisse au moins mettre un nom sur ce jolie visage."

Ken avait d'abord pensé dire "jolie corps", mais il préfèra ne pas tenter le diable. Aprés tout, il avait trouvé quelqu'un avec qui passer la soirée de noël, il n'allait pas la laisser partir comme ça. Voyant qu'elle commence un peu à trembler de froid (ce qui est normal, aprés la douche froide qu'elle venait de se prendre), il retire son manteau de cuir et décide de le lui poser sur ces épaules.

-"Je pense que tu en as plus besoin que moi, pour le moment."

Cela faisait longtemps que quelqu'un ne l'avait pas toucher sans volonté de lui faire du mal. Aussi rapidement qu'il mit le collier, Marya se sentit un peu, rien qu'un peu génée. Ca faisait bizare qu'une autre personne que Daiichi est un reelle "contacte" avec elle ...

Kenshiro ... Tokisei... Tien, son nom était japonnais ... Un nouveau ? Bien ...
De nouveau, comme à chaque fois, le sens de l'analyse de Marya se remit en action : Capacités physiques ; plutôt grandes à première vue. Capacitées spirituel : inconue. Capacité du don : active mais puissance inconue. Tout un jeu de logique qui se mettait en place dans sa tête.

Alors que son cerveau effectuait ce travaille, son corps, lui lançait le signale : il fait froid. Comme reflexe du corps, elle ne pu retenir un tremblement, et ce Tokisei Kenshiro le remarqua bien vite ... Il retira son manteau et le mis sur ses épaule :

-"Je pense que tu en as plus besoin que moi, pour le moment."

Ce n'était pas faux... Marya n'objecta pas. Elle se présanta alors brièvrement :

-"Akatsuki Marya. Future élève de Takuetsu no Gakuen. C'est tout ce que tu as besion de savoir pour l'instant."

C'est vrai que c'était un peu salaud comme réponse ; lui qui lui parlait toujours aussi poliment, elle ne lui donnait que son nom et sur un ton bien désagréable qui plus est. Mais de toute manière, il n'allait pas se souvenir d'elle longtemps. Car elle ferait comme d'habitude.

-"Merci quand même ... Pour le manteau."

Elle se laissa alors tomber sur le sol fleuri. Elle devrait partir, elle l'aurait déjà fait normalement. Mais ce paysage, elle l'aimait bien. Ce lac, ces fleurs. Cette lune. Lune dont la lumière se reflettait sur ses cheuveux et dans ses yeux mieux qu'a la lumière du soleil. Et parmis ces fleurs aux variétées multiples, elle pouvait en reconnaître qui étaient dîtes les "néscésaires" pour crer artificielement la "Fleur de Lune" [Tsuki no Hana] qui représantait autrefois son clan ; le clan Akatsuky. La même qui était gravée sur son sabre et sur son révolvère. Objet qui lui avait été confisqués avec ses bombes lacrimogènes dès qu'elle avait fait un pas sur les lieux. Ce foutu directeur avait décréter que la possesion de tels objets de la part d'un élève considéré comme dangeureux était dépourvu de sens ... Il allait voir si lui couper la tête était dépourvu de sens !

Elle comanaçais à s'endormir à moitié, allongée par terre, et pensa bon de maintenir son cerveau en activité afin de ne pas laisser le someil la gagner. Elle lança d'un ton toujurs aussi impasible en remontant le manteau en couverture sur son visage :

-"Ne te fatigue pas à rester debout ; assis-toi siu tu veux ..."

Kenshiro était attentif à la présentation de la jeune fille. Akatsuki Marya, beau prénom pour une belle personne, malgré qu'elle s'est présenté sur un ton un peu distant et froid. Si son nom est tout ce qu'il avait droit de savoir pour le moment, Ken s'en contente alors. Aprés tout, comme il le disait souvent à lui même, il avait le temps avec lui. Elle avait prit le manteau sans faire de difficulté. Il faut dire que ce manteau avait une belle fourrure sur le col et qu'il tenait bien chaud. Elle s'assit alors au sol et admira un peu les lieux avant de se tourner de nouveau vers Ken.

Marya# "Ne te fatigue pas à rester debout ; assis-toi si tu veux ..."

-"Tu as bien raison, je ne payerai pas plus cher assis que debout."

Il avait toujours répondut avec un grand sourire, et il s'assit au même moment en face de Marya. La jeune fille semblait vraiment avoir froid, vu que ça tête se trouvait presque dans la fourrure. Il ne prenait pas compte du ton impassible sur lequel elle lui parlait, mettant ça sur le compte de la fatigue et du fait qu'il l'ai apperçut nue. Ses yeux montraient aussi une assez grande fatigue, pensez donc, prendre une douche froide durant une nuit polaire, rien de tel pour tomber en léthargie. Et s'allonger sur le sol n'arrangeai pas les choses,rien de tel pour tomber dans les bras de morphée.

Un rayon de lune éclaire les deux jeunes gens, laissant apparaitre distinctivement leurs visages commun (du moins, le peu de visage qui restait à Marya.) Les cheveux et les yeux de la jeune fille reflettait la lumière comme si elle s'y dégageai naturellement. Elle trouva alors cette particularité à la fois mignionne et amusante.

-"Déjà que j'ai trouvé la journée magnifique, cette nuit est encore plus belle. Bon, il fait froid et on se les gèle un peu à côté de la cascade, mais la nuit est belle quand même. Si tu es une nouvelle arrivante de l'établissement, je pense que, comme moi, tu dois avoir du mal à te diriger dans un endroit aussi grand qu'ici. Je pense aussi que tu as de la chance, on ne sait jamais ce qui peu arrivé à tout moment."

"Trop souriant ..." ... Oui c'était vrai. Le genre de personne qui ne cesse jamais de sourir : ça devenait énervant en fin de compte. Elle toucha du doigt son pendentif pour ne pas trop y penser. S'enfermer avec elle-même. Son pendentif dont elle parcourait les reliefs ; un cercle pour le soleil d'Ameratsu [Ameratsu est une déesse de la religion shintoïste ; la déesse du soleil], à l'interieur le croissant de lune musulman, et encastré dedans l'étoile de David et une croix chrétiène. Ces quatres religions étaientcelle qu'elle était le plus suceptible de rencontrer au cours de sa vie : elle ne croyait en rien, même pas en une forme de divinité. Mais elle reçu ce pendentif pour la tolérance qu'elle devait avoir vis-à-vis des autres et de c e qu'ils pensent. Il avaint le droit de penser ce qui leur plaisait, elle n'avait pas le droit de leur imposer sa façon de penser. C'était ce qu'on lui avait apris ; Nous ne somme pas un groupe qui doit être parfait appelée humanité ; nous sommes des individus uniques qui doivent apprendre à s'entendre pour que chacun ait le droit à la vie.

-"Déjà que j'ai trouvé la journée magnifique, cette nuit est encore plus belle. Bon, il fait froid et on se les gèle un peu à côté de la cascade, mais la nuit est belle quand même. Si tu es une nouvelle arrivante de l'établissement, je pense que, comme moi, tu dois avoir du mal à te diriger dans un endroit aussi grand qu'ici. Je pense aussi que tu as de la chance, on ne sait jamais ce qui peu arrivé à tout moment."

Ces parole réveillèrnet Marya de sa semi torpeur. Elle ne compris pas vraiment les premières et dernière paroles, juste l'idée principale selon quoi il aimait la nuit et qu'elle avait été chanceuse. De quoi ? Elle ne savait pas trop ; elle commançais vraiment à avoir du mal à tenir. Elle ne devait pas s'endormir : Daiichi l'attendait. Daiichi. Il ne fallait pas qu'il pleure. Plus jamais.

-"Tu pense qu'une nuit de Noël est plus belle qu'une autre ? C'est juste une nuit plus longue ... Rien d'exeptionnel. lança-t-elle à tout hazard. Je ne pense pas que ce soit quelque chose de special ... C'esy juste la naiscance d'un prophète europeen pour la religion chrétiène [ Rapel ; nous sammes au Japon ; la plupard des gens sont shintoïste ; ne penser pas que Marya ait lu la Bible ...] Ce n'est pas quelque chose d si particulier. Je ne comprend pas vraiment pourquoi on en fait tout un barda ..."

Elle ne disait cela uniquement pour ne pas s'endormir. Sinon, elle aurait fait moins long. Mais bon, elle commançais vraiment à s'endormir, et il était or de question de se faire ameuner devant du monde alors qu'elle serait evanuoie alors qu'elle devrait rester cachée. Elle le savait bien ; elle et Daiichi n'avait normalement pas encore le droit d'être ici. Mais ils n'avaient nul part où aller.

Elle comançais vraiment à faiblir ; mais que lui avait-il pris ?pourquoi avait-elle eu l'idée sogronue de se jeter sous une cascade d'eau glacée pendant une nuit d'hiver ? Maintenant qu'elle y pensait, elle trouvait cela tellement stupide qu'elle se demandait même si elle en avait pris elle même la décision. Elle respirait plutôt mal, mais évitait de se faire entendre.Elle devait se maintenir éveillée. Le temps de se reposer et de pouvoir se déplacer. Elle savait bien qu'elle ne chosisait pas vraiment la meilleur solution, mais elle n'avait plus vraiment la force de se relever ; c'était comme si on l'accablait ce soir là de toute la fatigue qu'elle avait contenue jusqu'alors. Et il faut dire que ce n'était pas rien.

Il fallait parler. Il ne fallait surtout pas perdre consciance. Pourquoi était-elle donc aller là dedans ? C'est alors qu'elle se souvint ; elle étouffait. Etouffait. N'en pouvais plus. Elle se sentait mal. Pourquoi ce soir ? Pourquoi devait-il y avoir un temoin de ses moments de faiblesses ? Elle regardait encore une fois son visage. Le visage de celui qui avait peut-être pu voir sa faiblesse. L'avait-il vu ?

Il souriait toujours, lui. Qu'est-ce qu'il lui avait dit déjà ? C'est pas bon, c'est pas bon, elle commançais à faiblir. Qu'est-ce qu'il avait dit ? Ah oui.... Avoir du mal à se reperer dans l'établisement. Oui c'est vrai. C'était tellement grand... Grande école et pourtant si peu de liberté ... Liberté ... Elle avait dit adieu à la liberté ... En entrant ici.

Ses pensée en vracs, elle ne parvenait plus à ouvrir les yeux. Il ne fallait pas qu'il arrive quelque chose d'imprévu. Pas comme ça. Ce serai telement idiot. Alors elle se souvint qu'elle devait s'arranger pour que celui qui l'avait vu garde le silance ; elle pouvait tout aussi bien lui faire confiance, mais comme on dit, si on veut que le travaille soit bien fait, il faut le faire sois même. Elle aurait voulu le prévenir, mais sa fatigue interompis ses calcules et elle fini par abandoner l'idée de lui dire "Tu vas tout oublier" . Mais elle devait le faire. Elle devait lui dire qu'il ne se souviendrait de rien. Il ne faut pas qu'il se souvienne : du moins jusqu'a ce qu'elle soit entrée dans l'école en temps qu'élève. Mais oui ... Pourquoi pas ... Ca endomagerai surment moins son systeme nerveux ...

Toutes ces pensez peuvent parêtre désordonée et peu expliquées, mais Marya pensait rapidement ; trop rapidement pour que tutes ces pensées soit claires. Elle choisie finalement d'entamer une dicution, histoire de retarder le moment où elle aurait à se lever.

-"Tokisei-san, pourquoi es-tu ici ? Tu as dis que tu pensait être seul ici c'est ça ? Il y a une raison pour que tu te promène en plein milieu de la nuit ?"

Elle ne le regardait pas vraiment en disant cela. Elle ne prefèrait pas. Elle aurait encore entendu ses batements de coeur, et elle ne le souhaitait pas : c'était vraiment stessant d'entendre ce que le gens ressantait ... Embarrasant en fait... Savoir leur sentiments ...

Marya # "Tu pense qu'une nuit de Noël est plus belle qu'une autre ? C'est juste une nuit plus longue ... Rien d'exeptionnel. Je ne pense pas que ce soit quelque chose de special ... C'est juste la naissance d'un prophète europeen pour la religion chrétiène. Ce n'est pas quelque chose de si particulier. Je ne comprend pas vraiment pourquoi on en fait tout un barda ..."

Ken leva un sourcille d'intérogation en écoutant la phrase, il ne l'avait pas trop comprit, et il pense même qu'elle ne sait pas trop ce qu'elle disait aussi. Il n'avait en aucun cas parler particulièrement de noël, il trouvai juste que la nuit était belle, mais il n'avait pas dit qu'elle était particulièrement belle parce que c'était noël. Elle semblait encore bien agréssif, même plus que tout à l'heure. Quelque chose devait la travailler, comme si elle avait....une certaine peur envers Ken.

Mais peur de quoi? Du fait qu'il l'ai vue nue sous une cascade en pleine nuit? Mais qui ça interesserai? Bon, faut pas chercher bien loin non plus, ce n'est pas les racontard qui manque dans ce genre de situation. De plus, elle avait dit qu'elle était une futur élève, ce qui veut dire qu'elle n'avait pas le droit d'être là. Seul les élèves avaient le droit de se déplacer dans l'établissement, même ceux qui étaient juste inscrit devaient vivre en dehors de l'école.

Plus il pensait ça, plus il comprenai un peu les raisons de la jeune fille de lui parler aussi mal. Mais Ken n'était pas vraiment quelqu'un qui racontait tout à n'importe qui. Même si il aimait plaisanter sur certain sujet, il ne le fesait jamais si la situation était trop sérieuse.

Soudain, la fille lui adresse de nouveau quelques mots, sans se tourner vers lui.

Marya# "Tokisei-san, pourquoi es-tu ici ? Tu as dis que tu pensait être seul ici c'est ça ? Il y a une raison pour que tu te promène en plein milieu de la nuit ?"

-"Pourquoi je suis ici? Parceque je me sentait un peu seul dans ma chambre et que j'avais juste envie de prendre l'air. Je suis nouveau ici, moi aussi, et je ne connais presque personne pour passer les fêtes. J'ai pensé que la solitude serait moins présente en allant dehors et en marchant un peu, et je me suis retrouvé ici. Je n'ai aucune raison particulière sinon, et le fait de t'avoir vu nue était vraiment le fruit du hasard. D'ailleurs, je tiens à te rassurer sur ce point. Je ne suis pas quelqu'un qui cris sur tout les toits ce qui lui arrive, et encore moins si ça venait à gener une tiers personne. Bien sûr, il ne tient qu'à toi de me croire ou non.

Evidemment, elle aurait vraiment voulu le croire ... Qu'il ,ne dirait rien... Mais ça la démangeait un peu que quequ'un soit temoin de ses actions à l'interieur de l'académie ... Alors ...

Mais si elle tentait ? Aucun risque qu'elle échoue à efectuer une paralisie partièle minime temporaire : elle conaisait l'anatomie humaine. Alors que ce Tokisei était parfaitement inconu e elle ne conaisait en rien ses habitudes : rien ne pouvait dire, même si il parraissait sincère, qu'il ne revelerai pas sa présance à autruit, volontairement ou non.

Elle avait de plus en plus de mal à se tenir éveillée, et sentait qu'elle n'était plus vraiment en état de penser correctement. Aussi préférat-elle se forcer et couper court la discution : elle s'approcha de lui et le pris par la nuque en le regardant dans les yeux :

-"Ecoute-moi ; tu l'as deviné, je ne suis pas totalement en regle en ce qui concerne ma présance ici alors regarde-moi et écoute-moi. Si tu n'arrive pas à me regarder dans les yeux, regerde mes lèvres ; je vais envoyer des ondes dans ton systeme nerveux et te bloquer parcièlement la memoire ; jusqu'a ce que tu vois mon visage, tu ne te souviendra pas de ce qui s'est passer ici."

Elle mis son doigt sur sa colone vertébrale, dans sa nuque, et sontinua de parler.

-"Cela n'aura aucune incidance sur ta vie ; la prochaine fois que tu me verra, ta memoir retrouvera les donner me concernant et tu te souviendra clairement de ce qui s'est passer. Autrement dis, jusqu'a ce que je sois scolarisée ici, il n'y aura aucun risque que tu parle de ce qui vien d'arriver à qui que ce soit."

Elle commancait à perdre conscience mais resista et continua.

-"Je me fous qu'apres tu raconte ce qui s'est passer puisqu'une fois entrée ici, je ne pourrais plus en sortir, ce qui n'est pas le cas maintenent. Excuse-moi mais je n'ai pas le choix, je ne remet pas en doute ta franchise mais je prefaire être sûre.Tu ne te souviendra de rien pendant ce temps à part le fait d'être venu ici et d'avoir passer ton chemain ; si ce n'est pas le cas, ce sera comme un noir, un trou de memoir."

Elle lui dit alors plus doucement, comme si elle ne voulait pas vraiment qu'il comprène :

-"Je suis désolée ... Tout redeviendra normal quand je serai ici officielement. En attendant, tu pourra vivre normalement. Il n'y a aucun risque. Tout sera normal."

Elle disait cela comme si elle se reprochait à elle même ce qu'elle allait faire. Pourtant il le fallait ; Daiichi devait entrer ici. C'était le seul moyen pour eux. Le seul moyen de vivre. Il n'était pas question que tout échou maintenant. Pas maintenant qu'ils avaient une chance de vivre décemment. Elle leva les yeux vers lui et posa ces lèvres sur son front, comme sign e de promesse, comme on lui avait fait lorsque qu'on lui avait prêter allegance dans son clan, lorsqu'elle était si jeune.

-"Arigato, omaewa Yasashi. Arigato." [Merci, tu est quelqu'un de gentil.Merci]

Elle laça une onde brusque dans sa nuque et visa la memoire récente.

-"Soleni ..." [Et puis]

Elle cella le cadena de memoire sont son visage était à présant la clée.

-"Sayonara." [Au revoir]

Kenshiro tomba de tout son corps dans les bras de Marya ; comme prevu. Elle avait 30 secondes avant qu'il ne se reveille. Elle posa le jeune homme évanoui sur le sol et le couvra de son grand manteau, puis se releva avec dificulté, la tête tournante. Elle utilisa ses dernière forces pour courir à toute vitesse vers la "cache" qui lui avait été asigné, à elle et Daiichi. Pourvu qu'il ne se soit pas reveiller. Elle était loin quand les 30 secondes s'était écoulées. Elle était fatiguée de cette course mais l'air glacée avait refait des sienne dans ses poumons et la reveillèrnet un peu, assez en tout cas pour retourner à cet endroit qu'elle n'aurait peut-être pas du quitter.

Ce soir là, elle avait passer deux ou trois heures dehors. Elle ne se rendait pas vraiment compte du temps qui s'était écoulé. Tout ce quoi elle pensait à ce moment, c'était que le lendemain, elle souhaiterait un joyeux Noël à Daiichi. Daiichi qui prenait beaucoup de place dans son esprit.

Marya s'était approchée de trés près, pas trop non plus mais assez pour lui attrapé la nuque. Ken pouvait voir avec une belle prescision les yeux de la jeune fille. Sa première impréssion était bien la bonne, avec le reflet de lune, ses pupilles avaient la couleurs de perle. Un regard profond s'y trouvais, comme la fatigue, ce qui était un peu normal, mais aussi autre chose, de la tristesse, de la peine. Mais pour qui? Pour elle? Pour quelqu'un qui lui est proche? Kenshiro s'en moque, mais il se demande bien pourquoi elle s'est approchée comme ça.

La réponse ne tarda pas d'arriver. Elle voullait apparement lui retirer ses souvenirs, du moins les plus recents, ceux de leurs rencontre. Une certaine curiosité se place alors, comment comptez t-elle faire ceci? Kenshiro garda son éternel sourire confiant sur son visage, il écouta sans dire le moindre mot ce que la jeune fille allait faire et dire, ainsi que ses raisons d'agir comme ça.

Apparament, la perte de mémoire serait temporaire, juste le temps pour elle d'être régularisée dans l'établissement. Ken ne disai toujours rien, comme si la moindre parôle risquai d'être prise pour une objection. Il comprenai fort bien les raison de Marya, aprés tout, a leurs âge, peut on vraiment faire confiance à un garçon sur ce genre de sujet, qui plus est un total inconnu? Il ne dit mot, mais cependant ses yeux parlait pour lui. Son regard, placée dans celui de la jeune fille, disait une phrase trés compréhensible : "J'ai confiance en toi, j'espère que par la suite, tu me rendras cette confiance."

Sa vision se trouble enfin. Sa pensée devient confuse, brumeuse instable. Ses paupières semblaient devenir de véritable sac de plombs. Sa consciense tombe alors dans d'étrange ténebres, avant de s'endormir.

Ken se reveille à présent. La tête embrumé par un sommeil étrange. Il était alongé sur le sol, son manteau de cuire posé sur lui. Il ne se rappelle pas ce qui s'est passé peu avant. Il se baladait tranquillement, il avait entendu une chute d'eau, il s'était alors aproché pour admirer, puis plus rien. Il se demandai pourquoi il était allongé sur le sol, son manteau posé sur lui comme si quelqu'un lui avait mis dessus aprés l'avoir retiré. Il se touche la tête, aucune bosse à l'horizon, personne ne l'avait alors assomé.

Il se relève alors, décidant de finir cette nuit de noël dans la chaleur de sa chambre, si ce con de directeur n'a pas déjà coupé le chauffage. Etrangement, il se sentait bien, comme si quelque chose de particulier lui était arrivé. Mais quoi, tel est la question.

-Atchouuuuuuum. Merde, j'ai attrapé froid.

C'est ainsi que Ken retourna au dortoir, au pas de course.

[Hrp] Voili voilou, si c'est bien finit, je pense qu'on peut cloturer ce topic[/hrp]